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GET FREE_ dean

@ Invité

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Dim 22 Sep - 21:46
dean leefields
ft johnny depp
ꕥ résumé : Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum. Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
who am I
ꕥ âge : vingt-et-une années arrachées à la vie, le sablier et ses grains de secondes qui parviennent à affaiblir le temps, mais pas le sien à dean. le temps n'est qu'une vétille qui s'oublie quand on se décide d'enfin embrasser sa vie.
ꕥ orientation sexuelle : s'oublier à des corps féminins, à des cheveux délicats dont l'embrun est exaltant, à des lèvres rosées qui exsudent quand c'est enivrant.
ꕥ situation : des envolées de nuit et rien de bien stable. un cœur frivole, volage, et l'amour passionné inconnu. l'amour, c'est la vastité qu'il a du mal à comprendre; la femme et ses complications, son amour inaccessible et son lot de mystères.
ꕥ occupation : les études submergées par la vague de son passé désastreux qui lui a ouvert une unique porte. il conte devant un public ses expériences d'hier, jonglant avec ses poèmes et quelques écrits datant de cette période où pensées et corps étaient accrochées à la drogue. ces gens confortablement assis et bien apprêtés ne pourront s'identifier au quart de son histoire, mais il sait qu'il y a une personne silencieuse au fond de la salle du club qui elle, comprendra tout. mais dean, il aspire à devenir un écrivain reconnu, tapant dans l'horreur et les sujets délicats, criant haut et fort les vérités de ce monde trop souillé.
ꕥ quartier : dans le queens depuis son premier souffle.
ꕥ qualités : gentil, mystérieux, malin, débrouillard, rêveur, libre, séducteur, lucide.
ꕥ défauts : apathique, rébarbatif, discret, je-m'en-foutiste, solitaire, bagarreur, rebelle, sarcastique.
ꕥ groupe : just small daddy issues.
ꕥ communautés : /
all about my player

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : la couleur des sentiments, kathryn stockett.
ꕥ un film : gilbert grape, lasse hallström.
ꕥ une série : friends.
ꕥ une chanson : masters of war - bob dylan.
ꕥ un animal : la vache (c'est sous-côté)
ꕥ un plat/dessert : les pancakes!
ꕥ une boisson : coca-cola, un indémodable.
ꕥ une célébrité : jim carroll.
ꕥ un pouvoir magique : mettre fin à tout ce qui m'indigne.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : je pense que vous pouvez tout oser, autrement j'en parlerai à mon partenaire. keur
that's my story / self diagnosis
tw : toxicomanie.

little kids shoot marbles
where the branches break the sun

into graceful shafts of light…
i just want to be pure.


tu es dean davis, un gosse paumé du queens. gosse au parfum de la jeunesse envolée au rythme de tes propres envolées. tes propres insécurités, et tes propres dérapages. putain qu'c'est dur de grandir. chez maman, tout semble si beau, si lisse et si propre que tout le reste autour ne peut qu'être aussi éblouissant. mais naïveté trompe avec de beaux mensonges pour mieux cacher l'affreuse réalité. naïveté t'a poussé fort dans ses roses intoxiquées et dès lors tu as goûté à un poison insoupçonné : celui de la liberté. tous les gosses rêvaient d'être un peu libres, s'échapper du nid douillé qu'impose un schéma familial, et vaquer à des occupations que chaque parent à peu près conscient déteste. toi, tu avoues faire partie de ce lot. tu aimais dévorer l'air doux de ta liberté. tous les mardis, jeudis et vendredis après les cours, tu pratiquais le basketball, enfermé dans un gymnase plusieurs heures avec comme unique pensée défoncer toutes ces petites merdes en face de toi pendant les tournois. dit comme ça, c'est flippant. mais ton coach – comme tous les autres avant lui – vous avait appris à maintenir cette hargne, cette haine, sur le terrain pour mieux frapper dans la victoire. c'est une technique comme une autre après tout, et dans tous les cas, il fallait bien leur rétamer la gueule à vos ennemis. le basketball était ton unique passion, tu y consacrais le plus clair de ton temps si bien que tu séchais les dernières heures de cours qui te pourrissaient le cerveau, et tu te remettais à taffer tes dribbles. ta mère t'a toujours encouragé, même si au fond d'elle ce qu'elle désirait par-dessus tout, c'était un fils responsable avec un travail l'été et du temps à gaspiller ailleurs que dans un sport. la nuit alourdissait les rues, et, allongé sur un toit, une légère brise venait te caresser tout le corps, tu ressentais une force incroyable sous ce ciel étoilé au cœur d'une ville gigantesque. en fait tu ne pensais à rien que tu rêvais, rien que ton corps dénudé et le souffle des étoiles, et c'était magnifique. tu tenais ton journal où tu notais tes journées afin d'extérioriser tout ce qui devait être hors de toi sur du papier. tu t'exprimais comme ça, tu vomissais l'inspiration simplement. la ville ne te parlait pas vraiment, mais ton cœur si. c'était ta seule muse. et elle t'a accompagné durant toute ton adolescence.

