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A découvrir Novembre : il est encore temps de créer une petite embrouille de famille pour économiser les cadeaux de Noël sans passer pour un radin / Dexter
@ Invité
« TAXI ! »
La grand-mère à mes côtés – je suis méchante cette femme doit avoir 50 piges, c'est tout, mais elle s'est vieillie en oubliant de mettre du blush et avec un anticernes qui file – sursaute en se disant sans doute que pour une jeune femme aussi mince j'ai un sacré coffre.
On a toutes un secret, j'imagine.
Du coup je lui vole son taxi sous le nez, disparais dedans dans un froufrou de tissu cher, et claque la portière juste à temps pour éviter 1 : sa protestation, 2 : d'y prendre les longueurs de ma robe, ce qui serait bien dommage.
« Au Scarlet, vous connaissez ? »
Le pakistanais derrière le volant acquiesce, et j'ai un bref sourire sec, avant de checker mon maquillage, complétant :
« Je risque d'être en retard, alors je compte sur vos capacités de pilote ! »
J'ai eu de la chance, j'arrive pile à l'heure, ce qui me plaît toujours pour un rendez-vous professionnel ; je n'ai pas trouvé grand-chose sur le type que je dois rencontrer, mais le peu que j'ai trouvé était significatif.
J'ai trouvé en vrac un avis de décès, des rumeurs sur la mafia, et un vague parfum de scandale ; prudence, donc, et arriver à l'heure en fait partie...
Perchée sur des bottes Jimmy Choo qui valent un mois de salaire facile, j'arrive devant le Scarlet, les pans de mon manteau long voletant autour de moi : je me tiens chaud au stress et à la course.
« Monsieur Sciarra ? Liberty Campbell. »
Je lui tends la main, décoche un sourire :
« Enchantée de vous rencontrer ! »
La grand-mère à mes côtés – je suis méchante cette femme doit avoir 50 piges, c'est tout, mais elle s'est vieillie en oubliant de mettre du blush et avec un anticernes qui file – sursaute en se disant sans doute que pour une jeune femme aussi mince j'ai un sacré coffre.
On a toutes un secret, j'imagine.
Du coup je lui vole son taxi sous le nez, disparais dedans dans un froufrou de tissu cher, et claque la portière juste à temps pour éviter 1 : sa protestation, 2 : d'y prendre les longueurs de ma robe, ce qui serait bien dommage.
« Au Scarlet, vous connaissez ? »
Le pakistanais derrière le volant acquiesce, et j'ai un bref sourire sec, avant de checker mon maquillage, complétant :
« Je risque d'être en retard, alors je compte sur vos capacités de pilote ! »
J'ai eu de la chance, j'arrive pile à l'heure, ce qui me plaît toujours pour un rendez-vous professionnel ; je n'ai pas trouvé grand-chose sur le type que je dois rencontrer, mais le peu que j'ai trouvé était significatif.
J'ai trouvé en vrac un avis de décès, des rumeurs sur la mafia, et un vague parfum de scandale ; prudence, donc, et arriver à l'heure en fait partie...
Perchée sur des bottes Jimmy Choo qui valent un mois de salaire facile, j'arrive devant le Scarlet, les pans de mon manteau long voletant autour de moi : je me tiens chaud au stress et à la course.
« Monsieur Sciarra ? Liberty Campbell. »
Je lui tends la main, décoche un sourire :
« Enchantée de vous rencontrer ! »
@ Invité
Il a un rendez-vous. Ca arrive, mais ça ne le passionne pas de s'occuper du côté social du Casino. Pourtant, sa mère y tient, parce qu'elle n'a pas le temps de le faire, et aussi parce qu'il faut que l'établissement renvoie une image positive. Une espèce d'écran de fumée pour éviter que qui que ce soit ait envie d'y mettre son nez. Alors il se plie aux demandes de sa mère et se charge de toutes ces choses qui, en plus, le dépassent un peu.
Il a rendez-vous avec Liberty Campbell, qui envisage visiblement de venir faire le show ici. C'est une bonne chose, et Dexter espère qu'elle aura suffisamment d'idées pour qu'il n'ait pas trop besoin de réfléchir - son côté évènementiel n'étant que très peu développé.
Elle arrive pile à l'heure, et Dexter lui serre la main tendue en lui offrant un sourire qui se veut aimable - les seuls sourires qu'il est capable de fournir en ce moment.
- Bonjour Madame Campbell. Enchanté également, et bienvenue au Scarlet. Je vous offre à boire ?
@ Invité
Je détaille le type qui m'accueille et qui d'après ce que je sais, est le fils des propriétaires des lieux. Ou de la propriétaire. J'ai une vie chargée en ce moment alors je n'ai eu le temps que de récupérer des infos parcellaires ; en tout cas il est plutôt beau gosse, il a surtout un joli regard, suffisamment bien fringué, et il a l'air d'avoir envie d'être ailleurs.
Je ne lui en veux pas.
On ne peut pas tous être passionnés par l'organisation de soirées comme c'est mon cas, c'est certain, et mieux ça m'arrange c'est comme ça que j'ai du taf.
« Oh juste de l'eau pétillante si vous avez ! »
Je tiens à garder toute ma tête et... je tiens ridiculement peu l'alcool donc je vais éviter de laisser une impression étrange à un potentiel employeur, j'ai pas mal besoin d'argent en ce moment – j'en suis à ce moment stressant où je ne sais pas si je vais réussir à payer le loyer le mois prochain ou pas.
Et si je peux pas Isobel va m'arracher la tête.
