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8 résultats trouvés pour tatouage

cassius -- paint my world a new grey

Invité
21 r ; 371 v.
Ven 4 Déc - 16:26
cassius roskam
i need help
ID CARD
{@=773}cassius roskam{/@}
24 ans - sans emploi
FEAT : Dylan Rieder
Cassius, c'était un gosse sans histoire, trop calme, toujours en retrait. Sa passion pour le sport, et en particulier le snowboard découvert à l'âge de dix ans, lui a ouvert un tout nouvel horizon, au point d'en devenir son unique but dans la vie. Quelques compétitions, beaucoup de rêves, et puis la dégringolade. Percuté par une moto (11.2019), il a perdu l'usage de ses jambes et se déplace depuis en fauteuil roulant. Les opérations multiples et la rééducation n'y ont rien fait, il commence à peine à accepter sa situation, et la prise de conscience du fait qu'il ne remontera plus sur sa planche le plonge dans une dépression profonde. Son séjour a l'hôpital a marqué le début de sa dépendance aux antalgiques, il ferait n'importe quoi pour ne plus rien ressentir.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine.
Ethnie/origines : papa est néerlandais, maman américaine.
Orientation : hétéroromantique et demisexuel.
Situation : célibataire. il ne fait plus rien de ce côté-là depuis son accident, Cass, il a trop honte, honte d'être coincé dans ce fauteuil, honte d'être limité dans ses mouvements, entravé, honte… et puis peur, aussi, peur de ne plus être à la hauteur, de ne plus savoir s'y prendre, de se ridiculiser.
Occupation : les plans ont foiré, chaque fois qu'il a entrepris quelque chose. cancre sur les bancs de l'école, universitaire médiocre, il n'y a que dans le sport qu'il ait jamais trouvé une forme de reconnaissance de la part de ses pairs. mais, ça aussi, ç'a foiré. il faisait du snowboard, et il était sacrement doué, mais ç'a mal tourné et, les jambes immobilisées, il a tout arrêté.
Quartier : le queens, springfield gardens

and what else ?
Qualités : direct, protecteur, réaliste, cultivé, observateur, combatif, responsable
Défauts : borné, impatient, fier, susceptible, rancunier, méfiant, pointilleux
Passions : {#}tatouage{/#} {#}chien{/#} {#}comics{/#}
Communautés : drive safe -- best friends life saving center -- cinéma du queens -- off the wall skate park






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Sans doute le fauteuil roulant dans lequel il est coincé depuis un an. S'il a encore des sensations cutanées partielles, il a perdu toute motricité, les lésions subies par sa moelle épinière étant trop importantes. Paraplégique, cela représente des aménagements conséquents dans sa routine et son logement, toute sa vie remise en question par une seconde de distraction, un motard trop pressé, un Cassius trop lent que pour l'éviter. Il en a voulu au monde entier. Il a perdu le sens de sa vie, perdu son autonomie, il est mal dans sa peau, mal dans sa tête, rien ne semble pouvoir lui rendre sa joie de vivre d'antan, lui qui avait trouvé un sens dans son métier et qui ne pourra plus remonter sur une planche, jamais. Il n'a pas envie de s'essayer à des sports adaptés, aurait l'impression d'être ridicule, complètement en dehors de sa zone de confort, s'accrochant bêtement à une époque révolue. Comme un autel dédié à sa vie d'avant, son appartement en porte encore les marques, coupes et médailles mises en vitrine, planches exposées au mur. Il refuse d'accepter, refuse d'avancer. Il a beau s'essayer à la thérapie musicale en apprenant la guitare, voir son psy toute les semaines et travailler avec son kiné, il n'en est pas moins isolé, autoexclu de la société de peur qu'on le voie comme lui se voit. Il n'en évite pas moins de se livrer, esquivant même les aides à domicile, ne supportant pas l'idée d'être dépendant de qui que ce soit, redevable et tributaire. Pas qu'il croit encore pouvoir se relever, mais accepter leur aide c'est accepter sa condition, et il est loin d'en être à ce stade.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Calmants, anesthésiques, antalgiques, médocs en tout genre, les produits se sont multipliés dans son organisme au cours de ses opérations, tout au long de son hospitalisation. Ç'a commencé comme ça, entre deux crises de larmes, deux pics de douleur insupportable. Ç'a commencé bêtement, il est tombé dans l'addiction comme dans un rêve, d'abord de façon superficielle, et puis tout d'un coup, profondément. Irrémédiablement. Pour calmer la douleur, faire taire les angoisses, retrouver le sommeil en dépit des cauchemars, il n'y voyait aucun mal, après tout c'était ce qui lui permettait de tenir, de dépasser l'envie de se laisser aller, couler. Il avait besoin d'être anesthésié, de pouvoir oublier, et c'est rapidement devenu un impératif, même une fois la douleur dissipée, il a trouvé le moyen de s'anesthésier et, Cass, il ne sait plus comment fonctionner sans. S'il n'a d'abord cherché que le bien-être (ou, à défaut, moins de mal-être), la dépendance s'est faite physique, et de plus en plus grande, son corps s'habituant, en demandant plus, toujours plus. Il sait, désormais, qu'il ne contrôle plus rien, qu'il a de loin dépassé le stade de la consommation occasionnelle histoire de se détacher de sa réalité. Irritable, tremblant, nerveux, les symptômes du manque sont de moins en moins évidents à masquer, alors il continue, c'est son excuse, une parmi d'autres, sa façon de justifier l'addiction, et l'escalade de celle-ci.
Alors oui, il en a, des addictions. De moins importantes aussi, les tatouages qui recouvrent sa peau, toile vierge qu'il fait disparaître sous l'encre. La cigarette, qu'il n'avait jamais touchée avant son accident, parce qu'il faisait attention à sa santé, parce qu'il se voulait athlète, sérieux et au régime sain. Les réseaux sociaux, aussi, pour y voir défiler la vie des autres, ceux qui continuent, ceux qui ont encore des choses à montrer, des expériences à vivre. Lui, il ne s'affiche plus que sporadiquement, là où il partageait systématiquement ses entraînements en story il y a encore un an de cela. Aujourd'hui, il poste surtout à propos de ses chiens, sa seule fierté.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Par message ? C'est loin d'être une fierté, mais il avait d'autres choses à gérer, Cass, et une rupture en bonne et due forme n'aurait fait que lui compliquer la vie. Il a passé des mois, après son réveil à l'hôpital, à repousser méticuleusement toute personne ayant fait partie de sa vie d'avant, sa vie de valide, quitte à se montrer agressif, voire carrément méchant. Il estime que c'est mieux pour tout le monde, refusant de représenter un poids pour son entourage, d'être à la traîne derrière ses amis, que son ex se sente obligée de rester à ses côtés alors qu'il n'a, selon lui, plus rien à offrir.

Le dernier texto que tu as envoyé ? Tomorrow at 2pm's great. (demain 14h c'est parfait)
Confirmation de son rendez-vous chez le psychologue, histoire qu'il ne puisse y échapper, se défiler. C'est qu'il n'a rien à signaler, Cass, rien de plus que la semaine précédente, ou celle d'avant, et celle d'encore avant. Il en est au même point qu'il y a un an, mentalement parlant, à peu de choses près, et sans doute le fait de ne pas s'ouvrir à son psy y est-il partiellement pour quelque chose, mais il n'est pas prêt. Toujours pas. Il pourra lui parler de la guitare, afin d'esquiver tout le reste, même s'il n'en est encore qu'à mémoriser les accords tout en désespérant d'avance de la difficulté de l'apprentissage autodidacte (mais hors de question de se livrer aux soins d'un professeur, il a bien trop peur d'être l'élève de trop, le différent, voire d'être éconduit, impossible à aider, son invalidité compliquant les choses pour une raison ou une autre – ses peurs n'ont pas besoin d'être logiques pour exister, non, Cass, il se construit sa montagne d'excuses, sa muraille de doutes, plausibles ou pas.)

