La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

3 résultats trouvés pour sensationforte

drive for your life ((elizabeth)).

Invité
14 r ; 419 v.
Mer 16 Déc - 0:07
Elizabeth Haas
fit hot guys have problems too
ID CARD
{@=783}Elizabeth Haas{/@}
33 ans - pilote F1
FEAT : Phoebe Tonkin.
Elizabeth est née en Californie où elle a vécu jusqu'à ses treize ans, âge à lequel elle a déménagé en Europe pour tenter d'avoir une réelle chance en Formule un. Elle vit à New York depuis 2010 et voyage beaucoup pour son travail. Elle déteste dire qu'elle est pilote de formule un parce que les gens sont toujours surpris de voir une femme dans ce monde. Déterminée et fonçeuse, elle n'a pas froid aux yeux. Petite soeur de deux grands frères, elle a toujours été protégée et s'en est toujours défait, détestant qu'on la cocoone de trop. Elle a trente trois ans, n'a jamais gagné de Grand Prix (mais a déjà fait six podiums) et bien que ça l'attriste, elle ne se laisse pas démonter, loin de là même.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : Anglaise.
Orientation : Pansexuelle.
Situation : Célibataire.
Occupation : Pilote de F1.
Quartier : Manhattan.

and what else ?
Qualités : calme, douce, gentille.
Défauts : compétitrice, bornée,
Passions : {#}sensationforte{/#} {#}instagram{/#} {#}car-racing{/#}
Communautés : the lift, lgbt center manhattan.




that's my story / self diagnosis
Elizabeth Haas est née le 12 juillet 1987 à Los Angeles en Californie ✱ Elle est la dernière enfant de Gene Haas, seule fille précédée de deux grands frères nés en 1985 et 1983 ✱ Elle a toujours été intéressée par les sports de vitesse et des voitures, à la différence de ses frères qui se sont toujours désintéressés de cela ✱ Elle n'a jamais été intéressée par la NASCAR (sport préféré de papa) mais toujours par la Formule un, elle ne manquait aucune course à la télé plus jeune ✱ Elle a commencé le karting très petite et avait l'habitude de couper ses cheveux très courts pour ne pas gêner dans le casque mais aussi pour se faufiler dans la masse d'hommes ✱ Alors qu'elle a treize ans, elle quitte la Californie pour l'Europe afin d'avoir une réelle chance en Formule un ; elle part avec sa mère dont elle est très proche ✱ À seize ans, elle entre en Formule trois et en sort à ses vingt et un ans ; elle est la plus vieille dans toutes les catégories, mettant beaucoup plus de temps à être choisie par des écuries ✱ Elle entre en formule un à l'âge de vingt huit ans et son père en profite pour préparer son arrivée dans le sport ✱ en 2016, elle change d'écurie pour celle de papa qui a toujours cru en elle et lui prouve en lui sécurisant une place sur la grille de départ ✱ Elle a eu quelques histoires dont une assez longue et importante, seulement il l'a demandé en mariage en 2015 et c'était l'année de son entrée en formule un ; elle a refusé, rompant avec le jeune homme ✱ Elle vit entre New York et l'Europe où de nombreuses courses se passent ✱ Elle s'entend très bien avec tous ses confrères mais elle voit bien qu'elle n'est pas traitée de la même façon par les sponsors ✱ Elle s'est blessée plusieurs fois en courses mais jamais rien de trop grave ✱ Très compétitrice, elle a tapé dans le cul de ses confrères plus d'une fois ; certains tentaient de véhiculer le cliché de la femme qui ne sait pas conduire, ce qui l'a toujours énervé ✱ Elle est la première femme en Formule un et compte bien se battre pour garder sa place ✱ Elle tente de vulgariser le sport auprès des fillettes et fait beaucoup de stage aux USA pour motiver les jeunes demoiselles à monter derrière un volant ✱ Ella n'a plus qu'une poignée de points sur son permis Européen ; les excès de vitesse sont son point noir ✱ Elle est féministe et militante ; elle se rend à des manifestations dès qu'elle le peut ✱ Engagée, quand quelque chose la touche, elle se bat ✱ Sportive, c'est une aficionada des salles de sport, bien qu'elle en ait une chez elle ✱ Elle vit dans un appartement New Yorkais, en plein centre de Manhattan ✱ Elle est très proche de sa mère et un peu moins de son père ; ses deux frères vivent toujours en Californie ✱ Elle a du démarcher beaucoup de sponsors pour réussir à financer sa carrière, elle est assez douée en négociation ✱ Elle aime plaire mais alors se poser, ce n'est pas trop pour elle ✱ La malbouffe et l'alcool sont des excès qu'elle s'autorise très rarement, devant maintenir son poids, sa forme, sa force et sa musculature ✱ Elle ne dit jamais de gros mots en Grand Prix et a bien envie de claquer le visage du numéro 33 qui lui, en dit sans cesse ✱ Elle a le numéro 60, l'année de naissance de sa mère ✱ Elle n'a jamais mis un pied à l'école, toujours des cours à la maison ✱ Elle a un appartement à Monaco qu'elle squatte facilement quand ils conduisent en Europe ✱ Elle ne changerait sa vie pour rien au monde.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : julie / weaslove.
Age: 29ans dans 2 semaines.
Avez-vous des triggers personnels ? Les relations toxiques / abusives.
Avatar à réserver : Phoebe Tonkin.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: littleliarstrg.
Souhaitez-vous un mp d'intégration Oui siouplait.


