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4 résultats trouvés pour LosLatinx

(NOA) God, I'm so blue, know we're through but I still fuckin' love you, babe

Invité
20 r ; 562 v.
Ven 5 Mar - 9:42
noa aguilar
just small daddy issues
ID CARD
{@=828}noa aguilar{/@}
29 ans - graphiste
FEAT : gina rodriguez
Noa a grandi dans une famille Guatémalienne très catholique. Arrivée aux États-Unis à l’âge de trois ans, elle a dû s’adapter à ce nouveau mode de vie et apprendre l’anglais. Elle a vécu dans une grande pauvreté toute son enfance, mais n’a jamais ressenti le manque de quoi que ce soit. Elle est tombée enceinte lorsqu’elle avait 22 ans, et a accouché de petites jumelles à ses 23 ans. Elle était folle amoureuse du père de ses enfants, mais elle l’a forcé à partir car il n’était plus heureux. Il avait besoin de vivre son rêve et d’être libre. Elle a toujours espéré le voir revenir, mais après quelques années, elle s’est fait une raison. Aujourd’hui, à 29 ans, Noa a réussi sa vie. Elle est graphiste freelance, elle est propriétaire et élève seule ses filles. Elle est très entourée de sa famille et de ses amis. Elle ne pouvait rêver mieux. Elle transmet son héritage latin à ses filles, et elle espère qu’elles seront fières de savoir d’où elles viennent et de leurs grands-parents pour être les premiers à leur avoir offert la possibilité de cette belle vie qu’elles possèdent.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Née au Guatemala, la belle a dû passer son enfance à prouver à tout le monde qu'elle pouvait, elle aussi, être une vraie américaine. L'adolescence a été difficile, un conflit d'identité... trop latino pour ses camarades de classe, trop américaine pour sa famille. Et puis, à ses 15 ans, la belle a obtenu la nationalité américaine, en plus de sa nationalité guatémalienne. Elle a depuis mis de côté ces problèmes acceptant fièrement sa double nationalité. Mais surtout, elle a su en faire une force d'être "différente" des autres, de parler une langue supplémentaire et d'être capable de s'adapter à deux cultures simultanément. C'est cet héritage qu'elle souhaite transmettre à ses filles.
Ethnie/origines : Quand toute sa famille vient de Guatemala et le revendique haut et fort, il est difficile d'oublier d'où on vient. Ceci étant dit, son arrière-grand-mère maternelle venait de Porto Rico. La demoiselle a donc un peu de sang portoricain qui coule dans ses veines.
Orientation : Noa a toujours été attirée par les hommes, que ce soit dans le jeu de la séduction ou même sexuellement. Elle n'a jamais été attirée par les femmes, ce qui ne l'empêche pas de les trouver belles, jolies et sexy. Elle ne ressent juste aucun désir pour la gente féminine.
Situation : La belle est célibataire, et mère de deux enfants en plus de ça. Mais elle vit bien la situation, ne s'en plaint pas. Après tout, c'est elle qui a rompu avec l'homme de sa vie pour lui permettre de vivre la vie qu'il désirait. Et étant donné que c'était sa décision à elle, elle l'accepte fièrement. Noa se débrouille bien, ses filles ne manquent de rien, elles reçoivent des lettres de leur père règulièrement. Bien sûr, les attentions et les câlins lui manquent. Mais un bon plaid, un verre de vin et un bon film lui font très vite oublier ses petits tracas.
Occupation : Noa est graphiste avec le statut d'auto-entrepreneur. Elle travaille de chez elle, et d'où elle veut en vérité, et se gère toute seule. Pas de patron pour lui dicter quoi faire, ni à quelle heure. Elle se fixe elle-même ses objectifs, ses horaires, son salaire. Et elle n'a jamais été aussi heureuse que depuis qu'elle s'est mise à son compte ! Pour rien au monde elle ne reviendrait en arrière.
Quartier : La belle a vécu toute sa vie à Brooklyn, et c'est du coup tout naturellement qu'elle y est restée. Le quartier est dynamique, il y flotte une ambiance bohème depuis quelques années, elle s'est trouvée un petit loft vraiment sympa et son brunch préféré se trouve à 15 minutes à pied de chez elle. Que demander de plus ?

and what else ?
Qualités : Créative, souriante, passionnée, mature, indépendante, débrouillarde, joviale, sociable, empathique, organisée
Défauts : Râleuse, jalouse (mais pas maladivement), n'a pas la langue dans sa poche, franche, trop honnête, souvent en retard, rancunière, trop gourmande, maladroite.
Passions : {#}animaux{/#} ; Noa a toujours aimé les animaux, mais ses parents n'en voulaient pas à la maison (pas assez d'argent, trop de travail pour s'en occuper, perd trop de poils, bave...). Elle ne peut pas forcément encore se permettre d'en adopter un, alors pour allier son amour des animaux avec l'envie d'en avoir, Noa a décidé de devenir famille d'accueil pour des chiens et des chats. De plus, ses filles prennent très à coeur de l'aider à s'en occuper. {#}enfants{/#} ; Forcément lorsqu'on est maman... on ne peut pas dire "ew je déteste les bambins". Depuis six ans maintenant, son quotidien c'est les enfants, surtout quand on en a deux à la maison. Que ce soit les sorties en famille, entre filles ou en play date... la vie de Noa tourne autour des enfants. {#}instagram{/#} ; Quel genre d'auto entrepreneur serait-elle si elle n'avait pas Instagram ? Déjà, pour commencer, Noa adore ce réseau. Elle aime beaucoup la photographie, et elle aime partager des photos de ses filles. Mais elle en profite aussi pour partager des astuces de graphisme aux débutants ou frileux de se lancer en tant que freelance. {#}design{/#} ; C'est un peu ce autour de quoi gravite ses journées. 70% mère, 20% graphiste, 5% "je le ferai demain", 3% râleuse, 2% estomac sur pattes. Bref, le design, elle en fait, elle en mange, elle en respire, elle en rêve. Quand elle n'en fait pas, elle en cherche, quand elle n'en cherche pas, elle se renseigne dessus et en apprend toujours plus.
Communautés : {#}LosLatinx{/#} ; Toutes ces années d'adolescence à essayer de renier sa vraie nature, ses origines, son pays natal, sa langue maternelle, sa culture... Tout ça parce qu'elle avait honte d'être différente des autres. Pour finalement, aujourd'hui, être on ne peut plus fière de venir d'Amérique Latine. Elle veut que ses filles ne ressentent jamais ce qu'elle a pu ressentir pendant son enfance, alors elle les emmène souvent rencontrer d'autres latinos (autre que leur famille). Et puis, elles parlent exclusivement espagnol à la maison. {#}BFLC{/#} (best friends lifesaving center) ; Noa adore les animaux, alors elle a dernièrement décidé de devenir famille d'accueil. Ses filles adorent l'idée, même si elles préfèreraient d'avantage garder l'animal toute leurs vies. {#}meowparlour{/#} ; un café chat où l'on peut faire du yoga et de la méditation ? Il n'en fallait pas plus pour convaincre Noa ! D'ailleurs, elle s'est inscrite aux cours de méditation avec ses filles. Et elles en ont bien besoin ! Être entourées de chats tout en apprenant à se détendre leur fait beaucoup de bien. Et à Noa aussi d'ailleurs !