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Présents, volontaires, attentionnés, ses parents, il n'a jamais rien eu à leur reprocher, c'est peut-être le plus désolant dans l'histoire. Ils n'ont rien fait de mal, et pourtant. Pourtant, Cass, il ne les voit plus, ou si peu. Il les suit, à contre cœur, dans un groupe de soutien, les laissant croire qu'entendre leur version et leur expérience de l'accident qu'il a vécu peut l'aider, ou le faire parler. Les laissant s'imaginer qu'ils comprennent, à force d'écouter d'autres paraplégiques, qu'ils peuvent l'aider. Il les laisse l'infantiliser, lui verser à nouveau de l'argent mensuellement, conscient que c'est l'unique façon qu'ils ont trouvée pour le soutenir concrètement, puisqu'il ne leur parle pas. Mais, en dehors de cela, il les évite. Pour les protéger, se convainc-il, de lui, de son addiction, de la déception, de l'impuissance face à sa situation. Pour se protéger, en réalité, de leurs regards, leurs attentes, la pitié qu'il devine et ne supporte pas.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Après des études écourtées et une carrière de snowboard franchement mise en péril, il n'a pas fait mine de vouloir retenter quoi que ce soit. Il est jeune, qu'on lui dit et répète, il peut encore tout faire, reprendre des études, trouver un nouveau sens à vie. Mais, tout ça, c'est trop abstrait pour lui. Tout ça, ce n'est pas sa passion, ce n'est pas assez. Aspiré dans une spirale infernale de lassitude et d'abattement des mois durant, il s'est fermé, enfermé, jusqu'à ne plus supporter de passer ses journées avec lui-même, ses pensées et son malaise. Il a repris contact avec le monde extérieur à travers les jeux vidéos, les chats, les conversations de geeks au sujet de sa collection grandissante de comics et de ses films préférés (le septième art avait toujours eu un certain attrait pour lui, mais ce fut l'un de ses grands passe-temps après l'hôpital, et il a eu le temps de se forger une culture cinématographique solide et extensive.) Alors, c'est surtout cela, qu'il fait, lorsqu'il n'est pas chez l'un ou l'autre professionnel de la santé, ou bien perdu dans les affres de la dépendance. Il n'a aussi jamais cessé de prendre soin de ses deux chiens, Mars (berger allemand) et Romeo (dobermann), ce sont eux qui le motivent encore à sortir, à bouger et vivre, parce qu'ils ont besoin de lui, et que s'il ne tient pas bon par volonté et plaisir, il le doit par responsabilité. Il lui arrive encore de passer par le skate park, c'est plus fort que lui, même s'il n'envisage pas une seconde de s'essayer au parasport.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Vous avez combien de temps ? Il traîne quelques casseroles, Cass, des plus embarrassantes aux plus comiques. Dernièrement, il est surtout victime de sa fierté, et il se met dans des situations pas possibles pour prouver sa capacité à s'en sortir seul. La fierté a toujours été sa plus grande ennemie, en témoignent les cicatrices de toutes les figures de skate et de snowboard prétendument maîtrisées, et qui se sont souvent soldées par de spectaculaires chutes. Il a pu en rire en parlant des risques du métier une fois lesdites figures perfectionnées mais, à l'adolescence, les fanfaronnades lui ont valu son lot de points de sutures et quelques moqueries.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : vespertine, appelez-moi Nawal cute
Age: 20 yo Tag tatouage sur I've got 99 problems 2958767705
Avez-vous des triggers personnels ? le suicide par pendaison et la maltraitance animale, lorsqu'ils sont détaillés. je préfère aussi être prévenue en cas de racisme et d'islamophobie cute
Avatar à réserver : Dylan Rieder (merci Tag tatouage sur I've got 99 problems 3974363061)
Crédit avatar utilisé dans la fiche: drake.
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec plaisir Tag tatouage sur I've got 99 problems 900075052

A secret is a double-edged knife /Khaled Byers\

Invité
24 r ; 559 v.
Lun 26 Oct - 3:04
Khaled Byers
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=753}Khaled Byers{/@}
32 ans - escorte
FEAT : Liam Payne
C’est le 13 juin 1988 que Khaled Byers voit le jour dans une famille croyante. Pendant son enfance et le début de son adolescence, il a fait de son mieux pour être le grand frère sur qui ses petits frères pouvaient prendre l’exemple et pour être le fils parfait que ses parents désiraient qu’il soit. Épuisé par tous ces efforts quotidien, Khal’ fini par relâcher la pression hors de la vue de ses parents avec Kirk, son meilleur ami d’enfance, et avec Ezekiel, son nouveau meilleur ami. L’un et l’autre lui offre une façon d’être l’adolescent qu’il veut être et chacun lui offre une série de premières fois. Un soir, Khaled rencontre Jevanna qui le sauve d’une mauvaise pente. Après quelques années à gagner sa confiance en travaillant dans l’un de ses spa, Khaled est maintenant un de ses escortes chouchous sur qui elle peut toujours compter. Il s’est donné à fond dans son boulot pour prouver à Jevanna qu’elle a bien fait de le prendre sous son aile et pour oublier les nombreuses absences de Zeke, pour qui il commence à avoir des sentiments plus qu’amicaux, il en a bien peur.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Avec deux parents américains qui m'ont donné naissance sur le sol américain, je ne peux pas être autre chose qu'américain.
Ethnie/origines : Comme mes deux parents sont des américains tout ce qu'il a de plus banals, j'ai pas d'origine autre. Quoique j'ai déjà entendu mes parents parler de lointaines origines allemandes, il me semble. Mais bon, si c'est si loin ça compte pas.
Orientation : Bisexuel avec une légère préférence pour les hommes (surtout un)
Situation : célibataire, mais amoureux en secret
Occupation : Escorte
Quartier : Bronx

and what else ?
Qualités : généreux, aimable, confiant, sociable, débrouillard, considéré, consciencieux
Défauts : Naïf, ambitieux, freak du ménage, jaloux, rancunier, secret, impulsif
Passions :{#}Sport{/#}, {#}tatouage{/#}, {#}moto{/#}
Communautés : The Lift, Miranda Heights






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

PROLOGUE

Le 13 juin 1988 à New-York, Khaled Ashton Byers voit le jour. Il est le premier de quatre enfants pour la famille Byers. Sa famille n’est pas des plus riches, mais il n’a jamais manqué de rien. Très vite, son premier frère est né, à son plus grand bonheur. Il allait enfin avoir quelqu’un avec qui jouer et dépenser toute l’énergie qu’il avait, mais avant, il s’avait qu’il allait devoir prendre soin de lui pour pouvoir jouer plus tard avec son petit frère. Il fut tout aussi ravi lors des naissances de ses deux autres petits frères. Quoique, il aurait bien aimé avoir une petite sœur a protégé. À la place, il a été – très – protecteur avec ses petits frères. Si on leur demandait, ils diraient surement Khaled était trop protecteur et Khaled se défendrait en répliquant que c’était son rôle de grand frère.

ACTE I

L’enfance de Khaled fut une enfance des plus normales. Il est allé à l’école et a ramené des notes très satisfaisante. Khaled adore apprendre sur de nouvelles choses alors l’école était un endroit fort apprécier par lui. Les dimanches, il allait avec sa famille à l’église et, même s’il trouvait ça long et ennuyant, il suivait les consignes sans rechigner. Il était le grand frère, il devait montrer l’exemple, comme son père n’arrêtait pas de lui répéter. Il suivait les consignes pour montrer l’exemple à ses frères. Il faisait ses devoirs à tous les soirs pour ramener de bonnes notes pour montrer l’exemple. Il ne faisait pas de caprices pour montrer l’exemple. Il faisait le grand frère exemplaire, même si ça l’épuisait de plus en plus. Il avait envie de vivre son adolescence comme ses amis. Se coucher tard, faire le mur, dire ce qu’il pensait réellement, ne plus aller à l’église avec ses parents, mais tout ça n’était pas « montrer l’exemple » alors il se retenait. Du moins, face à ses parents et ses frères, il jouait le rôle du grand frère exemplaire, mais dès qu’ils ne pouvaient plus le voir, il relâchait la pression.

ACTE II

L’adolescence, la période compliqué pour tous les ados. Entre chercher qui on est et continuer à faire comme avant, pas évident de se trouver. C’est pour ça que Khaled restait le grand frère « parfait » aux yeux de ses parents et de ses frères. Avec Zion, son complice depuis la petite enfance, il relâchait la pression. Khaled devenait celui qui aimerait être. Il disait vraiment ce qu’il ressentait. Il donnait réellement son opinion. Il affirmait au et fort que l’église et la religion, c’était un ramassis de conneries. Bref, il se libérait.

C’est à cette époque qu’il a rencontre Ezekiel, un mexicain beau gosse et avec qui Khal est devenu rapidement ami. Bien sûr, jamais Zeke a rencontré ses parents. Oh non ! Déjà que Zion n’avait pas totalement plus à ses parents avec son désir d’avoir les cheveux longs et son désir de découvrir le monde pour le photographier. Quand ils ont remarqué à quel point Zion était poli et serviable, ça allait mieux. Après tout, il incarnait le fils exemplaire qu'ils souhaitaient que Khaled devienne. Il était parfait. Mais Zeke… Rien n’allait pouvoir aider ses parents à l’excepter. Il était loin d’être le garçon exemplaire que ses parents s’attendaient de leur fils alors comment les faire accepter qu’il se tienne avec ce genre de gars ? Mais, lui, passer du temps avec Zeke, ça lui faisait du bien. Il pouvait continuer à montrer le bon exemple à ses frères grâce au temps passé avec Zeke. Et avec Zion puisqu’avec Zion… c’était toujours spécial. Mais d’une façon différente qu’avec Ezekiel. Il a vécu plusieurs de ses premières fois de vie grâce à eux, mais surtout en lien avec les expériences d’adolescence. Les party, l’alcool, les soirées entre ami qui se finissent lorsque le soleil se lève… Beaucoup de premières fois se sont réalisées grâce à eux.

Sa première consommation de drogue aussi s’est produite à ce moment-là. Cette fois-ci, ce n’était pas la faute de Zion ni de Zeke, du moins pas directement. Lors d’une fête, Khaled s’est laissé embarqué dans cette spirale qui l’a amené à d’autres consommations de plus en plus fréquentes et en dehors des gros party. Il se sentait tellement plus relaxe après un bon joint. La pression de devoir être l’enfant parfait pour ses parents se dissipait tellement facilement, aussi vite que la fumée s’envolait pour disparaitre. C’est aussi à cause de cette consommation qu’il s’est fait prendre par ses parents à être un peu trop proche de Zion. Heureusement, si on veut, que Monsieur et Madame Byers n’ont vu que la main de leur fils sur les fesses de Zion un soir qu’ils se pensaient seuls. Cet événement a pu être « facilement » mis aux oubliettes. Bon, c’est vrai que le lendemain, Khaled a dû jurer que les filles l’intéressaient et qu’il se voyait avec une fille plus tard. Il n’était pas convaincu de ses paroles, mais faut croire qu’il l’était assez pour que ses parents le croient.