(j'ai probablement pris la mauvaise fiche, ne me tapez pas, je suis un boulet)

misery loves company

Invité
14 r ; 478 v.
Lun 14 Déc - 0:32
Sophia Diaz
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=782}Sophia Diaz{/@}
30 ans - policière
FEAT : christian serratos
Sophia est sergent dans la NYPD depuis neuf ans. Son travail passe avant tout, parfois même avant sa famille. Elle est divorcée depuis quelques mois, une séparation douloureuse dont elle ne parle cependant pas. Elle a tendance à garder ses problèmes pour elle, estimant que sa vie ne regarde personne. Elle est proche de sa famille, malgré quelques différents. S'il est difficile d'échapper au racisme et à la misogynie, elle est de ceux qui acceptent sans broncher, puisque c'est plus simple comme ça.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Ethnie/origines : origines espagnoles, née au Mexique
Orientation : hétérosexuelle
Situation : divorcée depuis quelques mois
Occupation : sergent dans la NYPD
Quartier : Bedford street, Williamsburg -Brooklyn.

and what else ?
Qualités :bourreau de travail, patiente, bonne cuisinière, souriante, impliquée
Défauts :garde tout pour elle, entêtée, peu disponible pour ses proches, rancunière
Passions : {#}chat{/#}, {#}sensationforte{/#}, {#}café{/#}
Communautés : El Halito, Salsa class, NYPD






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

Sophia n’est pas à l’aise, même si le fauteuil en cuir a tout pour être confortable. C’est la troisième fois en dix minutes qu’elle pioche dans le bol de sucreries sur la table basse devant elle, maigre tablette de bois qui la sépare de la psychologue qui la fixe à travers ses épaisses lunettes. Dix minutes dans le silence, c’est long, sur une séance d’une heure. Mais ce n’est pas elle qui a choisi de venir, c’est la procédure qui veut ça.

« C’est le moment où je suis sensée vous parler des problèmes que j’ai avec mon père ?»
« Ca dépend. Vous avez des problèmes avec votre père ?» C’est pour ça qu’elle se tait, pour pas qu’on retourne ses questions contre elle.
« Pas vraiment. Il est parti avant que je sache marcher, je ne l’ai jamais connu. On m’a dit qu’il était mort, depuis. Pour être honnête, ça ne fait aucune différence.»

Nouveau silence, l’heure risque d’être longue. Et elle va se rendre malade avec ces caramels qui collent aux dents. Depuis combien de temps ils traînent dans ce bocal ? Des années, sûrement, tellement ils sont durs à mâcher.