that's my story / self diagnosis
New York, février 1994 ◊ « C’est notre nouvelle maison, mi hija. » La petite fille est encore trop jeune pour bien comprendre ce que sa mère lui raconte. Elle n’a que trois ans, et du jour au lendemain, ses parents ont attrapé tout ce qu’ils possédaient pour quitter leur maison, leur pays et traverser les frontières afin de se retrouver à New York. La petite fille ne comprend pas bien. Elle se pense en vacances. Bientôt, elle rentrera à la maison. Il fait bien trop froid ici. « Nueva York est notre nouveau chez nous, mi hija. » La petite fille cligne des yeux. Puis elle tend les bras vers son père. « Papá… » Elle est fatiguée. Ses parents aussi, mais ils ne le montrent pas. Son père la prend dans ses bras et s’assoit dans un vieux fauteuil abîmé. Il la berce tout doucement. La petite fille s’endort tout contre lui. Elle est encore trop innocente pour comprendre ce qu’il se passe. Ce petit appartement miteux, ce deux pièces avec ce matelas à même le sol et ce vieux fauteuil abîmé, c’est sa nouvelle maison. C’est ici qu’elle grandira. Elle passera ses premières nuits sur ce vieux matelas, à même le sol, avec ses parents. Avant qu’ils puissent enfin s’offrir un canapé convertible qui deviendra son lit. « Tout ira bien, mi cariño. » Chuchote son père au creux de son oreille en lui caressant les cheveux. « Dios está con nosotros. »

New York, septembre 1997 ◊ Trois années se sont écoulées depuis son arrivée dans le pays, mais l’enfant ne s’adapte pas bien. Tout est étrange ici. Les hivers sont glacials. Les étés bien trop humides. Sans parler de cette période étrange à la rentrée scolaire où il commence à faire froid, et puis d’un coup il fait à nouveau chaud avant que le froid ne revienne. Ils appellent ça l’été indien. Et puis surtout, elle a fini par comprendre qu’elle ne rentrerait plus à la maison. C’est ici, maintenant, la maison. Mais Noa a du mal à s’y faire… Les enfants ne sont pas très gentils avec elle. « Tu parles bizarre. Pourquoi tu roules les r ? » « Parce qu’elle est pas comme nous ! » Des mots qui résonnent dans son crâne, comme des coups de poing. Pas comme nous. La petite fille n’a que six ans, mais elle comprend déjà que quelque chose n’est pas normal. Est-ce elle ? Est-ce eux ? « Je roule pas les r… » S’efforce de dire Noa d’une petite voix, en roulant bien évidemment les r. Elle n’y peut rien si elle parle comme ça. Elle ne parle qu’espagnol à la maison. Elle a appris l’anglais en à peine trois ans. Elle fait encore beaucoup de fautes. Mais elle essaye, et elle n’abandonne pas. Seulement, Noa en a marre qu’on se moque d’elle. « Non mais écoutez la ! » S’égosille l’un des garçons en rigolant méchamment. « Mon papa a une femme qui range tout à la maison, elle parle comme toi. » Noa fronce des sourcils. Elle ne les aime pas ces garçons. « ¡Estúpido! » Leur crie-t-elle juste avant de s’enfuir en courant. Tandis que les larmes lui montent aux yeux, la petite fille rêve de retourner chez elle, au Guatemala.

New York, juillet 2003 ◊ La demoiselle passe un dernier coup sur sa robe pour la lisser. Elle se regarde dans le miroir d’un air perplexe. Elle ne se reconnait plus trop. Elle a beaucoup changé ses derniers mois, et elle commence même à avoir de la poitrine. Pas suffisamment pour porter un soutien-gorge, mais assez pour que ça se remarque et que ça la gêne. Noa déteste ça. Elle déteste porter une brassière. Et cette robe, elle ne l’aime pas. Mais elle est obligée de la porter quand même, parce que c’est dimanche et que le dimanche, toute la famille Aguilar se réunit à l’église. Noa n’est pas la seule enfant Aguilar, ses cousins sont également là. Leurs parents aussi ont quitté le Guatemala pour venir s’installer à New York. C’était d’ailleurs un projet dont discutaient les frères Aguilar (le père de Noa et le père de ses cousins). Elle aime bien les voir, car elle se sent un peu seule dans son petit appartement avec ses parents. C’est ça aussi d’être fille unique… c’est envier ses cousins qui sont quatre. Et puis elle s’entend particulièrement bien avec Rosita, la benjamine, qui a le même âge qu’elle. Noa soupire. Elle aurait aimé avoir des frères et sœurs. Ou au moins une sœur. « ¡Vamos, Noa! » La jeune fille observe son reflet une dernière fois. Il n’y a rien à faire, elle n’aime pas ces robes du dimanche… Elle prend une grande inspiration, ferme les yeux un instant, puis elle sort de la salle de bain. « ¡Sí, papá, ya voy! » En route pour l’église, ce qui ne réjouit pas tellement Noa. Car même si elle est encore jeune, elle sait déjà qu’elle ne croit pas tout ce qu’on lui apprend dans ce lieu de culte. Elle a bien entendu appris le respect de la part de ses parents, alors elle ne se permet pas de critiquer ou de dire quoi que ce soit. Mais elle sait, au fond d’elle-même, qu’elle n’est pas croyante comme ses parents.

New York, décembre 2006 ◊ « Mi hija, hay una carta para ti. » Noa soupire bruyamment. Elle est fatiguée d’entendre ses parents parler espagnols tout le temps alors qu’elle se bat depuis des années pour apprendre l’anglais et prendre un parfait accent new yorkais. Ce qu’elle a finalement réussi. Si ce n’est pour son visage qui la trahit, lorsqu’elle parle, Noa a tout l’air d’une américaine. Mais chez elle, ses parents continuent de parler leur langue maternelle, et ça l’agace. D’ailleurs, ça fait quelques mois qu’elle ne répond plus qu’en anglais. Et ça, ça les agace eux. « J’ai une lettre ? Où ça ? De qui ? » Noa sort de la salle de bain pour rejoindre sa mère. Ils vivent toujours dans ce petit deux pièces. Alors, l’adolescente passe beaucoup d’heures dans la salle de bain. C’est le seul endroit où elle peut être tranquille. Elle a pris l’habitude de s’installer tous pleins de coussins et des plaids dans la baignoire afin de se créer un petit nid. Elle y lit, elle dessine… « Aquí. » La jeune fille attrape l’enveloppe que lui tend sa mère. C’est une enveloppe avec un tampon. Ça a l’air bien trop formel pour elle. Une affreuse pensée lui traverse l’esprit : et si on l’expulsait ? Un frisson lui parcourt toute l’échine. Noa prend une grande inspiration, et elle expire longuement. « ¿A qué esperas? » Sa mère la sort de ses pensées. Tout en s’asseyant à ses côtés, Noa lui fait part de son inquiétude. « Et si c’était une mauvaise nouvelle ? Et si on voulait… me renvoyer ? » Lorsqu’elle était petite, c’était tout ce qu’elle souhaitait : retourner à la maison. Mais aujourd’hui, à quinze ans, sa maison est ici. L’Amérique est son pays. « Así que no te preocupes, mi hija. » « Tu as raison, j’imagine, j’ai tort de m’inquiéter… » Noa offre un sourire pas très rassuré à sa mère. « Ok bon… » Elle ouvre l’enveloppe d’un coup sec. En tombe alors une carte à son nom, accompagné d’une lettre qu’elle s’empresse de lire. « … la nationalité américaine… ¡Oh, Dios mío! ¡Soy americano! ¡Mamá, soy americano! J’ai obtenu la nationalité américaine, tu te rends compte ?! » Noa saute de joie dans la cuisine en serrant la lettre contre son cœur ! Sa mère, folle de joie et on ne peut plus fière de sa fille unique, se lève et l’embrasse. « Estoy muy orgullosa de ti, mi hija. » « Moi aussi je suis fière de toi, mamá. » Les deux se prennent dans leurs bras et s’embrassent. Aujourd’hui est un grand jour. Noa Aguilar a obtenu la nationalité américaine, et rien ne pouvait rendre plus fière sa mère.

