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Junipero is the new gold

@ Invité

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Mer 25 Sep - 22:50
James Abramovich
ft Antoine Olivier Pilon
ꕥ résumé : Juni, t'es l'anxiété de performance sous les feux de la rampe ; faut que tu sois le meilleur, dans tout, tout le temps. Que tu sois au top, que tu bouffes la vie pour pas te faire bouffer par elle. T'as laissé ta mère, ton père et ton frère au Canada pour venir te dépasser ici, à New York. Pour être quelqu'un - ou peut-être bien juste pour t'assurer de te crever en paix et à petite dose de smart drugs, de codéïne, de stimulants, des rave pills, et qu'est-ce que t'en sais, t'avales tout, toi, t'es pas une putain de pédale. Tant que ça continue de te faire avancer, tant que ça peut te garder la tête hors de l'eau. T'en as besoin, parce que t'as besoin d'être le meilleur. T'es le meilleur. T'emmerdes toutes ces petites connasses sensibles et ces connards de prétentieux incapables de tenir les nuits comme toi, tu les tiens. Comme tu tiens le sport, aussi, les études, le travail, t'es trop bon, t'es le meilleur, putain.  
who am I, Junipero
ꕥ âge : 21 #sagittaire #décembre
ꕥ orientation sexuelle : T'es gay, mais t'es pas une fiotte
ꕥ situation : Célibataire, t'as pas que ça à foutre, et t'aimes pas les pd
ꕥ occupation : Étudiant en première année de droit à la Columbia University, coureur de fond|sprinter pro pour leur équipe d'athlétisme
ꕥ quartier : Manhattan, près de l'université
ꕥ qualités : performant, performant, performant
ꕥ défauts : connard de menteur égocentré ?
ꕥ groupe : idk what you're talking about
ꕥ communautés : Idk yet
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Ok donc je suis au pays des caribous, je vis dans le passé, eh oui Lucette, c'est pas bon pour les nerfs mais c'est comme ça  Junipero is the new gold 36146562 .

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : j'ai brûlé la bible oups
ꕥ un film : CRITTERS (c'est l'enfance ou c'est rien hein)
ꕥ une série : Livio m'a dit de mettre ''Marianne''
ꕥ une chanson : CELLE DE TON COEUR #l♥ver
ꕥ un animal : a doggo
ꕥ un plat/dessert : café lel
ꕥ une boisson : lube fraise
ꕥ une célébrité : toi
ꕥ un pouvoir magique : oulah. changer ce qui ne peut être changer. (yes real deep)

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : aucun, tant que c'est abordé avec intelligence.
that's my story / self diagnosis


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Tu fais plus vieux que ton âge.

C’est peut-être à cause de toute cette pression que tu te mets sur le dos, ou à cause de l’athlétisme qui a asséché  ton corps dès la puberté. Ou ce sont les gènes du père. Ton père qui vient du nord de l’Europe, qui ne jure que par l’Homme, le vrai, le bâti, le sempiternel cliché destructeur. Les américains l’aime bien, pour ça. Surtout les Conservateurs. Ton père qui a muté au Canada pour affaires, qui y a rencontré ta mère, cette dépressive chronique dont tu gardes peu de souvenirs ; toute ton enfance, elle l’a passé avachi dans son lit, comme une larve recroquevillée dans son cocon de draps jaunis. Ta mère qui ne bouge pas. Ta mère qui hiberne, saisit par le froid de la Russie, par le froid de ton père. D’elle, tu as hérité des grandes neiges, celles qui ont blanchit tes cheveux et javellisé tes yeux.

T’es grand. Sec. Souple.

T’es un athlète. Ton corps, tu lui en demandes beaucoup. C’est un des véhicules qui te mènera au succès. Quand il refuse de coopérer sur la piste, tu le shoot d’antidouleurs. Et quand ce n’est plus suffisant, tu le shoot de stimulants. Faut pas qu’il te lâche. Parfois les muscles sautent, nerveux. Ils surchauffent, ils bloquent. Mais ton dos reste bandé, et droit. Tes jambes continuent de te porter, par habitude. Par obstination. On ne te verra pas tomber, ou te plaindre. Tu es au-dessus de tout ça : de la douleur, de la médiocrité.