« Vous voulez qu’on parle de ce qui s’est passé ?»
« J’ai tiré sur quelqu’un. J’ai envie de vous dire que c’est les risques du métier. Il n’est pas mort, je ne suis pas morte. Alors on peut dire que ça s’est bien passé.»
« C’est la première fois que vous vous servez de votre arme en service. C’est pour ça que vous êtes là. Pour qu’on soit sûrs que vous allez bien.»
« Je vais bien. Il a dégainé, il a visé mon équipier alors.. J’ai tiré. C’est la procédure, j’ai fait ce que j’avais à faire.»

C’est irritant, le grattement du crayon sur la feuille. Et c’est d’autant plus frustrant que même en se redressant sur le fauteuil, Sophia n’arrive pas à déterminer ce que la psychologue gribouille à son sujet.

« Vous avez discuté avec vos proches de l’incident ?»
« Ça ne les regarde pas. Je connais ma famille. Ma mère va hurler que c’est trop dangereux de travailler ici, que j’aurais du faire prof d’espagnol comme mon frère. Ils vont faire tout un foin pour pas grand chose. Je préfère m’éviter une migraine.»
« Votre mère désapprouve votre choix de carrière ?»
« Ma mère désapprouve beaucoup de choses, j’ai simplement passé l’âge d’accorder de l’importance à son avis. Elle a fait des choix pires que les miens.»

C’est pour ça qu’elle déteste les psy. Puisqu’ils arrivent toujours à vous faire parler, même quand vous ne le voulez pas.

« Vous semblez lui en vouloir.»
« Pas du tout. On fait tous des mauvais choix, même si on a de bonnes raisons.»
« Qu’auriez-vous fait différemment, à sa place ?»

Question piège. Tellement de choses. Peut-être rien. Il lui faut une minute de réflexion, pour trouver les mots justes.

« Venir ici. Je ne pense pas que ça ai été l’idée la plus lumineuse de ma mère.»
« C’est plutôt surprenant de la part d’un membre de la police de ne pas aimer son pays.»
« Non, ne vous méprenez pas. J’aime être ici. Je dis simplement qu’à sa place, j’aurai fait les choses différemment. Débarquer enceinte avec déjà quatre enfants sous le bras, enceinte jusqu’aux yeux, sans parler un mot d’anglais, sans argent...  Je pense que la vie aurait été plus facile si on avait pris le temps de faire les choses correctement. D’arriver ici avec un plan.»
« Vous qualifieriez votre enfance de difficile ?»

Le minuscule appartement du Bronx. Obligée de partager sa chambre. Les aînés qui servaient de baby-sitter, avec Angela qui travaillait comme une acharnée pour payer le loyer et remplir le frigo. Et pourtant, ces quelques petits mètres carrés étaient le cocon le plus sécurisant qu’elle ai connu de sa vie. Puisque le monde extérieur, lui il est cruel. Et sa mère l’a jeté dedans.

« Les enfants sont cruels. J’étais petite, alors je pense que ça a du être plus simple pour moi que pour mes soeurs ou mon frère.»

Bouffeuse de tacos. On range vite sa trousse à paillettes pour pas que la mexicaine risque de la voler. C’était des enfants, qui imitaient des parents encore plus intolérants. Qui ne laissaient pas venir ses petits camarades pour son anniversaire. Qui voudrait confier son enfant à une femme qui ne parle pas anglais ? Puis elle a grandi, et Ricardo et Mariana ont quitté la maison pour faire leurs vies. Qu’est ce qu’elle leur en a voulu, quand ils sont partis de ce trou à rat.

« Vous n’êtes pas proche de votre famille, si je vous suis.»
« Non, ce n’est pas ça... Je les aime. Vous savez, dans ma famille, on a pas le droit de se détester en paix. Y en a toujours un pour vouloir faire la paix, pour calmer le jeu. Mais j’étais qu’une enfant et ma mère était souvent absente alors... On a pas forcément la même éducation, mes aînés et moi. Ils sont plus... Comment dire ça... Traditionnels ? Vous n’imaginez pas le drame que ça a été quand j’ai osé vouloir passer les fêtes dans la famille de mon ex-mari. Une Diaz absente à Noël, quelle hérésie !»

