La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

4 résultats trouvés pour marijuana

je vous ouvre mon cœur et vous me parlez de shakira ? (a.q.m.)

Invité
19 r ; 389 v.
dans rps
Ven 18 Sep - 17:46
alessa quispe
25 ans - chômeuse en herbe (littéralement)
FEAT : fivel stewart  Alessa c'est la nana qui a toujours des cernes jusqu'au bide et un grand sourire aux lèvres pour compenser. Insomnies, défoncée, avec elle on sait pas trop. A force on renonce à demander, parce qu'elle laisse même pas la place pour un ça va. Alessa c'est la bonne pote aux manies de foutre du piment partout, de faire bouillir son eau ; on la comprend pas toujours mais ça aussi, on y a renoncé. Au moins, elle fournit de bons trucs pour la fumette et elle s'immisce pas trop dans la vie privée des gens. Finalement, c'est la pote de tout le monde, mais personne la connait vraiment. C'est un coquillage hermétique qui s'ouvre pas, sous aucune condition. C'est la nana qui va visiblement mal et qui fout toutes ses relations, toutes ses amitiés en l'air et qui continue de te lancer un grand saluuuut le matin. Du moins, quand on la croise. Parce que la rumeur court qu'Alessa, elle a complètement renié tout lien avec l'extérieur et elle sait plus comment s'y rattacher. À croire que la sobriété, finalement, ça lui sied pas au teint.
who am I
ꕥ âge : 25 ans.
ꕥ nationalité : péruvienne, née dans la jolie ville d'arequipa, avec ses volcans et ses canyons dont elle aura jamais fini de s'émerveiller. rien à voir avec les grattes-ciel un peu moche de NY et son système de transports qu'elle comprend toujours pas.
ꕥ ethnie/origines : par sa mère, japonaise et russe. par son père, aymara, pied-noir et coréenne. ça fait une jolie carte du monde, mais chez elle, on se cantonnait souvent au ouais, pas vraiment péruvienne, quoi.
ꕥ orientation : lesbienne.
ꕥ situation : techniquement en couple. ça l'empêche pas d'être techniquement toujours amoureuse de son ex.
ꕥ occupation : ancienne étudiante boursière, alessa cherche toujours des fonds pour sa thèse en génomique. c'est tellement niche que les mécènes ne se bousculent pas aux portes, alors en attendant, elle collectionne les petits boulots.
ꕥ quartier : brooklyn, bedford st.
ꕥ qualités : douce, patiente, rationnelle, curieuse, dévouée
ꕥ défauts : indifférente, fainéante, secrète, égocentrique, peu fiable
ꕥ passions : {#}marijuana{/#} (ça compte vraiment comme une passion ? la sale vie olala), {#}gaming{/#}, {#}cuisine{/#}.
ꕥ communautés : paroisse st luke, lgbt center, the lost planet, NYC expats
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : i need help
ꕥ mp d'intégration : merciiii, ça ira love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : j'ai mis une citation de la classe américaine dans ma fiche, si vous avez la ref, je vous aime déjà.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : the god of small things, arundhati roy
ꕥ un film : margarita with a straw
ꕥ une série : j'ai pas d'autres idées alors toujours orphan black
ꕥ une chanson : en ce moment cool blue, de the japanese house
ꕥ un animal : le chien, on va être modestes cette fois (mais un beau chien hein, genre golden, pas un suppôt de satan là)
ꕥ un plat/dessert : la mangue avec du riz gluant dessus, allez
ꕥ une boisson : le café
ꕥ une célébrité : alexandria ocasion-cortez. c'est pas une célébrité, mais ça l'est dans mon coeur.
ꕥ un pouvoir magique : toujours se téléporter

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : toujours pas, mais j'aime pas trop trop le vomi. (coucou les émétophobes)

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Si vous lui posiez la question, vraiment, elle regarderait sûrement en l'air en se dandinant et en se frottant le nez, pour vous répondre un "baaah, euh, j'sais pas, moi". Reine de l'évitement, Alessa est pas très douée pour parler de ses ressentis ou les prendre au sérieux. Rien n'est grave, tout peut s'ignorer : Alessa a une conscience aiguë, extrêmement fataliste, qu'elle n'a aucune prise sur sa propre vie et que ce qui doit arriver arrivera. N'importe quel psy lui sortirait en deux consultations une liste longue comme les pattes de dix araignées mises bout à bout, et elle hausserait à peine les épaules, pas convaincue.
Le vrai problème, au fond, c'est qu'Alessa a jamais vraiment trouvé sa place. Ni dans son Pérou natal, où elle était ni assez latina ni assez rien, ni à New York, qui l'a avalée et recrachée tout aussi vite. Qu'est-ce qu'elle fout là, vraiment, au fond ? Si elle est retournée à Arequipa, y a un an, c'était pour une bonne raison, non ? Retrouver sa ville natale, bosser dans un environnement familier, tenter utopiquement de combler les déficits d'une économie en berne qui a essuyé trop de récessions, trop de corruption... Même ça, son rêve le plus simple, le plus atteignable, elle l'a essuyé d'un revers de manche en revenant à New York. Même ce qu'elle fout là, elle arrive pas à comprendre ce que c'est. Alessa, elle sait pas ce qu'elle veut, au fond. Ni qui elle est vraiment.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Fut un temps où elle sniffait, s'injectait et avalait tout ce qui pouvait lui passer sous la main, sans distinction de quoi ou quelle dose, pourvu que ça lui vide la tête et estompe les points d'interrogations. Cannabis, MD, héroïne, speed, tik : Alessa n'avait comme prise sur sa vie que ses divers shoots, rejetant toute tentative d'approche en sa direction et perdant complètement pied dans ses études et dans sa vie sociale. Il a fallu une peur un peu trop forte pour la faire revenir parmi les vivants. Aujourd'hui, elle consomme plus que des joints, souvent trop, mais les joints, c'est comme tromper si c'est dans une autre ville : ça compte pas.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Elle était à peu près sûre que ça marcherait pas, la distance, pas parce que ça la dérangeait elle mais parce que ça avait dérangé sa première ex et qu'elle était pas spécialement optimiste : c'est plus commode de s'attendre au pire. Et comme elle l'avait prévu, Gaeul et elle n'ont tenu que quelques mois avec la distance Arequipa-New York, davantage par besoin de se développer chacune de son côté que par manque d'amour. Cette fois, cependant, Alessa, au lieu de se foutre de la poudre pleins les narines, elle a décidé de complètement arrêter, de faire quelque chose de sa vie, être meilleure pour elle, pour les autres ; pour Gaeul. Le seul problème, c'est que maintenant, Gaeul est avec quelqu'un d'autre. Et forcément, c'est une contrainte en plus.

