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(adyan) who is the bad idea now ?

@ Invité

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Ven 20 Sep - 21:02
bam un coup de poing bien placé qui le met KO, Adrian s’étale sur le ring de boxe après un match assez sportif. Il avait besoin de se défouler et plutôt que d’aller boire une bière au bar, il a décidé de se mettre à la boxe, et quand bien même il a de la rapidité et une facilité d’éxecution, il a décidé d’affronter plus fort que lui et voilà. Maintenant, il est à terre. Il recrache le sang qui vient de prendre place dans sa bouche, il est persuadé que s’il n’avait pas sa gouttière, il aurait perdu les trois quart de ses dents et il aurait fini par ressembler à un papy et aurait été obligé de se nourrir de soupe pendant un trop long moment, parce qu’il aurait eu la flemme de payer les soins dentaires et de toutes façons, il ne peut se le permettre. « Ca va mec ? » Adrian saisit la main de son adversaire et se relève, il lui en faut plus pour être ko technique « Oui, merci, ça m’a remit les idées en place. » Et il descend du ring en balançant ses diverses protections dans son sac et il se enfile une veste avant de retourner jusque chez lui afin de se jeter sous la douche, il déteste les douches du complexe sportif. Quand il arrive chez lui, il regarde sa sale gueule dans le miroir et il voit le bleu qui s’étale sous sa joue, il n’y a pas été de main morte son partenaire. Mais il s’en fiche, parce qu’il le mérite sûrement, il n’est pas encore aussi bon qu’il veut le dire. Son psychologue lui a dit d’évacuer la colère qu’il a au fond de lui sans toucher à une bouteille d’alcool. Alors la boxe est une solution. Il a tellement de colère au fond de lui, sa soeur a eu un accident de moto alors qu’il était ivre, il n’a pas été capable de lui dire de ne pas prendre sa moto parce qu’il n’était pas là. Il n’était pas là alors qu’elle venait de se faire quitter. Il a toujours autant de colère envers son beau-père parce que pour lui, tout ses malheurs sont venus à cause de cet homme. Sa mère n’aurait pas rencontré cet homme, son père ne se serait pas battu en prison, il ne se serait pas fait défoncer et il ne serait pas mort. Il n’aurait pas caché à sa soeur qu’il savait que sa mère allait mourir, tout aurait été pour le mieux. Peut-être qu’il n’en serait pas là. La porte d’entrée s’ouvre et Roxanne rentre, le prend dans ses bras et il sourit, sa soeur dans le creux de ses bras. « Ça a été ton audition ? » Roxanne hausse les épaules avant de se reculer pour prendre une bouteille d’eau dans le frigo et lui en tendre une « Ouais, je pense. Enfin, je verrais bien. Toi par contre, tu t’es fait défoncer par ton partenaire ou j’hallucine ? » Adrian rigole un peu avant de lever les yeux au ciel « Il a été plus rapide que moi. J’vais m’doucher, je reviens. » Et il passe par la salle de bain avant de se jeter sous la douche pour apaiser ses muscles endoloris. Quand l’eau a fait son effet, il sort de la douche, enfile un bas de jogging et il reste torse-nu, il sait que Roxanne va râler mais il ne supporte pas de porter de tissu quand il est chez lui, alors plutôt que de rester à poil et de perdre sa soeur parce qu’il est exhibitionniste, il se contente du minimum, à savoir un jogging large et basta. Il attrape la crème pour passer sur ses bleus, histoire de ne pas avoir une gueule cassée au travail demain. Ou même quand il ira voir son psychologue demain, il sera sûr qu’il lui ferait une petite remarque. Et évidemment, la remarque ne se fait pas attendre, Roxanne lui balance un tee-shirt et il lui rebalance avant de se jeter sur le canapé et d’allumer Netflix « Je sors ce soir, je rentre pas tard. » Quand il entend qu’on toque à la porte, il supplie sa soeur d’ouvrir la porte « Tu m’fais chier » lui répond t-elle, en finissant d’attacher la bride de sa chaussure. Alors qu’il navigue sur Netflix, il entend une voix qu’il reconnaît à la porte, il fronce les sourcils et il regarde. Quand il la voit, il hallucine presque. « Y’a quelqu’un pour toi. Et tu me fais chier, t’aurais pu aller ouvrir si c’est quelqu’un pour toi. J’y vais, je rentre pas tard. » Adrian se lève alors et il se rapproche de l’entrée où se tient Ryan. « Je pensais que c’était une mauvaise idée. » annonce t-il de but en blanc, et quand il se rend compte que son ton est un peu trop sec, il la laisse passer pour finir par couper la télévision. « Je suis toujours une mauvaise idée, j’avais compris, mais par contre, je ne m’attendais pas à ce que tu sois là… Tout va bien ? » Parce qu’après tout, elle ne peut pas être là parce qu’elle va bien, parce que tout va bien, et comme de mieux que de venir quelqu’un qui touche déjà le fond pour se dire que sa vie est finalement un conte de fées.

