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how you like that (aidan)

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Sam 11 Juil - 15:24

c'est une catastrophe. une véritable catastrophe. magazine qu'elle balance sans réfléchir contre le mur de son bureau. ça ne pouvait pas tomber au pire moment. ça ne pouvait pas être encore pire. madison est en colère, terriblement remontée contre la presse. elle-même n'a aucun souvenir de cette soirée, ni même de cette nuit. elle ne comprend toujours pas ce qu'elle faisait dans la même chambre qu'aidan blackson. ne comprend toujours pas comment c'est arrivé et voilà que désormais c'est à la une de tous les magazines et même encore des journaux. la presse qui s'amuse à tourner cette situation de toutes les manières possibles.. aidan qui semble être la raison de son divorce, être celui dans lequel elle oublie assez vite la présence de son ancien mari. elle n'ose même pas lire l'article en question, les sous entendus sont déjà bien assez présent sur la couverture en elle-même. elle a l'impression de toucher le fond mad, surtout lorsqu'elle reçoit un message de son ex-mari qui n'hésite pas à venir en rajouter une couche. une sacrée en plus. un divorce déjà assez pénible et dont elle n'est pas prête de voir le bout. sur un élan de colère, elle quitte rapidement son bureau tout en prenant soin de ramasser la source de ses problèmes. ignore les regards poser sur elle, ignore les murmures de toute son équipe. le premier qui ose faire la moindre réflexion est viré, mad n'a pas la patience d'y réfléchir à deux fois, surtout pas aujourd'hui. alors, qu'elle tente d'oublier cette soirée de toutes les manières possibles. madison est bien trop révoltée pour réfléchir ou pour prendre la moindre décision lucides.

sans réfléchir, elle se dirige jusqu'à l'appartement de celui au coeur du scandale. sans même penser que se retrouver seule avec lui pourrait encore faire parler les mauvaises langues. et elle ne se fait pas prier une fois qu'elle décide enfin de lui ouvrir. « C'EST QUOI CE BORDEL BLACKSON ?! » -heureusement que c'était bien lui derrière la porte- mad ne cherche même pas la discrétions, tant pis pour les voisins ou encore les colocataires. elle n'a pas le temps de devoir passer par quatre chemins non plus et une image vaut parfois mieux que des mots. c'est pourquoi elle pose le magazine sur son torse sans la moindre tendresse ou douceur. les bras croisés sur sa poitrine alors, qu'elle lui laisse deux petites secondes pour prendre note des informations dans son esprit. « tu m'expliques ça ! » comment est-ce que la presse aurait pu avoir une information de ce genre ? depuis quand elle est surveillée pour le moindre potin croustillant. depuis quand elle est le genre de célébrité à faire la une à scandale. cette affaire va lui faire perdre un bon paquet d'argent.. peut-être même son divorce si celui qui devait bientôt être son ex-mari cherche un moyen de prouver qu'elle lui était infidèle bien avant lui. son téléphone qui ne cesse de sonner et qu'elle vient par frustration lancer dans le fond de son sac pour ne plus l'entendre. « à cause de ses fausses rumeurs je vais perdre de l'argent et peut-être mon divorce. à qui tu as parlé de cette nuit là ! » parce qu'il est connu pour avoir une grande gueule.. et d'autres choses mais, c'est pas le point important. aidan aurait été capable de balancer l'information à tout le monde uniquement dans le but de se rendre intéressant. c'est totalement son genre. madison n'a pas besoin de le connaître énormément pour deviner assez facilement qu'elle genre d'homme il aime être. « maintenant la presse pense que je trompais mon mari bien avant qu'il se décide à s'envoyer en l'air avec sa partenaire. » elle qui pourtant n'a aucun souvenir d'avoir couchée avec aidan.. mais, difficile d'imaginer le contraire alors, qu'elle était nue à ses côtés le lendemain matin. « saleté d'artistes. » cigarette qu'elle place rapidement entre ses lèvres. qu'est-ce qu'elle va bien pouvoir faire ?