Bien vite, il a eu besoin d’argent. Son pauvre petit boulot dans la librairie du coin ne suffisait plus à subvenir à sa vie d’ado cacher. C’est alors qu’un pote de party lui a proposé de l’accompagner un soir en précisant qu’il devait être bien habiller. Alors vêtu de sa tenu du dimanche, Khaled rejoignit son ami pour se rendre dans le quartier riche où ils allaient infiltrer une soirée mondaine pour faire du sexe tarifié. Une prostitution dans de meilleures conditions, selon son ami. Après un petit joint, Khaled s’est lancé tête première dans ce manège pas très sur de lui. Rapidement, il y a pris goût. Après tout, le sexe, c’est agréable non ? C’est grâce à ça que Khal a compris qu’il était vraiment intéressé par les deux sexes. Que dirait ses parents s’ils l’apprenaient ? Khaled ne voulait pas le savoir, il prit donc la décision de déménager du foyer familial. Après tout, il était assez vieux pour prendre son envole et grâce à ce « petit boulot » en plus de la librairie, il peut facilement se permettre cet indépendance. Malheureusement, quelques temps plus tard, Khaled tombe sur un homme plutôt sadique. Non en fait trop sadique. Même le joint fumé un peu plus tôt n’arrive pas à détendre Khaled qui se retrouve sur le ventre, les mains attachées au lit et les jambes repliées sous lui écarter par une barre. Le jeune homme priait Dieu que quelqu’un remarque l’absence du maître des lieux pour se sortir de cette histoire. Il était assez désespéré pour prier ce Dieu qu’il a tant ignorer par le passé et pendant ce genre de moment. Il voulait juste partir et se coucher en boule dans le fond de son lit. Ou dans les bras de Zion. Ou encore dans ceux de Zeke. Il voulait juste être loin de cet homme pour toujours. Des larmes de soulagement se mêlèrent aux larmes de douleur et d’humiliation lorsqu’il entendit la porte ouvrir et une exclamation. Il allait être libéré. Il oubliait totalement la position humiliante dans laquelle il se trouvait à l’instant lorsqu’il entendit la femme ordonner à l’homme de quitter la pièce sur le champ. L’instant d’après, cette même femme venait libérer ses poignets et ses cuisses de la barre après l’avoir couvert d’une couverture dans laquelle il se cachait ensuite. En pleurs, il vit la femme revenir face à lui avec ses vêtements. Khaled finit par s’habiller alors que des sanglots déchirait sa gorge. Une fois loin de cette maison, il remercia la femme qui lui donna son nom : Jevanna. Comme si elle n’en avait pas assez fait pour lui ce soir-là, elle lui proposa de venir à l’adresse écrit sur la carte pour un entretient d’embauche. Il accepta, évidemment, puisque ça voudra dire qu’il n’aura plus besoin de faire ce genre de chose pour subvenir à ses besoins. Il ne veut aucunement refaire ça et retomber sur cet homme ou un homme pire sans pouvoir être sauver une autre fois.

ACTE III

Ça fait maintenant un bon bout de temps qu’il travaille pour Jevanna dans l’un de ses SPA. N’ayant pas d’expérience dans aucun des domaines de cet établissement, il est en charge de l’entretient des liens et il aime ça. Il ne veut pas faire ça toute sa vie évidemment, mais ça lui plait bien pour l’instant. En plus, ses collègues sont gentilles et, pour la plupart, très belle. Il a eu quelques coups d’un soir, surtout des filles. Certaines fois parmi ses collègues. Rarement, c’étaient des hommes et si s’en était un, il fallait absolument qu’il soit actif. Khaled voulait garder le contrôle de l’acte pour ne pas revivre la même situation que cette nuit-là.

Il a fait une cure de désintoxication avant de pouvoir commencer à travailler pour Jevanna, c’était l’une de ses conditions. Il a fait passer ces quelques mois en centre pour un voyage avec Zion à sa famille. Pas question qu’ils apprennent ça, il allait se faire renier à coup sûr. Cette excuse a bien passé puisque ce n’était pas la première fois qu’il suivait son ami dans ses voyages. Grâce à ça et à son bon travail au Spa, il a gagné la confiance de sa patronne et il lui a montré qu’il valait la peine pour tout ce qu’elle a fait pour lui.

Alors qu’il n’avait même pas encore vingt ans, Khaled a accueillit son meilleur ami chez lui. Vivre en colocation avec Zeke paraissait être une bonne idée aux yeux de Khal. Ils allaient pouvoir passer toutes leurs soirées ensembles sans devoir rien planifier puisqu’ils allaient partager le même toit. Du moins, Khaled pensait ça jusqu’à ce qu’il comprenne que Zeke adorait ne pas porter de vêtements et, pour ses hormones de jeune homme, ce n’était pas une bonne nouvelle. Comment résister à ce beau mexicain ? Même ses cicatrices qu’il a eu lors de ses combats de rue le rendait encore plus beau, encore plus badass. Il a alors commencé à rêver à son meilleur ami et ses rêves devenaient de plus en plus chaud. Rêves qui revenaient hantés Khaled la journée aussi lorsqu’il apercevait le torse nu de Zeke. Khal était rendu au point où il priait pour que son meilleur ami s’habille et où il priait tous les dieux pour qu’il le touche. Il avait les idées toutes mêlées.

ACTE IV

Trois ans après son embauche au SPA de Jevanna, cette dernière proposa à Khaled de rencontrer une amie à elle pour un autre métier qui, elle en était sûr, allait beaucoup lui plaire. Alors quel ne fut pas sa surprise de voir Jevanna à la place de son amie lorsqu’il s’est rendu au point de rendez-vous. Surprise qui s’est vite transformée en compréhension au fil des explications de Jevanna. En fait, cette dernière n’était pas là en tant que Jevanna, mais bien en tant que lady Brina, maquerelle à la tête du réseau d'escortes de luxe le plus select de New York. Après de longues heures d’explications et de réponses aux questions de Khaled, ce dernier à accepter de tenter l’expérience. Après tout, qui ne voudrait pas vivre une soirée au bras d’un riche homme ou d’une riche femme qui n’attend que ça d’avoir quelqu’un à leur bras. Manger dans les plus grands restaurants. Dormir dans les plus grands hôtels. Voyager à travers les États-Unis, tous frais payés. Et même voyager à travers le monde peut-être. Tout ça, sans à avoir à coucher avec personne. À moins d’une demande spécial et d’un supplément. Tout ça alors que l’escorte à toujours son mot à dire. Honnêtement, Khaled n’avait aucune objection à faire. Il était prêt à tenter l’expérience. Lady Brina avait l’air très contente aussi que Khaled accepte son offre. Et encore une fois, Khal était totalement reconnaissant envers cette femme et il ne sait même pas s’il pourra, un jour, assez la remercier pour tout ce qu’elle a fait pour lui.

ACTE V

Le cap des trente ans passé et Khaled est un éternel célibataire. Il a bien essayé de s’embarquer dans une relation sérieuse à quelques reprises, mais… c’était presque toujours voué à l’échec. Entre son boulot qui l’amenait à voyager ou a participé à des soirées, ça ne lui laissait pas beaucoup de temps à passer avec l’autre. Il a essayé avec des femmes et avec des hommes se disaient que c’était peut-être le sexe de la personne qui l’empêchait d’être investi réellement dans la relation, mais non plus. Il y avait toujours un autre visage, un autre nom, un autre corps, une autre voix, bref une autre personne qui occupait son esprit. Ezekiel, son meilleur ami, occupait ses pensées et ses rêves érotiques depuis tellement d’années que s’était rendu un habitude pour Khaled. À chaque fois que Zeke disparaissait plusieurs semaines, plusieurs mois, même des années, c’étaient toujours les moments les plus durs pour le châtain. Il devait réapprendre à vivre son quotidien sans son meilleur ami. Leur appartement semblait si grand sans le mexicain pour y mettre de la vie. Il se rendait alors compte que Zeke prenait une grande place dans sa vie. Peut-être une trop grande place pour un simple meilleur ami. Est-ce possible que ses sentiments amicaux aient évolué depuis le temps ? Que les départs de Zeke aient fait changer ses sentiments à son égard ? Il en a tellement parlé à Zion après leurs ébats au lit qu’il a finit par se trouver pathétique. Pathétique de parler d’un autre mec alors qu’il venait de coucher avec un autre mec. C’était étrange quand même non ? En fait, leur amitié est tellement étrange à Zion et Khaled. Ils sont attirés l’un part l’autre, aucun des deux niera ce point. Seulement… Il n’y a rien de plus que cette attirance physique et une grande amitié. Alors, oui, ils se parlent beaucoup de leur vie, de leurs tourments. Zion sait que Khaled n’a plus réellement de contacts avec sa famille parce que cette dernière est bien enfoncée dans la religion, ce qui fait qu’elle n’accepte pas le fait qu’il soit bi. Khaled sait que Zion cache une facette de lui totalement opposé à ce qu'il montre quotidiennement. Ils savent tout l’un de l’autre et, pourtant, aucun des deux n’est tombé amoureux de l’autre. Étrange non ? Mais, c’est leur amitié. Ils sont bien là-dedans. Alors, c’était tout naturel que le premier au courant du retour de Zeke à New-York soit Zion et ce même si Khaled se trouvait à quelques kilomètres de cette ville. Évidement, Zeke devait arriver la veille du retour de Khaled en ville. Il est très bon pour faire chier comme ça. Khaled a fait tous les efforts possibles pour être le plus attentif possible lors du gala où son client attend une récompense. Il ne pourrait pas dire ce qui s’est passé pendant le gala tellement il était perdu dans ses pensées. Ezekiel était enfin rentré, c’était tout ce à quoi il pouvait penser. Khal’ a tout de même réussis à applaudir son client, comme il devait le faire, lorsque ce dernier a gagné son prix. Plus tard, lorsqu’il a regagné sa chambre d’hôtel luxueuse qu’il avait pour la nuit, il passé plusieurs heures à regarder ce message de Zeke. Il ne l’avait pas rêvé, il était bien rentré. Demain, il pourra le revoir. Dans douze heures, il sera lui aussi à New-York. Dans douze heures, il pourra revoir en chair et en os son meilleur ami. Et pourquoi pas lui voler un câlin. Plus que douze heures à tenir. La dernière pensée qu’il a eut avant de sombrer dans les bras de Morphée fut « je suis amoureux de mon meilleur ami et je suis dans la merde ».