Le dernier texto que tu as envoyé ? Elle cacherait son portable, l'air un peu piteux, pour prétendre que c'est "yo, j'ai racheté de la glace, t'aimes la Ben&Jerry's ?" envoyé à son coloc, et au fond, ce serait même pas vraiment un mensonge : le dernier message, il est resté dans ses brouillons, et elle y ajoute un mot tous les jours pour se donner l'impression qu'un jour elle va l'envoyer. Elle a pas le droit, elle se l'interdit : elle a quelqu'un d'autre maintenant, quelqu'un de génial, et Gaeul aussi. Lui dire je suis revenue pour toi, ce serait du suicide, une flagrante aberration, un manque de respect qu'elle n'osera jamais face à son ex. Alors elle se tait, elle ronge son frein, et le message reste dans les brouillons. "t'aimes la Ben&Jerry's ?", ça va très bien, comme dernier message, finalement.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? A l'instar d'un peu tous ces gamins ingrats qui ont jamais manqué de rien, Alessa a longtemps cru que la meilleure chose dans sa vie, c'était sa voisine. Leur ferme à la sortie de la ville, avec des alpagas et des moutons ? Bof, ça faisait davantage paillard qu'autre chose et Alessa n'avait pas besoin d'un démarqueur de plus dans sa vie déjà si particulière. Grandir à Arequipa, quand on n'est ni vraiment Péruvienne, ni trop Japonaise, ça n'a rien d'aisé et pourtant, ses parents lui ont grandement facilité la tâche. En rétrospective, y a peut-être personne qu'elle aime plus que sa mère un peu stricte mais si présente ; personne qu'elle admire davantage que son père un peu voûté, fatigué trop tôt, au corps trop petit pour tout l'amour qui en déborde. Elle leur doit tout mais ne leur a jamais dit, peut-être parce que la peur de les décevoir dépasse toute autre émotion à leur égard.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Quand on a passé un an et demi à rien foutre à part se défoncer, c'est dur de retrouver des passe-temps et un cercle social, mais ce qui est encore plus dur, c'est de pas retomber dans une spirale. Alors Alessa se lance corps et âme dans tout et n'importe quoi : les jeux-vidéos, en communauté ou seule, la lecture de magazines en allemand, qu'elle comprendra sûrement jamais, les rencontres en soirée d'inconnus parfaits qu'elle reverra sûrement jamais, pourvu qu'elle se retrouve pas face à un sachet de taz. Récemment, sa lubie, c'est le sport : elle s'y met à fond, tente de regagner une hygiène de vie acceptable, essaie d'apprécier enfin un peu ce corps auquel elle a trop longtemps infligé l'enfer. C'est pas facile, mais elle s'y tient, parce qu'elle a pas grand-chose d'autre à quoi se raccrocher.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? L'époque où elle était au plus bas s'est soldée de son pire bad trip : après avoir gobé trois ecstas en soirée, Alessa s'est retrouvée chez elle, incapable de tenir en place. Elle a prolongé avec un gramme de speed retrouvé dans sa poche : une trace, deux traces, trois, jusqu'à ce que le mélange lui foute une claque. Ca aurait dû s'arrêter là, sûrement, et elle sait pas trop ce qui l'a poussée à prolonger, mais elle est sortie acheter de l'alcool. La suite ne tient qu'à ce qu'on lui a raconté : elle a brisé la porte d'entrée d'une résidence, fait sonner l'alarme incendie et appelé sa mère, puis les flics, puis son ex en panique pour leur dire qu'elle se faisait tirer dessus. Elle ignore ce qu'elle a pu dire aux flics pour qu'ils la laissent rentrer chez elle sans autre forme de procès, du sang sur les mains et sur son pantalon, elle se souvient juste avoir passé le reste de la nuit à injurier Gaeul et à lui reprocher tout problème dans sa vie. Elle sait pas si ce qui s'est brisé entre elles est arrivé à ce moment-là. Elle a jamais osé demander.

this session is gonna be different
(an)kana ꕥ 23 ans
fréquence de rp : selon mon irl, une à plusieurs fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : quotidienne. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? je m'adapte au partenaire, mais on va dire entre 300 et 1800 (oui c'est large), généralement je limite à 600. ϟ avatar à réserver : fivel stewart ϟ de quelle couleur sont les petits pois : lourds (lol get it?) ϟ comment avez-vous connu 99 ? toujours grâce à kelly et jina ϟ un dernier mot ?Eh, je t’arrête tout de suite. La classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller. Rien de tel que d’aller chez Azzedine Alaia ou même de s’acheter des sous-pulls chez Yohji Yamamoto !
tumblr (gif) solsken (avatar)

j'veux pas être au-dessus, j'veux être à la hauteur.