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Dim 26 Juil - 13:17
Ce matin-là, ce sont les vibrations de ton portable qui ne cessent depuis... peut-être une heure ou deux qui te réveillent. C'est dans un grognement de frustration que tu te décides à ouvrir les yeux pour attraper ton portable juste au cas où ce soit une urgence de ta cousine ou ton meilleur ami, aka les deux seules personnes de ta vie étant capable de te faire bouger le cul de ton lit. Mais les appels et les messages ne viennent pas d'eux. Non, ils viennent de celle qui joue Magenta dans le RHPS mais aussi d'autres de tes collègues pour te prévenir que tu vas tout simplement mourir par les mains de Mad, la productrice du show. Tu ne comprends pas très bien ce qui se passe car personne n'a l'air de vouloir te donner l'information ultime qui te manque. Et voilà que des coups sont donnés à la porte. Bordel de merde. « Vous pouvez pas aller ouvrir ? J'suis à poil ! » que tu lances à tes colocataires tandis que tu enfiles un bas de jogging en vitesse sans chercher à enfiler un haut. Sûrement le facteur. Ah non, c'est dimanche. Bon, tu t'en fiches un peu au final. Tu es bien foutu, la personne appréciera la vue de ton torse parfaitement musclé (ou pas). Aucune réponse de tes colocataires, tu en conclues donc qu'ils ne sont pas à l'appartement et tu te décides enfin à aller ouvrir la porte. Elle entre en furie dans l'appartement, te hurle dessus et toi, la tête encore dans le cul, tu manques de laisser tomber le magasine qu'elle te lance dessus. Lui expliquer quoi, au juste ? Tu soupires avant de te décider à regarder le magasine et... tes yeux s'écarquillent dés que tu te rends compte de la photo qui se trouve dessus ainsi que le titre qui ne laisse présager aucun doute quant à vos activités avec Mad cette nuit. Excepté qu'aucun de vous deux ne s'en souvient tant vous étiez éméchés. « Génial. » que tu lâches avant d'ouvrir le magasine comme pour admirer encore mieux les photos où tu apparais. Et non, c'est loin d'être ironique. C'est la première fois que tu fais la une des magasines people et tu comptes bien t'en délecter. Mais ta productrice n'a pas l'air d'être dés plus ravie contrairement à toi. Elle t'accuse même d'en avoir parlé avec quelqu'un alors que pour une fois, tu as fermé ta bouche. Pourquoi ? Parce que tu ne sais pas de quoi tu aurais bien pu te vanter en sachant que Mad ne se rappelle pas de tes prouesses physiques et que toi non plus. « Si tu me payais plus, peut-être que je n'aurais pas eu besoin d'alerter tous les journalistes du coin. » que tu lui lances avec ton arrogance habituelle, tandis qu'un sourire moqueur vient prendre place sur ton visage. Mais devant la tête qu'elle tire, tu préfères lui faire un signe de la main pour qu'elle te laisse finir de parler. Pas envie de mourir tout de suite. « C'est de l'humour, même si je pense quand même mériter une augmentation... surtout qu'à cause de toi, je vais avoir tous les pseudos journalistes sur le dos en espérant avoir la moindre information sur moi. L'amant de Madison, l'ancienne reine de Broadway... Ça va être si compliqué pour moi d'être au centre de l'attention. ». Toi, à cet instant, tu ne penses qu'à la publicité que cela peut t'apporter. Tu as le bon rôle dans toute cette histoire contrairement à Madison qui se fait passer pour une femme infidèle mais c'est un peu le cadet de tes soucis. Tout ce que tu vois, c'est l'opportunité que ce scandale peut t'apporter. « Estime-toi heureuse d'être accompagnée du plus beau mec de la troupe, ça aurait pu être pire. Ton mari doit être fou. I mean... Tu m'as vu ? » que tu conclues avec un sourire charmeur avant de poser le magasine sur la table de la cuisine avant de te décider à te faire un café sans certitude quant à la réaction de Madison face à tes mots. Il est clair que toi, tu ne prends pas du tout cela au sérieux et que tu te rends pas du tout compte des conséquences que cela peut avoir sur ta boss.