New York, octobre 2013 ◊ Voilà à peine un an, maintenant, que Noa fréquentait un homme incroyable. Simon. Elle l’avait rencontré sur le campus de son université le 5 mai, alors qu’elle célébrait Cinco de Mayo avec la communauté latine du campus, mais aussi avec sa cousine et ses amis à qui elle avait forcé la main. Aller venez, ce sera génial, vous verrez, et je vous promets une teq paf ! Cela faisait maintenant quelques années que Noa avait su accepter sa différence et en faire une force. Elle était dorénavant très fière d’être Guatémalienne et de parler espagnol. Et pour ainsi dire, tout se passait beaucoup mieux avec ses parents. Ils avaient même totalement accepté Simon qu’ils adoraient ! Simon… c’était une rencontre toute bête à la hauteur de la maladresse de Noa. Avec ses amis, ils venaient de se poser dans un bar et c’était elle qui était en charge de commander les boissons. Quelle idée quand on la connait… Elle était en train de revenir avec cinq verres dans les mains (en marchant doucement et en regardant plus les verres que là où elle mettait les pieds). Et voilà qu’elle a trébuché sur quelque chose au sol – ou plutôt quelqu’un – et qu’elle s’est étalée de tout son long sur ce garçon qui se trouvait allongé au sol. Que faisait-il ? Un de ses amis l’avait défié de s’enfiler plusieurs shoots en étant allongé au sol. Joueur, le garçon avait relevé le défi. C’était sans compter sur la maladresse de Noa. Voilà qu’à présent ils étaient tous deux recouverts de divers alcools (bière, whisky, vodka entre autres). Et Noa était tombée de tout son long sur lui. D’ailleurs, dans un réflexe il l’avait rattrapé. « ¡Oh, Dios mío! » Noa était trempée et elle puait l’alcool. Et puis c’est là qu’elle avait croisé son regard. « … Salut ! » Avait-elle sorti d’une petite voix. « Salut ! » Avait-il répondu en lui repassant une mèche de cheveux derrière l’oreille. C’est un peu comme si le temps s’était arrêté autour d’eux. Et puis le bruit environnant leur était revenu aux oreilles et ça les avait frappés. Elle était toujours dans ses bras sur le sol, tous les verres étaient éparpillés autour d’eux et ils étaient recouvert d’alcool. Noa s’était relevée très vite, rouge de honte. Et puis, alors qu’elle pensait disparaitre et ne jamais le revoir, il avait insisté pour passer le reste de la journée avec elle. Ce n’était pas juste une rencontre, c’était comme s’ils se retrouvaient enfin après une vie entière à se chercher.

Un an plus tard, ils vivaient ensemble dans un petit studio depuis six mois. Bien que les parents de Noa étaient persuadés qu’elle vivait seule. Vous imaginez un peu, deux jeunes non mariés qui vivent sous le même toit ? Ce serait un scandale ! Enfin dans la famille Aguilar tout du moins… Cependant, le scandale se trouvait au coin de la rue. Voyez-vous, à cet instant précis, Noa était assise sur le sol de sa salle de bain. Les larmes roulaient le long de ses joues, son nez coulait. Et tout son corps était parcourus de sanglots. Sa main droite, tremblante, tenait un test de grossesse dont le résultat venait de changer à jamais sa vie. Au même moment, Simon rentrait de son boulot. Quelle ne fut pas sa surprise en trouvant sa bien-aimée en pleurs sur le sol froid de la salle de bain. La rejoignant au sol, il passa ses bras autour d’elle pour la serrer tout contre lui. « Chhhuuut… je suis là, tout va bien se passer. » Il ignorait encore quelle était la cause de son chagrin, évidemment. Noa essaya de parler, mais les sanglots étaient trop puissants. Alors, elle tendit le test vers lui dans un dernier effort. Alors qu’elle lui donnait, les larmes coulaient encore plus. Il fallut un moment à Simon pour faire le lien, et pour comprendre. « Attends… tu es… enceinte ? » Sa réaction surprit Noa plus que tout. Simon arborait un immense sourire. « Tu es en train de me dire que je vais être papa ? » S’exclama-t-il en la serrant tout contre lui. Puis une lueur de lucidité lui passa par la tête. « À moins que… est-ce que tu veux… le garder ? » Son regard s’était fait sérieux alors qu’il plongeait dans les yeux de Noa. Sérieux, mais compréhensif. « Je ne sais pas… » Noa était perdue, trop de choses lui passaient par la tête au même moment. « Mes parents… » « On s’en fiche de ce qu’ils vont dire ou penser. Je serai là mon amour. » Noa sentit comme un poids se retirer de ses épaules. Pour être honnête, elle s’était déjà attachée à ce petit embryon. Et ces quelques mots de Simon finirent de la rassurer. « Je te promets que je ne vais nulle part. »

New York, juin 2014 ◊ « Je sais que vous êtes fatiguée, et vous vous en sortez très, très bien, mais il va falloir pousser une nouvelle fois. Le deuxième arrive ! » « Vous plaisantez ?? » Hurla Noa. La jeune femme était en sueurs, elle était trempée même. Elle maudissait, à l’instant présent, toutes les femmes qui avaient osé lui dire que l’accouchement était le plus beau jour de leur vie. Parce qu’à cet instant précis, Noa souffrait. Elle avait mal partout. Elle voulait juste tout arrêter, se reposer et laisser le bébé quelques mois de plus dans son ventre. Le bébé… le bébé qu’elle venait d’accoucher en plus ! Le médecin avait annoncé à l’instant qu’il s’agissait d’une petite fille. Même que Simon en avait eu les larmes aux yeux en embrassant Noa. Mais voilà, le médecin venait d’annoncer qu’un deuxième bébé arrivait ? « No, no, no. ¡Estás loco! ¡Sólo hay un bebé! Lo sé, he visto la ecografía, ¡sabría que hay dos! » « Chérie, en inglés… » Simon ne connaissait pas beaucoup d’espagnol, mais il savait au moins lui rappeler qu’elle ne parlait pas anglais. « Y en a pas deux ok !!! J’ai vu les échographies, j’étais làààààà oookééééééé, j’étais obligée d’être là vu que le gros ventre c’était moi !!! C’était pas Simon, ah ça non, sinon on lui aurait dit quoi ? Félicitations c’est un kebab ?!! Y EN A PAS DEUX !! Comment c’est possible ???? » À présent, Noa hurlait. Et plus elle hurlait, plus elle écrasait la main de Simon, plus le jeune homme se décomposait. « Noa… ma main… » « Oh t’as mal à la main ?? EH BEN IMAGINE MON UTÉRUS CE QU’IL RESSENT !! » Le médecin esquissa un petit sourire. « Noa… je sais que cette situation est confuse. Il arrive parfois que le second bébé n’apparaisse pas à l’échographie, il se cache derrière le premier. Mais pour votre bien-être, et celui du bébé, je vais vous demander de faire un tout dernier effort, et de pousser. Vous pouvez le faire ! » Simon posa sa seconde main, non broyée, sur l’épaule de Noa en signe d’encouragement. Oh comme elle le détestait à ce moment précis ! Noa pris une grande inspiration, et juste avant de pousser elle se fit la promesse à elle-même que c’était la première et la dernière fois de sa vie qu’elle tomberait enceinte.

« Félicitations, vous êtes l’heureuse maman de deux petites filles en parfaites santés ! » Alors qu’on lui déposait ses deux filles dans les bras, Noa, épuisée, était en larmes. Des larmes de joie, de fatigue, d’un trop plein d’émotions. « Bonjour Adelaida, bonjour Ainoa. Bienvenue au monde mes amours… » Simon était assis près d’elle, les yeux remplis de larmes et d’amour. « Je suis si fier de toi… Je t’aime… » Murmura-t-il à Noa. Le sourit qu’elle lui rendit valait tous les mots.