Invité
24 r ; 426 v.
Mar 28 Juil - 10:39
guzmán hernandez
30ans - propriétaire vidéoclub
FEAT : nekfeu Enfant perdu que tes parents n'ont pas voulu, maman préférait papillonner avec les clients en proposant de délicieuses préparations tandis que papa ne parlait qu'en somme d'argent, autant dire que jusqu'à ce que tu récoltes tes premiers billets tu n'avais aucune espèce d'importance pour lui. Issu de la vague d'émigrés venu tout droit du Mexique afin de vivre le fameux American Dream c'était sans compter sur l'énorme influence de la mafia mexicaine qui grouillait dans les rangs, une vingtaine de membres envoyés en tant que réfugiés politiques. Papa en était un d'ailleurs, lieutenant venu en renfort dans ladite Grosse Pomme afin d'étendre l'autorité des siens, emmenant dans ses bagages femme et enfant, tu n'avais que 6ans quand tu as frôlé pour la première fois le sol américain. Fils bagarreur qui n'a jamais eu la moindre attention de ses parents, tu as dû prouver aux autres que tu arriverais à t'en sortir par la force de tes propres moyens. Considéré comme une erreur de parcours par celui qui t'a malheureusement élevé, la vérité c'est qu'il ne voulait pas s'occuper de toi tant que tu n'étais pas en âge d'intégrer le gang de la fameuse « Mano Blanca ». C'est finalement dès 14ans que tu as fait tes premières preuves, de petits boulots de guetteurs en livreur nocturne, t'as gravi les échelons sans jamais avoir la reconnaissance de ton père, décédé il y a une dizaine d'années dans une descente de flics. Petite fortune que tu as amassé par la vente des stupéfiants cachés derrière les dizaines de vidéoclub (de ta propre idée, ce qui t'as, à ton tours élevé au rang de lieutenant) encore ouverts dans les différents quartiers de la ville, la vague 90's semblant avoir eu raison de cette idée, pour le compte cette famille sanguinaire qui t'a vu grandir et devenir l'un d'eux sans jamais broncher. S'il y a bien une chose que tu as appris c'est qu'il ne faut faire confiance à personne et encore moins empiéter sur le territoire des autres, les animosités existent entre les gangs et si tu ne crains pas la mort, tu préfères la donner plutôt que de la recevoir.  
who am I
ꕥ âge : la trentaine tout juste passé, elle t'a fait mal celle-là.
ꕥ orientation sexuelle : il n'y a que les courbes des femmes qui attirent ton attention. Ce besoin quasi viscéral de prouver à quel point tu domines ta partenaire.
ꕥ situation : tu voles d'une fleur à une autre sans avoir d'attachement, sans même te poser la question de savoir si un jour tu (re)trouveras celle qui t'a marqué quand ton regard c'est posé sur elle la première fois.
ꕥ occupation : pas destiné aux grandes études, c'est presque à se demander ce que tu faisais sur les bancs de l'école, les rares fois où tu y allais, tu as stoppé l'école publique car les Mexicains t'offraient des études à la maison. Alors de mauvaises rencontres devenues bien vite des fréquentations arrivant au stade de « famille », t'as suivi le chemin de ton père célèbre lieutenant dans les rangs et t'es devenu dealer pour le compte de la mafia mexicaine avant de prendre en charge quelques gars qui vendent pour toi, pour elle, argent facilement gagné te permettant de vivre convenablement. T'as décidé de récupérer les magasins de location de vidéos où tu y as intégré quelques bornes d'arcades (très 90's) mais ce n'est que pour cacher le sombre spectacle de la vente de drogue et ça semble convenir à ceux qui ont confiance en toi.
ꕥ quartier : Manhattan
ꕥ qualités : protecteur, impulsif, charmeur, ponctuel, fiable, loyal, investi, travailleur, indépendant, autodidacte. 
ꕥ défauts : bagarreur, impulsif, joueur, rancunier, immoral, manipulateur, franc, possessif, solitaire, dur, sarcastique, cynique, indépendant, froid, exigeant, calculateur. 
ꕥ passions : {#}marijuana{/#} parce que c'est la plus grosse partie de ton business. C'est ce qui te rapporte le plus d'argent et avec tellement de facilité, il suffit juste de connaître les bonnes personnes et ne pas empiéter sur le territoire des autres. {#}argent{/#} une célèbre citation dit « Dans ce pays, il faut d'abord faire le fric ; et quand tu as le pognon, tu as le pouvoir ; et quand tu as le pouvoir, tu as toute les bonnes femmes. » tu traînes dans l'argent sale depuis que t'es un gosse. {#}90{/#}'s c'est ton côté enfant qui ne veut pas grandir.
ꕥ communautés : {#}loslatinx{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop.
ꕥ groupe : Fit Hot Guys Have Problems Too.
ꕥ parrain : oui  Tag marijuana sur I've got 99 problems 151223673 je trouve ça hyper sympa comme idée !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : alors par où commencer ? Moi c'est Joanna, Jojo ou Jo, bien qu'en ce moment c'est Valérie Damidjo  Tag marijuana sur I've got 99 problems 1248048409  qu'on me surnomme. 28ans, presque 29 (j'assume pas vraiment le rapprochement de la trentaine mais ça va aller  Tag marijuana sur I've got 99 problems 3397895790  !). Pas très grande à l'image de Poucelina (ceux qui ont la référence comprendront t'as vu  aidansourire ). Ah oui, je suis gentille et douce et archi open à toutes les excentricités et tous les retournements de situations, le drama c'est ma vie  plzz ! Et même si clairement je sortirai jamais avec un mec comme Guzman baaaaah... Je lui fais du sale quand il veut !
Oh... Et des fois j'ai mon langage des cités du 78 qui reprend le dessus et je sais pas si ça ne soigne  Tag marijuana sur I've got 99 problems 2881807329

petit portrait chinois
ꕥ un livre : « Le Rouge et le Noir » de Stendhal, gros pavé je sais mais il m'a marqué quand j'étais au lycée.
ꕥ un film : Pocahontas celui de Disney, le premier hein, ça compte comme un film ? Allez dites ouiiii.
ꕥ une série : Mais y'en a trop ! Je dirai... Lucifer.
ꕥ une chanson : Oblivion de 30STM ou Princesse de Nekfeu (deux salles, deux ambiances)
ꕥ un animal : le Paresseux, tiens hier j'en parlais d'ailleurs.
ꕥ un plat/dessert : le Paris-brest je pourrai me noyer dans la crème.
ꕥ une boisson : Le jus de Tomate !
ꕥ une célébrité : Paris Jackson (pour son style).
ꕥ un pouvoir magique : remonter dans le temps je pense.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : comme dit plus haut, je suis absolument ouverte à toutes les propositions et tous les types de sujet, le but étant, pour moi que les parties soient d'accords avec ce qu'il se passe et que tout se fasse dans la bonne humeur, dans le feeling le plus total.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? S'il n'y en avait qu'un, tu dois gérer les hommes qui travaillent pour ton compte et à plus grande échelle pour le compte de la mafia mexicaine. Tu dois gérer ta nouvelle vie en colocation dans ce duplex offert par les tiens afin de te remercier de l'allégeance que tu leurs portes depuis tant d'années. Tu t'efforces depuis de très longues années de ne pas succomber au charme de cette charmante femme qui t'obsède depuis que tu as posé tes yeux sur elle. Vous venez de deux mondes différents qui ne devraient jamais se rencontrer et pourtant tu éprouves ce besoin d'être auprès d'elle, cette envie de la voir sourire en l'emmenant dans les plus beaux endroits alors que toi-même tu ne te sens pas à l'aise, monsieur ne traîne qu'en jogging, de lui mentir quotidiennement sur les affaires que tu opères en compagnie d'hommes tous moins fréquentables les uns que les autres. Mais tu as ce besoin d'être auprès d'elle, t'as besoin de savoir qu'elle va bien, quitte à lui proposer de la ramener chez elle quand elle sort de son travail, t'es attiré par elle et ça, ça te fait terriblement peur.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). L'argent et l'appât du gain. L'argent appelle l'argent c'est une vérité, tu profites d'ailleurs des billets plongés dans tes poches pour passer de longues soirées au Casino ou encore à payer des filles pour qu'elles satisfassent tous tes plaisirs, tu payes, c'est le plus important. Ce petit business qui ne cesse de s'accroître dans les rues de la ville, la clientèle qui grandit de jour en jour, les responsabilités que l'on pose de plus en plus sur tes épaules. Tu es un lieutenant pour le compte de la mafia mexicaine, tu te dois de ramener des bénéfices aux tiens au risque de finir par manger des pissenlits par la racine.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Probablement mal, très mal même. T'as jamais été friand des relations longues ou des relations tout simplement. La seule que tu veux avoir auprès de toi, est la seule que tu ne peux pas avoir à tes côtés. T'es un homme solitaire qui satisfait ses besoins primaires en compagnie de femmes sans penser au lendemain, ça ne t'intéresse pas si ce n'est pas avec elle, mais c'est impossible, tu le sais, ça serait la mettre en danger, ça serait te mettre en danger, on le sait tous, tu es impulsif, un vrai molosse qui attaquerait jusqu'à sa propre mort s'il lui arrivait quelque chose.

Le dernier texto que tu as envoyé ?« Oui la chambre d'ami est libre. » Avant de poser ton téléphone sur la table basse et de t'en retourner occuper ton esprit en compagnie de la jeune femme qui t'accompagnait ce soir là. Tu ne pensais pas qu'il mettrait sa demande à exécution jusqu'à ce que tu le vois débarquer devant ta porte. Il était le meilleur ami de ton cousin décédé, il le considérait comme un membre de sa famille alors il compte aussi pour toi.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Où on est parle pas c'est tout aussi bien. T'as grandi entouré d'hommes et de femmes qui ne partageaient aucun lien de sang avec toi, c'est eux ta famille, eux qui t'ont fait grandir et qui ont prit les rôles de parents que les tiens n'ont jamais réussi à gérer. Bien plus que ton père qui a prouvé qu'il était un bon lieutenant mais un bien piètre père. Tu te poses d'ailleurs souvent la question d'avoir un jour des enfants, certainement que tu les aimerais bien plus que l'amour que te portais ton père décédé et ta mère veuve pas revue depuis 10ans et bien rémunérée par les hauts placés, pour le bon travail qu'a fourni feu monsieur Hernandez. Mais toi, t'es meilleur que lui, tu le sais et ils le savent.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Tu traines ici et là, bien souvent en très bonne compagnie. Tu places l'argent qu'ils te donnent en guise de rémunération afin d'assurer tes arrières et ceux d'une progéniture, un jour. Tu ne dis jamais non à un bon verre de téquila ou de rhum, un petit pétard roulé par la came que tu vends depuis de longues années. Tu ne montres pas ta richesse devant tout le monde, t'es assez discret de ce côté là et pourtant ton nom est connu, toi qui détient les vidéoclub 90's dans lesquels tu y as aménagé des bornes d'arcades, dans une ambiance « à l'ancienne » comme dirait l'autre. Tu cherches également à obtenir des parts dans un club lounge de striptease, le sexe, l'alcool et la drogue ça a toujours marché.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Quand tu étais plus jeune, tu avais un rottweiler prénommé Marco. Un chien que tu avais prit dans la rue. On te proposait de bons billets si seulement tu le faisais combattre et t'as accepté. La plus belle connerie de ta vie quand ce pauvre animal est décédé sous tes yeux, un spectacle horrible que tu n'as pas eu le courage de regarder jusqu'à la fin. Bête et stupide que tu étais, tu l'as enterré et t'as pleuré sa mort te promettant de ne plus jamais recommencer.

this session is gonna be different
Joanna ꕥ 28 ans
fréquence de rp : plusieurs fois par semaine, si je me suis pas noyée ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? clairement je marche au feeling, j'anticipe pas mes RP à l'avance (peut-être une idée principale mais après c'est roue libre), je favorise les RP "courts" histoire d'avancer à un rythme régulier mais après tout dépend du RP en question. ϟ avatar à réserver : Nekfeu  Tag marijuana sur I've got 99 problems 2881807329 . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Les petits pois sont rouges  sifle . ϟ comment avez-vous connu 99 ? c'est une joyeuse petite bande qui m'a montré le chemin  love . ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je marche vraiment au feelgood  Tag marijuana sur I've got 99 problems 3348919469 , je vais me plaire par ici, je le sens gros comme la Statue de la Liberté  Tag marijuana sur I've got 99 problems 3697710961
tumblr (gif) mok (avatar)

u say wot m8 ? - Sen Kovács

Invité
12 r ; 887 v.
Mar 2 Juin - 22:13
Senji Kovács
27 ans - Cinéaste
FEAT : Joji Sen il est né le 29 septembre 1992, à Buenos Aires, d'une mère japonaise professeure de mathématiques et un père hongrois informaticien. C'est lorsque sa mère a eu l'opportunité de venir travailler à New York, dix ans plus tard, que toute la petite famille s'est installée dans le Bronx.
Le petit Senji, il a d'abord eu du mal à trouver sa place, c'était le petit nouveau et en plus il était pas vraiment comme les autres, il était différent , il le voyait, et certains de ses camarades lui faisaient bien comprendre. En grandissant il a apprit a ne plus prêter attention à ceux qui lui reprocher sa différence et à se rapprocher de ceux qui l'appréciait.
Ce qu'il aime Sen c'est le cinéma et le hip-hop. Alors des fois il rappe, quand l'envie lui prend, mais surtout il réalise ou joue. Tout petit déjà il aimait se donner en spectacle devant la caméra de son père, a l'adolescence il a commencé réaliser des petites vidéos avec ses potes, d'abord toutes simples puis de plus en plus poussées. Puis grâce à une bourse il a pu étudier à l'école des Arts de Columbia et d'obtenir un Master of Fine Arts. Ces études finies et après quelques clips et courts métrages, il est s'est lancé dans l'écriture son premier long.
who am I
ꕥ âge : vingt-sept ans
ꕥ orientation sexuelle : hétéro
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : tu changes de casquettes comme de slip, réalisateur/vidéaste/acteur/rappeur tu fais un peu ce que tu veux, quand tu veux. Ahhh les joies de l'internet.
ꕥ quartier : Le Bronx bébé
ꕥ qualités : intelligent - créatif - débrouillard - franc - observateur - calme - drôle
ꕥ défauts : sarcastique - vulgaire - têtu - désinvolte - secret
ꕥ passions : {#}cinéma{/#} {#}sci-fi{/#} {#}comics{/#} {#}hiphop{/#} {#}musique{/#} {#}bières{/#} {#}nerd{/#} {#}gaming{/#} {#}tatouage{/#} {#}marijuana{/#}
ꕥ communautés : {#}elhalito{/#} {#}offthewallskatepark{/#} {#}cinemaduqueens{/#} {#}thelostplanet{/#} {#}thesaberistacademy{/#}
{#}rockyhorrorpictureshow{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ parrain : non, je devrais m'en sortir  keur

all about my player
ꕥ petite présentation perso : La première impression est toujours très importante donc il faut que je fasse ça bien. Surtout quand c'est la deuxième fois. Mais en vrai je vais vouloir trop en faire et ça va me saouler du coup je vais finir par faire a minima juste pour que ça passe. Technique qui ne fonctionne absolument pas comme le prouve mes trois premières années de fac. Et quand je dis ça j'entends vraiment que la première année...trois fois. What a Face
(Et aussi le fait que je sois allez retrouver ma fiche pour c/c cette partie)

Bref, j'ai 29 ans, et je me fais grandement chier. Du coup je me suis dit qu'il serait temps que je me remette au rp, avec cette fois-ci l'espoir de tenir un peu plus de 3 semaines ! J'y crois ! (après j'y croyais a chaque fois mais chut sifle  )
J'aime beaucoup le cinéma, la sci-fi en tout genre, les jeux de société, lire un livre tout les six mois et Wes Anderson.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Le Guide du voyageur galactique
ꕥ un film : Chevalier
ꕥ une série : Community
ꕥ une chanson : Attention - Joji
ꕥ un animal : L’ornithorynque (j'avoue j'ai pas réussi à l'écrire du premier coup)
ꕥ un plat/dessert : Les pâtes carbonara (mais avec de la crème dedans  hidebox )
ꕥ une boisson : Le thé
ꕥ une célébrité : Dave Burd
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : none

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les gens. Franchement, les gens m'énervent de plus en plus. Je veux dire, ça te coûte quoi de laisser sortir les gens du métro avant de sauter dedans ? De laisser la mamie qui a juste boite d'oeuf passer devant toi à la caisse ? Rien ? Bon ben voilà, fait le et arrête de casser les couilles. Ca me crispe au plus haut point, je vous jure. En dehors de ça, j'ai pas trop à me plaindre je dois dire

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). La clope je dirais, non pas que je fume comme un pompier mais bon je dois bien l'admettre j'ai essayer beaucoup trop de fois d'arrêter pour ne pas assumer que je suis accro. Mais je suis sur que la prochaine sera la bonne, c'est pas encore le moment par contre. Et puis il m'arrive de fumer un peu des choses plus naturelles aussi mais je ne sais pas si on pourrait parler d'addiction, c'est plus un petit plaisir personnel.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? En petit ghostage des familles. Attention j'en suis pas fier hein, mais c'est quand même beaucoup plus simple de faire le mort avant que les sentiments s'en mêlent plutôt que de finir par se faire larguer comme une merde au bout de deux mois, parce que clairement c'est ce qu'il se passe a chaque fois que je m'emballe un peu. Alors certes c'est pas très classe je le reconnais mais ca m'évite d'avoir à réécouter des trucs comme wherever you will go en déprimant pendant trois semaines après.

Le dernier texto que tu as envoyé ?"Non", pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple, efficace ? "Tu veux venir à cette soirée ou tu connaîtras pas grand monde, et la moitié sont relou ?", réponse "Non". Problème résolu. Et souvent ça clôt le débat.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ca va hein, imhotep. Alors c'est sur qu'il voudrait sans doute que je leur donne plus de nouvelles et que je vienne les voirs plus souvent mais que voulez vous, je suis un mec busy moi, genre dimanche prochain par exemple j'ai poney aquatique, déso'.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je me touche. Je me touche trop d'ailleurs, je pense qu'il faudrait que je réduise parce que j'ai lu dans un magazine que un peu c'était bien, mais que trop c'était pas bien. Alors j'essaye de réduire tu vois. A part ça, je vais voir des potes, je skate, je fais un peu de musique. Rien de bien fou quoi.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? La grosse rêche que je me suis prit en skate devant l'école quand j'avais 11 ans, je me souviens c'était un mardi. Il m'a fallu au moins 6-7 ans pour remonter sur un skate après ça.

this session is gonna be different
tuffninja ꕥ 29 ans
fréquence de rp : un à trois par semaine. ϟ fréquence de connexion : a peu près tout les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? moins de 500 je dirais pour commencer. ϟ avatar à réserver : Joji  cutie . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour. et cette fois-ci pour plus longtemps qu'un mois je l'espère  hidebox
tumblr (icon) childish (avatar)

damn hell dreamer.

Invité
26 r ; 1290 v.
Mar 7 Avr - 14:11
yorgos nikos
27 - barman
FEAT : zayn malik
t'es un impulsif, yoyo. et un sanguin. il n'est pas rare que tes poings s'écrasent contre les murs quand serrer les dents ne suffit plus à contenir ta colère. t'aimes pas être contrarié, tu détestes ça même et tu réagis très mal quand on ose. tu gueules plus que tu ne parles, tu sais comment te faire entendre et comprendre. t'as l'âme d'un combattant, mais aussi d'un minable toxico. t'es un homme loyal, avec un cœur d'or dans le fond, seulement t'es entouré d'une carapace de pierre brûlante. te toucher consume. t'es protecteur envers tes potes surtout mais aussi un peu avec tous ceux qui te sont chers. t'es un brin séducteur quand ton humeur s'y prête et souvent tu repars avec une nouvelle personne. t'es un peu dur, un peu macho parfois mais tu finis toujours par laisser sa chance à tout le monde. en revanche t'es rancunier et une fois qu'on t'as causé du tord, à toi ou à une personne qui compte tu n'oublies pas et le pardon tu connais pas. contrairement à ce qu'on peut s'attendre de toi, tu réfléchis beaucoup avant de parler et d'agir. t'étais peut-être pas un bon élève à l'école mais tu n'en restes pas moins intelligent et aussi très observateur. être bon enfant te connaît, tu n'hésites pas à sortir des répliques de dessins animés, et tes blagues laissent souvent à désirer. tu sais aussi être travailleur et sérieux quand la necessité est à l'assiduité. tu as des qualités que tu sais mettre à profit quand ça t'arranges mais tu imagines que tes défauts sont plus nombreux, eux. on dit de toi que tu dois faire attention à tes chevilles, un jour elles vont gonfler et tu te reconnaîtras plus dans le miroir. ouais yoyo, t'es prétentieux et t'aimes te faire mousser. t'as un grand ego, il est à la hauteur de ta fierté. t'es pas un gars méchant mais faut pas te chercher car tu pourrais facilement le devenir. t'essayes sans cesse d'évoluer, de changer, et pour l'instant, ça réussit partiellement. au moins quand tu parles, t'as un petit sourire. enfin.. quand t'es pas trop blasé.
who am I
ꕥ prénom, nom : yorgos on t'as ainsi appelé par caprice, ou alors par folie ; sous l'effet de son crack elle a accouché du beau bébé que tu étais, t'as assigné à jamais le premier prénom qui lui venait. nikos, nom ironique aux yeux de ton âme ; l'as-tu déjà vu, ce géniteur, en ouvrant les yeux sur le monde ? ta mémoire te trahit, tu ne te rappelle de rien d'autre que son absence cuisante
ꕥ surnom : déjà petit, ton prénom était pour toi ridicule à dire, tant il brûlait tes lèvres si l'envie te venait de l'épeler. t'as choisit la facilité tel que tu es ; deux syllabes, yoyo et des rougissements de honte pour le restant de tes jours.
ꕥ origines, éthnie : quittant son foyer après ta naissance à Héraklion, gravée au 14 décembre, ta mère vient s'installer à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Orléans, puis refait un autre voyage jusqu'à NYC, où elle daigne enfin à se poser, toi dans ses bras. aurais-tu pu être mieux là-bas ou ici, tu ne le sauras jamais ; américain, grec aussi, pas si fier que cela, tu oublies d'où tu viens en enchaînant parfois les pintes.
ꕥ âge : 27 étés arides, au vent pourtant doux, où tu vivait tantôt en plein désert, tantôt en courant au côtés des vagues. tu t'mettais torse nu face au soleil, le laissant te brûler si fort, si bien que ses rayons ne te font aujourd'hui plus que des caresses doucereuses. tu te dis immunisé face aux aléas du temps, mais au fond ton feu te consumera vivant.
ꕥ orientation sexuelle : pour toi, les conquêtes ne définissent pas ce que tu préfère. tant que tu ne trouvera pas ta perle, aucune case ne te correspond vraiment. tout dépendra d'elle, de lui, de cette personnes qui tu sais, partagera ta vie. mais tu sais aussi que tu n'y est pas près.
ꕥ situation : tu traines parfois dans les bars la nuit, quand t'es pas de service, félin à l'affut de sa proie. tu t'approche d'elle, et parfois de lui, charmeur, et l'on te comprend bien vite. mais jamais tu ne l'a emmenée chez toi. non, tu ne les laisserais pas t'approcher de si près. on ne te fera pas le coup du coup de foudre, t'es un célibataire, célibatard et sans remord tu le dis tout haut. les sentiments à la guimauve rose c'est pour les autres. tu toi tu fermes ton coeur et t'ouvres ta grande gueule.
ꕥ occupation : t'es passé partout, t'as tout fait, du concierge au garagiste, sans jamais trouver ta place. toi tu voudrais chanter à t'en casser la voix, gratter des cordes à t'en écorcher les doigts, mais manque de bol, tu te retrouves toujours là où tu n'aimes pas être, et, pour l'instant, tu te contente de chanter des berceuses aux beaux verres. barman va. tu pense pouvoir te débrouiller seul, tu le fais très bien et bien qu'ayant les moyens d'avoir plus, t'as ce qui te suffit pour continuer. alors tu étudies le jour, tu travailles la nuit, pour ne pas dormir seul dans ton petit studio d'étudiant, ou vivre de ton héritage.
ꕥ quartier : à NYC depuis tes 3 mois, sûrement pas le plus jeune bébé à voyager, mais à coup sûr le plus touché. t'as jamais voulu bougé depuis ce jour là, ta mère a éteins le peu d'âme de voyageur que t'avais. et depuis que t'es parti de chez elle, tu te terre à Brooklyn, au 30 bedford street, williamsburg - {#}hipster{/#} - voulant bien disparaître.
ꕥ qualités : loyal, travailleur, observateur.
ꕥ défauts : prétentieux, coléreux, impulsif.
ꕥ passions : l'art. dans toutes ses formes, et ses humeurs. la {#}musique{/#}, la {#}photographie{/#}, la {#}poésie{/#}.. même les tags sur les murs t'arrives à les trouver fascinant. et puis, ce n'est peut-être pas reluisant, mais l'herbe t'affriandes. la {#}marijuana{/#}, avec ses voluptes doucereuse, sa fumée chattemite. après y'a ta {#}moto{/#}, et sa vitesse libératrice, et l'adrenaline qui te prends quand tu l'enfourches.
ꕥ communautés : - {#}JADe{/#}, cursus musique. tu travailles fort pour ne pas puiser dans les fonds que ta mère met sur ton compte en banque chaque mois.
- The Outpost, où t'aurais aimé avoir un autre rôle. plutôt que de servir les alcooliques au bar, t'aurais bien aimé monter sur scène. mais bon, on ne possède pas toujours ce que l'on veut.
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oh ça oui keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :en vrai, je suis en train d'écrire cette description à peine réveillée, parce que j'ai totalement décalé mon sommeil. je m'ennuie un peu beaucoup et j'ai envie d'écrire un truc poétique sur moi, sauf que ça va paraître niais et je déteste être niaise. donc j'écris ça pour les stalkeurs de l'aprèm qui le liront en premier et pour les rêveurs qui se languissent et s'ennuient. donc me voici, dickens. pourquoi dickens ? si j'avais envie de me donner un air dark j'aurais dit à cause du diable, mais la vérité c'est que le diable me fait peur, l'enfer n'en parlons même pas. en fait, y'a longtemps j'avais lu olivier twist de charles dickens - oui, c'est un livre très bien - ça m'a plut et puis je l'ai gardé. donc voilà je suis une fille, j'ai 23 ans - je commence à vieillir, y'a même des rides qui apparaissent -, je suis étudiante - et je regrettes ma décision dans des moments.. comme maintenant - et j'aimes le poulet et les bananes. j'aimes pas l'avocat et je déteste les épinards, titeuf a beaucoup influencé mes goûts. je suis potterhead, harmonizer et camren shipper. d'ailleurs j'adores shipper tout le monde à tord et à travers. j'aimes lire - je lis littéralement tout - et j'essayes de convertir mon frère aux mots, mais ça marche pas vraiment. et enfin, je suis venue sur ce site parceque j'adores rp. voilà. j'ai tout dit. keur sur vous keur
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : diabolic de S.J.Kincaid
ꕥ un film : to the bone de Marti Noxon
ꕥ une série : prodigal son de Chris Fedak et Sam Sklaver
ꕥ une chanson : the stigma - boys don't cry de As it is
ꕥ un animal : une panthère
ꕥ un plat/dessert : une crème brûlée à la vanille
ꕥ une boisson : un malibu sunrise
ꕥ une célébrité : lauren jauregui, ne serait-ce que pour ses yeux
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : les scènes d'agressions sexuelles. ce terme même me donne des frissons. à part cela, je suis capable de lire à peu près tout, même si écrire certaines choses peut m'être difficile.

that's my story / self diagnosis
en vrac - (poupée en chiffon, marionette de tes voiles) fut un temps où t'étais au fond du trou, malade de ta vie. adolescent à peine diplômé, perdue dans son existence, sans personne à qui s'accrocher. fallait qu'on t'aides, fallait qu'on te remarques. puis cette musique est arrivée, sauveuse. t'as remonté la pente lorsque l'orphéon entra dans ta vie. tu débutas par le chant,commençant par valser ta voix au rythme des mélodies que t'entendais le soir dans les bars. tu enchaîna en apprenant à te servir d'une guitare, à gratter ses cordes et à taper sur une batterie, plus violemment que tu ne tapais des poings. t'as appris que la vie n'est pas si triste lorsqu'on prend la peine de la vivre pleinement, en rajoutant à son blanc taché de gris et de noir, un peu de couleurs vive, de bonnes aubades, d'amis bien choisis.
(tes peurs et tes névroses, fleur fanée qui danse au vent) t'es astraphobe mon gars. t'as peur du caractère incontrôlable et destructeur du tonnerre. tu deviens presque hystérique le soir, seul, lors d’un orage et tu te caches en tremblant sous ta couette. t'as une telle peur de la lumière qu’tu préfère vivre la nuit. mais tout ça personne ne le sait, personne n'est là pour t'aider. en même temps, t'es pas si douée pour monter tes faiblesses. t'as honte d'être ainsi. tu te contentes donc de te serrer contre ton chien, espérant les tumultes diluviens passent enfin.
(pile vers ton coeur, passé la barrière de l'épiderme) t'es tout en couleurs. des tatouages dessinés partout sur le corps. une oeuvre d'art quand tu marches sur le sable d'une plage. ils sont tellement beaux, mais tellement significatifs. t'es pas le genre de personne à te tatouer sur la peau à jamais, tout et n'importe quoi, sur un coup de tête. l'on croirait bien, mais non. quand tu souffres, quand t'es triste, tu met sur ta douleur des mots et sur ces mots des images, tu dessines, tu peints au fusain et tu t'amène chez ton tatoueur préféré. ces dessins retranscrivent ton histoire. floue certes, compliquée peut-être mais sincère. tu craches sur ceux qui te pointent du doigts derrière ton dos, sans te connaître. t'aimerais juste leur dire, à ta mère, à ce monde de fous, qu'avant de juger, faut venir lire. les mots sur ta peau.
(époque de folie, tes yeux cachent le noir de tes nuits) ton carnet d'adresse est bien garni, les potes t'en manques pas, mais tu voues une une place particulière pour ton coiffeur. c'est bon c'est certifié, t'aimes la folie. mais pour toi, changer de coloration de cheveux tout les mois n'en est pas vraiment. toi tu trouves que chaque couleur représente le nouveau départ que t'essayes désespérément de prendre à chaque fois. ouais, t'es un petit sensible quand ton humeur est à la poésie. te regarder différent dans le miroir, te fais sentir différent au plus profond de ton cœur. et puis, comme toujours, pour ceux qui grincent des dents, un petit majeur. t'aimes pas rester discret, toi t'aimes te faire remarquer. te démarquer des autres, t'as toujours su le faire, même avant, même avec ces vêtements miteux. oui, même avec du rose sur la tête, tu restes ce mec charmant, dangereux, que l’on désire approcher mais dont on sent la froideur.
(battement cardiaque pseudo-palpitant, ecchymose à vif) ta tête est tout le temps en bataille. non pas à cause d'une quelconque mode de mèches coiffées-décoiffées, comme tout le monde a l'air de croire. plutôt à cause du nombre de fois où tu passes ta main dans tes cheveux. était-ce nerveux, tu n'en sais rien, tu ne te contrôle même pas. mais bon ça t'arrange tant que l'on affirme qu'ça t'ajoutes un côté sauvagement sexy. tu pinces tes lèvres, tu passes un doigt sur ta mâchoire et des fois tu lances des clins d'oeil à tout va. tu fais des trucs stressants et tu ne t'en rend pas compte. grand hyperactif que tu es. tu tapes des phalanges sur la table, tu bouges tes genoux en fonction du rythme éléctro qui se joue dans ta tête. ta vie est rythmée, rythmique, contrôlée par une mélodie qui ne s’arrête jamais.
(la dope comme seul moteur, lumière tel la marée basse) ça ne te plaît pas forcément mais t’es toxico. les lèvres bleues, le teint blanc quand t’es en manque. des cernes plein les yeux quand tu emplis tes insomnies de ces odeurs libératrices de la drogue. t’as tout essayé. du shit à la coke, t’as tout insurgité mais rien ne va, rien ne marche. même au bord de l’overdose, t’arrive pas à dormir, t’arrive pas à te lâcher. t’es insomniaque et peut-être que c'est bien pour ça que t'as commencé avec ces racailles au lycée. ça fait si mongtemps, mais rien ne change. c'est sûrement ta plus belle erreur. tu sors la nuit, tu te bourres la gueule au maximum, mais tu reste là, tu restes conscient, jamais ivre mort, on te croirait immunisé. tu titubes dans les rues, tu pues l’alcool, tu pues le crack, mais les gens vont vers toi, tes potes t’entourent. t’aimerais pourtant juste leur crier dessus de dégager, de te laisser tranquille. mais tu ne peux pas, car t’as peur de rester seul. encore. même dehors. mais tu consultes une vieille psy deux jours par semaine, la psy que tu considère comme une bonne tante, comme une épaule contre laquelle t'avachir. la seule qui daigne à te répéter que ça va aller.
(sentiments qui fument à vif, et boom, coeur qui s'agite) t'aimes pas l'amour, toi le grand poéte, toi le musicien passioné. t'aimes pas les films à l'eau de rose, les films de noël, les comédies musicales. ces films où ils se foutent des gens à ton avis. où on tombes amoureux sous les flèches de cupidon, comme des merdes. y a plus qu'ils vomissent des licornes. pour toi, quand tu tombes t'as mal. amoureux ou pas. un coup de foudre, ça électrocute, ça brûle, ça tue. des flèches, ça transperce, ça fait saigner. aucune chance que ça te fasse bu bien. est-ce par réalisme ou par fatalité, tout cela t'horripile. t'es hanté par l'image d'un père absent, d'une mère devenue négligente dès son remariage avec ce bourge, d'un amour inexistant. tu ne perçois pas la vie d'une autre façon. les couples que tu vois dans la rue, les petites familles, tu les regardes mal. ils te font mal. mais tu persistes à dire que t'es pas jaloux.
(tes désirs ont pris le dessus, mais un jour tout s'en va) t'as arrêté les études, un temps. t'aurais pu continuer depuis le début, mais penser à la dette que t'auras envers ton beau-père te fit renoncer. ta mère disait medecine, son mari disait droit, mais toi, tu voulais faire de la musique, des notes, des mélodies. alors t'es parti, tu les a abandonné, pour vivre tes rêves loin du poison qu'ils représentaient. tu regardes ici et là, tu va à droite à gauche, tu te trouves de quoi vivre, et tu vis. pleinement. pas le temps aux économies, elles partent toutes à juilliard. tu t'es acheté une moto, t'as passé ton permis, tu sillonnes la ville en tes jours de congé, de vacances, sans t'arrêter. tu te balades en deux roues noire, rutilante, cuir sur les épaules, cuirasses aux jambes. tu veux t'épuiser. mentalement, physiquement. pour reprendre ton travail au top de ta forme en voyant à quel point les dimanches, ça craint. mais tu trouves pas ta place. t'es barman, et tu te forces à aimer. mais ce que t'aimes vraiment c'est ces soirées, où, enfin bourré, tu chantes pour le monde, pour les bars, pour les boites, tu fais le DJ, le guitariste, le batteur, la voix, et finalement t'es bien payé, pour tout ça. c'est ce que t'aimerais faire, mais on te lances toujours un seau d'eau froide à la gueule. vivre de ta musique est dur, que tu sois ou non un grand passionné.
(t'as marché droit, malgré tes sentiments qui titubent) regardes-toi dans le miroir, vois-tu toujours la même image ? celle que tu voyais chaque soir avant de sortir de ton cocon. oui tu voyais ton reflet, énervé, névrosé, sanguin. tu voyais aussi ton ombre derrière, démon refoulé, mutilé. tu voyais plus loin derrière ton lit, les draps froissés, froids. ton placard collé au minuscule plan de travail de ta cuisine. le frigo ouvert où se collaient quelques bières. ton bureau où se mêlaient plusieurs feuilles de cours, plusieurs journaux que tu noircissais d'encre, assis sur ta chaise en bois, où trônait sans scrupule une guitare, penchée, sur le point de tomber. la porte de ta salle de bain ouverte sur l'eau qui coule de la baignoire dont tu laissait le soir le robinet ouvert sans même t'en rendre compte, ton parquet inondé, tes vêtements en tas de merde par terre, mouillés. et tu sais que tu finiras par nettoyer négligemment, la poudre blanche qui se mélange au liquide transparent.
(relation épistolaire, une nuit t'as oublié de vivre) mais voilà qu'aujourd'hui, c'est pas ton miroir en face de ton lit que tu fixes en te réveillant, c'est des cheveux blonds qui recouvrent ton nez, te chatouillant, te faisant éternuer. tu la vois sous ses couvertures  respirant régulièrement, et tu te bornes à vouloir te rappeler de son prénom. encore une autre sans valeur, dont l'identité t'échappes. des bouteilles d'alcool vides ornent le sol, et tu lèves rapidement en prenant tes vêtements jetés plus loin. tu évites les mégots écrasés sur le carrelage, de tes pieds nus, et sors ainsi. torse à peine recouvert par ce tissu déchiré, chaussures perdues que tu n'essayes même pas de retrouver, tu démarres ta moto et te casses, voulant juste t'éloigner.



this session is gonna be different
dickens/lela ꕥ 23 ans
fréquence de rp : moyennement rapide, c'est selon mon inspiration. ϟ fréquence de connexion : presque chaque jour, et si ce n'est pas la journée ce sera au moins le soir. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris moi-même en moyenne vers les 1000 mots, mais cela dépend en grande partie de mon partenaire. ϟ avatar à réserver : zayn malik. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge et brin ambré avec une petite touche azurite.. je suis sérieuse T-Tϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, par hasard  keur ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est vraiment trop beau ici cute
tenor (gif) kane (avatar)

Sauter vers: