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One of the Drunks. | Axel

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Mar 31 Déc - 22:41
L'appartement est un peu un terrain miné pour moi. Entre devoir avoir l'air normal et en même temps fuir Axel le plus possible, je dois avouer que c'est fatiguant et que je me sens mal. Encore plus que j'aurais pu le penser. C'est pour ça que normalement je ne mélange pas, sexe et sentiment. Je l'aime beaucoup Axel, on s'entend super bien et il est si unique. Je n'ai pas vraiment su prendre de distance et voilà où j'en suis. On me voit quasiment plus à l'appartement sauf pour dormir. Trop de temps que je n'ai pas pu me poser. Alors ce soir, j'ai dit non à chaque proposition, me disant que j'allais rester avec quelqu'un qui ne pourra jamais me juger. Baby Yoda comprend rien à ce que je peux lui raconter, mais au moins je parle avec quelqu'un. J'ai rempli le frigo de nourriture pour la soirée et d'alcool bien entendu, mais il semble que je ne suis pas le seul à avoir ramené des bouteilles. Ce n'est pas des plus choquant quand on sait qui habite ici. Je file à la douche une fois que tout est rangé, histoire de me mettre à l'aise et de retirer mon costume bien trop ajusté. Comme j'ai pris du temps pour rentrer j'avais en tête que mes collocs étaient déjà partis.  Alors plus besoin de m'habiller complètement. Je sors de la salle de bain serviette sur la tête, avec simplement un caleçon, me dirigeant vers ma chambre, mais quand je relève le nez, il y a ton regard qui croise le mien. Tu peux lire l'incompréhension sur mon visage, la gêne aussi peut être. Le regard qui alterne entre la porte de ma chambre et toi. J'ouvre la bouche sans trouver quoi dire avant de reprendre ma route l'air de rien. Histoire de fuir le contact visuel. " Tu vas être en retard, non ?" Je reste dans ma chambre pour enfiler une tenue plus "acceptable", je voulais juste me couvrir un peu. J'ai le cerveau totalement en panique que j'ai reprit des fringues de boulot. Me voilà donc en chemise blanche et en pantalon bien trop cher pour cuisiner et passer la soirée en solo, mais que voulez vous, Axel m'a littéralement embrouillé l'esprit en un regard. Maintenant il me reste encore à sortir de ma chambre, il y a des chances que ce soit à toi de venir si tu as un truc à me dire, parce que je remets le même bouton de chemise en boucle. Comment on en est arrivé là déjà ? 

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Mer 1 Jan - 19:36
C'est avec tes écouteurs dans les oreilles que tu termines les retouches d'une robe à la main. Tu ne sais pas depuis combien de temps tu es enfermé dans ta chambre mais assez pour que Siobhan finisse par t'interrompre pour t'annoncer qu'elle part à sa soirée et te demander une dernière fois si tu n'as pas envie de venir avec elle. Bien sûr, tu ne l'as pas suivi, préférant rester à l'appartement ce soir avec comme seule compagnie Baby Yoda. Oh, tu pourrais très bien trouver une soirée de dernière minute à laquelle t'incruster mais tu n'en ressens pas l'envie. Tu as simplement proposé à ton grand frère de passer si jamais. Le nouvel an n'a aucune signification particulière pour toi alors tu te fiches pas mal d'être seul et pour l'instant, tu es trop obnubilé par ta pièce pour te rendre compte de ta solitude. Solitude inexistante, si tu en crois le bruit de la douche qui vient interrompre tes pensées alors que tu viens tout juste d'enlever tes écouteurs. Cela ne peut qu'être Aimé et tu le sais. Sûrement qu'il est rentré juste pour prendre une douche et partir à sa soirée et tu devrais le laisser tranquille en restant gentiment dans ta chambre mais... Tu en as assez de le voir t'éviter de la sorte. Alors tu prends ton courage à deux mains et tu sors de ta chambre, te retrouvant nez à nez avec Aimé qui se balade dans l'appartement en serviette. Tu laisses tes yeux glisser le long de son corps avant de te reprendre presque immédiatement – plus précisément, quand il t'adresse cette question qui te fait froncer les sourcils. Et alors que tu t'apprêtes à lui répondre, voilà qu'il rentre dans sa chambre. De mieux en mieux. Il ne te faut pas plus de quelques secondes pour te décider à le suivre, restant sur le pas de la porte avec les bras croisés sans cesser de le regarder. Être sans gêne est une chose, mais le malaise est déjà assez palpable entre vous pour qu'en plus tu te permettes de rentrer totalement dans son intimité. « Est-ce que j'ai l'air d'aller quelque part ? ». Non, tu n'as clairement pas la dégaine de quelqu'un qui s'apprête à aller en soirée avec tes cheveux à peine coiffés et machinalement, tu remets une de tes mèches à sa place. Comme si tu voulais avoir l'air un peu plus présentable face à Aimé alors qu'il te connaît déjà par cœur. Dans le meilleur comme dans le pire. « Je compte passer ma soirée ici, avec mes deux bouteilles de vin comme compagnie. Et toi, tu es attendu quelque part à ce que je vois ? ». C'est évident, vue la manière dont il est habillé. « Besoin d'aide pour ta chemise ? » que tu ajoutes presque aussitôt, un sourire sarcastique au coin des lèvres. Tu sais qu'il risque de trouver une excuse pour te tenir éloigner de lui. Pourtant, tu ne bouges pas, te contentant de rester appuyer contre sa porte en attendant sa réponse.

