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8 résultats trouvés pour café

(William) Perfectly imperfect.

Invité
14 r ; 703 v.
Mar 16 Fév - 22:02
William McFaden
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=819}William McFaden{/@}
36 ans - senior special agent
FEAT : Matt Czuchry
Will ne connait pas sa famille biologique. Il a été abandonné devant un caserne de pompier à Londres alors qu'il avait à peine quelques jours --- Il a toujours gardé son accent anglais d'Angleterre --- William a été adopté alors qu'il avait 5 ans par une famille Américaine --- Il a grandit avec deux père et sa jeune soeur. Même si ce n'est pas sa famille biologique, il l'aime comme si. Il est très proche de sa petite soeur et de ses deux pères. --- Il adore le sport --- C'est un très bon cuisinier --- Sa carrière et son travail a toujours pris une grande place dans sa vie. --- Il a débuté sa carrière au NYPD pour finalement rejoindre le FBI ou encore une fois, il a su faire ses marques. --- Malgré son manque de temps, il est très attentionné envers ceux qu'il aime et peut se montrer romantique. --- Il ne dit jamais non à boire quelques verres avec des amis --- Il ne dit jamais non à une danse, encore plus accompagné de Jezabel --- Il n'a pas peur de prendre des risques --- Il sait garder son calme dans des situations de stress. --- Il s'entraine à tous les jours. --- Il fait attention à son alimentation.

QUICK AND DIRTY
Nationalité : Il est de nationalité anglaise.
Ethnie/origines : Ayant très peu d'information sur ses parents biologique, il assume qu'il est d'origine anglaise.
Orientation : Il ne s'est jamais donné une étiquette sur son orientation, mais il a toujours aimé les courbes féminine.
Situation : Comme il n'a pas encore signé les papiers du divorce que {@=674}Jezabel Wellington{/@} lui a laissé et selon son alliance au doigts, il est toujours marié.
Occupation : Il est agent au FBI. Avec les années, il a fait quelques différents départements. Il a débuté en tant qu'agent spécial spécialisé dans l'intelligence & surveillance division. Il a parfois aidé sur d'autres dossiers de d'autres divisions.  Il a ensuite travaillé outre-mer en tant qu'agent de liaison parmi les opérations internationales  à Londres contre le terrorisme international et il est désormais de retour à New York en tant qu'agent spécial senior du  Critical Incident Response Group (CIRG). Une unité répondant aux situations d'urgence (terrorisme, enlèvements, prise d'otage..)
Quartier : Depuis son retour, il reste dans un appartement dans le Queen (dans le Oak apartment building)

and what else ?
Qualités : Il est professionnel, diplomate, optimisme, capable de discernement, attentionné, charmeur et loyal
Défauts : Il peut se montrer méfiant, impulsif, ambitieux, sarcastique & obstiné
Passions : Il aime la {#}photographie{/#}, la {#}bière{/#}, le {#}café{/#}. Il aime se tenir au courant avec la {#}politique{/#}. Il est sportif en général. Rester assis n'est pas dans ses gênes. Comme il passe beaucoup trop de temps à son travail, on peut considérer {#}travailler{/#} comme étant un autre de ses passions.
Communautés :
Les habitants du Oak Complex
The Lift




that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

William a très peu de souvenirs de ses cinq premières années d'existence. Le jeune garçon n'a même pas de date de naissance précise. Il fut abandonné devant une caserne de pompier de Londres en Angleterre alors qu'il avait à peine quelques jours d'existence. --- Il fut dénommé William à l'honneur du pompier qui la retrouvé devant la caserne lors d'une froide soirée d'hiver. Sa date de naissance est le soir ou il a retrouvé; le 28 novembre. --- William a passé les cinq premières années de sa vie à voyager de foyer d'acueille à foyer d'accueille, dans l'espoir de trouver une famille d'adoption. --- Le seul héritage qu'il garde de ses cinq premières années en angleterre, c'est son accent qu'il a toujours garder. --- Alors qu'il avait cinq ans, le jeune garçon fut adopté par une famille Americaine; Aaron & Jamie McFaden. --- Peu de temps après son arrivé, ses deux papas adoptèrent une petite fille âgée d'un an, {@=758}Briséïs McFaden{/@}. Suite à l'arrivé de Bri, William a été très insécure par peur de rejet. Celle de devoir quitter une famille aimante, mais le jeune garçon a terminé par réaliser que malgré l'arrivé de la petite brunette, il avait toujours la chance d'avoir deux papas aimants et qu'ils n'allaient pas le délaisser de si tôt. Malgré qu'ils ne viennent pas des même parents, Will à toujours aimé et protégé sa jeune soeur Bri, tout comme s'ils partagaient le même sang. Ils ont une relation très fusionnels. --- William a eu la chance d'avoir deux pères formidable qui l'ont toujours encouragé dans tous ses projets. Dès son jeune âge, William désirait faire un emploi ou il pourrait aider les gens. Sauver des vies. Faire la différence dans la vie des gens. Il aurait aimé devenir médecin, mais le jeune garçon a très vite compris que ça prendrait beaucoup trop d'efforts et d'années d'étude. Son rêve se changea donc pour devenir un membre de l'ordre. Devenir un agent secret tout comme James Bond avait l'air bien mieux et demandait un peu moins d'effort. --- L'adolescence de William fut plutôt facile et banal; Il était sportif. Populaire grâce à sa belle tête. Sans être premier de classe, il avait de bonnes notes et c'était une bonne chose puisque l'un de ses pères était instituteur. Les bonnes notes étaient donc importantes chez les McFaden. --- Comme son deuxième père est propriétaire d'un restaurant, William a eu la chance d'apprendre à cuisiner par l'un des meilleurs chef cuisinier de New York. C'est aussi à son restaurant ou il a eu sa première expérience d'emploi en tant que serveurs durant les soirs et les fins de semaines --- William a fait ses études en "Law Enforcement" au CUNY John Jay College of Criminal Justice à New York. Il a ensuite rejoins le NYPD alors qu'il était âgé de 22 ans. Il a très vite fait ses marques dans le milieu. Après avoir été sur un gros dossier impliquant le FBI, on l'a approché pour rejoindre le FBI. Il a donc faire sa formation à Quantico alors qu'il était âgé de 25 ans pour ensuite être devenu agent spécial. Sa spécialité était le terrorisme, mais il a travaillé sur d'autres dossiers y compris un dossier de jeu illégal au casino ou il a fait le rencontre de {@=674}Jezabel Wellington{/@}. --- Jezabel et William se sont rencontrés alors que William enquêtait au casino ou Jezabel travaillait. William a arrêté Jezabel par erreur, la confondant avec sa collègue. La jeune femme n'a pas trop apprécié l'erreur sur la personne. Pour se racheter une fois l'enquête terminé, William a proposé à la belle jeune femme d'aller boire un verre. La jeune femme lui a mené la vie dure en changea la date du rendez-vous, mais ils ont malgré tout, terminé par boire un verre ensemble et ce verre a été le début d'une longue relation entre eux. Même si parfois Will a laissé passer sa carrière avant tout, il a toujours aimé Jezabel. --- Quatre ans plus tôt, on a offert à Will l'opportunité de travailler à Londres en tant qu'agent de liaison. C'était une très belle opportunité d'emploi et Jezabel accepta de le suivre dans l'aventure. À cause des risques du métier et du déménagement à Londres, William et Jezabel décidèrent de se marier. C'était d'abord par amour, mais aussi par protection puisqu'ils aménageaient dans un autre pays. S'il arrivait quelque chose à Will, il ne voulait surtout pas que Jezabel se retrouve devant rien. Malheureusement les années qui suivirent de furent pas très heureuses pour le jeune couple. William a souvent priorisé son travail laissant bien souvent Jezabel livré à elle-même seule dans un pays totalement différent. Jez enchaînait les petits travails. Ce qui a réellement brisé son couple, c'est la mort de sa belle-maman. Ça été très dure pour Jezabel et William travaillait trop pour réellement être présent pour Jezabel. Le coup de grâce a été le fait qu'il n'avait pas pu être présent à l'enterrement de sa belle-mère. Il aurait dû être présent, mais il avait eu une urgence sur le gros dossier sur lequel il travaillait et il n'avait pas pu se libérer. Jezabel a fini par retourner à New York, lui laissant simplement la demande de divorce qu'il n'a toujours pas signé d'ailleurs --- William a pris la décision à son tour de revenir à New York après avoir obtenu un nouveau poste intéressant. Se rapprocher de sa famille est pour le mieux. Sa jeune soeur semble avoir des problèmes et il ne veux pas signer les papiers du divorce avant d'avoir une discussion avec Jezabel, en souhaitant qu'elle lui laisse une nouvelle chance? Qu'ils retrouvent l'amour qu'ils avaient l'un pour l'autre avant le départ pour Londres. Il n'est pas prêt de tout abandonner maintenant. D'ailleurs, il porte toujours son alliance.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom :  Domie (Dominique)
Age:  30 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Le syndrome de l'imposteur, l'endométriose (les problème de règles et tout ce qui s'en suit = l'histoire de ma vie),.
Avatar à réserver : Matt Czuchry
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Bazzart @ loudsilence
Souhaitez-vous un mp d'intégration Ça devrait aller, j'aime mes connections  Tag café sur I've got 99 problems 2153884322

AJ; I wonder if I'm being real. Do I speak my truth or do I filter how I feel?

Invité
12 r ; 790 v.
Dim 7 Fév - 20:35
Austin Jacobsen (AJ)
    FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=815}austin jacobsen{/@}
33 ans - médecin à RUMC
FEAT : Grant Gustin
On surnomme Austin Jacobson, AJ. C'est ainsi depuis sa tendre enfance ◦ Austin a grandit à Brooklyn avec sa mère qui est tombé enceinte de sa petite personne alors qu'elle avait seulement 16 ans. Durant son enfance, c'était seulement AJ et sa mère qui enchainait les petits emplois et qui avait très mauvais goût en matière d'hommes qu'elle enchainait dans son lit. Malgré tout, sa mère a tout fait en sorte pour qu'AJ ne manque de rien. Sa mère est décédé d'un accident de voiture alors qu'il avait 23 ans. ◦ C'est suite à la mort de sa mère, qu'Austin a fait la rencontre de ses grand-parents maternelle. Les Jacobsen. Son grand-père est d'ailleurs un docteur renommé. ◦ Austin a ressenti le besoin de découvrir qui était son père à la fin de son adolescence. Il a fait ses recherches et il a fait sa rencontre avec celui-ci. Son père est un homme d'affaire fortuné. Jusqu'au jour ou il a fait la rencontre d'Austin, il n'était pas au courant de sa paternité. Son père a tout de même accepté sa paternité et ils ont trouvé le moyen de rattraper les années perdus. 16 ans plus tard, Austin considère son père, sa belle mère et ses demi-frères/ soeurs, tout comme sa famille. ◦ Austin vit une vie ou il ne manque de rien, son père a accepté de l'aider avec ses études et bien démarrer sa vie d'adulte ou il vit désormais à Manhattan,  mais dans sa jeunesse, Austin a connu une vie très modeste. Pour cette raison, Austin reste un homme simple qui aime aider son prochain. ◦ Il a toujours aimé le sport. Durant son enfance et son adolescence, il a joué dans une ligue de football (européen). ◦ Il a toujours eu de la facilité avec ses études. ◦ Il a fait ses études universitaire et médecine avec l'université de Columbia et il a fait sa résidence à RUMC. Austin ne s'est jamais spécialisé. Il aime bien la traumatologie, mais il aime aussi faire les suivis avec ses patients et les garder à long terme. C'est pour cette raison qu'il a choisis de rester en médecine générale, trainant parfois à l'urgence pour aider. ◦ Il aime cuisiner. ◦ Il est très assidu avec son jogging. ◦ Il aime le bénévolat et redonner à la communauté ou il a grandit. ◦ Il aime prendre soin de lui et de son apparence. ◦ Il lui arrive de faire du yoga et de pratiquer la méditation. Il croit aussi que la médecine un peu moins conventionnel peut aider ses patients et travaille parfois conjointement avec certains experts. ◦ Malgré qu'il est médecin, il continue d'apprendre et de se perfectionner avec son métier. Il aime apprendre. ◦ Austin a très peu besoin de sommeil. ◦ Il est très attentionné envers ceux qu'il aime (sa famille, ses amis) et ses patients.

