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3 résultats trouvés pour marcher-dehors-la-nuit

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 485 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



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can you hear them screamin' out your name ? (shaheen)

Invité
16 r ; 504 v.
Sam 14 Nov - 6:58
shaheen farahani
i need help
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{@=572}shaheen farahani{/@}
32 ans - ancienne femme de ménage
FEAT : olga safari
Celle qui n'a jamais rien eu, celle qui a toujours dû se battre. Souillon qui s'est retrouvée propulsée dans monde qui ne lui a jamais appartenu, rêveuse qui n'a jamais voulu se dérober aux anges qui vivaient autour d'elle, elle est cette femme qui a toujours dû se battre, qui n'a jamais renoncé. cette femme qui s'est retrouvée au cœur d'un monde bien différent, d'un monde luxuriant, alors qu'elle travaillait au bas de l'échelle, récurait pour une famille importante, riche. Une femme qui pensait tout savoir des gens au-dessus d'elle, avec un mélange de mépris pour cette race, mais aussi d'envie. Une femme qui a croisé le regard de la solitude et en est tombée amoureuse, cœur à jamais possédé par celle qui lui faisait face, cette gamine, adolescente de seize ans, bien trop jeune, de dix ans sa cadette, princesse dans sa tour d'ivoire qui connaissait tout, sauf le bonheur. Deux regards qui n'auraient jamais dû rentrer en contact, deux regards qui ne se perdirent plus durant quelques mois, les plus beaux au monde, l'amour glissant le long de leurs sourires. L'amour qui semblait les rendre invincibles. L'amour interdit, relation découverte, effroi familial, la souillon rejetée, accusée, trahie. Amour de sa vie se retournant contre elle, la case prison cochée pour les cinq prochaines années, elle vécut un enfer, un enfer littéral. Violences, viols, abus en tout genre, jusqu'à la punition ultime, les produits dans son regard de « monstre », les détenues en tant que bourreau, sa vue s'en alla à jamais. Son âme se perdit à jamais. Son cœur brisé à jamais. Aujourd'hui sortie de prison, elle n'est plus qu'une carcasse vide, une aveugle sans abris, femme perturbée, perdue dans ses émotions, dans ses sentiments, dans ses sensations. Elle n'est plus qu'une ombre.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : double nationalités pour une femme qui a dû fuir son pays d'origine aux côtés de sa mère étant petite, l'amérique, les états-unis, et l'iran, la perse moderne.
Ethnie/origines : un sang mixte coule dans ses veines, celui d'un paternel américain et absent, d'une mère iranienne et lâche. perdue dans la pauvreté, le désir de toucher la surface, de remonter, de tendre les bras vers ces anges qui parcourent le monde.
Orientation : il y a toujours eu cette indécision, cette réflexion qui ne s'est jamais réellement posée, une idée qui ne restait jamais bien longtemps dans son esprit, une vague idée. celle d'aimer les femmes, alors qu'elle ne pouvait le concevoir. un tabou caché pendant si longtemps, jusqu'à ce que son regard se porte sur la princesse dans la tour d'ivoire, celle qui sut lui montrer qui elle était réellement, celle qui sut lui insuffler l'amour, le vrai. peu importe que des hommes, que des femmes, vinrent dans son esprit, attirances du passé, attirances éphémères. parce que désormais, et depuis bien des années, il n'y a qu'une âme au monde capable de lui faire ressentir quelque chose. théoriquement lesbienne, potentiellement pansexuelle, elle n'est que nevasexuelle, pour toujours, malgré ce cœur à jamais brisé.
Situation : le cœur à jamais saccagé, l'âme brisée pour une éternité de douleurs et de souffrances, le monde n'existe plus, il s'affaisse, il s'éclipse. il n'en reste plus rien, sans l'unique amour de sa vie, celle qui vint la porter au firmament, celle qui vint la briser en enfer, celle qui trône dans ses souvenirs comme dans ses pensées, dans son cœur comme dans sa rage. une unique femme qui n'est plus sienne, qui l'a trahie, qu'elle aime encore. u'elle ose encore aimer, seule au fond du trou où son amour la jeta. elle ose encore l'aimer, l'aimera finalement à jamais.
Occupation : au bas de la tour, souillon chevauchant un balai, mais point pour s'envoler, elle nettoyait, elle récurait, elle ne se plaignait pas, petite sans abris que le monde refusait d'aider, jusqu'au jour où tout bascula. désormais, c'est l'enfer, le monde s'est éteint, elle n'y voit plus rien, les ténèbres dans son cœur comme dans ses yeux, elle ne sait plus rien faire, à part mendier, prier.
Quartier : si seulement elle pouvait trouver, le soir venu, un foyer, un toit au dessus de sa tête. si seulement… mais non, le trottoir est son antre, la ruelle est sa chambre, elle n'a plus jamais eu d'endroit à elle depuis que sa maternelle est partie. et ses misères la conduisent plus généralement dans les rues du bronx, tandis qu'elle rêve encore à une vie meilleure.

and what else ?
Qualités : déterminée, passionnée, forte, intuitive, intelligente, différente, franche, loyale envers l'être aimé, sensible, endurante, attentionnée
Défauts : jalouse, possessive, instable, irascible, perdue, têtue, traumatisée, grossière, rancunière.
Passions : {#}café{/#} {#}alcool{/#} {#}drogue{/#} {#}marcher-dehors-la-nuit{/#}
Communautés : planned parenthood, orphans and their angels






that's my story / self diagnosis
hello darkness my old friend...
à la lumière, elle s’éveillait, petite fille dans un monde sauvage, dans un monde mécréant, qui ne choisissait que les plus forts pour survivre. Petite fille dans un pays qui ne voulait pas d’elle, dans un pays qui rejetait les faibles, dans une vie qui n’attendait qu’une seule chose, qu’elle dépose les armes, se laisse abattre. Parce que le monde est une guerre sans fin, entre la pauvreté et la richesse. Parce que le monde n’est qu’une bataille sanguinaire, alors que les étoiles sont les rêves parsemés de lueurs que les gens laissent derrière eux. Et elle lève la tête, shaheen. Elle lève la tête, depuis sa plus tendre enfance, pour oublier les horreurs, la misère. Pour oublier le monde, et rêver. Rêver à une vie meilleure, rêver à un monde nouveau, rêver comme si son imagination était sa seule limite. Elle s’est éveillée dans un monde ténébreux, elle voit pourtant la lumière, elle.
dans les ténèbres, elle se réveille, dans un monde changé, un monde qu’elle n’entrevoit plus. celui qu’elle pouvait chérir autrefois, parce que les étoiles lui montraient le chemin, n’est plus. il ne vit plus que dans son esprit, tandis que les larmes sur ses yeux viennent les lui brûler. Elle ne peut plus pleurer, depuis ce jour. elle ne peut plus pleurer, les larmes viennent caresser ses blessures. Celles qui ne se voient plus, celles qui restent toujours là. sa peau est neuve, autour de ses yeux, mais ils brûlent quand elle laisse entrevoir sa tristesse. Elle ne peut plus pleurer, pourtant elle n’a plus que cela, plus que ses larmes pour se souvenir d’un passé différent, tandis que ses membres tremblent dans le froid d’un hiver approchant, que le trottoir est sa dernière demeure, et qu’elle a beau tenté de rêver, les blessures d’un passé trop difficile la hantent pour l’éternité.

au coin du feu. elle était seule. Femme sans famille, père absent, mère partie, laissant une gosse dans l’horizon pour prendre les jambes à son cou, elle s’était retrouvée toute seule, shaheen. Seule, mais bien vite devant la porte d’un orphelinat, elle avait pu vivre sous la chaleur d’un toit, elle avait pu avoir un lit, elle avait pu avoir de quoi se nourrir. Ce n’était pas beaucoup, mais cela lui suffisait, tandis qu’elle oubliait peu à peu sa mère disparue. L’orphelinat n’était pas bien grand, n’était pas bien riche, il n’y avait pas de vraie éducation au-delà de la lecture, de l’écriture, et des nombres. De quoi survivre, mais pas de quoi s’en sortir, alors qu’à seize ans, elle était jetée, c’était impossible de la garder, si elle n’était pas adoptée, pas après cet âge fatidique, quand ils estimaient qu’elle était assez grande. elle ne s’en plaignait pas, ne s’en est jamais plainte, parce qu’elle avait eu six années de sursis à la rue glaciale qui l’attendait.
et dans le froid. il ne faisait pas bon y vivre, le trottoir, les ruelles, les bennes à ordures pour un peu de chaleur. mais elle ne pouvait pas faire autrement, tentait de tout faire pour avoir quelques piécettes, mendiait, grelottait, mais parvenait parfois à avoir un assez bon petit pécule pour une nuit au motel, de quoi se restaurer, se laver, laver ses seuls vêtements, avant de tenter de travailler. Ou de voler. L’un ou l’autre, il fallait survivre. Nettoyer, récurer, et avoir chaud une petite partie de la journée, dans les maisons où on l’engageait, parfois, dans les bars où on lui donnait, de temps en temps, une bonne bière après le travail, son âge aidant à la compassion. Elle s’en sortait, durement. Elle s’en sortait, et jamais elle n’abandonnait, volonté de fer gravée dans la peau, regard vers les étoiles une fois la nuit tombée, elle se surprenait à rêver, encore.

pour le meilleur. elle la regardait, ne pouvait s’en détacher, regard qui vibrait, qui brillait, à chaque fois que ses yeux se posaient sur sa belle peau, celle qu’elle laissait entrevoir, sous ses habits de princesses. à chaque fois qu’elle croisait son regard, que le rouge prenait possession de ses joues, mais qu’elle se retrouvait à jamais marquée par les iris d’une reine, une véritable déesse qui habitait cette glorieuse maison, si imposante. Elle n’aurait jamais cru pouvoir un jour travailler dans une aussi belle demeure, nettoyer derrière des gens aussi riches. Et si son but avait été de les dérober, au début, bien vite, elle avait compris qu’elle ne serait peut-être pas toujours dans cette villa, mais que jamais son cœur ne pourrait en repartir, quand celui-ci se mit à battre plus férocement à la rencontre avec la fille de ses employeurs. Seize ans, si jeune, et pourtant une beauté qui ne pouvait lui échapper. Shaheen avait vingt-six ans, elle ne pouvait décemment pas tomber amoureuse d’elle. elle avait vingt-six ans, et ne s’était jamais retrouvée attirée par le regard d’une femme. elle avait vingt-six ans, c’était mal. Elle se contentait des regards, priait pour que les maîtres la gardent un peu plus longtemps à leur service, ne pouvait pas supporter de ne pas la voir, ne pouvait pas supporter de ne plus l’entendre, ses mots qui semblaient naviguer vers elle sur des nuages. Elle en rêvait, elle en devenait folle, elle ne savait pas se libérer de cette étrange obsession, de cette attirance qui prenait possession d’elle. et alors qu’elle était, un soir, souffrante, elle se retrouva, sans s’y attendre, si proche de la princesse qu’elle ne put presque plus respirer, jusqu’à son toucher délicat, jusqu’à son sourire contagieux, jusqu’à ses attentions divines… et jusqu’à ce premier baiser, scellant tant son destin que son amour pour elle. Neva.
et pour le pire. une idylle, une beauté, l’impression de revivre, que son cœur battait toujours plus fort. L’impression qu’elle pouvait affronter le monde entier. L’amour, plus puissant que tout. Elle avait l’impression de rêver, mieux encore, de vivre un rêve éveillé. Elle avait l’impression d’avoir trouvé un second souffle, sans comprendre comment elles en étaient arrivées là. deux femmes, deux mondes, une histoire. aux yeux de shaheen, neva n’était pas la riche héritière, mais la princesse dans sa tour d’ivoire, qu’elle désirait protéger, aimer, de tout son cœur, de tout son être. Il n’y avait plus d’argent, il n’y avait qu’elle. neva, et ce qu’elle avait à offrir, neva et sa douceur, neva et son sourire, neva et son charme, neva et son intelligence, neva et son toucher, neva et son trône dans le cœur de l’iranienne. Elle aurait voulu que cela dure une éternité, elle se sentait si bien dans le regard, dans les bras de sa princesse. Elle se sentait si bien, alors qu’elle lui montrait, et découvrait par la même occasion, la force, et la beauté de la chair… d’une relation homosexuelle. Elle se sentait libérée, leur couple vivait dans cette immense maison, elle voyait l’évidence. L’évidence de leur amour.
Jusqu’à ce qu’ils découvrent tout. Les parents. Indignés. Horrifiés. Lorsque tout s’arrête, lorsqu’il y a la menace d’un procès, lorsqu’elle passe de femme heureuse à cible prioritaire d’une armée d’avocats. Elle tente de se défendre, parle d’amour, parle de chaleur, parle avec son cœur, mais quand elle entend les mots écrits sur cette lettre, celle que l’on lui confie après, écrite par la main de sa promise, elle perd tout, jusqu’à la plus infime part de bonheur encore présente dans son cœur. parce que neva l’accuse, dans ses mots. Parce que neva l’accuse, elle n’est plus qu’une criminelle, abus sur mineur, elle a le choix. Affronter les avocats en procès, mais ils lui promettent une sentence plus élevée, ou signer un accord, et faire cinq années de prison. elle signe. Et perd sa lumière.

à la lumière de sa cellule, elle compte les jours, les pleurs fréquents, le cœur douloureux. Elle ne comprend plus, elle ne comprend pas. pourquoi neva a-t-elle fait cela, pourquoi a-t-elle écrit toutes ces choses, alors qu’elle sait, au fond d’elle-même, shaheen. Elle sait qu’elle ne l’a pas manipulée, qu’elle n’a pas abusée d’elle. c’est neva qui a initié cette romance, c’était un véritable amour, mais son cœur est désormais noir, tâché par la trahison. La trahison de sa promise. Elle perd pied, perd les pédales, perd le contrôle. Elle perd la volonté, elle perd sa force, elle perd tout. Il n’y a plus rien qui compte, plus rien qui puisse valoir le coup. elle perd sa raison, d’abord. Tandis que les autres détenues lui mènent la vie dure. Puis elle commence à perdre son sang, lorsque les autres la frappent. Brutalement. Une fois. Deux fois. Trois fois. Elle ne compte même plus, à la fin. Parce que tout se sait, en prison. et les personnes comme elle, sont des pédophiles aux yeux des autres. Sans même chercher à comprendre, à connaître la vérité, elle se retrouve harcelée, brutalisée. Violée. A de nombreuses reprises. Puis à jamais, elle plonge dans le noir.
dans les ténèbres, elle se réveille. Sur un matelas dur, elle est à l’infirmerie de la prison. les yeux brûlant, elle hurle de douleur, mais sa voix est éteinte, elle n’en a plus pour le moment. Elle ne se souvient plus de grand-chose, elle ne se rappelle que de cette femme, trois fois plus imposante qu’elle, qui, après l’avoir tabassée, lui a dit qu’elle ne pourrait plus jamais mater des gamines. Et la seconde d’après, elle avait l’impression que ses yeux prenaient feu. Les produits chimiques, versés directement sur ses iris. La douleur, tellement forte, qu’elle perdit connaissance. L’impression de mourir au réveil, plus d’une fois. Le corps endolori, les yeux qui la brûlaient tellement qu’elle tenta de se les arracher, une fois. Avant de se faire arrêter, menotter au lit. Par la suite, convulsions, hurlements lorsque sa voix retrouva son intensité, griffures jusqu’au sang sur ses cuisses, seules parties de son corps à portée de ses mains. Il lui fallut du temps, protégée par l’infirmerie, pour se remettre. Mais si ses globes oculaires étaient encore présents, presque pas abîmés, les produits avaient fait leur œuvre, la vue lui était ôtée. Elle ne voyait plus. ce n’était pas noir pour autant, il y avait la lumière qui pouvait pénétrer ses rétines, mais rien d’autre. Elle ne voyait plus.
Et à sa sortie de prison, elle était différente. Traumatisée. Perdue. Aveugle. Instable. Morte entre ces murs, sans pour autant avoir rejoint les cieux. Colère dans son cœur. elle sortait, mais n’avait plus rien. encore moins qu’à son arrivée. Retour dans la rue. Retour dans la souffrance. sans possibilité de revoir un jour les étoiles. Elle ne rêvait plus d’étoiles, de toutes façons. Ne revoyait qu’une seule chose, qu’une seule personne, dans son esprit. neva. Neva la traitresse. Neva l’amour de sa vie. neva qu’elle ne savait oublier. Qu’elle ne savait pardonner. Qu’elle ne savait détester. Neva, qui possédait toujours son cœur. neva. Seuls ses souvenirs pour l’accompagner dans le froid de l’hiver approchant… neva.

je vous laisse mon chat haha:




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Pseudo ou Prénom : Victoria
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la lune rousse ((sawyer))

Invité
19 r ; 412 v.
Mer 2 Sep - 10:04
sawyer kang
23 ans - étudiant
FEAT : park jimin
fils d'immigrés coréens ayant fait fortune dans l'import-export, sawyer naît et grandit à new york dans un environnement privilégié malgré une santé un peu fragile. garçon sans histoires, on lui reproche toutefois son manque d'ambition et d'intérêt à reprendre les affaires familiales. lui-même ne sait guère pourquoi il est là, ne nourrit aucun rêve particulier et se contente de suivre sans enthousiasme la voie qu'on lui a tracée, ce qui cristallise les tensions avec sa brillante petite soeur aux dents longues. il est en couple depuis six mois avec aelynn park, son phare au milieu de la nuit; une lumière qui risque de bientôt s'éteindre.
who am I
ꕥ âge : 23 ans
ꕥ nationalité : américaine
ꕥ ethnie/origines : coréennes
ꕥ orientation : hétérosexuel a priori
ꕥ situation : en couple avec aelynn park
ꕥ occupation : étudiant en deuxième et dernière année de mba à columbia business school
ꕥ quartier : upper east side, manhattan
ꕥ qualités : réfléchi, indépendant, attentionné
ꕥ défauts : rancunier, susceptible, passif
ꕥ passions : {#}mode{/#} {#}art-martiaux{/#} {#}marcher-dehors-la-nuit{/#}
ꕥ communautés : columbia university
ꕥ scénario/pré-lien : inventé
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ mp d'intégration : non merciii

all about my player
ꕥ petite présentation perso : il m'arrive de manger mexicain avec une certaine personne ici présente  Tag marcher-dehors-la-nuit sur I've got 99 problems 3974363061  

petit portrait chinois
ꕥ un livre : pride and prejudice, jane austen
ꕥ un film : the wolf of wall street
ꕥ une série : how i met your mother
ꕥ une chanson : bts - spring day
ꕥ un animal : chaaaat
ꕥ un plat/dessert : des pâtes
ꕥ une boisson : de l'eau
ꕥ une célébrité : emma watson
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : aucun en particulier, après si on peut éviter les mauvais bails du genre inceste et pédophilie, ce serait pas plus mal.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? sans aucun doute la pression familiale que tu subis pour te faire reprendre le flambeau de l'entreprise fondée par ton père il y a plus de trente ans déjà. l'idée que tu puisses vouloir faire autre chose de ta vie ne leur a probablement jamais effleuré l'esprit, et quand bien même ce serait le cas, ils ont simplement décidé de ne pas te laisser le choix. l'autre paramètre, c'est le fait que tu n'aies pas la moindre idée de ce que tu pourrais faire sinon. alors te voilà à étudier à columbia business school bien que tu n'aies jamais eu le moindre intérêt pour ce domaine. pourtant ta petite soeur est celle qui serait la mieux placée pour succéder à votre père. brillante élève, ambitieuse et avec un talent inné pour le commerce et les négociations, son seul défaut au final est de ne pas être un garçon.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). le café très certainement, étant donné que tu ne peux commencer une journée sans ta tasse bien corsée, sans sucre. tu aurais tendance à dire que tu n'es pas accro à ton téléphone portable quand tu te compares à certains énergumènes qui ont leur nez collé dessus en permanence, mais force est de constater que tu ne peux pas non plus te séparer de ton iphone plus d'une demi journée, voire une journée entière si tu es vraiment bien occupé. pour terminer, tu devrais probablement signaler ta tendance à acheter bien plus de vêtements que ce dont tu as réellement besoin. tes placards débordent de pièces que tu n'as jamais portées. donc non, être shopping addict, ce n'est pas réservé aux femmes.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? pas très bien pour être honnête, c'est ce qui se passe généralement quand une fille vous confesse ses sentiments et que ce n'est pas réciproque. tu avais beaucoup d'affection pour elle, mais il manquait quelque chose pour te faire basculer comme elle l'avait fait. être désolé pour elle ne changeait rien, les cris et les larmes non plus, et vous avez fini par vous séparer sans garder contact. pour être sincère tu l'as très rapidement oubliée car tu as rencontré aelynn peu de temps après. c'est là que tu as réellement compris ce que ça voulait dire "être amoureux". et cette relation-là, t'espères bien qu'elle ne se terminera pas.

Le dernier texto que tu as envoyé ?« à tout à l'heure bébé. » quand tu y repenses, tu n'aurais jamais cru possible que tu deviennes aussi mielleux, aussi niais. et pourtant. aelynn a su tout renverser sur son passage, remettre en question tes fondements, te faire changer tes habitudes. elle te fait découvrir des choses que tu ne savais pas exister, vivre des émotions que tu n'avais jamais ressenties auparavant. chaque jour semble être une nouvelle aventure avec elle et pour la première fois de ta vie, tu te sens réellement vivant quand tu es à ses côtés. pourtant sur le papier vous êtes deux opposés. c'est peut-être justement pour ça que cela a si bien fonctionné entre vous dès le début. deux âmes complémentaires, qui ont su se trouver pour mieux s'aimer et se tirer vers le haut mutuellement.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? comme précédemment évoquée, elle est des plus difficiles dès lors qu'on aborde le sujet délicat de tes études et de ton avenir. mais en dehors de ce point particulier, tu es bien obligé d'admettre que tu n'as pas trop à te plaindre. ils t'ont permis de grandir dans les meilleures conditions possibles, t'ont accordé suffisamment de temps pour que tu ne te sentes pas négligé malgré deux travails très prenants. et c'est peut-être pour ça qu'ils estiment que tu leur dois satisfaction sur ta carrière en retour. pour ça qu'ils se permettent des piques constantes sur tes résultats scolaires et tes capacités mentales, avec l'espoir que dans un sursaut d'orgueil tu feras tout pour leur démontrer le contraire et leur prouver que tu es capable de les rendre fiers. jusqu'à présent sans succès.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? tu consacres la majeure partie de ton temps à ta vie sociale, que ce soit avec ton cercle d'amis proches ou avec ta petite amie. garçon populaire, bien entouré, tu es souvent sollicité pour diverses activités de groupe avec ta bande. tu passes évidemment un maximum de temps en compagnie d'aelynn, et ce que tu trouves de véritablement remarquable avec elle, c'est qu'elle a toujours des envies et des idées pour pimenter votre quotidien. jamais tu ne t'es ennuyé avec elle, alors que tu luttais depuis des années pour trouver quelque chose susceptible de réellement te motiver et t'intéresser. lorsque tu es seul toutefois, tu te contentes volontiers de pratiquer le kendo, de te balader dans la ville ou de regarder une série ou un film sur netflix.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? dois-tu mentionner ce souvenir embarrassant du collège où tu avais appelé la professeure de mathématiques "maman" devant toute la classe ? la fois où tu as tellement bu à une soirée que tu étais toujours incapable de marcher droit le lendemain en rejoignant tes parents au restaurant ? cette nuit avec aelynn où tu t'es tellement emballé que tout s'est terminé avant même que ça n'ait pu réellement commencer ? l'horrible moment où tes intestins se sont trop vite activés sans que tu ne puisses rien contrôler alors que tu n'étais pas chez toi ? le jour de tes cinq ans où tu es resté coincé sur une balançoire tête en bas pendant vingt minutes parce que tu t'étais emmêlé les pieds avec la corde sans parvenir à te libérer tout seul ? il y en a tellement eu que tu serais incapable de tous les énumérer.  

this session is gonna be different
estelle
fréquence de rp : variable ϟ fréquence de connexion : 4/7 ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300 mots ϟ avatar à réserver : park jimin ϟ de quelle couleur sont les petits pois : les petits pois sont rouges, 4ever and always ϟ comment avez-vous connu 99 ? feu bazzart ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? stream dynamite
pastel breathing (avatar) jrmin (icon)

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