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Mer 5 Aoû - 10:40

pourquoi lui ? pourquoi blackson ? pourquoi pas n'importe qui d'autres de la production, du show, même de la troupe ? pourquoi ça devait tomber sur le mec le plus arrogant, le plus imbus de sa propre personne ? elle se pose beaucoup de questions madison mais, celle qui revient sans cesse dans son esprit ; pourquoi être entrée avec lui dans une chambre d'hôtel ? elle ne pouvait pas simplement rentrer chez elle ? toute seule, sans ressentir le besoin de se faire accompagner ? madison est en colère, contre elle-même mais, aussi contre tout le monde en réalité. elle tente de trouver des explications, de ne pas trop s'inquiéter des rumeurs mais, c'est plus fort qu'elle. jon n'hésite pas à lui parler de cette histoire dans l'unique but de le faire culpabiliser. elle est invitée par de nombreuses émissions pour parler de sa "relation" avec la vedette de sa troupe. hors.. elle n'est pas en couple avec aidan, heureusement pour elle. le pire dans tout ça ? certainement sa propre équipe qui désormais pense que si blackson à l'un des meilleurs rôles c'est sans aucun doute grâce à elle. hors faut bien lui laisser un certain talent, celui d'être bien musclé et physiquement parfait pour porter un petit slip doré toute une soirée. « génial.. génial ?!  » qu'elle répète lentement dans un rire nerveux. madison essaye de garder son calme.. mais, ça semble plus compliquée qu'elle ne le voudrait. « est-ce que tu te rend compte de l'impact de cette rumeur sur notre travail ? nos vies ? » il semble content d'être dans un magazine mais, aidan n'a encore jamais vécu sous le feu des projecteurs.. une fausse rumeur à bien souvent détruite des carrières, parfois même des vies entières. il n'est pas question pour elle que ce soit son cas, ni même de son propre show qui est comme son enfant à ses yeux. elle récupère donc le magazine pour retourner sur la page même de l'article, une voix dramatique pour accentuer la critique. « est-ce que le jeune blackson n'aurait-il pas finalement user de ses atouts pour obtenir une place au sein de sa troupe ? .. bref je dois continuer à te faire un dessin ? » est-ce qu'il a vraiment envie que sa carrière soit basé sur une histoire d'un soir dont ils ne se souviennent même pas ? autant madison n'apprécie pas le personnage, autant elle n'a pas envie de voir la jeune carrière de son employé passer à la trappe d'un simple claquement de doigts. un sentiment qui s'efface rapidement aux paroles du jeune homme. « est-ce que tu peux arrêter d'être aussi con deux minutes ? c'est dans tes cordes ? mettre un t'shirt aussi non ? t'es nudiste ou quoi ? » d'habitude, madison prend des pincettes avec ses employés. même quand elle est de mauvaise humeur, elle tente de garder un certain calme et d'essayer de voir la situation du bon côté. sauf qu'elle ne trouve aucun bon côté là-dedans et qu'elle peut se permettre un peu plus avec lui en sachant qu'ils se sont tous les deux réveillés nu dans le même lit. « à cause de moi ? t'es aussi sur cette photo blackson et dans le peu qui reste de mes souvenirs je n'ai forcée personnes à me suivre. » enfin.. c'est bien ça le problème, elle n'en sait rien finalement. madison se souvient du bar, des verres, des bouteilles aussi.. son mari faisait la une de la presse avec cette autre fille dans ses bras et puis elle a terminée dans un hôtel. « et arrête, être au centre de l'attention c'est bien la seule chose qui te procure un peu de plaisir dans ce travail. » madison n'est pas stupide.. ce n'est pas par envie de percer dans le monde du théâtre qu'il a décidé de se lancer dans le rhps mais, bien pour être celui qu'on regarde, qu'on admire, qu'on a envie d'avoir dans son lit. « oui oui je te vois blackson et bizarrement j'ai aucun souvenir de notre nuit ensemble. tu dois pas être si terrible finalement. » clin d’œil en sa direction avant de rejoindre la cuisine sans même demander pour se servir un verre d'eau. autant qu'il ne la contrarie pas.. en ce moment les gifles volent, les verres aussi. « grâce à toi mon mari pense qu'il est possible de sauver notre mariage DONC mon divorce va certainement me coûter une fortune et durer dix ans, merci beaucoup. » remerciement ironique alors, que finalement elle change d'avis et attrape le café de son employé pour l'apporter à ses lèvres.