« Alors, je suis venue avec un plan de bataille », je ris légèrement, m'avançant dans les lieux en les checkant du regard.
Si j'ai bien une idée assez précise de ce que je veux faire, parce que j'ai d'abord cherché des contacts et ensuite le lieu, je n'ai pas trop détaillé à quoi ça ressemblerait puisque je ne savais pas comment serait la salle.
« Oh ça serait parfait. »
Je volte sur mes talons :
« Vous aimez le burlesque monsieur Sciarra ? »
Je ne lui en veux pas.
On ne peut pas tous être passionnés par l'organisation de soirées comme c'est mon cas, c'est certain, et mieux ça m'arrange c'est comme ça que j'ai du taf.
« Oh juste de l'eau pétillante si vous avez ! »
Je tiens à garder toute ma tête et... je tiens ridiculement peu l'alcool donc je vais éviter de laisser une impression étrange à un potentiel employeur, j'ai pas mal besoin d'argent en ce moment – j'en suis à ce moment stressant où je ne sais pas si je vais réussir à payer le loyer le mois prochain ou pas.
Et si je peux pas Isobel va m'arracher la tête.
« Alors, je suis venue avec un plan de bataille », je ris légèrement, m'avançant dans les lieux en les checkant du regard.
Si j'ai bien une idée assez précise de ce que je veux faire, parce que j'ai d'abord cherché des contacts et ensuite le lieu, je n'ai pas trop détaillé à quoi ça ressemblerait puisque je ne savais pas comment serait la salle.
« Oh ça serait parfait. »
Je volte sur mes talons :
« Vous aimez le burlesque monsieur Sciarra ? »
@ Invité
Et aussi parce que cette dose de travail que l'on met à sa charge lui change les idées.
Il claque des doigts pour que quelqu'un apporte une petite bouteille d'eau pétillante, ce qui est fait en moins de temps qu'il en faut pour le dire. Il comprend pourquoi les gens peuvent aisément prendre l'habitude - et le goût - de ce mode de vie où tout est à portée d'un geste de la main.
Il la laisse observer les lieux et croise les bras, penchant un peu la tête pour détailler ses mouvements.
- J'aime le Burlesque, oui. C'est ce que vous envisagez de faire ici ?
@ Invité
J'accepte le verre d'eau pétillante diligemment apporté, appréciant le service et me disant que ça sera toujours utile pour une soirée digne de ce nom – une de celles dont je serais fière de l'organisation quoi ! Je me tourne à demi vers le type en me demandant s'il me matte ou pas, d'une manière parfaitement automatique – je fais tout pour être mattée en permanence – et souris ; c'est qu'il est intelligent en plus d'être beau garçon !
« Oui ! A vrai dire ça ne serait pas prendre trop, trop de risques, le genre est en vogue en ce moment, et ça draine pas mal d'attention. En plus ça perd de son côté trop subversif pour gagner quelques têtes en plus tout en restant suffisamment coquin pour ne pas perdre le marché de ceux qui veulent vraiment se rincer l'oeil. »
Je souris, espérant faire bonne impression et de montrer que je m'y connais un peu et que je ne suis pas juste une dinde écervelée – je sais que j'ai tendance à passer pour ça très facilement.
« Est-ce que ça vous intéresserait ? C'est vous qui décidez au final. »
J'ai un battement de cils, charmeuse.
« Oui ! A vrai dire ça ne serait pas prendre trop, trop de risques, le genre est en vogue en ce moment, et ça draine pas mal d'attention. En plus ça perd de son côté trop subversif pour gagner quelques têtes en plus tout en restant suffisamment coquin pour ne pas perdre le marché de ceux qui veulent vraiment se rincer l'oeil. »
Je souris, espérant faire bonne impression et de montrer que je m'y connais un peu et que je ne suis pas juste une dinde écervelée – je sais que j'ai tendance à passer pour ça très facilement.
« Est-ce que ça vous intéresserait ? C'est vous qui décidez au final. »
J'ai un battement de cils, charmeuse.
@ Invité
Il commande un verre, lui aussi. D'eau. Ce qui est assez surprenant, mais il est tôt. Il n'est pas question qu'il commence à s'alcooliser dès cette heure avancée du matin ; même si l'alcool est son meilleur ami en ce moment, il n'a pas l'intention de sombrer dans l'alcoolisme. Il avale une gorgée, et suit Liberty Campbell qui s'imprègne des lieux.
- Vous connaissez votre sujet, à ce que je vois. En tout cas, le Burlesque est une idée qui me plait, et je fais faire confiance à votre grande expertise sur le sujet, qui est sans aucun doute bien plus développée que la mienne sur ce qui est de l'organisation de ce type de soirée.
Le burlesque, voilà quelque chose qu'il imagine sans aucune difficulté au Casino. Un spectacle pareil, qui sera offert à la vue de clients habituels mais non VIP, qui n'ont donc pas accès aux sous-sols sombres et encanaillants de l'établissement, ne fera que renforcer la réputation mystique dont est affublé le Casino au dehors. Il aime assez l'idée - et il sait qu'elle plaira aussi à Ornella, même si c'est le cadet de ses soucis.
- Ca m'intéresse, donc, vous l'aurez compris. Il y aura des aménagements à faire ?
Pour sa part, il aime assez l'idée d'une soirée burlesque. Elle lui rappellera certaines festivités de San Francisco, sans doute. Un autre monde, un peu de fantaisie, de douceur, d'ailleurs.
- Quel budget je dois débloquer ?
@ Contenu sponsorisé
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