New York, novembre 2014 ◊ « Ça ne fonctionne pas. » Décréta un soir Noa alors qu’elle observait Simon avachit dans le canapé de leur studio. « Tu es en train de t’éteindre. » « Quoi ? » Noa s’assit à côté de lui et lui attrapa la main qu’elle serra fort contre elle. « Je suis en train de te perdre… Ce que tu souhaitais, c’était voyager, découvrir le monde, vivre de ta passion… Pas être enfermé dans un train-train pareil. Boulot, biberon, dodo. Ce n’est pas pour toi. » Simon était complètement perplexe, ahurit même. « Quoi ? » « Je t’aime. Et tu m’aimes aussi. Et tu aimes les filles plus que tout. Mais je ne veux pas que tu cesses de nous aimer, que tu cesses de m’aimer parce que ton rêve te file entre les doigts. » Il secoua la tête. « Je ne comprends pas… » « Nos chemins se croiseront toujours. Tu es mon pingouin, mon âme sœur, l’amour de ma vie. Mais tu dois vivre ta vie ! Tu dois vivre tes rêves ! » « Mais… » Noa l’embrassa, puis elle embrassa sa main. Elle se mordait l’intérieur des joues pour ne pas pleurer. « Je ne veux que ce qu’il y a de mieux pour toi. Et aujourd’hui, être père, être coincé dans cette routine, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour toi. » Simon était totalement perdu. « Simon… je t’aimerai toute ma vie. Et quand tu seras prêt à revenir vers nous, je serai là, je t’attendrai. Mais je ne supporterai pas de te voir t’éteindre un jour de plus. Ça fait cinq mois que ta petite flamme s’est éteinte. » Elle avait raison. Mais de l’entendre le dire, c’était bien plus douloureux que de l’admettre lui-même. Simon ne s’en rendait pas compte, mais il avait des larmes plein les yeux. « Je ne peux pas… » « Bien sûr que si tu peux. Va vivre tes rêves. Je serai toujours là, avec toi. » Dit-elle en posant sa main contre le cœur de Simon. « Toujours… » Il prit son visage dans ses mains. Qu’est-ce qu’il l’aimait ! Et le fait qu’elle le comprenait aussi bien rendait tout ça encore plus difficile. Mais elle avait raison… il s’éteignait, il devenait mauvais pour elle et les filles. Et s’il espérait un jour être un père parfait et être à nouveau l’homme dont Noa était tombée amoureuse, il devait se reprendre en main. Vivre ses rêves pour ne pas être amer. Il détestait ça, mais elle avait raison. Noa n’arrivait plus à retenir ses larmes. Elle se lova contre Simon, en pleurant silencieusement. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, et c’est parce qu’elle l’aimait tellement qu’elle le libérait. Ils passèrent la nuit entière dans les bras l’un de l’autre, en silence, s’imprégnant au maximum de ces derniers moments ensembles. Le lendemain matin, Simon était parti.

New York, mars 2021 ◊ « Ainoa, Adelaida, ¡vamos mis hijas! » Six ans plus tard, le temps avait bien passé depuis que Simon était parti. Noa en avait pleuré des larmes. Jamais devant ses filles. Toujours en silence. Elle s’était montrée plus forte que jamais. Ses parents avaient été d’une aide incommensurable. Ils avaient, bien évidemment, maudit Simon. Malgré le fait que Noa eut essayé, trop de fois, de leur expliquer que c’était elle qui l’avait forcé à partir. Bien évidemment, sa mère lui avait aussi fait la leçon sur le fait qu’elle n’avait pas su retenir son homme. Cet homme qui, malgré la distance, avait continué de subvenir aux besoins de ses filles, de leur envoyer des cadeaux et des lettres. Qu’est-ce qui lui manquait… Mais Noa avait appris à grandir sans lui, à vivre sans lui. Et elle ne l’avouerait pas, aujourd’hui, qu’il lui manque. Cette fierté qu’elle tient de sa propre mère. « On va à notre séance de méditation. » « ¿Con los gatos? » Demanda Ainoa. « Sí, con los gatos. » Les filles aimaient faire de la méditation avec les petits chats. C’était leur rituel, deux fois par mois, le samedi. Noa avait su se débrouiller seule, sans Simon. Elle avait construit une vie stable pour ses enfants. Elle était devenue graphiste à son compte. Elle s’était trouvé un loft de trois chambres à Brooklyn dont elle était propriétaire. Mais surtout, elle était heureuse et épanouie. Elle n’y croyait pas au début, mais finalement, elle avait réussi. Et elle pouvait être fière d’elle-même !



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Elodie
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Hm, pas que je sache... Enfin là, comme ça, y a rien qui me vient. hehokoi
Avatar à réserver : Gina Rodriguez Tag loslatinx sur I've got 99 problems 176241234
Crédit avatar utilisé dans la fiche: LITTLE WILDLING RPG
Souhaitez-vous un mp d'intégration Hm, non je pense que ça ira, mais l'idée est trop mignonne Tag loslatinx sur I've got 99 problems 995762081  plzz

Après chaque orage, le soleil brille /Angelica Flores\

Invité
18 r ; 522 v.
Jeu 30 Juil - 0:05
Angelica Flores
33 ans – Youtubeuse et actrice
FEAT : Vanessa Morgan  

Né le 7 avril 1987, elle naît quelques minutes avant son jumeau. Quatre ans plus tard, les parents Flores migrent vers New-York pour y vivre une vie plus sécure et loin des cartels de drogues mexicains. C’est grâce au métier de femme de ménage de sa mère qu’Angie rencontre son meilleur ami, Edward, qui va lui apporter un soutient immense. C’est même lui qui la pousse à réaliser son rêve : devenir actrice. Elle part donc à L.A pour le premier tournage de sa vie, mais bien vite, son rêve devient cauchemar. En couple avec un acteur célèbre, elle sourit devant les caméra, mais, dès que ces dernières sont éteintes, la manipulation de son petit-ami recommence. Elle finit par trouver le courage de le quitter pour rentrer à New-York où elle se réfugie chez Ed. Laissant tomber sa carrière d’actrice, elle se crée une chaîne YouTube qui devient très vite populaire. Aujourd’hui, elle est maman célibataire d’un petit garçon de cinq ans en plus de jouer la maman pour Ed. Elle est très impliquée dans le groupe de musique de son meilleur ami puisqu’elle gère leur réseaux sociaux jusqu’à se qu’elle prenne la place de la dernière recrue pour remplacer Tony pour un temps indéterminé.
who am I
ꕥ âge : 33 ans, déjà… Le temps passe trop vite.
ꕥ orientation sexuelle : Demisexuelle. Oui, moi aussi, je me suis demandée "mais c'est quoi ça ?" la première fois que j'ai lu ce terme. Évidemment, comme je suis hyper curieuse, j'ai fait mon petit tour sur google et j'ai découvert qu'une personne demisexuelle ne ressent de l'attirance sexuelle qu'après avoir formé un lien émotionnel fort avec une autre personne, ce qui est arrivé avec le père de mon fils. Ça explique aussi le fait que je ne ressens pas d'attirance sexuelle pour personne maintenant.
ꕥ situation : célibataire, le cœur remplis de douloureuses cicatrices d'anciennes relations, mais le cœur remplis de bonheur et d'amour à chaque fois que je regarde son fils.
ꕥ occupation : Youtubeuse, Instagrammeuse et actrice à mi-temps sans oublier que je me suis retrouvée à remplacer Tony dans le groupe The Rip, celui dans lequel mon meilleur ami est le chanteur. Heureusement que ce n'est que temporaire, je ne crois pas avoir les reins assez solides pour tenir cette place tout le temps. Je préfère être derrière le téléphone puisque je suis leur blogueuse attitrée. J'adore m'occuper de leurs réseaux sociaux (oui en plus des miens).
ꕥ quartier : Manhattan dans la villa de mon meilleur ami, Edward.
ꕥ qualités : douce, attentionnée, dévouée, minutieuse, organisée, ordonnée, sensible
ꕥ défauts : perfectionniste, timide, méfiante, émotive, impulsive, maladroite
ꕥ passions : {#}FilmdHorreur{/#} {#}makeUp{/#} {#}cuisine{/#}
ꕥ communautés : {#}ElHalito{/#} {#}ParoisseStLuke{/#} {#}LosLatinx{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : lien 2
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : Nop, je suis grande maintenant !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je sais vraiment pas quoi dire de plus que ce que j’ai déjà écris sur la fiche d’Hassan. Sorry xD