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Jeu 2 Jan - 2:37

Je sens ta présence, ton regard sur moi qui affole littéralement mes sens. Panique à bord,encore plus quand je sens que ce que j'ai dit à pu te déplaire. C'est surtout que je n'ai pas fait attention à comment tu étais, j'étais juste paniqué de voir que tu étais ici. « Axel, même dans la plus horrible des tenues, tu restes présentable. » J'essaie de calmer le jeu, même si c'est peut-être maladroit vu comme je te fuis de te faire des compliments, mais c'est la réalité, tu es toujours beau, même dans les pires moments. Panique. Tu restes à l'appartement, avec moi donc ? Incompréhension. Mon regard qui se pose sur mes fringues quand je capte que je fais vraiment n'importe quoi. Maintenant si je dis que je reste, je vais avoir l'air d'annuler ma soirée pas vrai ?  Alors je hausse juste les épaules, un peu comme si c'était le cas. Je laisse finalement mon bouton de chemise, le gardant ouvert, parce que j'ai besoin d'air. « Il est très bien ouvert... mon bouton. » Je regarde autour de moi pour attraper la première paire de chaussure que je peux avoir. Un truc un peu classe pour aller avec le reste. Mon postérieur qui se pose sur le lit pendant que je les enfile. « Tu voulais me dire un truc du coup ? » J'attrape une veste et dans ma tête c'est la panique, parce que je ne sais plus quoi faire. « On en parlera quand je rentrerais. Si tu veux. » Mon regard qui se pose sur le tien et je me faufile entre toi et la porte en essayant au maximum de ne pas t'effleurer. J'arrive à la porte, j'attrape mes clefs et finalement, rien. Boum. Le son de ma tête qui se laisse tomber contre la porte. Je n'ai vraiment pas envie de sortir. Je tourne la tête pour te regarder en remettant mes clefs sur un meuble. « J'ai rien de prévu. » Je soupire balançant ma veste sur une chaise, avant de dégager mes chaussures. « Je pensais être seul. J'ai paniqué en m'habillant.» Haussement d'épaule, le silence qui reprendra sa place de mon côté. Je retourne à ma place, pour faire quelques choses qui me détendent complètement, couper des légumes et de la viande avec des couteaux bien trop grand. Je suppose que tu voudras manger aussi, sauf si tu avais vraiment prévu de seulement boire. Je sors tout, avant de reposer mon regard sur toi. Je ne sais pas quoi dire, je reste juste là à te fixer, tel un chat sauvage qui a qu'une envie, c'est de se cacher à la moindre approche trop vive.

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Ven 3 Jan - 0:39
En temps normal, face à son compliment, Aime aurait eu droit à ton plus beau sourire et certainement à un baiser sur sa joue. En temps normal, ouais. Sauf que tu as l'impression de ne pas pouvoir l'approcher depuis ce qui s'est passé entre vous. De tout faire de travers. D'être le roi des cons, aussi. Même en sachant que vous n'auriez jamais dû dépasser la limite, tu n'arrives pas à regretter... contrairement à Aime visiblement. C'est bien toi le problème au fond. Toi et uniquement toi. Il a beau t'avoir prévenu, tu n'as pas réfléchi et voilà où vous en êtes à présent. « Oui... Passe une bonne soirée. » que tu lui réponds dans un souffle alors qu'il s'apprête à partir de l'appartement. Il croit vraiment que tu es bête à ce point-là ? Bête au point de le croire quand il te dit que vous allez avoir une discussion lorsqu'il rentrera ? Tu le suis jusqu'au salon, l'observant à peine alors qu'il s'apprête à partir. C'est une perte de temps. Sauf que tu ne te vois pas rester là, sans rien, et le laisser continuer d'agir avec toi de la sorte. A un moment ou un autre, il faudra bien crever l’abcès et pour toi, plus tôt sera le mieux. Alors quand il t'adresse de nouveau la parole, ton regard se tourne une nouvelle fois vers lui et tu ne peux pas t'empêcher de hausser les sourcils en l'entendant. Sérieusement ? « On en arrive là, maintenant ? ». Une question que tu balances sans attendre forcément de réponse. Juste histoire de lui faire comprendre à quel point tu trouves la situation... dérangeante. Tu secoues la tête de gauche à droite avant de laisser un léger sourire prendre place sur ton visage. Visiblement, deux bouteilles ne suffiront pas ce soir si Aime compte passer la soirée de son côté. D'ailleurs, c'est certainement le bon moment pour commencer la première. Pendant qu'il se met à la cuisine, tu passes derrière lui pour fouiller dans le frigo et en ressortir le trésor ultime. Sauf que voilà, le tire bouchon n'a pas l'air d'être de ton côté. Tu essayes tant bien que mal de faire comme si de rien n'était avant de capituler et de te tourner vers ton colocataire visiblement occupé par son couteau. « Aime... Je n'arrive pas à ouvrir la bouteille. Et je pense que tu es d'accord avec moi sur ce coup-là : on a tous les deux besoin d'un verre. ». Tu t'approches de lui afin de la poser à côté, suivi de deux verres, sans t'éloigner pour autant après. « On commence par quoi ? » ajoutes-tu avant d'effleurer sa main pour t'emparer d'un couteau à ton tour. Non, tu ne lui laisses pas d'autres choix que de te donner des directives pour cuisiner avec lui. Mais il n'y a rien de mal à cela après tout... si ? Après tout, c'est une technique comme une autre de faire comme si de rien n'était avant de mettre les deux pieds dans le plat. Du Axel tout craché.

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Ven 3 Jan - 3:24

« J'avais prévenu, que j'étais con. » Même si tu ne devais pas te douter que j'allais être aussi con. Ça me fait clairement mal au cœur d'être aussi con, mais je ne sais plus gérer la situation. J'ai chaud, trop chaud, alors je dégage de nouveau un bouton de ma chemise. En essayant de calmer ma gêne, je te surveille du coin du regard, histoire de voir ce que tu comptes faire. Oui, je prends mes distances, mais il fait chaud, la gêne n'a rien arrangée à la situation. Je suis tel un animal sauvage à l’affût de chacun de tes mouvements. Je tourne finalement la tête complètement vers toi pour regarder la bouteille que tu as posé avant de te sortir le tire bouchon en haussant un sourcil. Ta main qui effleure la mienne me fait me crisper un peu. Au moins je ne risque pas de lâcher le tire-bouchon là. J'attrape la bouteille pour venir l'ouvrir en m'éloignant un peu de toi, on va dire que c'est pour éviter de te donner un coup en essayant de l'ouvrir. Sauf que tu me stresses un peu et j'en fou clairement partout. Je regarde ma chemise avec un air un peu dégoûté, mais ça m'apprendra à faire n'importe quoi. «  Occupes toi... de découper les légumes ? » Je dépose la bouteille à côté de toi pour te laisser nous servir avant de tendre le bras pour attraper de quoi m'essuyer, pour le coup je t'effleure, je n'y fais pas trop attention, j'ai juste dans l'idée de passer le chiffon sous l'eau pour venir tapoter ma chemise. Léger soupire qui glisse entre mes lèvres et j'abandonne. Je te tends le tablier, puisque de toute façon, de mon côté, j'en ai plus grand-chose à faire. Et bien entendu, avant que sournoisement tu me demandes de te l'attacher je le fais par moi-même. Même si tu as dis que tu en voulais pas en vrai. Je te l'enfile de force, pour que tu puisses cuisiner tranquillement sans t'en mettre partout. « Tu n'es pas obligé de cuisiner. Tu peux aussi te reposer dans le canapé en attendant ou prendre une chaise et attendre en buvant? Mets toi à l'aise. » C'est un peu une invitation à t'éloigner, mais la deuxième peut aussi t'inviter à discuter clairement. Je n'en ai pas envie, mais te connaissant tu ne vas pas me laisser le choix. J'attrape mon verre pour boire un peu trop rapidement la moitié de celui-ci. Je sors la viande pour m'en occuper, parce que c'est clairement le sale boulot. J'adore cuisiner pour Axel et Sio, mais je déteste m'occuper de la viande. Je prends mon téléphone pour lancer la musique, histoire d'avoir un son de fond, plutôt que mon silence terriblement pesant. Lecture aléatoire, on verra bien ce qu'il me propose. Je laisse la musique sans faire attention avant d'entendre les paroles et me voilà à juste fixer la viande en la coupant. Bordel, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça.

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Lun 6 Jan - 12:50
Tu observes du coin de l’œil Aime en train de batailler pour ouvrir la bouteille... et finir par en renverser sur sa chemise. Te retenir de faire un commentaire dont toi seul a le secret est une chose. Te retenir de rire par contre, c'est une autre. C'est pourquoi tu te mets à pouffer de rire dans ton coin avant d'attraper la bouteille pour remplir vos deux verres presque à ras-bord, ne respectant pas du tout les doses habituelles. Ton cher colocataire en a besoin, toi aussi alors autant ne pas perdre de temps pour fêter le nouvel an dignement. Tu t'apprêtes à retourner à tes légumes quand Aime te tend le tablier. Tu observes les deux tour à tour avec un regard qui signifie très clairement que tu ne comptes pas porter cette atrocité – atrocité qui va pourtant bien à Aime – mais il ne te laisse pas d'autres choix en l'attachant de lui-même. « Ça ne va pas avec ma tenue. ». Tu grognes presque, Axel. Et pourtant, tu le laisses faire. Il faut croire que tu n'as pas beaucoup de volonté face à lui. « Tu as peur que je confonde le sucre et le sel une nouvelle fois ? Promis, je me suis amélioré depuis. ». C'est ta réponse pour lui faire comprendre que tu comptes participer toi aussi. Tu ne portes pas ce tablier pour rien ! « Tu aurais pu m'attendre pour trinquer. Tu n'as pas envie de me regarder dans les yeux ? » que tu lui lances en l'observant boire la moitié de son verre de vin. Tu prends le tien, le penche légèrement vers lui avec un sourcil haussé avant de venir boire à ton tour... pour finir par attraper la bouteille et remplir de nouveau les verres qui n'étaient même pas encore vides. La musique vient briser le silence de l'appartement et aux premières notes, tu ne peux pas t'empêcher de noter l'ironie de la situation. I don't know just how it happened, I let down my guard.... Définitivement la chanson parfaite pour commencer ce début de soirée. Tu tentes tant bien que mal de rester concentrer sur les légumes que tu coupes... Le problème, c'est que tu n'arrives pas à faire comme si de rien n'était. Alors tu tentes de trouver tout le tact que tu as en ta possession avant d'ouvrir la bouche. Le problème, c'est que tu n'es pas vraiment connu pour cela. Puis par où commencer ? « Tu regrettes ? ». Peut-être pas par là. Mais c'est trop tard, la question est lancée. « Je ne savais pas que j'embrassais si mal que ça. » que tu ajoutes tout en lui lançant un sourire clairement forcé, comme pour rendre la discussion qui s'annonce plus légère. Tu cherches à détendre l'atmosphère comme tu peux. La vérité, c'est que tu n'as pas envie d'entendre ce qu'il a à te dire. Pour toi, il n'y aura rien de bon qui sortira de sa bouche. Il t'évite, cela veut tout dire. Tu sais bien que cela ne devrait pas te toucher plus que cela et pourtant... Out of control, what can I do ?

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Mar 7 Jan - 1:09


« Ça restera notre petit secret. » 
Tu ne te trouves peut-être pas terrible avec ce tablier, mais moi je trouve qu'il te va plutôt bien. De toute façon, pour toi n'importe quoi pourrait t'aller. Tu pourrais être dans un sac poubelle que tu resterais sexy. Je suis bien obligé de te laisser cuisiner avec moi du coup, tant pis pour la tranquillité de la soirée, je ne pourrais pas réfléchir à combien tu me fais paniquer en paix. Mon regard qui se pose sur mon verre puis sur toi avec un air terriblement désolé. J'ai complètement oublié qu'on faisait ça. J'ai juste eu besoin d'une gorgée. Quand tu remplis les verres je viens attraper doucement ton poignet pour venir trinquer avec toi en te regardant dans les yeux. « J'ai aucun problème avec l'idée de te regarder dans les yeux. » Je reprends une grande gorgée avant de poser le verre sur le côté laissant donc cette foutu musique rendre l'ambiance encore plus pesante de mon point de vue. Attendrir la viande, la découper et ne plus faire attention au reste, c'était l'idée jusqu'à ce que tu te décides à me parler de nouveau. Je tourne la tête pour venir finir mon verre de vin d'un coup. Je regarde ensuite le fond en essayant de trouver une réponse qui n'en dit pas trop long. « Je ne regrette pas. » Ce n'est pas du regret, c'est de la peur, mais je ne te le dirais pas. Un haussement d'épaule quand tu parles de tes baisers. « Peut-être. » J'ai sourire presque taquin, mais tu peux voir à mon visage que l'alcool m'attaque déjà un peu. Le bout des oreilles qui chauffe déjà et j'ai l'air presque naturel. «  Je n'ai rien contre toi Axel, c'est juste... qu'on a … été trop loin. » Je crois que ça sonne totalement comme si je le regrettais. «  J'ai vraiment passé un bon moment, mais on aurait dû s'arrêter. On le savait tous les deux. » Je soupire doucement avant d'attraper une poêle pour préparer la cuisson, avant de revenir t'aider avec les légumes. J'ai l'habitude de cuisiner, j'adore ça, ça me détend. Je m'arrête un moment venant m'essuyer les mains sans gêne sur le tablier que tu portes. Et plutôt que de retirer mes mains de là, je viens calmer le jeu, même si au fond de moi, j'ai le cœur qui bat super fort, tellement qu'il me fait mal. J'utilise une technique qui je le sais fait toujours son effet, je viens t'enlacer doucement en te ramenant bien contre moi. Un simple câlin comme j'ai pu t'en faire par millier quand tu ne vas pas bien ou que tu es contrarié. « Si je t'ai fait du mal, excuse moi. » Je viens reprendre la bouteille pour remplir mon verre de nouveau avant d'ouvrir une autre bouteille pour en mettre sur la viande. De l'alcool même dans la cuisine, parce qu'il n'y en a jamais assez.  

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Mar 7 Jan - 20:47
Ton regard ne flanche pas quand Aimé te regarde dans les yeux bien que tu es à deux doigts de le détourner tant la situation te semble... étrange. Tu n'as jamais voulu que quelque chose change dans votre relation.  Ou plutôt, tu n'as jamais voulu qu'il t'évite de cette manière. Et tu as beau faire le tour de chacune des pensées se trouvant dans ta tête, tu ne vois pas le mal dans ce qui s'est passé entre vous. L'entendre dire qu'il ne regrette pas ne t'enthousiasme pas plus que cela car son attitude envers toi te donne l'impression du contraire. Mais pourquoi te mentirait-il ? « Ça n'avait pas l'air de te déplaire pourtant. ». Tu réponds à son sourire comme si de rien n'était. Comme si ce qu'il te dit ne te fait strictement rien alors qu'au fond, tu te sens juste stupide d'avoir cru que... Peu importe après tout. Tu aurais dû t'attendre à cette réaction venant d'Aimé. Au final, c'est toi le con (comme il le dit si bien) dans l'histoire et non lui. Tu restes silencieux à la suite de ces mots, faisant semblant de te concentrer sur les légumes alors que c'est juste un désordre sans nom dans ta tête. C'est uniquement quand Aimé vient te prendre dans ses bras que tu réagis plus ou moins... Et tu lèves les mains sans lui rendre son étreinte pour ne pas tâcher d'autant plus sa chemise, profitant tout de même de l'avoir de nouveau près de toi. Car c'est tout ce dont tu auras droit à présent. Comme avant. Rien de plus ni de moins. C'est peut-être mieux ainsi après tout. « Tu aurais pu juste me le dire avant au lieu de m'éviter ces derniers jours, tu sais ? ». Un sourire railleur aux lèvres, tu lui rappelles que tu as bien remarqué sa façon de se comporter avec toi ces derniers temps. Une fois que tu as terminé avec les légumes, tu décides d'aller te laver les mains et de t'asseoir sur le comptoir de la cuisine tout en observant Aimé qui s'occupe de la viande. Verres de nouveau remplis de vin blanc par tes soins, tu bois sans même te rendre compte que vous allez certainement mal finir vue l'alcool que vous ingérez à une vitesse phénoménale. « Je vais essayer de bien me comporter ce soir alors. Pour me faire pardonner de ne pas t'avoir arrêté. ». Aucune volonté dans ta voix lorsque tu prononces ces quelques mots. C'est peut-être l'alcool qui te monte déjà un peu trop rapidement à la tête. « Ce serait bête de devoir encore frôler les murs pour l'un d'entre nous... même si les murs sont utiles parfois. ». Tu hausses les épaules comme si tu venais de dire une banalité et non un sous-entendu que tu penses subtil sur votre moment dans la cabine d'essayage de sa boutique. « Trop tôt pour ça, peut-être ? ». Tu ris avant de pencher ta tête vers le plat qu'il est en train de préparer. « Tu me fais goûter ? » lui demandes-tu avec un air taquin, toujours bien installé sur le comptoir.

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Mar 14 Jan - 2:31

Mon regard qui essaie encore de te fuir, tu ne me rends pas mon étreinte et, faut bien l'avouer ça me brise un peu le cœur. Pas comme si j'étais amoureux, c'est plus comme si je ne me sentais plus légitime à être ton ami. Je souffle un peu, reprenant donc la cuisine et mon verre. On n'a jamais assez d'alcool dans le sang quand on est dépassé par la situation. Ce n'est pas le remède miracle, mais c'est le moyen d'oublier que justement, il n'y a pas de remède miracle. «  Je n'ai rien dit parce que je ne sais pas comment dire ça. » Quand je dis ça, il y a plus de mots que tu n'as jamais entendu venant de ma bouche que tu peux l'imaginer. Personne n'a jamais entendu de mots du genre d'ailleurs, mais tu ne pourras pas les connaître. Je te laisse t'installer sur le comptoir, sans plus vraiment faire attention à toi, trop occupé à vider mon verre et à cuisiner pour te faire un bon repas. « Tu m'as stoppé d'une certaine façon. Sans le vouloir. » Je soupire avant de récupérer mon verre qui est malheureusement déjà vide. Je te lance un regard totalement surpris avant de reposer mon regard sur la viande. J'éteins le feu pour venir chercher de quoi faire un cocktail typiquement brésilien. Je m'approche de toi pour attraper un citron verre et je sors deux verres, puisque tu sembles vouloir goûter à la nourriture, pour le moment tu te contenteras d'un alcool que j'aime quand j'ai vraiment besoin de penser à autre chose. La maison est le meilleur endroit pour s'enfuir. Je prépare donc un Caïpirinha j'ai réussi à trouver ce qu'il me fallait pour ça. J'attends que le sucre soit dissout et je t'offre ton verre en haussant un sourcil, je me glisse entre tes jambes. «  Pare de me torturar. » Je souffle doucement avant de boire une partie de mon verre, puis je le pose sur le côté en posant mes mains de chaque côté de tes jambes pour te faire te rapprocher de moi. « Tu veux continuer ce qu'on avait commencé ? De toute façon, foutu pour foutu... Autant s'habituer à ce nouveau... truc. » Je n'aurais pas de nom à mettre sur notre relation, mais elle est déjà partie loin, la belle coloc entre ami. Je reprends un peu de ma boisson avant de reprendre la cuisson en te laissant là. Qui torture qui maintenant ?

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Mer 15 Jan - 13:35
« J'ai au moins fait quelque chose de bien, alors. ». Tu ne cherches pas à cacher l'ironie se trouvant dans chacun de tes mots. C'est frustrant. Frustrant d'entendre ces paroles de la part d'Aimé, d'avoir cette foutue sensation d'être complètement perdu face à lui... et même d'avoir gâché votre relation tout court. Tu te mures dans le silence – pour une fois – lorsque ton colocataire se met à préparer un cocktail plutôt que de te faire goûter ce qu'il est en train de préparer. Ton verre de vin blanc à la main, tu sirotes l'alcool tout en l'observant. Tu n'as rien d'autre à faire de toute façon. Enfin si, tu pourrais t'occuper autrement qu'en le regardant mais c'est une activité plutôt plaisante pour tes yeux alors pourquoi te priver ? Tu finis ton verre d'une traite pour prendre le cocktail que t'a préparé Aimé alors que ce dernier se retrouve entre tes jambes. Il te parle dans sa langue et le seul mot que tu comprends, c'est torturer. Suffisant pour deviner le sens de la phrase. Pour toute réponse, tu te contentes de lui sourire, le laissant faire lorsqu'il te rapproche de lui. Il est clair que tu ne t'attends pas à ce qu'il vient de te balancer et tu l'observes s'éloigner comme si de rien n'était pour retourner s'occuper du plat avec un air quelque peu ébahi. Il est en train de jouer avec toi ou c'est une simple impression ? Tu ne sais plus sur quel pied danser à cet instant, Axel. « Si on reprend où on s'est arrêtés, tu vas trouver quelle excuse pour m'éviter cette fois-ci ? ». Tu sais très bien que tu es en train de mettre un doigt sur le problème. Aimé n'a pas l'air de vouloir assumer qu'il puisse se passer quelque chose entre vous deux même si c'est uniquement sur le plan sexuel. Sa réaction de t'éviter pendant des jours après votre moment dans sa boutique le prouve bien. Toi, tu ne vois pas le mal. Vous prenez du bon temps ensembles, il n'y a rien de grave à cela... si ? Tu préfères mettre de côté le fait que tu y penses un peu trop souvent depuis. « Moi, je sais ce que je veux. ». C'est même plutôt clair, en fait. Sinon tu ne continuerais de lui tourner autour de cette façon, de chercher à le provoquer avec tes mots. « Et si c'est ce que tu veux aussi, ce serait dommage de gâcher l'arrivée de la nouvelle année en te retenant de faire ce dont tu as envie. Autant fêter ça dignement, non ? ». C'est que tu pourrais presque passer pour un grand sage si tu n'insinuais pas que tu as envie de continuer ce que vous avez déjà entrepris dans sa boutique. « J'ai quelque chose qui pourrait te plaire d'ailleurs. ». Buvant une gorgée du cocktail, tu l'observes avec un petit sourire en coin qui veut tout dire. J'ai toute ma soirée pour toi, Aimé.

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Dim 15 Mar - 4:20

Mon regard qui se pose sur toi à ta question et bien évidemment je ne peux retenir mon petit pique. Désolé Axel, mais je vais continuer de tenir les rênes. «  Je ne sais pas. Tu comptes me virer de l'appartement comme un malpropre aussi ? » Je te regarde avec un air très sérieux. J'aurais pu dire comme un vulgaire plan cul ou gigolo, mais je resterais soft. Juste histoire de te faire comprendre un des points qui me fait bloquer. Ce n'est pas qu'une histoire de sexe, tu m'as bien plus outré que tu peux l'imaginer. Je reprends tranquillement ma cuisine de nouveau un peu refroidit. Je sens que ça va être compliqué, me faut encore un peu plus d'alcool. Il ne faut pas oublier que j'ai quand même un petit ego et que pour le coup tu l'avais bien massacré. Je reviens attraper la première bouteille d'alcool, ne faisant même plus semblant d'y aller doucement. Je dois me calmer un peu, m'oublier. Je t'offre un petit sourire avant d'approcher mes lèvres des tiennes. «  Tu sais ce que tu veux hm ? Personnellement je sais ce que je ne veux pas. » Paniquer de n'importe quel sentiment que tu pourrais faire naître, enfin là maintenant avec le cerveau attaqué par l'alcool, ce que je ne veux pas se résumerait par ne plus te voir. Je viens déposer doucement mes lèvres sur les tiennes, d'une façon terriblement chaste. Simple baiser volé qui n'engage à rien. «  Montre moi que ce que tu as pour moi et on verra si tu sais te faire pardonner. » Je goûte la nourriture en haussant les sourcils. Aucune idée de si c'est bon en réalité, alors je te tends doucement une cuillère pour que tu me dises si c'est à ton goût. Tu es celui qui doit aimer le plat, moi je sais déjà que je pourrais manger n'importe quoi ce soir. A cette pensée je sens mon regard descendre sur toi. Tu n'es pas n'importe quoi, ni n’importe qui, c'est peut-être ça le plus grand soucis.  J'ai plus de chose dans la liste de ce qui me plaît que de ce que je n'aime pas chez toi. C'est terrible. Je déteste ça, sors de ma tête, enfin... disons demain.

J'éteins le plat avant de revenir entre tes cuisses, t’agrippant par la taille pour te rapprocher encore plus de moi, pour que tu t'accroche totalement à moi. «  Dis moi où es ce truc et je t'y dépose. » Tu vas pouvoir sentir que l'alcool est déjà bien présent, mais pas assez pour que je ne jongle pas entre frustré et excité.