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Dim 9 Aoû - 20:07
Il est clair que tu ne comprends pas du tout ce qui peut énerver autant Madison. Bon, il suffit que tu te mettes deux minutes à sa place pour comprendre mais... tu n'en as pas envie. Sur le moment, tu ne vois que les opportunités que cela peut t'ouvrir, d'être sous les feux des projecteurs pour une fois. Ah, tu as qu'une seule hâte : que ce magasine atterrisse dans la boîte aux lettres d'une des villas de tes parents. Peut-être bien que tu peux leur envoyer toi-même ? Et puis ce n'était pas comme si ta productrice était une simple doublure, ou un boudin de Broadway. Non. Elle est connue, talentueuse et canon. Tu as tout gagné en te faisant passer pour son amant, vraiment tout. Et elle, elle risque de tout perdre même si tu n'en as pas conscience sur le moment. « Je vais être honnête avec toi, Mad... Je me fiche totalement ce qui se dit là-dedans. Peu importe si on croit que je suis passé sous le bureau pour obtenir ma place dans la troupe... L'important, c'est qu'on me voit. Je n'ai jamais caché que le RHPS est juste un tremplin pour moi. J'aspire à mieux, tu comprends ? ». Tu lui balances ton sourire plein d'arrogance, sachant très bien que tu ne vas faire que l'énerver d'autant plus avec tes mots. Si tu te permets de faire autant le malin, c'est parce que cette fois-ci, elle peut te menacer de te virer, tu ne te lanceras pas faire. Elle sait qu'elle est foutue. Se mettre son mari à dos est une chose, se mettre en plus son soit disant amant qui risquerait d'aller pleurer dans les bras des journalistes... Cela en ait une autre. Une petite vengeance pour toutes les fois où elle t'a hurlé dessus pour un oui ou pour un non ? Certainement. « Tu me vois tous les jours à moitié nu et tu viens me demander de m'habiller chez moi ? Estime-toi heureuse que j'ai eu la décence de mettre un bas pour t'accueillir dans mon antre. Et  aux dernières nouvelles, cette vue ne te gêne plus. ». Votre nuit ensemble étant le centre de votre discussion, tu n'hésites pas à en rajouter une couche alors même que tu ne te souviens pas du tout de ce qui a bien pu se passer entre vous. Bon, se réveiller côte à côte nu ne laisse pas présager grand chose mais... Tu ne comprends pas pourquoi c'est le trou noir. Tu as si bu que ça, ce soir-là ? Tu ne comprends même pas ce qui a bien pu se passer pour que tu partages une bouteille avec Madison en personne alors que vous ne pouvez clairement pas vous saquer. « On voit très bien sur les photos que c'est toi qui m'amène à l'hôtel. » que tu lui balances avec un sourire moqueur tout en lui montrant la fameuse photo où elle tire ton bras. Seulement, sur l'autre photo, c'est bel et bien toi qui l'a tient dans tes bras devant cet hôtel. Bordel de merde. Bien sûr, Madame ne se gêne pas pour parler de tes performances inexistantes au lit – comme elle ne s'en souvient pas – et tu lèves les yeux au ciel. Elle enchaîne en te parlant de son mari, avant de venir te piquer ton café. Non mais... Tu souffles avant de t'en faire un autre pour toi-même, histoire de ne pas te retrouver avec un café brûlant sur le torse. Tu connais assez Madison pour savoir qu'elle en serait capable. « Je n'ai aucun souvenir de notre nuit ensembles non plus. Mais je suis presque certain que j'ai dû vérifier si tes seins sont des vrais. Magenta dit qu'ils sont faux et c'est un long débat entre nous... ». Tu hausses les épaules tout en t'éloignant un peu de ta boss – juste au cas où. Tu ne peux pas t'empêcher de la provoquer car tu sais que pour une fois, ce n'est pas toi qui est en mauvaise posture. « C'est peut-être vers ton cher et tendre que tu devrais te tourner. Tu ne trouves pas ça étrange que la nuit où tu te décides enfin de me sauter dessus après tous ces mois à t'en empêcher, tu te fais avoir par des paparazzis ? ». C'est peut-être un coup monté après tout. Quelqu'un qui a payé des paparazzis pour trouver la faille chez Madison. Tu as beau ne pas connaître son mari, peut-être qu'il en serait capable. « Peut-être que vous devriez aller voir un conseiller conjugal. Pas mon problème si vous ne savez pas vous être fidèle l'un à l'autre. Après, je peux comprendre qu'en travaillant à mes côtés, c'est difficile de résister. ». Une manière comme une autre de lui faire comprendre que son mariage, ce n'est clairement pas ton problème. Tu veux bien être conciliant, mais il ne faut pas compter sur toi pour faire un démenti ou une connerie du genre. Tu as besoin de ce coup de pub, au dépend de Madison.