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Recru de Samuel Champagne (est-ce que j’ai dis que c’était mon auteur préféré?
ꕥ un film : Belle et la Bête
ꕥ une série : The Haunting of Hill House
ꕥ une chanson : Legends de Maddison
ꕥ un animal : Le chat encore et toujours !
ꕥ un plat/dessert : Le saumon ! Le chocolat !
ꕥ une boisson : Jus d’orange of course !
ꕥ une célébrité : Harry Styles, le seul et l’unique !
ꕥ un pouvoir magique : Téléportation parce que trop pratique !

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Aucun, j’aime bien me torturer

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Juste un ? La querelle avec mon jumeau non… Mon emploi du temps trop chargé non plus… Eddy (Karl) ? Ouais, c'est surement lui mon plus gros problème en même temps d'être mon plus important pilier dans ma vie. Pourquoi ? C'est simple. Entre le fait que je dois résister à l'envie d'essayer la came qu'il laisse traîner un peu partout dans le penthouse et le fait que nos fans sont absolument certains qu'on est ensemble, mais qu'on ne veut juste pas le dire - sans oublier le fait que Teddy l'appelle papa - et le fait qu'ils nous répètent qu'on est tellement beau ensemble en passant par la peur que Ted tombe sur sa came, c'est tout un problème non ? Ah et aussi le fait que, depuis plusieurs mois, je vais voir Simon (Tony) en cachette avec Teddy. J'ai l'impression d'aller voir mon amant et de le cacher à mon mec… C'est épuisant. J'ai tellement hâte que Tony et Eddy se reparlent pour que Simon puisse enfin revenir à la maison et qu'on retrouve nos soirées ensemble. Teddy a tellement hâte que tonton Simon revienne le border dans sa chambre qu'il serait temps que les deux aient une conversation. Puis, je suis là pour l'aider à ne pas replonger, à résister non ?

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Clairement, je suis accro au café. J’ai besoin d’au moins mes deux tasses chaque matin pour être fonctionnel dans ma journée. Et bien sûr, comme toute influenceuse qui se respecte, je suis accro à mes réseaux sociaux ! Comment dire que de ne pas aller qu’une seule petite heure sur Instagram ou Tiktok ou YouTube, c’est tout un défi pour moi. Heureusement que je n’ai plus d’addiction pour la coke, même si ça reste un combat de tous les jours (souvent mis à rude épreuve par Ed et ses partys et ses sachets qui traînent quelques fois dans le penthouse).

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Elle s’est terminée mieux que ma première relation d’un sens puisque je n’ai pas fini en cure et à être suivis par un psy pour me sortir de l’emprise de mon ex petit-ami. Je ne dis pas que ma dernière relation avec Adriel c’est bien terminé non plus. Je suis quand même maman célibataire. Je dis juste que les conséquences ont été moins grave. Notre relation s’est terminée plus ou moins sur un accord commun puisque je ne voulais pas avorter malgré mon choc d'apprendre que j'étais enceinte alors que lui n'était pas prêt pour être papa. Heureusement qu'Ed était là puisqu'il a prit le rôle de père aux yeux de mon Teddy. Et malgré les défauts de mon meilleur ami, il est super avec Ted. Et ça, je ne parle même pas des autres membres du groupe, comme Tony qui a à cœur son rôle de parrain. Grâce à lui, j'ai pu rattraper quelques heures de sommeil ici et là. Il est totalement gaga de son neveux. C'est même pour ça que je le vois en secret avec Teddy depuis qu'il a fait son overdose. Je suis sûr que voir Ted l'a beaucoup aidé à remonter la pente. Malheureusement, il ne voit jamais son vrai oncle… Ted a ses tantes et oncles au sein du groupe The Rip puisqu'il les voit toujours, mais il ne sait même pas qu'il a oncle de sang puisque j'ai un jumeau. Il ne l'a jamais vu et je ne sais pas s'il va le voir un jour puisqu'on s'est disputé à ma sorti de cure. On était supposé arrêter ce qui risquait notre vie, mais lui n'a pas tenu sa part du marché. Bref, je m'égare donc pour revenir à Adriel. En bref, l'escrime était plus important pour Adriel que de passer du temps avec moi. Je voulais présenter mon copain à ma communauté, donc je voulais faire une vidéo avec lui, mais il n'avait jamais le temps. Au bout de six mois environ, je commençais vraiment à être fatigué de passer deuxième, mais je l'aimais… Lorsque j'ai appris que j'étais enceinte, je pensais enfin retrouver Adriel. Bien sûr, je me suis trompée sur toute la ligne puisque cette annonce à vraiment mis un terme à notre couple. C'est peut-être mieux comme ça au final…

Le dernier texto que tu as envoyé ?  « Merde Ed ! Tu pourrais ne pas laisser en vu tes sachets ! J’suis pas ta mère et j’veux pas que Ted y touche, tu le sais bien ! Tu as manger ce midi sinon? » Oui, je sais, vite comme ça on pourrait croire que je suis bipolaire ou je ne sais pas trop quoi mais… c’est Ed. Il a l’habitude de ce genre de message.  Puis, je lui répète tellement souvent de ne pas laisser ses sachets traîner partout en cachant ma peur de replonger derrière Ted qui pourrait en prendre en pensant que ce sont des bonbons.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Depuis mes 16 ans, on s’est beaucoup éloigné à mon plus grand malheur… Mais, mes parents sont très religieux alors lorsqu’ils ont appris pour ma cure et le fait que je ne sois plus vierge alors que je ne suis pas mariée, ça ne leur a pas plus. On rajoute à ça que je ne leur ai pas écrit pendant deux ans alors que je me faisais manipuler et contrôler par mon ex petit-ami, ça n’a rien arrangé. Pourtant, je ne leur en veux aucunement. Ils acceptent de plus en plus Ted et ça me réchauffe le cœur à chaque fois que je le vois jouer avec ses grands-parents. C’est tout ce que je demandais et voulais.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Ça fait très longtemps que je n’ai pas mis les pieds dans une école (chose qui va changer bientôt puisque mon petit Ted va bientôt rentrer à l’école) et mon boulot prend tout mon temps. Entre une à deux vidéos par semaine à tourner et monter sur ma chaîne principale, mes dizaines de storys sur Instagram par jour, mon fils, mon meilleur ami Ed pour m’assurer qu’il mange et dorme suffisant chaque jour (j’ai l’impression d’avoir deux enfants, c’est épuisant certains jours. Je me demande même lequel des deux est plus bébé quelques fois), mon rôle de blogueuse puisque je gère le compte du groupe The Rip, ma carrière d’actrice que je tente de faire décoller lentement et, depuis peu, le fait que je remplace Tony à la batterie, je n’ai pas vraiment le temps de faire autre chose. Pourtant, j’essaye de lire ou de regarder une série tranquillement quelques soirs par semaine même si ce n’est pas toujours possible. En bref, j'essaye de me gratter un peu de temps pour moi ici et là malgré le fait que tout ce que j'accomplis dans une journée, je le fais avec plaisir parce que j'aime ça.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J’en ai vraiment honte et j’en parle jamais… J’ai même fait promette à Ed de ne jamais en parler… Avant la naissance de mon fils, j’ai fait la fête avec Ed. Jusque là tout est normal puisque je participe souvent à ses party. En revanche, ce soir-là, j’ai cru que je pourrais me contrôler si je prenais un peu de coke comme tout le monde faisait autour de moi… J’ai cru oui parce que j’ai passé la pire nuit de ma vie cette nuit-là… Ed a pris soin de moi dans ma chambre alors que, dans le salon et dans la cours, le party était à son maximum. J’ai fait un bad trip, j’étais certaine de mourir ce soir-là tellement je n’allais pas bien. C’est ça, c’est ce mal être qui me donne la force de ne jamais retoucher la drogue. Puis, il y a eu mon fils qui me donne la force qu’il me manque quelques fois. J’ai fait une rechute et je n’en étais pas fière. Je n’en suis, encore aujourd’hui, vraiment pas fière. Mais ma psy me répétait qu’une rechute fait partie de la guérison. Que c’est normal d’en faire, il ne faut juste pas rester bloqué sur cette dernière.

this session is gonna be different
Fireproof/Béné ꕥ 22 ans
fréquence de rp : ça dépend des semaines, mais disons un rp toutes les semaines, peut-être deux semaines.ϟ fréquence de connexion : Presqu'à tous les jours grâce à mon téléphone. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Ça dépend du rp, j'y vais à l'inspiration. ϟ avatar à réserver : Vanessa Morgan ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Toujours pas mauve? :’( ϟ comment avez-vous connu 99 ? J’y suis déjà avec Hassan ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J’ai beaucoup de Plaisir avec Hassan alors j’ai très hâte de pouvoir jouer Angie !
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j'veux pas être au-dessus, j'veux être à la hauteur.

Invité
24 r ; 426 v.
Mar 28 Juil - 10:39
guzmán hernandez
30ans - propriétaire vidéoclub
FEAT : nekfeu Enfant perdu que tes parents n'ont pas voulu, maman préférait papillonner avec les clients en proposant de délicieuses préparations tandis que papa ne parlait qu'en somme d'argent, autant dire que jusqu'à ce que tu récoltes tes premiers billets tu n'avais aucune espèce d'importance pour lui. Issu de la vague d'émigrés venu tout droit du Mexique afin de vivre le fameux American Dream c'était sans compter sur l'énorme influence de la mafia mexicaine qui grouillait dans les rangs, une vingtaine de membres envoyés en tant que réfugiés politiques. Papa en était un d'ailleurs, lieutenant venu en renfort dans ladite Grosse Pomme afin d'étendre l'autorité des siens, emmenant dans ses bagages femme et enfant, tu n'avais que 6ans quand tu as frôlé pour la première fois le sol américain. Fils bagarreur qui n'a jamais eu la moindre attention de ses parents, tu as dû prouver aux autres que tu arriverais à t'en sortir par la force de tes propres moyens. Considéré comme une erreur de parcours par celui qui t'a malheureusement élevé, la vérité c'est qu'il ne voulait pas s'occuper de toi tant que tu n'étais pas en âge d'intégrer le gang de la fameuse « Mano Blanca ». C'est finalement dès 14ans que tu as fait tes premières preuves, de petits boulots de guetteurs en livreur nocturne, t'as gravi les échelons sans jamais avoir la reconnaissance de ton père, décédé il y a une dizaine d'années dans une descente de flics. Petite fortune que tu as amassé par la vente des stupéfiants cachés derrière les dizaines de vidéoclub (de ta propre idée, ce qui t'as, à ton tours élevé au rang de lieutenant) encore ouverts dans les différents quartiers de la ville, la vague 90's semblant avoir eu raison de cette idée, pour le compte cette famille sanguinaire qui t'a vu grandir et devenir l'un d'eux sans jamais broncher. S'il y a bien une chose que tu as appris c'est qu'il ne faut faire confiance à personne et encore moins empiéter sur le territoire des autres, les animosités existent entre les gangs et si tu ne crains pas la mort, tu préfères la donner plutôt que de la recevoir.  
who am I
ꕥ âge : la trentaine tout juste passé, elle t'a fait mal celle-là.
ꕥ orientation sexuelle : il n'y a que les courbes des femmes qui attirent ton attention. Ce besoin quasi viscéral de prouver à quel point tu domines ta partenaire.
ꕥ situation : tu voles d'une fleur à une autre sans avoir d'attachement, sans même te poser la question de savoir si un jour tu (re)trouveras celle qui t'a marqué quand ton regard c'est posé sur elle la première fois.
ꕥ occupation : pas destiné aux grandes études, c'est presque à se demander ce que tu faisais sur les bancs de l'école, les rares fois où tu y allais, tu as stoppé l'école publique car les Mexicains t'offraient des études à la maison. Alors de mauvaises rencontres devenues bien vite des fréquentations arrivant au stade de « famille », t'as suivi le chemin de ton père célèbre lieutenant dans les rangs et t'es devenu dealer pour le compte de la mafia mexicaine avant de prendre en charge quelques gars qui vendent pour toi, pour elle, argent facilement gagné te permettant de vivre convenablement. T'as décidé de récupérer les magasins de location de vidéos où tu y as intégré quelques bornes d'arcades (très 90's) mais ce n'est que pour cacher le sombre spectacle de la vente de drogue et ça semble convenir à ceux qui ont confiance en toi.
ꕥ quartier : Manhattan
ꕥ qualités : protecteur, impulsif, charmeur, ponctuel, fiable, loyal, investi, travailleur, indépendant, autodidacte. 
ꕥ défauts : bagarreur, impulsif, joueur, rancunier, immoral, manipulateur, franc, possessif, solitaire, dur, sarcastique, cynique, indépendant, froid, exigeant, calculateur. 
ꕥ passions : {#}marijuana{/#} parce que c'est la plus grosse partie de ton business. C'est ce qui te rapporte le plus d'argent et avec tellement de facilité, il suffit juste de connaître les bonnes personnes et ne pas empiéter sur le territoire des autres. {#}argent{/#} une célèbre citation dit « Dans ce pays, il faut d'abord faire le fric ; et quand tu as le pognon, tu as le pouvoir ; et quand tu as le pouvoir, tu as toute les bonnes femmes. » tu traînes dans l'argent sale depuis que t'es un gosse. {#}90{/#}'s c'est ton côté enfant qui ne veut pas grandir.
ꕥ communautés : {#}loslatinx{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop.
ꕥ groupe : Fit Hot Guys Have Problems Too.
ꕥ parrain : oui  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 151223673 je trouve ça hyper sympa comme idée !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : alors par où commencer ? Moi c'est Joanna, Jojo ou Jo, bien qu'en ce moment c'est Valérie Damidjo  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 1248048409  qu'on me surnomme. 28ans, presque 29 (j'assume pas vraiment le rapprochement de la trentaine mais ça va aller  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3397895790  !). Pas très grande à l'image de Poucelina (ceux qui ont la référence comprendront t'as vu  aidansourire ). Ah oui, je suis gentille et douce et archi open à toutes les excentricités et tous les retournements de situations, le drama c'est ma vie  plzz ! Et même si clairement je sortirai jamais avec un mec comme Guzman baaaaah... Je lui fais du sale quand il veut !
Oh... Et des fois j'ai mon langage des cités du 78 qui reprend le dessus et je sais pas si ça ne soigne  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329

petit portrait chinois
ꕥ un livre : « Le Rouge et le Noir » de Stendhal, gros pavé je sais mais il m'a marqué quand j'étais au lycée.
ꕥ un film : Pocahontas celui de Disney, le premier hein, ça compte comme un film ? Allez dites ouiiii.
ꕥ une série : Mais y'en a trop ! Je dirai... Lucifer.
ꕥ une chanson : Oblivion de 30STM ou Princesse de Nekfeu (deux salles, deux ambiances)
ꕥ un animal : le Paresseux, tiens hier j'en parlais d'ailleurs.
ꕥ un plat/dessert : le Paris-brest je pourrai me noyer dans la crème.
ꕥ une boisson : Le jus de Tomate !
ꕥ une célébrité : Paris Jackson (pour son style).
ꕥ un pouvoir magique : remonter dans le temps je pense.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : comme dit plus haut, je suis absolument ouverte à toutes les propositions et tous les types de sujet, le but étant, pour moi que les parties soient d'accords avec ce qu'il se passe et que tout se fasse dans la bonne humeur, dans le feeling le plus total.

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Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? S'il n'y en avait qu'un, tu dois gérer les hommes qui travaillent pour ton compte et à plus grande échelle pour le compte de la mafia mexicaine. Tu dois gérer ta nouvelle vie en colocation dans ce duplex offert par les tiens afin de te remercier de l'allégeance que tu leurs portes depuis tant d'années. Tu t'efforces depuis de très longues années de ne pas succomber au charme de cette charmante femme qui t'obsède depuis que tu as posé tes yeux sur elle. Vous venez de deux mondes différents qui ne devraient jamais se rencontrer et pourtant tu éprouves ce besoin d'être auprès d'elle, cette envie de la voir sourire en l'emmenant dans les plus beaux endroits alors que toi-même tu ne te sens pas à l'aise, monsieur ne traîne qu'en jogging, de lui mentir quotidiennement sur les affaires que tu opères en compagnie d'hommes tous moins fréquentables les uns que les autres. Mais tu as ce besoin d'être auprès d'elle, t'as besoin de savoir qu'elle va bien, quitte à lui proposer de la ramener chez elle quand elle sort de son travail, t'es attiré par elle et ça, ça te fait terriblement peur.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). L'argent et l'appât du gain. L'argent appelle l'argent c'est une vérité, tu profites d'ailleurs des billets plongés dans tes poches pour passer de longues soirées au Casino ou encore à payer des filles pour qu'elles satisfassent tous tes plaisirs, tu payes, c'est le plus important. Ce petit business qui ne cesse de s'accroître dans les rues de la ville, la clientèle qui grandit de jour en jour, les responsabilités que l'on pose de plus en plus sur tes épaules. Tu es un lieutenant pour le compte de la mafia mexicaine, tu te dois de ramener des bénéfices aux tiens au risque de finir par manger des pissenlits par la racine.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Probablement mal, très mal même. T'as jamais été friand des relations longues ou des relations tout simplement. La seule que tu veux avoir auprès de toi, est la seule que tu ne peux pas avoir à tes côtés. T'es un homme solitaire qui satisfait ses besoins primaires en compagnie de femmes sans penser au lendemain, ça ne t'intéresse pas si ce n'est pas avec elle, mais c'est impossible, tu le sais, ça serait la mettre en danger, ça serait te mettre en danger, on le sait tous, tu es impulsif, un vrai molosse qui attaquerait jusqu'à sa propre mort s'il lui arrivait quelque chose.

Le dernier texto que tu as envoyé ?« Oui la chambre d'ami est libre. » Avant de poser ton téléphone sur la table basse et de t'en retourner occuper ton esprit en compagnie de la jeune femme qui t'accompagnait ce soir là. Tu ne pensais pas qu'il mettrait sa demande à exécution jusqu'à ce que tu le vois débarquer devant ta porte. Il était le meilleur ami de ton cousin décédé, il le considérait comme un membre de sa famille alors il compte aussi pour toi.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Où on est parle pas c'est tout aussi bien. T'as grandi entouré d'hommes et de femmes qui ne partageaient aucun lien de sang avec toi, c'est eux ta famille, eux qui t'ont fait grandir et qui ont prit les rôles de parents que les tiens n'ont jamais réussi à gérer. Bien plus que ton père qui a prouvé qu'il était un bon lieutenant mais un bien piètre père. Tu te poses d'ailleurs souvent la question d'avoir un jour des enfants, certainement que tu les aimerais bien plus que l'amour que te portais ton père décédé et ta mère veuve pas revue depuis 10ans et bien rémunérée par les hauts placés, pour le bon travail qu'a fourni feu monsieur Hernandez. Mais toi, t'es meilleur que lui, tu le sais et ils le savent.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Tu traines ici et là, bien souvent en très bonne compagnie. Tu places l'argent qu'ils te donnent en guise de rémunération afin d'assurer tes arrières et ceux d'une progéniture, un jour. Tu ne dis jamais non à un bon verre de téquila ou de rhum, un petit pétard roulé par la came que tu vends depuis de longues années. Tu ne montres pas ta richesse devant tout le monde, t'es assez discret de ce côté là et pourtant ton nom est connu, toi qui détient les vidéoclub 90's dans lesquels tu y as aménagé des bornes d'arcades, dans une ambiance « à l'ancienne » comme dirait l'autre. Tu cherches également à obtenir des parts dans un club lounge de striptease, le sexe, l'alcool et la drogue ça a toujours marché.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Quand tu étais plus jeune, tu avais un rottweiler prénommé Marco. Un chien que tu avais prit dans la rue. On te proposait de bons billets si seulement tu le faisais combattre et t'as accepté. La plus belle connerie de ta vie quand ce pauvre animal est décédé sous tes yeux, un spectacle horrible que tu n'as pas eu le courage de regarder jusqu'à la fin. Bête et stupide que tu étais, tu l'as enterré et t'as pleuré sa mort te promettant de ne plus jamais recommencer.

this session is gonna be different
Joanna ꕥ 28 ans
fréquence de rp : plusieurs fois par semaine, si je me suis pas noyée ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? clairement je marche au feeling, j'anticipe pas mes RP à l'avance (peut-être une idée principale mais après c'est roue libre), je favorise les RP "courts" histoire d'avancer à un rythme régulier mais après tout dépend du RP en question. ϟ avatar à réserver : Nekfeu  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329 . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Les petits pois sont rouges  sifle . ϟ comment avez-vous connu 99 ? c'est une joyeuse petite bande qui m'a montré le chemin  love . ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je marche vraiment au feelgood  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3348919469 , je vais me plaire par ici, je le sens gros comme la Statue de la Liberté  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3697710961
tumblr (gif) mok (avatar)

dale a tu cuerpo alegría (elena)