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Fireproof/Béné
Age: 22 ans
Avez-vous des triggers personnels ? nop
Avatar à réserver : Liam payne
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Bambi eyes
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Dante Romano ≡ Art speaks where words are unable to explain

Invité
15 r ; 849 v.
Jeu 10 Sep - 4:29
Dante Romano
28 ans – artiste & barman
FEAT : angelo carlucci
Dante est un italiano-franco, né à New York au sein d’une famille difonctionnelle. L’activité favorite de ses parents était de s’engueuler, et de faire des enfants pour tenter de sauver leur couple. Il est l’aîné d’une sœur et d’un frère les ayant élevés puisque les parents étaient trop occupés ailleurs. Il rêvait d’être chirurgien mais faute de manque de moyen (et de ce fait que la bourse a été donné à un enfant de la bourgeoisie) il s’est tournée vers sa seconde passion : la peinture. Il est désormais connu dans le domaine, franchissant tranquillement les pas vers la célébrité, sa fierté. Il est de ceux qui déteste la société (par la faute de son passé), ainsi que les gens riches pour cette même raison. C’est un charmeur des âmes, fuyant cette idée de l’amour et du couple, préférant vivre au jour le jour, grand bohème et esprit libre.  
who am I
ꕥ âge : 28 ans.
ꕥ nationalité : Américain
ꕥ ethnie/origines : Italien (père) et francais (mère) faisant de lui un européen tout aussi bien.
ꕥ orientation : Il est un bisexuel assumé depuis quelques années déjà. Ou plutôt le terme plus approprié serait pansexuel. Il pourrait se trouver devant un dieu ou une déesse mais s’il n’y a pas de connexion au niveau de l’âme, s’il n’y a pas une belle entente ou quelque chose d’autre que le sexe en lui-même qui les unis il ne sera pas intéressé à passer un one night avec la personne.
ꕥ situation : Célibataire et ce depuis toujours. Il n’a jamais été en couple et ne le sera sans doute jamais. Pour la simple et bonne raison qu’à ses yeux, le couple n’est qu’une image éphémère et avec cette société qui adore nourrir comme des porcs ainsi que lobotomiser les enfants dès leur plus jeune âge avec les ridicules histoires de prince charmant et princesse, quelque chose devenu impossible à atteindre sainement. Son expérience de vie ne lui ayant appris que l’amour est plus douloureux qu’autre chose, d’autant plus en ayant vu ses parents en mauvais accords depuis tant d’année, ça ne lui donne pas très envie. On devinera que les films romantiques, il les fuit comme la peste et lui donne des gags reflex comme pas possible.
ꕥ occupation : Un artiste lorsqu’on lui demande. Un artiste connu dans le grand monde de l’art, qui se spécialise dans la peinture, qui tranquillement mais surement se fait connaître de plus en plus. Il sait très bien que ce métier est difficile, mais il n’a jamais abandonné pour autant, et ce fut payant. Il aime aussi tremper dans l’illégalité pour signer quelques murs de NY de ses graffitis. Pour le reste, il travaille comme barman à l’Overkill ne prenant pas vraiment la peine de le mentionner car pour lui ce n’est que pour occuper autrement son temps, ainsi que subvenir à ses besoins dans les temps plus creux.
ꕥ quartier : Brooklyn, Bedford Street, Williamsburg (dans un appartement, avec son chat)
ꕥ qualités : Autodidacte, curieux, imaginatif, esprit bohème, cultivé, sait lire les gens, observateur, à l'écoute, zen, charmeur
ꕥ défauts : Tête dans les nuages, côté naïf, angoisse de la solitude, téméraire, brutalement honnête, connard, fuie les confrontation, ne sait pas dealer avec ses émotions négatives
ꕥ passions : {#}art{/#} (peinture, dessin, graffiti) Il a l’âme d’un artiste qui est désormais sa vie, sa passion, son gagne-pain qu’il compte bien pratiquer jusqu’à son dernier souffle. Il ne pourrait vivre sans art, sachant bien que la dépression va le guetter le jour où il perdra l’usage de ses mains. Quoi qu’il trouvera bien un autre moyen. {#}tatouage{/#} Son corps est une toile qui ne demande qu'à être recouvert. Il adore les tatouages dans la vie, et ne compte certainement pas s'arrêter là. Mais il prend le temps de réfléchir avant, ne le faisant jamais sur un simple coup de tête. {#}faire-la-fête{/#} Il ne peut pas vivre sans humains. Il angoisse lorsqu’il se retrouve seul trop longtemps et a toujours ce besoin de se retrouver dans la foule. Ce besoin de faire la fête, de faire de nouvelles rencontres. Son pire cauchemar serait de se retrouver sur une Île déserte alors qu’il sait bien que c’est le rêve d’autres, parfois.
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : LGBT Center, The Lift, The Outpost, The Overkill, Cours de cuisine du samedi matin, Salsa Class by Ricardo Diaz
ꕥ scénario/pré-lien : C’est sorti de ma tête (ou presque, c’est un ancien pl de Jesse en fait (oui j'ai sa permission))
ꕥ mp d'intégration : Je dis oui, pourquoi pas! C’est une excellente initiative je trouve :)

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je suis pas très bon pour faire des présentations honnêtement haha. Je peux vous dire que j'aime les jeux de tous genre (vidéos ou encore de société) que j'aime pas mal cuisiner, dessiner aussi sinon j'ai découvert que binge watcher des trucs c'est la vie (surtout que des fois si je prend une grosse pause entre je perds le fils). J'ai un humour un peu particulier mais si je vous connais pas, je vais mettre un filtre promis. Bon après on apprendra à ce connaître! Vous verrez bien par vous même le reste xD

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Sherlock Holmes
ꕥ un film : Harry Potter (le classique)
ꕥ une série : Brooklyn 99
ꕥ une chanson : Xavier Rudd - Spirit Bird
ꕥ un animal : renard des sables
ꕥ un plat/dessert : gâteau au fromage au citron
ꕥ une boisson : bière rousse
ꕥ une célébrité : Terry Crews (this man is epic)
ꕥ un pouvoir magique : téléportation (bonjour l’économie des billets d’avion)

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : J’ai pas un coeur sensible, je peux parler de tout et de rien mais si je peux éviter de lire des rps (les fiches ça va) c’est vraiment si des gens décide de faire des rps crus en mode : pédophilie, zoophilie, inceste (ça me fait cringe), et les agressions sexuelles. Mais après j’ai pas le temps de lires les rps de tout le monde donc je devrais pas avoir de soucis! xD


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad... Un enfant comme les autres, parmi la masse des criards dans cet hôpital. Un enfant qui était né au sein d’une famille imparfaite, et peut-être pas nécessairement pour les bonnes raisons. Mais en avait-il réellement, des bonnes raisons d’avoir un enfant ? Il y avait toujours des erreurs de parcourt, après tout, car ce monde dans lequel nous vivons, est imparfait. Et si la première naissance avait été pour souder le couple, une idée pour fonder des bases plus solides du couple, ce fut bien rapidement une fissure à la fondation. On ne pouvait pas blâmer la mère qui, était profondément tombée amoureuse d’un coureur de jupons, après tout. Et à travers ses yeux à elle, un enfant avait été un plan miraculeux pour changer cette caractéristique trop joueuse de son homme. Un plan à court terme, c’était ce qu’était Dante. Mais il n’avait manqué de rien pendant les premières années de sa vie. Si ce n’était que de cette éducation tout aussi imparfaite que les autres. Mais ils faisaient de leurs mieux, avec les moyens qu’ils avaient. Et lui, les deux mains dans la peinture, ne comprenait pas tout ce qui se passait autour de lui. Heureusement, il avait sa bulle pour se protéger de la tension qui pouvait se faire ressentir, malgré que son regard lui, enregistrait dans son inconscient. Et si on ne pouvait ce fait qu’ils faisaient de leur mieux, ils méritaient amplement le titre d’imbécilité majeure, pour ne pas user de protection. Contre quoi? Contre une nouvelle union de leurs deux espèces.

