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4 résultats trouvés pour astronomie

équation de deux inconnu(e)s. — lieven.

Invité
16 r ; 701 v.
Jeu 13 Aoû - 2:05
lieven moon
23 ans - étudiant astrophysique
FEAT : kim taehyung
Lieven — mensonges qui s’enchaînent et s’engrènent dans les rouages du temps, déjà vingt-trois ans, perte d’un parent trop jeune et mélancolie qui résume le caractère-cyclothymie. Lieven, c’est la rigidité de l’être ayant dû se forger et se créée pièce par pièce, dont le mutisme s’est mis en insolence, lorsque la rébellion l’a poussée à hurler toutes ses différences à un monde ne voulant pas l’accepter. Il y a cette facilité, la verve et l’éloquence des plus grands interprètes, prenant la communication comme un jeu dangereux auquel il excelle, tant que l’on n’aborde pas le personnel. Lieven, il est fragmenté entre la jeunesse qui lui a été arrachée et l’ère adulte qu’on tente de lui exposer, il se sent comme un bibelot exploité, un simple trophée exhibé par sa mère qui ne veut comprendre son langage binaire. C’est un artiste, incompris, volage, volatile se cherchant encore, s’étant trouvé dans l’indécision et dans ses études d’astrophysique qui l’on comblé le temps d’un instant. Lieven c’est l’insatisfait, le mièvre, les poèmes, l’imprévisible, le calme avant la tempête, l’apaisé aux tonitruantes colères. Lieven c’est l’exquis de la classe haute, ayant rejeté la cuillère en or pour celle en argent, délaissant presque tous ses biens, mais trop attaché et peut-être aussi trop couard pour parvenir à s’émanciper de cette tyrannie au combien perfide mais aussi protectrice, car habituelle. Lieven, il s’est perdu en chemin, le cœur craquelé par une amitié nocive qui lui a pris ce qu’il lui restait de sa confiance en autrui, il tente de guérir, petit à petit et à défaut de pouvoir avoir des étoiles dans les yeux, se contente-t-il de fuir la réalité en fixant celles du ciel maritime ; sans jamais se trouver pleinement à sa place quelque part.
who am I
ꕥ âge :
chiffres qui s’en suivent dans la continuité d’une logique factice, heures fractionnées, journée presque écoulée sous le faible cadran de l’éternité. ✾ deux-trois ; ainsi découlent les syllabes proches, ne comptant que des reproches passés mais jamais ensevelis. — vingt - trois ans — alanguis, jeunesse crevassée et sous les yeux le voile lacté d’un statut d’adulte qu’il ne saura peut-être jamais pleinement mériter.
ꕥ nationalité : yeux d’ailleurs, accent d’ici, dualité usante de l’âme partagée par deux cultures en opposition. au combien l’enfant demeure enraciné à cette famille à laquelle il n’a qu’à moitié participé, il est — américain — par moitié, né sur le sol des états unifiés à Philadelphie tandis que son autre moitié, spectrale, porte en elle la double nationalité — coréenne — présent du Père et de toute la lignée d’hommes avant lui.
ꕥ ethnie/origines :
sutures recousues, soieries décousues, élégance des traits et culture de l’honneur et la pureté absolue. retenue, prestance, aisance, absence des craintes et des peurs que l’on ne montre qu’aux astéries, lorsque le silence déchire les cris internes. né ici oui, mais venu d’un ailleurs, là où malgré les stigmatisations nul ne se ressemble et où les lèvres ne s’ourlent que trop rarement. la proximité est habituelle, en des degrés différents, jamais intimement. il ne faut séduire d’un baiser de main, mais avec les yeux, avec les mots, avec les années. origines — sud-coréennes — dont il porte le patronyme familier et même sa mère, pleinement américaine épouse des traits légèrement tirés lors de ses sourires, les lèvres pulpeuses et les sublimes yeux opaques, trahissant un mélange occidental confirmé.
ꕥ orientation : rose des vents, désorienté, déréglé au combien les lèvres carmin sont belles, au combien ses doigts se perdent auprès du centre d’un dos, s’aventurent à dissocier le plexus solaire de la flanelle et de la dentelle. tentations dans la légèreté d’une danse; élevé pour les combler au delà de leurs attentes, dressé pour être l’amant qui le temps d’un instant, d’une soirée leur tendra le trône pour les faire devenir un peu plus reines. elles le transforment, le transcendent, ces femmes d’excellence dont le mot Homme serait à moitié porteur de leur élégance ; à elles, les nymphes. or, parfois, ainsi alors que le soleil ne bat plus et que lunaire est l’humeur malhabile, ce sont les traits d’ivoire et les lippes dures qui attisent le désir. ce sont les cicatrices formant les stigmates qui charment l’éloquence et son insolence, ce sont les prises trop fermes, les déchirures du myocarde et du derme. ✾ pas un genre, ni deux mais trois, tous, sans distinction. toutefois c’est encore avec vergogne qu’il susurre intérieurement aimer l’homme avec un H majuscule. — panromantique — au combien puisse-t-il être plus séduit par les femmes qui le bercent et dans sa complexité, il demeure cependant davantage plus — homosexuel — pour l’intimité d’un corps qu’il semble reconnaître et envier.
ꕥ situation : des ébauches, jamais terminées, égarées dans les recoins d’une pièce, dans l’obscurité des lumières aux bougies parfumées. elle revient inlassablement sienne, situation-parure, beauté aux yeux opaques d’azur elle est la favorite d’une mère qui clame la désirer en tant que belle-fille. allures de faux-fiancé parfait, n’en reste-t-il qu’une amitié flexible résistant aux ravages du temps et des psychés versatiles. néanmoins il n’est pas pour elle, elle n’est pas pour lui. lieven, c’est le statut — singulier — de celui qui n’a que trop aimé un ami, un collège, l’âme qui l’a recueilli puis abandonné dans son sillage. lui, il ne s’amourache, transi que ceux qu’il ne doit aimer et s’ébranle dans l’infinité de stigmates qu’ils peuvent porter. le cœur trop fermé, arsenic sur les bordures des lippes ; en crush amical impossible pour une vieille amitié qui le tuera à l’usure.
ꕥ occupation :
il y a ce rêve au bout des phalanges usées à force de trop gratter contre le tombeau noir dans lequel il est interné. des étoiles reines, astéries naines, voie lactée diffusée sous la nuée iridescente du firmament-sorcier. a trop contempler les étoiles, afin de ne pas remarquer qu’il n’est que les vestiges d’un astéroïde craquelé, il s’est orienté vers la physique et l’astronomie profonde. — étudiant en astrophysique — molécules maîtrisées, peur de l’infiniment petit oblitérée sous les connaissances trop affinées, captif et geôle de ces craintes inexpressives mais pourtant trop agressives. cela a été son rêve jadis, toutefois désormais, les limites sont floues entre rêve et réalité, entre capacité et robustesse. peut-être ne sera-t-il pas heureux ainsi, cependant, préfère-t-il se noyer dans la crainte d’un essai foiré que d’un échec fataliste qu’il s’est lui même créé ; couardise.
ꕥ quartier : il est beau, vicieux, sournois sous les apparences d’or et de diamant, caché prédateur de la débauche et la cupidité. il est addictif, quémandé, désiré, adulé — Manhattan — que tant envient, que tant veulent se blottir contre sa poitrine luxuriante. Manhattan et des gratte-ciels trop immenses qui lui donnent mal à la tête et qui sont les geôles de son insomnie. L’infiniment grand le faisant se sentir infiniment petit.
ꕥ qualités : loyal ; instinctif ; poétique ; aérien ; brillant ; emphatique ; fasciné et étourdissant ; ardent ; compréhensif ; curieux ; artistique ; audacieux ; bienséant ; combatif ; critique ; discipliné ; débonnaire ; éloquent ; divertissant ; passionné ; charismatique ; patient ; protecteur ; rusé ; observateur ; résistant ; suave ; amoureux transi.
ꕥ défauts :
hypocrite ; ondoyant ; anxieux ; indéterminé ; brouillon ; complexe et complexé ; sensible allant à l’hypersensibilité puis l’anesthésie générale ; introspectif ; sibyllin ; déréglé ; carriériste ; cynique ; insatisfait ; mutilé ; méfiant ; parfois dans la passivité qui rend byzantin ; obsessionnel ; manipulateur ; control-freak ; rigide ; patelin ; possessif ; vindicatif ; (auto)destructeur ; contradictoire.
ꕥ passions : {#}écriture{/#} ; {#}astronomie{/#} ; {#}voyage{/#}.
ꕥ groupe : idk what are you talking about.
ꕥ communautés : GOTHA ; Columbia University ; The Outpost.
ꕥ scénario/pré-lien : ce sera à voir, mais pour le moment non hihi.
ꕥ parrain : non merci mais c'est très gentil de proposer.  love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Bien le bonjour ou le bonsoir. ✾ Appelez-moi lunar ce sera parfait et plus court, on aime au plus court par ici. Je suis une rpgiste qui écrit depuis de nombreuses années déjà, pratiquement dix si mes comptes sont bons. J’ai actuellement aux alentours de la vingtaine, oui ça date, j’ai commencé jeune à me doper aux rpgs.  Tag astronomie sur I've got 99 problems 2958767705 Je suis passionnée par l’astronomie, la mythologie qu’importe les cultures et les ethnies puis par la psychologie et les rouages de la neurologie. J’adore étudier les mécanismes sociaux et instaurer un climat adapté pour l’évolution de mes personnages, pour certains torturés — malgré tout j’aime écrire sur les happy endings sans que pourtant le mot parfait ne rime, remplis de complications, les relations nocives et conflictuelles, les mots de tendresses et les jeux de regards que l’on peut décrire et les liens faits sur le feeling. J’adore le chocolat chaud mais surtout froid, discuter des nouveautés, refaire ma culture lamentable et lire des polars. Lieven étant un personnage très, très important pour moi et aussi, comme pour beaucoup de rpgiste, une partie de ma personne ; il aura une évolution lente, je n’ai rien prévu de concret alors j’ai hâte de me faire ma place parmi vous !  cute