Invité
8 r ; 354 v.
Mer 11 Mar - 23:46
elena paredes
ft emeraude toubia
ꕥ résumé : Née sur le sol américain dans le Bronx, Elena est la petite dernière d'une famille mexicaine de trois enfants. Issue d'une famille d'immigrée, elle est d'ailleurs la seule a avoir la nationalité américaine. Elle n'a jamais connu son père étant donner que celui-ci s'est fait déporter au Mexique quelques mois avant sa naissance. Malgré cette absence dont elle ne semble pas souffrir, Elena accorde énormément d'importance aux membres de sa famille. Depuis son plus jeune âge, elle prête main forte à sa mère dans le restaurant qu'elle tient. Cela aurait pu éveiller en elle une carrière gastronomique mais ça n'est pas le cas. Après le lycée, Elena s'est lancé dans une formation pour devenir secrétaire dans un cabinet médical. Non pas par passion mais uniquement dans le but de subvenir à ses propres besoins. Cependant, il y a trois ans, elle a quitté son poste pour participer à une émission de télé-réalité, à laquelle elle a perdue aux portes de la demi-finale. Cette expérience lui a ouvert de nombreuses portes dans le monde du show-biz. Elena est actuellement influenceuse grâce aux réseaux sociaux, un mode de vie que certaines ne parviennent pas à comprendre. Niveau relation sentimentale, ce n'est pas dans les projets d'Elena de trouver le grand amour. A ses yeux, elle est encore jeune et s'enticher d'un homme n'est pas au programme. Elena c'est avant tout une fêtarde dans l'âme, elle aime sortir et elle connait toujours les bons plans pour passer des bonnes soirées. Elle est persévérante se donnant toujours des objectifs à atteindre. En plus d'être râleuse c'est une éternelle insatisfaite. Juger trop souvent hautaine et fausse, elle est en réalité une femme très sensible ainsi qu'à à l'écoute des autres. Et comme son frère, elle est têtue comme une mule. Ce n'est pas une Paredes pour rien.
who am I
ꕥ âge : vingt-six du moins pendant 3 jours encore, à partir du 15, elle soufflera sa vingt-septième bougies.
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle, seul les hommes la font fantasmer.
ꕥ situation : célibataire, elle n'est pas dans une optique de se caser avec quelqu'un.
ꕥ occupation : personnalité publique ou dans un autre langage : influenceuse. Elle s'est fait connaitre en participant à la saison 19 de Big Brother. Si autrefois, elle était secrétaire dans un cabinet médical aujourd'hui, elle se consacre uniquement à sa nouvelle vie vivant très bien des revenus qu'elle génère sur les réseaux sociaux.
ꕥ quartier : Manhattan : 6th Street, East Village
ꕥ qualités : persévérante, sensible, créative, à l'écoute.
ꕥ défauts : éternelle insatisfaite, râleuse, fêtarde, têtue.
ꕥ passions : youtube, instagram, danse, make-up, mode, réseaux sociaux, smoothie, shopping.
ꕥ communautés : {#}LosLatinx{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? Je suis une grande fille ça devrait le faire Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Bon, bon comme la première fois je n'ai pas vraiment parler de moi  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2153884322 Il faut juste retenir que je m'appelle Sonia que j'ai bientôt 30 ans dans 3 jours  Arrow Mais d'après Anaïs, j'ai toujours 25 ans alors merci d'y croire puppy Je suis une série addict (netflix est mon meilleur ami), je regarde pas mal d'animés (en ce moment avec mon homme on se fait les DB, donc j'en ai pour 500 épisodes Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2153884322). Je geek pas mal, du moins quand un jeu me plait énormément vous ne me voyez plus durant des jours entiers Arrow Je vis dans le sud de la France, Perpignan j'ignore si vous connaissez mais il fait toujours soleil et chaud l'été Tag loslatinx sur I've got 99 problems 995762081 Puis j'ai un chat, c'est important ce dernier point  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3697710961

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : harry potter et le prisonnier d'azkaban {#}slytherinpower{/#}
ꕥ un film : the blind side, je le recommande il est magnifique !
ꕥ une série : breaking bad, parce que c'est un classique  love
ꕥ une chanson : stan by me, c'est ma chanson  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 151223673
ꕥ un animal : hercule, mon chat  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3897432730
ꕥ un plat/dessert : le fromage parce que le fromage c'est la vie  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3460843005
ꕥ une boisson : le mojito  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329
ꕥ une célébrité : je ne sais toujours pas  Arrow
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : les abus, les viols tout ce qui ne donne réellement pas envie de lire et qui ne devrait pas être écrit d'ailleurs  Arrow

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? L'hiver. Elena c'est une fille du sud, du soleil ! Bien qu'elle soit née à New York, elle a ce besoin de sentir la chaleur sur son corps. Alors les hivers à New-York ce n'est pas ce qu'elle préfère, elle en a marre des gros manteaux, de son bonnet et de sa paire de gants. Elle est bien heureuse de savoir que le Printemps arrive incessamment sous peu.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Les réseaux sociaux sans surprise. C'est certes son gagne-pain, mais en dehors de ça, Elena adore se perdre dessus. Elle peut facilement perdre une heure de son temps à regarder des vidéos totalement inutiles juste pour le plaisir de vivre. C'est une grande consommatrice de thé noir, sa journée ne peut pas commencer sans sa tasse. Quant aux consommateurs de café, Elena leur dit simplement : vade retro satanas ! Elle ne comprend pas comment on peut aimer cette boisson du diable.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Pas dans la joie et la bonne humeur. Si Elena n'était en couple que depuis deux mois, elle n'a pas apprécier de découvrir une vidéo de son petit-ami en très charmante compagnie. La fidélité est à ses yeux l'essence même d'un couple de même que la confiance. Réalisant avoir été prise pour une idiote, Elena a mit fin à cette relation. Elle est célibataire depuis huit mois et ça ne lui pose aucun problème, préférant être seule que mal accompagnée.

Le dernier texto que tu as envoyé ? Un message à son frère, le seul et l'unique Alejandro : " C'est bientôt l'anniversaire de maman, tu as une idée de cadeau ? Et au passage j'espère que tu n'as pas oublier le mien ! ".

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? En ce qui concerne sa mère, Elena la voit comme une force de la nature, un modèle qu'elle tente de rendre fière chaque jours qui passe. Son avis est d'ailleurs très important, elle ne prend aucune grande décision sans l'approbation de cette dernière. Très complices, Elena peut affirmer que sa mère est sa meilleure amie. Quant à son père ? Elena l'ignore. Bien qu'il soit toujours en vie, elle ne s'intéresse pas à lui. Pourquoi le ferait-elle ? Lui-même n'a jamais essayer de prendre de ses nouvelles depuis sa naissance. Qu'il continue à refaire sa vie au Mexique, Elena n'en a réellement rien à faire.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Sortir. Elena, elle adore sortir à l'extérieur faire de nouvelles rencontres et voir le beau monde. Elle a besoin de son bain de foule hebdomadaire. Comme voir ses amis c'est important autant que sa famille. Le dimanche en famille c'est sacré chez Elena.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il y a quelques mois, la façade de son immeuble a été refaite. L'information est totalement sorti de l'esprit de la mexicaine. C'est tout naturellement qu'elle est sortie de la salle de bain, totalement nue. Elena a mit un moment avant de réaliser qu'il y avait des ouvriers à son étage. Elle s'est faite siffler et applaudir durant toute la durée des travaux. Depuis, elle a installer des rideaux à ses fenêtres.

this session is gonna be different
.truelove / Sonia ꕥ 29 ans
fréquence de rp : 2 rp par mois mais cette moyenne n'est pas juste, j'ai des périodes où je rp plus que d'autre comme tous le monde je pense Arrow  ϟ fréquence de connexion : un peu tous les jours Tag loslatinx sur I've got 99 problems 3974363061  ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? à partir de 300 jusqu'à 1200 vraiment grand grand maximum, au dela de 800 ça me fatigue hidebox  ϟ avatar à réserver : emeraude toubia love  ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouges parce qu'il y a une histoire de poissons derrière tout ça si mes souvenirs sont bons  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2153884322 ϟ comment avez-vous connu 99 ? Par Marion si je ne me trompe pas Wink  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Love les petits chats  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329  Tag loslatinx sur I've got 99 problems 2881807329
tumblr (gif) solsken (avatar)

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