La crise familiale, qui tentait avec ce deuxième enfant, de mettre un peu de ciment contre les fissures de la fondation. Mais le problème, lui, n’était toujours pas réglé. Un nouveau plan à court terme. Un nouvel être qui n’avait pas demandé à naître et qui se faisait déjà détester par son grand frère. Pourquoi? Pour la simple et bonne raison qu’il savait très bien que l’enfer ne faisait que commencer. Il voyait ses parents se crier dessus, et il voyait un bébé qui lui aussi allait crier. Et pour lui, il n’avait pas la moindre envie de signer ce contrat invisible. Pire encore, lui aussi comptait bien, en faire des crises, sous la frustration, sous l’incompréhension, mené par son inconscient qui tentait de peine et de misère de faire comprendre à ses parents que ça n’allait pas. Mais son nom résonnait plus qu’autre chose dans un ton de voix qui n’était pas toujours bien agréable. Il y avait eu un chaos pendant un instant, puis un apprentissage de la part de Dante. L’apprentissage de voir sa petite sœur hurler, sans que personne ne vienne se préoccuper d’elle. Trop occupés encore, sur un énième point de dispute. Il avait de son propre gré, décidé de s’en occuper, à son tour, du mieux qu’il pouvait. Et si au départ c’était simplement car il en avait marre de l’entendre, et ne souhait qu’un peu de silence, au fil du temps il avait fini par s’attacher à cette petite créature, et se dire que s’il pouvait lui offrir un peu de paix, lui offrir un peu plus d’attention qu’il n’avait plus vraiment depuis quelques temps, ça serait déjà ça. Il lui permettait de rentrer dans son monde à lui partageant ses moments de dessins avec la petite, restant dans le jeu pour lui apprendre ce que lui, avait appris. Sa patience qui se développait déjà, tout comme son enfance qui s’envolait à petit feu, l’obligeant en quelque sorte à devenir plus mature qu’un enfant dans la normalité. Puis vint le temps de rentrer dans le monde des grands, de celui de l’éducation, et un peu de l’école du cirque pour lui. Car il devait apprendre à jongler avec ses apprentissages, s’adapter à ce nouveau monde, en prime de devoir s’occuper de plus que de ses devoirs une fois rentré à la maison. C’était un peu devenu son train-train quotidien, en quelque sorte.

Mais bien entendu, il semblerait que le fameux : jamais deux sans trois s’applique aussi lorsqu’il ne le faudrait pas. Un petit frère qui était en chemin, et il faut croire que Dante avait sa crise d’ado avant l’heure et ses parents y avaient franchement goûté. Si leur entourage n’osait pas leur dire, lui, il avait osé. Leur crier dessus qu’il n’en voulait pas d’un autre, que s’ils commencent par s’occuper des deux premiers qu’ils avaient avant de simplement y songer. Il va sens dire qu’il avait tôt fait de regretter ses paroles, autant parler à un mur, puni malgré ce fait qu’il avait simplement tenté de les aider à s’ouvrir les yeux. Il faut croire qu’il avait des autruches, et non des parents. Au bout du compte il avait à peine 10 ans qu’il se considérait presque comme un papa à temps partiel, prenant la peine d’aider sa petite sœur dans ses devoirs, continuant de prendre soin d’elle en même temps que de lui-même et de son propre avenir.

Et dans son cas, nous pouvions aussi dire jamais trois sans quatre, mais cette fois ci, en parlant des vagues de merdes qui pouvaient s’accumuler dans sa vie. Il avait heureusement le temps de respirer entre deux, mais il faut dire que la pente, il la voyait se faire de plus en plus glissante. La condition de sa mère qui change, en un instant. Un accident de travail, faisant d’elle ce que l’on appelle communément, une handicapée. Un stade de non-retour, plutôt définitif, faisant en sorte que les montagnes russes dans le couple soient un peu moins solides encore. Et si depuis sa naissance il y avait des tensions cachées (et parfois non), des tentatives de mettre beaucoup de fond de teint pour cacher les soucis, il faut dire que c’était devenu plus difficile pour les deux parents de le faire. Il n’était pas aveugle, Dante, il avait compris que son père en voyant d’autres et qu’ils restaient ensemble pour il ne savait quelle raison. Pas par amour dans tous les cas. Si c’est bien à ce moment qu’il se dit qu’avec un exemple pareil, les adultes ils sont tous fous, illogiques, en priant le ciel pour ne pas terminer de la sorte.  

Et s’il était l’homme qu’il était aujourd’hui, plutôt saint, sans avoir mal viré, c’était bien car il s’était construit un univers, bien à lui. Une fameuse carapace dans laquelle il savait pouvoir s’y réfugier, dans un monde dans lequel ses soucis familiaux n’existaient pas. Un monde paisible, créé par nul autre que lui-même et ses talents du domaine de l’art. Un univers qu’il n’a jamais pu se résoudre à quitter, encore aujourd’hui et dans lequel il espère y vivre son dernier souffle avant de quitter le monde des hommes. Mais plus encore que ce médium, il eut fait la rencontre d’un jeune homme, qui vint aider aussi, à sa manière. Ça cliquait, comme on dit si bien et ils ne perdirent pas des années avant de se qualifier mutuellement de meilleurs amis. Malheureusement pour Dante, en quelque part, cette fameuse rencontre qui se pointait dans son adolescence. Pourquoi? Parce que si ses hormones en avaient que pour les filles, il faut dire que passer une séance complète de découverte sensuelle (je tente d’être poétique ok) sur son meilleur ami était pour le moins perturbant. Une belle crise de l’identité, un peu de honte aussi, et le néant total à savoir ce qui n’allait pas chez lui. Autant mourir que d’en parler à ses parents qui pour lui, étaient bien les pires modèles à qui demander ce genre de chose.

Il dû apprendre à découvrir par lui-même ses émotions. Pourquoi il y avait cette petite boule de rage en lui lorsqu’il lui parlait d’Alice, pourquoi il était heureux lorsque ça ne marchait pas avec une. Et surtout comment il pouvait avoir de la peine avec lui lorsqu’il avait le cœur brisé, et soulagée en même temps. Dante ne se sentait pas bien, dans sa peau. Il se sentait mal, de ressentir toutes ses choses, alors qu’il devrait tout simplement être heureux avec lui, et triste avec lui. Mais il n’était pas complètement idiot, il avait fini par comprendre que ces papillons à la con avaient un nom. L’amour. Pire encore, son premier amour d’adolescent. Il avait osé, tâter le terrain, pour se prendre une bonne claque mentale et comprendre qu’il avait devant lui un pur hétéro, comme on dit. Il avait vécu aussi sa première peine d’amour, préférant ne pas la partager pour éviter les questionnements. Une deuxième blessure profonde à toute cette idéologie de l’amour. Qu’il eût gardé secret, encore aujourd’hui, apprenant plutôt à vivre avec, à se convaincre que ce n’était simplement pas pour lui, tout ceci. D’autant plus en voyant son meilleur ami et son cœur d’artichaut aller avec les filles. Il n’y pouvait rien, après tout, et préférait garder leur amitié. Ce qui ne l’avait pas empêché de se taper le cousin de ce dernier, cela dit. Hum. C’était que pour vérifier son attirance promis. Il devait bien le faire après tout, dans sa crise existentielle, pour avoir ses réponses qu’il avait tant cherché à comprendre.

Il avait poursuivi ses études, sans réellement savoir dans quoi s’en aller au départ. Il se plaisait dans son art, dans son amour de la beauté et de la science. Il savait au moins aimer les deux, se disant représentant du pont entre ces deux univers différents. Mais dans sa tête uniquement, cela dit. Et il y avait parfois dans la vie des moments de lumières, un peu aidé par ses recherches qui au bout du compte lui avait montré la voie vers un but à se fixer : devenir chirurgien. Car c’était un art de l’être, il faut l’admettre. Il avait pris la branche de la science, arrivant à jongler entre sa famille et ses devoirs, donnant de son 100% et travaillant fort pour être parmi les meilleurs. Les notes, ça allait. Mes les moyens monétairement parlant…Ça c’était une autre histoire. Avec les factures médicales de maman, les trois enfants à nourrir et tout le reste, ils n’avaient tout simplement pas les moyens pour les études supérieures. Mais pour le moment, Dante ne s’en faisait pas avec cela, ayant trouvé la solution de la bourse d’études qu’il comptait bien demander en temps et lieux.