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Misery de Stephen King.
ꕥ un film : Cloud Atlas.
ꕥ une série : Criminal Minds.
ꕥ une chanson : Idontwannabeyouanimore.
ꕥ un animal : le cerf.
ꕥ un plat/dessert : des nouilles sautées au bœuf et aux légumes.
ꕥ une boisson : la limonade avec eau pétillante.
ꕥ une célébrité : Anya-Taylor Joy ou le Père Noël.
ꕥ un pouvoir magique : l’intangibilité.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : rien à signaler pour le moment.


that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Sa situation familiale difficile à tenir, les querelles continuelles entre lui et ses frères&sœurs, entre lui et sa mère avec qui ses liens se sont évaporés depuis des années. ✾ Son deuil qu’il n’arrive toujours pas à faire, au combien les années et saisons s’écoulent, sa colère ne cesse de fleurir, l’injustice croît comme une plante nocive et ramène à lui des fureurs vindicatives. ✾ ses complexes, névroses, difficultés qu’il ne parvient à surmonter et qu’il ne fait que cacher, gonflant le poil pour se faire passer pour un homme qu’il n’est pas — n’a jamais été. ✾ cette amitié qu’il doit abandonner, cet homme qui l’a laissé alors qu’il avait tant besoin de lui à ses côtés. Le chagrin est encore une plaie palpable et parfois se met-il à pleurer en repensant à des souvenirs passés. Et pourtant, ils s’étaient aimés, à leur manière.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Addictions en collections, faux trophées, chevaux de Troie qu'il traîne chevillé à son essence souillée. Au commencement, ce n'avait été que des essais infructueux de se mêler à la masse, seulement pour tenter, expérimenter, se créer des liens aux combien ils puissent être éphémères afin de calmer les colères de Mme. Moon. Cela n'avait été que des cigarettes, une première et l'étouffement, la sensation de crever et de s'asphyxier. Puis une seconde, troisième, dizaines, jusqu'au la dépendance extrême. Durant plus d'un an, à fumer quotidiennement, jusqu'à ce qu'on le sauve et qu'il abandonne cette drogue pour une plus puissante encore. La dépendance affective, l'addiction primitive d'un corps en quête perpétuelle de la présence d'un autre, crushs ignobles ne durant jamais, puis nocivité lorsque plus ancrés, lorsque c'est des vrais amours, de vraies affections qui se créent. Cette addiction là, elle l'a fait et le fait encore terriblement souffrir. A la suite, ce furent les substances illicites pour planer un peu, mais la crainte de perdre ses moyens et de n'être qu'un pantin sans vie, qu'il ne pourrait pas lui-même maîtriser l'a fait s'apaiser dans cette roue libre. Le plaisir des jeux jusqu'à en être exclu d'un casino, les paris risqués, la conduite automobile dangereuse puis la sexualité à risque, tout pour s'oublier et oublier les peines jusqu'à en oblitérer le danger. Désormais, il se shoote au café, au vin, à l'alcool mais surtout à la caféine, puis la théine, une brillante idée encore plus jeune pour se démarquer — échec assuré. Aujourd'hui, c'est l'addiction d'écrire qui le détruit, l'encre se mêle au sang et aux tendinites qu'il continue de collectionner comme des prix, c'est cette captivité là qui le fait faiblir et qui pourtant le soulage ; prise en otage créant un syndrome de Stockholm singulier.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? complicated — cela n'avait pas été une relation romantique à proprement parler, c'était à son image, à leur image quelque chose de si particulier que la définition est encore en court de création. C'était l'addiction, l'amitié, la fusion, la perte de réalité. C'était fondre l'un dans l'autre avec de simples paroles, décrire dix-milles choses que l'on aimait ou haïssait dans le monde et se retrouver là-dedans, tout en dégustant un thé que l'un aimait et que l'autre haïssait mais ne pouvait s'empêcher de boire, malgré tout. C'était parfait, jusqu'à ce que cela en devienne nocif, que la notion de la perte de fusion ne puisse se faire sentir et que de deux individus, ils en deviennent presque un, à se plier à des caprices impossibles. Tout s'est achevé un jour, alors que les sentiments étaient là, alors qu'ils s'étaient promis une infinité de fois de ne pas partir, de ne pas se laisser. tant pis ; le temps parait infini durant le manque.