financièrement, vous embrassiez la misère. tu vivais dans un trois pièces ridicule, perché sur un immense immeuble où s'entasse n'importe qui (et surtout n'importe quoi). cet espace restreint est l'endroit où tu as grandis. tu ne te souviens plus très bien l'étage et la porte exactement, ça commence à remonter. mais une fois dedans, tu le reconnaîtrai aussitôt. sur le petit réfrigérateur, des prières sur du vieux papier, des vieilles photos d'une famille oubliée, des factures, et encore des photos. c'était principalement des photos de toi pendant que tu jouais au basket. toujours est-il que désormais elles ne doivent plus être accrochées, ces photos. et qu'importe, tu ne la vois plus ta mère maintenant. autrement, tu avais de vrais amis, à vous cinq vous représentiez bien les gamins rebelles du bahut. l'école catholique, tu l'a toujours rejetée. et dieu, ça fait bien longtemps que tu lui as craché à la gueule. quand tu étais petit, vers huit-neuf ans, tu as pourtant essayé d'être pote avec dieu en l'invitant chez toi à venir voir le championnat du monde de basket. il est jamais venu.

puis parfois, la vie décide de faire des siennes, d'instaurer ses propres règles du jeu et nous forcer à les suivre car au final on n'a pas le choix. on prend des mauvaises décisions, et on perd pied. on voit les choses partir en miettes entre nos doigts et la seule chose que l'on peut faire, c'est attendre de finir en miettes à son tour. c'est con la vie, mais c'est ça. vous étiez cinq, mais liam est mort. d'une leucémie plus précisément. les détails, tu n'en sais rien et tu t'en tape. liam c'était l'as du basketball, le plus grand de vous cinq et surtout le plus intelligent. c'était une lumière ce type, tout ce qu'il pouvait entreprendre suivait le droit chemin. c'était ton meilleur ami, ton épaule, ton pote d'enfance et par-dessus tout, celui qui savait tout de toi dans tes plus grandes évidences comme tes plus fines lignes parsemées de secrets. sa maladie n'a duré que quelques futiles mois avant qu'il ne rende âme et s’installe pour de bon dans vos mémoires. tu sais que les autres mecs s'en sont remis facilement de cette perte, mais toi, tu as totalement perdu pied. sa disparation a été ton ouverture sur un terrible précipice où chaque seconde un peu plus, tu t'abaissais dedans avec la crainte ultime d'y rester à tout jamais.

ben t'a introduit à cet enfer. c'était lors d'une soirée, qualifiée comme "surprise", qu'il t'a présenté à deux filles dans un immeuble bien plus sophistiqué que le vôtre. à la porte : deux blondes sur-maquillées, en petite tenue, qui puaient le sexe. l'une d'entre elle t'a entraîné dans sa chambre, lâché dans un grand lit et elle a sorti une boîte abritant de la came blanche. tu ne pouvais pas foutre en l'air ta première expérience sexuelle, alors tu as tout sniffé d'une traite. tu as senti ton sang chauffer et ton corps prêt à dévaler des montagnes. suivi par des pulsions qui ne repartiraient pas de suite. ainsi la blondasse a eu ce qu'elle voulait, pu prendre son pied et toi tu demeurais l'esclave de cette blanche qui manquait à tes narines desséchées. alors cette poudre a commencé à s'affirmer de plus en plus: des nuits entières à sniffer, des cachetons que tu avalais comme des gorgées d'eaux et tes yeux vitreux comme prêts se barrer du globe oculaire. le manque s'installait à une vitesse folle, tu pensais être le maître du jeu mais tu n'étais qu'un pion qu'elle était en train d'éliminer de la partie. et un après-midi, puisque sur le moment ton corps tenait le coup, tu t'es lancé sur le terrain. mais les rebonds saccadés du ballon de basketball frappaient comme un tambourin dans ton crâne, et tu suais à grosses gouttes dans ton short trop serré avec tes deux fines jambes tremblantes comme des feuilles cognées par le vent. tu te souviens avoir frétillé bizarrement. ça ne s'arrêtait plus, pourtant tu t'activais sur le terrain, t'imaginant capable de repousser tes limites, refusant de te résigner à la loi de ton corps. un frisson glaçant parcourra tout ton corps, puis, déboussolé, tu n'arrivais plus à pourchasser le ballon. ça tambourinait trop fort, ça te retournait le cerveau. tu t'es alors écroulé âprement, comme abattu par un coup de feu. à terre, tes yeux peinaient à rester éveillés, ta bouche entre-ouverte relâchait un toussotement faible et tes oreilles bouchées appelaient le silence tandis que tes acolytes, ton entraîneur et une foule subite se ruèrent autour de toi.