T'es chaud, aussi. Feutré.

Dans ta façon de parler, dans ta façon de faire. Avec le train de vie que tu mènes, on pourrait penser que t'es un espèce d'hyperactif complètement survolté, mais non. Tu as l'habitude de te montrer sous ton plus beau jour, serein et en contrôle. Tu cours les événements avec le standing qui s'impose. Tu te fais caméléon, désireux de jouer correctement dans la cour des grands.

T'as le charisme qu'il faut. L'intelligence de lire les bonnes personnes de la bonne façon. Il y en a qui vont te trouver fendant, trop sûr de toi. Tu seras charmant, selon les autres. Ce qui est certain, c'est que t'as de la classe. T'es pas vulgaire. Sauf quand t'es seul, ou quand il s'agit de faire plier un amant - là, les barrières tombent. Tu deviens salop comme tous les hommes. Et de temps en temps, ça te fait du bien. C'est libérateur.

Le truc, c'est la balance. Et tu crois que t'es pile au milieu, que tu gères bien, que t'équilibres les aspects de ta vie avec brio. T'es maître jongleur. T'échappe rien. Surtout pas toi ; non, tu t'échappes pas. Il n'y a que les ratés qui ne savent pas se contrôler, qui montrent leurs faiblesses devant les autres. Comme ta mère. Comme ton frère.

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psypsypsy

L’eau.

Le premier élément qui t’as cueilli, la première place où t’a manqué crever. C’est comme si tu n’en étais jamais sorti. Tu flottes et tu coules, simultanément, avec trop d’aisance pour qu’on veuilles t’aider, et juste assez pour être admiré. Dans la foule, ton corps ondule ; le monde, tu l’épouses. Socialement adéquat, banalement fait, juste assez beau et confortable dans tes pompes pour qu’on se doute de rien - et si on se doute de quelque chose, on se dit que tu surnages parfaitement, et on trouve ça super. C’est super. T’es super.

Tu es un athlète, après tout. Est-ce que ça ne rime pas avec détermination, contrôle, discipline. Saines habitudes de vie. Mental d’acier. Tu étudies en droits - une élite en devenir. Un gars au-dessus de la moyenne. Tu bosses dans la restauration, une autre fine couche de vernis sur ton quotidien. Est-ce que ça ne rime pas avec fiable, professionnel, consciencieux. Après la fermeture, ça finit en soirée arrosée au Sky, ou au Bell’s Bar, ou au Deadend, et le lendemain, t’es assis dans l’amphithéâtre de l’université, frais comme une tulipe. T’es un mec bien. Tu gères. Personne ne sait comment tu tiens le coup, entre tes études, ta vie sociale, ton taff, mais personne ne veut vraiment savoir ; ils préfèrent te voir briller, mais secrètement, tu les connais ; ils attendent que tu t’effondre pour joueur au Roi de la montagne sur ta carcasse défaite. Tu ne les laissera pas faire. Tu vas leur en foutre plein la vue. Tu vas surfer sur ta vague. Toi, toi t’es capable de te tenir à flots. T’es un battant.

Le feu.

Celui que t’as dans les poumons quand tu te défonces, sur une piste d’athlétisme ou dans ton lit. Il te le faut, tu as besoin de cet incendie quotidien, le temps d’être au meilleur de toi-même. Et jour après jour, tu dois performer. Garder cette longueur d’avance. À trois foulées devant tout le monde, à trois baises d’oublier la première, à trois cachets d’être un surhomme. Tu te consumes - flamme trop vive cerclée d’une cire qui s’épaissit trop vite. Tu ne sais pas quand est-ce que ça va s’arrêter ; idéalement, jamais. Faut jamais t’arrêter. T’as cette certitude béton que si tu te poses, tu vas mourir. Que t’arriveras jamais à redécoller, à rattraper le peloton, à le dépasser. Tu seras pas un raté comme ton frère. Tu donneras pas raison à ton père. Tu vas être quelqu’un.