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Jeu 20 Aoû - 13:22

aidan est typiquement le genre de garçon qu'elle déteste, qu'elle ne peut pas se voir en peinture. madison à même hésité plusieurs fois à s'en débarrasser, le remplacer par le premier beau blond qu'elle aurait pu trouver dans la rue, n'importe qui aurait pu faire l'affaire. n'importe qui et pourtant elle a toujours été trop gentille concernant le sujet blackson. pour lui laisser une chance, pour ne pas briser ses rêves de gloire et de célébrité. une chose qu'elle regrette aujourd'hui, encore plus que d'habitude. « c'est madison pour commencer. » qu'elle rétorque sans la moindre délicatesse. ils ne sont pas amis, certes ils ont couchés ensemble mais ce n'était qu'une erreur, qu'une toute petite erreur qu'elle est pourtant incapable d'effacer maintenant, à la une de toute la presse new-yorkaise. « tu aspires à mieux ? » et madison le comprend totalement. c'est exactement ce qu'elle désirait elle aussi en commençant sa carrière de jeune comédienne. commencer en bas de l'échelle pour finir au sommet de la gloire.. comme ce qu'elle pensait avoir gagnée avant ce stupide scandale. « donc ton projet de vie c'est de devenir gigolo ? » madison pose la question sérieusement, après tout il ne semble pas déranger à l'idée de n'être qu'un accessoire pour célébrité, de n'être utiliser que pour son corps parce qu'il faut rester honnête deux minutes... il n'aurait jamais décroché le moindre rôle pour son talent, c'est uniquement parce qu'il porte parfaitement le slip doré qu'il est présent dans cette troupe, ce qu'il semble parfois oublier. « aux dernières nouvelles je n'ai aucun souvenir de cette vue, ni la moindre envie de m'en souvenir. » pas de la manière dont il sous-entend la chose en tout cas. ce qui est quand même fort triste en y pensant. madison serait complètement folle de dire que sa vedette n'est pas attirante, qu'il n'a pas un petit quelque chose avec cette gueule d'ange. malheureusement il suffit qu'il ouvre la bouche et c'est la douche froide, elle se demande même comment est-ce qu'il fait pour mettre autant de filles dans son lit avec une arrogance aussi développée que la sienne. à se demander s'il y a encore de la place pour autre chose dans son esprit. à se demander comment est-ce qu'elle a pu finir si bas, nue dans ce lit. madison à beau réfléchir de toutes les façon possible, elle ne trouve rien qui pourrait expliquer cette soirée, pas ce genre de tournure en tout cas. ils étaient occupés à boire du champagne et la minute d'après elle se retrouve devant un hôtel pour passer une nuit de folie qui n'a absolument pas marqué son esprit. grimace qui s'affiche sur ses lèvres lorsqu'il lui fait remarquer ce détail sur cette photo avant de venir lui prendre son café sans la moindre gêne. c'est la moindre des choses après tout ? lui faire un café c'est même insuffisant comparé à la longueur que risque de prendre son divorce. manquant de s'étouffer, elle descend son regard sur sa poitrine, la bouche entrouverte. à deux doigts de lui donner la première gifle de la journée. « j'ai une tête à porter des faux seins ?! » qu'elle demande sérieusement un peu vexée par la question. surtout que le pire.. c'est qu'elle imagine parfaitement blackson faire ce genre de choses, lui tâter la poitrine comme un enfant de cinq ans pour vérifier comment est composés tout ça. prenant une nouvelle gorgée de son café trop.. pas du tout ce à quoi elle est habituée. « pour quelqu'un qui visiblement n'est pas à la hauteur de sa réputation, tu fais un peu trop le malin. ça devait être très décevant. » œil pour œil, dent pour dent. elle ne comprend même pas pourquoi est-ce qu'elle cherche à se justifier ou entrer dans ce jeu stupide. madison est énervée par la situation, par l'homme face à elle qui n'a toujours pas daigné mettre un t'shirt. depuis quand une patronne doit avoir ce genre de conversation avec son employé ? ah oui, depuis qu'ils ont couchés ensemble. « attend que quoi ? » un rire qu'elle est incapable de retenir, ça va beaucoup trop loin pour elle. « parce que tu penses que je voulais coucher avec toi ? je suis ta patronne aidan. la seule chose qui explique cette soirée, c'est à quel point je devais avoir toucher le fond entre mon divorce et le champagne. » certainement pas parce qu'elle voulait sentir les mains du blond sur son coeur ou quoi que ce soit d'autres. « mais, toi ? c'est quoi ton excuse ? à part peut-être le fait que tu le voulais depuis un moment ? » autant madison à bien conscience d'avoir touchée le fond dans cette soirée, autant elle ne comprend pas ce qui a poussé aidan à coucher avec elle. « qui me dit que c'était pas ton intention depuis le début ? de me piéger avec la presse ? » et maintenant qu'elle y pense.. ça semble même plus que probable. il suffisait de voir son état, de donner un rendez-vous à la presse et bingo. jackpot pour le jeune blackson. « je commence même à me demander si tu es pas de mèche avec ce petit con. » naturellement madison parle de son mari. « bizarrement, il a eu la même idée que toi. » proposer une stupide thérapie qui ne va rien arranger à cette situation. juste à lui faire dépenser encore un peu plus d'argent.

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Dim 30 Aoû - 13:07
Qu'est-ce que tout le monde a a croire que tu comptes devenir gigolo ou que tu l'es déjà ? Cela devient lassant à force. Tu lèves les yeux au ciel avant de chasser ses mots d'un geste de la main. « T'aimerais, hein ? Au moins tu pourrais te payer mes services et ne plus avoir à me soûler pour que j'accepte de te suivre dans le premier hôtel sur notre chemin. ». C'est piquant, rempli d'arrogance mais elle t'a vexé dans ton égo alors tu en fais de même. D'où ose-t-elle insinué que tu comptes te faire payer contre des faveurs ? Il est clair qu'avec ton physique de rêve, beaucoup de femmes (et d'hommes) rêveraient de t'avoir à leur côté pour se pavaner mais tu ne comptes pas tomber aussi bas. Chaque mot qui sort de la bouche de Madison te vexe, en fait. Elle sait où toucher pour faire ressortir toute cette arrogance que tu as bien du mal à garder pour toi. Qu'est-ce qu'elle cherche, au juste ? Si elle compte calmer ses nerfs sur toi en t'insultant de la sorte sur tes prouesses sexuelles ou ton corps parfaitement musclé, elle est tombée sur la mauvaise personne. Tu veux bien être compréhensif de temps en temps mais elle ne t'aide vraiment pas à l'être sur sa situation. En même temps, tu es concerné aussi donc... « Je pensais que se refaire les seins était une étape obligatoire lorsqu'on commençait à devenir connue. Comme le nez, d'ailleurs. Tout le monde n'est malheureusement pas né parfait comme moi. ». Il faut croire que tout ce qui sort de ta bouche dans le but de la provoquer fonctionne à la perfection. Il est évident que tu ne t'es pas amusé à lui tripoter les seins pour vérifier s'ils sont vrais ou faux mais en fait, tu n'es même pas certain de ce qui s'est vraiment passé cette nuit-là. Certes, vous vous êtes réveillés nus dans le même lit mais vous avez très bien pu vous assoupir à cause de l'alcool sans faire votre petite affaire. Personne ne le saura jamais. Encore moins vous, les principaux concernés. « Oh, tu veux vérifier une nouvelle fois Madison ? » que tu lui lances tout en te rapprochant d'elle, pointant ton doigt sur elle – et te fichant totalement que cela soit considéré comme malpoli par la grande majorité des personnes dans ce bas-monde. « Il suffit de te voir hurler à tort à travers sur tout le monde pendant les répétitions pour comprendre que ton mari n'a jamais su te donner un orgasme digne de ce nom. ». Heureusement que celui-ci n'est pas là pour entendre que tu le descends mais en même temps, même s'il était là, tu n'hésiterais pas à le faire non plus. Tu n'as pas à te retrouver dans des histoires de couple juste parce que... Bon, d'accord, tu as peut-être un peu foutu la merde sans même le vouloir mais ce n'est tout de même pas de ta faute ! « Tu ne connais rien de ma vie. Qui te dit que je n'ai pas touché le fond moi aussi ? Sans mauvais jeu de mot, bien sûr. ». Tu hausses les épaules avant de boire une gorgée de ton café encore brûlant. Bordel, c'est bel et bien la première fois que tu te fais réveiller de la sorte et c'est tout sauf agréable. « Je ne sais pas résister aux femmes de caractères qui me hurlent dessus visiblement. » que tu ajoutes avec un bref sourire moqueur. Ouais, tu es totalement maso pour avoir suivi Madison dans cet hôtel. Certes, c'est une belle femme, tu ne peux pas le nier. Mais tu ne l'as jamais regardé avec envie car c'est une relation strictement professionnelle et que tu l'as connu marié. Puis depuis quelques mois, tu n'es pas non plus d'humeur à rencontrer quelqu'un. Alors Madison peut croire ce qu'elle veut, tu es aussi paumé qu'elle sur ce coup-là. « T'es complètement parano. » finis-tu par ajouter avant d'éclater de rire face à ces insinuations douteuses. Elle est sérieuse, là ? « Ne me dis pas que tu vas accepter de suivre une thérapie de couple avec un mec qui te fait cocu tous les matins avec la première venue... ». Ce serait le comble. « Mais ouais, t'as raison. Je suis de mèche avec ton mari, il m'a même proposé un rôle contre cette fabuleuse mise en scène. ». Comment est-ce qu'elle peut croire ça ? C'est du délire.

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Sam 26 Sep - 14:58

est-ce qu'elle vient de toucher un point sensible avec ses fausses accusations ? madison réalise assez rapidement que c'est complètement stupide de sa part de participer à ce petit jeu d'adolescent mais, il est impossible pour elle de faire autrement. elle est bien trop énervée par la situation, par les petites piques qu'il lui balance dans l'unique but de l'énerver pour revenir en arrière et les choses ne risquent pas de changer avant un bon moment. « parce que tu crois que si je décide d'engager un gigolo tu serais mon premier choix ? » qu'elle demande sérieusement sans le quitter du regard. « soyons honnête deux secondes aidan. physiquement tu serais parfait pour m'accompagner lors d'une soirée prestigieuse mais, à partir du moment ou tu ouvres la bouche c'est la douche froide, je ne peux pas me permettre de m'afficher avec toi alors que tu as l'intelligence d'une moule. » pour dire clairement que le niveau ne vole pas très haut à ses yeux. un moyen comme un autre encore une fois de se venger et de lui faire payer toutes les saloperies qu'il n'hésite pas à lui balancer depuis qu'elle est entrée dans son appartement. « mais, ce n'est pas grave. tu ne peux pas tout avoir. » une vérité qui semble encore souvent lui échapper, comme si aidan blackson était destiné à tout obtenir d'un claquement de doigts. s'il espère quoi que ce soit venant d'elle.. autant qu'il oublie cette idée tout de suite. le corps de son employé qui se rapproche dangereusement du sien, est-ce qu'il cherche vraiment à la perturber ? ou est-ce encore bien plus profond que ça ? un sourire qui s'affiche sur ses lèvres, soupir qui s'échappe dans un murmure. madison n'a pas la moindre envie de vérifier une seconde fois. pas la moindre envie de se souvenir de cette soirée ou d'en créer de nouveaux. elle est très bien dans l'ignorance à pouvoir prétexter librement qu'elle a détestée tout ça ou encore qu'il n'est pas aussi doué qu'il cherche à le faire croire depuis si longtemps. pourquoi est-ce qu'il faudrait répéter cette erreur une seconde fois ? pourtant trop tentée par tout ça. elle approche son corps à son tour madison, jusqu'à sentir ce doigt vulgairement pointé sur elle toucher sa peau, se retrouver directement presque entre ses seins. madison n'est pas l'une des petite minettes qu'il a l'habitude de fréquenter. aidan se trouve désormais dans la cours des grand. « et toi tu penses en être capable ? » qu'elle demande dans un murmure sans le quitter du regard. « ou tu penses que j'ai besoin de toi ou encore de mon mari pour avoir des orgasmes ? » jusqu'à preuve du contraire madison n'a jamais eu besoin de qui que ce soit pour se donner du plaisir et il faut bien admettre qu'avec un mari souvent en tournage.. il faut bien qu'elle puisse compter sur elle-même. un détail de sa vie privée qui ne le regarde absolument pas mais, qu'elle se sent obligée de justifier. les hommes qui pensent être indispensable aux besoins d'une femme lui donnent envie de faire des ravages. sa position initiale qu'elle vient retrouver rapidement. autant elle n'a aucune envie de sombrer à la tentation autant madison ne préfère pas jouer avec le feu. elle qui ne sait toujours pas ce qui a déclencher cette fameuse nuit. « vraiment ? est-ce que ça t'arrive de rester sérieux cinq minutes ? » bon cinq c'est beaucoup trop, madison aurait pu limiter à deux voir quelques secondes seulement. pour aidan ce serait déjà un véritable miracle d'être sérieux trente secondes. son café qu'elle porte encore à ses lèvres lorsqu'il lui parle de cette thérapie. pour gagner du temps, pour éviter d'admettre qu'elle a certainement fait une connerie en acceptant tout ça. « parce que tu penses que j'ai eu beaucoup d'option avec un mari qui refuse le divorce ?! » elle s'emballe madison, parce que ça l'énerve de voir jon s'accrocher à elle comme une moule à son rocher. tout ce qu'elle désire désormais c'est de retrouver sa liberté, celle-ci qu'elle n'est pas prête de retrouver tout de suite. « comment est-ce qu'il peut penser que je couchais avec toi bien avant tout ça, comme si c'était possible franchement. » mais, pas si impossible que ça finalement. long soupir qui s'échappe de ses lèvres encore alors, qu'elle passe une main dans ses cheveux. la seule chose qui la réconforte dans cette idée c'est d'imaginer qu'il souffre en l'imaginant dans les bras de son employé. tout comme elle a pu souffrir de cette humiliation.  

