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4 résultats trouvés pour poésie

dilater le vide de tes pupilles (svetlana)

Invité
32 r ; 1433 v.
Mer 26 Aoû - 23:59
Svetlana Feuerbach
33 ans - psychiatre
FEAT : Sasha Luss
Dans ses veines, l'Allemagne et la Russie s'entremêlent. Elle est toutefois venue au monde à Berlin durant l'année 1987. Élevée par un géniteur intransigeant, Svetlana n'a jamais connu la douceur d'une mère puisque de la sienne, elle n'a connu que l'absence et le froid du silence. Si son cœur s'en est honteusement atrophié, son père lui a enseigné comment habiller son âme d'acier. À travers la danse classique, elle est devenue femme disciplinée et perfectionniste mais s'est finalement tournée vers les rouages de l'esprit humain au bout de quelques années. Svetlana est devenue criminologue ; fascinée par cette immense part d'obscurité dont la plèbe transpire inlassablement. Elle a fait du sexe son idylle et sa plus belle échappée. Entre courbes féminines et virilité masculine, elle s'est égarée ; persuadée qu'ainsi elle pourrait combler les fissures que lui ont laissé ses blessures enfantines. Cela a duré jusqu'à ce qu'elle finisse par déposer les armes et qu'elle se perde dans les bras d'un homme avec lequel elle a toutefois fini par divorcer. Elle est devenue mère à son tour ; d'abord mal à l'aise et maladroite puis finalement aimante et protectrice. Mais malgré les tendres caresses d'un bonheur certain, la nuit n'a jamais cessé de l'attirer jusqu'au fin fond de ses profondeurs...
who am I
ꕥ âge : trente-trois ans. et autant de temps qu'elle court après l'effervescence épuisante de la passion. incapable de vivre dans les flots de l'inertie, incapable d'exister au sein d'une normalité dans laquelle elle ne fait que s'étrangler.
ꕥ nationalité : allemande. elle vient de là où le romantisme est plus violent et où les violons pleurent leurs tourments. entre les valses ordinaires et là où l'indulgence s'arrête, c'est son cœur qu'elle a mis en terre.
ꕥ ethnie/origines : russes. c'est le fléau que lui a laissé celle qui l'a portée durant neuf mois. d'ailleurs, certains pourront peut-être le remarquer dans la froideur de son regard clair. et de cet héritage impérial, elle a gardé le goût de la mélancolie ainsi que celui de la dignité imposée par la douleur.
ꕥ orientation : bisexuelle. svetlana n'a jamais eu peur de goûter et de détailler. elle a longtemps dévoré les fragilités des hommes et des femmes. son âme s'en est même fait des trophées.
ꕥ situation : divorcée, en couple. avec une de ses âmes sœurs, nesham, jumeau aux méandres presque identiques qui lui rappelle ses origines. parfait reflet masculin. cependant, elle essaie à peine d'effacer les bleus que lui a laissé l'amour précédent.
ꕥ occupation : psychiatre. elle analyse ce qui effraie, se passionne de ce que la société rejette. elle se distrait des ombres et des plaies, s'efforce de les comprendre et parfois même de les soigner.
ꕥ quartier : 74th street, upper east side. dans un appartement luxueux.
ꕥ qualités : disciplinée, cérébrale, perfectionniste, protectrice, sensuelle, sûre d'elle.
ꕥ défauts : impatiente, obsessionnelle, indépendante, sombre, lunatique, nostalgique.
ꕥ passions : {#}poésie{/#} {#}musique-classique{/#} {#}ballet{/#}
ꕥ groupe : i need help.
ꕥ communautés : gotha, scarlet casino, the lift, lgbt center, the outpost.
ꕥ scénario/pré-lien : personnage inventé mais aussi luxure dans ces pré-liens.
ꕥ parrain : non, merci.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : J'ai pas envie de me répéter, c'est grave ?  Tag poésie sur I've got 99 problems 3621181096

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry.
ꕥ un film : The Beach.
ꕥ une série : Peaky Blinders.
ꕥ une chanson : I'll still have me, Cyn.
ꕥ un animal : Cygne.
ꕥ un plat/dessert : Salade tomates mozzarella.
ꕥ une boisson : Eau.
ꕥ une célébrité : /
ꕥ un pouvoir magique : Téléportation toujours.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Je suis ouverte à la discussion, en vrai.


that's my story / self diagnosis
kriegerin - - amour abandonnique. elle est née sans avoir été désirée. dans le dégoût qu'impose la fatalité et sous l'impulsion duquel sa génitrice s'est étranglée de regrets. elle est la rature non-assumée. le surplus d'émotions indésiré. l'enfant créateur de boursouflures éhontés. celle dont l'évadée refusait catégoriquement de s'occuper. un poids que son cœur fut incapable de porter. très tôt, la gamine a compris que ses larmes n'avaient pas le droit d'être versées. puisque la tendresse et l'affection s'étaient barrées avec celle dans le ventre de laquelle elle s'était formée. pour modèle, svetlana n'a eu que les colères anarchistes de son paternel. elle a appris par cœur la saveur de ses silences glacés et s'est inspirée à outrance de son impassibilité. autour de ses fragilités, c'est un corset d'acier qu'elle a lacé ; écœurée par la faiblesse, blasée par l'ingratitude des pleurnicheries, et rejetant l'idée d'incarner la victime. l'enfance méticuleusement écorchée lui a permis d'épaissir son armure, de s'habituer aux plaies, et d'outrepasser les chagrins muets. absorbant la force jusqu'à l'excès ; svetlana a souvent oublié qu'elle n'était qu'une enfant délaissée. rien qu'une petite fille assoiffée par l'envie d'inspirer à celui qui l'a élevée rien qu'un peu de fierté. c'est ainsi qu'elle est devenue guerrière et que sa volonté est devenue carnassière.

black swan - - l'écrin doré et sophistiqué du ballet est devenu l'endroit où son âme érodée se cachait. la pauvreté du cœur transformant peu à peu ses douceurs en exacerbation de perfection, le moindre de ses gestes étaient mesurés. contrôlés. scrutés. à l'heure où la gamine faisait fleurir ses courbes féminines, le contrôle absolu s'est naturellement imposé en frère d'armes. elle se voulait étincelante. aveuglante. remplir de regards déplacés tous les creux laissés par ses parents et dont son innocence était balafrée. svetlana était à peine adulte que déjà la puissance, la domination, et la séduction sont devenus les principaux piliers de son charisme provocant. dans les bras de son égoïsme tentaculaire, le fléau de sa corruption s'est fait grandissant et de plus en plus envahissant. au point où l'humanité coincée sous sa poitrine fébrile s'est fissurée afin de laisser s'échapper l'horreur singulière d'une haine déguisée de suavité et d'ailes brisées. elle a dansé et s'est éreintée, avec ardeur et déraison, comme d'autres espèrent la félicité. sa beauté absolue, à travers pas chassés et grands jetés, c'est en l'arrachant à l'aide de ses ongles qu'elle se l'est appropriée.

anagramme - - résultat d'une équation désastreuse, à seulement seize ans, elle est parvenue à irradier le regard d'un homme. sous les flammes illicites de leurs vingt ans d'écart, svetlana s'est honteusement amusée de l'effervescence de ses charmes. elle s'est abandonnée sans concession ; cherchant l'absolution de ses maux dans l'adoration toxique et malsaine que le mâle lui vouait indécemment. si lui l'a peut-être aimé, le myocarde de la guerrière n'a jamais réellement vibré. sous l'obscure influence de sa belle-mère, elle s'est exercée à soumettre, séduire, et abuser. mais c'était sans compter les dangers et l'embryon qui, dans son ventre, a décidé de s'incruster. elle a avorté. sans comprendre ce qu'il se passait. son visage se confondant dangereusement avec l'indifférence morbide de sa génitrice. et puis la honte éprouvée par son père s'est contentée de l'achever. lamentable, et esseulée face à des remords qu'elle n'avouera jamais, son muscle moteur a continué à s'atrophier. son salut demeurait encore dans la danse. mais son esprit, quelque peu désaxé, s'est vu avaler par autre chose : les détours de la psyché humaine. la pensée. et toutes les complications qu'elle était capable d'engendrer. le destin l'a poussé à sombrer dans l'étude des déviances criminelles, de ces personnes que la société recrachait dans une cellule de prison ou dans une chambre d'isolement.  

shockingly evil and vile - - imperceptiblement usée, elle a délaissé la noirceur de ses ecchymoses en quittant berlin. à coup de songe épineux, l'europe a vieilli sous l'exigence virulente de ses yeux. dix-huit ans fut l'âge de son émancipation. en tournant le dos à tout ce qu'elle connaissait, les perspectives d'une vie différente ont remplacé la toxicité de ses souvenirs lacérés. svetlana s'est échouée à san francisco, aux états-unis, mettant au placard les étoiles qu'elle avait pu récolter en dansant, afin d'en favoriser ses macabres penchants à travers ses études en criminologie. ces nouvelles étincelles animèrent en elle une étrange curiosité qui, durant de longues nuits, l'ont parfois tenu éveillée. elle savourait le plaisir à inter-changer son  esprit avec ceux que l'on condamnait. elle aimait vaquer et flâner au creux des menaces dont se parsemaient des idées aussi immorales que détraquées. peu à peu, elle a transformé l'horreur en parc d'attractions ; avide et dramatiquement excitée par ce qui deviendra sa plus grande obsession.

take me to church - - diplôme en poche et libérée d'un bon nombre de contraintes sociétales, elle a mûri et grandi, entassant de plus en plus souvent quelques corps au creux de son lit. en charogne vénale, ses envies brûlantes s'imposaient dans le velours de la nuit ; si bien que ce n'est que dans l'enchevêtrement lascif qu'elle était capable de reprendre son souffle. l'encéphale agité se taisait aux diffusions de dopamine. quelque part entre l'indécence et la dépendance, svetlana s'est sentie revivre. dans une liberté insoumise et piquante qui, peu à peu, l'éloignait de la normalité. rien ne comptait plus que ses besoins. son plaisir. cette violente nécessité à se sentir emplie alors que le vide en elle creusait pourtant l'agonie ; lente et fiévreuse, désordonnée et chaotique. aucun cœur ne suffisait. aucune âme ne l'ébranlait. jusqu'à gaïa ; déesse aérienne qui, entre ses doigts, s'est faufilée. pour la première fois, ses battements cardiaques se sont colorés d'amour ; possessif et confus mais malgré tout sincère. à ses pieds, elle est tombée. toutefois, l'ébène de ses cheveux a disparu. au même titre que son amour à peine murmuré. gaïa l'a laissée plantée là et s'est éloignée d'elle sans se retourner. en ce départ inexpliqué régnait sa pénitence pour l'avoir plus d'une fois bafouée.  

problem with you - - guérir. elle a cru le faire auprès de lui, s'était même persuadée qu'il détenait la clé de sa sérénité. bartholomew fut pour elle cette évidence impossible à nier. comme un fait scientifique indiscutable face auquel ses failles auraient simplement dû se taire. en tant que proche de la famille, il avait tout du gendre idéal. son géniteur le validait. leurs personnalités se confondaient. tout était parfait. peut-être un peu trop pour qu'elle ose y croire. pour qu'elle lui fasse confiance. cet attachement, trop profond, lui a brûlé l'échine. et par lâcheté, par confort, svetlana a déchiré la toile de ce tableau sans craquelure. pas assez mature pour assumer l'immense amour qui l'enveloppait. incapable, en vérité, de gérer ce trop-plein de dépendance dont barholomew était devenu la cible. il s'en est donc suivi tromperies et morsures. querelles puis haine ; tantôt viscérale, tantôt courtoise. dans l'effusion d'un bonheur qu'elle regrette encore à présent, elle a mis au monde deux enfants ; qu'elle a détesté de la rendre aussi vulnérable. puis jade est arrivée, un an après, suite à l’ambiguïté persistante qui la reliait à nesham. son meilleur ami. pour être à ses côtés, elle a divorcé. pour être à ses côtés. mais aussi pour amoindrir l'intensité de ses sentiments indésirés. et devenir une véritable mère malgré ces relents de misère.

open season - - nesham est resté à ses côtés. malgré les pleurs, les humeurs, et les écorchures engendrées par la dépression. l'amitié s'est transformée. comme une âme sœur que svetlana n'a pas su reconnaître. comme la parfaite solution qui était sous son nez. elle n'a pas compris qu'elle était amoureuse, qu'au-delà de son obsession pour la douleur ; il existait la chaleur solaire de cet homme auprès d'elle. qu'elle a préféré considérer comme un frère. pour se faciliter la tache. de peur d'à nouveau se tromper. elle en tremble encore. elle hésite. elle titube. au bord de ses lèvres qu'elle aime tant embrasser. jusqu'au fond de ce regard pur qui la rassure et qui la guide lorsque tout devient trop dur. aucun malaise ne l'atteint lorsqu'elle entend le son de sa voix, qu'elle se surprend à vivre leur vie de couple. mais elle suffoque à chaque fois que son passé lui tend les bras et que ces traumatismes reviennent l'empêcher de dormir. elle a foi en eux, foi en lui, et en cette vie qu'ils pourraient bâtir à deux. toutefois, elle a besoin de finir le deuil de ses échecs cuisants. de son divorce. c'est la seule manière pour elle de réapprendre à vivre. avec lui. celui qui, durant longtemps, a dû se contenter du simple rôle d'ami.


this session is gonna be different
maaelstrom / stéphanie ꕥ 27 ans
fréquence de rp : Aléatoire. ϟ fréquence de connexion : Journalière. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? De 500 à 800 mots. ϟ avatar à réserver : Sasha Luss. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ... Suspense. ϟ comment avez-vous connu 99 ? Bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? I love you
bazzart - le créateur a été supprimé (icône) kidd (avatar)

what are you willing to loose ? (eris)

Invité
19 r ; 727 v.
Jeu 4 Juin - 4:57
Eris Castle
33 ans - Cambrioleuse
FEAT : Zoë Kravitz
un monde qui n'est guère beau, la pauvreté, et les difficultés quotidiennes. ce qu'Eris découvre quand elle vient au monde. Tout ce qu'elle a, c'est une mère forte, c'est une sœur vaillante, c'est la volonté. La volonté qui déraille, la perte qui s'engouffre dans leurs vies. Il y a la mort de la sœur, grave maladie l'emportant. Il y a la mort de ma mère, chagrin pour cause. Il y a la mort de ses rêves, et la découverte de la rue, la survie avant tout, pour une femme qui perd trop. Esprit défaillant, esprit instable, elle peine à survivre, elle vole, tente de trouver une stabilité, mais finit par commettre l'impensable, cause la mort d'un homme. Et se doit de purger une peine, six ans de prison, elle a de la chance. Six ans de prison, elle a souffert. Elle est différente, quand elle revient. Elle est différente, brisée, quand elle la trouve. Femme de sa vie qu'elle tente de dérober, vieux travers toujours présents, elle finit par découvre l'amour, s'enfuit avec cette dernière, comprend la jalousie. la vie n'est superficielle qu'un moment, et quand l'argent manque, c'est au sein de cette secte qu'elles trouvent de quoi survivre. Deux amantes dans un monde obscure, treize mois de violences tant physiques que morales, avant que sa belle ne parte. Qu'il ne reste plus qu'elle. Qu'elle s'effondre. Et s'enfuit finalement. Esprit saccagé, de retour dans son monde à elle, elle n'a que faire de la survie si sa lueur n'existe plus, lueur qu'elle ne trouve que dans le regard de sa promise... si seulement elle pouvait la retrouver, si seulement elle pouvait ne pas flancher, malgré les fêlures de son âme, de son esprit. De son cœur.
who am I
ꕥ âge : déjà trente-trois ans qu'elle se heurte aux obstacles que le monde prend soin de placer sur son chemin, elle commence à s'épuiser, se lasser, sans l'être cher à ses côtés.
ꕥ orientation sexuelle : l'âme. l'âme a toujours primé sur le corps, pour elle. voir la profondeur d'une personne est tellement plus puissant... elle se dit pansexuelle, mais la réalité est qu'elle est homosexuelle et panromantique puisque si le cœur saurait se contenter de l'âme, le corps ne sait que toucher les femmes, se refuse à glisser contre les muscles des hommes.
ꕥ situation : il n'y a de place pour personne dans sa vie. personne d'autre que celle qui vint la sortir de sa misère, qui vint toucher son cœur, douce caresse sur son palpitant, lèvres scellées dans un secret, amour éternel qui ne saurait se briser. malgré la fin de sa romance, elle reste éperdument amoureuse de cette femme.
ꕥ occupation : rien. il n'y a rien qu'elle sache faire, aucune études à son actif, aucun travail honnête pour le moment. rien, sauf son vice le plus maudit, celui qui lui causa ses six années en cage, le vol, doigts aiguisés, entraînés à subtiliser, elle se spécialise néanmoins dans l'effraction, dérobe secrets et bibelots pour pouvoir s'en sortir.
ꕥ quartier : vogue dans le bronx le regard perdu, de retour en ville, elle n'a rien a elle.
ꕥ qualités : courageuse, passionnée, forte, intelligente, différente, observatrice, franche, loyale envers l'être aimé, sensible.
ꕥ défauts : jalouse, possessive, instable, irascible, perdue, amorale, violente (parfois), grossière, irrespectueuse.
ꕥ passions : {#}tatouages{/#} {#}drogue{/#} {#}poésie{/#} {#}larcin{/#}
ꕥ groupe : i need help
ꕥ communautés : planned parenthood, LEA
ꕥ scénario/pré-lien : pré-lien d'{@=567}adriana sparks{/@} (mais non écrit, donc pas d'url)
ꕥ parrain : si possible, ce sera avec plaisir, oui  uuh

all about my player
ꕥ petite présentation perso : bonjour bonjour... je m'appelle Victoria, j'ai 23 ans, je suis en droit, et ma passion, c'est l'écriture. c'est ainsi qu'en 2014, j'ai commencé à arpenter le monde des forums rps, bien qu'au début, je n'étais pas à l'aise du tout. puis, petit à petit, j'ai pu évoluer, m'améliorer, rencontrer des personnes incroyables (comme la joueuse d'adriana)... j'aime le rp, j'adore ça, même. j'adore créer, je pense avoir une imagination assez fournie, qui me permet d'avoir des idées, sans cesse. et quand je peux les mettre en pratique, et écrire, jouer des histoires, je suis comblée. j'adore aussi rencontrer de nouvelles plumes, lire de nouvelles histoire. en vrai, je suis une mordue de lecture, même si on ne va pas se mentir, je ne lis pas des ouvrages de la grande littérature française  Tag poésie sur I've got 99 problems 36146562 mais des romans, des fictions... j'adore ça. d'ailleurs, cela fait quelques temps que je suis sur mon propre roman, que j'essaie d'écrire, plus pour moi que pour le faire lire, haha. sinon, j'adore les séries, j'adore les comics. DC, ou marvel, je suis fan. je prends les deux, parce qu'il y a des pépites de chaque côté. (ne regardez pas un film ou une série de super-héros avec moi, vous allez m'entendre comparer aux comics tout le temps mdrrr). sinon, ben... hmmm... en fait je ne sais pas quoi dire d'autre, doooooonc. voilà. (j'suis pas douée en conclusion mdr)

petit portrait chinois
ꕥ un livre : trilogie de l'ange de la nuit - brent weeks
ꕥ un film : the greatest showman
ꕥ une série : lucifer
ꕥ une chanson : phoenix - chrissy costanza & cailin russo
ꕥ un animal : un chat, un serpent, une chouette, une loutre (non, je ne me décide pas mdr)
ꕥ un plat/dessert : sushis et forêt noire
ꕥ une boisson : eau citronée (j'aurais dit soda, mais j'ai arrêté)
ꕥ une célébrité : tasya teles (et d'autres, quand même, je ne peux pas toutes les citer)
ꕥ un pouvoir magique : me transformer (ou arrêter le temps ?  hidebox )

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : aucun.


that's my story / self diagnosis
you cover your wounds, but underneath them, a million voices in your head that whisper, "stop, now"

Douce folie qui la réveille, femme perdue dans un monde de feu, le regard anéanti face au néant de sa vie, qui hurle à l’agonie, terreur encore présente en elle, marquée au fer rouge contre son épiderme, le souvenir seulement pour seul compagnon, alors que sa mémoire faillit, qu’elle peine à retrouver ses esprits. Il n’y a plus rien. plus rien à retrouver, de toutes façons, âme saccagée par tant d’horreur, faucheuse en peine qui ne prend plus le temps de s’intéresser à elle. elle en a déjà trop fait . elle en a déjà trop pris. Le monde n’est plus le même. la vie n’est plus pareille. Il n’y a plus personne, les départs l’ont fracassée, douce fleur poussant sur le bitume.
d’abord la sœur, le cauchemar récurrent, l’infâme ne voulant laisser la famille tranquille. Un être abominable, comparé à son aînée. Un être abominable, la maladie. Fatale, qui prive le monde d’un cadeau, qui prive le monde d’une chaleur, cette sœur toujours présente pour la maudite, cette sœur qui savait lui conter monts et merveilles pour les sortir de la pauvreté, pour leur assurer un avenir meilleur, pour soutenir leur mère, forte, seule. Merveilleuse sœur, femme de bon cœur, qui s’assurait de toujours être présente, qui était dotée d’une telle gentillesse, une telle bonté. La vision d’un enfant envers cette ainée, la vision d’une enfant qui la décrivait comme une héroïne. Et la lâche tumeur qui s’installa, détériorant sa santé au fil du temps. le désir de le stopper, le temps, la vie. le désir de tout arrêter, pour préserver cette pureté qui existait pour elle, cette personne qui existait pour elle, cette promesse qui lui avait été faite, de l’emmener ailleurs, de lui donner une vie meilleure, de l’aimer jusqu’à la fin des temps. le désir qui n’écoute pas, les larmes qui ne s’arrêtent plus, chagrin immense lorsque la mort et son manteau noir viennent la prendre, première âme de la famille à être emportée.
ensuite, la mère, l’horreur encore présente dans son esprit, les fêlures qui marquent son esprit, destin tragique qui ne sait s’arrêter, qui ne cesse de vouloir la torturer. Destin tragique, un souvenir de plus, les sanglots qui coulent, alors qu’elle voudrait fermer les yeux pour oublier. Oublier cette horreur, oublier ces pleurs, les sanglots d’une mère qui ne sait pas comment vivre sans son bébé, qui affronte la douleur pour s’occuper de la seconde. Qui affronte la douleur, mais rêve d’un repos éternel, aux côtés de son trésor. Son trésor. Eris n’a pas cette place dans son cœur, n’a pas assez de son amour pour lui supplier de rester, alors que dans son rêve, petite enfant, elle s’écroule d’un coup, les cris des voisins qui se heurtent à son ouïe, songe devenu cauchemar quand elle rapplique en courant, mère écrasée au sol qui n’en a plus pu, le saut de l’ange, l’acte du démon, les étages qui reflètent la peur, l’horreur, alors que plus jamais les yeux d’eris ne sauront se fermer. Pas avant des années.
puis le vieil homme, un inconnu, et des années de plus au compteur. La survie pour seule compagne, quand le corps n’est pas pris par les regrets, par les détresses. Elle s’accroche, mais la vie ne veut pas d’elle. elle s’accroche, trouve quelqu’un pour y planter ses griffes, pour oublier d’être seule, tout en détruisant chaque parcelle de bonheur dans ses iris tâchés de larmes, devenus vitreux avec les substances qu’elle s’injecte, pour ne plus penser, pour ne plus pleurer, pour ne plus sentir. Ni ressentir. Elle s’accroche, garde pour objectif d’affronter la mort, plutôt que de l’accepter, et ses talents se développent, le vol pour seul frisson, le vol pour seul salaire. Glissade dans les demeures pour s’emparer des bibelots, les revendre au prix bas, pour n’éveiller aucun soupçon. Billets durement gagnés, son seul souffle quand elle laisse le sommeil s’emparer d’elle : elle n’est pas sans rien. mais cette nuit, tout s’écroule. Car dans la maison, il y a quelqu’un. Vieillard qui se réveille en entendant un bruit, confrontation rapide, sursauts de chaque côtés, mais cardiaque pour l’un. Eris le voit s’effondrer, homme à terre. figée sur place, mort de plus. elle oublie tout, même la fuite, alors que la police parvient sur les lieux, alertés par un coup de fil. Il n’en faut pas plus pour que les menottes prennent place. Et que le cœur s’emballe.
elle a tué. Meurtrière.

douce folie qui la maintient éveillée, la nuit est noire, pleine de terreurs, les monstres rodent, démons de son passé, démons de son présent, démons de son futur. Les cauchemars ne sont pas les seuls à s’acharner sur elle, les séquelles aussi, les vices aussi. Les marques, toujours présentes, son esprit craquelé, qui ne s’en remet pas. les songes d’une nuit heureuse ne remontent qu’à des décennies, tandis qu’elle endure toujours un peu plus les sévices qu’on lui a fait, les sévices qu’elle a causé. elle a durci son cœur. elle a durci son âme. pour se protéger, pour ne pas souffrir. Pour se protéger, pour ne pas mourir. Tandis qu’elle revoit tout ce qui est arrivé, qu’elle revoit les horreurs sur son corps.
d’abord, les maltraitances de la prison, celles qui ne la voient pas d’un bon œil, celles qui se font appeler les reines de l’endroit, qui dirigeent d’une main de fer les autres détenues. Pourtant, elles ne sont pas sans faute, criminelles endurcies qui ont oublié le goût de la liberté. Mais la différence, les préjugés la tourmentent, les habitent. Elle ne sait résister, au début, elle ne sait comment faire au début. Il y a les bousculades. Il y a les menaces. Il y a les coups en traître. On ne l’aime pas. il y a les douches, celles qui finissent pas ressembler à un carnage, les pleurs, les cris, les horreurs que son corps subit. Il y a l’eau bouillante, il y a les outrages à son corps, il y a le sang. Supporter cela est impossible, elle craque, elle déraille, elle se défend enfin, elle oublie la morale, elle frappe, elle rend les coups. Elle se défend, elle a mal. Elle se défend, elle fait mal. Il y a les poings, il y a les bagarres. Il y a les mots qui vrillent, l’esprit qui se fêle, le monde qui s’écroule, la brisure qui sépare l’avant et l’après. Le point de non-retour, tandis qu’elle se perd, pendant six années. Qu’elle se perd, s’oublie. Perd tout, aussi. Ancre qui disparait, compagne qui s’enfuit, argent qui s’envole. Elle n’a plus rien, à sa sortie, mis à part les déboires psychologiques, les horreurs qui s’inscrivent sur sa peau, qui s’inscrivent sur son âme.
et puis il y a la secte et les violences de cette dernière, promesse d’un avenir meilleur, promesse d’un réconfort, d’une vie sans difficultés. Promesse d’un foyer, quand elle se souvient avoir franchi le pas avec l’amour de toute une vie au bout de sa main. Promesses qui flanchent, seul le foyer reste. Mais le réconfort disparait, il y a des larmes, des cris, des meurtres. Avenir bien pire, il y a les coups, les violences faites à son aimée, les violences qu’on lui inflige. Il y a la brutalité qui s’empare d’elle, qui s’empare d’elles. Il n’y a plus rien, plus de morale, plus que des maltraitances, des sourire atroces, parfois. Les coups jusqu’à la mort, les agressions sexuelles, la vie disparait, entre ces murs. La vie disparait, quand on ouvre les yeux. Seule son amante parvient à lui donner la force, tandis qu’elle voit les pertes, qu’elle participe, qu’elle inflige toutes ces horreurs.  Qu’elle devient inhumaine.
elle devient un monstre.

douce folie qui la fait rêver, le seul bonheur de sa vie, celle qui a tant su l’aimer que la détruire, fureur de son cœur, qui ne demande qu’elle, fureur de son âme, qui ne veut qu’elle. et la colère d’être abandonnée, et la colère qui saccage ses doux rêves. Qui laisse les larmes s’emparer d’elle, quand elle ferme les yeux. Parce qu’elle est sa seule vraie pensée, parce qu’elle est la seule reine de son palpitant, parce qu’elle ne sait l’oublier, ne veut pas l’oublier. elle qui a su aimer un esprit éteint. celle qui lui a montré que son âme n’avait rien d’horrifiant.
d’abord, il y eut la rencontre, celle qui ne décrit rien de romantique, celle qui reste loin d’une beauté. Quand eris, sortie de prison, n’a rien. plus rien. et qu’elle peine à se refaire, qu’elle se remet à voler, oublie que tout a commencé ainsi, que tout se répète. Et c’est elle qu’elle trouve. Elle, qu’elle tente de dérober. Elle, qu’elle approche, comme attirée, aimant qui la guide, elle ne comprend pas son choix, mais sa main dans le sac, elle se fait prendre, dextérité perdue, ou désir inconscient de ne pas lui faire de mal ? elle n’en sait rien, la regarde, et ne sait plus parler. Il y a le tambourin de son cœur qui s’affole, il y a les pulsations de son cœur qui la font vibrer. Il y a comme de l’électricité dans l’air, ce coup de foudre qui s’empare d’elle, ce regard qui la perd. Elle bredouille, quand elle retrouve la parole, mais ne sait comment exprimer ce qu’elle ressent, ne sait même pas ce qu’elle ressent, ne l’a jamais ressenti. Amour. Ce doux nom, qu’elle ne connait réellement que pour l’amour familial. Amour, cette puissance, cette flamme, qui ne sait se défaire d’elle, tandis qu’elle flotte sur un nuage, qu’elle finit par tenter de s’excuser, cette main qui ne parvient pas à lâcher ce qu’elle tient, jusqu’à ce que la demoiselle dépose ses doigts sur le bras tatoué, et que son toucher chaleureux parvienne à tout cesser. Doigts qui se détendent, il y a l’impression que son myocarde va exploser, il y a ce regard qui ne la désire plus qu’elle, il y a cette impression, cette folle attirance.
ensuite, il y a la passion, c’est comme un rêve, c’est comme une nouvelle vie. un nouveau monde qui se découvre à elle, et ce sentiment toujours plus puissant qui la garde précieusement. Cette main qu’elle aime prendre dans la sienne, et les découvertes de son histoire, de sa vie, à cette merveilleuse adriana, nom de la femme de sa vie, une certitude qui embrase son cœur. cette passion, qui les dévore. Cette première fois, sous les étoiles. Ces caresses qui ne savent s’oublier, qui existent toujours contre sa peau. et les lippes qui viennent trébucher contre les siennes, langue qui vient danser avec la sienne, et chaleur qui perdure jusqu’à l’aube. Relation interdite qui transgresse les codes sociaux, mais qui fait des étincelles, tandis qu’il y a les rires, qu’il y a le bonheur, qu’il y a la folie. La folie des grandeurs, les promesses toujours plus belles, les rendez vous secrets… le paradis sur terre, dans le fin fond des yeux d’adriana.
puis la jalousie, ce qu’elle découvre peu après cet amour. La jalousie, quand son aimée s’approche d’un homme, d’une femme. la jalousie, quand elle comprend qu’elle ne sera jamais assez bien pour la famille de sa belle, quand elle comprend qu’on voudra les séparer. Cette jalousie, qui lui crève le cœur, lui fait mal, la détruit complètement. Cette rage, qui sommeil en elle, et ce besoin de s’assurer qu’elle est sienne. Demande faite sur un coup de tête, partir avec elle, partir loin de cette ville, loin de cette famille, loin de ces ondes maudites. Une demande acceptée, la vie la plus belle, la jalousie toujours là, mais le soulagement d’avoir la confiance de la seule personne au monde qui sait l’aimer.
et enfin, la séparation, les larmes qui ne s’arrêtent pas de couler, quand, après treize mois au sein de la secte, du cercle rouge, elle découvre avec horreur que sa promise n’est plus là. les horreurs du lieu l’auront faite fuir, mais eris tient bon, a toujours tenu bon pour elle. mais eris oublie la morale, oublie l’inhumanité pour elle. mais eris ne veut qu’elle. qu’elle, pour toujours et à jamais. qu’elle, qui sait comment la rendre forte. Elle. qui est partie. Les larmes. La rage. La colère. Le vide. Néant abominable qui emporte son palpitant, elle ne sait plus survivre au cercle, finit par tomber, force vitale qui ne tient plus. elle finit par tomber, garde la volonté pour s’enfuir, les pas qui la ramènent là où son destin l’a mise en face de son amour.
elle ne sait vivre sans elle.




puisque mon gif a plu, autant le laisser:





this session is gonna be different
Victoria ꕥ 23 ans
fréquence de rp : au moins un rp par semaine, voire plus ϟ fréquence de connexion : souvent. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? aucune importance pour mes partenaires. ceci dit, moi je serais entre 500 et 1300 mots. c'est une fourchette large, cela dépendra des rps, il est évident que tous mes rps ne feront pas 1300 mots xDϟ avatar à réserver : zoë kravitz ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rose, c'est évident  Tag poésie sur I've got 99 problems 36146562  ϟ comment avez-vous connu 99 ? par ma petite chouette adorée {@=567}adriana sparks{/@} ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? début.  Tag poésie sur I've got 99 problems 3309353901 (plus sérieusement, j'adore le forum, je sens que je vais vraiment m'y plaire  Tag poésie sur I've got 99 problems 3348919469
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(ivy) si tu t'arrêtes, je meurs.

Invité
22 r ; 797 v.
Dim 31 Mai - 19:26
evelyn "ivy" murray
30 ans - avocate
FEAT : keira knightley
ivy, aventurière dépendante de l'amour, de toute forme d'attachement. blessée par la solitude, bien trop souvent par les gens, ses propres sentiments. ivy est terrifiée à l'idée de finir seule, à l'idée de n'avoir plus personnes à ses côtés. tempête humaine qui prend trop souvent les mauvaises décisions, qui ne fait pas exprès de blesser ceux qu'elle aime et pourtant qui recommence encore et encore. celle qui n'assume jamais et tente toujours de justifier ses actions. profondément gentille mais, incapable de s'y prendre de la bonne manière. elle n'aspire qu'à une seule chose.. vivre une vie meilleure et trouver l'amour de sa vie.
who am I
ꕥ âge : trente ans, absolument pas dérangée à l'idée d'avoir passée ce cap.
ꕥ orientation sexuelle : pansexuelle, ivy n'est pas une femme difficile -enfin ça dépend-
ꕥ situation : elle n'avait jamais imaginée encore sortir avec un couple marié.. désormais c'est chose faite, dans une parfaite histoire libre en compagnie d'une femme dont elle est éperdument amoureuse et d'un homme attachant, c'est déjà bien.
ꕥ occupation : avocate spécialisée dans les droit de la famille. une valeur qu'elle peine à défendre aujourd'hui depuis l'ignorance de ses parents.
ꕥ quartier :  manhattan, 74th street upper east side avec la famille hastings et sa tortue bertolli.
ꕥ qualités : courageuse, aventurière, drôle.
ꕥ défauts : impulsive, têtue, tête en l'air.
ꕥ passions : {#}tortue{/#}, {#}poésie{/#}, {#}droit{/#}
ꕥ groupe : idk what you're talking about
ꕥ communautés : # park avenue plaza (business building)
ꕥ scénario/pré-lien : scénario arrangé avec {@=552}Isolde Hastings{/@} & {@=497}Tristan Hastings{/@}
ꕥ parrain : non merci  puppy

all about my player
ꕥ petite présentation perso : pas grand-chose de nouveau depuis la dernière fois sifle j'suis toujours la même petite belge fofolle qui passe un peu trop de temps sur les rps, mes sims, ma play et maintenant surtout ma switch VIVE ANIMAL CROSSING Tag poésie sur I've got 99 problems 2153884322 j'ai désormais vingt-cinq ans -et à nouveau la blague stupide, c'pour toi debo- toutes mes dents. j'ai pas changée de boulot malheureusement pour moi, on va éviter de déprimer avec cette situation Tag poésie sur I've got 99 problems 2153884322 j'vous aimes fort, contente de vous avoir comme deuxième famille  puppy  Tag poésie sur I've got 99 problems 2881807329  Tag poésie sur I've got 99 problems 3897432730

petit portrait chinois
ꕥ un livre : la saga harry potter dans le sang.
ꕥ un film : la saga harry potter forever.
ꕥ une série : friends encore et encore.  puppy
ꕥ une chanson : billie eilish - my strange addiction
ꕥ un animal : un renard.
ꕥ un plat/dessert : une bonne salade de fruits.
ꕥ une boisson : de la grenadine, je carbure à ca depuis quelques jours du coup Tag poésie sur I've got 99 problems 2153884322
ꕥ une célébrité : kaya scodelario  Tag poésie sur I've got 99 problems 3906856619
ꕥ un pouvoir magique : faire disparaître certaines personnes -oui j'assume Tag poésie sur I've got 99 problems 2153884322-

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : j'en discute toujours avec mon partenaire si une situation me dérange ou quoi que ce soit.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...(+) ivy est née à new-york au sein d'une famille aimante, un brin conservactrice mais, sinon tout ce qu'il y'a de plus normal. seconde de la famille, son grand-frère neal à toujours été un mentor à ses yeux, un modèle, un exemple à suivre.. tandis que son petit-frère lui à toujours été l’élément perturbateur, celui en manque d'attention, à ne jamais savoir quoi faire de sa vie. (+) la famille à toujours eu une place importante dans son coeur, peut-être parce qu'elle n'a jamais pu supporter la solitude, de passer une journée seule dans cette grande maison. rapidement elle développe une peur de l'abandon qu'elle cache la plupart du temps avec de mauvaises décisions, des bêtises dont elle ne réalise jamais la gravité et qu'elle assume très rarement juste derrière. (+) dès plus son jeune âge, ivy sait, n'a aucun doute sur la vocation qu'elle désire prendre en étant plus grande. ivy veut être avocate, changer le monde, venir en aide à ceux dans le besoin, à ceux qui sont incapable de s'exprimer. même si son rêve se tourne d'abord vers l'environnement, ivy décide rapidement de s'orienter dans quelque chose de plus "sérieux" comme aime souvent dire son père, les droits de la famille. (+) elle réussit dans beaucoup de domaine ivy, studieuse les études sont presque une facilité à ses yeux.. s'il y'a bien une chose qu'elle ne parvient pas à gérer pour autant ce sont les relations amoureuses. (+) ivy réalise rapidement -malheureusement pour elle- qu'elle est incapable de rester seule. après une première relation catastrophique, elle retombe rapidement amoureuse, ainsi de suite, jusqu'à ne plus jamais profiter de son statut de célibataire. des relations qu'elle cache bien souvent à sa famille, jamais assez longue pour finalement présenter qui que ce soit. (+) pour ne pas lui faciliter les choses, elle découvre assez jeune son attirance pour les femmes, dès l'adolescence elle tente d'embrasser sa meilleure amie, qui finit par la quitter elle aussi. des pertes douloureuses qu'elle tente toujours de remplacer, parce que chaque rupture vaut à ses yeux un profond chagrin d'amour, une situation qu'elle est incapable d'expliquer. (+) alors, ivy parfois parle beaucoup trop, se change les idées en fonçant tête baissée sans jamais penser aux conséquences, qu'elle n'assume pas de toute façon. ivy détourne toujours l'attention du problème, raconte toujours que ce n'était pas volontaire et ce n'est pas vraiment des mensonges. elle est simplement incapable de réaliser ce qu'elle fait parfois subir à son entourage, incapable de voir plus loin que le bout de son nez. (+) sa dernière relation à durer plusieurs années, elle pensait que c'était l'homme de sa vie, le père de ses enfants. comme toujours ivy aurait remuée ciel et terre, fait n'importe quoi par amour. ils avaient même emménagés dans un petit appartement ensemble, pour la première fois de sa vie c'était quelque chose de vraiment sérieux, le premier qu'elle pouvait enfin présenter à ses parents. mais, le drame.. cinq ans plus tard elle découvre qu'il la trompe depuis de nombreuses années avec sa secrétaire et pour la première fois de sa vie, ivy décide elle-même de rompre. (+) la chute est douloureuse, assez pour la remettre entièrement en question sur son avenir. elle s'achète un petit studio pour ne plus jamais se retrouver à la porte, pour combler son manque affectif elle adopte une petite tortue terrestre trouvée dans un parc. son animal de compagnie bertolli qu'elle s'est même faite tatouée sur sa cheville et décide de commencer une nouvelle vie seule.. enfin jusqu'à ce qu'elle rencontre isolde quelques semaines plus tard et qu'elle retombe une nouvelle fois à ses vieux démons. (+) ivy tombe immédiatement amoureuse, une nouvelle fois complètement dépendante de sa relation amoureuse mais, elle est persuadée au plus profond de son coeur d'avoir trouvée l'amour de sa vie. rapidement, elle accepte l'impensable ; une relation avec un couple marié. elle qui pourtant n'avait jusqu'à présent jamais envisager d'être amoureuse de deux personnes en même temps. c'est nouveau pour elle mais, pour isolde elle serait capable de tout, y compris de tout accepter. (+) c'est quelques semaines plus tard qu'elle rencontre arthur pour la première fois, un homme doux, plus que charmant qu'elle pense sincèrement aimer au départ. (+) après plusieurs mois de relation, elle s'installe avec eux et tristan le fils du couple qu'elle tente toujours d'éviter le plus possible. un garçon gentil et affectueux mais, devant qui elle ne sait pas réellement comment se comporter. l'idée d'être belle-mère à trente ans ne lui avait jamais effleurer l'esprit.. encore moins d'un garçon avec qui elle n'a seulement que huit ans d'écart. (+) pour ses parents c'est le choc, ils vivent très mal cette situation et lui demande de mettre un terme à tout ça, ce qu'elle refuse bien trop amoureuse pour perdre qui que ce soit. depuis elle n'a plus aucun contact avec ses parents, ne sait pas vraiment quoi faire pour récupérer cet amour qu'elle ne supporte pas d'avoir perdu. heureusement son frère lui, n'a jamais envisagé de lui tourner le dos. (+) ivy répète à qui veut l'entendre qu'elle est heureuse dans cette situation, qu'elle n'aurait pas pu imaginer mieux mais, elle le ressent au plus profond d'elle-même.. cette jalousie qui ne cesse de grandir lorsqu'elle aperçoit isolde et arthur ensemble, cette envie d'être à la place de l'homme, d'une certaine façon de le faire disparaître du tableau. arthur est attachant mais, ivy n'a aucune envie de faire sa vie avec lui.. une situation délicate dont elle n'ose parler avec personnes.



this session is gonna be different
metsuko/mélissa ꕥ 25 ans
fréquence de rp : 1rp semaine/toutes les deux semaines. ϟ fréquence de connexion : au minimum 1x par jour. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 400-900 mots. ϟ avatar à réserver : keira knightley. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : orange, what else ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? j'pense qu'on me supporte depuis un moment maintenant Tag poésie sur I've got 99 problems 2153884322 ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'vous aimes à la folie  puppy  keur
tumblr (gif) solsken (avatar)

damn hell dreamer.

Invité
26 r ; 1291 v.
Mar 7 Avr - 14:11
yorgos nikos
27 - barman
FEAT : zayn malik
t'es un impulsif, yoyo. et un sanguin. il n'est pas rare que tes poings s'écrasent contre les murs quand serrer les dents ne suffit plus à contenir ta colère. t'aimes pas être contrarié, tu détestes ça même et tu réagis très mal quand on ose. tu gueules plus que tu ne parles, tu sais comment te faire entendre et comprendre. t'as l'âme d'un combattant, mais aussi d'un minable toxico. t'es un homme loyal, avec un cœur d'or dans le fond, seulement t'es entouré d'une carapace de pierre brûlante. te toucher consume. t'es protecteur envers tes potes surtout mais aussi un peu avec tous ceux qui te sont chers. t'es un brin séducteur quand ton humeur s'y prête et souvent tu repars avec une nouvelle personne. t'es un peu dur, un peu macho parfois mais tu finis toujours par laisser sa chance à tout le monde. en revanche t'es rancunier et une fois qu'on t'as causé du tord, à toi ou à une personne qui compte tu n'oublies pas et le pardon tu connais pas. contrairement à ce qu'on peut s'attendre de toi, tu réfléchis beaucoup avant de parler et d'agir. t'étais peut-être pas un bon élève à l'école mais tu n'en restes pas moins intelligent et aussi très observateur. être bon enfant te connaît, tu n'hésites pas à sortir des répliques de dessins animés, et tes blagues laissent souvent à désirer. tu sais aussi être travailleur et sérieux quand la necessité est à l'assiduité. tu as des qualités que tu sais mettre à profit quand ça t'arranges mais tu imagines que tes défauts sont plus nombreux, eux. on dit de toi que tu dois faire attention à tes chevilles, un jour elles vont gonfler et tu te reconnaîtras plus dans le miroir. ouais yoyo, t'es prétentieux et t'aimes te faire mousser. t'as un grand ego, il est à la hauteur de ta fierté. t'es pas un gars méchant mais faut pas te chercher car tu pourrais facilement le devenir. t'essayes sans cesse d'évoluer, de changer, et pour l'instant, ça réussit partiellement. au moins quand tu parles, t'as un petit sourire. enfin.. quand t'es pas trop blasé.
who am I
ꕥ prénom, nom : yorgos on t'as ainsi appelé par caprice, ou alors par folie ; sous l'effet de son crack elle a accouché du beau bébé que tu étais, t'as assigné à jamais le premier prénom qui lui venait. nikos, nom ironique aux yeux de ton âme ; l'as-tu déjà vu, ce géniteur, en ouvrant les yeux sur le monde ? ta mémoire te trahit, tu ne te rappelle de rien d'autre que son absence cuisante
ꕥ surnom : déjà petit, ton prénom était pour toi ridicule à dire, tant il brûlait tes lèvres si l'envie te venait de l'épeler. t'as choisit la facilité tel que tu es ; deux syllabes, yoyo et des rougissements de honte pour le restant de tes jours.
ꕥ origines, éthnie : quittant son foyer après ta naissance à Héraklion, gravée au 14 décembre, ta mère vient s'installer à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Orléans, puis refait un autre voyage jusqu'à NYC, où elle daigne enfin à se poser, toi dans ses bras. aurais-tu pu être mieux là-bas ou ici, tu ne le sauras jamais ; américain, grec aussi, pas si fier que cela, tu oublies d'où tu viens en enchaînant parfois les pintes.
ꕥ âge : 27 étés arides, au vent pourtant doux, où tu vivait tantôt en plein désert, tantôt en courant au côtés des vagues. tu t'mettais torse nu face au soleil, le laissant te brûler si fort, si bien que ses rayons ne te font aujourd'hui plus que des caresses doucereuses. tu te dis immunisé face aux aléas du temps, mais au fond ton feu te consumera vivant.
ꕥ orientation sexuelle : pour toi, les conquêtes ne définissent pas ce que tu préfère. tant que tu ne trouvera pas ta perle, aucune case ne te correspond vraiment. tout dépendra d'elle, de lui, de cette personnes qui tu sais, partagera ta vie. mais tu sais aussi que tu n'y est pas près.
ꕥ situation : tu traines parfois dans les bars la nuit, quand t'es pas de service, félin à l'affut de sa proie. tu t'approche d'elle, et parfois de lui, charmeur, et l'on te comprend bien vite. mais jamais tu ne l'a emmenée chez toi. non, tu ne les laisserais pas t'approcher de si près. on ne te fera pas le coup du coup de foudre, t'es un célibataire, célibatard et sans remord tu le dis tout haut. les sentiments à la guimauve rose c'est pour les autres. tu toi tu fermes ton coeur et t'ouvres ta grande gueule.
ꕥ occupation : t'es passé partout, t'as tout fait, du concierge au garagiste, sans jamais trouver ta place. toi tu voudrais chanter à t'en casser la voix, gratter des cordes à t'en écorcher les doigts, mais manque de bol, tu te retrouves toujours là où tu n'aimes pas être, et, pour l'instant, tu te contente de chanter des berceuses aux beaux verres. barman va. tu pense pouvoir te débrouiller seul, tu le fais très bien et bien qu'ayant les moyens d'avoir plus, t'as ce qui te suffit pour continuer. alors tu étudies le jour, tu travailles la nuit, pour ne pas dormir seul dans ton petit studio d'étudiant, ou vivre de ton héritage.
ꕥ quartier : à NYC depuis tes 3 mois, sûrement pas le plus jeune bébé à voyager, mais à coup sûr le plus touché. t'as jamais voulu bougé depuis ce jour là, ta mère a éteins le peu d'âme de voyageur que t'avais. et depuis que t'es parti de chez elle, tu te terre à Brooklyn, au 30 bedford street, williamsburg - {#}hipster{/#} - voulant bien disparaître.
ꕥ qualités : loyal, travailleur, observateur.
ꕥ défauts : prétentieux, coléreux, impulsif.
ꕥ passions : l'art. dans toutes ses formes, et ses humeurs. la {#}musique{/#}, la {#}photographie{/#}, la {#}poésie{/#}.. même les tags sur les murs t'arrives à les trouver fascinant. et puis, ce n'est peut-être pas reluisant, mais l'herbe t'affriandes. la {#}marijuana{/#}, avec ses voluptes doucereuse, sa fumée chattemite. après y'a ta {#}moto{/#}, et sa vitesse libératrice, et l'adrenaline qui te prends quand tu l'enfourches.
ꕥ communautés : - {#}JADe{/#}, cursus musique. tu travailles fort pour ne pas puiser dans les fonds que ta mère met sur ton compte en banque chaque mois.
- The Outpost, où t'aurais aimé avoir un autre rôle. plutôt que de servir les alcooliques au bar, t'aurais bien aimé monter sur scène. mais bon, on ne possède pas toujours ce que l'on veut.
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oh ça oui keur
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ꕥ petite présentation perso :en vrai, je suis en train d'écrire cette description à peine réveillée, parce que j'ai totalement décalé mon sommeil. je m'ennuie un peu beaucoup et j'ai envie d'écrire un truc poétique sur moi, sauf que ça va paraître niais et je déteste être niaise. donc j'écris ça pour les stalkeurs de l'aprèm qui le liront en premier et pour les rêveurs qui se languissent et s'ennuient. donc me voici, dickens. pourquoi dickens ? si j'avais envie de me donner un air dark j'aurais dit à cause du diable, mais la vérité c'est que le diable me fait peur, l'enfer n'en parlons même pas. en fait, y'a longtemps j'avais lu olivier twist de charles dickens - oui, c'est un livre très bien - ça m'a plut et puis je l'ai gardé. donc voilà je suis une fille, j'ai 23 ans - je commence à vieillir, y'a même des rides qui apparaissent -, je suis étudiante - et je regrettes ma décision dans des moments.. comme maintenant - et j'aimes le poulet et les bananes. j'aimes pas l'avocat et je déteste les épinards, titeuf a beaucoup influencé mes goûts. je suis potterhead, harmonizer et camren shipper. d'ailleurs j'adores shipper tout le monde à tord et à travers. j'aimes lire - je lis littéralement tout - et j'essayes de convertir mon frère aux mots, mais ça marche pas vraiment. et enfin, je suis venue sur ce site parceque j'adores rp. voilà. j'ai tout dit. keur sur vous keur
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : diabolic de S.J.Kincaid
ꕥ un film : to the bone de Marti Noxon
ꕥ une série : prodigal son de Chris Fedak et Sam Sklaver
ꕥ une chanson : the stigma - boys don't cry de As it is
ꕥ un animal : une panthère
ꕥ un plat/dessert : une crème brûlée à la vanille
ꕥ une boisson : un malibu sunrise
ꕥ une célébrité : lauren jauregui, ne serait-ce que pour ses yeux
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : les scènes d'agressions sexuelles. ce terme même me donne des frissons. à part cela, je suis capable de lire à peu près tout, même si écrire certaines choses peut m'être difficile.

that's my story / self diagnosis
en vrac - (poupée en chiffon, marionette de tes voiles) fut un temps où t'étais au fond du trou, malade de ta vie. adolescent à peine diplômé, perdue dans son existence, sans personne à qui s'accrocher. fallait qu'on t'aides, fallait qu'on te remarques. puis cette musique est arrivée, sauveuse. t'as remonté la pente lorsque l'orphéon entra dans ta vie. tu débutas par le chant,commençant par valser ta voix au rythme des mélodies que t'entendais le soir dans les bars. tu enchaîna en apprenant à te servir d'une guitare, à gratter ses cordes et à taper sur une batterie, plus violemment que tu ne tapais des poings. t'as appris que la vie n'est pas si triste lorsqu'on prend la peine de la vivre pleinement, en rajoutant à son blanc taché de gris et de noir, un peu de couleurs vive, de bonnes aubades, d'amis bien choisis.
(tes peurs et tes névroses, fleur fanée qui danse au vent) t'es astraphobe mon gars. t'as peur du caractère incontrôlable et destructeur du tonnerre. tu deviens presque hystérique le soir, seul, lors d’un orage et tu te caches en tremblant sous ta couette. t'as une telle peur de la lumière qu’tu préfère vivre la nuit. mais tout ça personne ne le sait, personne n'est là pour t'aider. en même temps, t'es pas si douée pour monter tes faiblesses. t'as honte d'être ainsi. tu te contentes donc de te serrer contre ton chien, espérant les tumultes diluviens passent enfin.
(pile vers ton coeur, passé la barrière de l'épiderme) t'es tout en couleurs. des tatouages dessinés partout sur le corps. une oeuvre d'art quand tu marches sur le sable d'une plage. ils sont tellement beaux, mais tellement significatifs. t'es pas le genre de personne à te tatouer sur la peau à jamais, tout et n'importe quoi, sur un coup de tête. l'on croirait bien, mais non. quand tu souffres, quand t'es triste, tu met sur ta douleur des mots et sur ces mots des images, tu dessines, tu peints au fusain et tu t'amène chez ton tatoueur préféré. ces dessins retranscrivent ton histoire. floue certes, compliquée peut-être mais sincère. tu craches sur ceux qui te pointent du doigts derrière ton dos, sans te connaître. t'aimerais juste leur dire, à ta mère, à ce monde de fous, qu'avant de juger, faut venir lire. les mots sur ta peau.
(époque de folie, tes yeux cachent le noir de tes nuits) ton carnet d'adresse est bien garni, les potes t'en manques pas, mais tu voues une une place particulière pour ton coiffeur. c'est bon c'est certifié, t'aimes la folie. mais pour toi, changer de coloration de cheveux tout les mois n'en est pas vraiment. toi tu trouves que chaque couleur représente le nouveau départ que t'essayes désespérément de prendre à chaque fois. ouais, t'es un petit sensible quand ton humeur est à la poésie. te regarder différent dans le miroir, te fais sentir différent au plus profond de ton cœur. et puis, comme toujours, pour ceux qui grincent des dents, un petit majeur. t'aimes pas rester discret, toi t'aimes te faire remarquer. te démarquer des autres, t'as toujours su le faire, même avant, même avec ces vêtements miteux. oui, même avec du rose sur la tête, tu restes ce mec charmant, dangereux, que l’on désire approcher mais dont on sent la froideur.
(battement cardiaque pseudo-palpitant, ecchymose à vif) ta tête est tout le temps en bataille. non pas à cause d'une quelconque mode de mèches coiffées-décoiffées, comme tout le monde a l'air de croire. plutôt à cause du nombre de fois où tu passes ta main dans tes cheveux. était-ce nerveux, tu n'en sais rien, tu ne te contrôle même pas. mais bon ça t'arrange tant que l'on affirme qu'ça t'ajoutes un côté sauvagement sexy. tu pinces tes lèvres, tu passes un doigt sur ta mâchoire et des fois tu lances des clins d'oeil à tout va. tu fais des trucs stressants et tu ne t'en rend pas compte. grand hyperactif que tu es. tu tapes des phalanges sur la table, tu bouges tes genoux en fonction du rythme éléctro qui se joue dans ta tête. ta vie est rythmée, rythmique, contrôlée par une mélodie qui ne s’arrête jamais.
(la dope comme seul moteur, lumière tel la marée basse) ça ne te plaît pas forcément mais t’es toxico. les lèvres bleues, le teint blanc quand t’es en manque. des cernes plein les yeux quand tu emplis tes insomnies de ces odeurs libératrices de la drogue. t’as tout essayé. du shit à la coke, t’as tout insurgité mais rien ne va, rien ne marche. même au bord de l’overdose, t’arrive pas à dormir, t’arrive pas à te lâcher. t’es insomniaque et peut-être que c'est bien pour ça que t'as commencé avec ces racailles au lycée. ça fait si mongtemps, mais rien ne change. c'est sûrement ta plus belle erreur. tu sors la nuit, tu te bourres la gueule au maximum, mais tu reste là, tu restes conscient, jamais ivre mort, on te croirait immunisé. tu titubes dans les rues, tu pues l’alcool, tu pues le crack, mais les gens vont vers toi, tes potes t’entourent. t’aimerais pourtant juste leur crier dessus de dégager, de te laisser tranquille. mais tu ne peux pas, car t’as peur de rester seul. encore. même dehors. mais tu consultes une vieille psy deux jours par semaine, la psy que tu considère comme une bonne tante, comme une épaule contre laquelle t'avachir. la seule qui daigne à te répéter que ça va aller.
(sentiments qui fument à vif, et boom, coeur qui s'agite) t'aimes pas l'amour, toi le grand poéte, toi le musicien passioné. t'aimes pas les films à l'eau de rose, les films de noël, les comédies musicales. ces films où ils se foutent des gens à ton avis. où on tombes amoureux sous les flèches de cupidon, comme des merdes. y a plus qu'ils vomissent des licornes. pour toi, quand tu tombes t'as mal. amoureux ou pas. un coup de foudre, ça électrocute, ça brûle, ça tue. des flèches, ça transperce, ça fait saigner. aucune chance que ça te fasse bu bien. est-ce par réalisme ou par fatalité, tout cela t'horripile. t'es hanté par l'image d'un père absent, d'une mère devenue négligente dès son remariage avec ce bourge, d'un amour inexistant. tu ne perçois pas la vie d'une autre façon. les couples que tu vois dans la rue, les petites familles, tu les regardes mal. ils te font mal. mais tu persistes à dire que t'es pas jaloux.
(tes désirs ont pris le dessus, mais un jour tout s'en va) t'as arrêté les études, un temps. t'aurais pu continuer depuis le début, mais penser à la dette que t'auras envers ton beau-père te fit renoncer. ta mère disait medecine, son mari disait droit, mais toi, tu voulais faire de la musique, des notes, des mélodies. alors t'es parti, tu les a abandonné, pour vivre tes rêves loin du poison qu'ils représentaient. tu regardes ici et là, tu va à droite à gauche, tu te trouves de quoi vivre, et tu vis. pleinement. pas le temps aux économies, elles partent toutes à juilliard. tu t'es acheté une moto, t'as passé ton permis, tu sillonnes la ville en tes jours de congé, de vacances, sans t'arrêter. tu te balades en deux roues noire, rutilante, cuir sur les épaules, cuirasses aux jambes. tu veux t'épuiser. mentalement, physiquement. pour reprendre ton travail au top de ta forme en voyant à quel point les dimanches, ça craint. mais tu trouves pas ta place. t'es barman, et tu te forces à aimer. mais ce que t'aimes vraiment c'est ces soirées, où, enfin bourré, tu chantes pour le monde, pour les bars, pour les boites, tu fais le DJ, le guitariste, le batteur, la voix, et finalement t'es bien payé, pour tout ça. c'est ce que t'aimerais faire, mais on te lances toujours un seau d'eau froide à la gueule. vivre de ta musique est dur, que tu sois ou non un grand passionné.
(t'as marché droit, malgré tes sentiments qui titubent) regardes-toi dans le miroir, vois-tu toujours la même image ? celle que tu voyais chaque soir avant de sortir de ton cocon. oui tu voyais ton reflet, énervé, névrosé, sanguin. tu voyais aussi ton ombre derrière, démon refoulé, mutilé. tu voyais plus loin derrière ton lit, les draps froissés, froids. ton placard collé au minuscule plan de travail de ta cuisine. le frigo ouvert où se collaient quelques bières. ton bureau où se mêlaient plusieurs feuilles de cours, plusieurs journaux que tu noircissais d'encre, assis sur ta chaise en bois, où trônait sans scrupule une guitare, penchée, sur le point de tomber. la porte de ta salle de bain ouverte sur l'eau qui coule de la baignoire dont tu laissait le soir le robinet ouvert sans même t'en rendre compte, ton parquet inondé, tes vêtements en tas de merde par terre, mouillés. et tu sais que tu finiras par nettoyer négligemment, la poudre blanche qui se mélange au liquide transparent.
(relation épistolaire, une nuit t'as oublié de vivre) mais voilà qu'aujourd'hui, c'est pas ton miroir en face de ton lit que tu fixes en te réveillant, c'est des cheveux blonds qui recouvrent ton nez, te chatouillant, te faisant éternuer. tu la vois sous ses couvertures  respirant régulièrement, et tu te bornes à vouloir te rappeler de son prénom. encore une autre sans valeur, dont l'identité t'échappes. des bouteilles d'alcool vides ornent le sol, et tu lèves rapidement en prenant tes vêtements jetés plus loin. tu évites les mégots écrasés sur le carrelage, de tes pieds nus, et sors ainsi. torse à peine recouvert par ce tissu déchiré, chaussures perdues que tu n'essayes même pas de retrouver, tu démarres ta moto et te casses, voulant juste t'éloigner.



this session is gonna be different
dickens/lela ꕥ 23 ans
fréquence de rp : moyennement rapide, c'est selon mon inspiration. ϟ fréquence de connexion : presque chaque jour, et si ce n'est pas la journée ce sera au moins le soir. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris moi-même en moyenne vers les 1000 mots, mais cela dépend en grande partie de mon partenaire. ϟ avatar à réserver : zayn malik. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge et brin ambré avec une petite touche azurite.. je suis sérieuse T-Tϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, par hasard  keur ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est vraiment trop beau ici cute
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