Crocodile.

C’est ce que t’es. Peau dure, tranquille. En contrôle. Ta sexualité est primaire, pulsionnelle, dévorante. Tu la laisse exploser sur ceux qui s’en approche consciemment. Tu aimes dominer, humilier, continuer d’avoir de l’emprise jusque dans ton intimité. Puis dans la même heure, tu es doux, souverain, sans bâillon. T’aimes aimer. T’aimes qu’on t’aime. T’aimes, si ça peut t’exalter, te faire jouir, te faire oublier.

Et puis, t’as cette peur enfantine d’être dévoré par la vie. Alors c’est toi qui la bouffe. Par les deux bouts, partout, tout le temps. Galvanisé de tes succès, de ce pied dans l’élite, toi qui vient de nulle part, toi qui va se rendre loin. Tu le sais, tu le sent. La première fois que t’es monté sur un podium, ça t’a foutu la tête dans la stratosphère ; tu veux plus en redescendre. Et ceux qui veulent te mettre des bâtons dans les roues, t’es prêt à tout pour les empêcher de te nuire. Ça te rend mal. Ça te rend vicieux. Ça te rend mauvais. Et comme pour tout le reste, tu es capable d’une violence inouïe. Tu l’as en toi. Tu le sais depuis que t’es gosse.

L’absence.

Quand tu te défends, quand tu penses que tu frappes pour sauver ton intégrité. Puis quand tu attaques, après avoir macéré durant des jours dans tes idées destructrices, dans ton venin noir. Il n’y a rien de trop extrême pour une paranoïa de jeune prodige qui s’alimente en perturbateurs, en quête d’hégémonie, et qui, avec toute cette pression constante, doit parfois lever le couvercle.

Et le lendemain matin, tu rentres au boulot, bien mis dans ta chemise noire, puis tu vas au bar, tu tires un coup, tu veilles, tu t’entraînes, tu retournes t’asseoir sur ton banc universitaire. Frais. Frais de tes sueurs froides, frais de toute cette eau glacée que tu as dû te passer dans le visage pour reprendre contenance, frais de cette cendre que laisse la violence sur tes gencives. Comme un goût de coke qui t'engourdit jusqu’à la racine des dents. Et tu flottes, calme et énorme Gavial, jusqu’au prochain acte qui te mènera un peu plus prêt de tes lauriers.

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storystorystory

Vancouver.

Naître dans une ville aussi densément peuplée, ça t’a tout de suite obligé à devoir chercher l’excellence pour pouvoir te démarquer. Quand t’étais gosse, t’étais plutôt chétif. Le père te comparait constamment à ton frère Spencer, de deux ans ton aîné, qui gagnait de la masse et de la hauteur comme un champignon au napalm. Spencer le fils prodige, Spencer la fierté du père. Fallait que tu rivalises avec lui, et dans tout. Qu’à deux, vous vous challengiez constamment pour vous dépasser l’un l’autre. Le père avait compris ça : il vous inscrivait aux mêmes activités, toujours, pour stimuler votre esprit de compétition. Vos agendas étaient réglés à la minute près. École, cours particuliers, natation, boxe, athlétisme. Piano. Piano pour Spencer, qui avec les années, délaissait de plus en plus la vision viriliste du père. Il avait envie d’art, de calme.

Chopin claironnait dans votre maison. La mère était dans la chambre, à dormir, toujours. Le père se rabattait sur toi ; fournis pour deux. T’es pas une tapette. T’en a rien à foutre, de la musique, du théâtre, de la poésie. Faut que tu bouges, faut que tu t’épaissises. Quand le père n’est pas là, Spencer t’apprend quelques notions sur son piano. Tu aimes ça, et tu détestes tout à la fois. Faut pas que tu ralentisses, t’as pas le temps de t’asseoir et de faire l’artiste torturé, comme ton crétin de frère. Faut que tu t’entraînes. Faut que tu sois le meilleur.