Pour le moment il avait le nez dans les bouquins… Tout comme cette fille qui avait fini par attirer son attention et déclencher son côté charmeur avec elle. Sans attache promis. Il l’invitait à sortir, juste comme ça, promis. Et si lui s’était dit que l’amour, n’était pas pour lui, il avait bel et bien fini par laisser ce mince espoir naître entre ses deux oreilles. Un simple pourquoi pas, une seconde chance, comme on dit. Une chance de se faire une autre idée, de se dire que peut-être ça fonctionnerait cette fois qui sait ? Sans vraiment le réaliser, ceci dit. Il avait manqué de contrôle sur ce coup-ci, son petit cœur qui s’attachait sans son consentement. Son petit cœur d’adolescent qui allait le regretter pour une seconde fois. Si au départ il s’était attaché à un hétéro, pour une fois ça ne lui aurait absolument pas dérangé que ce soit encore le cas. Mais non. Ils étaient devenus proches, assez pour qu’elle ose lui avouer que les garçons, ce n’était pas son truc. Lui dire tout ça, à lui. C’était certainement le déclenchement d’une de ses life crisis à notre Dante. De celui qui du haut de ses 18 ans, de ses petites expériences en viendra à conclure pour de bon cette fois, que l’amour n’était pas pour lui. Pourquoi? Car depuis toutes ses années, elle ne lui avait rien apporté de bon et de joyeux comme dans ses films rose bonbon à la con. Les calculs avaient été fait, le résultat certainement regrettable mais qui avait en sorte qu’encore aujourd’hui, il les applique. Certainement pas sous forme de rébellion, de crise, traduit par une phase de débauche chez lui. Le mode fuck it, comme on dit. Une crise qui avait duré un moment, qui avait cristallisé son mode de pensée pour faire de lui un grand charmeur sans attache mais qui malgré tout, prenait toujours la peine de s’assurer que le message passe bien. Pour éviter de briser des cœurs, sachant très bien que ce sentiment n’avait absolument rien d’agréable à vivre.

Il n’avait pas oublié délibérément ses études et son rêve pour autant. Peut-être bien un peu moins que sont 100% pendant un moment, on ne se le cachera pas, mais il avait fait de son mieux pour rattraper son retard, et donner son maximum pour enfin, sortir diplôme en main. Un bac en science, ce n’était pas rien. Il était fier, et pas qu’un peu, se nourrissant de cet espoir d’aller encore plus loin, de mettre le pied dans le monde de l’université. Yale en particulier. Le moment tant attendu, de faire les démarches pour obtenir la bourse et continuer son cheminement. Le stresse qui se pointe, la hâte de recevoir la réponse. Devenu un brin comme une obsession, du fameux rafraîchissement de page. Du moins, lorsque les réponses approchaient, il allait voir minimum 5 fois par jour. Et bien entendu, une fois qu’il eu obtenu la réponse, il tourna en rond dans sa chambre en n’osant pas ouvrir le fameux e-mail. Bien entendu qu’il était plus positif que négatif, bien entendu qu’il se détestait pour cela lorsqu’il eu enfin le courage de lire, cette fameuse réponse : Un refus. La bourse qu’il avait tant convoitée lui avait filé entre les mains. Il avait fixé l’écran longtemps, voire très longtemps même à refuser d’y croire. Son rêve qui venait de prendre fin, tout simplement parce qu’il n’en avait pas les moyens. Une flamme qui venait de naître en lui à cet instant bien précis. Une haine envers l’argent en lui-même, qui gérait le monde ayant les riches à leurs têtes, les cons, ceux qui n’avaient besoin que de lever leur petit doigt pour obtenir ce qu’ils voulaient. Et il y avait les autres qui avaient travaillés si fort pour obtenir ce qu’ils voulaient, et encore, ce n’était pas assez. Dans son cas, il ne pouvait rien faire, son talent ruiné, tout simplement parce qu’il n’avait pas les moyens pour y parvenir. Pire encore, ce ne fut qu’un peu plus tard qu’il apprit que cette fameuse bourse avait été donnée à un jeune homme riche, et qui donc, n’en avait pas réellement de besoin. De quoi aider à nourrir cette flamme. Cette flamme qui détestait la société dans laquelle il se trouvait, menée par l’argent, et pas par les humains. Que dès la naissance, on était classé selon la richesse de nos parents, notre chemin tout tracé. Il détestait aussi ce jeune homme, sans même le connaître, parce qu’il lui avait anéanti son rêve. Il se retrouvait devant rien, devant cette stupidité de ne même pas avoir songé à un fameux plan B, voir même C et D. Wait... Il avait beaucoup de plan C en fait, mais c'était plus pour culs en fait que relié à son avenir m'voyez.

Son moment down dura quelques temps, mais avait bel et bien fini par se clamer. Il devait bien réapprendre à respirer, à reprendre le cours de sa vie pour éviter de stagner au même endroit pour le restant de ses jours. Avancer, gagner en sagesse. Il avait passé beaucoup de temps à réfléchir à tout ceci, à se perdre dans son univers qu’il avait quelque peu délaissé pour les études, et tout le reste. Ce qui lui avait permis de retrouver un semblant de paix au départ, puis une illumination au bout du compte. Pourquoi ne pas faire de son talent de toujours, sa nouvelle voie ? Un nouveau chemin tracé pour lui, user de ses mains pour faire de l’art, de sa créativité pour se faire connaître. En sachant très bien que ce ne serait pas facile, car son but étant bel et bien de vivre majoritairement par ce moyen. S’il y avait bien un domaine dans lequel il fallait jouer des coudes pour se faire connaître c’était bien celui-ci. Il fallait constamment se dépasser, sortir du lot pour avoir les regards et les intérêts. Et il comptait bien y arriver sans l’aide d’une quelconque bourse, sans l’aide de personne.

Un nouveau départ, comme on dit. Pour lui qui se fit en grand. Il se coupa de tout, ou presque, déménageant pour se prendre un très petit appartement en prenant des petits boulots pour survivre. Il devait admettre, pour une fois, qu’il avait effectivement besoin d’argent. Il devait se plier à cette réalité, mais sans pour autant l’adorer, sans pour autant rêver d’un jour être riche. Il voulait être connu pour son art, sans plus ni moins. Un long moment de recherche pour lui, testant diverses choses pour se trouver en tant qu’artiste, mais aussi pour perfectionner ses techniques. Jusqu’au jour où il eu assez confiance en lui pour tremper un brin dans l’illégalité et laisser sa trace sur les murs de NY. Un bon moyen de se faire connaître tout de même, n’est-ce pas ? Ça attirait l’attention des passants, en nourrissant le petit mystère de qui était cet artiste, ainsi que cette curiosité de le découvrir. Il chercha aussi à se faire connaître autrement, en proposant des deals dans les hôtels pour être affiché, des contacts, comme on dit. Et tranquillement mais surement, au fil des années, Dante Romano n’était plus ce civil parmi la masse. Il était devenu cet artiste peintre connu dans le monde des arts. Sa fierté. C’était son talent, à lui, 100% grâce à ses efforts, sans argent, sans devoir passer sous les bureaux. Il fait parti de ces humains se considérant même heureux de leur vie, en paix avec son passé, mais sans pour autant l’oublier.




this session is gonna be different
Pumpkin Pie ꕥ Je suis grand maintenant
fréquence de rp : tout dépendant de mon emploi du temps. Sinon je fais au minimum 1 rp / 2 semaines. ϟ fréquence de connexion : ça va dépendre de ma ps4 mais je crois au minimum 2 fois par semaine? ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j’y vais selon mon inspiration. Magma. (Jesse coucou) me fait battre des records mais sinon je crois que je me tiens autour des 700 mots ou plus. Après pour mes partenaires je n’ai aucun souci. Vous écrivez autant que vous voulez, y’a pas de demande ici ni rien. Let’s have fun. ϟ avatar à réserver : Angelo Carlucci.  ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge. parce que les petits poissons rouges (j'aime les blagues nulles oui). ϟ comment avez-vous connu 99 ? Magma. (Jesse Palmer) ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? superfragilisticexpialidocious
Magma. (avatar & icon)

ꕥ mask off

Invité
19 r ; 403 v.
Mar 8 Sep - 9:59
Eliah Spelling
29 – Cuisinier
FEAT : Lakeith Stanfield
Un gars avec une vie intérieure riche qui se laisse porter par la vie. Si c’est pas un mec méchant, il est le premier à dire qu’il est loin d’être un saint. Plutôt solitaire, il ne cherche pas spécialement à se faire apprécier… mais se montre relativement protecteur envers les gens qu’il connait. Son point faible, ce sont les femmes, il les adore, mais pas de la bonne manière. Il va adorer les charmer, leur faire mille promesses, puis quand il aura eu ce qu’il voulait… il passera à la prochaine. Oh il n’est pas dépourvu de sentiments : on en parle du fait qu’il soit amoureux de sa meilleure amie et coloc’ lesbienne ?
Il a des manières de s’exprimer et des phrases assassines qui agacent, et qui peuvent changer le cours d’une conversation d’un seul coup. Il ne s’en rend parfois même pas compte, et c’est sincère. Heureusement que son humour et ses prouesses culinaires compensent un peut tout ça.
Bref, voilà un garçon qui a encore du mal à passer à l’âge adulte.
who am I
ꕥ âge : 29 ans
ꕥ nationalité : USA Citizen
ꕥ ethnie/origines : Afro-américain.
ꕥ orientation : Hétérosexuel
ꕥ situation : Célibataire, la plupart du temps
ꕥ occupation : Après des années à travailler dans une cantine scolaire, Eliah a tout plaqué pour rejoindre l’équipe du Overkill. C’est pas spécialement son univers, mais il s’y plait bien plus qu’à la cantine.
ꕥ quartier : Queens, The Oak Appartement Complex
ꕥ qualités : décontracté, drôle, soigneux, discret
ꕥ défauts : dragueur, moqueur, réservé, puéril
ꕥ passions : {#}tatouage{/#} {#}capoeira{/#} {#}IDM{/#}
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too
ꕥ communautés :
# The Oak Appartement Complex
# The Overkill
ꕥ pré-lien : Pré-lien de {@=581}Shea Cavendish{/@}
ꕥ mp d'intégration : Non merci, vous êtes sympas ! Mais ça ira  hug   Tag tatouage sur I've got 99 problems 2881807329  Tag tatouage sur I've got 99 problems 2881807329  Tag tatouage sur I've got 99 problems 2881807329

all about my player
ꕥ petite présentation perso :
Repris de la fiche de Clem (ben ouais)
Bon ben salut, moi c’est TheHazalgar (Ou Hazalgar tout seul si vous voulez), tout juste 30 ans. Dans la vie, je suis un geek, j’essaye d’écrire un roman, mais ça avance pas. Je travaille dans l’animation avec les enfants, j’ai passé un BPJEPS récemment et j’ai peut-être un job sympa qui m’attend à la rentrée, affaire à suivre.
Mise à jour depuis l’ancienne présentation : ben en fait c’est bon, je vais l’avoir ce job ! Animateur dans un magasin de jouets, pour proposer des ateliers découvertes, activités manuelles, tout ça tout ça, ça va être cool !

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Nadja d’André Breton
ꕥ un film : 28 days later
ꕥ une série : Rick & Morty
ꕥ une chanson : Meg Myers - Numb
ꕥ un animal : Un ours (carrément mon animal totem)
ꕥ un plat/dessert : Cassoulet
ꕥ une boisson : De l’eau fraiche
ꕥ une célébrité : Jamy Gourmaud, the best
ꕥ un pouvoir magique : Téléportation !

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Aucun trigger à signaler


that's my first rp
4h37 du matin, c’est un peu tôt pour se réveiller. Il avait encore la possibilité de se rendormir : son réveil ne sonnait pas avant 8h. Pourtant, impossible de refermer l’œil. Plutôt que de s’énerver, de s’agiter dans tous les sens, il préféra se lever : sa nuit était terminée.

Il enfila un boxer et se dirigea vers la cuisine. Il réalisait tout juste que c’était probablement un cauchemar qui l’avait réveillé. Il était retourné en enfance, l’époque où il était encore plus discret et solitaire que maintenant, l’époque où les bullies s’en donnaient à cœur joie pour l’emmerder… Et puis, comme dans la réalité, il finissait par réagir et décocher un coup de point dans la mâchoire de ses assaillants. Pas d’avertissement, pas de mots, rien. On/off, pas de transition entre l’état calme et l’état agacé.

Il était parti pour cuisiner, ça allait bien l’occuper au moins trois quarts d’heure. Il adore ça, ça tombe bien, il en a fait son métier. Elle allait pas tarder à rentrer, elle aurait peut-être envie de manger elle aussi. Comment souvent, il avait pas chômé : il avait préparé une salade de fruits, des œufs et du bacons, des french toasts ainsi que du porridge avec de la confiture de mûres.

Après avoir déverrouillé la porte de l’appartement -il anticipait, elle aurait même pas besoin de ses clés comme ça- il avait tout installé sur la table basse dans le salon et avait allumé la télé. Dans ces conditions-là, c’était toujours pareil : il mettait la chaine météo. Les infos ne l’intéressaient pas, et il était pas assez lucide pour regarder une fiction. Non, la chaine météo, c’était le top. Il attendait Shea maintenant.

Il entendit la porte s’ouvrir, la voilà. « Yo » fit-il sans quitter l’écran des yeux. Comme si ne pas la regarder allait changer quelque chose. Elle terminait sa journée, il commençait la sienne… C’était pas la première fois que ça arrivait, mais c’était toujours aussi étrange. « Si t’as faim… » finit-il par dire en levant les yeux dans sa direction. Connaissant un peu Shea, il s’attendait à un large spectre de réponses, allant de Oh, tu me sauves la vie, merci à C’est tout ? Y’a même pas ce que je voulais.

this session is gonna be different
TheHazalgar ꕥ 30 ans
fréquence de rp : Au moins une fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : Probablement tous les jours ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Variable, ça va de 200 à 600 mot en moyenne. ϟ avatar à réserver : Lakeith Stanfield. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Rouges :) . ϟ comment avez-vous connu 99 ? Je crois que c’était via bazzart (rip). ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Prophétie
tumblr (gif) StrangeHell (avatar)

at the beginning there was nothing more than hope.

Invité
11 r ; 872 v.
Mer 2 Sep - 9:22
dolorès roddle
26 yo - styliste
FEAT : ezra miller
papa ouvrier dans le monde du spectacle et maman danseuse contemporaine. dolorès, il a passé plus de temps dans les coulisses des vieux théâtres new yorkais qu'en classe. il a toujours admiré ce monde, de l'autre côté du miroir. comme s'il existait un univers parallèle lorsque les lumières s'éteignent. c'est très jeune qu'il s'est mis à créer ses premiers vêtements, quand il s'imaginait des personnages fantasques et bizarres dans le théâtre de sa petite chambre. c'est comme ça qu'il s'est construit, l'gamin. ses parents l'ont toujours invité à se livrer, à se dépasser, à créer et à imaginer. ils n'ont jamais douté de leur bambin, fils unique. c'est donc tout naturellement qu'ils se sont saignés pour lui permettre de suivre des études dans un domaine qui lui plaisait et aujourd'hui, dolorès le leur rend bien. diplômé, certifié et apprécié dans ce qu'il fait, il plance actuellement sur sa première collection alors qu'il travaille déjà pour les plus grands stylistes de new york.
who am I
ꕥ âge : 26 ans même s'il ne se considère pas vraiment adulte encore et s'il a de la peine à accepter d'vieillir. il craint l'approche de la trentaine sans pour autant trop en parler.
ꕥ nationalité : américaine, son père et sa mère sont tous les deux nés en amérique également même s'ils se sont installés tard dans la grande pomme. sa mère est californienne et son père est de la basse californie.
ꕥ ethnie/origines : caucasien avec un teint laiteux qui bronze difficilement.
ꕥ orientation : homosexuel depuis longtemps, sans jamais en avoir éprouvé la moindre gêne et la moindre honte. le corps des hommes est source d'art et d'inspiration dans tout ce qu'il entreprend. il s'est d'ailleurs spécialisé dans le stylisme masculin pour embellir ce qu'il considère, sans doute à tort, comme le merveilleux.
ꕥ situation : célibataire, pratiquement hermétique à toute forme de bons sentiments. il ne s'attache pas, il ne sait pas s'attacher. dans un monde qui court, il s'laisse porter et flirte sans jamais réussir à s'accrocher à la même branche plus d'une nuit.
ꕥ occupation : dolorès est spécialisé dans la couture et le stylisme. il a d'ailleurs suivi des études dans ce domaine et obtenu maintes certifications. en parallèle, toujours dans la mode, il a accepté quelques emplois de mannequin pour apprendre les rouages des shootings photos et s'essaie assez régulièrement à l'art de la peinture. dolorès est un éternel curieux et touche-à-tout.
ꕥ quartier : vit dans le Bronx, Miranda Heights, en colocation avec Roman et ses trois chats depuis plusieurs mois.
ꕥ qualités : curieux, épicurien, artiste, bohème, léger, drôle et généreux.
ꕥ défauts : panier percé, solitaire parfois, hypersensible, fêtard et sans doute un peu trop léger par moment.
ꕥ passions : {#}peinture{/#}, {#}mode{/#}, {#}cigarettes{/#}, {#}tatouage{/#}, {#}cinéma{/#}, {#}jazz{/#}, {#}théâtre{/#}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ communautés : LGBT CENTER
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ mp d'intégration : oui, volontiers.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : habite en france depuis à peine un an et demi, marié depuis deux ans déjà à l'homme de ma vie, danseur semi-professionnel (enseignant btw) et travaillant dans l'immobilier, les forums font partie d'ma vie depuis mes seize ans (ce qui remonte à quatorze ans en arrière - aouch' - ) écrire est une vraie passion, d'ailleurs, puisque j'ai déjà auto-publié trois romans (une trilogie) dont le dernier tome vient de paraître. je suis un mec (je précise, sait-on jamais) gentil, drôle et ouvert. j'aime écrire au feeling et ne jamais me mettre la pression. l'inspiration vient comme elle vient, généralement et j'aime c'frisson qui m'traverse quand j'lis de beaux rps et que j'rencontre de belles plumes.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : n'essuie pas de larmes sans gants
ꕥ un film : souviens-toi l'été dernier
ꕥ une série : buffy contre les vampires
ꕥ une chanson : secret love song (little mix)
ꕥ un animal : un félin
ꕥ un plat/dessert : le tiramisù
ꕥ une boisson : le café
ꕥ une célébrité : sarah michelle gellar
ꕥ un pouvoir magique : arrêter le temps

