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dessin des rêves.

@ Invité

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Dim 8 Sep - 21:05
le goulot de la bouteille de scotch aux lèvres pour un liquide dégusté un peu trop vite.
beaucoup trop vite.
là, assis sur le toit du monde. le cul posé sur l’un des toits des hôtels de la ville, là où vous vivez tous, les sundström. maîtres du monde pour surplomber la ville, t’es le prince d’une vie jamais voulue, l’idéal des princesses des rues. bien plus ou moins bien, t’es l’ange blond sous les étoiles. l’ange déchu au prix d’une damnation, les longues ailes blanches abîmées par les épreuves de la vie. loin du confort imaginé pour le fils de.
là, face au monde qui fourmille encore à la nuit tombée, le silence d’une contemplation se brise par la porte qui claque derrière toi et les pas qui s’approchent.
double de toi. âme soeur d’une vie est l’inconnue reconnaissable entre tous qui s’avance et te rejoint, qui pose ses affaires et s’installe à tes côtés. y a ta main dans la sienne qui vient se glisser pour la tirer contre toi pour la caresse d’un idéal.
suri. ou la fille inaccessible. fille d’une autre vie pour un garçon d’une autre dimension.
suri, elle aurait parfaite pour toi, ailleurs.
suri, elle est parfaite pour les autres.
hors de portée, l’homme rangé dans une case. la femme dans une autre.
pour le bien de tous. pour ton bien. pour le sien.
parce que c’est elle. suri. l’importance. l’unique.
celle dont il est impossible de penser la perte. l’impossible de penser autrement que comme ça.
suri l’amie. suri plus que tout. plus que n’importe qui.
à jamais.
tes bras autour de son corps pour la protection.
tes lèvres contre son front pour l’adoration.
j’suis content de te voir. l’sourire aux lèvres, le palpitant manquant son battement alors que tes yeux tombent dans les siens. bleu du ciel contre marron de la terre. bleu de la mer et marron fond des mers pour le lien. toujours et encore. toujours et à jamais, l'impossible séparation.
jusqu’au déchirement du contact, les yeux qui quittent, le corps qui reculent.
jusqu’au retour à la réalité, l’air grave qui revient, les secrets qui s’enferment à double tour. le bonheur qui te quitte. les indéchiffrables pour le commun. le livre ouvert pour la fille assise en face de toi.
là, les jambes dans le vide, tu n’es plus seul à surplomber le monde. avec suri, t’es capable de tout. avec suri, allongé sous les étoiles, t’es là, prêt pour tout. là à contempler le ciel pour écrire tes rêves. les siens. les vôtres. là à les redessiner pour une vie plus heureuse.
plus différente.

@suri wang-li  dessin des rêves.  3974363061

@ Invité

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Lun 9 Sep - 21:33
Tu as la tête qui explose de mille choses.
De celles qui t’obsède à celle que tu aimerais oublier. Effacer d’un claquement de doigts qui laveraient tout tes maux à coup de javel pour les faire disparaître. Les puissantes douleurs d’un cœur trop fragile pour les surmonter.
Tu as l’âme qui se teinte de l’ombre de tes démons.
De ceux qui t’engloutissent pour te faire oublier qui tu es. De ceux qui te ramènent à la triste réalité de ta vie. De ceux qui e font oublier que le bonheur dans lequel tu prêtant nagé n’est qu’une sombre illusion. Mensonge du masque que tu calques sur ton visage. Mensonge éphémère pour une vérité éternel qui fait bien trop mal.
Les questions qui se bousculent alors que les réponses ce font attendre.
Celle que tu n’as pas ou celle que tu ne veux pas donnée. La bague aux doigts qui te brûle au plus profond de ta chaire. L’estomac qui se tord d’obligations dont tu ne veux plus. Dont tu n’as jamais voulu. Puis, le mal qui te hante. Toujours. A jamais… Il ne t’a jamais quitté. Les souvenirs d’un passé ou d’un futur qu’on t’a arraché.
T’es là, dans un coin de ta chambre à prier un Dieu auquel tu n’as jamais crue. Prier pour que tout soit plus simple. Pour un chemin tout tracé ou un réconfort venu d’ailleurs. Un réconfort qu’eux soit incapable de te donner. Pas celui que tu veux. T’es là, recroqueviller entre ta commode et ton fauteuil à entendre le rire de tes colocataires comme un rappel que tu pourrais l’être heureuse. Il ne tient qu’à toi mais, tu sembles ne vouloir que le malheur dans lequel tu t’enferme.
Tu n’as pas guérie Suri. Jamais tu ne guériras.
T’es toujours cette gamine terrorisée. Paralyser par la peur d’être abandonné ou de celle de ne pas être assez bien.  L’effrayante terreur d’être trahie. Alors que tu mesure l’erreur d’être revenue. Alors que tu mesure l’envie de repartir. La fuite la pire des issues, mais c’étaient ta solution. Ta simplicité à toi. Tu l’avais fait tant de fois que ça en était devenu ta normalité à toi. Une normalité dans laquelle tu ne te rendais même pas compte que tu ne vivais qu’à demi.
La vérité, c’est que tu tentais toujours de survivre.
T’étais même plus certaine de pouvoir t’en sortir un jour. Alors, tu y pensais. Tu y pensais à la fuite. Loin. Le plus loin de tout ça. De tes parents, de ton fiancé… mais, pas de lui. Lui, tu ne pourrais pas l’abandonné. Lui, c’étais toi. Toi, t’étais lui. C’était comme ça et c’était surement là ce qui compliqué tout.
Ton téléphone qui gisais à tes pieds des milles un message et appel manqué de celui que tu devrais appeler tiens. De celui attentais après toi et la lumière qui brillait de derniers messages comme un rappel qu’il te disait que c’étaient pour votre bien. Pour le tiens. Tu y crachais dessus, sur ton bien. Il ne comprenait rien. Qu’il vienne te rejoindre que tu t’en irais. Tu t’en irais aussi facilement que le message de Mane qui demandait après toi.
T’es malade Suri, tu vas souffrir Suri,
Mais, tu fonces Suri… c’est lui,
Quand c’est lui, tu ne réfléchis plus Suri…

Tu as déjà enfilé tes bottines et saluer vaguement tes coloc. Tu es déjà en bas de chez toi à t’enfoncer ans un taxi. T’es déjà en bas de l’imposant hôtel des sundström. T’es déjà en haut à le rejoindre. T’es déjà sans un mot happé dans ses bras ampli d’une vague de chaleur. Le soulagement qui souffle dans ta respiration.
T’es complète.
T’es avec lui.
Ta main dans la sienne que tu contemple dans un sourire sincère. De ce baisé sur ton front que tu te délectes. L’espace d’un instant, tu oublies. Tu oublies tout sauf lui. C’est vous et personne d’autre et rien d’autre.moi aussi… Murmure d’un instant.
Murmure d’un instant avant que la réalité ne vous reprenne de vos deux corps qui se sépare comme ne pas se bercé d’illusion. Comme pour ne rendre les choses encore plus compliqué qu’elles ne le sont.
Tu aimerais être celle pour lui.
Tu aimerais qu’il soit celui pour toi.
Ce n’était pas ainsi. Ca ne le serait jamais mais vous étiez indissociable.
Sans lui, sans lui tu ne serais plus.
Il te connaissait dans les moindres recoins. Dans les tréfonds de tes secrets comme tu lisais en lui comme s’il n’avait pas eu besoin d’un mots. Dans son regard océan qui renfermé tellement plus qu’il ne montrait. viens on s’en vas… loin,… le plus loin possible !!  souffle qui envahie l’atmosphère alors que tu sais douloureusement que ce n’est pas possible.


@mane sundström  dessin des rêves.  3974363061

@ Invité

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Ven 20 Sep - 11:48
moi aussi... murmure perdu dans l’océan étoilé. perte dans l’infini étoilée comme un écho se brisant contre les murs trop refermés d’une cavité.
il y a personne pour l’entendre, aucune présence humaine pour entendre l’appel à l’aide.
sauf toi. comme toujours.
viens on s’en va… loin,… le plus loin possible ! dernier souffle d’une fleur fanée t’atteignant, t’as les yeux plongés dans la fourmilière en contrebas. sur les gens qui rient, chantent, marchent, vivre leur propre vie. bonne et malheureuse. t’as les lèvres qui quittent le goulot de la bouteille pour que ta main passe cette dernière à ta voisine. ta compagne. de rien et de tout.
juste toi et moi, le rêve.
juste toi et moi. le rêve ultime pour l’oubli d’une vie qu’à demi contrôlée, tirée par les ficelles tels des pantins.
toi et moi, suri, est le rêve impossible. il y a trop d’enjeu. il y a trop de soumission ou de peur. elle est là. cachée mais présente. invisible mais incontrôlable. elle se terre dans le fond de ton corps. de vos corps.
parce qu’à l’époque vous vous croyiez libres.
parce qu’à l’époque, vos rêves étaient plus forts, presque à portée de main, derrière vos paupières fermées.
roi et reine du monde. du vôtre. de celui que vous vous imaginiez comme des enfants, comme des amis prêts à refaire le monde à votre manière, comme des âmes soeurs prêts à tout envoyer valser pour se retrouver, pour ne faire qu’un. envers et contre tout. contre tous.
comme en cet instant, où mane n’était pas celui qu’il était destiné à être.
comme en cet instant, où suri n’était pas celle qu’elle était destinée à devenir.
comme en cet instant, où mane et suri ne formaient qu’un.
pour toujours et à jamais.
pour l’éternité infinie, impossible à achever même après recherches des gens de science pour vous faire revenir sur le droit chemin.
dans ces rêves, tu es le maître de ton destin. la nouvelle de ta descendance lancée comme une bombe est éjectée bien trop loin pour t’exploser à la gueule. impossible à t’atteindre.
le paquet de clopes que tu tires de la poche de ta veste, tu coinces une cancéreuse dans tes charnues avant de lui en tendre une. qu’est-ce que tu imagines ?
toi et moi, suri. juste nous. que nous. qu’est-ce que tu imagines pour notre fuite du monde ? le plus loin possible de tout pour qu’il n’y ait plus que nous deux.

@suri wang-li  dessin des rêves.  3974363061

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