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8 résultats trouvés pour mode

Mi-Cha Lee, acteur de la fourmilière New-Yorkaise.

Invité
12 r ; 483 v.
Sam 6 Mar - 23:28
Mi-Cha Lee
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=829}Mi-Cha Lee{/@}
24 ans - Journaliste junior mode x culture / GQ Magazine
FEAT : Eunwoo Cha
Fils de Kang-Dae Lee (Coréen et co-rédacteur en chef du magazine GQ Korea) et de Yu-Ri Gordon (Américaine), Mi-Cha a suivi de brillantes études avant de déménager aux USA pour suivre le cursus journalisme de Harvard. Son master en poche en 2020, il intègre, sous l'influence de son père, la rédaction de GQ magazine à New York. C'est le destin qu'on lui a tracé, mais son asociabilité freine son épanouissement sur le plan personnel. Bien qu'il n'en ait pas tout à fait conscience pour le moment, Mi-Cha ne sait pas communiquer et n'a jamais appris à s'amuser. Taciturne, froid et en dehors des réalités, un long parcours se dessine pour réaliser que la vie lui réserve d'autres surprises. Espérons que des rencontres marquantes lui apprendront à sourire !
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Coréano-Américain.
Orientation : A priori hétérosexuel.
Situation : Célibataire endurci, il n'y a que le travail qui compte.
Occupation : Rédacteur junior mode x culture à GQ Magazine.
Quartier : MANHATTAN.

and what else ?
Qualités : Rigoureux, cultivé, observateur.
Défauts : Solitaire, snob, robotique.
Passions : {#}mode{/#}, {#}cuisine{/#}, {#}chats{/#}.
Communautés : Le Gotha / Le Park Avenue Plaza






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Toutes ces choses ordinaires de l'existence qui ne me parlent pas et qui font entrave à mes interactions sociales. Par exemple, il parait que dans la vie il faut savoir "prendre le temps", or c'est un concept qui m'est étranger et que je n'envisage pas. Je n'ai pas le temps; la vie est trop courte pour achever ses desseins et se payer le luxe de "prendre le temps", ça me semble être d'une logique implacable. Ah, et le "vivre ensemble" aussi. C'est quelque chose qui m'échappe. Il me semble qu'on trace sa route seul, qu'on gravit les échelons seul, et qu'on finit par crever seul. S'il y a possibilité de faire un bout de route ensemble, pour peu qu'on empreinte le même chemin au départ, alors j'ignore comment. Je suis professionnel, diplomate, je dis ce qu'il faut quand il faut, et je rentabilise mon temps. Ni plus, ni moins. Ce sont des traits de ma personnalité qui, pour une raison obscure, pèsent souvent ceux qui papillonnent autour de moi. Ca les interroge, et ça me vaut fréquemment quelques outrageuses messes basses et autres regards curieux. Sachez que si vous me dites que j'ai un problème je vous répondrai qu'être différent de vous ne fait pas de moi quelqu'un d'anormal. Mêlez-vous de vos affaires, vous vous en porterez tout aussi bien.

Une addiction à déclarer ? Le café, mon smartphone, mon ordinateur, mon agenda; tous rythment inlassablement ma journée.

Comment s’est terminée ta dernière relation ? Mal. Ce fut l'unique, un véritable fiasco qui a duré 3 mois à l'université. Je n'ai pas su donner ce qu'on attendait de moi, c'était préférable d'en finir pour le bien des deux parties. Quant aux relations amicales, je ne crois pas en avoir véritablement connues. J'ai eu des relations opportunistes, rejoint des clubs d'entraide, d'écriture, et d'étude pour poursuivre le même goal que ses adhérents, mais en dehors de ça... Je sèche. Je crois que le commun des mortels me trouve trop taciturne et avare de parole pour vouloir se rapprocher de moi, et ça me va très bien. On me dit froid et hautain alors qu'en réalité je pense que c'est juste du désintérêt de ma part parce que j'ai toujours mieux à faire, voilà tout. Peut-être que j'ai une "resting-bitch-face" qui me fait défaut, qui sait ? En tous cas si je devais m'impliquer émotionnellement ou de quelque manière que ce soit avec quelqu'un, honnêtement je ne sais pas comment je serais. Ce serait une situation inédite où je me découvrirais sans doute des traits de caractère inattendus. Serais-je possessif ou déraisonnablement impulsif à cause de mon manque de repère dans le domaine ? Peut-être. Traiterais-je mes relations de la même manière que je poursuis mes projets professionnels ? Avec obsession et acharnement, comme s'il n'y avait pas de place pour la demi-mesure, effaçant tout le reste autour ? Peut-être... Mais espérons que non. On est tous d'accord pour dire que ça serait une très mauvaise idée ? Bien. Ca ne sert à rien de mentir, c'est clairement le sens du relationnel qui pêche chez moi, et c'est précisément ce point qui m'ennuie le plus dans mon boulot, ce que déplore fortement mon père. Au fond, je n'ai que faire des déjeuners mondains et autres parades édulcorées, mais je joue maladroitement le jeu parce que ça fait partie du contrat. C'est comme ça que ça marche. Alors ne m'en demandez pas trop avec les relations romantiques s'il vous plait, merci.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Je vous envoie le compte-rendu par mail à 10H pétantes."

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Mon père contrôle ma vie et je ne proteste pas. Il en a toujours été ainsi, pour mon bien et pour honorer son nom. Quant à ma mère, ça fait 10 ans qu'elle a refait sa vie avec un courtier en bourse avec qui elle a eu trois filles. Puisqu'elle vit à New York il m'arrive de la voir autour d'un dîner une fois tous les 36 du mois. Financièrement elle est là. Mon père aussi d'ailleurs. C'est grâce à eux que je jouis d'un appartement luxueux dans les beaux quartiers, et si vous voulez mon avis j'ai bien trop d'espace pour moi tout seul. Il est clair que je suis privilégié, je ne me plains pas. Je n'ai pas le droit de me plaindre, de penser autrement, ou de voir les choses sous un autre angle. Tout est déjà planifié, acté ou sur le feu. Merci papa / maman. Que dire d'autre ? C'est sans surprise avec mes parents que j'ai passé une enfance aisée en Corée du Sud jusqu'à ce que leur divorce soit prononcé et que ma mère retourne en Amérique, d'où elle vient, pour fricoter avec son courtier en bourse. J'avais 14 ans. Trois ans plus tard, je la rejoignais pour effectuer mon cursus journalistique à Harvard. La double-nationalité héritée de celle-ci a rendu ce projet évident. J'ai donc eu une éducation stricte, entre deux pays, j'ai appris l'ambition, les bonnes manières, la force d'esprit, et aujourd'hui j'en suis là; rédacteur junior à GQ magazine. Et si vous dites que ce parcours m'a été facilité par la réputation internationalement écrasante de mon père, rédacteur-en-chef de GQ Corée, je dirai que vous avez probablement raison. Je suis ses traces. J'ai pour mission de le rendre fier, d'arriver en haut de la hiérarchie et d'assurer son héritage sur les terres américaines. C'est écrit. Fort heureusement, la culture et la mode sont ma tasse de thé. Enfin je crois.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je travaille encore plus. Et quand je ne travaille pas, il m'arrive d'assister à des défilés, feuilleter les magazines concurrents (mais c'est encore un peu le travail), cuisiner des plats typiques de chez moi, ou, en dernier recours, ouvrir un livre. Pas de la fiction, plutôt un ouvrage qui me permettra d'apprendre quelque chose ou d'aiguiser mon sens critique.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'ai 24 ans et je suis toujours puceau. Il parait que ça craint ici mais là d'où je viens ce n'est pas si incongru. Ne vous apitoyez pas sur mon sort, je le vis bien. En fait je n'y pense même pas, ça ne m'intéresse pas. J'ai déjà éprouvé de l'attirance envers des femmes mais on peut remercier mon éducation d'avoir su me transmettre des préoccupations suffisamment prenantes pour m'éloigner de toute forme de distraction ou aspiration romantique. Ce dernier point a l'air bien trop engageant au quotidien, voire usant. Enfin si, justement, il y a eu cette relation de trois mois à l'université pour me le prouver... C'était curieux de voir à quel point j'étais dépassé comparativement au sang-froid qui m'anime lorsque les échanges sont strictement professionnels. C'est bien simple, je ne savais pas comment me comporter, comme s'il fallait me forcer et faire tout un tas de concessions qu'il me coûtait d'opérer. Bref, on ne va pas revenir là-dessus, ça n'a de toute évidence pas marché. Ne vous méprenez pas ceci dit, j'ai un plan. Je veux me marier et je veux des enfants (un jour). C'est une vie qui me fait de l'oeil mais ce n'est pas pour tout de suite.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Lou
Age: 30 ans
Avez-vous des triggers personnels ? La violence animale
Avatar à réserver : Eunwoo Cha
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Boulet
Souhaitez-vous un mp d'intégration Je prends !

Elio | All truly famous people wish fame had a switch

Invité
12 r ; 506 v.
Sam 26 Déc - 15:36
Elliot Edelman
small daddy issues
ID CARD
@”Elliot Edelman"
35 ans - Chef d’entreprise, showman, producteur
FEAT : Regé-Jean Page
Elliot est un jeune homme de 31 ans qui a fait des études dans une école de commerce réputée de New-York. Quelques années après avoir obtenu son diplôme, il fonde sa propre boîte, une agence de relooking et de coaching personnel pour les gens qui rencontrent des difficultés. Très rapidement, sa notoriété s’accroit, notamment par les réseaux sociaux ; son agence s’étend et il est contacté pour animer sa propre émission de relooking et de coach de vie. Son agent a alors l’idée de génie de redessiner complètement sa personnalité pour ses passages à la télé ; de jeune homme posé, réfléchi, presque réservé, gentil et à l’écoute, il dégage l’image d’un homme dur et sûr de lui, aux critiques acerbes et aux punchlines sévères. Ce dédoublement de sa personnalité lui cause des difficultés dans la vie de tous les jours, mais sa notoriété, qui ne cesse de s’accroître, dépend grandement de l’image qu’il renvoie. Dans la vie, avec ses proches et ses amis, Elliot est un jeune homme attentif et prévenant, loyal, très porté sur les luttes de son temps, le féminisme, l’écologie, l’égalité, les luttes contre les inégalités... Ce qui rend son dédoublement encore un peu plus complexe.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Il est de nationalité américaine.
Ethnie/origines : Sa mère est née en Rhodésie du Sud, à l’époque, et a été adoptée par ses parents, diplomates britanniques. Son père est américain.
Orientation : Bisexuel  
Situation : Célibataire, sa dernière histoire s’est mal terminée, sa fiancée l’a quitté car elle ne supportait pas la gestion de sa "célébrité".
Occupation : Chef d’entreprise, animateur, producteur.
Quartier : le Queens

and what else ?
Qualités : Intelligent, attentionné, réfléchi
Défauts : Réservé, pudique, discret
Passions : {#}mode{/#} {#}bien-être{/#} {#}photographie{/#}
Communautés : The Outpost, Best Friends live saving center






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Gérer la célébrité ? Ca fait terriblement arrogant, non ? Mais en réalité, c’est un peu son plus gros problème du moment. Gérer la notoriété, la réputation qu’il a, les obligations qu’on lui impute avec les réseaux sociaux, le caractère qu’on lui prête, les listes d’attente de gens qui veulent devenir les nouveaux clients de l’agence... Tout ça n’est pas toujours simple, d’autant que lui est plutôt du genre réservé, à l’origine.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Les réseaux sociaux sont effectivement une addiction bien ancrée dont il a du mal à se débarrasser. Toujours à l'affut de la vie des autres, des dernières tendances, des remarques qui pleuvent sur son Agence ou sa façon d'être / de faire, il a tendance à regarder un peu trop souvent son smartphone (d'ailleurs, aucune batterie ne lui résiste vraiment et il est contraint de se balader avec des chargeurs partout, de sa poche à sa voiture). Plus généralement, Elliot est très friand de technologies et de tout ce qui permet de s'amuser derrière un écran. Sinon, il dispose d'une addiction discrète mais néanmoins existante à la cigarette, au café, au thé, et aux voyages. Il adore voyager.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Par un jet de bague en pleine figure de celle qui a longtemps été sa petite-amie - et un peu moins longtemps sa fiancée. Ils étaient censés se marier, mais les plans ont changé quand elle a décidé qu'elle ne supportait plus ses changements d'humeur et de comportement récurrents. Elle a rompu leurs fiançailles et a failli mettre à mal la réputation d'Elliot sur les réseaux sociaux, se ravisant de justesse en mémoire de leurs belles années passées ensemble. Depuis, ils ne peuvent pas se croiser sans se crier dessus, ce qui cache sans doute une profonde affection frustrée, cela dit.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "J’arrive, je suis en route" en sortant de la douche.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elliot s’entend très bien avec ses parents, bien qu’ils soient séparés et assez différents l’un de l’autre. Il partage avec sa mère le goût du voyage, la curiosité de ses racines et un intérêt assez prononcé pour l’histoire ; avec son père un certain sens du business et une affection pour les animaux et les livres. Sa famille est très importante pour lui, elle représente un cadre sécurisant au sein duquel il se sent en sécurité, lui-même et bien.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Il lit, il voyage quand il peut, il fait du sport, apprécie une sortie de temps en temps... Une vie somme toute assez simple, mais qu’il aime animer pour ne pas être trop seul. Parfois, la solitude lui fait du bien, parfois elle l’angoisse. Il est aussi très tourné vers sa famille, à laquelle il rend visite plus que régulièrement. Il cuisine, aussi, et adore toutes les activités DIY qu’il peut trouver ou auxquelles il peut participer. Il fait aussi beaucoup de photographie.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il lui est déjà arrivé de prétendre qu’il avait un frère jumeau, pour se sortir de situations délicates lorsqu’il sortait et qu’on venait l’aborder pour lui parler de son agence ou de son émission. Il s’est même déjà fait insulter par un groupe de passants en raison de la personnalité qu’il arbore quand il enfile sa casquette de chef d’entreprise - dans ces moments là, en général, il s’en sort par la voie des lâches, en prétendant qu’il n’est pas l’homme auquel les gens s’adressent...



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Cha / Bohemian Rhapsody
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Nope, mais je préfère qu’on me contacte avant d’aborder des sujets qui peuvent potentiellement être graves ou triggering avec mes persos.
Avatar à réserver :  Mathias Lauridsen
Crédit avatar utilisé dans la fiche: valruna (tumblr)
Souhaitez-vous un mp d'intégration Nope c’est bueno love

good karma, my aesthetic

Invité
13 r ; 407 v.
Mer 25 Nov - 18:00
Ava + Braga
just small daddy issues
ID CARD
{@=769}ava braga{/@}
23 ans - Influencer & Model
FEAT : Barbie Ferreira
23 ans & toujours accrochée à son téléphone portable, Ava on la remarque avant tout grâce à son sourire. Influenceuse, mannequin, en charge de sa propre vie, elle n’a jamais laissé la pseudo-célébrité lui monter à la tête et elle garde les pieds sur terre. Bisexuelle, elle défend aussi bien la cause LGBT+ qu’elle dénonce les inégalités de l’industrie de la mode. Plus size model à l’esthétique soignée, son poids ne la définit pas et elle s’accepte telle qu’elle est, ayant déjà passé des années à batailler avec une mère soucieuse de la voir perdre du poids et d’avoir enfin la fille parfaite. Mais plus que tout, Ava vous le dira, elle est heureuse, s’engageant dans chacun de ses projets à fond, avec le sourire, trouvant même le temps pour promener son chien (Pluto) et ses séances de yoga quotidiennes.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : Origines Brésiliennes, ton nom de famille le réflète même et ce même si certains l’oublient.
Orientation : Bisexuelle sans absolument aucun complexe.
Situation : Célibataire, par choix, tu as beaucoup de chemin à faire dès que les relations avec un grand R sont concernées, il paraît que tu es trop occupée.
Occupation : Influencer, tu n’es pas vraiment fan du titre, tu passes ta vie en ligne à poster des photos de ce qui te passionne et plus important, parler de ce qui te fait sourire. Tu es également mannequin et depuis peu co-host d’un podcast, Fat Gals Talk, avec Reagan Schuyler.
Quartier : Manhattan

and what else ?
Qualités : Toi, tu aimes bouger et tu fourmilles tout le temps d’idée. Créative, qu’il s’agisse de mettre au point la tenue du jour ou trouver une nouvelle façon de redessiner tes sourcils, tu es une personne visuelle et tu ne prends pas juste des photos avec ton smartphone parce que tu es jeune. Curieuse, tu mets un point d’honneur à t’informer sur les sujets que tu ne connais pas et surtout qui peuvent t’aider à mettre à l’aise tes interlocuteurs. Sociable, tu as le sourire facile et toujours la bonne blague pour détendre l’atmosphère et donner l’impression que tu connais tout le monde depuis une dizaine d’années, quand c’est loin d’être le cas et tu traites tout le monde à la même enseigne, toujours bienveillante envers tes proches et tes amis. Si tu n’as pas le temps de faire des apparitions en personne, alors tu vas bombarder les gens de message, de smiley et meme plus que clichés mais toujours dans le but de faire sourire et même rire. Indépendante enfin, tu as appris à l’être et ce assez rapidement vu la relation assez tendue avec ta mère, l’argent n’a jamais été un problème pour toi mais ce n’est pas pour cela qu’il ne faut pas être un minimum prudente, pas vrai ?
Défauts : Et justement, on pourrait te reprocher d’être trop prudente parfois. Si tu es perfectionniste quand il s’agit de ta vie professionnelle, dans le privé tu es méfiante à souhait et il faut avoir le coeur bien accroché pour se faire une place dans ta vie, que ce soit temporairement ou même de façon permanente. C’est quelque chose que l’on t’a déjà reproché par le passé mais c’est un mécanisme bien ancré en toi, plutôt être seule que mal accompagnée... c’est ce que dit le dicton et beaucoup de tes relations amoureuses se sont soldées par des échecs à cause de toutes tes précautions. Sans compter le fait que tu es rancunière à souhait, tu possèdes une bonne mémoire malheureusement alors si tu te souviens souvent des hauts, les bas restent et font beaucoup plus mal que le reste. C’est bien pour cette raison que les choses sont encore tendues avec ta génitrice et ce malgré la distance que tu as mis entre elle et toi. Mais elle a bien dû mal à reconnaître sa petite fille parfois, certaine de ne pas avoir élevé quelqu’un d’aussi bavard et grande gueule, oui, ta célébrité ce n’est que du vent mais parfois, tu te laisses porter par ton nombre de followers et tu en oublies ta place. Cela ne dure jamais bien longtemps et c’est sûrement parce que tu es une grande workaholic, bien incapable de décrocher.
Passions : {#}chien{/#} - {#}mode{/#} - {#}instagram{/#}
Communautés : Los Latinx - The Lift - LGBT+ center - Best friends lifesaving center






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : malibu  Tag mode sur I've got 99 problems 2881807329
Age: 28 ans  hidebox
Avez-vous des triggers personnels ?  abus émotionnels et physiques, acte sexuels non-consentis.
Avatar à réserver : Barbie Ferreira
Crédit avatar utilisé dans la fiche: thisoldrubyrider (tumblr)
Souhaitez-vous un mp d'intégration alors là je dis oui, c’est un super bonne idée  uuh  uuh  uuh

la lune rousse ((sawyer))

Invité
19 r ; 412 v.
Mer 2 Sep - 10:04
sawyer kang
23 ans - étudiant
FEAT : park jimin
fils d'immigrés coréens ayant fait fortune dans l'import-export, sawyer naît et grandit à new york dans un environnement privilégié malgré une santé un peu fragile. garçon sans histoires, on lui reproche toutefois son manque d'ambition et d'intérêt à reprendre les affaires familiales. lui-même ne sait guère pourquoi il est là, ne nourrit aucun rêve particulier et se contente de suivre sans enthousiasme la voie qu'on lui a tracée, ce qui cristallise les tensions avec sa brillante petite soeur aux dents longues. il est en couple depuis six mois avec aelynn park, son phare au milieu de la nuit; une lumière qui risque de bientôt s'éteindre.
who am I
ꕥ âge : 23 ans
ꕥ nationalité : américaine
ꕥ ethnie/origines : coréennes
ꕥ orientation : hétérosexuel a priori
ꕥ situation : en couple avec aelynn park
ꕥ occupation : étudiant en deuxième et dernière année de mba à columbia business school
ꕥ quartier : upper east side, manhattan
ꕥ qualités : réfléchi, indépendant, attentionné
ꕥ défauts : rancunier, susceptible, passif
ꕥ passions : {#}mode{/#} {#}art-martiaux{/#} {#}marcher-dehors-la-nuit{/#}
ꕥ communautés : columbia university
ꕥ scénario/pré-lien : inventé
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ mp d'intégration : non merciii

all about my player
ꕥ petite présentation perso : il m'arrive de manger mexicain avec une certaine personne ici présente  Tag mode sur I've got 99 problems 3974363061  

petit portrait chinois
ꕥ un livre : pride and prejudice, jane austen
ꕥ un film : the wolf of wall street
ꕥ une série : how i met your mother
ꕥ une chanson : bts - spring day
ꕥ un animal : chaaaat
ꕥ un plat/dessert : des pâtes
ꕥ une boisson : de l'eau
ꕥ une célébrité : emma watson
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : aucun en particulier, après si on peut éviter les mauvais bails du genre inceste et pédophilie, ce serait pas plus mal.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? sans aucun doute la pression familiale que tu subis pour te faire reprendre le flambeau de l'entreprise fondée par ton père il y a plus de trente ans déjà. l'idée que tu puisses vouloir faire autre chose de ta vie ne leur a probablement jamais effleuré l'esprit, et quand bien même ce serait le cas, ils ont simplement décidé de ne pas te laisser le choix. l'autre paramètre, c'est le fait que tu n'aies pas la moindre idée de ce que tu pourrais faire sinon. alors te voilà à étudier à columbia business school bien que tu n'aies jamais eu le moindre intérêt pour ce domaine. pourtant ta petite soeur est celle qui serait la mieux placée pour succéder à votre père. brillante élève, ambitieuse et avec un talent inné pour le commerce et les négociations, son seul défaut au final est de ne pas être un garçon.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). le café très certainement, étant donné que tu ne peux commencer une journée sans ta tasse bien corsée, sans sucre. tu aurais tendance à dire que tu n'es pas accro à ton téléphone portable quand tu te compares à certains énergumènes qui ont leur nez collé dessus en permanence, mais force est de constater que tu ne peux pas non plus te séparer de ton iphone plus d'une demi journée, voire une journée entière si tu es vraiment bien occupé. pour terminer, tu devrais probablement signaler ta tendance à acheter bien plus de vêtements que ce dont tu as réellement besoin. tes placards débordent de pièces que tu n'as jamais portées. donc non, être shopping addict, ce n'est pas réservé aux femmes.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? pas très bien pour être honnête, c'est ce qui se passe généralement quand une fille vous confesse ses sentiments et que ce n'est pas réciproque. tu avais beaucoup d'affection pour elle, mais il manquait quelque chose pour te faire basculer comme elle l'avait fait. être désolé pour elle ne changeait rien, les cris et les larmes non plus, et vous avez fini par vous séparer sans garder contact. pour être sincère tu l'as très rapidement oubliée car tu as rencontré aelynn peu de temps après. c'est là que tu as réellement compris ce que ça voulait dire "être amoureux". et cette relation-là, t'espères bien qu'elle ne se terminera pas.

Le dernier texto que tu as envoyé ?« à tout à l'heure bébé. » quand tu y repenses, tu n'aurais jamais cru possible que tu deviennes aussi mielleux, aussi niais. et pourtant. aelynn a su tout renverser sur son passage, remettre en question tes fondements, te faire changer tes habitudes. elle te fait découvrir des choses que tu ne savais pas exister, vivre des émotions que tu n'avais jamais ressenties auparavant. chaque jour semble être une nouvelle aventure avec elle et pour la première fois de ta vie, tu te sens réellement vivant quand tu es à ses côtés. pourtant sur le papier vous êtes deux opposés. c'est peut-être justement pour ça que cela a si bien fonctionné entre vous dès le début. deux âmes complémentaires, qui ont su se trouver pour mieux s'aimer et se tirer vers le haut mutuellement.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? comme précédemment évoquée, elle est des plus difficiles dès lors qu'on aborde le sujet délicat de tes études et de ton avenir. mais en dehors de ce point particulier, tu es bien obligé d'admettre que tu n'as pas trop à te plaindre. ils t'ont permis de grandir dans les meilleures conditions possibles, t'ont accordé suffisamment de temps pour que tu ne te sentes pas négligé malgré deux travails très prenants. et c'est peut-être pour ça qu'ils estiment que tu leur dois satisfaction sur ta carrière en retour. pour ça qu'ils se permettent des piques constantes sur tes résultats scolaires et tes capacités mentales, avec l'espoir que dans un sursaut d'orgueil tu feras tout pour leur démontrer le contraire et leur prouver que tu es capable de les rendre fiers. jusqu'à présent sans succès.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? tu consacres la majeure partie de ton temps à ta vie sociale, que ce soit avec ton cercle d'amis proches ou avec ta petite amie. garçon populaire, bien entouré, tu es souvent sollicité pour diverses activités de groupe avec ta bande. tu passes évidemment un maximum de temps en compagnie d'aelynn, et ce que tu trouves de véritablement remarquable avec elle, c'est qu'elle a toujours des envies et des idées pour pimenter votre quotidien. jamais tu ne t'es ennuyé avec elle, alors que tu luttais depuis des années pour trouver quelque chose susceptible de réellement te motiver et t'intéresser. lorsque tu es seul toutefois, tu te contentes volontiers de pratiquer le kendo, de te balader dans la ville ou de regarder une série ou un film sur netflix.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? dois-tu mentionner ce souvenir embarrassant du collège où tu avais appelé la professeure de mathématiques "maman" devant toute la classe ? la fois où tu as tellement bu à une soirée que tu étais toujours incapable de marcher droit le lendemain en rejoignant tes parents au restaurant ? cette nuit avec aelynn où tu t'es tellement emballé que tout s'est terminé avant même que ça n'ait pu réellement commencer ? l'horrible moment où tes intestins se sont trop vite activés sans que tu ne puisses rien contrôler alors que tu n'étais pas chez toi ? le jour de tes cinq ans où tu es resté coincé sur une balançoire tête en bas pendant vingt minutes parce que tu t'étais emmêlé les pieds avec la corde sans parvenir à te libérer tout seul ? il y en a tellement eu que tu serais incapable de tous les énumérer.  

this session is gonna be different
estelle
fréquence de rp : variable ϟ fréquence de connexion : 4/7 ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300 mots ϟ avatar à réserver : park jimin ϟ de quelle couleur sont les petits pois : les petits pois sont rouges, 4ever and always ϟ comment avez-vous connu 99 ? feu bazzart ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? stream dynamite
pastel breathing (avatar) jrmin (icon)

at the beginning there was nothing more than hope.

Invité
11 r ; 872 v.
Mer 2 Sep - 9:22
dolorès roddle
26 yo - styliste
FEAT : ezra miller
papa ouvrier dans le monde du spectacle et maman danseuse contemporaine. dolorès, il a passé plus de temps dans les coulisses des vieux théâtres new yorkais qu'en classe. il a toujours admiré ce monde, de l'autre côté du miroir. comme s'il existait un univers parallèle lorsque les lumières s'éteignent. c'est très jeune qu'il s'est mis à créer ses premiers vêtements, quand il s'imaginait des personnages fantasques et bizarres dans le théâtre de sa petite chambre. c'est comme ça qu'il s'est construit, l'gamin. ses parents l'ont toujours invité à se livrer, à se dépasser, à créer et à imaginer. ils n'ont jamais douté de leur bambin, fils unique. c'est donc tout naturellement qu'ils se sont saignés pour lui permettre de suivre des études dans un domaine qui lui plaisait et aujourd'hui, dolorès le leur rend bien. diplômé, certifié et apprécié dans ce qu'il fait, il plance actuellement sur sa première collection alors qu'il travaille déjà pour les plus grands stylistes de new york.
who am I
ꕥ âge : 26 ans même s'il ne se considère pas vraiment adulte encore et s'il a de la peine à accepter d'vieillir. il craint l'approche de la trentaine sans pour autant trop en parler.
ꕥ nationalité : américaine, son père et sa mère sont tous les deux nés en amérique également même s'ils se sont installés tard dans la grande pomme. sa mère est californienne et son père est de la basse californie.
ꕥ ethnie/origines : caucasien avec un teint laiteux qui bronze difficilement.
ꕥ orientation : homosexuel depuis longtemps, sans jamais en avoir éprouvé la moindre gêne et la moindre honte. le corps des hommes est source d'art et d'inspiration dans tout ce qu'il entreprend. il s'est d'ailleurs spécialisé dans le stylisme masculin pour embellir ce qu'il considère, sans doute à tort, comme le merveilleux.
ꕥ situation : célibataire, pratiquement hermétique à toute forme de bons sentiments. il ne s'attache pas, il ne sait pas s'attacher. dans un monde qui court, il s'laisse porter et flirte sans jamais réussir à s'accrocher à la même branche plus d'une nuit.
ꕥ occupation : dolorès est spécialisé dans la couture et le stylisme. il a d'ailleurs suivi des études dans ce domaine et obtenu maintes certifications. en parallèle, toujours dans la mode, il a accepté quelques emplois de mannequin pour apprendre les rouages des shootings photos et s'essaie assez régulièrement à l'art de la peinture. dolorès est un éternel curieux et touche-à-tout.
ꕥ quartier : vit dans le Bronx, Miranda Heights, en colocation avec Roman et ses trois chats depuis plusieurs mois.
ꕥ qualités : curieux, épicurien, artiste, bohème, léger, drôle et généreux.
ꕥ défauts : panier percé, solitaire parfois, hypersensible, fêtard et sans doute un peu trop léger par moment.
ꕥ passions : {#}peinture{/#}, {#}mode{/#}, {#}cigarettes{/#}, {#}tatouage{/#}, {#}cinéma{/#}, {#}jazz{/#}, {#}théâtre{/#}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ communautés : LGBT CENTER
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ mp d'intégration : oui, volontiers.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : habite en france depuis à peine un an et demi, marié depuis deux ans déjà à l'homme de ma vie, danseur semi-professionnel (enseignant btw) et travaillant dans l'immobilier, les forums font partie d'ma vie depuis mes seize ans (ce qui remonte à quatorze ans en arrière - aouch' - ) écrire est une vraie passion, d'ailleurs, puisque j'ai déjà auto-publié trois romans (une trilogie) dont le dernier tome vient de paraître. je suis un mec (je précise, sait-on jamais) gentil, drôle et ouvert. j'aime écrire au feeling et ne jamais me mettre la pression. l'inspiration vient comme elle vient, généralement et j'aime c'frisson qui m'traverse quand j'lis de beaux rps et que j'rencontre de belles plumes.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : n'essuie pas de larmes sans gants
ꕥ un film : souviens-toi l'été dernier
ꕥ une série : buffy contre les vampires
ꕥ une chanson : secret love song (little mix)
ꕥ un animal : un félin
ꕥ un plat/dessert : le tiramisù
ꕥ une boisson : le café
ꕥ une célébrité : sarah michelle gellar
ꕥ un pouvoir magique : arrêter le temps

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : pas grand chose, mais j'écris rarement les scènes de sexe (ça m'fait rougir derrière mon écran et j'me sens coupable  Tag mode sur I've got 99 problems 2253815916 )


that's my story / self diagnosis
il déambule, le gamin.
il fabule aussi.
il regarde la scène avec des yeux aussi gros qu'une soucoupe.
ça y est, il rêve l'bambin.
(ne reste pas planté là dolorès, tu déranges ta mère.) qu'il entend son père gronder. alors il secoue la tête, l'enfant. haut comme trois pommes, peut-être, mais pas stupide pour autant. sa mère, il adore la contempler, l'admirer, l'observer. les courbes gracieuses de ses hanches qui vibrent au rythme de la musique, les mouvements dociles et sensuels de ses mains qui tranchent l'air.
il adore la détailler, c'est vrai.
(dolorès.) gronde encore son père.
il secoue la tête, il grimace et, à contre-coeur, il tourne les talons pour rejoindre son paternel en coulisses.
(..)
il rentre à la maison ce soir-là le ventre noué. dolorès, il n'a pas l'habitude de la violence et n'aime pas s'y confronter. mais à l'école, ses camarades réfléchissent pas tous d'la même manière.
l'école du quartier, celle de la rue.
il n'a pas le privilège des grands, dolorès. il n'étudie pas avec l'élite, c'est comme ça. peut-être que c'est mal fait, peut-être que c'est normal. son esprit travaille trop vite, a dit la maîtresse une fois. depuis, ses camarades de classe l'appelle binoclard ou tête d'ampoule.
parfois, c'est juste des mots.
dolorès, il peut supporter. du haut de ses dix ans, il sait déjà que la bêtise est un poison. il sait aussi qu'un jour, ils s'en voudront d'pas avoir su apprécier la chance qu'ils avaient de connaître un enfant surdoué.
dolorès, il s'en fiche des mots, c'est les maux qui l'blessent.
quand ses camarades le bousculent dans les escaliers parce que ça fait rire tout le monde d'voir une ampoule à l'envers. ou quand ils le frappent un peu plus fort sur l'épaule histoire de crever un ou deux neurones.
c'est dans ces moments-là qu'il sent son ventre se tordre.
qu'il a envie d'chialer.
mais quand il pousse la porte de l'appartement, jamais.. ô grand jamais elles roulent, les larmes. non, dolorès se retient. il est plus fort que ça, plus grand même.
alors quand sa mère remarque de temps en temps une éraflure, elle joue au jeu du silence. c'est comme ça qu'il fonctionne, dolorès. elle se glisse contre lui, elle lui frotte les cheveux, l'enlace un court instant et lui lance un regard entendu qui veut tout dire.
pas d'mots pour calmer les maux.
juste un bisou sur l'front et dolorès, il va déjà mieux.
(..)
mais à l'école, c'est pas l'pire.
c'est pas l'plus inconfortable non plus.
dolorès, il l'a remarqué, l'gamin plus intelligent que lui. celui qui lève toujours la main. celui qui s'fait féliciter par la maîtresse et qui s'fait parfois insulter par les autres.
dolorès, il entend.
et ça lui fait du mal, ça aussi.
pour son esprit plus développé que la moyenne, c'est une torture de voir les uns souffrir au détriment des autres. alors un beau jour, quand il voit c'gamin faire attraper par ces mêmes détracteurs, dolorès, il saute dans la mêlée. il en mène pas large.
il sait pas s'battre, il saura jamais.
il prend un coup, puis un deuxième. finalement, tous les deux, ils tombent à terre. tarlouzes qu'il entend cracher l'un des mecs alors qu'il fait d'son mieux pour se relever.
à roman, il tend une main. (c'est toujours mieux d'tomber à deux, non ?) qu'il s'entend même lui dire en rigolant légèrement.
roman, il sourit.
et dolorès il a su tout d'suite qu'ils seraient amis.
ça n'a pas manqué.
ça n'a pas changé.
(..)
des années plus tard, l'monde a changé.
pour roman comme pour dolorès.
avec le temps, on s'rend compte que les maux s'oublient, parfois.
dolorès, il l'a compris quand il a commencé ses études en stylisme. (c'est une très belle vocation mon chéri.) que lui avait glissé sa mère quand, à l'âge de quatorze ans, il avait expliqué à ses parents qu'il comptait se spécialiser dans l'monde du spectacle et, plus précisément, dans celui des costumes.
c'est en intégrant cette école, des années plus tard, qu'il a constaté que les choses pouvaient changer.
même pour lui,
même pour eux.
dans son école, rapidement, dolorès est adopté, apprécié. son talent fructifie au fil des cours, des années. ses professeurs le trouvent remarquables et très rapidement, dolorès réalise qu'il existe une place pour tout l'monde, loin du tumulte d'une enfance en demi-teinte.
à l'université, il grandi, l'gamin.
il d'vient un homme. il pousse.
il essaie,
il expérimente,
il tente,
il teste,
il goûte,
il touche.
et puis, il se trouve, se construit, petit-à-petit. jusqu'à débarquer un jour chez ses parents et leur dire (désormais, je m'appelle dodo.) (dodo ?) à sa mère de lui demander, l'air circonspect. (c'est plus court que dolorès et bien plus branché. dans le milieu de la mode, ça sera plus respecté, comme coco ou guess. tu verras maman, bientôt, ce sobriquet sera sur toutes les lèvres.) (tu laisses tomber le spectacle alors ? tu ne veux plus devenir costumier ?)
non, il ne voulait plus.
à l'université, dolorès avait changé, lui aussi. troquant ses habits un peu trop grand et son air hagard pour devenir un adulte branché, aux cheveux colorés et à l'air songeur. abandonnant dolorès l'exclus pour devenir dodo l'styliste.
(je rêve de créer une collection d'fringues.) qu'il avait répondu à son père, sans hésiter une seule seconde. à peine la vingtaine mais déjà le coeur bourré d'ambitions.
(..)
dodo devient charmeur, dodo devient dragueur, dodo devient indépendant. très vite, il s'installe seul et se découvre une passion pour cette solitude.
très vite, il s'isole tout en sortant beaucoup.
dodo, il a plein d'amis, il a un carnet d'adresse bien rempli et il ne reste jamais seul bien longtemps quand il arrive à une soirée. parce que dodo sait parler aux gens, sait leur dire exactement ce qu'ils rêvent d'entendre et sait se faire désirer. dodo, il manie les mots, l'esprit et l'art sous toutes ses formes. il est intéressant mais jamais pédant, ni hautain.
dodo, il est ouvert, il est gentil, agréable et généreux.
il dépense son argent facilement, il offre, il donne, il s'octroie parfois même de petits plaisirs. il fréquente très vite - peut-être trop vite - les boîtes branchées, les boutiques branchées de new york et se découvre une passion dévorante pour le luxe et sa décadence.
à la carrie bradshaw, il veut appartenir à l'élite et s'en donne les moyens.
mais dodo n'oublie jamais dolorès.
l'gamin un peu paumé qu'il retrouve chaque fois qu'il rentre chez lui, celui qui s'enferme des heures dans son atelier et qui peint, qui coud, qui dessine et qui rêve. c'gamin un peu maladroit qui n'parle pas trop, qui joue au jeu du silence tout seul désormais et qui appelle régulièrement ses parents. c'gamin pataud qui pleure d'vant un film trop mièvre et qui réclame parfois un peu d'tendresse.
dolorès, ils sont peut à l'connaître.
il y a roman,
ses parents,
axel aussi.
pas grand monde visiblement. puisque dodo prend d'la place, dodo s'exprime mieux et dodo n'manque jamais d'confiance en lui.
les années passent et l'styliste devient reconnu, apprécié. on lui offre des opportunités, on lui propose même de défilé. il devient mannequin, parfois. passe de l'autre côté de l'objectif ensuite, soigne ses tenues et bichonne ses modèles. dodo, c'est un peu comme un fourre-tout.
il touche à tout, piqué à vif par la curiosité dès que quelque chose lui échappe.
dodo, ça d'vient très vite l'incontournable.
(..)
(..la leucémie.)
on a tous peur de la mort, tous peur de ce qu'il nous attend une fois qu'on aura rendu notre dernier souffle. pire encore, on a tous peur de mourir trop jeune, trop vite, trop tôt.
il y a tant d'choses à vivre.
dodo l'sait depuis toujours. c'est bien pour ça que lorsque son meilleur ami, roman, lui annonce sa maladie, il sent l'onde de choc le transpercer et l'faire vaciller.
il pleure pas, dodo.
il reste fort.
il n'a pas l'choix.
alors il inspire une première fois et puis, il dit (rien n't'empêche d'être beau même sur un fauteuil roulant, tu l'sais ça ?) parce qu'être caustique, ça permet d'dédramatiser la situation. un bon fou-rire et puis, ils peuvent redevenir comme avant.
jamais j'le traiterai différemment, il s'le promet dodo. parce qu'il sait pertinemment qu'être compatissant, ça n'arrange rien.
alors quand roman lui annonce qu'en plus de la maladie, l'mec avec qui il vivait d'puis des années (que dolorès lui avait présenté de surcroît) l'a largué comme on jette un kleenex à la poubelle, dodo n'hésite pas une seule seconde.
(tu vas v'nir vivre ici.) (mais.. mes chats, mes affaires ?) (ça f'ra pas d'mal à c'taudis d'voir des poils traîner un peu partout qui n'appartiennent pas aux coups qu'je ramène ici.) un clin d'oeil et l'marché est passé, scellé. enfin, à un détail près (par contre, tu peux m'ramener autant d'mecs que tu veux ici mais promets-moi d'toujours fermer la porte de ta piaule.)
c'est acté,
c'est vendu, c'est comme ça.
d'puis l'école, d'puis cette première main tendue.
ça, ça n'a pas changé.


excentrique, bourré d'talent, créatif,
généreux, docile, bruyant,
coloré, impulsif, dominant,
indépendant, franc et loyal, grande gueule,
fume comme un pompier, écoute du jazz,
mange mal, dort beaucoup, manque de confiance,
parfois maladroit, sensible, hésitant,
entier & passioné





this session is gonna be different
fancy ꕥ 30 ans
fréquence de rp : de manière générale, en semaine, au job. il se peut que mon rythme diffère d'ici peu parce que je change d'emploi mais normalement, c'est assez régulier. ϟ fréquence de connexion : idem que pour ma fréquence de rp, à la différence prêt que j'aime stalker depuis mon téléphone quand je le peux. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? au plus bas, j'écris a minima 300 mots par rp. je m'impose ce minimum pour donner de la matière à mon partenaire. en fonction des rps, de l'inspiration, je peux monter jusqu'à 2000 mots sans problème (et au-delà). je favorise les rps courts pour permettre aux personnages une évolution plus rapide, néanmoins, rps longs ne signifient pas forcément plus lent si l'inspiration nous porte tous les deux. ϟ avatar à réserver : ezra miller. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : dans ma boîte, il y en a un de chaque couleur de l'arc-en-ciel (j'crois que c'est mon mari qui veut m'faire plaisir en vrai). ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? forum de qualité, tant au niveau de l'esthétisme que du fond. le contexte, les annexes et tout ce qui est mis en place pour offrir un espace de jeu safe et agréable. j'aime beaucoup, jusque-là.
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reflection of perfection (catriona)

Invité
22 r ; 441 v.
Mer 26 Aoû - 17:38
catriona murphy
21 ans - étudiante
FEAT : iris law
incarnation de perfection ; c’est tout du moins ce qu’elle s’évertue à paraitre, devenir, et avec acharnement. l’impression de ne jamais être assez, le besoin d’être la meilleure, d’exceller dans tout ce qu’elle entreprend. famille richissime mais éclatée, père parti et parents divorcés durant l’enfance, sensation de rejet sur laquelle elle s’est construite. pression permanente, cat aspire à l’excellence : elle brille littéralement dans ses études de droit à l’université de columbia, arbore un sourire quasi-constant, adopte un comportement irréprochable, fait preuve d’un style impeccable et est archi-active. vie sociale incessante, occupations diverses et variées, peu de vrais moments pour se retrouver si ce n’est sur le canapé de son psy hors de prix. pas de pause. des objectifs à la pelle, des to-do-list interminables, et aucun droit à l’erreur. ambiance familiale complexe : le père d’abord toujours loin, remarié, avec d’autres enfants pour former une famille à laquelle elle en veut, où elle ne trouve pas sa place puisque trop lointaine. le père revenu avec eux et catriona qui peine à passer outre la sensation d'abandon, si bien que la route est encore longue avant de parvenir à des relations véritablement apaisées. mère qui a mal vécu la séparation, le divorce, depuis peu en couple avec un type grossier à peine plus âgé que cat. qui ne le supporte pas. sujets qu’elle n’aborde quasi-jamais, parée de son sourire colgate – et de toute façon trop occupée par ses multiples activités. c'est que sa quête de perfection demande beaucoup de temps.
who am I
ꕥ âge : la jeunesse qui court dans les veines, infatigable. vingt-et-un ans : majorité à peine entamée et des portes qui ne cessent de s’ouvrir sur son passage. c’est qu’elle fait tout pour.
ꕥ nationalité : américaine de naissance.
ꕥ ethnie/origines : irlande dans le sang ; les murphy et les reid trouvent leurs racines au pays des leprechauns et de la saint patrick mais sont implantés dans la grande pomme depuis des générations.
ꕥ orientation : elle est hétérosexuelle – tout du moins se définit-elle ainsi sur ce plan, sans jamais s’être vraiment posée la question.
ꕥ situation : en couple depuis plusieurs années avec le type parfait. ce qui n’empêche pas leur relation de connaitre autant de hauts que de bas.
ꕥ occupation : étudiante en 3ème année de droit à l’université de columbia, avocate exceptionnelle en devenir ; spécialisation en droit international des affaires. influenceuse accroc aux réseaux sociaux. réussite en maitre mot.
ꕥ quartier : catriona vit avec sa mère dans un appartement de l’upper east side. manhattan est son territoire, qu’elle délaisse au profit du campus de l’université de columbia et de la maison de famille de son père et de sa belle-mère à staten island.
ꕥ qualités : accessible, active, ambitieuse, carrée, charismatique, consciencieuse, déterminée, droite, éloquente, fière, intelligente, loyale, maligne, polie, sensible, sociable, souriante.
ꕥ défauts : autoritaire, besoin de reconnaissance, calculatrice, égocentrique, (trop) exigeante, jalouse, maniaque, manque de confiance, nerveuse, opportuniste, perfectionniste, possessive, rancunière, sarcastique, sous pression.
ꕥ passions : {#}instagram{/#} ; {#}droit{/#} ; {#}mode{/#}.
ꕥ groupe : I need help
ꕥ communautés : columbia university ; gotha ; new york city bar.
ꕥ scénario/pré-lien : ici.
ꕥ parrain : oui s’il vous plait !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : hello hello ! ici blaize, aka fanny, 29 ans, en direct de la région parisienne. sur les forums depuis trop longtemps maintenant :lol: j'aime écrire, lire - surtout la fantasy et la sf - et je regarde pas mal d'anime japonais.
très contente d’avoir découvert ce forum pour son esprit, toutes les choses mises en place pour respecter les sensibilités de tous et une intégration active et positive. hâte de faire évoluer cat au milieu de tous vos persos !

petit portrait chinois
ꕥ un livre : les grandes espérances
ꕥ un film : le cinquième élément
ꕥ une série : aucune idée
ꕥ une chanson : machu picchu – the strokes
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : des spaghettis bolognaise
ꕥ une boisson : jus d’ananas ou gin to
ꕥ une célébrité : jsp non plus
ꕥ un pouvoir magique : téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : relations sexuelles non consenties, pédophilie, inceste


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

ꕥ family portrait. tu ne devrais plus être en colère contre ton père. ni attendre qu’il se raccroche à l’image que tu avais de lui avant qu’il vous laisse toutes les deux ; celle créée de toute pièce par une gamine d’à peine cinq ans alors qu’il n’était déjà plus là. c’est normal d’idéaliser ce qu’on ne connait pas. mais tu devrais passer à autre chose, oublier tout ça – non, pas oublier : accepter. accepter qu’il n’ait pas été heureux avec vous ou qu’il ait trouvé mieux sans ; toi, catriona, tu n’y peux rien. tu as pourtant longtemps cru être également fautive, que quelque chose n’allait pas chez toi. que vous l’aviez fait fuir toutes les deux alors même que selon ta mère, vous n’auriez pas pu faire mieux. tu lui en as énormément voulu. tu lui en veux encore un peu, ou peut-être beaucoup. y a comme une dernière pilule qui passe pas. t’aurais voulu avoir une famille unie, normale, et ne pas avoir à le partager avec une autre femme que ta mère, une autre fille que toi, quand tu partais le rejoindre pendant des vacances au mexique où là encore, tu ne le voyais presque pas. tu n’as pas manqué de le faire culpabiliser pour étouffer ta propre impression de culpabilité. tu t’es souvent montrée odieuse, simplement parce que tu ne t’es jamais sentie légitime pour fondre dans ses bras et lâcher prise. tu te sens à l’étroit dans la place qu’il te donne quand tu aurais rêvé d’être au centre d’une attention que tu n’as jamais vraiment eue. parce qu’il y a d’abord eu marisol, et qu’après marisol, il y a eu sofia. marisol qui a pris ton père à ta mère et qui l’a éloigné de toi. sofia qui a pris de ta place dans son cœur et récolté l’attention que tu aurais voulu pour toi. tu les as détestées, haïes. la distance n'a rien arrangé. tu le sais : ce n’est pas rationnel, et c’est loin de ce que tu voudrais vraiment. mais il y a cette pointe de rancœur qui ne part pas. même s’ils sont venus à nyc et que la distance n’est plus un problème. même si tu as bien conscience que tu devrais passer outre tout ça. tu es incapable d’oublier la déprime de ta mère, la douleur que cette séparation lui a causée comme le mal qu'elle t'a fait à toi. tu ne sais pas effacer tous ces mots et ces larmes qui ont déchiré sa gorge et inondé ses joues, et sûrement que la rancœur qu’elle a alimenté a nourri la tienne. tu sais qu’elle aimait ton père et que si c’est elle qui a demandé le divorce, elle ne l’a pas provoqué. qu’elle a mal vécu cet épisode de sa vie, le perçoit comme un échec pour elle, encore plus vis-à-vis de toi. qu’elle a eu du mal à s’en remettre. et pourtant, elle aussi a subi à cause de toi. elle a subi ta frustration, tes incompréhensions, tes caprices et tes colères. ton jugement, tes mots durs. tout ce que tu as enfoui au plus profond de toi. mary-ann a tenu bon en pleine tempête, et c’est maintenant que tu commences doucement à tolérer la situation du côté de ton père qu’elle part en roue libre. vrai qu’elle est belle ta mère, et que les années n’ont pas été cruelles avec elle. beaucoup d’hommes ont gravité autour et si parmi eux, aucun n’a trouvé grâce à tes yeux, celui qu’elle s’est récemment choisie te laisse perplexe. ou plutôt sans voix, si tant est qu’on soit véritablement capable de te clouer le bec. si parvenir à considérer marisol comme ta belle-mère et sofia comme ta demi-sœur, à accepter qu’il y ait véritablement un lien entre vous, est le fruit trop récent mais incomplet d’un interminable acheminement, le cas simon est à part. parce que simon n’a qu’un an de plus que toi, adopte un comportement vulgaire et grossier avec ta mère qui ne trouve rien de mieux à faire que de tenir le rôle d’une adolescente devant son premier crush. à peine simon débarqué dans sa vie qu’il s’installe chez vous et se voit confié selon son bon vouloir la carte de crédit de ta mère. et c’est trop pour toi. de la voir si naïve, niaise, heureuse, amoureuse. parce que t’as peur qu’elle se fasse avoir, t’as peur qu’il se foute d’elle et qu’elle ne soit rien de plus qu’un alignement conséquent de chiffres devant une virgule. t’as pas envie de la voir jouer les minettes à quarante ans passés : c’est déjà ridicule pour les autres, et c’est inacceptable pour ta mère. alors c’est simple : tu ne veux pas voir ça. tu ne te sens pas d’aller à la confrontation et de lui exprimer le fond de ta pensée. tu n’as pas plus envie de la blesser que de subir la situation. alors t’es plus tellement dans votre appartement de l’upper east side : tomber sur simon le cul vissé au canapé – à ta place évidemment – devant un programme télévisé débile, trop peu pour toi. d’autant moins lorsque ta mère t’a proposé de faire une sortie avec lui pour mieux le connaitre. mais quelle formidable idée ! t’as sorti tout sourire. pas réalisable tout de suite ‘malheureusement’ : entre les examens que tu prépares et ton programme formidablement chargé, t’as préféré répondre que tu reviendrais vers lui dès que t’aurais un créneau. en sachant très bien que ce serait pas prêt d’arriver. tu désertes manhattan pour la fac, pour staten island : quitte à choisir, tu préfères aller là où t'auras le moins envie de lever les yeux au plafond.

ꕥ be the best. ou mieux : sois parfaite. parce qu’elle a vécu le divorce de ses parents comme un abandon de son père pour son autre vie, il y a cette voix dans sa tête qui lui répète chaque jour le même refrain. pas assez. pas assez pour elle, pour les autres, pour tout ce qui l’entoure. catriona est une insatisfaite chronique aux prétentions de perfection. l’exigence qu’elle s’impose est imposée aux autres et pour ce que le bien ne sera jamais suffisant, le meilleur la satisfait à peine si elle ne l’estime pas parfait. mais puisque le meilleur est ce qui s’en rapproche le plus, cat se doit de l’être a minima. famille riche, ambition, intelligence, style et physique : sur le papier, catriona murphy a tout pour elle et le sait. pas assez. alors il faut qu’elle soit la plus brillante, la plus ambitieuse, la plus belle et la plus stylée ; cette fille qu’on regarde passer avec envie qui qu’on soit et pour quoi que ce soit, dont on sait qu’elle ira loin et volera haut. celle qu’on a envie d’approcher, autour de laquelle on aimerait graviter. celle qui compte. tout ce qu’elle entreprend se doit d’être une réussite. catriona est donc major de sa promotion et se prépare intensivement à une brillante carrière d’avocate en droit international des affaires. les abonnés à son compte instagram se comptent par milliers et on est certain de la trouver là où il faut être. physique impeccable, pratique quotidienne du jogging et régulière du yoga, son visage est un harmonieux mélange de ceux de ses parents. la peau est dorlotée, les cheveux soignés, le maquillage à la fois léger et raffiné. le dressing est surpeuplé, trop régulièrement alimenté. pas de vulgarité dans le phrasé, comportement poli, bien éduquée. posture droite et décontractée, port gracieux et distingué. délicieuse. mais le sourire, chez elle, c’est quelque chose. ses lèvres satinées quasi-toujours étirées, il n’est pourtant jamais vraiment le même et revêt souvent un sens caché. il y a les vrais évidemment. ceux, trop rares mais sincères, qui ne cachent rien. puis il y a les autres. ceux qu’il faut faire, ceux qu’elle ne pense pas, ceux qui moquent, qui jugent, qui jouent. les sourires fiers, les sourires mauvais, les sourires d’amour. mais le sourire, (presque) toujours. ses défauts sont camouflés sous les bonnes intentions apparentes et toute cette lumière qu’elle s’efforce de dégager. les activités se multiplient et au-delà de celles dédiées aux communautés qu’elle fréquente, il y a entre autres : ses séances d’étude acharnées, sa vie sociale active – au point qu’il soit rare qu’elle n’ait rien de prévu tous les soirs, de la simple visite à/d’un.e ami.e aux soirées étudiantes en passant par divers événements mondains –, le sport, la cuisine, la tenue de ses réseaux sociaux, … tout pour s’occuper, combler cette sensation de pas assez. tout pour l’être, assez. quitte à s'oublier.

ꕥ the dark side of the moon. pas de lumière sans ombre ; la sienne est aussi sombre que ses éclats sont brillants. car si elle se doit d'être la meilleure, elle n'apprécie que très modérément qu'on la surpasse, qu'on la surclasse. qu'on mette à jour ses défauts, qu'on la ramène à sa position d'être humain d'une banalité absolue puisqu'elle ne peut intrinsèquement pas en être. alors elle est jalouse. jalouse des succès qu'elle ne remporte pas, de la reconnaissance qu'on lui refuserait au profit d'autres, de l'attention qu'on ne lui prodigue pas. elle doit être mieux, meilleure, en tout. s'échine à réussir, se force à repousser ses limites pour supporter la pression qu'elle s'impose. et ne s'arrête pas. jamais. parce que si elle s'arrête, c'est la culpabilité de ne rien faire qui vient. ce sont ses histoires de famille qui la prennent d'assaut. c'est le temps qui s'écoule et elle qui ne suit pas. alors elle s'occupe. toujours. tout le temps. ne reste pas sans rien faire, s'arrête sur des micro-détails, des points insignifiants. se demande si elle a bien fermé la porte à clé ou si elle n'a rien laissé sur le feu en sachant avoir bien fermé la porte à clé et ne rien avoir laissé sur le feu. a besoin que chaque chose soit bien à sa place. compte ses pas quand elle marche sans rien faire d'autre comme elle compte les marches d'escaliers grimpées. ceux qui la connaissent bien lui trouvent un côté maniaque voire psychorigide : les choses doivent être faites selon ses plans et si elle ne se laisse pas le droit à l'erreur, croyez bien qu'elle n'en fera cadeau à personne. mais elle est consciente de tout cela. alors elle voit un psy, à 18h00 tous les mercredis. elle s'installe sur son canapé, longues jambes croisées, et parle. ou ne dit rien : c'est qu'elle est fatiguée souvent, parfois trop, et qu'il n'y a que sur ce canapé que le silence est autorisé.

ꕥ random. née le 26 août 1999 ; son signe astrologique est celui de la vierge – le bleu est sa couleur préférée – a un chat blanc de quatre ans du nom de silver – n'a jamais été au volant d'une voiture – est en couple depuis trois ans – dort la plupart du temps peu, mais il lui arrive de passer des nuits de plus de douze heures ; elle est alors complètement décalquée et passe sa journée dans le gaz – intériorise beaucoup (trop) – boit relativement peu d'alcool mais ne refusera jamais un gin tonic ou un bon verre de blanc – accroc au café et aux réseaux sociaux – passe trop de temps sur son téléphone – a horreur de la cigarette et déteste l'odeur du tabac froid – son parfum est coco mademoiselle de chanel – pas très grande, elle porte quasi-toujours des talons – mange relativement peu de viande (et lui préfère le poisson) – ponctuelle, déteste être en retard et prévient toujours – les orages l'impressionnent et l'apaisent ; elle pourrait rester des heures à les regarder – a une sainte horreur du fromage et beaucoup de mal avec les produits laitiers de manière générale ; pas d'intolérance, c'est le goût qui passe pas – comprend presque parfaitement l'espagnol et est plutôt à l'aise à l'oral – rêve d'entrer dans le cabinet sullivan and cromwell llp à la fin de ses études, et compte pour ce faire obtenir un stage chez eux – la famille du côté de son père est très catholique et très croyante ; celle de sa mère se moque des questions religieuses. cat' est athée et n'est pas particulièrement à l'aise lorsque le sujet des religions est abordé – est très proche de son grand-père paternel à défaut de l'être avec son père, et déjeune avec lui au moins une fois par semaine – préfère le salé au sucré, mais le chocolat est son point faible – ses fleurs favorites sont les œillets.  



this session is gonna be different
blaize/fanny ꕥ 29 ans
fréquence de rp : 1 à 2 toutes les deux semaines. ϟ fréquence de connexion : quasi-quotidienne, hors weekends. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 600 et 1500 mots, je m’adapte. ϟ avatar à réserver : iris law. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : la même couleur que la st patrick. ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart (rip). ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? bravo pour ce forum, hâte de terminer cette fiche et d’écrire avec vous. et pour celleux qui seraient intéressé.e.s par des liens, n’hésitez surtout pas !
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Néhémie ✯ I'm a bitch, that's the way it is

Invité
11 r ; 345 v.
Lun 6 Juil - 2:54
Néhémie Paley
28 - Directeur artistique Vogue NY
FEAT : Robert Sheehan
Son Altesse Sérénissime, Néhémie Maksimilian Dmitri Mikhaïlovitch de Russie, Prince Paley. Troisième enfant et deuxième fils de la lignée Paley-d’Orange-Nassau, deux dynasties au sang plus bleu que le ciel et qui pourrait adopter le nom des Romanov. Des titres biens ronflants auxquels Néhémie prête peu attention. Loin de ce monde étriqué, Néhémie, c’est cette créature toujours entre deux, genderfluid de son état. Néhémie c’est celui qui a construit sa carrière à la force de ses bras, entre Beaux-Arts et FIT, pour être maintenant un des plus jeunes directeurs artistiques du métier. Néhémie, c’est l’amie qu’il faut avoir, celle qui sera toujours derrière toi et qui n’hésitera jamais à dire à quiconque ses quatre vérités, la furie en stilettos (et non, elle ne vous révélera pas sa vraie taille !). Néhémie c’est aussi le dingue de mode, qui se rêve Icône, qui ne se contente pas d’aimer les vêtements mais aussi l’histoire, la culture. Néhémie, ce sont aussi ceux qui avancent sans peur, qui n’hésitent pas à briser les barrières, imposent leur amitié et dissimulent les quelques fêlures derrière un sourire. Néhémie, c’est aussi une sacrée bitch mais comme elle dit si bien “You know you love me !”
who am I
ꕥ âge : 28 hivers sur cette belle planète
ꕥ orientation sexuelle : Pan, Eros regarde et ne voit que Psyché
ꕥ situation : Célibataire, coeur à prendre
ꕥ occupation : Directrice artistique de Vogue NYC, bitch !
ꕥ quartier : 10 74Th St, Upper East Side
ꕥ qualités : Souriante * Téméraire * Audacieux * Passionné(e) * Sensualité à fleur de peau * Protecteur  * Volontaire * Sur de soi * Sensible * Créatif *  Libre * Gracieux * Vive * Extravertie * Extravagant
ꕥ défauts : Garce * Sarcastique * Irrévérencieuse * Indomptable *  Distraite * Arrogante * Manipulatrice * Moqueur * Dramatique * Hyperactif * Diva
ꕥ passions :{#}mode{/#} {#}violoncelle{/#} {#}moto{/#}
ꕥ groupe : Just Small Mommy Daddy Issues
ꕥ communautés : par ici, une au moins obligatoire LGBT, Gotha, Park Avenue Plaza
ꕥ parrain : oui pretty please !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Mais, vous savez, moi je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d'abord des rencontres, Des gens qui m'ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi. Et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, Le beau geste, parfois on ne trouve pas l'interlocuteur en face, je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ce n'est pas mon cas, comme je le disais là, puisque moi au contraire, j'ai pu ; Et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... Je ne suis qu'amour! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd'hui me disent : "Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ?", Eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c'est ce goût de l'amour, Ce goût donc qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre une construction mécanique, Mais demain, qui sait, peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Bourbon Kid Saga
ꕥ un film : Alice aux Pays des Merveilles (le DA)
ꕥ une série : Versailles
ꕥ une chanson : Diva by Beyoncé
ꕥ un animal : Un furet, petit et fierce
ꕥ un plat/dessert : La raclette  (bah quoi ?)
ꕥ une boisson : Du Red Bull
ꕥ une célébrité : Coco Chanel
ꕥ un pouvoir magique : Le pouvoir d'avoir des minions compétent

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : pédophilie et zoophilie


that's my story / self diagnosis
Chronologie

1991. Naissance de Néhémie Maksimilian Dmitri Mikhaïlovitch, Prince Paley, troisième né de la famille Paley-d’Orange-Nassau et second fils après Michel et Natalia.

1999. Néhémie est à la fois fille et garçon, parfois aucun des deux et parfois les deux à la fois. Elle en a conscience depuis plusieurs années mais est confronté à l’incompréhension d’une partie de sa famille en plus de sa propre confusion. Elle commence les cours de musique et tombe amoureuse du violoncelle.

2001. Décès de son père Michel Mikhaïlovitch de Russie. Une vraie déchirure pour Néhémie qui n’a que 10 ans.

2007 - 2010. Néhémie intègre les Beaux-Arts de Paris avant d’être accepté à la Fashion Institute of Technology de New York un an plus tard. Il suit ses deux dernières années à New York en parallèle de ses études aux Beaux-Arts. En 2010, il est diplômé, dont suma cum laude de la FIT. Achat de sa première moto pour fêter ça.

2010 - 2013. Néhémie est engagé à Vogue New-York en tant qu’assistant de la rédactrice en chef, Anna Wintour en personne.

2013 - 2018. Deux ans plus tard il est engagé comme fashion chroniqueur à Vogue Paris et certaines de ses créations sont présentés dans la catégorie Jeune Créateur de la fashion week. Il gagne en notoriété mais se consacre surtout à sa carrière dans les médias.

2018 - Now. Une place se libère à Vogue New York et Néhémie décide de tenter sa chance. Avec succès puisqu'elle est choisi comme directrice artistique. Elle s'installe à New-York où elle retrouve sa place au LGBTcenter qui l'avait déjà accueillie avant et le Gotha, le club de ses pairs.

Diary of a troubled fabulous queen



5 juillet 1999

Cher journal,

Je déteste Michel. Je le hais. Je le hais. JE LE HAIS. Je voudrais qu'il soit mort. Je sais que normalement on doit pas dire des trucs comme ça mais c'est la vérité vraie. Je le déteste et je sais aussi que lui il me déteste. Pourtant, c'était une super journée. On était que tout les deux avec Père, Michel et Natalia étaient en ville avec Mère. C'est trop mieux quand on est que tous les deux parce que Père m'oblige jamais à m'habiller en garçon quand j'en suis pas un et il est toujours gentil et parfois il m'offre même de jolies robes mais je dois pas le dire à Mère ni à personne.

Père m'a emmené à la fête foraine ! C'était tellement bien d'être comme tout le monde et de faire des manèges et de manger des pommes d'amour et de la barbe à papa. J'ai même gagné une grosse peluche ! Et j'ai eu le droit de mettre mon tutu ET mes bottes de cowboy et tous le monde arrêtait pas de dire à Père comment j'étais une jolie petite fille et c'était super ! Y avait que nous deux, même pas les gardes du corps de Père étaient avec nous. On a bien rigolé et on a beaucoup parler.

Mais quand on est rentré à la maison, Mère était déjà là. Natalia s'était fait mal en tombant alors ils étaient revenus plus tôt de la ville. Mère aime pas que je m'habille avec des robes et des jupes et des rubans, elle dit que c'est pour les filles mais des fois, je suis une fille aussi. Et des fois je suis un garçon et des fois je sais pas trop si je suis quelque chose. C'est super bizarre mais c'est comme ça depuis longtemps. Mère m'avait pas vu et j'allais monter dans ma chambre pour me changer mais Michel, ce connard gros rapporteur m'a vu et l'a dit à Mère qui s'est énervée super vite contre moi. Père m'a défendu alors elle a crié sur lui et ils nous ont envoyé dans nos chambres. Et maintenant, Michel et Natalia me font la tête et Mère me regarde bizarrement, comme quand elle voit une limace sur un de ses rosiers qui lui apportent des prix. Ca me fait tout drôle dans le ventre quand elle me regarde comme ça. Et ça fait peur aussi.

Parfois je pense que Mère m'aime pas beaucoup. Tu penses que c'est possible pour une maman de pas aimer son enfant ? Je crois pas parce que dans les contes et dans la Bible c'est pas comme ça.

Heureusement que Père est là. Il est venu me voir pour voir si j'allais bien. Si y avait pas Père ou Natalia je me serai enfuie depuis longtemps d'ici. Heureusement qu'ils sont là. Heureusement que Père est là.





4 septembre 2001

Il est mort. Père est mort. Mon papa … J'arrive pas à y croire. Je veux qu'il revienne, je veux pas rester la avec eux. S'il te plait, s'il te plait, s'il te plait Papa me laisse pas tout seul …





21 juin 2007

Cher journal,

Tu vas jamais le croire !  J’ai été accepté à la FIT !  A New York !  L’école de Calvin Klein, Michael Kors et Nanette Lepore ! Et ils acceptent que je continue de suivre les cours des Beaux-Arts à condition que je sois à New York au moins pour la première année. Je me suis arrangé avec l’école et c’est officiel. Moi, Néhémie Paley,  je m’envole pour la Grosse Pomme. Pour fêter ça, Natalia m’emmène faire du shopping puis on se fait un dîner chez Maxim’s. Même Mère m’a félicité et elle a rien dit sur la robe que je portais quand je lui ai annoncé. Il y a que Michel pour faire ses remarques à la con mais depuis quand on en a quelque chose à foutre de ce qu’il raconte ? J’ai tellement hâte !!!! Et j’ai peur aussi. J’ai encore plein de choses à préparer pour le départ mais je serai là bas en Aôut pour la rentrée anticipée. New-York est à moi !




6 avril 2018


Cher journal,

Ca fait tellement longtemps que je n'ai rien écris. Mais j'ai eu une envie subite ce soir. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être que si en fait. J'ai enfin réussi. Je suis officiellement la directrice artistique de Vogue New York, à seulement 26 ans. Et je ne dois pas cela à mon nom, oh non. Je me suis battu bec et ongle pour parvenir à mes fins et j’en suis plus que fière ! Bon, je crois que Anna a glissé un mot pour moi, pour que je sois choisis à un âge aussi jeune. Pour une fois, j’accepte ce coup de pouce sans broncher.

Bon j'avoue que je suis totalement et complètement FLIPPEE ! Je vais de nouveau travailler avec Anna mais cette fois, je n'aurai pas le droit à l'erreur. Pas lorsqu'on représente un monument comme Vogue NYC. Et si j'étais pas à la hauteur ? Et si je ne réussis pas à être visionnaire, à incarner l'esprit Vogue ? Rien que d'y penser j'ai besoin d'un Valium !

Enfin, j'arrête de me plaindre, ça donne des rides et c'est mauvais pour le teint. Et puis merde, JE SUIS DIRECTRICE ARTISTIQUE ! Pour Vogue !  On s’en fout du reste ! Je vais allé fêter ça comme il se doit.

Je ne sais pas si je réecrirais ici un jour. Peut-être.

Nous verrons bien.








this session is gonna be different
Twilight Sparkle ꕥ 27 ans
fréquence de rp : Ca dépend, en général un ou deux par semaine ϟ fréquence de connexion : Tous les deux trois joursϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 500 et 1000 en général ϟ avatar à réserver : Robert Sheehan ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ROSE ! (non je rigole c'est Vert) ϟ comment avez-vous connu 99 ? Grâce à PRD ϟ Otto a déjà su tout dire  sisisi
tumblr (gif) solsken (avatar)

Anything more than whispers

Invité
25 r ; 1493 v.
Dim 26 Avr - 23:11
Priya Advani
30 ans – infirmière scolaire
FEAT : Tina Desai Priya est la fille unique d'un couple d'immigrés venus du Rajasthan (Inde) pour faire fructifier l'affaire familiale. Bien qu'elle soit née aux Etats-Unis, ses parents ont toujours tenu à ce qu'elle vive en accord avec la culture familiale, par la pratique religieuse où le respect des coutumes de leur caste. Si en face d'eux, c'est ce qu'elle fait, elle questionne de plus en plus ses pratiques et transgresse les règles quand elle est seule. Elle travaille aujourd'hui comme infirmière scolaire au lycée de Staten Island où elle désespère des principes d'éducation sexuelle qu'elle doit inculquer à ses élèves, ce qui entre en écho avec les questionnements personnels qu'elle a de plus en plus au sujet de sa propre sexualité, pas si hétéro qu'elle l'aurait crue. Pour autant, étant très introvertie et indécise, elle a du mal à s'ouvrir aux autres de peur de rencontrer un terrain hostile. Cette timidité maladive est un réel frein à ses ambitions, et se lancer une bonne fois pour toute, accepter de prendre des risques, est la seule thérapie possible.
who am I
ꕥ âge : Trente ans depuis peu, et bien que ça ne soit qu’un an de plus par rapport à l’année passée, le chiffre est symbolique et ça lui fait bizarre. Comme si la vingtaine était une sorte de post-adolescence, et qu’elle devenait adulte pour de bon, avec ce que cela implique de responsabilités.
ꕥ orientation sexuelle : Là ça devient compliqué… Comme beaucoup de gens, elle s’est supposée hétérosexuelle pendant des années, étant donné qu’elle ne sortait qu’avec des hommes. Mais elle n’a jamais été portée sur le sexe, trouvant même toujours une excuse pour masquer le fait qu’elle n’en avait tout simplement pas envie. Comprenez bien, là où elle a grandit, tout ce qui n’est pas hétérosexuel se voit dénier toute existence. Alors elle se pose des questions
ꕥ situation : Célibataire depuis plus d’un an, cette situation est un peu nouvelle pour elle car elle a été en couple pendant longtemps avec le même homme, qu’elle a finit par quitter. Il lui fallait une pause, histoire de se remettre les idées en place.
ꕥ occupation : Elle est infirmière scolaire au lycée de Staten Island depuis peu. Le public à l’air agréable, de même que l’équipe enseignante, et tenter d’aider les autres est une des valeurs principales autour de laquelle elle organise sa vie.
ꕥ quartier : Elle est née et a grandit à Staten Island, et habiter à nouveau le quartier de son enfance, elle le vit comme un retour aux sources, rassurant et facile à vivre.
ꕥ qualités : persévérante, empathique, prévenante, curieuse, travailleuse
ꕥ défauts : introvertie, peureuse, menteuse, hypersensible,  impulsive
ꕥ passions : {#}mode{/#} {#}thé{/#} {#}littérature{/#} {#}netflix-and-chill{/#} {#}piano{/#} {#}travailler{/#}
ꕥ groupe : groupe
ꕥ communautés : Lycée de Staten Island, cours de salsa
ꕥ scénario/pré-lien : c'est pas tout à fait ça, mais c'est ce pré-lien qui m'a inspiré Priya
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : oui
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Hello ! Seli au rapport (oui ça vient de Kaamelott). J'essaie de reprendre le rp et l'habitude d'écrire pour mes propres projets. Je ne sais pas encore très bien quel sera mon rythme d'écriture et de réponse, donc on verra.
Je viens d'avoir 25 ans (début avril) et franchement sans exagérer, tomber sur un forum comme ça c'est un cadeau d'anniversaire très sympa  cute j'adore l'ambiance et tous les sujets qui sont traités ici. J'ai fait seulement deux passages sur la CB mais je peux vous dire vous formez une super communauté que j'ai bien envie d'intégrer. Sinon, pour mes goûts et centres d'intérêts, je pense que tout est juste en dessous.
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates
ꕥ un film : Un long dimanche de fiançaille ou Amélie Poulain, un Jean-Pierre Jeunet dans tous les cas
ꕥ une série : Sense8 of course, mais en ce moment, je suis très One day at a time
ꕥ une chanson : Through the fire, de Larry Greene
ꕥ un animal : Un petit chat  Tag mode sur I've got 99 problems 3897432730
ꕥ un plat/dessert : Un bon vieux gâteau au chocolat, oh non… une key lime pie
ꕥ une boisson : Un thé au citron (oui j'aime le citron)
ꕥ une célébrité : Entre Stephanie Beatriz et Terry Crews mon cœur balance...
ꕥ un pouvoir magique : J'ai toujours rêvé de savoir voler

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : Grossophobie + relations toxiques romantisées

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? J'ai l'impression de courir après un temps dont je ne dispose pas. Tout ce que je prenais pour acquis dans ma vie s'est envolé du jour au lendemain, et je dois tout reconstruire en un temps record, pour rassurer mes parents qui sont de plus en plus circonspects face à mes choix de vie. Enfin, dire que je leur ment serait plus honnête. Je gagne du temps, pour repousser le temps de la conversation gênante que nous allons avoir. Il faudra leur expliquer pour mon mariage avorté, pour mon déménagement brusque, pour la bouteille de rosé que ma mère a trouvé dans le frigo. Toutes des questions qu'ils me poseront auxquelles je n'ai pas de réponse à apporter. Quelqu'un aurait un tuto pour expliquer à ses parents qu'on est peut-être pas la fille qu'ils ont cru avoir pendant des années ? Alors que j'en était moi-même persuadée...

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Pour ce qui est des addictions habituelles (de celles dont on voir les flyers partout dans les infirmeries scolaires et dont les mômes se foutent royalement), rien à signaler. Mais mes amis de fac m'ont toujours dit à quel point j'étais une "workaholic", toujours à bosser, même quand c'était inutile. Mais depuis quand on peut bosser pour rien ? Et puis je dois bien travailler pour pouvoir me payer toutes les fringues qui me font envie, une bien belle obsession de l'apparence que m'a refilée ma fashion-victim de mère. C'est plus fort que moi, je peux difficilement passer devant une vitrine sans sortir avec le dernier blazer a la mode ou ne pas passer des heures devant des magazines de mode. Mais je me soigne, j'essaie d'aller un peu plus en friperie. Comme je suis difficile, je fais des économies.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Une fin bizarre pour une relation très bizarre. Ce sont mes parents qui m'ont présenté ce type pendant que je faisais mes études. Leur objectif était bien entendu qu'on se marie, comme ils l'appelaient de tous les vœux. Lui et moi on s'entendait bien, on a même emménagé ensemble mais… je ne saurai même pas dire ce qui a foiré. On était sur la même longueur d'onde, on aimait les mêmes choses, on avait tous les deux la même horreur de la foule. Du coup je ne sais pas pourquoi je n'ai pas voulu aller plus loin. Je lui disais sans cesse d'attendre. Alors on a attendu et je n'ai jamais été prête, même si nous avons annoncé notre mariage dans l'espoir que ça change quelque chose. J'ai laissé notre relation mourir avant d'y mettre un terme par honte il y a à peu près un an. J'ai ramassé mes affaires au milieu de la nuit et je suis partie. Je ne lui ai plus jamais parlé. Personne ne sait ce qui m'a pris, même pas moi. J'avais juste cette étrange certitude que je devais partir avant d'étouffer.

Le dernier texto que tu as envoyé ? A Ryan Newman : L'Overkill, t'es sure ? tu connais pas un endroit plus calme ???

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? J'ai toujours été proche de mes parents, étant leur unique fille sur laquelle ils ont fondé leurs espoirs. Aucun frère ou aucune sœur pour me décharger un peu. J'ai l'impression pourtant que nous vivons dans deux dimension parallèle mais difficilement conciliables. Chez eux, on parle Rajasthani et Hindi, on brûle de l'encens sur l'autel de Vishnu, on ne mange pas de viande et surtout on ne boit pas d'alcool. Tout ça dans un joli pavillon de banlieue de Staten Island… J'ai grandi là dedans, et ça me convenait bien jusqu'à ce que je sois une ado bien plus intéressée par les dernières séries, les dernières fringues à la mode et son téléphone portable. J'ai commencé à transgresser les règles à cette époque, et ça continue aujourd'hui. Et ils commencent à peine à s'en rendre compte. Nous sommes vraiment proches, et c'est peut-être ce qui rend douloureux le sentiment que nous avons de vivre sur deux planètes différentes et que nous avons de plus en plus de mal à nous comprendre.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je passe principalement mon temps chez moi, à trainer en chemise de nuit ou en robe de chambre. Enfin, trainer c'est un bien grand mot. Disons que je sort assez peu car je déteste les endroits bondés. Je lis pas mal, j'apprend de nouvelles partitions au piano, et surtout, je regarde pas mal Netflix les soir après m'être commandé une Ropa Vieja chez le traiteur cubain du coin (ne le dites pas à ma mère). Je suis un peu trop tranquille diraient certains. Récemment, sur un coup de folie sans doute, j'ai décidé de m'inscrire aux cours de salsa que Ricardo Diaz organise après qu'il ait affiché un prospectus au lycée. Je suis terrorisée à l'idée de me ridiculiser devant des inconnus, mais quelque part, j'ai toujours rêvé de savoir danser.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il y en pas mal, surtout ces derniers temps. Que voulez-vous savoir ? La façon dont j'ai trahi les préceptes de ma caste Agrawal en consommant à foison alcool et viande sans demander pardon pour mes actions ? La façon dont je mens continuellement à mes parents sur mes habitudes soi-disant religieuses et la raison pour laquelle je ne suis pas mariée aujourd'hui ? La façon dont j'explique à des lycéens que l'abstinence est un moyen sûr de se protéger du VIH car c'est une consigne obligatoire ? Ou encore la façon dont j'ai laissé mon couple s'étioler, tout ça parce que je n'avais pas envie de coucher avec mon fiancé ? J'en parle peu, peut-être que je devrai…

this session is gonna be different
Seli ꕥ 25 ans
fréquence de rp : au minimum une réponse par semaine. ϟ fréquence de connexion : une fois par jour au minimum. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je peux m'adapter mais je fais en général en 400 et 500 je dirai. ϟ avatar à réserver : Tina Desai. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : C'est une question piège ?  tomato  ϟ comment avez-vous connu 99 ? Complètement pas hasard en surfant sur le net. Je suis arrivée via l'avatar de quelqu'un mais je ne sais plus qui  sifle ... ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? C'est ici qu'on demande un parrain la meuf complètement paumée ? sinon  uuh .
tumblr (gif) solsken (avatar)

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