QUICK AND DIRTY
Nationalité : Il est de nationalité Américaine.
Ethnie/origines : Il est d'origine Anglaise et Suédoise.
Orientation : Il ne s'est jamais vraiment intéressé à caractériser son orientation sexuel, mais il a toujours eu une préférence pour les femmes. Une en particulier.
Situation : Il est célibataire. La médecine et sa famille occupe une très grande partie de son temps.
Occupation : Il est médecin généraliste à  RUMC. Il fait parfois quelques quart de travail à l'urgence pour aider en traumatologie. Il est le pro du diagnostique.
Quartier :  Il est natif de Brooklyn et il vit désormais dans le quartier Manhattan.

and what else ?
Qualités : Il est perfectionniste. Sportif. Charmeur. Intelligent. Leader. Indépendant. Calme. Attentionné. Ambitieux. Il a une très grande attention aux détails. Analytique. Honnête. Minutieux. Observateur. Passionné. Rigoureux. Volontaire.
Défauts : Il est compétitif. Impatient. Impulsif (il prend par fois un peu trop de risque avec le sport). Arrogant (par moment). Sarcastique. Têtu. Obstiné. Borné. Débordé. Indépendant.
Passions : {#}courir{/#} ; Il fait son jogging à tous les matins. Il est très discipliné à ce niveau. {#}café{/#} ; comme tout le monde qui a fait la médecine, il peut en abusé. Il apprécie particulièrement un double americano. {#}football{/#} ; il a toujours aimé le football européen.  {#}medecine{/#} ; il est toujours autant passionné par son métier
Communautés :  {#}RUMC{/#} (Le Richmond University Medical Center)




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?

Il héberge sa demi-soeur de seize ans depuis quelques semaines maintenant. Quelques semaines plus tôt, lorsqu'il est rentré tard en soirée, après un quart de travail qui avait duré plus longtemps que prévu, il a retrouvé devant la porte de son appartement. Elle était perdu et n'avait nulle part ou aller. Vivre sous le même toit qu'une jeune adolescente quand on a l'habitude de vivre seul, ce n'est pas facile, mais petit à petit, il se fait à cette nouvelle co-habitation.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).

Avec toutes les heures de travail supplémentaires, il boit beaucoup trop de café. Imaginez Lorelai Gilmore, version homme et vous retrouverez AJ. Austin accepte son addiction. Les baristas reconnaissent sa commande d'un simple regard.

Son travail est sa deuxième addiction. Il passe beaucoup trop de temps à l'hôpital. RUMC est sa deuxième famille et c'est probablement l'endroit ou il se sent complètement chez lui.

Son amitié avec Henley; Ils sont amis depuis l'enfance. Tous les deux viennent de Brooklyn. Ils n'ont pas eu une enfance facile tous les deux. Henley se refugiait bien souvent chez Austin lorsque son père avec trop bu. Austin a toujours été là pour Henley. Ils a toujours veillé sur celle-ci comme un grand frère protecteur. C'était comme ça dans sa jeunesse et c'est la même chose aujourd'hui, mais avouons-le, ses sentiments envers Henley sont bien plus qu'une simple amitié.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?

Selon AJ: Sa dernière relation s'est terminé comme toutes les autres; Son travail, sa famille et ses amis sont ses priorités et lui prend tout son temps laissant très peu de temps pour se consacrer entièrement à une relation. Il ne répond pas toujours à ses textos, se présente parfois un peu en retard à un rendez-vous galant parce qu'il est retenu par une urgence au travail, il doit quitter plus vite, puisqu'il est sur appel et parfois, il s'empêche de faire la fête et boire un verre pour la même raison.

Selon tous les autres: Il est trop idiot pour s'en rendre compte, mais il est amoureux d'Henley. Ses priorités sont le travail, HENLEY et tout le reste laissant ses petites copines en bas de la liste.

Le dernier texto que tu as envoyé ?

Comme dans ses habitudes, Austin a envoyé un message texte à Henley pour lui proposer d'aller prendre le petit déjeuner après un quart de travail de nuit.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?

Sa relation avec ses parents est compliqué. Austin vient d'une famille dysfonctionnel.

Lorsque sa mère est tombé enceinte d'Austin, elle n'avait que 16 ans et elle a décidé de quitter la maison familial bourgeoise, puisqu'elle s'opposait aux plans de ses parents. Sa mère s'est toujours débrouillé pour qu'ils ne manquent de rien malgré son modeste revenue, mais ils n'ont jamais roulé sur l'or. Elle a cumulé les hommes de mauvais goûts dans son lit. Sa mère a perdu la vie dix ans plus tôt, suite à un accident de voiture.

Austin a pris contact avec son père à la fin de son adolescence. Son père n’avait jamais su que sa mère était tombé enceinte. Son père est un grand homme d’affaire réputé avec une très grande fortune et une famille unie. Malgré le temps perdu, ils ont une bonne relation. Son père a financé une partie de ses études. Austin est invité aux fêtes de famille. Son père est la famille qu'il aurait toujours voulu avoir et avec les années, il a su s'y faire une petite place.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?

À chaque matin (et parfois le soir selon ses quarts de travail), Austin fait son jogging. C'est son habitude. Il est l'un des rares hommes qui aime bien cuisiner. Il ne dit jamais non à boire un verre avec des amis au bar accompagné de quelques parties de billard. Il aime beaucoup le sport et se tenir en forme et à ce niveau, il est parfois impulsif et prend parfois un peu trop de risque. Il aime particulièrement le football européen, l'escalade, la boxe, la planche à neige, le surf et j'en passe. Il aime bien se rendre au centre-ville pour aller au Think Coffee, lors de ses matins de congés, vous pouvez le retrouver avec quelques livres de médecine et un café. Durant son temps libre, il  fait aussi du bénévolat avec une équipe de recherche et sauvetage de NYC.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?

Avec son métier, il a beaucoup de moment glorieux. Comment mentionné plus tôt, Austin fait du bénévolat dans une équipe de recherche et sauvetage. Lors de sa dernière intervention, il a sauvé une petite fille de 8 ans, qui était en détresse retrouvé dans un boisé. Elle était tombé suite une à chute et une branche lui avait transpercé l'abdomen. À un moment, la jeune fille s'est retrouvé en détresse respiratoire. Austin lui a sauvé la vie.


this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Domie (Dominique)
Age: 30 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Oui. J'ai le syndrome de l'imposteur. J'ai aussi l'endométriose avec tous les désavantages qui vient avec ceci.
Avatar à réserver : Colton Haynes
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Malbe sur bazzart.
Souhaitez-vous un mp d'intégration Si vous le proposez, biensure. Je tiens aussi à vous remercier, j'adore l'intégration sur ce forum  love

misery loves company

Invité
14 r ; 477 v.
Lun 14 Déc - 0:32
Sophia Diaz
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=782}Sophia Diaz{/@}
30 ans - policière
FEAT : christian serratos
Sophia est sergent dans la NYPD depuis neuf ans. Son travail passe avant tout, parfois même avant sa famille. Elle est divorcée depuis quelques mois, une séparation douloureuse dont elle ne parle cependant pas. Elle a tendance à garder ses problèmes pour elle, estimant que sa vie ne regarde personne. Elle est proche de sa famille, malgré quelques différents. S'il est difficile d'échapper au racisme et à la misogynie, elle est de ceux qui acceptent sans broncher, puisque c'est plus simple comme ça.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Ethnie/origines : origines espagnoles, née au Mexique
Orientation : hétérosexuelle
Situation : divorcée depuis quelques mois
Occupation : sergent dans la NYPD
Quartier : Bedford street, Williamsburg -Brooklyn.

and what else ?
Qualités :bourreau de travail, patiente, bonne cuisinière, souriante, impliquée
Défauts :garde tout pour elle, entêtée, peu disponible pour ses proches, rancunière
Passions : {#}chat{/#}, {#}sensationforte{/#}, {#}café{/#}
Communautés : El Halito, Salsa class, NYPD






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

Sophia n’est pas à l’aise, même si le fauteuil en cuir a tout pour être confortable. C’est la troisième fois en dix minutes qu’elle pioche dans le bol de sucreries sur la table basse devant elle, maigre tablette de bois qui la sépare de la psychologue qui la fixe à travers ses épaisses lunettes. Dix minutes dans le silence, c’est long, sur une séance d’une heure. Mais ce n’est pas elle qui a choisi de venir, c’est la procédure qui veut ça.

« C’est le moment où je suis sensée vous parler des problèmes que j’ai avec mon père ?»
« Ca dépend. Vous avez des problèmes avec votre père ?» C’est pour ça qu’elle se tait, pour pas qu’on retourne ses questions contre elle.
« Pas vraiment. Il est parti avant que je sache marcher, je ne l’ai jamais connu. On m’a dit qu’il était mort, depuis. Pour être honnête, ça ne fait aucune différence.»

Nouveau silence, l’heure risque d’être longue. Et elle va se rendre malade avec ces caramels qui collent aux dents. Depuis combien de temps ils traînent dans ce bocal ? Des années, sûrement, tellement ils sont durs à mâcher.

« Vous voulez qu’on parle de ce qui s’est passé ?»
« J’ai tiré sur quelqu’un. J’ai envie de vous dire que c’est les risques du métier. Il n’est pas mort, je ne suis pas morte. Alors on peut dire que ça s’est bien passé.»
« C’est la première fois que vous vous servez de votre arme en service. C’est pour ça que vous êtes là. Pour qu’on soit sûrs que vous allez bien.»
« Je vais bien. Il a dégainé, il a visé mon équipier alors.. J’ai tiré. C’est la procédure, j’ai fait ce que j’avais à faire.»

C’est irritant, le grattement du crayon sur la feuille. Et c’est d’autant plus frustrant que même en se redressant sur le fauteuil, Sophia n’arrive pas à déterminer ce que la psychologue gribouille à son sujet.

« Vous avez discuté avec vos proches de l’incident ?»
« Ça ne les regarde pas. Je connais ma famille. Ma mère va hurler que c’est trop dangereux de travailler ici, que j’aurais du faire prof d’espagnol comme mon frère. Ils vont faire tout un foin pour pas grand chose. Je préfère m’éviter une migraine.»
« Votre mère désapprouve votre choix de carrière ?»
« Ma mère désapprouve beaucoup de choses, j’ai simplement passé l’âge d’accorder de l’importance à son avis. Elle a fait des choix pires que les miens.»

C’est pour ça qu’elle déteste les psy. Puisqu’ils arrivent toujours à vous faire parler, même quand vous ne le voulez pas.

« Vous semblez lui en vouloir.»
« Pas du tout. On fait tous des mauvais choix, même si on a de bonnes raisons.»
« Qu’auriez-vous fait différemment, à sa place ?»

Question piège. Tellement de choses. Peut-être rien. Il lui faut une minute de réflexion, pour trouver les mots justes.

« Venir ici. Je ne pense pas que ça ai été l’idée la plus lumineuse de ma mère.»
« C’est plutôt surprenant de la part d’un membre de la police de ne pas aimer son pays.»
« Non, ne vous méprenez pas. J’aime être ici. Je dis simplement qu’à sa place, j’aurai fait les choses différemment. Débarquer enceinte avec déjà quatre enfants sous le bras, enceinte jusqu’aux yeux, sans parler un mot d’anglais, sans argent...  Je pense que la vie aurait été plus facile si on avait pris le temps de faire les choses correctement. D’arriver ici avec un plan.»
« Vous qualifieriez votre enfance de difficile ?»

Le minuscule appartement du Bronx. Obligée de partager sa chambre. Les aînés qui servaient de baby-sitter, avec Angela qui travaillait comme une acharnée pour payer le loyer et remplir le frigo. Et pourtant, ces quelques petits mètres carrés étaient le cocon le plus sécurisant qu’elle ai connu de sa vie. Puisque le monde extérieur, lui il est cruel. Et sa mère l’a jeté dedans.

« Les enfants sont cruels. J’étais petite, alors je pense que ça a du être plus simple pour moi que pour mes soeurs ou mon frère.»

Bouffeuse de tacos. On range vite sa trousse à paillettes pour pas que la mexicaine risque de la voler. C’était des enfants, qui imitaient des parents encore plus intolérants. Qui ne laissaient pas venir ses petits camarades pour son anniversaire. Qui voudrait confier son enfant à une femme qui ne parle pas anglais ? Puis elle a grandi, et Ricardo et Mariana ont quitté la maison pour faire leurs vies. Qu’est ce qu’elle leur en a voulu, quand ils sont partis de ce trou à rat.

« Vous n’êtes pas proche de votre famille, si je vous suis.»
« Non, ce n’est pas ça... Je les aime. Vous savez, dans ma famille, on a pas le droit de se détester en paix. Y en a toujours un pour vouloir faire la paix, pour calmer le jeu. Mais j’étais qu’une enfant et ma mère était souvent absente alors... On a pas forcément la même éducation, mes aînés et moi. Ils sont plus... Comment dire ça... Traditionnels ? Vous n’imaginez pas le drame que ça a été quand j’ai osé vouloir passer les fêtes dans la famille de mon ex-mari. Une Diaz absente à Noël, quelle hérésie !»

Elle leur avait cédé. Puisqu’elle voulait être là, au fond. Même si elle voulait faire croire le contraire.

« On est proches. On a juste des visions différentes de la vie. C’est pour ça que je ne leur parle jamais du travail. Ils s’inquiéteraient, et ça ne servirait à rien, puisque je ne compte pas démissionner.»
« J’ai lu dans votre dossier que vous étiez bien intégrée au sein de votre unité. Ces différences culturelles que vous mentionnez, n’ont elles pas été un frein à cette intégration ?»

Si les enfants sont cruels, attendez de voir les adultes. Sous couvert d’humour, certains se permettent bien des paroles. Que ce soit sur ses origines ou encore son genre, Sophia a pu en entendre de toutes sortes. Mais on rigole, ça va. était la réponse la plus donnée quand elle faisait part de son malaise. Alors elle avait appris à rire avec eux. C’est bien plus simple que la confrontation. Et ça lui évitait d’être le mouton noir du service.

« Pas du tout.» Mensonge. « Je n’ai jamais rencontré de problèmes de ce type, ici. Tout le monde est... Accueillant et ouvert d’esprit.»

Le caramel passe de travers et elle doit tousser un peu, pour se dégager la gorge. Ca t’apprendra à dire des bêtises pareilles à voix haute.

« Enfin. J’ai parlé de mes parents, de ma famille. Vous allez le signer, mon papier ?»
« Il y a encore quelques points que j’aimerai aborder avec vous, avant que vous ne partiez. L’heure n’est pas terminée.»

Elle suspecte que l’horloge sur le mur ne soit cassée, ou trafiquée pour la garder ici. Alors elle s’enfonce au fond de son fauteuil, fait un vague geste de la main pour lui faire signe d’y aller.

« J’ai cru comprendre que ce n’était pas la première fois que vous gardiez les choses pour vous.»
« Ça n’a aucun rapport avec ce qui s’est passé l’année dernière. Et c’était un malentendu. »
« Vous êtes venue travailler pendant plusieurs jours avec une côté fêlée.»
« Je ne savais pas qu’elle était fêlée. »
« C’est ce que vous aviez dit. Mais la douleur aurait du vous alerter.»
« J’ai un seuil de tolérance élevée»

Cinq jours pendant lesquels elle s’était défoncée aux anti douleurs, jusqu’à voir des étoiles. Un mauvais coup pris lors d’une arrestation, elle avait bien senti que l’os avait craqué. Mais il aurait fallu dire à l’enfoiré qui l’accompagnait qu’elle avait vraiment mal, et il aurait sans doute sorti un truc du genre : c’est pour ça qu’il faut pas de femmes dans la police. Alors elle avait préféré se taire et encaisser, en espérant que ça passe. Jusqu’à ce qu’elle hurle quand Dave, son mari, avait essayé de la toucher. Cet idiot avait appelé les pompiers. Arrêt de travail pendant près d’un mois. Diaz a pris des vacances pour un simple bleu, qu’ils avaient tous dit. C’est justement ce qu’elle souhaitait éviter à tout prix, mais Dave pouvait pas le comprendre.

« Vous savez que mon travail est de vous aider. Et qu’il ne faut pas attendre d’être envoyée ici de force. Ma porte est ouverte. »
« Et votre bureau est souvent vide. Vous devez être douée, à réparer les gens en une seule séance. Je me sens beaucoup mieux. »
« Le sarcasme est un mécanisme de défense courant.»
« Je n’ai pas de raison d’être sur la défensive. Jusque-là, j’ai bien voulu échanger avec vous.»
« Alors nous pouvons parler de votre divorce ? »

Là, c’est un coup bas. Puisqu’elle a encore la marque de bronzage sur l’annulaire, et que c’est encore étrange de se réveiller seule le matin.

« Des milliers de gens divorcent. Un mariage sur trois, quelque chose comme ça il me semble.»
« Et le vôtre ? »
« Ma famille n’en était pas fan, un mal pour un bien. »
« Qu’est-ce qu’ils lui reprochaient ? »
« Au début de notre relation, j’ai décoloré mes cheveux pour être blonde. Ca a fait bondir ma mère, qui pensait qu’il avait une mauvaise influence. Comme si j’allais tout à coup me transformer en blanca. Trop américain, je suppose. »
« Et vous, vous lui reprochiez quoi ? »

Ce n’est pas elle qui a posé les papiers du divorce sur la table de la cuisine.

« Commun accord. Nous avions des attentes différentes dans la vie. »
« C’est à dire ? »
« Il trouvait que je travaillais trop. Un peu hypocrite de la part d’un avocat, mais que voulez vous. Et il y a eu la question des enfants.»
« Il n’en voulait pas ? »
« Non, c’était moi qui ne voulait pas d’une famille. Je trouvais égoïste de faire des enfants pour les confier à une baby-sitter la plupart du temps. Nous n’étions jamais à la maison, et aucun de nous ne souhaitait arrêter de travailler. Je... Je trouvais qu’on était assez, à deux. Mais il lui en fallait plus.»

Il avait failli partir, deux ans plus tôt déjà. Pour ce même sujet. Autant arrêter là. Inutile de perdre plus de temps, puisqu’ils ne se mettraient jamais d’accord. Mais elle était tellement terrifiée à l’idée d’échouer, à l’idée de se retrouver seule, qu’elle avait accepté. Du moins, en apparence. Pendant des mois, ils avaient essayé de faire un enfant et tous les soirs, avant d’aller dormir, elle prenait son contraceptif en cachette. Juste le temps qu’il abandonne l’idée. Pendant plus d’un an. Mais qu’aurait-elle du faire ? Tomber enceinte et perdre toutes les chances de monter en grade ? Qui voudrait donner une promotion à une femme qui loupe des mois de travail pour donner naissance à un gamin, qui l’obligera à quitter plus tôt le boulot parce qu’il a de la fièvre ? Parce que si elle était égoïste de vouloir garder Dave, il n’était pas en reste. Puisqu’il était clair dans son esprit, pour lui, que c’était à elle d’arrêter de travailler pour s’occuper des enfants. Et un soir, elle était rentrée. Et il avait simplement jeté sa plaquette de pilule à ses pieds. Elle aurait pu se battre pour la maison, lui rendre les choses plus difficiles pour qu’il change d’avis. Mais elle avait bien compris qu’il ne lui pardonnerait jamais. Alors c’est elle qui est partie. Au moins, elle a pu garder le chat. Ca va faire neuf mois. Et c’est toujours compliqué de n’avoir qu’une seule brosse à dent dans la salle de bain, après huit ans de relation.

« Sophia ? »
« Mh ? Oui, pardon, excusez-moi. Vous pouvez répéter ? »
« En dehors du travail, que faites-vous ? »
« Euh. Ce que les gens normaux font. Je me repose, j’essaie de voir ma famille. Mon frère donne des cours de danse, j’aime bien y aller de temps en temps. C’est l’occasion de le voir. Je suis aussi bénévole dans une association pour les jeunes en difficulté. »
« Et vous faites quoi, pour vous ? Vous avez une passion, un hobby ? »
« Je n’ai pas le temps, pour ça. »
« Vous ne prenez pas de temps pour vous ? »

Non. Parce que les temps morts sont des minutes pour réfléchir, pour cogiter. Pour se demander si elle aurait pas voulu des enfants avec Dave, au final. Si elle devrait pas lever le pied sur le boulot. Si elle est vraiment heureuse. Trop de questions douloureuses qu’elle peut s’éviter en se gardant occupée. Alors elle sourit, en prenant appui sur les accoudoirs pour se lever.

« Pas besoin. Et je crois que c’est la fin de notre séance alors... Vous allez le signer, mon papier ? »

le psychologue laisse échapper un regard de désapprobation mais acquiesce tout de même, en tamponnant le formulaire qu’elle lui tend.

« Mais j’aimerai quand même vous revoir, quand vous aurez le temps. »
« La prochaine fois que je tire sur quelqu’un, c’est promis. »



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can you hear them screamin' out your name ? (shaheen)

Invité
16 r ; 504 v.
Sam 14 Nov - 6:58
shaheen farahani
i need help
ID CARD
{@=572}shaheen farahani{/@}
32 ans - ancienne femme de ménage
FEAT : olga safari
Celle qui n'a jamais rien eu, celle qui a toujours dû se battre. Souillon qui s'est retrouvée propulsée dans monde qui ne lui a jamais appartenu, rêveuse qui n'a jamais voulu se dérober aux anges qui vivaient autour d'elle, elle est cette femme qui a toujours dû se battre, qui n'a jamais renoncé. cette femme qui s'est retrouvée au cœur d'un monde bien différent, d'un monde luxuriant, alors qu'elle travaillait au bas de l'échelle, récurait pour une famille importante, riche. Une femme qui pensait tout savoir des gens au-dessus d'elle, avec un mélange de mépris pour cette race, mais aussi d'envie. Une femme qui a croisé le regard de la solitude et en est tombée amoureuse, cœur à jamais possédé par celle qui lui faisait face, cette gamine, adolescente de seize ans, bien trop jeune, de dix ans sa cadette, princesse dans sa tour d'ivoire qui connaissait tout, sauf le bonheur. Deux regards qui n'auraient jamais dû rentrer en contact, deux regards qui ne se perdirent plus durant quelques mois, les plus beaux au monde, l'amour glissant le long de leurs sourires. L'amour qui semblait les rendre invincibles. L'amour interdit, relation découverte, effroi familial, la souillon rejetée, accusée, trahie. Amour de sa vie se retournant contre elle, la case prison cochée pour les cinq prochaines années, elle vécut un enfer, un enfer littéral. Violences, viols, abus en tout genre, jusqu'à la punition ultime, les produits dans son regard de « monstre », les détenues en tant que bourreau, sa vue s'en alla à jamais. Son âme se perdit à jamais. Son cœur brisé à jamais. Aujourd'hui sortie de prison, elle n'est plus qu'une carcasse vide, une aveugle sans abris, femme perturbée, perdue dans ses émotions, dans ses sentiments, dans ses sensations. Elle n'est plus qu'une ombre.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : double nationalités pour une femme qui a dû fuir son pays d'origine aux côtés de sa mère étant petite, l'amérique, les états-unis, et l'iran, la perse moderne.
Ethnie/origines : un sang mixte coule dans ses veines, celui d'un paternel américain et absent, d'une mère iranienne et lâche. perdue dans la pauvreté, le désir de toucher la surface, de remonter, de tendre les bras vers ces anges qui parcourent le monde.
Orientation : il y a toujours eu cette indécision, cette réflexion qui ne s'est jamais réellement posée, une idée qui ne restait jamais bien longtemps dans son esprit, une vague idée. celle d'aimer les femmes, alors qu'elle ne pouvait le concevoir. un tabou caché pendant si longtemps, jusqu'à ce que son regard se porte sur la princesse dans la tour d'ivoire, celle qui sut lui montrer qui elle était réellement, celle qui sut lui insuffler l'amour, le vrai. peu importe que des hommes, que des femmes, vinrent dans son esprit, attirances du passé, attirances éphémères. parce que désormais, et depuis bien des années, il n'y a qu'une âme au monde capable de lui faire ressentir quelque chose. théoriquement lesbienne, potentiellement pansexuelle, elle n'est que nevasexuelle, pour toujours, malgré ce cœur à jamais brisé.
Situation : le cœur à jamais saccagé, l'âme brisée pour une éternité de douleurs et de souffrances, le monde n'existe plus, il s'affaisse, il s'éclipse. il n'en reste plus rien, sans l'unique amour de sa vie, celle qui vint la porter au firmament, celle qui vint la briser en enfer, celle qui trône dans ses souvenirs comme dans ses pensées, dans son cœur comme dans sa rage. une unique femme qui n'est plus sienne, qui l'a trahie, qu'elle aime encore. u'elle ose encore aimer, seule au fond du trou où son amour la jeta. elle ose encore l'aimer, l'aimera finalement à jamais.
Occupation : au bas de la tour, souillon chevauchant un balai, mais point pour s'envoler, elle nettoyait, elle récurait, elle ne se plaignait pas, petite sans abris que le monde refusait d'aider, jusqu'au jour où tout bascula. désormais, c'est l'enfer, le monde s'est éteint, elle n'y voit plus rien, les ténèbres dans son cœur comme dans ses yeux, elle ne sait plus rien faire, à part mendier, prier.
Quartier : si seulement elle pouvait trouver, le soir venu, un foyer, un toit au dessus de sa tête. si seulement… mais non, le trottoir est son antre, la ruelle est sa chambre, elle n'a plus jamais eu d'endroit à elle depuis que sa maternelle est partie. et ses misères la conduisent plus généralement dans les rues du bronx, tandis qu'elle rêve encore à une vie meilleure.

and what else ?
Qualités : déterminée, passionnée, forte, intuitive, intelligente, différente, franche, loyale envers l'être aimé, sensible, endurante, attentionnée
Défauts : jalouse, possessive, instable, irascible, perdue, têtue, traumatisée, grossière, rancunière.
Passions : {#}café{/#} {#}alcool{/#} {#}drogue{/#} {#}marcher-dehors-la-nuit{/#}
Communautés : planned parenthood, orphans and their angels






that's my story / self diagnosis
hello darkness my old friend...
à la lumière, elle s’éveillait, petite fille dans un monde sauvage, dans un monde mécréant, qui ne choisissait que les plus forts pour survivre. Petite fille dans un pays qui ne voulait pas d’elle, dans un pays qui rejetait les faibles, dans une vie qui n’attendait qu’une seule chose, qu’elle dépose les armes, se laisse abattre. Parce que le monde est une guerre sans fin, entre la pauvreté et la richesse. Parce que le monde n’est qu’une bataille sanguinaire, alors que les étoiles sont les rêves parsemés de lueurs que les gens laissent derrière eux. Et elle lève la tête, shaheen. Elle lève la tête, depuis sa plus tendre enfance, pour oublier les horreurs, la misère. Pour oublier le monde, et rêver. Rêver à une vie meilleure, rêver à un monde nouveau, rêver comme si son imagination était sa seule limite. Elle s’est éveillée dans un monde ténébreux, elle voit pourtant la lumière, elle.
dans les ténèbres, elle se réveille, dans un monde changé, un monde qu’elle n’entrevoit plus. celui qu’elle pouvait chérir autrefois, parce que les étoiles lui montraient le chemin, n’est plus. il ne vit plus que dans son esprit, tandis que les larmes sur ses yeux viennent les lui brûler. Elle ne peut plus pleurer, depuis ce jour. elle ne peut plus pleurer, les larmes viennent caresser ses blessures. Celles qui ne se voient plus, celles qui restent toujours là. sa peau est neuve, autour de ses yeux, mais ils brûlent quand elle laisse entrevoir sa tristesse. Elle ne peut plus pleurer, pourtant elle n’a plus que cela, plus que ses larmes pour se souvenir d’un passé différent, tandis que ses membres tremblent dans le froid d’un hiver approchant, que le trottoir est sa dernière demeure, et qu’elle a beau tenté de rêver, les blessures d’un passé trop difficile la hantent pour l’éternité.

au coin du feu. elle était seule. Femme sans famille, père absent, mère partie, laissant une gosse dans l’horizon pour prendre les jambes à son cou, elle s’était retrouvée toute seule, shaheen. Seule, mais bien vite devant la porte d’un orphelinat, elle avait pu vivre sous la chaleur d’un toit, elle avait pu avoir un lit, elle avait pu avoir de quoi se nourrir. Ce n’était pas beaucoup, mais cela lui suffisait, tandis qu’elle oubliait peu à peu sa mère disparue. L’orphelinat n’était pas bien grand, n’était pas bien riche, il n’y avait pas de vraie éducation au-delà de la lecture, de l’écriture, et des nombres. De quoi survivre, mais pas de quoi s’en sortir, alors qu’à seize ans, elle était jetée, c’était impossible de la garder, si elle n’était pas adoptée, pas après cet âge fatidique, quand ils estimaient qu’elle était assez grande. elle ne s’en plaignait pas, ne s’en est jamais plainte, parce qu’elle avait eu six années de sursis à la rue glaciale qui l’attendait.
et dans le froid. il ne faisait pas bon y vivre, le trottoir, les ruelles, les bennes à ordures pour un peu de chaleur. mais elle ne pouvait pas faire autrement, tentait de tout faire pour avoir quelques piécettes, mendiait, grelottait, mais parvenait parfois à avoir un assez bon petit pécule pour une nuit au motel, de quoi se restaurer, se laver, laver ses seuls vêtements, avant de tenter de travailler. Ou de voler. L’un ou l’autre, il fallait survivre. Nettoyer, récurer, et avoir chaud une petite partie de la journée, dans les maisons où on l’engageait, parfois, dans les bars où on lui donnait, de temps en temps, une bonne bière après le travail, son âge aidant à la compassion. Elle s’en sortait, durement. Elle s’en sortait, et jamais elle n’abandonnait, volonté de fer gravée dans la peau, regard vers les étoiles une fois la nuit tombée, elle se surprenait à rêver, encore.

pour le meilleur. elle la regardait, ne pouvait s’en détacher, regard qui vibrait, qui brillait, à chaque fois que ses yeux se posaient sur sa belle peau, celle qu’elle laissait entrevoir, sous ses habits de princesses. à chaque fois qu’elle croisait son regard, que le rouge prenait possession de ses joues, mais qu’elle se retrouvait à jamais marquée par les iris d’une reine, une véritable déesse qui habitait cette glorieuse maison, si imposante. Elle n’aurait jamais cru pouvoir un jour travailler dans une aussi belle demeure, nettoyer derrière des gens aussi riches. Et si son but avait été de les dérober, au début, bien vite, elle avait compris qu’elle ne serait peut-être pas toujours dans cette villa, mais que jamais son cœur ne pourrait en repartir, quand celui-ci se mit à battre plus férocement à la rencontre avec la fille de ses employeurs. Seize ans, si jeune, et pourtant une beauté qui ne pouvait lui échapper. Shaheen avait vingt-six ans, elle ne pouvait décemment pas tomber amoureuse d’elle. elle avait vingt-six ans, et ne s’était jamais retrouvée attirée par le regard d’une femme. elle avait vingt-six ans, c’était mal. Elle se contentait des regards, priait pour que les maîtres la gardent un peu plus longtemps à leur service, ne pouvait pas supporter de ne pas la voir, ne pouvait pas supporter de ne plus l’entendre, ses mots qui semblaient naviguer vers elle sur des nuages. Elle en rêvait, elle en devenait folle, elle ne savait pas se libérer de cette étrange obsession, de cette attirance qui prenait possession d’elle. et alors qu’elle était, un soir, souffrante, elle se retrouva, sans s’y attendre, si proche de la princesse qu’elle ne put presque plus respirer, jusqu’à son toucher délicat, jusqu’à son sourire contagieux, jusqu’à ses attentions divines… et jusqu’à ce premier baiser, scellant tant son destin que son amour pour elle. Neva.
et pour le pire. une idylle, une beauté, l’impression de revivre, que son cœur battait toujours plus fort. L’impression qu’elle pouvait affronter le monde entier. L’amour, plus puissant que tout. Elle avait l’impression de rêver, mieux encore, de vivre un rêve éveillé. Elle avait l’impression d’avoir trouvé un second souffle, sans comprendre comment elles en étaient arrivées là. deux femmes, deux mondes, une histoire. aux yeux de shaheen, neva n’était pas la riche héritière, mais la princesse dans sa tour d’ivoire, qu’elle désirait protéger, aimer, de tout son cœur, de tout son être. Il n’y avait plus d’argent, il n’y avait qu’elle. neva, et ce qu’elle avait à offrir, neva et sa douceur, neva et son sourire, neva et son charme, neva et son intelligence, neva et son toucher, neva et son trône dans le cœur de l’iranienne. Elle aurait voulu que cela dure une éternité, elle se sentait si bien dans le regard, dans les bras de sa princesse. Elle se sentait si bien, alors qu’elle lui montrait, et découvrait par la même occasion, la force, et la beauté de la chair… d’une relation homosexuelle. Elle se sentait libérée, leur couple vivait dans cette immense maison, elle voyait l’évidence. L’évidence de leur amour.
Jusqu’à ce qu’ils découvrent tout. Les parents. Indignés. Horrifiés. Lorsque tout s’arrête, lorsqu’il y a la menace d’un procès, lorsqu’elle passe de femme heureuse à cible prioritaire d’une armée d’avocats. Elle tente de se défendre, parle d’amour, parle de chaleur, parle avec son cœur, mais quand elle entend les mots écrits sur cette lettre, celle que l’on lui confie après, écrite par la main de sa promise, elle perd tout, jusqu’à la plus infime part de bonheur encore présente dans son cœur. parce que neva l’accuse, dans ses mots. Parce que neva l’accuse, elle n’est plus qu’une criminelle, abus sur mineur, elle a le choix. Affronter les avocats en procès, mais ils lui promettent une sentence plus élevée, ou signer un accord, et faire cinq années de prison. elle signe. Et perd sa lumière.

à la lumière de sa cellule, elle compte les jours, les pleurs fréquents, le cœur douloureux. Elle ne comprend plus, elle ne comprend pas. pourquoi neva a-t-elle fait cela, pourquoi a-t-elle écrit toutes ces choses, alors qu’elle sait, au fond d’elle-même, shaheen. Elle sait qu’elle ne l’a pas manipulée, qu’elle n’a pas abusée d’elle. c’est neva qui a initié cette romance, c’était un véritable amour, mais son cœur est désormais noir, tâché par la trahison. La trahison de sa promise. Elle perd pied, perd les pédales, perd le contrôle. Elle perd la volonté, elle perd sa force, elle perd tout. Il n’y a plus rien qui compte, plus rien qui puisse valoir le coup. elle perd sa raison, d’abord. Tandis que les autres détenues lui mènent la vie dure. Puis elle commence à perdre son sang, lorsque les autres la frappent. Brutalement. Une fois. Deux fois. Trois fois. Elle ne compte même plus, à la fin. Parce que tout se sait, en prison. et les personnes comme elle, sont des pédophiles aux yeux des autres. Sans même chercher à comprendre, à connaître la vérité, elle se retrouve harcelée, brutalisée. Violée. A de nombreuses reprises. Puis à jamais, elle plonge dans le noir.
dans les ténèbres, elle se réveille. Sur un matelas dur, elle est à l’infirmerie de la prison. les yeux brûlant, elle hurle de douleur, mais sa voix est éteinte, elle n’en a plus pour le moment. Elle ne se souvient plus de grand-chose, elle ne se rappelle que de cette femme, trois fois plus imposante qu’elle, qui, après l’avoir tabassée, lui a dit qu’elle ne pourrait plus jamais mater des gamines. Et la seconde d’après, elle avait l’impression que ses yeux prenaient feu. Les produits chimiques, versés directement sur ses iris. La douleur, tellement forte, qu’elle perdit connaissance. L’impression de mourir au réveil, plus d’une fois. Le corps endolori, les yeux qui la brûlaient tellement qu’elle tenta de se les arracher, une fois. Avant de se faire arrêter, menotter au lit. Par la suite, convulsions, hurlements lorsque sa voix retrouva son intensité, griffures jusqu’au sang sur ses cuisses, seules parties de son corps à portée de ses mains. Il lui fallut du temps, protégée par l’infirmerie, pour se remettre. Mais si ses globes oculaires étaient encore présents, presque pas abîmés, les produits avaient fait leur œuvre, la vue lui était ôtée. Elle ne voyait plus. ce n’était pas noir pour autant, il y avait la lumière qui pouvait pénétrer ses rétines, mais rien d’autre. Elle ne voyait plus.
Et à sa sortie de prison, elle était différente. Traumatisée. Perdue. Aveugle. Instable. Morte entre ces murs, sans pour autant avoir rejoint les cieux. Colère dans son cœur. elle sortait, mais n’avait plus rien. encore moins qu’à son arrivée. Retour dans la rue. Retour dans la souffrance. sans possibilité de revoir un jour les étoiles. Elle ne rêvait plus d’étoiles, de toutes façons. Ne revoyait qu’une seule chose, qu’une seule personne, dans son esprit. neva. Neva la traitresse. Neva l’amour de sa vie. neva qu’elle ne savait oublier. Qu’elle ne savait pardonner. Qu’elle ne savait détester. Neva, qui possédait toujours son cœur. neva. Seuls ses souvenirs pour l’accompagner dans le froid de l’hiver approchant… neva.

je vous laisse mon chat haha:




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artemisia ∞ Those who are happiest are those who do the most for others.

Invité
12 r ; 846 v.
Jeu 1 Oct - 11:49
artemisia fleming
34 ans - secouriste
FEAT : tessa thompson  Artemisia travaille comme secouriste à la caserne situé sur Staten Island. Sa vie n’a pas toujours été rose. A cause des consommations de sa mère, elle est née avec le syndrome d’alcoolisation fœtale. Elle a passé du temps en néonat pour soigner son syndrome de sevrage. Cela ne fut pas sans conséquences sur sa santé puisqu’elle a aussi été diagnostiqué comme hyperactive pendant l’enfance et a des troubles de la mémoire. Sa mère n’ayant pas eu la garde et son père n’ayant pas voulu non plus, elle finit par atterrir en famille d’accueil puis à l’adoption. Malgré son début chaotique dans la vie, Artemisia est quelqu’un de souriant mais également sur la réserve. Elle est une femme forte qui n’a pas peur d’aller péter des nez quand il le faut. Quitte à donner lieu à des quiproquo pas toujours contrôlés, elle ne dit jamais non à une sortie entre collègue où elle s’arrange toujours pour ne pas boire une goutte d’alcool.
who am I
ꕥ âge : 34 ans.
ꕥ nationalité : Artemisia a acquis la nationalité américaine à la naissance.
ꕥ ethnie/origines : Artemisia n’a jamais prêté attention à ses origines. Elle a toujours considéré sa famille d’adoption comme sa véritable ascendance. Malgré tout, selon ce qu’on a pu lui dire, sa mère était d’origine mexicaine et européenne, son père afro- panaméenne.
ꕥ orientation : Très tôt, elle a su qu’elle était bisexuelle.
ꕥ situation : Artemisia ne s’embête pas à se poser avec quelqu’un et préfère profiter de la vie plutôt que de se faire passer les menottes. Enfin, elle a quand même connu des périodes de stabilité avec Eliah.
ꕥ occupation : Depuis presque dix ans, Artemisia est secouriste dans la Station 5.
ꕥ quartier : Elle vit en colocation avec Samuel dans l’appartement 01 au niveau du quartier de Staten Island.
ꕥ qualités : Aventureuse, possède un esprit d'équipe, franche.
ꕥ défauts : bornée, jalouse, hyperactive
ꕥ passions : {#}café{/#}, {#}féminisme{/#}, {#}sensationforte{/#}
ꕥ communautés : Station 5.
ꕥ scénario/pré-lien : nope.
ꕥ groupe : idk what you're talking about
ꕥ mp d'intégration : je pense que ça ira Tag café sur I've got 99 problems 497855176

all about my player
ꕥ petite présentation perso :  dehors

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Call The Midwife - Jennifer Worth
ꕥ un film : Le Pianiste - Roman Polanski
ꕥ une série : Vikings - Michael Hirst
ꕥ une chanson : Jaja ding dong
ꕥ un animal : chien et renard
ꕥ un plat/dessert : baba au rhum
ꕥ une boisson : ice tea
ꕥ une célébrité : Taylor Swift
ꕥ un pouvoir magique : le contrôle du feu  Tag café sur I've got 99 problems 2958767705

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : maltraitance animale, relation toxique, viol joué.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Son plus gros problème? A vrai dire, à ce moment précis, elle en a deux. Premièrement, elle essaye de trouver un moyen d’échapper à cette soirée entre collègue. Elle est encore à la caserne, la garde touche à sa fin et ils veulent aller fêter ça. En même temps, des gardes qui se déroulent aussi bien, ce n’est pas souvent qu’on voit ça. Le second problème, conséquence directe du premier, c’est la tenue qu’elle va pouvoir bien mettre. Ne sachant pas si elle pourra rentrer juste après le travail, Artemisia avait pris soin de mettre deux tenues de secours dans son casier. Pas l’idéal, mais ça l’a toujours sauvé.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
A sa naissance, Artemisia n’a pas eu le choix. Malgré elle, elle fut accro à l’alcool à cause d’une intoxication. Après un syndrome de sevrage plutôt houleux, elle a su commencer à vivre. On lui a vite raconté les conditions de sa naissance et ce qu’elle devait faire pour ne plus retomber tomber dedans. Une fois adulte, la jeune femme a découvert une autre sorte de d’addiction, une qui n’avait pas de conséquences néfastes sur sa santé. Elle aime les sensations fortes, cela ne la gêne pas de sauter en parachute. Elle n’a pas peur du vide, elle ignore ce genre de peur, ce qui lui permet d’avancer assez facilement.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
La seule relation qu’on pourrait qualifier de ‘sérieuse’ était avec Eliah. Les choses se sont terminées plutôt d’un commun accord, comme à chaque fois. En effet, les deux jeunes gens finissent toujours par se retrouver un jour ou l’autre. Un peu comme deux aimants qui ne cessent de s’attirer.

Le dernier texto que tu as envoyé ?

T’es dispo ?

A Eliah. Artemisia est plutôt du genre directe dans ses messages.


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
Artemisia n’a jamais eu la chance de connaître ses parents biologiques. Sa mère a perdu la garde peu de temps après sa naissance et son père n’a jamais voulu la reconnaître. A croire qu’elle n’était pas réellement désirée. Heureusement, le couple Fleming, malgré leurs différences, a su combler ce manque. Elle a toujours été proche de ses parents adoptifs et a su leur rendre l’amour qu’ils lui ont donné.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
Artemisia mène une vie plutôt simple. Elle a des passions en dehors du boulot, elle en a besoin pour se changer les esprits et se reconnecter avec la réalité. Elle aime voir ses amies, faire des sorties, aller faire la fête tout en faisant extrêmement attention. Elle aime découvrir de nouvelles personnes, se sociabiliser. Par moment, quand le bruit autour d’elle devient trop assourdissant, la jeune femme aime passer une soirée tranquille chez elle avec son colocataire. A deux, ils ont de bons délires.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
Le seul fait peu glorieux dont elle se souvienne réellement c’est le bizutage qu’elle a subi en arrivant à la station 5. Un faux patient, de la mayonnaise dans ses chaussures. Bref, elle a tout eu, mais avec un mental à peu prêt bien rodé, elle a su terminer la journée et revenir le lendemain. Ses collègues ont récolté ce qu’ils ont semé quand ils ont été victime des blagues d’Artemisia à leur tour.

this session is gonna be different
vesna/tiffany ꕥ 27 ans
fréquence de rp : toutes les semaines sauf empêchements.. ϟ fréquence de connexion : tous les jours  Tag café sur I've got 99 problems 3290696072 . ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300/600 je m'adapte en général. ϟ avatar à réserver : Tessa Thompson. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : multicolors. ϟ comment avez-vous connu 99 ? par mes trois premières têtes What a Face ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? les dcs c'est le bien  Tag café sur I've got 99 problems 4055768160  Tag café sur I've got 99 problems 1815670147
tumblr (gif) sarasvati (avatar)

lou / we could be more than just part-time lover.

Invité
13 r ; 1404 v.
Ven 27 Mar - 20:04
Louisa "Lou" Shacklebolt
23 ans - vendeuse en pâtisserie
FEAT : natalia dyer
Lou, a 23 ans, et elle n'a jamais vraiment aimé l'école, elle a préféré la pâtisserie qu'elle a apprit dans les jupons de sa mère. Depuis petite, elle est dans la farine, et elle passe sa vie dans les pâtes à gâteaux. C'est donc tout naturellement que désormais, elle vend des pâtisseries dans une boutique. Lou elle est bisexuelle, et elle a toujours Eli dans le coeur, même si Eli lui a brisé le coeur quand elle a mit trop de temps à comprendre qu'elle aimait Lou aussi. Alors Lou elle est partie et elle s'est mise en couple avec un garçon, mais elle est sûre que ça ne va pas durer. Côté famille, son père est parti quand elle a eu vingt-et-un an pour une raison qu'elle ne connaît pas, et qu'elle ne veut pas connaître, infidélité ou pas, elle ne veut plus entendre parler de son père. Elle a grandi dans le quartier du Queens et elle est allée dans une école bien trop au dessus des petits moyens de ses parents, mais elle avait une bourse, puis le fait que sa mère travaille dans le coin en tant que vendeuse dans une parfumerie, ça a bien aidé. Son père lui était agent immobilier.
who am I
ꕥ âge : vingt-trois ans, le jour du printemps, le 20 mars, la fleur que ses parents attendaient impatiemment. Et pourtant.
ꕥ orientation sexuelle : bisexuelle, elle aime les garçons et les filles, Lou mais pourtant son plus gros coup de coeur est et restera pour Eli, Eli qui a fait battre son coeur un peu plus autres que toutes les filles.
ꕥ situation : elle est en couple Lou, en couple avec un garçon qu'elle aime beaucoup, mais elle se demande si ça va durer, elle n'a pas le coeur dans cette relation, mais pourtant, elle s'accroche. Après tout, elle ne veut pas avoir la même relation que ses parents, se prétendre un amour éternel, puis l'éclater au vol, un divorce, un remariage pour Maman, Lou ne veut pas de ça, elle ne veut pas déconstruire pour reconstruire, alors elle ne nourrit pas de grands espoirs sur l'amour.
ꕥ occupation : Elle n'a jamais voulu faire de grandes études, Lou. Elle ce qu'elle aimait faire, c'était de la pâtisserie avec sa mère, alors elle a tout apprit sur le tas, elle faisait des essais dans sa cuisine jusque tard le soir. Elle a fait une école de pâtisserie et puis maintenant, elle travaille avec Lina. Elle fait du théâtre aussi, Lou, parce que ça lui permet de voir des gens, autre que les clients de la pâtisserie où elle travaille. Et avant, elle était vendeuse dans le cinéma du queens.
ꕥ quartier : queens ; oak appartment complex.
ꕥ qualités : intrépide, joviale, travailleuse, curieuse, diplômate
ꕥ défauts : impulsive, imprudente, rêveuse, bavarde, ambitieuse.
ꕥ passions : {#}netflix{/#} ; {#}pâtisserie{/#} ; {#}télévision{/#} ; {#}lecture{/#} ; {#}nourriture{/#} ; {#}café{/#} ; {#}crèmeglacées{/#}
ꕥ communautés :
{#}Cours{/#} de théâtre du mardi soir
{#}Les{/#} habitants du Oak Complex
{#}Le{/#} cinéma du Queens
ꕥ scénario/pré-lien : pré-lien d'{@=478}Elisabeth Swindell{/@}
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? je me suffis à moi-même  Tag café sur I've got 99 problems 2832246198
all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je m'intitule Marion, j'ai 25 26 ans, de la maison poufsouffle, un peu trop accro aux séries télévisées et aux livres. Je passe ma vie a regarder des séries, parfois des nouvelles, parfois des anciennes et dans une vie alternative, je fais partie de la résistance mais aussi du nouvel ordre et de l'armée de Dumbledore et je suis pour la libération des elfes de maison. Ah et je ne dis pas non à une petite bière. Et un café latte  Tag café sur I've got 99 problems 3897432730  Tag café sur I've got 99 problems 594440419

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : harry potter
ꕥ un film : bridget jones
ꕥ une série : game of thrones
ꕥ une chanson : lost in the woods - jonathan groff
ꕥ un animal : un panda
ꕥ un plat/dessert : le tiramisu
ꕥ une boisson : une bonne bière fraiche
ꕥ une célébrité : barack obama
ꕥ un pouvoir magique : l'invisibilité

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : les abus sexuels, la scarification, les relations malsaines romantisées.


that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Son plus gros problème a l'heure actuelle c'est sûrement de savoir qu'un jour ça se terminera avec lui. Parce qu'au fond elle sait. Puis elle se doute qu'il pense aussi ça, parfois il ne lui donne pas de nouvelles de la journée, pas même un message et elle n'a pas envie de lui en envoyer non plus, alors elle revient comme une fleur le lendemain matin en se faisant pardonner. Et puis même, Lou, elle n'a plus le même regard quand elle le regarde, elle n'a plus la même sensation quand il pose ses mains sur elle.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Elle est addict au thé, et aux jeux vidéos aussi, puis si être addict au chocolat existe, elle en est une, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle fait les cupcakes au chocolat mieux que personne. Puis comme toute jeune fille de son âge, elle est addict au réseaux sociaux, elle se réveille et scrolle son feed instagram avant de se lever et elle aime bien aller râler sur twitter. Puis surtout, elle est accroc à l'odeur de la pêche, elle a un gel douche à la pêche, elle fait des cupcakes saveur pêche, sa glace préférée est à la pêche. Elle ne trouve même pas ça anormal, c'est juste elle.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Sa dernière relation? Si Eli était sa dernière relation, alors elle s'est mal terminé. Parce qu'Eli elle a prit trop de temps, et Lou elle n'avait pas envie d'avoir le coeur brisé alors elle est partie, elle a prit le large, n'a plus répondu au texto, ne prenait même plus la peine de les lire. Elle a juste coupé court à toutes conversations, couper court à cette relation qui partait sûrement dans le mur quoiqu'il en soit.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
03.27.20 ; 2.45 pm
@ Lewis : « T'es vraiment qu'un gros con. »

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? son père qui s'est barré le lendemain de ses vingt-et-un an et joyeux anniversaire ! pour une raison qu'elle ne connaissait pas, puis finalement, elle a ouvert les yeux Lou, sur sa mère qui avait une double vie, sur sa mère qui avait quelqu'un d'autre que celui qui était son mari. Lou, elle s'est rendue compte de tout cela quand sa mère lui a annoncé s'être fiancée comme une gamine de quinze ans, le diamant sur l'annulaire, le sourire béat des premiers ébats amoureux, et Lou elle a eu envie de gerber, sa mère qui a tout fait pour que son père se tire et ne donne plus jamais de nouvelles à sa gamine, parce qu'il a été lobotomisé sur le fait que sa fille ne voudrait plus jamais lui parler. Et pourtant, Lou, elle aimerait le revoir, ne serait-ce qu'un instant, plutôt que d'avoir à supporter son beau-père lors des repas de famille du dimanche.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Elle fait du théâtre Lou, le mardi soir, ça lui permet de voir des gens en dehors du cadre de son travail, ça lui permet d'extérioser ce qu'elle ressent aussi. Puis, elle va voir des pièces à Broadway, elle chante sur des musicals quand elle fait le ménage et elle lit. Elle aime surtout tester des nouvelles recettes de cupcakes, sa dernière expérience en date est un cupcake au malteser, ce n'est pas une franche réussite mais elle est sûre qu'elle peut améliorer la chose.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? D'avoir cru qu'Eli avait les mêmes sentiments qu'elle à son égard. Parce que Lou, elle a embrassé Eli, et Lou s'est lassée, elle a voulu être patiente, elle a voulu attendre un peu, une semaine puis deux, puis elle s'est dit que de toutes façons, ça ne mènerait à rien que si Eli, elle ne savait pas, Lou elle n'avait pas la patience d'attendre. Puis elle a coupé les ponts Lou, pour ne plus souffrir. C'est sûrement le fait le plus glorieux qui l'a marqué au fer rouge, la brune.

this session is gonna be different
harleen./marion ꕥ 26 ans
fréquence de rp : aléatoire, 5/7 en ce moment. ϟ fréquence de connexion : tout le temps, tout les jours, beaucoup trop. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? aux alentours de 500. ϟ avatar à réserver : natalia dyer ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouges Tag café sur I've got 99 problems 2832246198 ϟ comment avez-vous connu 99 ? écrire ici. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?Pourquoi les canards sont toujours à l'heure ?
Parce qu’ils sont dans l’étang.  Tag café sur I've got 99 problems 3897432730
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shockwave

Invité
17 r ; 1714 v.
Mer 4 Mar - 23:04
rachel wiley
ft kaya scodelario
ꕥ résumé : rachel, elle est douce et petit peu maladroite. pas vraiment au sens propre du terme, mais souvent dans ses mots et plus jeune, dans ses actes. à l'adolescence, elle a eu beaucoup de mal à gérer la pression familiale. ses parents l'imaginaient faire de grandes choses, quand elle ne rêvait que d'une liberté qu'elle a obtenue de façon discutable. en découchant régulièrement et en délaissant ses études. en fréquentant ce garçon prénommé kit, et mille autres pour se convaincre qu'elle ne l'aimait pas tant que ça. en traînant ça et là dans des endroits où elle n'avait rien à faire. des refuges pour enfants délaissés, des immeubles désaffectés où ils étaient livrés à eux-même alors que ses parents dressaient toujours la table pour trois, et pour rien. de ses seize à vingt ans, elle a erré sans autre but que de profiter d'une existence dénuée de tout sens. elle buvait un peu, fumait beaucoup et pas que la cigarette. les crises d'angoisse qui lui collent à la peau viennent en partie de là. si légères au début et puis, assez redondantes pour provoquer une prise de conscience. alors elle s'excuse auprès de ses parents, qui ne lui sautent pas vraiment dans les bras mais qu'importe, elle tourne le dos à tous ses mauvais choix et dort dans sa chambre d'adolescente tous les soirs. elle passe les équivalences nécessaires pour entrer en école d'infirmière et ne s'en sort pas trop mal. sûrement parce qu'elle ne faisait rien d'autre à côté. ses mauvaises fréquentations envolées, il ne restait personne pour la distraire. et elle entame une thérapie en parallèle. avec son cousin, dont c'est le métier et qui la pistonne un peu plus tard pour la faire entrer au richmond, où il travaille. elle se construit dès lors l'inverse du futur qu'elle envisageait plus jeune et rentre dans les cases imaginées par ses parents, mais ça lui va bien. elle va mieux, mentalement. bien que pour remonter la pente elle a dû cracher sur tout ce qu'elle était auparavant, et qu'elle regrette ça, plus que sa crise d'adolescence.
who am I
ꕥ âge : {#}vingt-six{/#} ans, depuis le vingt-sept décembre dernier.
ꕥ orientation sexuelle : si ce n'est quelques smacks et mains baladeuses sur le corps d'anciennes copines quand elle était plus jeune, elle n'a fréquenté que des hommes. donc si on lui demande de se coller une étiquette, dessus elle écrirait {#}hétérosexuelle{/#}.
ꕥ situation : {#}célibataire{/#}. qui déteste les repas aux chandelles et ne sait pas vraiment si elle veut partager sa routine. un jour oui, l'autre pas. elle n'est pas facile à suivre. elle aime avoir quelqu'un avec qui échanger des textos, mais qui ne veuille pas la voir trop souvent. elle est libre et aime dormir seule. elle a pas mal batifolé avant ses vingt ans et depuis, rien de transcendant. mais elle se fiche de tout ça. elle ne veut pas de bague au doigt. ni d'enfants.
ꕥ occupation : {#}infirmière{/#}, aux urgences du richmond medical  center. elle aime bosser de nuit. faire de longues gardes. manquer de temps pour trop réfléchir. poser sa main sur l'épaule de ses patients. dire j'arrive en sachant très bien qu'elle n'aura pas le temps. faire sourire. draguer gentiment les médecins pour qu'ils fassent passer ses dossiers en priorité. se replonger dans ses livres de cours. enfiler sa tenue bleue. les derniers jours de stage des étudiants parce qu'ils ramènent des friandises. se sentir utile. se dire que pour rien au monde elle ne ferait autre chose de sa vie.
ꕥ quartier : elle vit dans le {#}quartierchinois{/#} de brooklyn.
ꕥ qualités : adepte du raisonnement cartésien, mais très ouverte d'esprit. douce. passionnée. courageuse, et débrouillarde aussi. volontaire. relativement discrète. curieuse de tout et honnête.
ꕥ défauts : (trop) speed et impatiente, mais un peu faignante sur les bords. impulsive. souvent maladroite. de mauvaise humeur le matin. un brin fataliste. anxieuse. elle est têtue (et jure souvent)
ꕥ passions : {#}café{/#} {#}s-endormir-devant-la-tv{/#} (tous les soirs) {#}adrénaline{/#} {#}cigarette{/#} {#}militantisme{/#} {#}rock-anglais{/#} {#}beatles{/#} {#}vivre-la-nuit{/#} {#}féminisme{/#} {#}documentaires{/#} {#}netflix-and-chill{/#} {#}orages{/#} (quand elle est dans son lit) {#}débats{/#} {#}vieux-films{/#}
ꕥ communautés : you should be sad
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? avec plaisir love
all about my player
ꕥ petite présentation perso : jennifer, vingt-six ans (qui se demande où sont passées toutes les années précédentes) (et qui ne sait jamais quoi écrire dans ce genre de parties). je traîne sur les forums depuis une quinzaine d'années et je pense que ce milieu a vraiment besoin d’endroits comme celui-ci. j’aime la lecture et je voue un culte aux romans brochés - même si ma banquière aimerait que je me tourne davantage vers le rayon poches Tag café sur I've got 99 problems 3397895790 j'écoute beaucoup de musique, mais toujours la même chose et ma culture musicale s'est un peu arrêtée net dans les années deux mille, mais le dernier moreau lu sur l'application musique de mon téléphone c'est undrunk de fletcher, ce qui contredit la phrase d'avant Tag café sur I've got 99 problems 2153884322 j'aime rire, je suis souvent second degré et adepte du sarcasme. j’aime les gens (même si j’ai un peu perdu fois en l’humanité ptdr). dans la vie, je bosse dans le social et j’ai des horaires décalées donc je traîne sur les forums un peu tout le temps et n’importe quand. j’aime les liens creusés. j’aime aussi quand tout se fait au feeling et me rendre compte que le destin fait bien les choses parce que tout fini souvent par s’imbriquer Arrow j’ai une passion pour la lecture des fiches donc ne vous étonnez pas si je débarque dans vos mps avec mille idées et beaucoup trop de lignes (pardon d'avance Tag café sur I've got 99 problems 2153884322) et d’ailleurs, ça commencerait pas à faire long comme présentation pour quelqu’un qui ne savait pas quoi raconter ?

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : 10 minutes et 38 secondes dans ce monde étrange (elif shafak)
ꕥ un film : the truman show
ꕥ une série : please like me
ꕥ une chanson : one of us (liam gallagher)
ꕥ un animal : un éléphant
ꕥ un plat/dessert : un (bon) croissant
ꕥ une boisson : l'eau plate
ꕥ une célébrité : stephen king
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : sexe cru, inceste, violence sur les animaux.

that's my story / self diagnosis
2013 - richmond medical center, à staten island. Elle ne sait pas ce qu'elle fout là, assise sur un muret qui sépare la verdure de l'allée où viennent de se succéder une dizaine de voitures en l'espace de quelques minutes. Des taxis. Des familles, dans des grosses voitures. Et le bruit des ambulances en fond, qui se servent sûrement d'une autre entrée. Enfin c'est ce qu'elle imagine, parce qu'elle n'a pas suffisamment souvent mis les pieds au Richmond Medical Center pour connaître leur manière de fonctionner. Ni pour savoir ce qu'il faut faire quand on veut se faire soigner, ou intercepter un cousin thérapeute à qui on n'a pas parlé depuis des mois, peut-être des années. Pas vraiment, en tout cas. Un geste de la main quand ils se croisent dans la ville et quelques rires forcés durant les repas de famille qu'elle n'arrive jamais à esquiver. Parce qu'il paraît qu'elle ne ment pas bien, que ses excuses ne sont pas suffisamment recherchées, mais comment tromper le regard d'une femme qui a passé un peu plus de huit mois à façonner le sien. Ça ne marche pas. Jamais. Donc mère et fille finissent par se crier dessus, et c'est la frustration qu'elles partagent qui gagne à tous les coups. Sûrement parce que c'est la dernière chose qu'elles ont en commun. Le dernier fragment similaire qu'elles ont conservé des quinze premières années de leur relation. Reste bien un brin d'incompréhension aussi, mais quand l'une ressent de la honte, l'autre est rongée par le mépris. Et chaque fois que le regard de sa mère marque sa nuque au fer chaud quand elles se retrouvent entourées d'autres personnes, elle ne pense qu'à la manière de se venger de ces brides qu'on lui impose. Pensait, du moins. Elle ne serait pas là sinon, en train de cracher un nuage de nicotine au milieu de panneaux qui interdisent de fumer dans l'enceinte de l'hôpital. Et d'un coup ces grandes lettres sur fond gris l'oppressent, à moins que ce ne soit cette vieille dame aux lèvres pincées qui secoue la tête de droite à gauche lorsqu'elle passe juste à côté de cette gamine aux paupières trop peinturlurés. Elle voudrait s'excuser, et cache machinalement sa clope dans son dos comme si ça changeait quelque chose, mais ses lèvres ne forment rien d'autre qu'un sourire maladroit et sa jambe droite commence à se prendre pour un marteau piqueur. Donc elle se lève et regarde ailleurs. Tire trois longues taffes sur sa cigarette et fait rouler le filtre entre ses doigts pour laisser tomber le reste de tabac dans l'herbe, avant de marcher dessus et de balancer le mégot jaunâtre dans la poubelle près de l'entrée.

C'est comme ça qu'elle se retrouve devant les portes automatiques de l'hôpital. Grâce à ce reportage sur la pollution que provoquent les fumeurs qu'elle a vu l'année dernière avec Kit, son ex enfin, le gars qu'elle fréquentait encore la semaine dernière. Il cuvait pendant qu'elle tentait de fatiguer devant la télévision. Résultat, elle n'avait pas réussit à fermer l'œil de la nuit à cause de bruits qui n'existaient sûrement que dans sa tête et elle s'était découvert une espèce de sensibilité à l'écologie. Depuis elle ne jette plus rien par terre. Elle est même devenue végétarienne, et même pas pour faire chier sa mère - bien qu'elle a patienté jusqu'à novembre dernier pour le lui annoncer, devant la fameuse dinde qu'elle se charge tous les ans de cuisiner pour Thanksgiving. Maman s'est contenté de rire et de parler des jeunes et de leurs lubies avec le reste de la famille. Pendant une heure, durant laquelle sa fille a échangé quelques textos avec l'un de ses cousins qui a la chance de ne plus être invité, pour lui confirmer que les réunions familiales des wiley étaient toujours aussi merdiques. J'ai rendez-vous avec le docteur Wiley, si vous pouviez m'dire où est-ce qu'il faut que j'me rende s'il vous plaît ? Elle pose ses avant-bras sur le comptoir de l'accueil, avant de les retirer en se disant que ça ne se fait peut-être pas. Et de réaliser que par contre, c'est sûrement blindé de microbes. Sur sa droite des gens prennent des tickets, elle les observe vaguement en foutant ses mains dans ses poches, mais ne se demande pas si elle était censée faire pareil ou pas puisque de toute façon elle ne cherche qu'un renseignement sous un faux prétexte. Alors qu'importe le résultat. Il est thérapeute, j'sais pas vraiment comment vous dites du coup, enfin si c'est vraiment un docteur ou si j'suis juste censée l'appeler Monsieur Wiley. La femme a le combiné du téléphone coincé entre sa joue trop rose et son épaule. Elle doit avoir une cinquantaine d'années, peut-être un peu plus. Et elle se contente de lever sa main pour lui signifier de se taire, avant de reprendre sa discussion et de la laisser faire le poireau. Ça la démange de se barrer sur-le-champs et l'envie de nicotine se pointe de nouveau. Elle a l'impression que ses jambes vont se dérober et que sa vision devient floue. Enfin, elle voit vraiment flou. Mais ce n'est que le stress. Ouais, ce n'est que ça. Laissez tomber. Trop de gens s'amassent derrière. Elle décampe de la file et respire de la manière qu'ils expliquent sur internet quand on tape comment calmer une crise angoisse et qu'on se retrouve sur des forums qui vous prédisent une mort lente et douloureuse pour le courant de la semaine prochaine. Mais ça marche. La plupart du temps. Pas vraiment maintenant, mais elle se concentre sur les écriteaux ça et là qui indiquent les directions à prendre. Et après avoir parcouru de long en large une dizaine de couloirs et être revenu sur ses pas trois fois, elle pousse enfin les portes battantes du pôle cancers féminins et santé des femmes. Rien que le nom pousse son palpitant à vouloir s'extirper de son thorax.

Elle sourit de façon floue aux soignants qu'elle croise. Aux femmes, aussi. La plupart la regardent traverser l'aile d'un pas mal assuré et doivent faire le parallèle avec leur situation, quelle qu'elle soit. Du moins c'est ce qu'elle fait, en se disant qu'elle doit bien être la seule à n'avoir rien à foutre là. Elle hésite encore à repartir d'ailleurs. Surtout une fois assise dans la salle d'attente. Seule. C'est déjà ça. Attendre dans un endroit clos avec d'autres personnes est quelque chose qui la tend depuis quelques mois. C'est pour ça qu'elle ne prend plus les ascenseurs. En fait elle évite au maximum toutes les situations desquelles elle ne peut pas s'échapper à sa guise. Dont les rendez-vous. Administratifs. Médicaux. Galants aussi, quand ils risquent d'être trop formels. Elle a arrêté ses études l'année dernière juste avant l'obtention de son high school graduation, ne raffolant pas de ça et endurant difficilement les huit heures journalières de confinement que ça exigeait. Depuis elle vit aux crochets de ses parents qui ne supportent pas son train de vie complètement dénué de sens, et de la voir délaisser le lit de sa chambre d'adolescente pour d'autres lieux dont ils n'ont pas connaissance. Maman l'imagine sûrement en train de se droguer dans un endroit craignos. Papa doit se dire qu'elle squatte chez une copine et qu'il faut que jeunesse se passe. Les deux ont raison. J'aurais dû t'appeler, mais j'y arrivais pas et - et j'me suis dit que si je venais là ça serait plus compliqué de te tourner le dos que de raccrocher au bout de la deuxième sonnerie. Et spoiler alert, ça l'est. Il est toujours sur le pas de la porte de son cabinet, ou son bureau peu importe comment il l'appelle, et elle se met à rire amèrement devant la gueule de six pieds de long que tire son cousin. Un peu à sa propre vanne aussi, et parce que ses yeux commencent à devenir vitreux. Et elle veut rajouter quelque chose. Dire qu'elle a discuté avec ses parents la veille au soir et que malgré ses excuses pour son comportement de ces dernières années sa mère ne s'est pas jetée dans ses bras. Que le gars avec lequel elle froisse des draps depuis quatre ans la harcèle depuis des jours et qu'elle meurt d'envie de lui répondre autant que de ne plus jamais le revoir. Qu'elle a un peu de shit dans sa poche qu'elle s'est fait pression pour ne pas mélanger au tabac de la dernière clope qu'elle a fumé, parce que ça lui file des putains de vertiges et que ça n'a plus rien de l'effet relaxant que ça avait quand elle a commencé. Elle veut aussi lui dire qu'elle est désolée. De foutre en l'air son planning de la journée et de ce regard de chien battu qu'il ne maîtrise pas, mais elle se contente de remonter ses pieds sur le rebord de la chaise de laquelle elle ne s'est pas levée et de se mettre à chialer dans ses genoux.
this session is gonna be different
natblida/jennifer ꕥ 26 ans
fréquence de rp : difficile d'assurer quelque chose à peine inscrite puisqu'on se cale tous un peu inconsciemment sur l'activité générale du forum je pense, mais je dirais régulière. une fois par semaine au minimum. ϟ fréquence de connexion : disons que dès que j'ai cinq minutes, je passe par réflexe depuis mon téléphone. ça résume assez bien mon addiction pour le milieu. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre quatre et huit-cents, je pense que c'est à peu près ma fourchette habituelle. ϟ avatar à réserver : kaya scodelario. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ROUGES. ϟ comment avez-vous connu 99 ? j'ai cliqué par curiosité quelques jours après son ouverture, en le voyant pop sur bazzart. et le nom est revenu à mes oreilles récemment donc je me suis dit que c'était peut-être un signe, et qu'il était temps de s'y intéresser de plus près. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? plus je parcours le forum et plus je me dis que c'est une très belle réussite love
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I wish you never left. For me. And for her, especially for her + IAN

Invité
12 r ; 852 v.
Sam 25 Jan - 12:33
Ian Blackheart
ft Chris Hemsworth
ꕥ résumé : Ian est issue d'une famille aisée dont les parents n'ont jamais été très présent, très occupé par leur travail respectif. Il a une grande soeur de quelques années de plus que lui et une plus petite qui a 3 ans de moins. Il y a plus de 10 ans il est tombé amoureux de la meilleure amie de sa petite soeur, Alix. Après des mois à se tourner autour ils ont fini par se mettre ensemble et après 3 ans de relation ils ont eu une petite fille. Victoria. Mais 5 mois après sa naissance Alix a décidé de fuir, abandonnant Ian et sa fille. Ian est avocat, il a toujours été du genre à défendre ceux qui ne savaient pas le faire tout seul. Il est conseiller juridique au planning familial et prends très à coeur tout ce qui touche de près ou de loin à la famille. Sa fiche c'est toute sa vie il ferait n'importe quoi pour elle. Au départ de Alix il c'est complètement renfermé sur lui-même et est devenu taciturne et solitaire. Il est altruiste, sérieux, poli, généreux, bienveillant, organisé, fidèle, indépendant, honnête. Mais aussi rancunier, jaloux, impulsif, colérique, borné, méfiant et manque clairement d'auto-dérision. Il a beaucoup de mal à exprimer ce qu'il ressent, c'est un peu un handicapé des relations et des sentiments depuis que Alix l'a quitté. Depuis quelques mois il a appris que sa fille de 7 ans était atteinte d'une leucémie, Alix pourrait lui permettre une transplantation.
who am I
ꕥ âge : 33 ans
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuel
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : avocat
ꕥ quartier : Manhattan
ꕥ qualités : altruiste, sérieux, poli, généreux, bienveillant, organisé, fidèle, indépendant, honnête
ꕥ défauts : rancunier, taciturne, jaloux, impulsif, colérique, borné, manque d'auto-dérision, méfiant
ꕥ passions : {#}associatif{/#} {#}droit{/#} {#}marcher{/#} dehors la nuit {#}cinema{/#} {#}café{/#} {#}cigarette{/#} #
ꕥ communautés : New York city bar et Planning Familial
ꕥ scénario/pré-lien : le scénario de Alix Westmore
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? non
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Je m'appelle Gaëtane, j'ai 23 ans, je fais du RP depuis 10 ans environ et je suis POUFSOUFFLE !! C'est une information importante sisi !! Autrement et bien je suis une férue de lecture, ma bibliothèque est pleine et ma PAL déborde bien trop. J'adore suivre des booktubeuse sur Youtube, j'ai un compte instagram dédié aux livres et j'adore également les séries (en ce moment je me refais toutes mes vieilles séries que j'ai adoré regardé, et j'ai commencé Reign aussi et  Tag café sur I've got 99 problems 3460843005  Tag café sur I've got 99 problems 3460843005 ). Je pense toujours qu'un jour je vais recevoir ma lettre pour rentrer à Poudlard avec 10 ans de retard. Laissez-moi rêver s'il vous plait  puppy

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : La saga un palais d'épines et de roses de Sarah J. Maas
ꕥ un film : Titanic ou Inception
ꕥ une série : Un dos Tres
ꕥ une chanson : Impossible James Arthur
ꕥ un animal : Le chien
ꕥ un plat/dessert : Les crêpes
ꕥ une boisson : Oasis
ꕥ une célébrité : Kristen Bell
ꕥ un pouvoir magique : Téléportation

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : Du viol qui serait romancé. Une personne tombant amoureuse de son violeur. Et la séquestration également.

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...UN ϟ Ian est né dans une famille aisée ou il n’a jamais manqué de rien si ce n’est d’un peu plus d’attention et d’amour peut-être. Ses deux parents ont toujours été très pris par leur travail respectif, étant chacun les patrons de deux grandes entreprises ayant des filiales à travers le monde ils étaient plus souvent à l’étranger que dans la maison familiale. Lorsque Monsieur Blackheart était à la maison il avait prit pour habitude d’inculquer à son fils des valeurs tel que la discipline, la rigueur et l’honnêteté. Si Ian a bel et bien appris ces valeurs il a appris a les appliquer avec sa fille d’une manière bien différente de celle inculqué par son paternel. Quant à sa mère elle a toujours été plus proche de ses deux sœurs que de lui sans jamais vraiment qu’il ne comprenne pourquoi. Parce que oui, Ian il a 2 sœurs, une un peu plus âgé et une plus jeune qui à 30 ans. Ayant des parents peu présent Ian à toujours pris soin de ses sœurs en essayant de les protéger de tous les dangers de la vie. Il est parfois trop présent, trop curieux, trop protecteur mais c’est lui, il est comme ça. Il sait que le monde est rempli d’abruti et compte bien éviter à ses sœurs d’en rencontrer un maximum. DEUX ϟ Lorsqu’il avait une vingtaine d’année Ian était très proche de sa petite sœur et passait beaucoup de temps avec elle. C’est comme ça qu’il a rencontré Alix. Alix c’était la meilleure amie de Mila, sa sœur. Alix c’était aussi cette jolie fille au rire et au regard envoûtant. Mais c’était juste la meilleure amie de sa sœur. Rien de plus. Ça ne pouvait pas être plus. Du moins c’est ce dont il essaya de se convaincre pendant des mois et des mois. Mais il n’était pas le seul à la regarder en secret, il lui arrivait aussi de remarquer son regard posé sur lui. Ian avait beau être un beau garçon et être déjà sorti avec plusieurs filles il doit bien avouer qu’il n’a jamais su comment s’y prendre pour séduire une fille. D’autant plus qu’ici il ne voulait pas que Mila en sache quoi que ce soit. Alors il tenta des approches, maladroites, des approches et des sous-entendus que Alix ne sembla même pas remarquer. C’est finalement grâce à Mila qu’ils finirent ensemble puisque Alix avait fini par confier à celle-ci que Ian l’intéressait. C’est ainsi que commença leur histoire. TROIS ϟ En pleine études de droit à l’époque où ils se sont mis en couple ce ne fut pas tous les jours facile. Ian accordait énormément de temps à ses études et beaucoup moins à sa petite amie qui ne cessait de le lui reprocher. Malgré tout leur couple à survécu, Ian a appris à leur donner du temps sans pour autant mettre ses études de côté. Parce que devenir avocat c’était son rêve, ça l’avait toujours été. Déjà enfant il était ce garçon prêt à frapper les grosses brutes qui volait le déjeuner des autres sans aucun scrupule. Il n’adoptait certainement pas la façon la plus pacifique de faire régner la justice mais c’était sa façon à lui. Ian c’est cet homme qui ne se débine pas lorsqu’il aperçoit une bagarre en pleine rue ou une jeune femme qui semble en détresse auprès d’un homme qui agit de manière violente. Il n’a jamais vraiment su d’où lui était venu cette envie d’aider les autres mais une chose est sur c’est que ça ne lui ai jamais passé et aujourd’hui il tente d’inculquer la même chose à sa fille. Parce que oui, le monde est dangereux et injuste mais c’est en se battant pour le rendre meilleur que l’on peut faire changer les choses. QUATRE ϟ Ian venait tout juste de commencer son premier boulot en tant qu’avocat diplomé du barreau lorsque Alix lui annonça être enceinte. Malgré le début de leur relation 3 ans auparavant les deux amoureux n’avait jamais parlé d’avoir un enfant. Du moins pas dans l’immédiat. Alix avait seulement 23 ans, quant à Ian il venait tout juste de terminer ses études. C’était tôt. Bien trop tôt. Pourtant pour Ian cela devint presque immédiatement comme une évidence. Si cet ovule avait été fécondé c’était le destin et jamais il ne se pardonnerait de ne pas accueillir cet enfant. Au fil des mois Ian s’investit totalement dans cette grossesse, il se renseignait, lisait des livres. Il avait finalement hâte de devenir père bien que tout gérer de front fut assez compliqué au début. Puis Victoria vit le jour. Sa fille. Sa magnifique petite fille. Ian était heureux, tellement heureux. Il avait finalement tout ce dont il avait toujours rêvé. Le travail de ses rêves. La femme de sa vie et une enfant magnifique et en bonne santé. Tout ceci était arrivé bien plus tôt que prévu mais il ne le regrettait pas une seconde. Pour Alix la situation semblait être différente. Après la naissance elle lui sembla distante. Ils se mirent à se disputer. C’était certainement le commun de tous les jeunes parents pour autant ces disputes semblaient différentes, plus virulente. Ian était certain qu’il leur fallait simplement un temps d’adaptation. Et puis son monde s’effondra lorsque du jour au lendemain Alix décida de faire ses valises pour aller faire le tour du monde. Quel genre de personne fait ça ? Quel genre de mère peut faire une chose pareille ? Ian ne lui pardonna pas et continua à élever sa fille seule comme un père célibataire puisque c’est ce qu’il était désormais. CINQ ϟ Cette séparation abrupte ne fut pas sans conséquence sur Ian. Lui qui était autrefois d’un naturel optimiste, joyeux et souriant se renferma dans sa bulle. Elle l’avait abandonné. Lui et leur fille désormais il n’y a plus qu’elle qui compterait. Ses sourires on pouvait désormais les compter sur les mains et ils étaient seulement adresser à sa fille. Elle était la seule personne qu’il voulait avoir dans sa vie, la seule dont il était certain qu’elle ne le décevrait pas. Il s’éloigna de tout, de tout le monde pour élever sa fille. Mais c’était sans compter sur la détermination et l’amour de ses proches qui restèrent à ses côtés. Ses sœurs, ses amis. Il comprit peu à peu qu’il n’était pas seul. Alix l’avait abandonné certes mais pas les autres. Pourtant la cassure était faite en lui et son sourire d’autrefois ne revint jamais. SIX ϟ Pendant toutes ces années Ian a continué son train de vie, partagé entre son travail, sa fille essentiellement. Sa fille c’est toute sa vie, il serait prêt à n’importe quoi pour elle. Que ce soit tuer quelqu’un, cacher un corps mais aussi se déguiser en Bob Razowski et aller dans les rues de New York comme ça pour Halloween (Ian déteste les déguisements). Alors lorsqu’il a appris il y a quelques mois que sa fille avait une leucémie son monde s’est effondré une fois encore. Bien vite on lui expliqua qu’elle aurait besoin d’une transplantation et après quelques tests on lui expliqua qu’il n’était pas compatible mais que sa mère pourrait l’être. Sa mère… Alix. Il n’y avait aucun doute possible, si c’était la seule façon de sauver sa fille il le ferait. Pour elle. Tout pour elle. SEPT ϟ Ian il n’est pas vraiment du genre à boire jusqu’à se retourner la tête. Boire jusqu’à en oublier tout ce qu’il a pu faire ce n’est pas vraiment son délire. Mais il se souvient d’une fois ou ça lui est arrivé. Peu après le départ de Alix. Il a but. Seul, tout seul, chez lui. Il a but jusqu’à en oublier que son nourrisson d’à peine 6 mois était la dans son lit. Il a but jusqu’à ne plus entendre ces pleurs à 4h du matin alors qu’elle avait faim. Ce sont les coups à la porte lui hurlant de faire taire son enfant qui le ramenèrent à la raison. Il s’en voulu pendant des semaines et des semaines après ce soir là et ne but plus une goutte d’alcool pendant presque 1 an. Aujourd’hui il boit à nouveau mais avec modération. HUIT ϟ Marcher dehors la nuit c’était leur truc à eux. Alix et Ian ils ont toujours été des oiseaux de nuit. Lorsqu’ils n’arrivaient pas à dormir ils allaient marcher. Lorsque leur cerveau bouillonnait d’idées, de pensées, ils allaient marcher. Ils aimaient se retrouver seul dans les rues, il restait parfois des heures à marcher sans dire un mot, simplement en se tenant la main. Ian n’a jamais perdu cette habitude. Lorsque Victoria était enfant et n’arrivait pas à dormir il l’emmenait souvent en poussette et alors elle trouvait le soleil tandis qu’il en profitait pour respirer et penser à elle pendant quelques instants. A Alix. NEUF ϟ C’est un piètre cuisinier. Heureusement pour lui sa fille raffole de ses pattes au beurre et au gruyère râpée. Il a pourtant tout essayé, les livres de cuisine, les cookeo censé tout faire tout seul, les tutos cuisine sur internet mais rien n’y fait. Et quand Victoria en a assez des pâtes alors il fait appel à la magie de Marie, la jeune femme qui s'occupe de son ménage et de la cuisine le plus clair du temps. Marie est une perle dont il ne se séparerait pour rien au monde.



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Getget / Gaëtane ꕥ 23 ans
fréquence de rp : 2 rp/ semaine environ, surtout le week end ϟ fréquence de connexion : aussi souvent que possible ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je m'adapte à tout le monde néanmoins j'ai du mal avec les RP de moins de 500 mots minimum ϟ avatar à réserver : Chris Hemwsorth ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Vert par chez moi mais si vous en avez des roses j'arrive tout de suite ! ϟ comment avez-vous connu 99 ? Grâce à Marion aka {@=106}Alix Westmore{/@} ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Pleins de bisous  Tag café sur I've got 99 problems 176241234
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