Le dernier texto que tu as envoyé ? Écrit alors qu’il ne le devait pas, alors que l’alcool avait rendu ses veines ivres et ses artères ébrieuses, tâtonnant sous la difficulté de ses doigts à tenir un dialogue cohérent. ❝ Tu me manques.❞ Trois simples mots, trois simples perles et l’orgueil qui s’agenouille face à la dépendance unilatérale d’un lien si récent mais pourtant si important qu’il avait tout bouleversé en son absence. ❝ Tu me manques.❞ Cela veut dire que ce ça veut dire ; cela ne veut rien dire, tant tout est encore à écrire. Tant ces mots signifient quelque chose de bien plus important qu’il n’est pas parvenu à exprimer, ne serait-ce que par tâtonnement et qu’il a préféré enterrer par souci de facilité. Message écrit. Message tapé. Message envoyé — destinataire qui l’a ignoré. Contact presque supprimé.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elle est chaotique, perdue après la destruction de leur royaume, usée par l'absence de ce pilier qui les maintenait tous unis et égratignée par les non-dits. Avec mère, il ne s'entend plus depuis des années, leurs univers semblent s'être divisés à la mort de son père, puis davantage plus lorsqu'elle lui a dû s'occuper de ses quelques incartades nuisant à l'image de leur famille. Elle lui a reproché d'être trop proche des hommes, l'homophobie ayant la vie dure parmi ceux qui ne désirent faire preuve d'un esprit plus ouvert, coincés dans un monde sélectif et outrageusement étroit. Il ne parle plus avec sa mère, plus vraiment, plus de lui, uniquement là pour accepter certaines de ses demandes, prendre de ses nouvelles, s'en faire parfois car malgré tout, elle est sa mère, sa génitrice, le seul parent qu'il lui reste. Il l'aime, maladroitement, difficilement, imperceptiblement, mais il l'aime. Puis père, il s'en est allé trop tôt, alors qu'il n'était encore qu'un gamin attendant des nouvelles de son héros. Il est partit sans prévenir, assassiné par ceux pour qui il s'est toujours battu.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? L'écriture est son art ultime, la raison pour laquelle ses nuits s'éternisent jusqu'aux premières lueurs du jour et pour lesquelles son poignet hurle jusqu'à s'époumoner. Il revêtit et dévêtit de centaines de feuilles, livres déjà créés et finis pour trois d'entre eux, tomes qui n'ont jamais vu le jour devant les yeux d'un quelconque éditeur. Puis il y a les poèmes, poésies légères, haïkus repeints d'encre de chine et quelques formes embrasées de textes qu'il ne peut placer dans aucune catégorie. Il y a la photographie qu'il pratique parfois, souvent aux mêmes endroits, sans jamais pourtant réellement exceller, c'est le plaisir de se projeter qui le fascine et lui permet de respirer. Les fêtes et réunions mondaines auxquelles il est invité en tant qu'un des aînés de la famille Moon, celles qui divertissent et permettent de trouver des perles rares, également celles qui l'enferment et s'essorent jusqu'à tenter de le faire honte de ne serait-ce que penser ce qu'il peut penser. Et il y a ce petit secret bien renfermé, groupe de poètes disparus dont il porte l'emblème d'un des créateurs grecs. Avec eux il a ce lien indicible, proche d'une osmose parfaite, ils sont des parchemins de qualités qu'il rêve de posséder.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Dans sa jeunesse, alors qu'il était encore foncièrement addict aux jeux d'argent et de cartes, il s'est fait expulser d'un casino après qu'on ait appris ses méthodes de triche. Le scandale a faillit s'ébruiter, si ce n'était grâce aux liens de sa mère et proches de son père décédé qui lui ont permis de s’éclipser sans faire davantage de vagues. Il a bien faillit faire des travaux d’intérêt généraux pendant une durée relativement longue, cependant il a remboursé ce qu'il avait pu usurper, s'est tapé quelques TIGs et est désormais banni à vie de ce lieu. Il lui reste encore à rembourser sa mère qui folle de rage, compte lui faire payer son audace durant les prochaines dix générations à venir.

❝✪✪❞

il est le second ainé de la famille Moon et le plus âgé des garçons de la fratrie. Egalement il est le seul enfant biologique et de ce fait, on pense souvent qu’il a été placé en priorité. Ce fait est entièrement faux et paradoxalement, il se sent le plus étranger dans cette famille. ✾ ses liens avec ses frères et sœurs et même avec sa famille en général sont assez bancals et compliqués, ils peinent beaucoup à s’entendre entre eux, au combien il y ait aussi quelques affinités plus importantes. ✾ c’est un passionné de voyages, il essaie d’en faire minimum deux dans l’année, il a besoin de ce temps seul pour s’aérer et éviter de craquer. ✾ il évite toute ce qui peut rendre dépendant, dans tous les domaines car il se sait très aisément addict aux choses et les sevrages sont toujours foncièrement difficiles le concernant. ✾ bien que non désireux d’alimenter les clichés, il est un fan incomparable des sushis et des nouilles sautées. ✾ il porte toujours et dans la limite du possible des vêtements amples, sa température corporelle étant très élevée il peine à ne pas avoir sa peau irritée lorsqu’il porte des parures trop collantes. ✾ non croyant aux fantômes et autres entités telles que les extra-terrestres, il demeure néanmoins assez enthousiaste à l’idée d’avoir tord et de pouvoir assister à ce genre de phénomènes. ✾ il s’est plusieurs fois confessé à un prêtre concernant des actions qu’il jugeait inadmissibles ou bien nécessitant une rédemption. Cependant il a toujours demandé à ne pas donner son prénom, ne laisser aucune trace de son passage, car la honte le taraude et lui-même ne sait comment réagir face à ce choix de confession. ✾ il a tellement de passions et de choses qui l’intéressent qu’il ne sait pas choisir, n’achève presque rien et finit par penser que rien ne le satisfera jamais. ✾ il a un immense molosse du nom de Ghost, il dort souvent avec lui, lorsqu’il est seul chez lui. Également, il a une paire d’oiseaux exotiques des Diamant du Gould et a beaucoup bataillé pour avoir le droit de les avoir. Leurs caractères sont assez loufoques, mais ils le font beaucoup rire. ✾ il déteste faire des promesses et n’en fait jamais, la simple idée l’irrite car toutes les promesses faites auparavant se sont toujours achevées de manière dramatiques. ✾ il a quelques fois cohabité avec un des protégés de son père, un jeune garçon récupéré et que son père espérait pouvoir aider. Leurs liens sont particuliers et ils apprennent encore à s’apprivoiser, malgré le fait qu’ils se connaissent depuis plus de six ans désormais. ✾ ayant fait un séjour au Royaume-Uni à ses quinze ans, il a pris certains réflexes de là-bas et s’est initié au thé sans comprendre que tout ceci était un immense cliché. Encore aujourd’hui il en boit quotidiennement au combien il n’aime pas cela, mais adore les effets sur son corps déjà habitué. ✾ son grand-père paternel est un réalisateur de films mêlant art Coréen et American très apprécié des férus du cinquième art, les critiques sont parfois dures car il ne donne généralement aucune réponse claire à la fin de ses films et laisse ouvert aux interprétations. Il est un des modèles de Lieven et celui-ci l’a désigné en tant qu’un de ses héritiers. Ce fait l’a quelque peu bouleversé, il ne se sent pas apte à reprendre quoique ce soit. ✾ il a déjà eu quelques aventures minimes, quelques petits baisers innocents et quelques touchers indécents avec des hommes, or il a toujours tout étouffé et ne l’a jamais assumé. ✾ son intérêt va souvent vers les personnes plus âgées que lui, voir bien plus âgées, il se reconnaît en leur maturité et se sent davantage plus en sécurité. Il ne s’est jamais vraiment entendu avec des personnes plus jeunes, hormis exception. ✾ malgré ses doigts pianistes, il préfère jouer de la harpe et se détend en le faisant, lors de journées difficiles. ✾ il est insomniaque depuis de nombreuses années et tente de se maintenir au plus actif pour ne pas complètement entrer dans un état végétatif. ✾ il a déjà fait des tirages tarot, a consulté quelqu’un qui lui a lu les lignes de la main et étrangement ce genre de fait lui paraît très logique et plausible au combien il ne croit en rien qui est externe à cela. ✾ c’est un control freak légèrement obsessionnel ayant besoin que son atmosphère de travail et surtout personnellement soit organisée minutieusement afin qu’il puisse être à l’aise. il a des allures assez maniaques et nettoie tout chez lui et en extérieur, c’est le genre de personne à remettre une pile bien droite de documents empilés lorsqu’il attend ou pendant qu’il parle à quelqu’un à l’extérieur. ✾ il a une vision du monde un peu particulière, il visualise, compte, étudie et additionne/soustrait un nombre incalculable de choses dans la vie courante. il aime se poser des questions sur l’origine des choses, la texture des vêtements, un peu tout et généralement, il parvient à deviner la taille approximative de certaines choses, en les observant bien.