@ryan newman

@ Invité

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Sam 21 Sep - 15:46



who is the bad idea now?


Fire on fire would normally kill us with this much desire, together, we're winners. They say that we're out of control and some say we're sinners but don't let them ruin our beautiful rhythms. @adrian dawkins


☾☾ Ça faisait depuis pratiquement une demi-heure qu’elle était devant cette foutue porte, hésitante. Elle ne savait pas quoi faire. Elle était perdue. Pourquoi était-elle venue ? Venue en prenant un risque immense pour elle-même, pour son collègue psychologue et un risque pour lui, pour Adrian. Ryan était figée, ne sachant quoi faire. Pourtant, elle pouvait partir ou bien toquer, sonner. Non, elle préférait rester statique, ne sachant quoi dire, tentant de trouver un discours, quelque chose à dire, quelque chose de congrès. Le revoir après l’avoir abandonné d’une telle façon, elle s’en voulait et elle savait qu’il devait lui en vouloir, ce qui serai totalement raisonnable. Ryan, étant une femme assez rancunière, se foutrait elle-même des gifles. C’est cette culpabilité qui l’avait emmené ici, dans ce quartier de Bronx, devant cet appartement. Une partie d’elle était stressée, inquiète de ce qui pourrait se passer s’il venait à ouvrir la porte une fois qu’elle aurait sonnée – si elle en le courage à un moment et une autre partie d’elle-même était d’ores et déjà souriante rien qu’à le revoir, à lui parler. Parler comme elle aimait tant le faire, un peu trop, d’ailleurs. Aujourd’hui a été une journée très importante pour elle et sa carrière et il était la seule personne à laquelle elle voulait en parler, avec qui elle se sentait en sécurité. Envers les autres, elle doit passer pour ce docteur, cette future neurochirurgienne sûre d’elle, convaincue qu’elle faisait les choses qu’il fallait pour ce patient victime d’une tumeur mais elle ce n’était pas le cas. Tout le long de cette opération, elle avait la boule au ventre constamment, la peur de faire tout et n’importe quoi. Il n’y a qu’à lui qu’elle se voyait confier une telle chose, lui avouer son ressenti comme elle lui a avoué bien des choses. A lui tout seul, il savait bien plus de choses sur Ryan que certains membres de sa famille. Et malgré elle, malgré qu’elle avait essayé de prendre ses distances de la manière la plus catégorique possible, elle pensait à lui, bien trop souvent. Ces quelques mois où ils ont cessé de se voir avant et après les séances du jeune homme, elle avait réussi quelque fois à aller non-loin du lieu du rendez-vous pour voir s’il se portait bien, physiquement, du moins. Ne pas aller vers lui, c’était une torture pour la blonde. Mais c’était une mauvaise idée. Elle l’a répété une bonne dizaine de fois dans cette fameuse lettre qu’elle n’a même pas eu le courage de donner elle-même. En soit, il était impossible de le nier, c’était, effectivement, une très, très mauvaise idée, qu’ils se voient de façon si régulière, qu’elle laisse tomber certains aspects essentiels de sa carrière pour aller le voir, pour pouvoir lui parler. Ce n’était pas la bonne chose à faire. Sans oublier ses supérieurs ou même proches qui lui ont rappelés constamment qu’il était un patient, que s’attacher à une telle personne serait douloureux et serait tout bonnement impossible à gérer émotionnellement. Et Ryan qui est de nature plutôt têtue a fini par les écouter et cela même si ça lui arrachait le cœur de constater qu’ils n’avaient tous, au fond, pas si tort que ça. « T’es qu’une pauvre fille, Ryan. », se disait-elle à elle-même en ayant essayé pour la dixième fois de toquer à cette foutue porte qui l’empêchait d’être avec la personne qu’elle mourait d’envie de voir, de revoir. Ainsi, elle retournait sur ses pas pour quitter l’immeuble. En attendant que l’ascenseur monte à elle, qu’il s’ouvre et qu’elle puisse partir, elle voit des adolescents y sortir, en rigolant, en se taquinant. Ils étaient tellement dans leur bulle qu’ils n’ont même pas remarqués Ryan. Elle les regardait aller dans l’appartement voisin à celui d’Adrian. Ils étaient à l’aise l’un avec l’autre, on le voyait dans la façon avec laquelle ils se parlaient avec légèreté, comme s’il n’y avait personne autour d’eux. En les voyant agir de cette façon, Ryan se souvient du pourquoi du comment elle s’est retrouvée, deux heures auparavant à demander cette adresse à un de ses collègues au risque de mettre leurs deux carrières en danger. C’était pour le voir, lui. C’était pour être elle, la réelle Ryan et il n’y a qu’avec lui qu’elle se permet une telle chose. Voilà qu’elle revenait sur ses pas, encore une fois. Elle souffle longuement, fermant les yeux, se redresse et toque enfin. Elle n’était pas sûre de ce qu’elle était en train de faire mais maintenant, il était bien trop tard pour retourner en arrière, surtout lorsqu’elle voit la porte s’ouvrir. Son cœur se mit à battre bien plus qu’il ne le devrait. Il se calme un peu plus en voyant qu’il ne s’agissait pas d’Adrian mais d’une jeune femme, visiblement pressée et très bien habillée. « Bonjour, c’est bien là que vit Adrian Dawkins ? » Ses yeux fouillent le peu qu’elle pouvait voir de l’intérieur, le cherchant lui. « Oui. Vous êtes qui ? » C’est une excellente question… Qu’est-ce qu’elle était pour lui ? Elle n’en avait aucune idée. Une connasse l’ayant abandonnée au travers d’une putain de lettre qu’elle regrettait d’avoir écrit un peu plus chaque jour ? C’est probablement la description qui lui irait le mieux, à l’heure actuelle. Elle bégayait, essayant de trouver de quoi se décrire vis-à-vis d’Adrian. Cependant, en la voyant ne sachant quoi répondre, elle reprend la parole. « Okay, je vois. » L’intuition féminine, certainement. En tout cas, elle se met à l’appeler, en criant. De fortes paroles qui, au premier abord, on fait sursauter Ryan mais qui l’ont, par la suite, amusée. Elle ne la connaissait pas mais elle aimait assez son côté spontané et direct. « Bonne soirée. », souhaite Ryan à la jeune femme qui lui répond par un sourire. Après quoi, c’est le visage d’Adrian qui apparaît – enfin. Un sourire timide, presque coincé apparaît sur le visage de la blonde. Cela s’en suivit très rapidement d’un regard inquiet en voyant son visage puis son sourire disparu quand il parle de lui comme étant une mauvaise idée avec cette sècheresse de paroles qui le caractérisait si bien. Elle préférait ne rien dire, rester silencieuse, se rappelant qu’il s’agissait d’une réaction totalement normale. Elle rentre dans l’appartement, en fermant la porte derrière. Ryan jette négligemment son sac et son manteau sur le canapé. Elle le faisant dans l’espoir qu’il ne la jette pas au bout de deux minutes de son appartement. Elle avait besoin de passer du temps avec lui-même si pendant ce temps-ci, il allait lui reprocher de l’avoir laisser tomber avec une lettre. « Oui, ça va. » C’était peut-être la première fois depuis des mois qu’elle se sentait aussi bien. Foutu effet qu’il pouvait avoir sur elle, il ne s’en rendait même pas compte et Ryan, elle ne voulait pas se l’avouer, par peur d’être blessée. « Sympa le tee-shirt. », ironise-t-elle. Elle n’allait certainement pas se plaindre de la vue qu’elle avait, c’est certain. C’était la première fois qu’elle le voyait torse-nu et c’était une agréable première fois. « Toi, ça va ? Qu’est-ce qui est arrivé à ton visage ? » Elle venait tout juste de poser cette question, il n’a même pas pu lui offrir une réponse qu’elle se jette dans ses bras, serrant sa taille de ses bras fins. Le fait de ne pas être l’hôpital lui offrait bien la possibilité de faire ça, après tout, non ? En tout cas, tant pis… Foutue pour foutue.



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