Tu grandis, tu performes, et Spencer se ramollit. C’est ce que le père dit. Spencer ne veut plus aller en Droits. Être avocat, ce n’est pas pour lui ; il n’est pas un requin, il veut une muse. Le père se tourne vers toi : Sois pas un raté comme ton frère. Non, ça, ça n’arrivera pas. Tu vas prendre le flambeau de cette carrière délaissée, tu vas le rendre fier.

À l’époque, t’es à cent pour cent dans l’athlétisme. Ton coach croit que t’as la trempe d’un coureur, d’un vrai coureur. Le père te dirige à fond dans cette discipline. Maintenant, tu vas courir. Tellement que tu vas te réveiller la nuit en hurlant, les jambes tétanisées sous un effort fantôme. Tellement que ça va devenir ton premier vrai exutoir. Tellement qu’il va suffir que tu enfiles tes chaussures pour que ton coeur palpite plus fort, appréhendant l’effort. C’est à ta Junior Year que tout va commencer à s’effondrer.

Dans l’équipe de coureur, y’a un mec meilleur que toi. Tu as toujours été en tête de peloton, mais pas cette fois. Tu commences à jouer dans la cour des grands, et tu réalises que t’es pas un Dieu. Pas encore. Le monde est grand, et bourré de garçons plus talentueux que toi. Little Rock, que les autres l’appellent. Pire que Spencer. Lui, il veut gagner. Ça le fait même rire que t’écoutes du Beethoven avant chaque entraînement. Il te regarde toujours avec cet air arrogant. Il est juste un peu plus petit que toi. Juste un peu plus rapide. T’aimerais lui éclater le visage sur la piste. Mais pour ça, faudrait que tu puisses le rattraper. Tu le hais.

Tu le hais jusqu’à ce qu’il t’embrasse dans les vestiaires. T’as toujours eu des vus sur les garçons, mais t’as aussi toujours été trop fier pour t’y attarder. Et parce que le père te tuerait, s’il le savait. Mais Rock s’offre à toi, et pour la première fois, tu peux enfin le dominer. Ça te fait bander comme jamais t’a bandé. Vous baisez sous les douches. Quand tu met ta queue dans sa bouche, ça lui enlève finalement son petit sourire ingrat. T’es peut-être amoureux.

La semaine d’après, quand tu tentes un rapprochement en public, il te repousse. Rit méchamment. T’es quoi, une pédale ? Tu me donnes envie de vomir. Il se plaint auprès du coach. Ça se rend jusqu’au père. T’es scié. Pour la première fois dans ta vie, tu te sent dépassé. Tu te noies. Comme la fois où t’as coulé au fond de la piscine, et que ta mère regardait pas. Ça fait tellement mal, putain. Le père est grave. Il avait abandonné ses projets pour Spencer, se reposait entièrement sur toi. Maintenant, il vous exècre tous les deux. Mon fils est un pédé. Il dit, chaque matin, je me lève en décidant d’être ton père ; Aujourd’hui, tu me fais regretter ma décision.

Les quarts de finales approchent. Tu fais un claquage. Première fois que tu te dopes aux anti-douleurs. T’arrêteras plus, après ça. T’arrêteras plus parce que, avec cette came, t’es capable de rattraper, puis de dépasser Little Rock pour la première fois. Quand tu te retournes, à l’arrivée, et que tu vois son visage défait, tu te sent euphorique. Puissant. T’as encore envie de le baiser, mais ce serait trop sauvage. Même pour toi. Faudrait que tu lui casses la mâchoire, sinon, il va parler encore.

Tu prends pas ce risque.