this session is gonna be different
lunar eclipse. ꕥ vingtaine.
fréquence de rp : en tout cas une fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : un peu tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris pas mal de mots, mais tout dépend du partenaire et du contexte, également du mood du personnage. ϟ avatar à réserver : kim taehyung ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ils sont si petits que je ne les vois pas.  Tag astronomie sur I've got 99 problems 3290696072  ϟ comment avez-vous connu 99 ? je le connaissais déjà, je ne sais plus qui me l'avait montré...  ohpardon  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'adore le modèle de fiche de présentation.  love
tumblr (gif) solsken (avatar)

you broke me first > raven.

Invité
25 r ; 1534 v.
Mer 12 Aoû - 22:24
raven rose
23 ans - étudiant & standardiste
FEAT : jeon jungkook
Raven est un gamin des bas quartiers qui a toujours eu la sensation d'être abandonné. Enfant du hasard qui s'est imposé malgré lui dans la vie de sa mère, il a été très tôt confronté à la solitude. Délaissé de toutes sortes de manières il a fini par penser qu'il ne valait pas grand chose, à gâcher ses multiples talents, à s'autosaboter parce que c'est plus simple de se dire que finalement il ne mérite pas plus que ce qu'il ne s'autorise à posséder, plus simple d'aller dans le sens du destin au lieu de l'affronter. Raven, c'est tantôt les flammes sous la glace et l'iceberg sous l'incendie, c'est une placidité à toutes épreuves quand il est d'humeur, mais une violence excessive lorsqu'il se sent menacé. Raven n'est pas un mauvais garçon bien qu'il en ait l'air avec son allure sauvage, sa froideur, son mutisme/ses mots agressifs et ses vêtements sombres. Il est juste né du mauvais côté de la barrière, a ponctué sa vie de conneries et d'erreurs qu'il regrette pour la plupart, n'a aucune confiance en lui malgré tout ce qu'il veut bien montrer. C'est le gosse qu'on a laissé sur le côté, le pote qu'on a oublié, c'est le mec qui attire l'oeil avant qu'on ne se lasse de lui. Il se cherche, aurait envie qu'on le voit pour de vrai, qu'on l'appelle et qu'on persiste, qu'on lui court apres, qu'on s'accroche sans jamais renoncer à lui, qu'il peut enfin se reposer sur quelqu'un en arrêtant d'être fort pour une fois. Qu'on lui montre qu'il vaut quelque chose, qu'il n'est pas rien, qu'il a le droit d'exister, de pleurer, de hurler, d'être fatigué. Il se pense en dépression parce qu'il a des périodes de blanc durant lesquelles il n'a plus envie de rien, les larmes qui ne coulent jamais mais l'esprit totalement vidé. Il est insomniaque chronique, aussi, alterne entre de courtes périodes durant lesquelles ses nuits sont parfaites, et d'autres, bien plus longues, où il ne trouve le sommeil que très tôt le matin. Sa maman est américaine, toute sa famille l'est, mais il ne connait pas ses origines du côté de son géniteur puisque sa mère a toujours refusé d'en parler (même s'il suppose sans trop de difficulté qu'il a du sang asiatique dans les veines). C'est une grosse zone sombre dans sa vie, parce qu'il a toujours eu la sensation de n'avancer que sur une jambe, à ne pas savoir trop d'où il vient vraiment.. il n'a grandi qu'à moitié.
who am I
ꕥ âge : Les années qui s'égrainent avec une lenteur psalmodique comme autant de coups d'aiguilles frappent l'horloge, il avance dans le temps en traînant les pieds jusqu'à s'en user les semelles sans jamais en changer pourtant, vingt trois ans de flottement-dentelle, enfance gercée, adolescence mutilée, il a envie que tout s'arrête s'arrange enfin, coincé entre hier et demain. Prisonnier. Ou geôlier.

ꕥ nationalité : Sang calomnié par l'abjecte main du destin, il se sait américain dans l'essence mais aussi souillé d'un ailleurs et d'un exotisme dont il ne connait pourtant aucun détail. Sinistre pinceau teinté des ténèbres de l'incertitude il ne sait pas s'il avance réellement ou s'il s'échine sur place, amputé d'une partie de son identité, les pas excessivement fragilisés, funambule au dessus de sa propre vie en essayant de ne pas chuter. Il aurait aimé savoir mais sa famille a toujours refusé de lui en parler, lèvres scellées pour ne rien raconter. Alors il a appris à composer : Américain, et rien de plus.

ꕥ ethnie/origines : Cryptogramme corollaire, l'on devine aisément que c'est l'asie qui a assiégé l'adn, l'asie, celle qui perle de tous côtés comme autant d'indices sur son ascendance, étirant ses paupières avec légèreté par dessus ses iris d'ébène quand le reste de sa famille a les yeux clairs, l'asie qui rend son derme couleur de miel dès lors que les rayons solaires viennent s'y frotter trop fort, l'asie dont il ne connait rien que les stigmates, les mots durs lancés parfois sans savoir, lui qui, à défaut de connaitre d'où il vient, refuse qu'on l'appelle "le chinois". Amalgames orduriers, il n'a jamais accepté d'être considéré comme un étranger; né ici, il est américain. Il n'est pas adopté. Il ne mange pas avec des baguettes, ne parle aucune autre langue que l'anglais si ce n'est celle des poings, ne mange pas du chien ou du riz à chaque repas, se bat sans arrêt pour que le carpelle d'à prioris et d'hypothèses stéréotypées cessent enfin. Amertume d'être sans cesse évincé irrévérencieusement de sa propre patrie, délogé de ce qu'il est dans son essence-même, il a appris à s'y accommoder quand bien même son sang soit géminé, l’Amérique sous chaque pore, dessinée sur ses grands yeux sombres, les coutumes implantées sous les syllabes depuis qu'il sait parler, les R qui roulent contre le palais et les corps percutés pour se saluer (quand bien même il déteste ça).

ꕥ orientation : Complexe. Ne pas mettre de mots sur ce qu'il refuse pour le moment d'admettre, l'hétérosexualité comme un minuscule drapeau de papier qu'il tente en vain d'agiter pour camoufler que c'est vers les hommes, bien souvent, qu'il préférerait se tourner. Toutefois, velléitaire, il se ment effrontément, les désirs qu'il réprime au profit de courbes satinées dans lesquelles il se perd bien trop souvent. Mais s'il n'en dit pas un mot, ces rituels commencent à l'épuiser, le déplaisir inhérent à l'acte comme s'il ne s'agissait plus que d'une machinerie destinée à ce qu'il puisse se défouler. Extérioriser sa frustration à chaque coup de bassin claqué contre des hanches offertes à l'éphémère, et il sait qu'elles en redemandent même en sachant qu'il n'a rien d'autre à donner, parfois leurs cœurs qui se balancent dans sa direction sans que jamais il n'en saisisse aucun. Impassibilité.

ꕥ situation :  Anhédonie artificielle. Désintérêt forcé. Le cœur qu'il traîne sur le bitume et l'âpre amour dont il ne veut plus entendre parler, laissé pour les autres. Lui, il le refuse désormais, estropié du myocarde par cet autre qui s'est amusé. Célibataire à l'infini.

ꕥ occupation : Âme écorchée, confiance matraquée, il répondrait que son occupation première est de cramer des poubelles, de sauter dans les piscine privées des résidences une fois la nuit tombée, de s'enfiler de la drogue dans le bras ou dans le nez avec des inconnus en coin de rue jusqu'à en oublier son prénom parfois, de faire du skate à s'en péter les genoux et de se perdre là où les tempêtes voulaient bien le déposer. Il dirait aussi qu'il s'occupe à survivre quand il en a le temps, mais qu'il trouve pleine satisfaction dans l'adrénaline des cours de violoncelle à la Julliard School, place obtenue par un talent qu'il peine à reconnaître et à assumer pleinement. Providence, il y a pourtant ces deux figures paternelles qui ne sauraient définir, Alejandro et Samir, hommes solides au regard droits qui avaient su lui insuffler un peu d'espoir. Si le premier l'a toujours soutenu et encouragé, l'aidant même à remplir le dossier de demande de bourse pour Julliard, le deuxième a accepté de lui offrir un petit poste de standardiste dans sa clinique vétérinaire, faisant fi de son passé, de son casier, de ses conneries, à regarder bien plus au fond que le visible, à gratter l'écorce pour faire confiance à la sève. Un jour, Raven trouvera comment les remercier.

ꕥ quartier : Le Bronx. Le Bronx et ses rues encrassées, délaissées, oubliées, le Bronx et ses murs-canevas recouverts d’œuvres éphémères et bigarrées d'artistes dont personne ne connaitra jamais rien, le Bronx et son melting-pot polychrome d'ethnies diverses et variées étalées à chaque coin d'immeuble, le Bronx et son ambiance musicale omniprésente, juste en ouvrant la fenêtre, le Bronx et sa violence, le Bronx et sa solidarité. C'est ici qu'il a poussé son premier cri et fait ses premiers pas, Raven, oiseau nocturne qui a appris au fil des années à connaitre son quartier de jour comme de nuit. Il connait du monde, est monté sur tous les toits, a couru dans chaque rue, connait les visages des commerçants, des voisins. Il y vit avec sa mère, sa grand-mère et sa tante dans un petit appart situé au premier étage du Miranda Heights, mais souvent il se contente de dormir dans sa voiture en zonant dans d'autres quartiers, pour prendre l'air. Il étouffe.

ꕥ qualités : bohème - esthète - honnête - rêveur - audacieux - brave - brillant - cérébral - charismatique - consciencieux - sérieux - courageux - talentueux - créatif - débrouillard - doux - sincère - marginal - contemplatif - discret - dévoué - énigmatique - fidèle - flexible - fougueux - franc - tendre - inébranlable - impliqué - mature - observateur - passionné - persuasif - patient - protecteur - résistant - romantique - sensible - surprenant.
 
ꕥ défauts : sardonique - imprévisible - sanguin - paradoxal - animal - agressif - laconique - anxieux - exclusif - asocial - blasé - buté - coléreux - dissipé - territorial - extrême - impertinent - introverti - intransigeant - destructeur - effronté - indécis - fêtard - froid - impatient - provoquant - impulsif - jaloux - acéré - lunatique - inaccompli - méfiant - manichéen - nerveux - possessif - pudique - réservé - sceptique - solitaire - susceptible - téméraire - torturé - violent.

ꕥ passions : {#}littérature{/#}  {#}astronomie{/#} {#}violoncelle{/#}

ꕥ groupe : Just small daddy issues

ꕥ communautés : El Halito, Juliard School, Studio de Danse, The Outpost, Miranda Heights, Off The Wall Skatepark, the lift,

ꕥ parrain : Non merci  love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je suis très mauvais pour parler de moi, je préfère d'ordinaire rester celui de l'ombre qui fait son petit chemin sans avoir à se dévoiler. Néanmoins je fais l'effort, même si ce n'est pas obligatoire. Je zone sur les forums rpg depuis une bonne dizaine d'années et l'expérience m'a fait (malheureusement) prendre des distances quant au relationnel avec les joueurs. Je suis invariablement présent et je suis capable de tout donner pour un forum, mais j'ai désormais énormément de mal à être trop proche des gens irl, me contentant de garder une distance de sécurité pour me protéger. Je suis disponible par mp, je suis jovial et accueillant, je ne suis vraiment vraiment pas méchant, simplement je préfère ne pas échanger mon discord et autres informations privées avec quiconque. Concernant mon personnage, je ne compte pas me dédoubler, préférant me consacrer à l'évolution de Raven. J'aime les évolutions lentes et progressives, les remous, quand ca clash, quand ca se recolle, quand on ne sait plus, quand on découvre, j'aime lorsqu'il y a matière à pleurer et à rire, j'aime ne pas savoir, ne rien prévoir, je déteste les endgame et les ships prévus à l'avance. Les affinités des personnages et rpgiques ne se faisant que via les rp's, c'est par ce biais que j'aime découvrir ce qui arrivera à mon personnage. J'ai conscience que cette présentation ne doit pas être très flatteuse à mon égart mais promis, je suis vraiment très gentil.  Tag astronomie sur I've got 99 problems 3062935994  Et j'adore élaborer des liens, n'hésitez pas ! D'ailleurs, je suis partisan du "peu de liens, mais fignolés dans les détails".

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Orgueil et préjugés; Jane Austen.
ꕥ un film :  Edward aux mains d'argent
ꕥ une série : lie to me.
ꕥ une chanson : nothing else matters ; Metallica.
ꕥ un animal : le corbeau.
ꕥ un plat/dessert : une glace citron framboise.
ꕥ une boisson : le Green ice tea bien frais.
ꕥ une célébrité : aucune en particulier.
ꕥ un pouvoir magique : la teleportation.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : aucun dans l'absolu. S'il est bien mené.


THAT'S MY STORY / SELF DIAGNOSIS

Les orbes abîmées sous des paupières à demi scellées il observe tout autour et il ne voit que ça, des brisures, des morceaux qu'on a bafoué, des bouts de lui éparpillés ça et là et il ignore comment les rassembler pour se sentir enfin complet, Raven, corps devenu objet jusqu'à l'excès, jusqu'à la déchirure, jusqu'à ce qu'il ait si mal qu'il en oublie les morceaux trop éloignés, et ceux qu'il ne retrouvera plus jamais.

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I. l'oiseau de mauvais augure. (♪) 2016 - 2020 - Ce qui l'a certainement sauvé, c'est la musique. Quelques mois de réeducation, un déhanchement de quelques millimètres qui ne lui fait presque plus mal, il a repris sa vie là où il l'avait laissé, avec la même lourdeur au fond des poumons, avec la même mère fatiguée et dépendante. A peine avait-il repris consistance qu'on lui demandait de revenir à son exacte place, de faire le tampon entre les membres de sa famille pour que rien ne s'enflamme jusqu'à tout cramer, à peine était-il revenu qu'il devait répondre aux questions, aux critiques, les potes qui ne comprennent rien, qui n'ont pas pris de nouvelle. Doucement, il a repris le violoncelle, et c'est surement lui qui l'a sauvé, son violoncelle et les autres aussi, Alejandro, Samir, Mr Moon, Gustaf. Des gens, figures paternelles, sur qui il a pu se raccrocher sans jamais rien leur demander pourtant, se contentant de savoir qu'il avait quelques numéros en poche à appeler en cas de nécessité. Il a repris le violoncelle, Raven, les cordes sous ses doigts cornés et l'archet contre l'os du pouce, la caisse entre ses genoux écorchés d'être trop tombé, il n'a pas laché, s'est entrainé encore et encore avec un but un peu ridicule accroché comme une carotte pour le motiver: entrer à la Julliard School. Rendre tout le monde fier. Le violoncelle, il le pratique depuis qu'il a quatre ans sous l'impulsion de sa grand-mère qui pensait qu'un instrument noble et des années de conservatoire rachèterait sa venue au monde. Et il est bon, Raven, très bon, doué pour beaucoup de choses de manière presque innée, n'exploitant pourtant rien. Certains dirait haut potentiel, lui répondrait "on s'en branle un peu, non?". Il dessine, peint, danse, chante, joue de plusieurs instruments, possède l'oreille absolue, fais de la photographie, écrit, apprend très vite à peu près tout ce qui lui est présenté, mais la confiance a été tant corrodée qu'il n'a plus foi en lui. Alors il passe son temps à tenter de ne pas trop boire ni trop se droguer pour suivre les cours à la Julliard School dans un état potable sans se faire virer, enchaine les conneries une fois la nuit venue, se perd dans les corps pour retrouver certains de ses contours, n'aime jamais, parce qu'offrir son coeur c'est forcément se le faire buter. Raven, c'est des longues soirées dans sa voiture à conduire sous la lueur des néons comme si la vie pouvait se résumer à ces instants durant lesquels plus rien d'autre que la grandeur des ténèbres n'existe. Car il y a en lui des volcans qui explosent souvent, mystérieux et laconique au possible sauf quand "ça lui casse les couilles". Lorsqu'il ne retient plus, tout devient extrême. Les mots s'envolent, les poings frappent, les dents crissent, la machoire se serre. Et il aimerait tant qu'il existe une personne au monde capable de passer une à une les couches qu'il a superposé au dessus de ce qu'il est, qu'une seule personne soit assez forte pour venir le chercher et le prenne dans ses bras et l'autorisant à pleurer. Enfin.


this session is gonna be different
thunderstorm ꕥ la vingtaine.
fréquence de rp : au moins une fois par semaine, peut être deux. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, régulièrement. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Ca dépend vraiment de beaucoup de parametres. J'ai tendance à suivre l'instant, l'instinct, le personnage et le partenaire. Donc je dirais entre 600 et 3000 mots? ϟ avatar à réserver : Jeon Jungkook ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Rouge bien sûr. Parce que les petits pois sont rouges. ϟ comment avez-vous connu 99 ? en farfouillant sur bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J'espère réussir à bien intégrer mon petit Raven, et j'ai hâte de tous vous découvrir et rp !
tumblr (gif) solsken (avatar)

black panther (basil).

Invité
23 r ; 741 v.
Mar 9 Juin - 22:33
basil matthews
vingt-neuf ans - propriétaire et patron du outpost
FEAT : lakeith stanfield
Basil a une soeur jumelle, Billie. D’origines afro-américaines, ils n’ont jamais rien su de leurs parents biologiques. Ils ont été adopté par les Matthews à l’âge d’un an et trois mois. Comme chaque membre de la fratrie, ils ont tous deux un surnom. Beast pour Basil et Beauty pour Billie. Depuis tout petit, Basil souffre du syndrome de l’imposteur : il a l’impression de n’avoir aucune légitimité au sein de sa famille adoptive, comme s’il ne méritait pas la place qu’ils lui ont offerte. Gamin discret, toujours assis au fond de la classe, il a subi plusieurs remarques racistes durant sa scolarité. Alors il sortait les poings. Cette habitude lui est restée, mais s’il sort son poing aujourd’hui, c’est plutôt pour le lever au ciel. Basil est très engagé pour la cause afro-américaine, et toujours présent aux rassemblements Black Lives Matter. Il n’a jamais fait d’études supérieures, s’est toujours débrouillé pour s’en sortir. Il est devenu barman et a travaillé dans plusieurs bars de Brooklyn. À ses vingt-cinq ans, il a été condamné pour un crime qu’il n’avait pas commis. Il a été emprisonné une année entière avant que l’on ne reconnaissance son innocence. Il a reçu un dédommagement de l’État, ce qui lui a permis de prétendre à un prêt et de venir propriétaire du Outpost, lieu synonyme d’une paix dont il avait tant besoin.
who am I
ꕥ âge : vingt-neuf ans, né le dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze
ꕥ orientation sexuelle : s’il n’a eu que des relations avec des femmes, basil se refuse pourtant la moindre étiquette
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : propriétaire et patron du outpost
ꕥ quartier : bedford street, brooklyn
ꕥ qualités : généreux, sincère, fidèle
ꕥ défauts : imprévisible, colérique, têtu
ꕥ passions : {#}cinéma{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}tatouage{/#}
ꕥ groupe : idk what you’re talking about
ꕥ communautés : the outpost
ꕥ scénario/pré-lien : famille matthews
ꕥ parrain : non merci