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Sam 24 Oct - 20:06
« Connasse. » que tu souffles dans la langue française lorsque Madison ose te faire remarquer que tu as une intelligence digne d’une moule. Et encore, une moule a peut-être plus de neurones que toi. Elle gagne un point et tu ne trouves même pas de quoi répliquer sur le moment. Ton nom et ta famille fait que tu es censé avoir un capital culturel tout de même assez développé mais toi, tout ce que tu as retenu durant toutes tes années dans la richesse, c’est l’argent et rien d’autre. Alors tu décides de te la fermer sur ce coup-là et ne pas renchérir car… tu n’as rien pour ta défense qui te vient. C’est humiliant. Si tes parents entendaient les mots de ta boss à ton égard, sûrement qu’ils l’applaudiraient. Car eux, ils t’ont toujours poussé à faire de ton mieux et étaient même prêts à te payer une prestigieuse université. Sûrement que si tu avais accepté, tu dormirais encore chez eux à cette heure-ci ou tu aurais pu te payer un appartement dans l’Upper East Side. Bordel de merde. Tu renifles dédaigneusement en essayant de ne pas montrer que ton visage que Madison a réussi à toucher là où cela blesse mais cela se voit comme le nez en plein milieu de la figure. Ce n’est pas grave, tu te vengeras pour cet affront. C’est elle qui est en mauvaise posture à l’heure actuelle, pas toi. Ne changeons pas les rôles.

Tu hausses un sourcil alors qu’elle avance vers toi, ton doigt se retrouvant presque entre ses seins. Et après c’est toi qui joue à la provoquer ? C’est certain que c’est elle qui t’a chauffé en premier cette nuit-là ! « Bien sûr que j’en suis capable mais tu risques de devenir accroc et de jeter ta collection de vibro à la poubelle après... ». Tu lui montres une nouvelle fois toutes tes dents dans un sourire purement narquois. Si tu te montres autant sûr de toi à cet instant, c’est simplement pour l’énerver et non pas parce que tu es persuadé de pouvoir lui donner un orgasme – ce n’est pas une question que tu te poses actuellement d’ailleurs.  Peut-être que tu te l’ai posé lors de votre partie de jambe en l’air mais tu ne t’en rappelles plus. « Pourquoi est-ce que je resterais sérieux alors que toute cette situation est à mourir de rire ? ». D’accord, la situation ne fait rire que toi mais ce n’est qu’un léger détail qui ne change en rien la conversation. Dans tous les cas, Madison a l’air de ne plus savoir où donner de la tête et de se rendre compte qu’elle aurait peut-être dû se défouler avant de venir ici. Niveau réconfort, il ne faut clairement pas compter sur toi. Lorsque tu entends la suite de ses paroles, tu ne peux pas t’empêcher de mettre une main devant ta bouche pour t’empêcher d’éclater de rire. Son mari veut vraiment sauver leur couple en faisant une thérapie ? Oh merde… Mais là, c’est trop pour toi. Quand tu apprends que John croit que vous couchiez ensembles depuis un bon bout de temps avant cela, tu ris de bon cœur sous les yeux de Madison. Tu tentes de te calmer comme tu peux avant de t’en prendre une pour de bon car la tension est clairement palpable entre vous deux. « Désolé mais… T’as vraiment pas épousé le plus futé. Content d’apprendre que tu as un faible pour les mecs pas très intelligents finalement. ». Ce que tu ne comprends pas, c’est comment son mari ose faire ce genre d’insinuations douteuses alors qu’il est le premier à avoir merder. Il cherche à s’en sortir comme il peut, c’est louable… mais complètement ridicule. Quoi que, peut-être que cela marcherait sur une femme tout aussi futée que lui. Et tu as beau ne pas trop aimé le comportement de ta patronne à ton égard à cet instant, tu sais qu’elle vaut mieux que cela. Tu l’espères pour elle. « Tu attends quoi de moi exactement en débarquant chez moi ? » finis-tu par lui demander en retrouvant plus ou moins ton sérieux, les bras croisés sur ton torse toujours nu. « Que j’aille lui parler ? Que je fasse un putain de post Instagram pour démentir ? C’est ce que tout le monde attend. Qu’un de nous deux réagisse. ». C’est ainsi que les réseaux sociaux fonctionnent. Certaines personnes n’attendent que du drama pour réagir dans leur misérable vie et tu n’as pas envie de donner à manger à des pigeons mais tu te doutes bien qu’à moment ou un autre, il faudra éclaircir tout cela. Sauf que toi, contrairement à Madison, tu n’as pas l’expérience de ce genre de chose. Tu n’y connais rien. Si tu réagis à chaud, tu risques de faire une erreur et de te mettre ta boss à dos. C'est donc à elle de décider de ce qu'elle souhaite. Mais toi, il est clair et net que tu ne te feras pas passer pour un con.

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Sam 5 Déc - 17:26

madison est fatiguée de cette conversation, fatiguée de voir que son employé ne semble pas comprendre la situation dans laquelle elle se trouve désormais -pire encore qu'il s'amuse de tout ça- ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre qu'elle est encore mariée, qu'elle est toujours d'une certaine façon, raccrochée à jon. elle voudrait pouvoir faire autrement, effacer tout ça d'un claquement de doigts mais, ce n'est pas possible. jusqu'à preuve du contraire, elle doit rester discrète jusqu'à obtenir ce qu'elle désire une bonne fois pour toute ; être débarrasser de jon. « tu gardes espoir c'est mignon. » sourire qui ne quitte plus ses lèvres. comme si elle allait se débarrasser de quoi que ce soit un jour, surtout pour les beaux yeux d'un homme. si c'est pour finir comme jon.. autant qu'elle s'amuse avec ses jouets encore un bon moment. « contente de voir que si je perds mon travail du jour au lendemain, tu as déjà un plan b pour ne pas finir à la rue. » elle exagère un peu beaucoup madison. elle ne risque pas de perdre son travail -surtout pas pour une histoire de coup d'un soir avec la vedette de son show- triste à dire mais, faire parler d'elle, donne une certaine visibilité au show, ce qui reste bénéfique pour les affaires et surtout pour la carrière d'aidan blackson. si elle n'était pas en procédure de divorce, peut-être qu'elle aurait pu voir les choses d'une autre façon. « j'espère que tu n'es pas en train de t'imaginer que j'ai un faible pour toi. » parce que ce n'est pas le cas et que ce ne sera jamais le cas. madison pousse un long soupire, pourquoi continuer cette conversation ? à quoi elle s'attendait ? en réalité, madison ne sait même pas. sans aucun doute à une autre réaction que celle-ci.. elle l'espérait. « c'est exactement ce qu'il faut faire. démentir. parce que nous n'avons pas couchés ensemble aidan. » impossible elle n'a pas envie de lui à cet instant, elle n'a jamais eu envie de lui alors, pourquoi durant cette soirée madison aurait subitement changée d'avis ? « quoi qu'il arrive, certaines personnes continueront de croire qu'il y'a bel et bien eu quelque chose cette nuit-là. mais, ça reste plus professionnel pour ta carrière. » après tout c'est ce qu'il souhaite non ? se faire connaître et percer dans le monde dans la mode ou dans quelque chose capable de lui rapporter gros. « et n'aggrave pas la situation.. s'il te plaît. » qu'elle lui demande sérieusement sans le quitter du regard. pour une fois qu'elle s'accorde à demander les choses gentiment, manquerait plus qu'il refuse. elle attrape son sac, pose la tasse de café dans le lavabo -parce que jusqu'à preuve du contraire c'est pas une touriste- et le regarde une dernière fois de haut en bas. « soit pas en retard demain. » elle voudrait rajouter le "pour une fois" mais, elle va s'abstenir et simplement quitter son appartement sans attendre la moindre réponse. venir chez lui n'était pas une bonne idée.  

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