Mais même quand tu gagnes, maintenant, le père ne dit rien. Il ne vient pas te voir. Tu le dégoutes. Le père est un connard. Il croit que t’es un raté, mais tu vas lui prouver que t’es tout le contraire. Et même s’il est pas là pour célébrer tes victoires, elles sont bien tangibles. On te file des médailles. L’or chauffe ton coeur. Brûle ton estomac.

Pour ta Senior Year, tu changes de collège. T’as éclaté le nez de Little Rock contre la céramique des douches, pendant les examens de fin d’année. Il t’avait cherché ; il t’avait craché au visage, en te traitant de camé. En menaçant de dire au coach que tu prenais des stimulants. C’est vrai, t’avais commencé ça après les demis-finales. Tu voulais pouvoir te rendre jusqu’au bout. Et c’est ce que t’as fait.

Là, tu fracasses tous les records. T’es sur ta pente montante. Tu prends encore plus de cachets. Ça te rend invincible. T’es invincible, et l’année prochaine, t’iras à une Université américaine avec tes bourses sportives. À New-York. La School Law de la Columbia University, elle t’a recrutée, parce que t’es le meilleur. Et tu vas aller en Droits. Tu vas planter Spencer pour de bon. Tu vas planter le père aussi. Tout le monde, tu vas planter tout le monde.

À New York, tu te mets à consommer davantage, et pas que pour le sport cette fois ; ici, tous ceux qui veulent performer dans leurs études prennent de l’Adderall. C’est connu. Et toi, tu refuses de traîner de la patte derrière. Ou même d’être dans la moyenne. Tu prends des cachets pour pouvoir te concentrer, étudier pendant des heures sans relever la tête des tes cahiers. T’es en compétition avec tous les autres. Tu fais la course aux stages. Tu dois te démarquer, tu dois être le meilleur.

Sur la piste d’athlétisme, tu te frottes à du haut niveau. Tu trouves un nouveau dealer, un qui s’en fout de te fournir des trucs surpuissants. Ton physiothérapeute voulait diminuer la dose d’antidouleurs. Ton physiothérapeute est un enculé. Tu vas gratter du côté des étudiants en médecine ; eux, ils te conseillent des cocktails qui fonctionnent.

T'as réussi. T'es rentré en Law School. Mais faut pas relâcher la pression. Trois ans. Faut pas que tu relâches, pas que tu relâches. Tu dormiras dans trente-six mois. T’aurais mal dans trente-six mois. Là, tu vis sur le Statex. Le Cordin. Tu prends du speed pour contrebalancer les effets. Une ligne de coke le matin quand t’es pas capable de sortir du lit. Puis tu prends de l’Adderall pour tes travaux, et alterne avec du Ritalin. Pour la course, tu prends ce que ton dealer te donne - tu sais pas toujours ce que c’est, mais ça te fais aller plus vite, alors tu poses pas de question. Et récemment, t’as du mal à t’empêcher de fourrer sans poppers, ou d’autres merdes de ce genre. Ça rend le truc plus intense. Plus long. Meilleur.

T’es le meilleur.

Il y a deux mois, ton Coach a découvert que tu te dopais en compétition. Il t’as dit qu’il n’accepterait pas ça. Que venant de toi, ça le décevait. Mais que ça ne le surprenait pas non plus. T’as pas su exactement ce que ça voulait dire. Mais t’as su que ça allait devenir dangereux. Parce qu’il t’a dit que t’étais viré de l’équipe. Et même quand t’as supplié, il t’a sourit. Le même sourire arrogant que Little Rock. Non. Il a dit non.

T’aimes pas qu’on te dise non.

Alors tu l’as suivi jusqu’à chez lui. T’as essayé de lui faire entendre raison, une fois de plus. Le ton a monté. Tu l’as menacé. Il a dit que t’étais pathétique. Toi, pathétique. Y’a un truc qui a sauté dans ta tête. Comme dans les vestiaires, comme à Vancouver. Tu l’as tabassé. T’as tabassé ton coach, tellement fort que t’as cru que tu l’avais tué. T’as appelé l’ambulance et t’es parti. T’as pris tous tes cachets, d’un coup. T’as pensé que c’était fini. Que t’avais tout fait merdé.

Mais tu l’as juste mis dans le coma. Il s’est réveillé la semaine passé, et il se souvient de rien.

T’en as, de la veine. Tu vas pouvoir rester dans l’équipe. T’es même allé porter des fleurs au coach, de la part de tout le monde. Il était content. Toi aussi. Tellement content. T’avais les pupilles grosses comme des balles de golf. Un sourire éclatant, gentleman.

J’suis vraiment heureux de t’avoir avec nous, James. T’es un brave gars. Tu vas aller loin, dans la vie. Je le sent. Tu as la bonne attitude. Tes parents doivent être fier de toi.

this session is gonna be different
IVO ꕥ 23 ans
fréquence de rp : dude. t'espasprêt. imma beast. ϟ fréquence de connexion : SOUVENT, c'est la stalker fiber ça ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? noyez-moi ϟ avatar à réserver : nope ϟ de quelle couleur sont les petits pois : mauve, ils retiennent leur souffle ! ϟ comment avez-vous connu 99 ? *pointe Livio* ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? JEM PAS LES BÉBÉS MAIS JEM EN FAIRE  Junipero is the new gold 2958767705
tumblr (gif) solsken (avatar)

@ Invité

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Mer 25 Sep - 23:56
Bienvenue parmi nous Junipero is the new gold 3075064659 Junipero is the new gold 1729036717

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 7:49
bienvenue parmi nous. cute

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 8:40
Bienvenue ici James et Livio ramène tous ses copains excited excited On s'est permis d'ajouter un petit "trigger" à ta fiche, le contenu peut-être sensible pour certain love n'hésites pas si tu as des questions itou cutie

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 10:09
c'est parce que je racole à mort, tout le monde le sait What a Face

BIENVENUE TOI (pas trop tôt)
quand est-ce qu'on fout le feu :77: :77: :77:

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 11:28
Bienvenue, amusez vous bien avec Livio hug

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 15:28
Est-ce-que les gens peuvent arrêter de rédiger des fiches trop bien, j'ai pas assez de temps pour tout lire moi Arrow Junipero is the new gold 3906856619
Mais il a l'air giga intéressant ce James, en plus il porte un de mes prénoms préférés alors.
Bienvenue par ici en tout cas love

@ Invité

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Jeu 26 Sep - 18:39
présentation validée !
Just before we start...Sacré vie et histoire qu'il a, James. J'aime beaucoup ta plume, très facile à lire mais vraiment pleines d'émotions  I love you Par contre, si tu pouvais avoir un avatar à la bonne taille pour la présentation, ce serait nickel pour le botin love et si tu n'en trouves pas, je vais essayer de voir de mon côté Junipero is the new gold 2958767705

Pour faciliter ton intégration sur le forum je t'invite à créer ta fiche de liens. Le petit résumé du perso que tu as écrit dans ta fiche peut être utilisé là bas, il est presque fait pour ça en fait

Avant de te lancer, même si je suppose que c'est déjà fait en grande partie, n'hésite pas à prendre connaissance des annexes. Il n'y en a pas beaucoup et elles peuvent s'avérer franchement utiles !

N'oublie pas non plus de recenser le métier de ton personnage ainsi que  le logement habité, et si tu le souhaites, tu peux même aller créer des petits scénarios ou pré-liens pour ton personnage dans cette section ♥

Pour finir, n'hésite pas à venir sur la box et à profiter de notre flood amélioré !♥

J'espère que tu passeras un bon moment sur le forum. En cas de besoin, nos boîtes de MPS sont toujours ouvertes  N'hésite pas à nous contacter, tu trouveras toutes les infos sur qui nous sommes ici cutie

@ Invité

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Sam 28 Sep - 11:18
Bienvenue parmi nous Junipero is the new gold 928930545

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