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Dim 22 Mar - 16:46
Tes yeux s'écarquillent lorsqu'Aimé te balance cette réflexion, tout à fait gratuitement mais surtout... méritée. L'alcool commence peu à peu à te monter à la tête et tu n'es pas certain que de te rappeler de ton moment dans la boutique avec lui soit une bonne idée vu l'effet qu'il te fait déjà rien qu'en cuisinant (vraiment, Axel ?) mais il est vrai que tu n'as certainement pas réagi de la bonne manière en le sortant de la cabine d'essayage. « Ce n'est pas le fait que je t'ai embrassé après qui te gêne mais le fait que je t'ai viré ? Vraiment ? Il fallait me le dire si tu me désirais encore. ». Et le pire, c'est que tu continues de le provoquer. Parce que tu ne contrôles strictement rien de ce qui sort de ta bouche et surtout, tu aimes jouer. Aimé aussi. Tu n'as pas envie de te disputer avec lui et tu n'es pas sûr que ce soit le bon moment pour essayer de comprendre ce qui a pu se passer dans ta tête et surtout dans la sienne. C'est le nouvel an et certes, cela n'a aucune signification pour toi mais pour une fois, tu as envie de partir sur de bonnes bases. Au moins avec lui. Son baiser contre tes lèvres, tu ressens à peine la sensation tant il s'éloigne vite. Trop vite de toi. Est-ce que cela signifie une trêve ? Pour au moins une soirée ? « Crois-moi, tu risques de me pardonner plus vite que prévu. ». Des mots que tu lui lances avant de venir goûter la nourriture sans le lâcher des yeux, toujours avec cet éternel sourire qui se veut à la fois joueur et charmeur sur ton visage – celui qui te caractérise si bien. « C'est très bon. ». Pourtant, ce n'est pas son plat qui t'intéresse le plus pour le moment. Vous avez toute la soirée devant vous après tout. Chaque chose en son temps. Aimé non plus n'a pas l'air d'être très sûr du programme pour ce nouvel an et tu le comprends lorsqu'il revient se positionner entre tes jambes. Tu t'accroches à lui avant d'aller murmurer une simple phrase à son oreille. « Dans ma chambre. ». Il suffit de demander, et te voilà une minute plus tard dans ta chambre qui ressemble plus à un atelier de couture qu'autre chose. Tu attrapes alors la tenue de mère Noël que tu as confectionné de tes propres mains pour la montrer à Aimé, la fierté se lisant sur ton visage. « Tadam ! C'était le cadeau de noël de Siobhan mais... Elle l'a oublié pour rejoindre son lieutenant pour sa garde de nuit. ». Un oubli qui t'arrange bien sur ce coup-là. « Tu m'aides à mettre le haut ? Je te laisse la jupe, je suis sûr qu'elle t'ira à la perfection. » ajoutes-tu avant de pouffer de rire. Tu soulèves alors un peu ton haut actuel, histoire de faire comprendre à Aimé que tu l'attends pour le reste. Une provocation de plus à laquelle il peut décider de ne pas répondre mais toi, tu t'amuses déjà de la situation.

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Lun 20 Avr - 2:16
Je te dépose dans ta chambre, découvrant une nouvelle fois à quel point tu aimes la couture et les vêtements. Je me demande encore pourquoi tu ne viens pas me voler les fringues que je n'utilise pas, il y en a pourtant des centaines que je garde dans des boites alors que tu pourrais les garder et en faire des œuvres. Aucun doute là dessus, ce que tu touches devient de l'or. Enfin, les fringues, ou alors tu jettes l'or par la fenêtre. Je te regarde avant d'hausser les sourcils en voyant la tenue. Tu sais que je ne peux pas dire non en plus, parce que je trouve ça terriblement drôle et en même temps, avec ton compliment j'arrive presque à me dire que j'aurais l'air sexy là dedans. Je grogne un peu en attrapant le bas. «  Très bien, la prochaine fois, tu portes la mini jupe, moi aussi je veux te voir avec. » Je viens retirer mes fringues, l'entièreté ? Non je garde mon caleçon, simplement pour te faire chier. La mini jupe est enfilé et je te regarde en haussant un sourcil. «  Faut bien avouer que tout me va. » C'est un peu un mensonge, mais c'est parce que personne ne peut le savoir, même si j'ai un million de fringues, je garde le même style. Je recule doucement jusqu'à la porte de la chambre avant de sourire. « Et maintenant, je retourne cuisiner et t'ignorer. » Je me tourne pour partir en remuant volontairement mon fessier. C'est un appel pour me suivre, parce que tu sais que je ne suis pas le roi de la communication. Peu importe le moyen, que ce soit à l'écrit, à l'oral ou même physique, mon langage est terrible et c'est ce qui nous bloque. Je retourne donc cuisine rajoutant un peu de piment dans le plat, j'oublie parfois qu'on n'est pas tous aussi insensible, mais Axel connait ma cuisine après tout. « Hm ! Tu veux un verre de vin encore ? » Il n'y a jamais assez d'alcool, surtout quand toi et moi on sait qu'on va encore dérapé, rien que la mini jupe me le cri. Toi et Lui ici et maintenant. J'ai surement déjà trop bu.

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