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Moi c’est Margaux, vingt-huit ans (punaise), actuellement à Montréal. Développeuse web, gourmande et geek, j’adore voyager, chiller devant Netflix et cuisiner. Si je suis là, c’est parce qu’une âme généreuse m’a recommandé ce si joli forum, et que je suis complètement sous le charme de l’esprit qui règne ici.  cute

petit portrait chinois
ꕥ un livre : deux petits pas sur le sable mouillé d’anne-dauphine julliand
ꕥ un film : room
ꕥ une série : game of thrones
ꕥ une chanson : buy the stars de marina
ꕥ un animal : l’éléphant
ꕥ un plat/dessert : le chocolat sous toutes ses formes
ꕥ une boisson : arizona au miel
ꕥ une célébrité : marina
ꕥ un pouvoir magique : voler

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : disons ce qui touche au viol, aux agressions sexuelles, et à l’automutilation.


that's my story / self diagnosis
Brooklyn, dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze ; naissance des jumeaux. Leur mère qui les dépose au foyer d’adoption avant de rejoindre l’homme de sa vie. Leur naissance n’était pas un accident, loin de là. Leur naissance était une raison de plus pour se battre. Mais deux enfants n’avaient pas leur place dans ce genre de guerre. Dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze, deux amoureux éperdus qui prennent la route du sud des États-Unis. C’est là-bas que la lutte est à son comble. Tous deux poings levés vers le ciel, tous deux qui rejoignent d’anciens membre du Black Panther Party. Quand bien même le parti a été dissous des années auparavant, la lutte n’est toujours pas finie. Les meurtres dissimulés, les discriminations, les inégalités sociales ; ils sont toujours là. Tant qu’ils seront là, le combat persistera. Vingt-sept juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze, deux amoureux éperdus perdent la vie, assassinés par des policiers lors d’une manifestation. Des meurtres étouffés par les médias. Vingt-sept juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze, les jumeaux ont quatre ans. Jamais ils ne connaîtront leur histoire.

Les années quatre-vingt-dix ; l’enfance des jumeaux. Les Matthews, le coeur sur la main. Ils ont adopté les jumeaux quand ils n’avaient qu’un an et trois mois. Billie et Basil. C’est auprès d’eux qu’ils ont grandi, loin d’imaginer la guerre que menaient leurs parents biologiques en leurs noms. Les Matthews, leur famille, la seule qui compte. Depuis tout petit, Basil souffre du syndrome de l’imposteur. Cette place qu’il occupe auprès d’eux, cet amour qu’il reçoit ; il a l’impression que tout cela ne lui est pas légitime. Il essaie d’accepter, de se convaincre qu’il n’a pris la place de personne, que sa vie est ici et nulle part ailleurs. Il essaie, et parfois il y croit. Jusqu’au lendemain. Malgré tout, Basil n’a jamais été malheureux. Très proche de sa jumelle et de ses frères et soeurs, proches de ses parents aussi. À l’école, il était discret. Toujours en fond de classe, peu bavard, dans son coin, mais avec de grandes capacités. Durant sa scolarité, il a reçu plusieurs remarques racistes. Parfois, plus que des remarques, des violences physiques. Alors il sortait les poings. Il est rentré plusieurs fois avec la lèvre en sang ou l’oeil gonflé. En grandissant, Basil s’est forgé. Il a appris à défendre sa voix, à défendre ses droits. Puis on a compris qu’il n’était pas de ceux à emmerder.

De l’adolescence à la prison. Aux onze ans des jumeaux, les Matthews ont perdu leur père. Un coup dur pour toute la famille. Chacun d’eux a été bouleversé. Basil, comme ses frères et soeurs, en a énormément souffert. Malgré le syndrome de l’imposteur, il était son père. Le seul qu’il n’aurait jamais. Un père auquel il n’a jamais su se confier, pour lequel ses démonstrations d’affection se faisaient rares. Il aurait aimé faire les choses autrement. Il ne pourra jamais rattraper le temps perdu avec lui. Il ne pourra jamais être un meilleur fils. Depuis, il essaie de profiter de sa mère au maximum. De lui faire savoir qu’il l’aime et qu’il est reconnaissant de la place qu’ils lui ont offerte. Quelque chose a changé en Basil depuis que son père n’est plus. Il a perdu son sang froid, sa patience. Sa colère l’emporte parfois, surtout face aux discriminations qui persistent. Après le lycée, il a directement enchainé plusieurs boulots de barman à Brooklyn. Jusqu’au douze mars deux mille seize. Il faisait nuit noire. N’arrivant pas à dormir, Basil était sorti observer les étoiles. C’est là qu’il l’a vu. Un homme cagoulé sortant de l’Outpost un gros sac à la main. Il venait de vider les caisses, cela ne faisait aucun doute. Une jeune femme était là, elle semblait légèrement ivre mais essayait malgré tout de s’interposer. Le cambrioleur lui porta un coup à la tête qui la fit tomber net. Basil est intervenu dès qu’il a pu. L’homme était armé, il a su le désarmer. Pistolet à la main, il le menaça. L’homme prit la fuite, l’argent en main. Alors Basil se précipita vers la jeune femme. Marloes. Il la connaissait. Elle reprit doucement connaissance, mais la police arriva au même moment. On les avait appelé, signalant une attaque à mains armées d’un homme de type afro-américain. Les empreintes de Basil se trouvaient désormais sur l’arme du crime. Il était en présence d’une femme gravement blessée. Les caisses du bar étaient vides. Il correspondait au signalement. Il était le seul et unique suspect. Non, en réalité, aux yeux de la police, il n’a jamais été suspect mais bel et bien coupable. Quoi qu’il dise pour se défendre, on ne lui laissa jamais le bénéfice du doute. Encore une interpellation injuste, encore de la discrimination. Mais cette fois-ci, il en était la victime directe. Son avocat lui conseilla d’accepter un deal : trois ans de prison, sinon le procès risquait de l’y envoyer dix ans. Il accepta, conscient que la justice était contre lui. Et il passa un an en prison. Une année durant laquelle Marloes, avec qui il entretenaient une relation épistolaire, aida sa famille à rétablir la justice. Ce sont eux qui ont su l’innocenter. On lui avait voler une année de vie. L’État lui offrit un léger dédommagement financier pour l’erreur de justice. Alors Basil racheta l’Outpost, comme une vengeance. Et puis surtout parce qu’il avait besoin d’un lieu comme celui-ci pour se relever. Un lieu de paix et d’inclusion. Il s’est également acheté un appartement sur Bedford Street. Ses journées sont partagées entre son engagement pour le mouvement Black Lives Matter, l’Outpost et ses proches.



this session is gonna be different
margaux/weeping willow ꕥ 28 ans
fréquence de rp : un rp tous les dix jours au minimum. ϟ fréquence de connexion : cinq jours par semaine. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 400 et 800. ϟ avatar à réserver : lakeith stanfield. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ça dépend sous quel angle on les regarde. ϟ comment avez-vous connu 99 ? une coccinelle m’en a parlé.  Tag astronomie sur I've got 99 problems 176241234  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? n’hésitez pas si vous avez la moindre envie/idée de lien  cute
tumblr (gif) vulpecula (avatar)

i'll never meet the ground (jake)

Invité
12 r ; 338 v.
Jeu 14 Mai - 22:50
jacob "jake" baker-shark
25 ans - étudiant à la julliard
FEAT : timothée chalamet jacob, c'est l'garçon qui pense que les étoiles peuvent atterrir dans la mer, c'est aussi l'bonhomme à la famille fusionnel mais aux idées qui virevoltent et qui rêve de chant et de danse sur des planches de bois craquée. c'est le petit gars tout frêle qui n'ose pas l'ouvrir quand il le faut mais qui devient un autre homme au contact de ses passions, qui s'habille de toutes les façons différentes et qui travaille quelques heures par semaine pour pouvoir se nourrir. c'est l'étudiant de la julliard au piano, boursier émérite qui fait la fierté de ses parents, il est l'enfant adopté d'une famille qui a eu trop de mal à concevoir d'enfant mais il a cependant une grande soeur biologique dont il a foi bien plus qu'en tout le reste.
who am I
ꕥ âge : 25 ans sur le papier, peut-être quelques mois de plus ou de moins que ce que les documents lui attestent
ꕥ orientation sexuelle : sûrement pansexuel, n'a de pré-requis quant à sa sexualité, indéfinissables sentiments qui se débattent dans sa cervelle
ꕥ situation : célibataire, n'a jamais connu l'amour, fuyant tout type de relation par peur  
ꕥ occupation : métier, études etc
ꕥ quartier : miranda heights
ꕥ qualités : loyal, avide de nouvelles expériences, vivant
ꕥ défauts : introverti, fuyant, maladroit
ꕥ passions : {#}art-du-spectacle{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}piano{/#}
ꕥ communautés : {#}lgbt{/#}, les habitants de miranda heights, {#}thelostplanet{/#}, {#}jade{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ parrain : oui, pourquoi pas ?  puppy
all about my player
ꕥ petite présentation perso :hola everyone Tag astronomie sur I've got 99 problems 176241234 j'm'appelle anaïs surnommée nana, j'ai 26 ans, j'suis très active en rp et j'suis du genre à aimer tous les gens. que ça soit du drama, du fun, des trucs loufoques ou simplement de manger un sandwich devant un movie, j'suis partante.

j'suis pas dérangé de faire des ouvertures de rp mais j'ai toujours peur qu'en face la personne soit déçue, donc prenez pas mal si j'vous demande de faire l'ouverture, c'est la timidité des premiers temps sur le forum, après j'me lâche et j'suis pas si timide que ça, bien au contraire sifle

j'suis une fana de drama inrp, j'aime quand ça chiale et quand ça souffre, mais j'veux d'la paix aussi et j'aime vraiment construire les liens... sur plusieurs mois (j'ai eu un perso, un ship, ils ont couché ensemble la première fois au bout de 1 an de rp... et on était à 6-7 réponses par semaine à des rp en cours. POUR VOUS SITUER SUR LE LONG TERME QUE J'AIME Tag astronomie sur I've got 99 problems 2958767705)

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : le livre du voyage, bernard werber
ꕥ un film : harry potter et le prisonnier d'azkaban ou interstellar
ꕥ une série : sense8
ꕥ une chanson : ben platt, waving through a window, dear evan hansen
ꕥ un animal : le louveteau
ꕥ un plat/dessert : une forêt noire
ꕥ une boisson : thé glacé à la pêche
ꕥ une célébrité : Michelle Obama
ꕥ un pouvoir magique : être capable de comprendre les animaux, ça serait fascinant

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : nothing, really

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Savoir si c'est p*tains de chaussures vont lui aller aux pieds. Ou peut-être est-ce son incapacité à appréhender qui il est. C'est un enfant qui n'a aucune connaissance de son passé, peut-être que des tares y sont ou seront révélés.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). il n'osera pas le dire mais c'est l'genre à regarder tous les derniers potins en date de ses artistes préférés, il est capable de se lever à 3 heures du matin pour attendre la sortie d'un single d'un chanteur qu'il adore. il se ronge les ongles, mauvaise addiction prise par sa soeur Jaz.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? quelle relation ? pas de relation. il a cru parfois être amoureux, a embrassé deux ou trois filles mais à chaque fois, il y avait une grande incompatibilité pour une raison qu'il souhaite comprendre.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Papa est passé chez moi ce week-end, il m'a donné son vieil appareil photo, j'ai trouvé des dossiers. Donne moi 5$ ou je les mets sur insta." pour sa soeur Jaz.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? La relation est incroyable et positive. Il a été adopté par Daniel Baker et sa femme, Olive Baker-Shark qui étaient déjà les parents d'une fille qui s'appelle Jaz. Il n'a jamais eu de souci à s'intégrer, mais les premiers temps ont été difficiles, Jake est arrivé dans cette famille new-yorkaise vers ses trois ans. Mais la suite... quelle belle histoire. Il a grandi dans un ranch, entouré de chevaux, de poules et de cochons, apprenant à réparer une voiture ou dans le petit planeur de Papa, à plusieurs mètres au-dessus du ciel.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Jake tente de se faire repérer pour être acteur ou artiste à Broadway. Il prend des cours de théâtre, gagne de l'argent en vendant des glaces, en étant mascotte pour une nouvelle marque de dentifrice, parcours et écume les parcs à la recherche d'une nouvelle espèce de fleurs... de tout ou de rien, c'est un jeune homme qui ne sait pas s'arrêter.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Une fois, il a pris une paire de ciseau et il a coupé une mèche de sa soeur pendant son sommeil. Ca partait d'une bonne intention, il voulait la mettre dans sa peluche pour la garder auprès d'elle mais elle s'est retrouvé avec un trou dans les cheveux.

this session is gonna be different
elladora tonks/anaïs ꕥ 26 ans
fréquence de rp : si j'suis méga ultra motivée, all day everyday, mais j'suis relativement très active. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, sans trop peu d'exception. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'peux varier entre 200 et 500 mots, ma seule crainte c'est d'avoir quelqu'un qui accepte que je n'écrive pas forcément autant qu'elle  puppy ϟ avatar à réserver : timothée chalamet. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts couleur petit pois. ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur facebook. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? merci beaucoup d'avoir créé ce genre de bijou, un forum solaire, positif et qui m'a l'air vraiment humain. j'espère vraiment y trouver ma place Tag astronomie sur I've got 99 problems 717540281
tumblr (gif) solsken (avatar) managram

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