Elle leur avait cédé. Puisqu’elle voulait être là, au fond. Même si elle voulait faire croire le contraire.

« On est proches. On a juste des visions différentes de la vie. C’est pour ça que je ne leur parle jamais du travail. Ils s’inquiéteraient, et ça ne servirait à rien, puisque je ne compte pas démissionner.»
« J’ai lu dans votre dossier que vous étiez bien intégrée au sein de votre unité. Ces différences culturelles que vous mentionnez, n’ont elles pas été un frein à cette intégration ?»

Si les enfants sont cruels, attendez de voir les adultes. Sous couvert d’humour, certains se permettent bien des paroles. Que ce soit sur ses origines ou encore son genre, Sophia a pu en entendre de toutes sortes. Mais on rigole, ça va. était la réponse la plus donnée quand elle faisait part de son malaise. Alors elle avait appris à rire avec eux. C’est bien plus simple que la confrontation. Et ça lui évitait d’être le mouton noir du service.

« Pas du tout.» Mensonge. « Je n’ai jamais rencontré de problèmes de ce type, ici. Tout le monde est... Accueillant et ouvert d’esprit.»

Le caramel passe de travers et elle doit tousser un peu, pour se dégager la gorge. Ca t’apprendra à dire des bêtises pareilles à voix haute.

« Enfin. J’ai parlé de mes parents, de ma famille. Vous allez le signer, mon papier ?»
« Il y a encore quelques points que j’aimerai aborder avec vous, avant que vous ne partiez. L’heure n’est pas terminée.»

Elle suspecte que l’horloge sur le mur ne soit cassée, ou trafiquée pour la garder ici. Alors elle s’enfonce au fond de son fauteuil, fait un vague geste de la main pour lui faire signe d’y aller.

« J’ai cru comprendre que ce n’était pas la première fois que vous gardiez les choses pour vous.»
« Ça n’a aucun rapport avec ce qui s’est passé l’année dernière. Et c’était un malentendu. »
« Vous êtes venue travailler pendant plusieurs jours avec une côté fêlée.»
« Je ne savais pas qu’elle était fêlée. »
« C’est ce que vous aviez dit. Mais la douleur aurait du vous alerter.»
« J’ai un seuil de tolérance élevée»

Cinq jours pendant lesquels elle s’était défoncée aux anti douleurs, jusqu’à voir des étoiles. Un mauvais coup pris lors d’une arrestation, elle avait bien senti que l’os avait craqué. Mais il aurait fallu dire à l’enfoiré qui l’accompagnait qu’elle avait vraiment mal, et il aurait sans doute sorti un truc du genre : c’est pour ça qu’il faut pas de femmes dans la police. Alors elle avait préféré se taire et encaisser, en espérant que ça passe. Jusqu’à ce qu’elle hurle quand Dave, son mari, avait essayé de la toucher. Cet idiot avait appelé les pompiers. Arrêt de travail pendant près d’un mois. Diaz a pris des vacances pour un simple bleu, qu’ils avaient tous dit. C’est justement ce qu’elle souhaitait éviter à tout prix, mais Dave pouvait pas le comprendre.

« Vous savez que mon travail est de vous aider. Et qu’il ne faut pas attendre d’être envoyée ici de force. Ma porte est ouverte. »
« Et votre bureau est souvent vide. Vous devez être douée, à réparer les gens en une seule séance. Je me sens beaucoup mieux. »
« Le sarcasme est un mécanisme de défense courant.»
« Je n’ai pas de raison d’être sur la défensive. Jusque-là, j’ai bien voulu échanger avec vous.»
« Alors nous pouvons parler de votre divorce ? »

Là, c’est un coup bas. Puisqu’elle a encore la marque de bronzage sur l’annulaire, et que c’est encore étrange de se réveiller seule le matin.

« Des milliers de gens divorcent. Un mariage sur trois, quelque chose comme ça il me semble.»
« Et le vôtre ? »
« Ma famille n’en était pas fan, un mal pour un bien. »
« Qu’est-ce qu’ils lui reprochaient ? »
« Au début de notre relation, j’ai décoloré mes cheveux pour être blonde. Ca a fait bondir ma mère, qui pensait qu’il avait une mauvaise influence. Comme si j’allais tout à coup me transformer en blanca. Trop américain, je suppose. »
« Et vous, vous lui reprochiez quoi ? »

Ce n’est pas elle qui a posé les papiers du divorce sur la table de la cuisine.

« Commun accord. Nous avions des attentes différentes dans la vie. »
« C’est à dire ? »
« Il trouvait que je travaillais trop. Un peu hypocrite de la part d’un avocat, mais que voulez vous. Et il y a eu la question des enfants.»
« Il n’en voulait pas ? »
« Non, c’était moi qui ne voulait pas d’une famille. Je trouvais égoïste de faire des enfants pour les confier à une baby-sitter la plupart du temps. Nous n’étions jamais à la maison, et aucun de nous ne souhaitait arrêter de travailler. Je... Je trouvais qu’on était assez, à deux. Mais il lui en fallait plus.»

Il avait failli partir, deux ans plus tôt déjà. Pour ce même sujet. Autant arrêter là. Inutile de perdre plus de temps, puisqu’ils ne se mettraient jamais d’accord. Mais elle était tellement terrifiée à l’idée d’échouer, à l’idée de se retrouver seule, qu’elle avait accepté. Du moins, en apparence. Pendant des mois, ils avaient essayé de faire un enfant et tous les soirs, avant d’aller dormir, elle prenait son contraceptif en cachette. Juste le temps qu’il abandonne l’idée. Pendant plus d’un an. Mais qu’aurait-elle du faire ? Tomber enceinte et perdre toutes les chances de monter en grade ? Qui voudrait donner une promotion à une femme qui loupe des mois de travail pour donner naissance à un gamin, qui l’obligera à quitter plus tôt le boulot parce qu’il a de la fièvre ? Parce que si elle était égoïste de vouloir garder Dave, il n’était pas en reste. Puisqu’il était clair dans son esprit, pour lui, que c’était à elle d’arrêter de travailler pour s’occuper des enfants. Et un soir, elle était rentrée. Et il avait simplement jeté sa plaquette de pilule à ses pieds. Elle aurait pu se battre pour la maison, lui rendre les choses plus difficiles pour qu’il change d’avis. Mais elle avait bien compris qu’il ne lui pardonnerait jamais. Alors c’est elle qui est partie. Au moins, elle a pu garder le chat. Ca va faire neuf mois. Et c’est toujours compliqué de n’avoir qu’une seule brosse à dent dans la salle de bain, après huit ans de relation.

« Sophia ? »
« Mh ? Oui, pardon, excusez-moi. Vous pouvez répéter ? »
« En dehors du travail, que faites-vous ? »
« Euh. Ce que les gens normaux font. Je me repose, j’essaie de voir ma famille. Mon frère donne des cours de danse, j’aime bien y aller de temps en temps. C’est l’occasion de le voir. Je suis aussi bénévole dans une association pour les jeunes en difficulté. »
« Et vous faites quoi, pour vous ? Vous avez une passion, un hobby ? »
« Je n’ai pas le temps, pour ça. »
« Vous ne prenez pas de temps pour vous ? »

Non. Parce que les temps morts sont des minutes pour réfléchir, pour cogiter. Pour se demander si elle aurait pas voulu des enfants avec Dave, au final. Si elle devrait pas lever le pied sur le boulot. Si elle est vraiment heureuse. Trop de questions douloureuses qu’elle peut s’éviter en se gardant occupée. Alors elle sourit, en prenant appui sur les accoudoirs pour se lever.

« Pas besoin. Et je crois que c’est la fin de notre séance alors... Vous allez le signer, mon papier ? »

le psychologue laisse échapper un regard de désapprobation mais acquiesce tout de même, en tamponnant le formulaire qu’elle lui tend.

« Mais j’aimerai quand même vous revoir, quand vous aurez le temps. »
« La prochaine fois que je tire sur quelqu’un, c’est promis. »



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Kacsa / Lisa
Age: 22 ans
Avez-vous des triggers personnels ? aucun qui ne me vienne en tête pour le moment, mais j'éditerai quand ce sera le cas hidebox
Avatar à réserver : Christian Serratos
Crédit avatar utilisé dans la fiche: fassylover
Souhaitez-vous un mp d'intégration Oui s'il vous plait Tag sensationforte sur I've got 99 problems 995762081

artemisia ∞ Those who are happiest are those who do the most for others.

Invité
12 r ; 846 v.
Jeu 1 Oct - 11:49
artemisia fleming
34 ans - secouriste
FEAT : tessa thompson  Artemisia travaille comme secouriste à la caserne situé sur Staten Island. Sa vie n’a pas toujours été rose. A cause des consommations de sa mère, elle est née avec le syndrome d’alcoolisation fœtale. Elle a passé du temps en néonat pour soigner son syndrome de sevrage. Cela ne fut pas sans conséquences sur sa santé puisqu’elle a aussi été diagnostiqué comme hyperactive pendant l’enfance et a des troubles de la mémoire. Sa mère n’ayant pas eu la garde et son père n’ayant pas voulu non plus, elle finit par atterrir en famille d’accueil puis à l’adoption. Malgré son début chaotique dans la vie, Artemisia est quelqu’un de souriant mais également sur la réserve. Elle est une femme forte qui n’a pas peur d’aller péter des nez quand il le faut. Quitte à donner lieu à des quiproquo pas toujours contrôlés, elle ne dit jamais non à une sortie entre collègue où elle s’arrange toujours pour ne pas boire une goutte d’alcool.
who am I
ꕥ âge : 34 ans.
ꕥ nationalité : Artemisia a acquis la nationalité américaine à la naissance.
ꕥ ethnie/origines : Artemisia n’a jamais prêté attention à ses origines. Elle a toujours considéré sa famille d’adoption comme sa véritable ascendance. Malgré tout, selon ce qu’on a pu lui dire, sa mère était d’origine mexicaine et européenne, son père afro- panaméenne.
ꕥ orientation : Très tôt, elle a su qu’elle était bisexuelle.
ꕥ situation : Artemisia ne s’embête pas à se poser avec quelqu’un et préfère profiter de la vie plutôt que de se faire passer les menottes. Enfin, elle a quand même connu des périodes de stabilité avec Eliah.
ꕥ occupation : Depuis presque dix ans, Artemisia est secouriste dans la Station 5.
ꕥ quartier : Elle vit en colocation avec Samuel dans l’appartement 01 au niveau du quartier de Staten Island.
ꕥ qualités : Aventureuse, possède un esprit d'équipe, franche.
ꕥ défauts : bornée, jalouse, hyperactive
ꕥ passions : {#}café{/#}, {#}féminisme{/#}, {#}sensationforte{/#}
ꕥ communautés : Station 5.
ꕥ scénario/pré-lien : nope.
ꕥ groupe : idk what you're talking about
ꕥ mp d'intégration : je pense que ça ira Tag sensationforte sur I've got 99 problems 497855176

all about my player
ꕥ petite présentation perso :  dehors

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Call The Midwife - Jennifer Worth
ꕥ un film : Le Pianiste - Roman Polanski
ꕥ une série : Vikings - Michael Hirst
ꕥ une chanson : Jaja ding dong
ꕥ un animal : chien et renard
ꕥ un plat/dessert : baba au rhum
ꕥ une boisson : ice tea
ꕥ une célébrité : Taylor Swift
ꕥ un pouvoir magique : le contrôle du feu  Tag sensationforte sur I've got 99 problems 2958767705

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : maltraitance animale, relation toxique, viol joué.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Son plus gros problème? A vrai dire, à ce moment précis, elle en a deux. Premièrement, elle essaye de trouver un moyen d’échapper à cette soirée entre collègue. Elle est encore à la caserne, la garde touche à sa fin et ils veulent aller fêter ça. En même temps, des gardes qui se déroulent aussi bien, ce n’est pas souvent qu’on voit ça. Le second problème, conséquence directe du premier, c’est la tenue qu’elle va pouvoir bien mettre. Ne sachant pas si elle pourra rentrer juste après le travail, Artemisia avait pris soin de mettre deux tenues de secours dans son casier. Pas l’idéal, mais ça l’a toujours sauvé.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
A sa naissance, Artemisia n’a pas eu le choix. Malgré elle, elle fut accro à l’alcool à cause d’une intoxication. Après un syndrome de sevrage plutôt houleux, elle a su commencer à vivre. On lui a vite raconté les conditions de sa naissance et ce qu’elle devait faire pour ne plus retomber tomber dedans. Une fois adulte, la jeune femme a découvert une autre sorte de d’addiction, une qui n’avait pas de conséquences néfastes sur sa santé. Elle aime les sensations fortes, cela ne la gêne pas de sauter en parachute. Elle n’a pas peur du vide, elle ignore ce genre de peur, ce qui lui permet d’avancer assez facilement.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
La seule relation qu’on pourrait qualifier de ‘sérieuse’ était avec Eliah. Les choses se sont terminées plutôt d’un commun accord, comme à chaque fois. En effet, les deux jeunes gens finissent toujours par se retrouver un jour ou l’autre. Un peu comme deux aimants qui ne cessent de s’attirer.

Le dernier texto que tu as envoyé ?

T’es dispo ?

A Eliah. Artemisia est plutôt du genre directe dans ses messages.


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
Artemisia n’a jamais eu la chance de connaître ses parents biologiques. Sa mère a perdu la garde peu de temps après sa naissance et son père n’a jamais voulu la reconnaître. A croire qu’elle n’était pas réellement désirée. Heureusement, le couple Fleming, malgré leurs différences, a su combler ce manque. Elle a toujours été proche de ses parents adoptifs et a su leur rendre l’amour qu’ils lui ont donné.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
Artemisia mène une vie plutôt simple. Elle a des passions en dehors du boulot, elle en a besoin pour se changer les esprits et se reconnecter avec la réalité. Elle aime voir ses amies, faire des sorties, aller faire la fête tout en faisant extrêmement attention. Elle aime découvrir de nouvelles personnes, se sociabiliser. Par moment, quand le bruit autour d’elle devient trop assourdissant, la jeune femme aime passer une soirée tranquille chez elle avec son colocataire. A deux, ils ont de bons délires.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
Le seul fait peu glorieux dont elle se souvienne réellement c’est le bizutage qu’elle a subi en arrivant à la station 5. Un faux patient, de la mayonnaise dans ses chaussures. Bref, elle a tout eu, mais avec un mental à peu prêt bien rodé, elle a su terminer la journée et revenir le lendemain. Ses collègues ont récolté ce qu’ils ont semé quand ils ont été victime des blagues d’Artemisia à leur tour.

this session is gonna be different
vesna/tiffany ꕥ 27 ans
fréquence de rp : toutes les semaines sauf empêchements.. ϟ fréquence de connexion : tous les jours  Tag sensationforte sur I've got 99 problems 3290696072 . ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 300/600 je m'adapte en général. ϟ avatar à réserver : Tessa Thompson. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : multicolors. ϟ comment avez-vous connu 99 ? par mes trois premières têtes What a Face ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? les dcs c'est le bien  Tag sensationforte sur I've got 99 problems 4055768160  Tag sensationforte sur I've got 99 problems 1815670147
tumblr (gif) sarasvati (avatar)

Sauter vers: