[TC] EXPO + FUTURO-PERSPECTIVE +
@ Invité
++ FUTURO-PERSPECTIVE ++
TOPIC COMMUN
A l'entrée de cette zone il y a ce poster géant d'Ekka et des dieux Jumeaux. La couverture du N!N de novembre 2008. J'en été plutôt fière à l'époque. je n'ai jamais été du genre à m'extasier devant mon travail cependant. Pas le temps de regarder en arrière quand il y a encore trop de choses à cracher sur le papier. Avant d'être de l'art c'est surtout un exutoire pour moi, encore aujourd'hui... presque 30 ans après. Peut-être que c'est là que je me rends vraiment compte du temps qui s'est écoulé, que des millier de pages s'empilent dans mon dos. Certains découvre et moi, je redécouvre. Je lève les yeux vers l'entité divine au corps mécanique. Ekka, immortelle créature de metal, de chair synthétique et de plastique... Son visage est le masque d'un enfant, grandiose, me fixant sans ciller du haut de ses 2 mètres. C'est presque trop petit encore bien que les divinités m'écrasent de leur présences iconiques.
Je sais que LOG n'a jamais été une oeuvre destinée à un large public, sans doute parce que ça n'a jamais été dans mon intention de séduire avec cette histoire... ces histoires devrais-je dire. Combien de vies me faudrait-il pour en parvenir à bout de cette fable ? Ce sera sans doute un monde inachevé... aussi vaste que l'infinie, condensé pourtant en de si fragiles morceaux de papiers disparates. L'essence est réunie ici aussi bien qu'on peut le faire pour un fleuve de 1342... 1343 chapitres dont la forme n'a jamais été des plus structurées. Ce chiffre il me paraît étrange, presque irréel à moi aussi. Tout ça, ces planches jaunies, ces carnets plein de notes incompréhensibles et de gribouillages hasardeux, ces numéros délavés de N!N, ces illustrations et ces bouts de nappes, ce sont presque des reliques maintenant.
Plonger la tête la dedans ce serait comme m'y perdre. J'ai eu beau cartographier et recenser il y a toujours des détails qui m'échappent. Je pourrais dire que je me sens citoyenne du "POLE" moi aussi, du moins lorsque je ferme les yeux et que mon esprit s'évade de mon corps physique. Ce sentiment étrange d'appartenir à ce monde... ça pourrait sembler un peu dingue. Ça m'arrache un sourire. Après tout n'ai-je pas dérivé jusqu'à la camisole un temps... Je suppose que chacun à son monde intérieur, le mien ne fait que jaillir de façon intempestive. Je n'ai pensais pas vraiment que je le verrais s'étaler ainsi un jour. Katya et moi, sommes nous satisfait ? Je ne sais pas trop, j'ai toujours du mal à définir exactement ce que je ressens.
Quelques mots devraient suffire. Bien que je sois conférencier je ne me considère pas comme un orateur de talent, surtout lorsqu'il s'agit de parler de mon travail personnel. Ne l'ai-je pas déjà dit ? Les intentions derrières ma propre création me sont particulièrement opaques. Je laisse le soin à d'autres de décrypter, d'interpréter. Ma vision même de ce récit n'en est qu'une parmi tant d'autres. Mais voilà, il faut bien faire preuve d'un peu de savoir vivre. Il y plus de monde que je ne pensais même si cela ne m'inquiète pas plus que ça.
"Bons... oir" le son du micro est un peu grossier, il en faut plus pour me brusquer. Je lâche un sourire tranquille, celui tinté d'autodérision qui va de paire avec un matériel défaillant. "hum" Je tente de nouveau en essayant d'être plus intelligible cette fois-ci, espérons que le micro se montre conciliant. "Bonsoir. Bonsoir à tous." On dirait que j'ai réussi à le dompter. "Pour ceux qui sont là par hasard, ou juste pour boire du champagne à l'oeil... Pas de jugement, je faisais pareil, avant... Je veux dire, il y a 6 mois." Je ne sais pas trop ce que ça donne, mais je suis ainsi mon ton frôle généralement un peu l'irrévérence avec trop de calme et une grosse étendue de sérieux. Certains n'ont jamais compris quand je faisais de l'humour apparement.
"Je suis donc Robert McMuffin." C'est écrit à l'entrée et sur wikipedia avec une photo moche en légende, les gens sont assez intelligent pour faire le rapprochement, je suppose. "Et je vais faire court, rassurez-vous." Je fais une pause juste pour le plaisir. Mettre à l'aise ça non plus je n'ai pas de talent particulier pour ça. "Merci d'être ici ce soir. Et merci aux bénévoles qui ont donné de leurs temps pour mettre en place cette exposition. Je ne pensais pas que de vieilles photocopies au fond des tiroirs de certains, ils se reconnaitrons, auraient tant d'importance un jour. Si vous ne savez pas, j'ai la main lourde lorsqu'il s'agit de faire du vide. Merci à vous d'avoir gardé tout ça pour moi." Je sais que ceux qui me sont proches et qui ont participé à l'élaboration de l'expo savent très bien à quoi je fais référence. Retrouver les planches d'avant 2010 n'a pas été des plus simples avec ma façon expéditive de me débarrasser d'à peu près tout. Heureusement que les archives et les collectioneurs privés existes...
"Avant de vous libérer, une dernière info. Le dernier chapitre est disponible gratuitement ici-même. Une fois n'est pas coutume, vous pouvez aussi acheter l'édition complète. L'intégralité de l'argent collecté sera reversé au centre. Conformément à ma philosophie je vous recommande chaudement de partager, de scanner, de recopier et de divulguer gratuitement et scandaleusement comme bon vous semblera. Je ne vous ferais pas de procès. Passez une bonne soirée, et si vous avez des questions, vous n'avez qu'à lire les descriptifs." je hausse les sourcils et repose le micro. C'est étrange. Ce n'est pas mon premier vernissage, pas mon premier discourt non plus mais cela me paraît si peu familier d'être au centre de cette attention. Il y a toujours un peu d'orgueil dans le fait de s'expliquer, ça m'a toujours dérangé quelque part. Suffisamment pour rater mon diplôme en tout cas. Tandis que la foule s'éparpille je vole une coupe de champagne sur le premier plateau qui passe. Je suis plus à l'aise avec le fait d'être un peu pique-assiette il faut croire.
+++ Plus sérieusement, LOG c'est quoi en vrai ? +++
LOG est un Roman graphique de Science-Fiction s'inscrivant dans le courant Cyberpunk. Sa première parution date de 1993 dans le magazine indépendant et underground N!N, dont il est une des sagas les plus emblématiques de la décennie 90'. Délire expérimental à mis chemin entre bande dessiné, journal personnel et oeuvre d'art LOG propulse son lecteur plusieurs siècles dans le futur.
Dans cet univers bien que la terre soit toujours la planète où réside la grande majorité de l'humanité celle-ci n'a plus grand chose de commun avec ce que nous connaissons. Les continents et les états ont muté depuis longtemps, tandis que l'homo-sapiens a laissé place à l'homo universalis. L'humanité 2.0 vit sur un vaisseau planète endormie, dans une semi indifférence quant à son passé. Le XXIème siècle semble être vu comme une antiquité enterrée dans la galaxie où elle a pris fin.
Segmenté en plusieurs arc narratifs LOG décline son récit au travers de plusieurs personnages dont les contextes culturels, géographiques et temporels diverges. Certains arcs s'apparentent à des oeuvres secondaires se permettant d'explorer d'autres styles graphiques et narratifs. "la Genèse selon Ekka" se présente par exemple comme une épopée mythologique mettant à scène la naissance d'une nouvelle religion mêlant science et mysticisme.
On parle plus facilement des histoires que de l'histoire. Une pluralité qui permet surtout le développement et le questionnement sur de nombreux thèmes qui agitent les protagonistes et régissent ces sociétés futuristes. Si certains chapitres se contentent de décrire des alternatives à nos sociétés actuelles avec un certain pragmatisme, d'autres tendent d'avantage vers la réflexion philosophique. Il y a plus matière à penser que de réponses. L'existence même y est principalement dépeinte comme un rêve labyrinthique, une errance dépourvue de véritable logique autre que fictive et induite par un contexte global.
De façon plus prosaïque on trouve également des idées récurantes qui traversent l'oeuvre et s'érigent comme toile de fond.
On remarquera l'absence récurrente de définition stricte de genre. La technologie et les lois sur la procréation assisté ont libéré le corps féminin de ses attributions biologiques. De même la démocratisation des modifications et des améliorations physiques rendent obsolètes les distinctions. L'être humain est rendu stérile par défaut et ne peut accéder à la parentalité seulement s'il en fait une demande administrative. La gestation et la manipulation génétique y sont vu que comme de simples services. On notera que très peu de personnages sont identifiés comme masculin ou féminin, chacun se déterminant par d'autres attributs.
Dans LOG l'état et l'entreprise fusionnent souvent en une unique entité qui a une énorme emprise sur ses citoyens. Celui-ci y est à la fois anecdotique et surpuissant, un engrenage autant qu'un individu purement égocentrique, indubitablement solitaire. Il n'y a fatalement que les sociétés ayant fait le choix de demeurer archaïques qui réchappent, en partie seulement à cette forme l'éclatement des anciennes valeurs. Les puissants du monde sont autant de gourous invisibles que conseils d'administrations régit par des intelligences artificielles et représentés par des pantins digitaux.
La question de l'intelligence artificielle y est abordé comme une nouvelle forme d'humanité. La machine cherchent à faire valoir des émotions régies par des calculs quand les corps organiques eux, en viennent a rejeter tous sentiments, s'anesthésiant via des drogues synthétiques. S'y croise également une approche plus mystique, la recherche de l'immortalité avec des figures divines purement mécaniques et extraterrestres. Le grand plan calculé s'opposant à l'absurde et l'ignorance humaine.
Passant de l'abondance à l'abandon, LOG est une sorte de voyage temporel tantôt mélancolique tantôt violant cherchant à abolir les frontières entre angoisse existentielle et espoir indicible.
+ ARCS PRINCIPAUX +
> Le POLE
- Les travailleurs du continent fantôme
- Les Imposteurs
> Les Nouveaux Dieux
- La genèse selon Ekka
- Théorie sur les Dieux Jumeaux
> Les enfants
- Adieux aux ignorants
- metaphases
> La cité perdue
- L'arène
- Trash
> Le paradoxe binaire
- Usure et Chaos
- La hyène qui ne savait pas rire
+ ATMOSPHERE & UNIVERS GRAPHIQUE +
Outre des un découpages classique empruntant à la bande dessiné, les chapitres sont entrecoupés par des notes, des citations, des croquis agrémentés d'explications sur les détails de l'univers. On y trouve également nombre de paysages et d'illustrations pleine page décrivant visuellement les lieux et les personnages. C'est un mélange de techniques : dessin noir et blanc, peintures, encres, feutre et collages. Chaque lieux a son identité propre se reconnait par son identité propre.
Le POLE, vide et silencieux n'est qu'un camaïeu de gris délavés et est caractérisé par une architecture grandiose, imposante, quadrillé et répétitive sombrant dans le brouillard et un lent délabrement. Inversement, la cité perdue est une ville grouillante avec des couleurs et des contrastes francs. En grande partie immergés ce n'est qu'un enchevêtrement de tunnels et de canalisations biscornues qui s'enfoncent de la surface jusqu'aux profondeurs abyssales par strates successives.
Le plein et le vide sont deux concepts forts, l'humain est perpétuellement écrasé par l'immensité ou perdu dans l'aspect labyrinthique qui se dégage. Le jeu de reflets plus ou moins difformes est omniprésent.
@ Invité
Esteban et la science fiction c’est une histoire d’amour qui ne se finit pas. Aussi, c’est sans grande surprise qu’il a traîné son meilleur ami Tristan à la conférence / vernissage de Robert McMuffin. Passionné par les univers dystopiques, le bouclé fait part d’un enthousiasme qui fait plaisir à voir au vu des humeurs du moment. Il n’est pas idiot, il sait que Tristan l’accompagne uniquement pour lui faire plaisir. Malgré des arguments convainquants, la pianiste n’a effectivement jamais terminé la première saison de Black Mirror, ce qui en dit long sur son appréciation de ce type d’univers. Este n’abandonne pas cela dit, et pour remercier Tristan de se dévouer pour venir avec lui, il fait son maximum pour se vider la tête et ne pas laisser les mauvaises pensées polluer son esprit.
La conférence est un peu moins accessible qu’il se l’était imaginé, et Esteban offre un regard désolé à son ami avant de tenter de vulgariser ce qu’il vient d’entendre pour que Tristan ne le déteste pas de lui avoir fait subir les excentricités d’un artiste un peu barré.
- C’est du cyberpunk pur et dur en fait. C’est de ce genre que s’inspire Black Mirror par exemple, ou des films comme Matrix... Bon tout ce que tu détestes je sais, mais dois-je te rappeler que Jonathan Groff va faire partie du cast du prochain Matrix ?
Este n’a jamais caché son petit faible pour les comédiens de Broadway. Et selon lui Jonathan Groff est une raison suffisante pour l’accompagner voir Matrix, il en est persuadé. Il a beau n’avoir aucune certitude quant à l’orientation sexuelle de Tristan, il a comme l’impression que ce crush est partagé cela dit.
- Anyways, l’idée c’est d’imaginer un futur où les technologies prennent le contrôle dans la société. C’est super nihiliste et pessimiste par nature. On fait un peu peu un parallèle entre l’humain et l’ordinateur, on déshumanise, le tout dans une ambiance graphique futuriste avec beaucoup de noir de violet et de cyan d’ailleurs... Ici je pense que la critique est centrée sur l’administration, comment celle-ci informatise tout et uniformise les gens qui deviennent alors comme des robots, voués à bien rentrer dans le moule.
Esteban espère vraiment qu’il n’est pas en train de perdre son ami, que son explication fait sens même s’il s’emballe un peu trop rapidement lorsqu’il s’agit de son genre préféré. S’il avait voulu cacher son côté nerd, pour le coup ce serait raté !
- Ce que je trouve vraiment cool Ici, c’est que contrairement au genre de base qui est très volontairement masculin, (et critiqué pour ça), McMuffin essaye de jouer un peu avec la représentation du corps et de l’identité de genre. Ses personnages sont quelque part entre les deux. Ils sont représentés par d’autres attributs plus caractéristiques de ce qu’ils sont et ça ça change de ce qu’ont voit d’habitude.
Este parcoure l’exposition avec un plaisir un peu coupable. Il est content que Tristan soit là pour partager ses passions, mais il n’a pas envie qu’il le trouve ennuyeux non plus. Alors il se tait et lui offre une tape amicale dans le dos alors que tout ce dont il a envie pourtant, c’est de lui prendre le bras tendrement pour continuer leur exploration de l’expo.
- Enfin bref, c’est un univers graphique que j’adore, désolé si je parle trop. J’espère que tu ne me détestes pas de t’avoir traîné ici ! Ta mère aurait adoré ce thème pour un de ses escape games...
- Résumé:
Esteban a traîné son meilleur ami @Tristan Hastings à l'exposition, mais se rend compte que le contenu n'est pas forcément accessible pour les gens qui ne sont pas familiarisés avec le genre. Il entreprend alors d'expliquer / vulgariser le genre Cyberpunk pour son ami. En gros j'ai fait un petit résumé de ce qu'à expliqué Katya si ça peut aider tout le monde à rebondir plus facilement sur le sujet !
@ Invité
Quand elle se regarde dans le miroir, Jules se dit qu'elle n'est pas elle même, mais lorsqu'elle est au LGBT Center, elle ne veut pas spécialement montré qu'elle a de l'argent -même si ça se sait forcément-, mais aujourd'hui elle a une tenue des plus basique pour pouvoir aller au vernissage de Robert McMuffin. Elle voudrait être discrète parfois, mais elle a l'impression que le fait qu'elle a de l'argent clignote au dessus de sa tête, elle n'en a jamais été dérangé mais quand elle est au centre, elle aimerait qu'on la prenne pour Jules -simplement Jules- plutôt que Jules qui a de l'argent. Quoiqu'il en soit elle saute dans son taxi pour se rendre au vernissage pour ne pas attirer l'oeil sur elle, ce n'est pas le but. Elle donne un pourboire trop important au chauffeur et s'étire en sortant avant de rentrer, elle retrouve certains bénévoles qu'elle salue et elle cherche Debbie du regard mais elle ne la voit pas, elle doit être cachée quelque part. Une main dans ses cheveux, elle reste dans un coin pour écouter le discours de Bob avant de taper dans ses mains quand tout est terminé. Elle récupère tout de même une coupe de champagne qu'elle commence à siroter en attendant de voir des gens qu'elle connaît.
- Spoiler:
Jules arrive au vernissage, cherche @Debbie Sinclair du regard et sirote du champagne en essayant de trouver quelqu'un qu'elle connait.
@ Invité
T’aimes beaucoup le LGBT center. Tu te sens bien entre ces murs et t’avais rien de prévu aujourd’hui. T’es pas spécialement venu pour l’expo mais ça fait une bonne chose à faire en plus que de simplement squatter le café. Ca va te permettre de voir d’autres têtes. T’es sûr qu’il n’y aura pas le même public. T’es quelqu’un de très curieux de base et t’espères que cette expo va t’apporter quelque chose. T’aimes quand tu apprends des nouvelles choses dans tes journées. Pas sûr que tu te souviennes de tout, mais y’a toujours un petit quelque chose, un fun fact ou quoi qui reste bien ancré dans ta tête.
Quand tu entres dans l’espace réservé à la galerie, c’est le moment où y’a quelqu’un qui prend la parole au micro. Tu te fais assez discret alors que tu cherches des yeux l’endroit pour choper un verre gratuit. Tu le trouves, tu t’approches. « Pour ceux qui sont là par hasard, ou juste pour boire du champagne à l’oeil… » Tu souris en l’entendant et du coup tu t’arrêtes dans ta lancée, tu te tournes pour écouter avec toute ton attention. « …et si vous avez des questions, vous n'avez qu'à lire les descriptifs. »
Ca te fait grave rire cette dernière note. « Et si vous avez des questions j’en ai rien à foutre, lisez les notes. » Tu te tournes vers la table qui est juste derrière toi en commentant à voix haute envers le gars qui est à côté. Tu chopes une coupe de champagne parce que c’est tout ce qui a l’air d’être dispo. T’aurais préféré un cocktail bien sucré mais bon, ça fera l’affaire. C’est gratuit.
- Spoiler:
Angel se pointe au moment du discours, il cherche l'alcool gratuit et il fait un commentaire à @Samir Mc'Gregor-Mills sur la dernière phrase du discours, le tout en chopant une coupe de champagne.
@ Invité
Tristan n'aime pas la science fiction. En tout cas, pas la science fiction dont il est témoin aujourd'hui, celle dont Este, lui, raffole. Lui il préfère les choses réalistes, actuelles, et moins déprimantes, surtout. Savoir qu'on vivra dans quelques années dans un monde semblable à celui de 1984 ne l'enchante pas plus que ça, il n'a donc jamais décidé d'en faire un de ses loisirs. C'est là bien une chose qui les sépare, Esteban et lui, car son meilleur ami adore ce genre de choses. Et il a bien essayé de refuser de le suivre dans l'embuscade tendue pour la journée, mais ce serait le méconnaître que de songer qu'il a réussi à opposer un refus à son meilleur ami. Il déteste l'idée de contrarier Este ; il a besoin de faire en sorte qu'il soit heureux, et c'est donc la raison pour laquelle il l'a gentiment suivi à une expo à laquelle il ne comprendra sans doute rien.
Le jeu en vaut sans doute la chandelle, car hormis le fait qu'il ne comprend évidemment rien à ce qu'il se passe ici, force est de constater qu'Este semble aller mieux que ces derniers jours. Il imagine donc que l'expo lui change les idées et que cette petite visite lui fait du bien, alors il tente de se montrer aussi ouvert que possible, et aussi attentif qu'il en est capable, ce qui n'est pas évident car il a joué la veille et que les lendemains de concerts sont toujours particulièrement compliqués.
- Hm, oui, c'est un bon argument.
Il parle de Jonathan Groff, évidemment, parce qu'en dehors de ça, il déteste le style. Mais bon, il faut parfois faire des concessions. Tristan suit Este, prêtant une oreille attentive à ce que lui explique son ami. Il acquiesce en entendant ses arguments - qu'il comprend, naturellement, il ne peut pas dire le contraire.
- J'aime bien quand tu parles des choses qui te passionnent...
Il sourit, et réalise bien rapidement qu'il a formulée cette phrase avec un peu trop de tendresse. A la limite de rougir, il se rattrape d'une blague lancée un peu maladroitement.
- Enfin j'ai quand même du mal à suivre, tu m'excuseras.
Il essaye de rire un peu, se demandant pourquoi il a besoin d'être si maladroit et si coincé. Avec les parents qu'il a, il aurait au moins pu avoir le bénéfice d'un peu de détente.
- Et non, je ne te déteste pas. Je veux bien continuer. Par contre, si tu mets dans la tête de ma mère l'idée d'un autre escape game, là je risque de l'avoir mauvaise. Déjà qu'elle est en train de planifier celui sur la mythologie...
@ Invité
Adorant aider son prochain et aimant découvrant de nouveaux horizons, il avait accepté avec grand plaisir de donner un coup de main au centre LGBT+ lorsque ce dernier avait parler d’organiser une exposition de quelqu’un écrivant une bande dessinée et affichant des tableaux aux murs.
Il trouvait ça super intéressant malgré qu’il doive bien admettre qu’il n’y connaissait rien. Cet univers n’était pas le sien et ne correspondait pas au type de lecture qu’il pouvait lire. Et pour être tout à fait honnête, il ne connaissait pas l’auteur ou l’autrice avant de faire cette exposition, mais il allait s’intéresser à son œuvre.
Surtout que le discours de la personne le faisait mourir de rire même pour quelqu’un comme lui ayant grandi avec une quantité phénoménale d’argent. Surtout que certains membres de sa famille étaient dans l’édition, autant dire que ce genre de discours aurait fait hurler certains de ses proches. Mais lui s’en moquait pas mal, le monde de l’édition n’était pas le sien et il allait adorer découvrir l’univers de cette personne.
Mais le discours allait bientôt finir alors il se déplaça discrètement vers le buffet pour éviter la foule qui allait affluer sitôt le discours finit attrapant au passage le commentaire d’un jeune homme. Je pense que tu résumes très bien ce que voulait dire cette personne. Je dirais presque que vous êtes clairvoyant.
Il lui fit un clin d’œil avant de lui tendre la main. Samir Mc’gregor-Mills, mais on m’appelle Sam généralement c’est bien plus court et moins chiant. Et vous ? Peut-être que Samir était un peu trop pompeux lorsqu’il se présentait, mais il était bien trop vieux pour changer. Vous faites partie du centre ou fan de cet univers ? Prenant une coupe de champagne, il attendit la réponse de son interlocuteur curieux de le connaitre.
Il trouvait ça super intéressant malgré qu’il doive bien admettre qu’il n’y connaissait rien. Cet univers n’était pas le sien et ne correspondait pas au type de lecture qu’il pouvait lire. Et pour être tout à fait honnête, il ne connaissait pas l’auteur ou l’autrice avant de faire cette exposition, mais il allait s’intéresser à son œuvre.
Surtout que le discours de la personne le faisait mourir de rire même pour quelqu’un comme lui ayant grandi avec une quantité phénoménale d’argent. Surtout que certains membres de sa famille étaient dans l’édition, autant dire que ce genre de discours aurait fait hurler certains de ses proches. Mais lui s’en moquait pas mal, le monde de l’édition n’était pas le sien et il allait adorer découvrir l’univers de cette personne.
Mais le discours allait bientôt finir alors il se déplaça discrètement vers le buffet pour éviter la foule qui allait affluer sitôt le discours finit attrapant au passage le commentaire d’un jeune homme. Je pense que tu résumes très bien ce que voulait dire cette personne. Je dirais presque que vous êtes clairvoyant.
Il lui fit un clin d’œil avant de lui tendre la main. Samir Mc’gregor-Mills, mais on m’appelle Sam généralement c’est bien plus court et moins chiant. Et vous ? Peut-être que Samir était un peu trop pompeux lorsqu’il se présentait, mais il était bien trop vieux pour changer. Vous faites partie du centre ou fan de cet univers ? Prenant une coupe de champagne, il attendit la réponse de son interlocuteur curieux de le connaitre.
- Spoiler:
- Samir parle avec un inconnu @Angel Luna-Mendez en se servant un verre de champagne complètement perdu.
@ Debbie Sinclair
Pseudo : tara
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : en théorie, 1 fois par semaine
Multinicks : Jessica Doyle / Madison Reed
Avatar : nicola coughlan + nocreativejuiceleft (avatar) + plume (gifs) + aeairiel (code) + dolly parton (lyrics)
Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
Debbie n'est pas une fan de science-fiction, de dystopie ou de space opera rock fantasy, peu importe le genre qui définit le travail exposé ce soir. Elle aime Dolly Parton, les comédies musicales et la télé-réalité. Et elle l'assume pleinement.
Toutefois, la blondinette est une personne cultivée et ouverte d'esprit, aussi sait-elle apprécier la résonance culturelle et philosophique que peut avoir ce genre d'oeuvres, notamment au sein d'une communauté marginalisée et opprimée comme la leur. Et elle est toujours partante pour soutenir les artistes LGBTQ+. Et, plus important encore, Debbie sait dresser un joli buffet et où commander du champagne en gros qui ne coûte pas trop cher. Les vraies qualités recherchées chez les bénévoles du Centre, en vérité.
Elle applaudit donc avec enthousiasme à la fin du discours, appréciant la petite touche rebelle d'un artiste invitant ses fans à voler et plagier son oeuvre à souhait. Ca, c'est punk. Du moins, c'est l'idée que Deborah Taylor Maribelle Sinclair se fait du punk et elle n'a pas exactement tort. La blonde s'approche d'un serveur pour s'emparer d'une coupette, au même instant que l'artiste lui-même. Pas gênée pour un sou de ne le connaître que de nom, elle lui sert un franc sourire et en oublie de prendre un verre. « Oh, bonsoir! Félicitations pour l'expo, c'est pas du tout mon domaine, mais c'est chouette. » Critiquement hautement constructive et approfondie des années de travail que McMuffin a mis dans le summum de son art. « Et merci pour vos dons au Centre, on pourra faire plein de choses! » Debbie ne sait pas exactement quels sont les fonds des gros fans de SF, mais elle ne doute pas que quelques dollars seront amassés.
De loin, elle aperçoit alors Jules, champagne à la main et tenue faussement décontractée au rendez-vous bien sûr. « Enfin, bref, je vous laisse. Encore bravo et à bientôt. » Elle s'approche ensuite de sa camarade du Centre et lui adresse un sourire taquin. « Alors comme ça, on se pointe pour la fête et pas pour porter des tables? Je te reconnais bien là princesse. » Pour la forme, elle rit et lui donne un léger coup de coude dans les côtés, sa manière toute délicate de lui faire savoir qu'elle plaisante. Toujours subtile Debbie.
- résumé:
Debbie n'y connaît rien en SF mais félicite quand même (maladroitement? ) @Katya McMuffin en oublie son champagne, puis abandonne l'artiste pour aller taquiner @Jules Ainsworth
@ Invité
Je pense que tu résumes très bien ce que voulait dire cette personne. Je dirais presque que vous êtes clairvoyant. T’avais chopé le regard du gars et t’es ravi de voir qu’il est d’accord avec toi. Ca t’aurais grave saoulé de tomber sur quelqu’un qui se serait outré pour un rien. Nope. Confirmation que y’a quand même beaucoup de gens bien au sein de ces murs tout le temps. Pour ça que tu t’y sens si bien. Tu ris un peu suite à sa phrase et il se présente. Samir Mc’gregor-Mills, mais on m’appelle Sam généralement c’est bien plus court et moins chiant. Et vous ? Tu serres sa main, une poigne assez ferme.
« Angel Luna-Mendez. » Tu dis Angel à l'anglaise, tu vas pas commencer à sortir ton accent espagnol. T'es américain, t'es en Amérique. Ca te fait bizarre de dire ton nom entier comme ça, mais t’as repris sa formulation. Habituellement t’es juste Mendez au boulot ou Angel avec tes amis quand ils ne t’affublent pas d’un surnom plus ou moins ignoble. Vous faites partie du centre ou fan de cet univers ?
« Je viens souvent au centre. J’ai absolument aucune idée de quoi parle cette expo ça a l’air assez… Spécifique. » Que tu dis alors que tes yeux se sont retrouvés un peu sur les oeuvres ici et là aux alentours. « Je lirai certainement les notes. » Ca te fait rire de revenir là dessus. « Ou je me ferai mes propres interprétations. J’ai beaucoup d’imagination. » C’est vrai en plus. Ton esprit est vif et tes rêves sont toujours de véritables histoires. Pas forcément des trucs positif, mais c’est à chaque fois digne d’un épisode d’une série télé. « Et toi ? »
- Spoiler:
- Angel se présente à son tour à @Samir Mc'Gregor-Mills avec qui il parle de sa présence ici en plaisantant au passage sur la remarque qu'il a fait un peu plus tôt.
@ Invité
Le jeune homme se présentant à son tour, Sam ne put retenir un rire amusé en voyant qu’il avait repris la même forme de présentation que lui. Ce qui était peu courant pour un jeune, mais amusant. Enchanté, je peux vous appeler Angel ? Préférant demander plutôt que de faire une bourde quoique son interlocuteur ait l’air ouvert d’esprit vu le tutoyant naturellement.
Je viens aussi souvent au centre, mais je ne t’ai jamais vu. C’est bizarre, mais nous avons déjà un point commun, on lira les descriptions. Un clin d’œil ponctua ses propos avant qu’il ne porte son verre à ses lèvres pour boire une gorgée de champagne. Je ne suis pas certain que faire ses propres interprétations soit possible vu la complexité du truc, mais on aura appris quelque chose en sortant d’ici.
Tu fais un métier en lien avec l’imagination ? Son interlocuteur avait précisé avoir beaucoup d’imagination, peut-être était-il auteur ou compositeur de musique ou encore artiste. Samir ne le connaissait absolument pas ne l’ayant jamais vu au centre après c’est vrai qu’il y passait moins ses derniers temps suite à ses soucis personnels.
Dans mon cas, je ne pense pas que je puisse compter sur mon imagination, mais avec les descriptions, ça ne doit pas être trop difficile à comprendre. Et au pire je reste près du buffet et je commente la qualité de la nourriture et du champagne. Quoique je n’aie pas goûté la première vue mon veganisme et que le second possède un goût horrible. Si je fais don d’un bon champagne, tu penses que j’aurais le droit à une réduction d’impôts ? Ses propos n’étaient bien entendus pas sérieux, enfin si, pour le goût du champagne mais pas pour le don. Ce qui était bien dommage sachant que son palais était habitué à bien mieux.
Je viens aussi souvent au centre, mais je ne t’ai jamais vu. C’est bizarre, mais nous avons déjà un point commun, on lira les descriptions. Un clin d’œil ponctua ses propos avant qu’il ne porte son verre à ses lèvres pour boire une gorgée de champagne. Je ne suis pas certain que faire ses propres interprétations soit possible vu la complexité du truc, mais on aura appris quelque chose en sortant d’ici.
Tu fais un métier en lien avec l’imagination ? Son interlocuteur avait précisé avoir beaucoup d’imagination, peut-être était-il auteur ou compositeur de musique ou encore artiste. Samir ne le connaissait absolument pas ne l’ayant jamais vu au centre après c’est vrai qu’il y passait moins ses derniers temps suite à ses soucis personnels.
Dans mon cas, je ne pense pas que je puisse compter sur mon imagination, mais avec les descriptions, ça ne doit pas être trop difficile à comprendre. Et au pire je reste près du buffet et je commente la qualité de la nourriture et du champagne. Quoique je n’aie pas goûté la première vue mon veganisme et que le second possède un goût horrible. Si je fais don d’un bon champagne, tu penses que j’aurais le droit à une réduction d’impôts ? Ses propos n’étaient bien entendus pas sérieux, enfin si, pour le goût du champagne mais pas pour le don. Ce qui était bien dommage sachant que son palais était habitué à bien mieux.
- Spoiler:
- Sam parle à @Angel Luna-Mendez en dégustant son champagne qu'il critique. Il propose de faire un don de bon champagne et blague en demandant s'il aurait une réduction d'impôt. Vouvoiement au début puis tutoiement en voyant qu'Angel le fait.
@ Invité
Jules aimait venir aider au LGBT center parce qu’elle se sentait utile, autrement qu’avec son compte en banque bien fourni. Elle se sentait utile parce que cela allait avec ses convictions, parce que ça lui permettait d’avoir un but à des moments précis de sa vie, et surtout, parce que ça lui permettait de se changer les idées quand son frère lui manquait plus que de raisons. Et puis surtout, ça lui permettait de voir des gens qui lui montraient que l’argent ne faisait pas tout. Parce qu’elle avait beau avoir un compte en banque bien rempli, elle avait beau avoir un comportement de princesse garce, elle n’était pas moins avide de contact en dehors du Gotha et des hypocrites que pouvait contenir le cercle. Elle rit un peu quand elle voit Debbie qui arrive et qui n’hésite pas à la taquiner sur le fait qu’elle n’était pas là pour la préparation. « J’avais peur de casser ma nouvelle manucure. » prononce t-elle en riant, avant de lui montrer ses mains absolument pas nouvellement manucuré. « Non, je n’ai pas pu me libérer, mais si j’avais pu, je serais venue pour monter les tables, tu sais bien que je ne loupe pas une occasion de venir aider. » Ou du moins elle essaye. « Tu veux une coupe ? Je vais te la chercher pour me faire pardonner. »
- Spoiler:
Jules discute avec @Debbie Sinclair avant de lui proposer une coupe
@ Invité
Enchanté, je peux vous appeler Angel ? Tu peux m’appeler comme tu veux gars. Parce qu’il est beaucoup trop charmant pour son bien. Tu hoches juste la tête pour toutes réponses, mais le sourire sur tes lèvres laisse sous entendre qu’il s’est passé un truc dans ta tête. Je viens aussi souvent au centre, mais je ne t’ai jamais vu. C’est bizarre, mais nous avons déjà un point commun, on lira les descriptions. Il te fait rire avec son commentaire. C’est bizarre et c’est dommage. Je ne suis pas certain que faire ses propres interprétations soit possible vu la complexité du truc, mais on aura appris quelque chose en sortant d’ici. T’as pas encore regardé de trop près. « Je te pari que je peux trouver une explication à tout. » Tu fais un métier en lien avec l’imagination ? Tu fais non de la tête.
« Pas du tout… Enfin, peut être en fait. » Parce qu’il faut être doté d’ingeniosité dans certains contextes. L’improvisation c’est une grande partie de ton boulot. Dans mon cas, je ne pense pas que je puisse compter sur mon imagination… Tu l’écoutes. Il parle beaucoup le gars. Il peut parler, je l’écoute. Tu le mates plutôt ouais. Nah… Ouais ouais. Il te balance doucement qu’il est vegan. Il doit être fier. Comme tous les vegans que tu as rencontré qui te le disent en moins de dix minutes de votre rencontre. Si je fais don d’un bon champagne, tu penses que j’aurais le droit à une réduction d’impôts ? Il te fait bien marrer malgré tout.
« Si tu me l’offres je te fais une réduction de ce que tu veux ouais. » Tu plaisantes aussi. « Je suis ambulancier. L’imagination c’est important. » Tu le regardes après avoir bu une gorgée de ton verre. « J’ai pas compris c’était quoi ton job ? »
- Spoiler:
Angel continue de discuter/plaisanter avec @Samir Mc'Gregor-Mills toujours à côté du buffet, son verre à la main.
@ Invité
Thalia est là, elle s’est apprêtée pour venir à cette soirée d’inauguration, c’est du moins ce qu’elle a compris. Elle aime beaucoup la science-fiction et elle aime aussi voir des gens, elle aime voir les sourire et entendre les rire des uns et des autres, faire partie de la vie, voilà ce qui lui plaît. Elle découvre chaque jour une nouvelle façon de vivre depuis deux ans, deux années magnifiques qui lui on permit d’être là aujourd’hui, bien vivante, avec un vrai métier, elle est artiste peintre, qui l’aurait cru ? Elle a même sa propre galerie et elle a bien proposé tableau pour Katya. Elle a beaucoup aimé son œuvre et son œuvre l’a inspiré. Elle lui a même dédié à tableau. Elle aidé aujourd’hui pour son exposition mais n’a pas encore eu le courage d’aller la voir. Elle l’écoute faire un discours et elle l’applaudit comme tout les autres, un grand sourire aux lèvres.
La jolie brune voit du monde défiler devant Katya alors elle attend un peu et se serre un verre avant de faire le tour de la salle pour voir qui est venu aujourd’hui. Elle a déjà vu toutes ces personnes, enfin presque toute, elle les croise au LGBT center, sans forcément les connaître en profondeurs. Elle les croise parce qu’elle vient régulièrement, elle aime discuter, elle aime découvrir de nouvelles personnes. Elle les observe, ça ne fait pas si longtemps qu’elle vient au centre, un peu moins d’un an, mais elle est contente d’y être, d’avoir pu participer à cet évènement.
Thalia voyant que Katya semble libre s’avance vers elle. Elle lui fait un sourire avant de lui dire :
« C’est vraiment très réussi, j’ai hâte de lire la suite. »
Elle lui sourit. Elle a vraiment hâte et elle a bien l’intention de lire ce qui a été mis en ligne. La science-fiction elle a découvert ça en venant ici à New-York, elle ne connaissait pas grand-chose de ce monde là et elle le trouve fascinant. Elle ne sait pas tellement quoi dire, elle se trouve un peu ridicule d’ailleurs.
La jolie brune voit du monde défiler devant Katya alors elle attend un peu et se serre un verre avant de faire le tour de la salle pour voir qui est venu aujourd’hui. Elle a déjà vu toutes ces personnes, enfin presque toute, elle les croise au LGBT center, sans forcément les connaître en profondeurs. Elle les croise parce qu’elle vient régulièrement, elle aime discuter, elle aime découvrir de nouvelles personnes. Elle les observe, ça ne fait pas si longtemps qu’elle vient au centre, un peu moins d’un an, mais elle est contente d’y être, d’avoir pu participer à cet évènement.
Thalia voyant que Katya semble libre s’avance vers elle. Elle lui fait un sourire avant de lui dire :
« C’est vraiment très réussi, j’ai hâte de lire la suite. »
Elle lui sourit. Elle a vraiment hâte et elle a bien l’intention de lire ce qui a été mis en ligne. La science-fiction elle a découvert ça en venant ici à New-York, elle ne connaissait pas grand-chose de ce monde là et elle le trouve fascinant. Elle ne sait pas tellement quoi dire, elle se trouve un peu ridicule d’ailleurs.
- Spoiler:
- Thalia observe le discours et les arrivants, avant d'aller discuter avec Katya
@ Invité
L’homme en face de lui était charmant, Samir aimait discuter avec lui et il était bien heureux de voir que son interlocuteur avait de l’humour. Notamment lorsqu’il lui affirmait qu’il était capable de trouver une explication à tout. Je prends le pari dans ce cas et après t’être restauré et abreuvé, je demande une démonstration. Samir tendit la main à son interlocuteur pour sceller le pari malgré qu’il n’ait rien parié pour le moment.
D’habitude Sam ne pariait pas, mais il pouvait bien faire une exception. Surtout si ça pouvait lui permettre de rire, il en avait bien besoin en ce moment, mais raconter ses problèmes à n’importe qui n’était pas son genre. Donc mieux valait partir sur une conversation légère notamment sur ce champagne vraiment affreux.
Samir avait trop de connaissances dans le domaine pour pouvoir se contenter de ça. Tu devrais te méfier de ce que tu proposes, tu pourrais te faire arnaquer. Soit d’une bonne façon, soit d’une mauvaise façon, mais offrir une réduction sur n’importe quoi n’était peut-être pas une bonne idée surtout face à un inconnu. Parce qu’ils étaient encore des inconnus faisant connaissance sans savoir si cela allait déboucher sur quelques choses ou non.
Je suis vétérinaire, j’utilise moins mon imagination que toi. Quoique dans ton métier, ça peut-être dangereux l’imagination non ? Sauf pour changer les idées aux patients, j’ai moins de soucis que toi vu qu’ils ne peuvent pas me répondre. Un léger rire lui échappa face à sa remarque, l’avantage de travailler avec des animaux qui ne pouvaient pas lui répondre oralement. Un animal savait communiquer, mais pas au point de casser les pieds. Et ton métier te plait ?
Buvant une gorgée de champagne, il laissa son interlocuteur répondre, même si le champagne n’était pas bon, cela restait du champagne buvable. Comme n’importe quel champagne, mais Sam ne disait pas non à une bonne bouteille avec un bon repas. Tu ne veux pas me montrer tes talents ? Je suis curieux maintenant.
@Angel Luna-Mendez
D’habitude Sam ne pariait pas, mais il pouvait bien faire une exception. Surtout si ça pouvait lui permettre de rire, il en avait bien besoin en ce moment, mais raconter ses problèmes à n’importe qui n’était pas son genre. Donc mieux valait partir sur une conversation légère notamment sur ce champagne vraiment affreux.
Samir avait trop de connaissances dans le domaine pour pouvoir se contenter de ça. Tu devrais te méfier de ce que tu proposes, tu pourrais te faire arnaquer. Soit d’une bonne façon, soit d’une mauvaise façon, mais offrir une réduction sur n’importe quoi n’était peut-être pas une bonne idée surtout face à un inconnu. Parce qu’ils étaient encore des inconnus faisant connaissance sans savoir si cela allait déboucher sur quelques choses ou non.
Je suis vétérinaire, j’utilise moins mon imagination que toi. Quoique dans ton métier, ça peut-être dangereux l’imagination non ? Sauf pour changer les idées aux patients, j’ai moins de soucis que toi vu qu’ils ne peuvent pas me répondre. Un léger rire lui échappa face à sa remarque, l’avantage de travailler avec des animaux qui ne pouvaient pas lui répondre oralement. Un animal savait communiquer, mais pas au point de casser les pieds. Et ton métier te plait ?
Buvant une gorgée de champagne, il laissa son interlocuteur répondre, même si le champagne n’était pas bon, cela restait du champagne buvable. Comme n’importe quel champagne, mais Sam ne disait pas non à une bonne bouteille avec un bon repas. Tu ne veux pas me montrer tes talents ? Je suis curieux maintenant.
@Angel Luna-Mendez
- Spoiler:
- Sam parle et reparle en buvant son champagne avant de proposer à son interlocuteur de commencer la visite.
@ Invité
Futuro-perspective
LGBTQ+ Center & Nahele
Le souffle un peu coupé d'avoir couru pour arriver avec moins d'un quart d'heure de retard, tu réajustes les pans de ta chemise colorée avant de pousser la porte du lieu d'exposition. Tu admires tout de suite cet univers frappant par ses couleurs, son côté science-fiction totalement expérimental dans lequel tu reconnais immédiatement Robert. Un sourire s'étire sur ton visage de contempler son œuvre dans ce qui, d'une certaine manière, peut être sa consécration. LOG, ça a commencé il y a maintenant une trentaine d'années ; toi, tu connaissais pas, t'en avais jamais entendu parler jusqu'à ce que Bob te demande de venir à l'exposition. Bon, c'était il y a quelques semaines, alors que le projet n'était encore qu'au stade d'embryon. Toi, comme t'es un peu le genre d'homme à vite t'ennuyer, t'as pris chaque minute libre de ces dernières semaines pour lire tout ce que t'as pu sur le sujet. Aujourd'hui, tu te pointes ici, en retard certes, mais en connaissant très fraîchement la majorité des arcs de la saga. Clairement, il y en a beaucoup trop à lire, tu as fait le maximum que ton temps et ta concentration n'ont pu te donner..
Tu as promis à Bob que tu serais là ; ton heure d'arrivée ne doit probablement pas le surprendre, il est habitué à tes retards quotidiens. Faut dire que t'as un emploi du temps tellement chargé.. Tu t'es mis sur ton trente-et-un pour venir ici, une belle chemise bleue ciel aux motifs d'ananas, la moustache parfaitement taillée.. De quoi paraître sous ton meilleur profil. Tu t'avances au milieu du monde avec toute la discrétion que cela exige quand on fait ta taille et qu'on a ton style vestimentaire. Quoi que, avec autant de couleurs, tu te fonds pas mal dans le décor ! Tu balayes la salle d'un regard, pensant reconnaître certains de tes voisins du Miranda Heights. Bon, mais c'est Robert que tu cherches.. Faudrait quand même pas que ce bougre loupe ton arrivée presque ponctuelle !
Tu repères l'énergumène de l'autre côté de la salle, un peu gêné d'avoir à traverser toute la foule pour aller à sa rencontre, mais tu t'y forces quand même. Déranger les gens à coup de pardon, c'est affreusement gênant pour toi. Tu finis par arriver à sa hauteur, et tu attrapes un verre de champagne un peu maladroitement. « Oops » fais-tu, avec un sourire amusé alors qu'on te regarde déjà un peu bizarrement. C'est qui ce guguss avec ses airs de vacancier, doivent se demander certains..
« C'est une super expo ça, Bob » fais-tu remarquer à l'intéressé. « Tu as déjà fait le discours d'intro, j'imagine ? » demandes-tu, alors que tu connais probablement déjà la réponse. Tu restes un peu vers Bob, après tout, c'est lui qui t'a invité. Les expos, tu adores ça alors tu es plutôt content d'avoir eu le mot. En plus, t'as quand même arrivé avant la fin du vernissage ! Un exploit que tu apprécierais que Bob remarque. « Tu restes planté là ou tu veux faire le tour avec moi ? »
- Spoiler:
- Nana arrive en retard à l'expo et cherche tout de suite son voisin, Robert (@Katya McMuffin), qui l'a invité. Il vient pour voir l'expo, mais n'a strictement aucune idée du fait que c'est organisé avec le LGBTQ+ Center, dont il ne s'est pas encore rapproché. Sa discrétion légendaire fait que son arrivée s'est un peu fait remarquée par quelques visiteurs déjà présents..
@ Invité
Tristan est un garçon gentil et c’est quelque chose que l’on ne peut que remarquer chez lui. Este sait bien qu’il déteste toutes ces choses un peu tirées par les cheveux et pourtant, il l’accompagne sans broncher. C’est sans doute de la faute d’Isolde qui l’a potentiellement traumatisé avec tous ses escape game et ses idées souvent connotées. Pour autant, il fait preuve d’une grande ouverture et Este apprécie qu’il parvienne à passer du bon temps avec lui, même si ce n’est pas sa tasse de thé. D’ailleurs son commentaire le ferait presque rougir. Ce n’est pas souvent qu’il entend ça, Esteban.
- Je suis très clair !!! Je suis sure que tu t’en sors très bien pour me suivre !
Este lui donne un coup d’épaule pour le taquiner, alors qu’il continue de naviguer entre les œuvres. La présence de Tristan lui fait du bien, peut être un peu plus qu’il n’oserait l’admettre. A son commentaire sur Isolde, Este lâche un rire amusé.
- Quoi ? T’as peur d’avoir l’air ridicule avec des petites ailes dorées ? Je pense que tu aurais de l’allure même avec un costume matrix après ça ! Moi je pense qu’on devrait lui dire de venir à l’expo au contraire !
@ Invité
Tristan est un peu perdu, malgré les explications claires de son ami. Mais il n'est pas vraiment venu pour avoir une révélation sur le futur ou sur cette exposition - il ne doute pas une seconde que mettre sur pied un projet pareil réclame du talent et des idées qu'il ne pourrait pas avoir de son côté. Cela dit, chacun son truc, le brun en est bien conscient. Et puis, il n'est pas venu pour admirer. Il est venu pour accompagner Este, qui répond souvent présent lors de ses lubies musicales, et qui avait à coeur de partager ce moment avec lui. Il aime rendre son meilleur ami heureux, il n'y a quand même rien de mal à ça.
- Pour te suivre, oui. Pour comprendre exactement de quoi il s'agit... Mais je comprends que tu sois passionné. Vraiment.
Il ne juge pas de toute façon. Chacun ses passions, chacun ses centres d'intérêts ; qui serait-il pour estimer que les goûts de quelqu'un ne serait pas légitimes ? Par contre, il a du mal à supporter l'idée d'une nouvelle lubie maternelle incontrôlable.
- Je vais avoir l'air ridicule, le costume qu'elle m'a acheté me couvre à peine. Je ne sais pas pourquoi elle veut tellement que j'assiste à cette soirée, alors qu'on sait pertinemment qu'il faudra que je disparaisse à minuit si je ne veux pas assister à l'éveil de la vie sexuelle de mes parents.
Et d'un groupe d'inconnus.
- Un escape game, c'est bien suffisant. Je ne sais déjà pas où je trouve le courage.
Il se sent tellement éloigné de tout ça, lui, avec son amour intarissable pour la musique et son incapacité à avoir une relation avec quiconque tant son amour pour son meilleur ami l'obnubile.
- Tu devrais venir d'ailleurs, puisque tu fais le malin.
@ Invité
Certains diront que pour apprécier une oeuvre d'art (ou du bon vin) il faut avoir de l'expertise. Ces gens là sont des snobs finis avec l'accès à une bonne éducation. En prime ce sont eux qui érigent ces règles là pour s'assurer une forme de supériorité. Si on devait passer un doctorat à chaque fois qu'on fait quelque chose, j'ai l'impression qu'on serait encore l'âge de pierre.
Et donc, que la jeune personne qui m'aborde se rassure, je n'attends pas des invités de me rendre un mémoire de 50 pages. Ce qui a vraiment de l'intérêt à mes yeux ? Que les gens passe un bon moment et que la vente rapporte une somme rondelette au centre. Si certains y trouve d'avantage et bien, c'est un bonus. Je préfère la passion ou l'ignorance sincère à des discours calibrés par des années de théorie. "Oh tu sais, ça vide les placards." Ça fait un moment que je ne me pose plus cette question, est-ce que ça se fait de... tutoyer une quasi inconnue ? De dire que notre patrimoine artistique encombre l'espace ? Aussi vite apparu et aussi vite évaporé, comme la demoiselle.
le temps d'une gorgée et hop, voilà il second compliment. Je lève le regard de ma coupe vers la brunette. Je ne suis pas très doué avec les prénoms... avec les noms non plus d'ailleurs, mais enfin, cette fille me dit bien quelque chose. Je crois bien que c'est elle qui tient une galerie. "C'est gentil. Les bénévoles se sont donnés sans doute plus de mal que moi. Mais... je crois que tu es la concurrente directe de mon ex-mari. S'il savait..." Ca m'arrache un petit rire. Il n'avait qu'à être là, peut-être que je devrais faire des affaires avec d'autres personnes pour changer. "Lorente ? Thalia ? C'est bien ça ?".
Mais je suis interrompu par Nana... En retard, comme toujours. Il n'a pas raté grand chose car mon discourt n'était pas particulièrement exceptionnel. "Tu n'as absolument rien raté." Ce que je remarque c'est surtout que mon attrape nigaud a parfaitement fonctionné. "Nana, je te présente Thalia." Alors je sais qu'il y a une règle implicite en société qui veut que l'on entre un peu plus dans le détail, mais franchement, c'est une règle que je trouve conne. Les gens savent très bien donner les détails qu'ils souhaitent (ou non) et je n'ai pas a intervenir là dedans. "Je sais boire en marchant, je suppose que l'on peut continuer cette discussion en faisant le tour. Nana, tu feras le guide."
- le résumage de l'épisode:
Bob voit passer @Debbie Sinclair en coup de vent avant d'être abordé par @Thalia Lorente dont il se souvient vaguement en tant que galeriste. Il est interrompu par @Nahele Papayana qui propose de faire le tour de l'expo. Bob propose qu'ils y aillent tous les 3 après une présentation succincte.
@ Debbie Sinclair
Pseudo : tara
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : en théorie, 1 fois par semaine
Multinicks : Jessica Doyle / Madison Reed
Avatar : nicola coughlan + nocreativejuiceleft (avatar) + plume (gifs) + aeairiel (code) + dolly parton (lyrics)
Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
La répartie de sa camarade ne tarde pas et Debbie rit légèrement. Loin d'elle l'idée d'abîmer les ongles de Madame, en effet. Mais, malgré ses taquineries, la blonde sait très bien que Jules s'investit pour le Centre, et pas que financièrement. Elle en a un peu douté au début, mais l'eau a coulé sous les ponts depuis. Aussi, elle fait même l'effort de rassurer la jeune femme. « Je sais bien que tu fais ton maximum, comme nous tous. » Le bénévolat est toujours un peu ingrat, on oublie vite la petite main qui a dressé le buffet et branché les projecteurs. Mais c'est aussi très valorisant, parfois. C'est bien pour que les mêmes têtes se retrouvent régulièrement.
« Et vu que les verres sont gratuits, je vais t'accompagner au buffet va! » La blonde rit à nouveau et prend son amie par le bras puis s'avance vers les longues tables qu'elle a garni de toasts divers et de bouteilles variées. Une fois à hauteur du buffet, elle pose quelques gourmandises sur une serviette en papier, laissant le soin à Jules de les servir en champagne. A leurs côtés, un visage quelque peu familier dont elle croise le regard. Sûrement un autre régulier du Centre. « Bonsoir! » lâche-t-elle avec son plus beau sourire colgate. « On s'est déjà croisé·e·s je crois, Debbie Sinclair. » Elle lève le verre que Jules lui a gentiment donné, les mains trop prises pour serrer celle de son interlocuteur. Deb ne s'embête pas à faire les présentations plus avant, chacun se connaît à peu près de vue et peut rappeler son nom aux autres, ce sera bien plus efficace.
- Spoiler:
Debbie entraîne @Jules Ainsworth vers le buffet et salue @Samir Mc'Gregor-Mills, qu'elle se souvient avoir déjà vu quelque part. Elle ne fait pas plus de présentation que ça et vous laisse intervenir
@ Invité
Je prends le pari dans ce cas et après t’être restauré et abreuvé, je demande une démonstration. Large sourire sur tes lèvres de l’entendre de lancer un défi comme ça. Tu serres sa main direct. Game on. T’as pas peur. Ca te fait carrément marrer. Ca va être bien drôle la suite. Tu sais pas encore quelle connerie tu vas dire parce que t’as encore rien regardé. Mais t’es pas inquiet. Tu vas trouver. Tu devrais te méfier de ce que tu proposes, tu pourrais te faire arnaquer. Nouveau rire. Il te cherche le gars ? T’aimes beaucoup qu’il te taquine comme ça. Je suis vétérinaire… Joli. Parce que du coup tu commences à l’imaginer avec ses fringues de boulot et vu que tu côtoies pas mal l’hôpital, t’as un gros faible pour ça. j’ai moins de soucis que toi vu qu’ils ne peuvent pas me répondre.
« J’ai plus de soucis que toi quand ils ne peuvent pas me répondre. » Parce que ça veut dire qu’ils sont inconscient. Ca te fait grave rire le parallèle entre toi et lui. Le jour et la nuit en fait.
« Peut être qu’il faut pas appeler ça de l’imagination mais plutôt de la réaction. Quand il faut improviser et qu’on a pas un bloc opératoire à disposition. » Le rush, l’adrénaline. Tu aimes beaucoup trop.
« Ouais ça me plaît. Ma mère me voit avec un uniforme de pompier c’est bon je fais la fierté, c’est parfait. Nan mais ouais pas juste ça, j’aime beaucoup ce que je fais. Je sers à quelque chose au lieu de juste aller danser en club. » Tu parles beaucoup dis donc. T’avais pas besoin de dire tout ça. Tu t’es pas mal descendu aussi au passage. T’as un super métier, c’est pas rien. Il faut savoir profiter de son temps libre pour s’amuser. Tu ne veux pas me montrer tes talents ? Je suis curieux maintenant.
« A tes risques et périls. » Parce que tu sais déjà que tu vas dire des trucs pas catholique, mais il a du en voir d’autres. Tu penses pas qu’il soit un prude. Ton verre de champagne à la main, tu regardes la première oeuvre. Tu penches un peu la tête plus pour le faire rire et faire le pitre qu’autre chose.
« Hmmm… J’ai l’impression que ça pourrait être un personnage de Minority Report. » Tu tournes la tête vers Sam. « Avec Tom Cruise. Tu l’as vu ? Une de ces créatures qui arrive à voir l'avenir. J'ai kiffé ce film. » Et pas seulement pour les beaux yeux de Tom. « Du coup je vois bien que le personnage voit l'avenir et... Oh, attend, je l'entends qui me dit un truc... » Tu t'approches, t'entendant l'oreille. Tu la joues à fond. « Il me dit que t'as un boyfriend. »
- Spoiler:
Angel qui continue de parler avec @Samir Mc'Gregor-Mills et qui fait le clown en disant ce qu'il imagine de la première oeuvre qu'ils regardent tous les deux en commençant la visite.
@ Invité
Beautfiful Peoples & Grisha @TheMeaningOfArt
Silhouette discrète, il pénètre dans les lieux sans pour autant se sentir fébrile. Par ici, il ne risquera pas - jamais - de tomber par hasard sur un fantôme de son passé. D'ailleurs il s'agit plutôt de science-fiction. Lui, il est surtout branché fantastique, du moins voilà ce qu'il aime lire et écrire. Mais visiblement il ne possède pas le talent nécessaire pour changer de catégorie. Après les autres genres ne le rendent pas frileux, il aime découvrir, rêver, imaginer, se perdre dans un autre univers. Ça rend ses journées beaucoup plus intéressantes.
Et ce qui est plus encore plus passionnant c'est d'avoir la possibilité d'apercevoir un auteur en chair et en os. De l'écouter, de décrypter cet étrange lien en l'œuvre et son créateur. D'ailleurs il parle - ou elle, Grisha il ne sait pas mais il s'en fout -, et indique du champagne qu'il n'avait pas remarqué. Ceci dit, s'il à fait le curieux, il veut bien se rincer la gorge après, mais il préférait un thé ou du café. Sinon il fera avec ce qui se trouve là. Bon Grisha il estime que Bob @Katya McMuffin à de l'humour, en tout cas ses paroles le font sourire tandis qu'il commence à déambuler pour observer les diverses planches.
Faut l'avouer, il n'a jamais lu un page de cet auteur. Est-ce grave ? Il ne le croit pas. D'ailleurs il entend une info qui est bonne à prendre et qui n'a rien à voir avec ce qui se passe par ici. A propos de Jonathan Groff et Matrix, une conversation assez poussée qui a lieu entre deux amis @Esteban Gardner @Esteban Gardner , et même assez intéressante, mais il n'a pas envie de passer pour un voyeur. Alors il s'éloigne du côté des verres pour y découvrir ce qui l'attends. Le brun, il se permet donc de siroter un peu de champagne, puisqu'il n'a pas réussi à trouver autre chose.
Grisha aperçoit deux habitués du centre. Sans pour autant les connaître particulièrement bien, pour l'un il ne lui à jamais parlé @"Angel Luna-Mendez" , et pour l'autre ils ont échangé par-ci par-là de manière très courtoise @Samir Mc'Gregor-Mills . Alors il leur fait un signe, histoire de pas se faire traiter d'impoli, ça serait dommage d'aller se mettre à dos les quelques personnes avec qui il se sent plutôt à l'aise. Mais il n'ira pas interrompre leur dialogue qui lui apparait plutôt intime, et du coup cherche un petit truc à picorer avant de se diriger à nouveau vers les planches. Il attrape des notes pour voir de quoi il est question ou s'il n'a rien manqué d'important et de crucial. Alors il ne manquera pas de remédier à cette lacune. Et de se plonger dans cette nouvelle lecture
- Spoiler:
- - Il est venu par curiosité, et il trouve que bob à de l'humour
- il est pas trop champagne ( parce qu'il supporte pas vraiment l'alcool et cherche mais ne trouve rien d'autre
- il écoute une conversation intéressante puis s'éloigne et reconnait des habitués du centre mais ne veut pas les interrompre.
- Vous pouvez venir près de lui sans soucis il n'ira pas vous mordre
@ Invité
Samir avait une conversation agréable avec un jeune homme qu’il venait de rencontrer près du buffet et avait entamé une conversation assez agréable. Différents sujets de discussion étaient évoqués comme le métier de chacun et la sensation que ça leur apportait. Moi je m’inquiète quand les animaux me répondent enfin ce n’est pas encore arrivé. Cette prise de parole n’arriverait certainement jamais et heureusement sinon cela voudrait certainement dire qu’il devenait fou.
Entendre des voix n’était pas quelques choses de normal malgré que Samir ne jugeaient pas les personnes qui entendaient des voix, chaque personne était comme elle était et ne devrait pas avoir honte. Toutefois ce n’était pas le sujet de la discussion et Samir préféra suivre son interlocuteur pour discuter devant une œuvre. J’admets ne pas connaitre ce film, je ne suis guère fan de Tom Cruise. La remarque de son interlocuteur le fit sourire alors qu’il leva la main montrant son alliance. Tu es simplement observateur, mais peut-être un peu voyant quand même.
Apercevant une connaissance et son interlocuteur ayant l’air de vouloir discuter avec quelqu’un d’autres, Samir reprit la parole. Excuse-moi, je vais devoir te faire faux bond, je te laisse discuter avec les autres, mais ce fut un plaisir de te reconnaitre. Au plaisir de te revoir.
Quittant son interlocuteur, il reprit son chemin saluant les personnes qu’il connaissait et adressant des petits mots à chacun et chacune. Il finit par arriver à proximité de Grisha qu’il salua. Bonjour, je suis content de te voir ici. Tu es un fan de ce genre de littérature.
Se penchant vers son interlocuteur, il chuchota doucement. Je dois avouer que moi je n’y connais rien donc si tu comprends quelque chose et que tu pouvais m’aider. Il lui fit un clin d’œil avant de regarder l’œuvre devant lui lisant les explications. Samir ne lisait pas ce genre d’écrit, mais il espérait se coucher plus intelligent. Je ne t’ai même pas demandé comment tu vas ? Désolé pour mon manque de savoir vivre. La politesse n’avait pas été au rendez-vous pour sa plus grande honte.
J’espère que ça ne te dérange pas que je m’incruste. Il ne savait pas si son interlocuteur voulait quelqu’un à côté de lui, Samir ne voulait pas s’imposer à côté de son ami. D’ailleurs il ne savait même pas s’il pouvait appeler Grisha un ami, il ne connaissait pas les pensées de ce dernier et ne se voyait pas demander. Il aurait juste l’air ridicule et il préférait éviter d’avoir un sentiment de honte.
@Grisha Kerouac
Entendre des voix n’était pas quelques choses de normal malgré que Samir ne jugeaient pas les personnes qui entendaient des voix, chaque personne était comme elle était et ne devrait pas avoir honte. Toutefois ce n’était pas le sujet de la discussion et Samir préféra suivre son interlocuteur pour discuter devant une œuvre. J’admets ne pas connaitre ce film, je ne suis guère fan de Tom Cruise. La remarque de son interlocuteur le fit sourire alors qu’il leva la main montrant son alliance. Tu es simplement observateur, mais peut-être un peu voyant quand même.
Apercevant une connaissance et son interlocuteur ayant l’air de vouloir discuter avec quelqu’un d’autres, Samir reprit la parole. Excuse-moi, je vais devoir te faire faux bond, je te laisse discuter avec les autres, mais ce fut un plaisir de te reconnaitre. Au plaisir de te revoir.
Quittant son interlocuteur, il reprit son chemin saluant les personnes qu’il connaissait et adressant des petits mots à chacun et chacune. Il finit par arriver à proximité de Grisha qu’il salua. Bonjour, je suis content de te voir ici. Tu es un fan de ce genre de littérature.
Se penchant vers son interlocuteur, il chuchota doucement. Je dois avouer que moi je n’y connais rien donc si tu comprends quelque chose et que tu pouvais m’aider. Il lui fit un clin d’œil avant de regarder l’œuvre devant lui lisant les explications. Samir ne lisait pas ce genre d’écrit, mais il espérait se coucher plus intelligent. Je ne t’ai même pas demandé comment tu vas ? Désolé pour mon manque de savoir vivre. La politesse n’avait pas été au rendez-vous pour sa plus grande honte.
J’espère que ça ne te dérange pas que je m’incruste. Il ne savait pas si son interlocuteur voulait quelqu’un à côté de lui, Samir ne voulait pas s’imposer à côté de son ami. D’ailleurs il ne savait même pas s’il pouvait appeler Grisha un ami, il ne connaissait pas les pensées de ce dernier et ne se voyait pas demander. Il aurait juste l’air ridicule et il préférait éviter d’avoir un sentiment de honte.
@Grisha Kerouac
- Spoiler:
- Samir discute avec @Angel Luna-Mendez avant de le quitter. Il salue @Debbie Sinclair avant de discuter avec @Grisha Kerouac
@ Invité
Futuro-perspective
LGBTQ+ Center & Nahele
Bon, la bonne nouvelle, c'est que d'après Bob, tu n'as rien raté. Tu te sens quand même un peu coupable de n'être pas arrivé à l'heure, mais ceux qui te connaissent savent bien que la ponctualité et toi, c'est une affaire digne d'un conflit diplomatique. Ce à quoi tu n'as pas pensé, en revanche, c'est que d'arriver comme ça, Bob allait te présenter des gens. Ça ne fait pas très sérieux d'arriver à la bourre, tu le conçois parfaitement.. « Thalia, enchanté, Nahele mais tout le monde m'appelle Nana » fais-tu, à l'attention de la petite brune que pointe Bob.
La seconde bonne nouvelle, c'est que Bob t'embarque par le bras pour faire le tour de l'exposition, et te prête même le grade non mérité de guide. Ah, les guides.. Tu hais les audio-guides des musées, ces sales bêtes ne fonctionnent jamais correctement et en plus, on ne comprend rien à ce qu'ils disent. L'avantage, ici, c'est que tout est renseigné sur des petits écriteaux, et ça te facilite la tâche. Tu apprécies également, non sans un soulagement certain, le fait que la majorité de l'art ne s'explique pas. Pour toi, c'est purement visuel, et si interprétation il y a, elle est tout ce qu'il y a de plus personnel et n'engage que celui qui la formule. Autant l'avouer d'entrée de jeu, tu ne cherches pas à décrypter ce que telle couleur cache, ce que tel symbole signifie.. Non, tu conçois l'art comme un régal pour les sens, sans avoir besoin d'en faire toute une montagne. Ça devrait plaire à Bob.
Ton verre de champagne à la main, bras dessus bras dessous avec ton cher voisin Bob, tu emboites la marche en faisant signe à Thalia de vous accompagner. « C'est vraiment un travail immense » constates-tu, devant l'ampleur à la fois de l'exposition, mais aussi de la saga en elle-même. Dans ta tête, tu compares ça à « Doctor Who » et autres « Amour, Gloire et Beauté » qui tournent encore après déjà des décennies de production. En fait, Bob, c'est un peu comme le docteur, il change de visage avec le temps..
T'arrêtant devant l'une des affiches, tu commences à détailler les traits d'un personnage que tu crois reconnaître de tes lectures. Tu n'es pas sûr.. Il y en a beaucoup. Tu étires un sourire en te retournant vers Thalia, autant la jouer dans l'autre sens, quitte à s'improviser guide.. Un large sourire sur ton minois, tu interpelles la jeune femme. « Allez, petit quizz pour vérifier vos connaissances sur le sujet.. » fais-tu, avalant une gorgée de champagne à l'issue de ta phrase. « En quelle année s'est lancé LOG ? » demandes-tu alors, constatant que ton public est constitué d'une seule personne. Bon, d'un côté, ça va aussi te permettre d'apprendre des choses. Ou de réapprendre. Ça dépend du point de vue..
« Bob, toi, c'est de la triche si tu réponds.. » complètes-tu. Tu regrettes que Myrtle ne soit pas là pour appuyer ton propos, autant dire qu'elle aurait été de ton côté, la gamine !
- Spoiler:
- Nana commence sa visite de l'expo avec @Katya McMuffin au bras, et entame la discussion avec @Thalia Lorente en proposant une sorte de.. petit quizz. Avec un seul participant.. Bon, le mérite c'est qu'on en sort forcément gagnant !
@ Debbie Sinclair
Pseudo : tara
Player's pronoun : elle
Rythme de rp : en théorie, 1 fois par semaine
Multinicks : Jessica Doyle / Madison Reed
Avatar : nicola coughlan + nocreativejuiceleft (avatar) + plume (gifs) + aeairiel (code) + dolly parton (lyrics)
Trigger : ras mais j'apprécie un MP si une situation potentiellement difficile se présente
Warning : rapports à l'alcool difficiles, abandon familial, lgbt-phobie
Age : 36 ans
Nationality : américaine
Origins : 50 shades of white
Religion : élevée Southern Baptist (courant évangélique) mais aujourd'hui agnostique
Status : célibataire avec un crush
Orientation : bisexuelle
Work : comédienne à Broadway, actuellement on vocal rest
Home adress : vinegar hill, brooklyn
Communities : broadway, lgbt center, the outpost
Summary : Debbie a grandi au coeur de la Caroline du Sud, dans une famille conservatrice et pauvre. Autant dire que rien ne la prédestinait à fouler les planches de Broadway. Mais elle a eu de la chance dans son malheur: elle s'avère être le fruit de l'union extra-maritale d'un politicien républicain influent, qui a donc payé pour ses frais de scolarité. Un rêve et une guitare en poche, la blondinette a débarqué à New-York pour intégrer la prestigieuse Tisch School of the Arts, où elle a trimé à l'école et dans une foule de petits boulots. Bientôt 15 ans plus tard, Debbie vit à peu près bien de son art et sa personnalité pétillante fait qu'elle s'en sort plutôt bien dans sa vie sociale. Sentimentalement, c'est peut-être un rien plus compliqué, éternellement condamnée à devenir potes avec ses exs ou ne plus jamais leur parler.
Les deux garçons qu'elle salue s'éclipsent si vite, prenant chacun la poudre d'escampette à leur façon, que Debbie en viendrait presque à se renifler les aisselles, histoire de s'assurer qu'elle ne sent pas le camembert. Vraiment, les bonnes manières, ce n'est plus ce que c'était, surtout chez ces jeunes gringalet. « Oh, et bien, bonsoir! » lance-t-elle aux silhouettes déjà envolées. Elle hoche la tête et enfourne quelques toasts, perpétuellement déçue de la gente masculine. Heureusement, elle peut compter sur Jules. « Tu crois qu'on leur a fait peur ou ils sont juste vraiment très gays? » On ne sait jamais, après tout, dans ce genre de milieu.
La blondinette s'apprête à continuer à taquiner son amie et faire des blagues sur l'assemblée, dans la plus grande des gentillesses bien sûr, quand la catastrophe se profile. Elle ne voit évidemment rien venir, bien trop absorbée par sa coupe de champagne et sa conversation. Et puis, Debbie a elle-même participé au montage de ses grandes tables à tréteaux, qui leur ont tant rendu service par le passé. Mais, parfois, on enclenche mal une petite anse, quelqu'un déplie les pans de bois trop vite, on ne fait pas attention. Et le pauvre serveur qui prend appui sur un coin de table pour empiler sa vaisselle sale n'imagine pas une seule seconde déclencher un cataclysme. Au moins.
Toujours est-il que le verre vole en éclats et une rivière de champagne se déverse sur la charmante robe fleurie que la comédienne a enfilé pour l'occasion. Abasourdie, elle fixe le buffet, qui s'est lamentablement écroulé sur toute la longueur. Cette réaction en chaîne est des plus improbables, et pourtant. Le bruit a résonné dans toute la salle et, alors que les regards se tournent vers l'origine de ce séisme mondain, Debbie se demande un instant si un petit four a traversé les airs et s'est retrouvé écrasé sur une des planches de collection affichées aux murs. Elle n'ose même pas regarder. Non, la blonde préfère échanger un bref regard avec Jules et, finalement, éclater de rire. Après tout, c'est cocasse et le ridicule ne tue pas. « Ugh, je crois que c'est la douche la plus chère que j'ai jamais prise! » ricane-t-elle, observant les dégâts causés chez son amie.
- Spoiler:
Debbie s'offusque brièvement du départ précipité d'Angel (rip ) et @Samir Mc'Gregor-Mills, puis se tourne vers @Jules Ainsworth pour papoter. Et c'est le drame, le buffet s'écroule et elle se retrouve arrosée de champagne, il y a des éclats de verre un peu partout. A vous de voir si vous êtes aussi dans le périmètre des dégâts ou si vous rigolez de loin
@ Invité
Thalia est là et si généralement elle se sent à l’aise, c’est différent là. Elle est assez intimidée par Katya à qui elle n’a jamais vraiment parlé et par Debbie aussi qu’elle trouve formidable pour tout le travail qu’elle fait pour l’association, par tous les autres qui sont là. Elle ne participe qu’à des ateliers ou elle peut mettre son talent d’artiste à exécutions, elle aide pour les affiches, elle aide pour des ateliers, mais elle n’en fait pas autant qu’eux. Elle le sait, mais elle se sent à sa place quand même avec eux. Elle acquiesce lorsqu’elle lui demande si elle est bien Thalia et à un sourire quand après qu’elle lui ai dit qu’elle était une concurrente de son mari, donc son mari est peintre, comme elle, enfin ex-mari.
« Oui c’est bien moi, navré pour votre ex-mari, vous savez je commence tout juste, je ne sais pas si je suis une concurrente à la hauteur, mais j’admet que je commence à me faire ma place, grâce à un ami, je n’ai pas beaucoup de mérite j’ai été aidé. Il aurait dû venir ce soir, mais il n’a pas pu se déplacer. Je sais qu’il aime la science-fiction et je suis sur qu’il pourrait aussi nous être utile pour la communauté LGBT. »
Il aurait de l’influence oui, si Thalia est là aujourd’hui c’est grâce à plusieurs personne, Tony bien sûr, Stefan aussi et Thomas qui l’a aidé à lancer sa galerie en lui donnant des fonds. Ces trois hommes font partis de sa vie, grâce à eux elle serait toujours coincée là-bas et il est hors de question qu’elle fasse les mêmes erreurs ici. Ici elle a une vie plus confortable, plus gratifiante.
Elle la présente à un certain Nana alias Nahele, qu’elle avait remarqué, comment ne pas le louper et elle est d’accord avec lui. Il y a eu un grand travail. Il propose un petit quizz et Thalia sourit.
« Allez je suis partante. »
Elle joue le jeu, parce qu’elle trouve ça plutôt intéressant et amusant. Elle réfléchit un peu à la question, mais au fond elle connait la réponse.
« Dans les années quatre-vingt-dix il me semble mais je les ai découverts sur le tard, j’admets, mieux vaut tard que jamais. »
Elle sourit, oui elle l’avait découvert tard, il y a quelques années quand elle était arrivée ici.
« Oui c’est bien moi, navré pour votre ex-mari, vous savez je commence tout juste, je ne sais pas si je suis une concurrente à la hauteur, mais j’admet que je commence à me faire ma place, grâce à un ami, je n’ai pas beaucoup de mérite j’ai été aidé. Il aurait dû venir ce soir, mais il n’a pas pu se déplacer. Je sais qu’il aime la science-fiction et je suis sur qu’il pourrait aussi nous être utile pour la communauté LGBT. »
Il aurait de l’influence oui, si Thalia est là aujourd’hui c’est grâce à plusieurs personne, Tony bien sûr, Stefan aussi et Thomas qui l’a aidé à lancer sa galerie en lui donnant des fonds. Ces trois hommes font partis de sa vie, grâce à eux elle serait toujours coincée là-bas et il est hors de question qu’elle fasse les mêmes erreurs ici. Ici elle a une vie plus confortable, plus gratifiante.
Elle la présente à un certain Nana alias Nahele, qu’elle avait remarqué, comment ne pas le louper et elle est d’accord avec lui. Il y a eu un grand travail. Il propose un petit quizz et Thalia sourit.
« Allez je suis partante. »
Elle joue le jeu, parce qu’elle trouve ça plutôt intéressant et amusant. Elle réfléchit un peu à la question, mais au fond elle connait la réponse.
« Dans les années quatre-vingt-dix il me semble mais je les ai découverts sur le tard, j’admets, mieux vaut tard que jamais. »
Elle sourit, oui elle l’avait découvert tard, il y a quelques années quand elle était arrivée ici.
@ Invité
Beautfiful Peoples & Grisha @TheMeaningOfArt
Son verre de champagne à la main, qu'il savait ne pas pouvoir consommer sous faute de ne plus se souvenir de rien le lendemain, il tentait de comprendre cette œuvre étrange et fascinante. Il en oubliait d'ailleurs qu'il était entouré. Grisha se faisait la réflexion que l'auteur @Katya McMuffin possédait une sacrée imagination pour sortir tout ça de sa tête. Alors quand une voix raisonna à son oreille il sursauta car on le ramenait à la réalité. Il se retourna vivement vers le bavard et reconnu Samir @Samir Mc'Gregor-Mills croisé un peu plus tôt. Il paraissait avoir perdu l'interlocuteur qui l'accaparait quelques instants auparavant.
« Oh pour le moment je suis entrain de découvrir ... Mais dès que j'aurais quelques indices je te fais signe » Lui répondit-il tâchant d'être le plus agréable possible. Car il n'ignorait pas qu'il se montrait rude parfois, sans même s'en rendre compte « Je passais par hasard, et je me suis dit que ce serait une occasion d'agrandir ... » Il termina sa phrase avec un geste vague, tandis qu'il venait d'apercevoir un de ses voisins du Miranda, un peu trop curieux pour être honnête @Nahele Papayana . Alors il fronça les sourcils, légèrement contrarié, oubliant une mini seconde la présence de Samir.
Comme il espèrait ne pas se faire remarquer, il fit plusieurs pas dans la direction du buffet avant de se rappeler qu'on venait de lui adresser la parole « J'ai un peu faim je vais aller prendre un truc pour grignoter si tu veux ? » le brun n'a pas entendu la question de Samir à propos de l'incrustation. Mais comme il l'invite à la suivre ça doit certainement signifier que tout va bien à ce sujet.
Et comme il souhaitait rapidement mettre de la distance entre l'autre et lui, il bouscula une ou deux personnes au passage, avant d'arriver enfin à son but. Au moment précis où il voulut se débarrasser de sa flûte, le buffet s'écroula sans prévenir l'aspergeant de la plus belle des façons ! le laissant immobile les yeux arrondis par cet événement imprévu « Oh merde ! » Il voulut se pencher pour vérifier que tout le monde allait bien, mais ses chaussures rencontrent des éclats de verre « Faudrait trouver un balai pour éviter que les gens se blessent » dit-il en se tournant vers Samir, avalant finalement son champagne, sans réfléchir, pour se remettre de sa surprise ...
- Spoiler:
- - Il est surpris par Samir dans sa contemplation, il commence à lui répondre mais s’interrompt à la vue de Nahele
- Il décide de prétexter d'aller cherche des trucs à grignoter pour s'éloigner mais le buffet s'effondre avant qu'il puisse se débarrasser de son verre
- Du coup il l'avale malencontreusement, puis demande un balai pour nettoyer le verre éclaté par terre
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