c'était les seuls souvenirs qui te restaient tatoués en mémoire car après, tu t'es réveillé dans les douches, l'eau jaillissait sur ton visage terni. ton entraîneur était là, tout proche. il te parlait, te racontait des choses, faisait des grands gestes sur lesquels tu n'arrivais pas à te concentrer. il semblait compatissant, il voulait t'aider à première vue. donc il s'est approché, et puisque tu ne réagissais pas, il a commencé à te toucher de manière inappropriée. alors tu t'es redressé pour enfoncer son crâne dans le mur carrelé. je pensais qu'on était sur la même longueur d'onde, dean, tu n'as qu'à garder ça pour toi et on oublie tout. va te faire foutre coach, pensas-tu. cet abruti s'est imaginé capable de profiter de toi et puisque tu lui avais explosé le nez, visiblement, il semblait remonté. pour maquiller tous soupçons, il t'a renvoyé de l'équipe parce que tu étais trop drogué ou trop à l'ouest. une excuse de ce genre. les bruits qui ont courus ont sifflé à l'oreille de ta mère qui t'a interdit de remettre pied à l'appartement. mais toi, ce qui te faisait le plus chier dans tout ça, c'était que tu n'avais plus de blanche et plus un rond.

dehors, tu crevais la dalle, le froid, la peine un peu, et tu voyais défiler tous ces gens qui pouvait te contempler croupir à feu doux. ben et toi, vous êtes restés très poches pendant cette période. les deux autres mecs, c'était autre chose. jack ne voulait même plus voir vos tronches, c'était le plus net dans toute l'histoire car lui a disputé tous les matchs sans toucher à la moindre drogue, et à l'heure actuelle, il doit sans doute être pété de fric à se taper les plus belles nanas du pays. puis il y a louis qui est tombé dans l'aversion au même moment que vous. sauf qu'il s'est fait tirer dessus dans les chiottes d'un métro après s'être mis à frapper deux mecs impulsifs pour une histoire un peu sombre.

you see, you just don't know
i'm here to give you my heart
and you want some fashion show

as-tu déjà parlé publiquement de la fois où tu as pris de l'héroïne ? dans la cave de louis, des mecs qui ont remplacé les armes par des seringues t'ont proposé de passer à l'intra-veineuse alors que tu voulais seulement sniffer. tu avais pourtant peur des aiguilles, mais tu as accepté tête baissée. c'était comme une longue vague de chaleur dans tout ton corps. douleur, souffrance, tristesse, sentiment de culpabilité, tout avait été lessivé. voyage imminent, on n'est jamais prêt pour le décollage. mais lorsque la fusée perd en altitude, la chute est d'une telle fatalité qu'on se sent absorbé par la vie elle-même qui vous grignote sans aucun scrupule. l'étau s'était resserré, et tu avais perdu la virginité de tes veines à dix-sept ans. au petit matin, le nez s'est mis brusquement à couler, les yeux à pleurer, les muscles du dos et des jambes lourds et raides. puis la réalité t'as rattrapé, tu t'es senti prêt du gouffre, prêt à mourir, et t'as tellement aimé ça que t'as continué. parce que les mauvaises choses vous amènent à celles qui sont bonnes. fuir pour exister. pendant cette période de trois ans, tu as volé, braqué et tu t'es même prostitué dans les sous-terrains de la ville pour avoir le fric nécessaire pour payer ta came. mais surtout, tu as été délaissé dans ta pire solitude au milieu de passants corrompus ou éteints, toi et tes veines entières plongées dans l'héroïne, toujours une cigarette enfoncée dans les badigoinces. tu as erré dans un queens sale et démoniaque – tu en as trop vu ses cornes, et as trop goûté à son fouet. tu as conclu ton adolescence, là, dans la misère et les putes, et du traînasser au fond de toi une affligeante lame de fond qui a alourdit ton cœur et ton corps, fendillant ton squelette frêle de jours en jours.

comme ce soir-là, triste soir pluvieux, ou tout semblait t'écraser. la vie et la ville, la douleur et le manque, plus un sous, plus un proche, plus rien pour te relever. tu t'es posté sur le palier de l'appartement où tu as grandis. mioche souriant et passionné, ce dean te manquait. mais derrière ta tête, le manque d'héro te maintenait en apnée, comme s'il te menaçait avec un couteau. c'était plus fort que toi, il t'en fallait. tu as toqué à la porte et hurlé pour que ta mère t'entende. tu lui as demandé un peu d'argent, vingt-cinq dollars pour survivre dans le froid de cet hiver givrant. ta mère refusait, je ne peux pas dean, je ne peux pas, répétait-elle larmoyante. tu voulais rentrer, tu braillais pour rentrer, et ton cœur brisé battait tellement fort que tu as cru qu'il s'arrêterait. ta propre mère venait de te laissait à la rue, sans même te donner quoi que ce soit pour survivre. la peur et cette envie irrépressible de te salir encore plus les veines te hantaient à tel point que tu en devenais parano. et en une seule phrase, ton seul repère venait s'effondrer. la seule personne qui devait veiller sur toi venait de disparaître dans tes souvenirs. elle a appelé la police en disant qu'un inconnu la harcelait. ils t'ont emmené, tu as tellement de fois hurlé "maman" pour qu'elle vienne te chercher que tu ne sais plus comment le prononcer correctement. va te faire foutre salope !

tu as pris six mois de taule pour agression, vol qualifié, résistance aux forces de l’ordre et détention narcotique. la désintoxication a été atroce, tu en as bavé mais tu es resté clean jusqu'au bout, même si c’est plus facile de trouver de la bonne came ici que dans la rue. putain tu en as vraiment chié, tu n'as rien fait d’autres que relire tes vieux journaux en te demandant comment tu pouvais être encore en vie et quelle différence ça pouvait faire. l’important c’est que tu en ais fini avec cette bande d'enculés de violeurs sous la douche. l’important c’est que ces pourris de flics ne te feront plus saigner les chevilles. l’important c’est que tu ais réussi à penser plus qu’à des conneries, c’est quand même chouette de se dire qu’on a une vie. ta mère a refusé de te rendre visite, elle ne t'a plus jamais reparlé depuis la dernière fois. et maintenant, tu es de nouveau à zoner dans les rues du queens avec le poids d'un passé scandaleux sur le dos, à croiser tous les matins ces gosses qu'on aurait préféré voir mort il y a quinze ans. ces jeunes défoncés du matin au soir qui s'en sortiront peut-être, comme toi, ou qui périront et pourriront sous les griffes de l'addiction. toi, tu t'en ais sorti, et tu as même dégoté un taf dans une petite salle de spectacle où tu racontes tes expériences, tes poèmes devant un public alarmé, qui cherche du divertissement à travers tes paroles. ils ne sont pas comme toi, et tu le sais. ils ne pourront jamais ressentir tout ce que tu as vécu à la bonne hauteur de compassion. mais tu sais qu'au fond de la salle, il y a toujours cette personne droguée et paumée dans sa vie qui t'écoute, qui peut-être s'identifiera à ce que tu racontes et réussira à faire marche arrière dans sa descente aux enfers. ton boulot, c'est pour cette personne que tu le fais. car la vie, parfois, ne tient qu'à une seringue.

this session is gonna be different
hugo ꕥ dix-sept ans
fréquence de rp : 1 ou 2 rp/semaine, j'essaierai. ϟ fréquence de connexion : regulière, j'me connecte un peu tous les jours en fait. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? peu m'importe, je préfère la qualité à la quantité. I love you ϟ avatar à réserver : johnny depp, dans sa jeunesse. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : alors là.... GET FREE_ dean 2253815916 ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, il m'a tapé dans l’œil y'a un moment déjà. love ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? n'hésitez pas si mon deanou vous intéresse à sauter dans mes mp pour qu'on discute d'un lien. GET FREE_ dean 36146562
pinterest (icon) AFTERMATH. (avatar)

@ Invité

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Dim 22 Sep - 22:02
Bienvenuuuue hola love

@ Invité

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Dim 22 Sep - 22:34
welcome home pompom GET FREE_ dean 594440419 GET FREE_ dean 3897432730

@ Invité

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Dim 22 Sep - 22:42
ta plume ?????
cette histoire ????
GET FREE_ dean 3906856619

@ Invité

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Lun 23 Sep - 10:58
Officiellement bienvenue ici et je n'avais pas reconnu Johnny Depp sur ton avatar XD Vu le travail et l'aspiration de futur écrivain, je crois qu'on va devoir discuter avec un lien avec mon DC, levi boyle si ça te dit **

@ Invité

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Lun 23 Sep - 21:47
t'es bô papa. GET FREE_ dean 2153884322
bienvenue officiellement. je reviens vers toi pour le lien. hug

@ Invité

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Mer 25 Sep - 11:36
Bienvenue hola

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 15:19
J'aime beaucoup ta façon d'écrire, cette fiche puppy
Faudra que je pense à ton mp, Orion est bénévole aux NA, vu le parcours de Dean il y aura moyen de lier les deux I love you

@ Invité

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Dim 29 Sep - 11:36
Hello @dean leefields, as tu besoin d'un petit délai pour finir ta fiche ? :)

@ Invité

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Jeu 3 Oct - 13:34
je déplace

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