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : pas grand chose, mais j'écris rarement les scènes de sexe (ça m'fait rougir derrière mon écran et j'me sens coupable  Tag tatouage sur I've got 99 problems 2253815916 )


that's my story / self diagnosis
il déambule, le gamin.
il fabule aussi.
il regarde la scène avec des yeux aussi gros qu'une soucoupe.
ça y est, il rêve l'bambin.
(ne reste pas planté là dolorès, tu déranges ta mère.) qu'il entend son père gronder. alors il secoue la tête, l'enfant. haut comme trois pommes, peut-être, mais pas stupide pour autant. sa mère, il adore la contempler, l'admirer, l'observer. les courbes gracieuses de ses hanches qui vibrent au rythme de la musique, les mouvements dociles et sensuels de ses mains qui tranchent l'air.
il adore la détailler, c'est vrai.
(dolorès.) gronde encore son père.
il secoue la tête, il grimace et, à contre-coeur, il tourne les talons pour rejoindre son paternel en coulisses.
(..)
il rentre à la maison ce soir-là le ventre noué. dolorès, il n'a pas l'habitude de la violence et n'aime pas s'y confronter. mais à l'école, ses camarades réfléchissent pas tous d'la même manière.
l'école du quartier, celle de la rue.
il n'a pas le privilège des grands, dolorès. il n'étudie pas avec l'élite, c'est comme ça. peut-être que c'est mal fait, peut-être que c'est normal. son esprit travaille trop vite, a dit la maîtresse une fois. depuis, ses camarades de classe l'appelle binoclard ou tête d'ampoule.
parfois, c'est juste des mots.
dolorès, il peut supporter. du haut de ses dix ans, il sait déjà que la bêtise est un poison. il sait aussi qu'un jour, ils s'en voudront d'pas avoir su apprécier la chance qu'ils avaient de connaître un enfant surdoué.
dolorès, il s'en fiche des mots, c'est les maux qui l'blessent.
quand ses camarades le bousculent dans les escaliers parce que ça fait rire tout le monde d'voir une ampoule à l'envers. ou quand ils le frappent un peu plus fort sur l'épaule histoire de crever un ou deux neurones.
c'est dans ces moments-là qu'il sent son ventre se tordre.
qu'il a envie d'chialer.
mais quand il pousse la porte de l'appartement, jamais.. ô grand jamais elles roulent, les larmes. non, dolorès se retient. il est plus fort que ça, plus grand même.
alors quand sa mère remarque de temps en temps une éraflure, elle joue au jeu du silence. c'est comme ça qu'il fonctionne, dolorès. elle se glisse contre lui, elle lui frotte les cheveux, l'enlace un court instant et lui lance un regard entendu qui veut tout dire.
pas d'mots pour calmer les maux.
juste un bisou sur l'front et dolorès, il va déjà mieux.
(..)
mais à l'école, c'est pas l'pire.
c'est pas l'plus inconfortable non plus.
dolorès, il l'a remarqué, l'gamin plus intelligent que lui. celui qui lève toujours la main. celui qui s'fait féliciter par la maîtresse et qui s'fait parfois insulter par les autres.
dolorès, il entend.
et ça lui fait du mal, ça aussi.
pour son esprit plus développé que la moyenne, c'est une torture de voir les uns souffrir au détriment des autres. alors un beau jour, quand il voit c'gamin faire attraper par ces mêmes détracteurs, dolorès, il saute dans la mêlée. il en mène pas large.
il sait pas s'battre, il saura jamais.
il prend un coup, puis un deuxième. finalement, tous les deux, ils tombent à terre. tarlouzes qu'il entend cracher l'un des mecs alors qu'il fait d'son mieux pour se relever.
à roman, il tend une main. (c'est toujours mieux d'tomber à deux, non ?) qu'il s'entend même lui dire en rigolant légèrement.
roman, il sourit.
et dolorès il a su tout d'suite qu'ils seraient amis.
ça n'a pas manqué.
ça n'a pas changé.
(..)
des années plus tard, l'monde a changé.
pour roman comme pour dolorès.
avec le temps, on s'rend compte que les maux s'oublient, parfois.
dolorès, il l'a compris quand il a commencé ses études en stylisme. (c'est une très belle vocation mon chéri.) que lui avait glissé sa mère quand, à l'âge de quatorze ans, il avait expliqué à ses parents qu'il comptait se spécialiser dans l'monde du spectacle et, plus précisément, dans celui des costumes.
c'est en intégrant cette école, des années plus tard, qu'il a constaté que les choses pouvaient changer.
même pour lui,
même pour eux.
dans son école, rapidement, dolorès est adopté, apprécié. son talent fructifie au fil des cours, des années. ses professeurs le trouvent remarquables et très rapidement, dolorès réalise qu'il existe une place pour tout l'monde, loin du tumulte d'une enfance en demi-teinte.
à l'université, il grandi, l'gamin.
il d'vient un homme. il pousse.
il essaie,
il expérimente,
il tente,
il teste,
il goûte,
il touche.
et puis, il se trouve, se construit, petit-à-petit. jusqu'à débarquer un jour chez ses parents et leur dire (désormais, je m'appelle dodo.) (dodo ?) à sa mère de lui demander, l'air circonspect. (c'est plus court que dolorès et bien plus branché. dans le milieu de la mode, ça sera plus respecté, comme coco ou guess. tu verras maman, bientôt, ce sobriquet sera sur toutes les lèvres.) (tu laisses tomber le spectacle alors ? tu ne veux plus devenir costumier ?)
non, il ne voulait plus.
à l'université, dolorès avait changé, lui aussi. troquant ses habits un peu trop grand et son air hagard pour devenir un adulte branché, aux cheveux colorés et à l'air songeur. abandonnant dolorès l'exclus pour devenir dodo l'styliste.
(je rêve de créer une collection d'fringues.) qu'il avait répondu à son père, sans hésiter une seule seconde. à peine la vingtaine mais déjà le coeur bourré d'ambitions.
(..)
dodo devient charmeur, dodo devient dragueur, dodo devient indépendant. très vite, il s'installe seul et se découvre une passion pour cette solitude.
très vite, il s'isole tout en sortant beaucoup.
dodo, il a plein d'amis, il a un carnet d'adresse bien rempli et il ne reste jamais seul bien longtemps quand il arrive à une soirée. parce que dodo sait parler aux gens, sait leur dire exactement ce qu'ils rêvent d'entendre et sait se faire désirer. dodo, il manie les mots, l'esprit et l'art sous toutes ses formes. il est intéressant mais jamais pédant, ni hautain.
dodo, il est ouvert, il est gentil, agréable et généreux.
il dépense son argent facilement, il offre, il donne, il s'octroie parfois même de petits plaisirs. il fréquente très vite - peut-être trop vite - les boîtes branchées, les boutiques branchées de new york et se découvre une passion dévorante pour le luxe et sa décadence.
à la carrie bradshaw, il veut appartenir à l'élite et s'en donne les moyens.
mais dodo n'oublie jamais dolorès.
l'gamin un peu paumé qu'il retrouve chaque fois qu'il rentre chez lui, celui qui s'enferme des heures dans son atelier et qui peint, qui coud, qui dessine et qui rêve. c'gamin un peu maladroit qui n'parle pas trop, qui joue au jeu du silence tout seul désormais et qui appelle régulièrement ses parents. c'gamin pataud qui pleure d'vant un film trop mièvre et qui réclame parfois un peu d'tendresse.
dolorès, ils sont peut à l'connaître.
il y a roman,
ses parents,
axel aussi.
pas grand monde visiblement. puisque dodo prend d'la place, dodo s'exprime mieux et dodo n'manque jamais d'confiance en lui.
les années passent et l'styliste devient reconnu, apprécié. on lui offre des opportunités, on lui propose même de défilé. il devient mannequin, parfois. passe de l'autre côté de l'objectif ensuite, soigne ses tenues et bichonne ses modèles. dodo, c'est un peu comme un fourre-tout.
il touche à tout, piqué à vif par la curiosité dès que quelque chose lui échappe.
dodo, ça d'vient très vite l'incontournable.
(..)
(..la leucémie.)
on a tous peur de la mort, tous peur de ce qu'il nous attend une fois qu'on aura rendu notre dernier souffle. pire encore, on a tous peur de mourir trop jeune, trop vite, trop tôt.
il y a tant d'choses à vivre.
dodo l'sait depuis toujours. c'est bien pour ça que lorsque son meilleur ami, roman, lui annonce sa maladie, il sent l'onde de choc le transpercer et l'faire vaciller.
il pleure pas, dodo.
il reste fort.
il n'a pas l'choix.
alors il inspire une première fois et puis, il dit (rien n't'empêche d'être beau même sur un fauteuil roulant, tu l'sais ça ?) parce qu'être caustique, ça permet d'dédramatiser la situation. un bon fou-rire et puis, ils peuvent redevenir comme avant.
jamais j'le traiterai différemment, il s'le promet dodo. parce qu'il sait pertinemment qu'être compatissant, ça n'arrange rien.
alors quand roman lui annonce qu'en plus de la maladie, l'mec avec qui il vivait d'puis des années (que dolorès lui avait présenté de surcroît) l'a largué comme on jette un kleenex à la poubelle, dodo n'hésite pas une seule seconde.
(tu vas v'nir vivre ici.) (mais.. mes chats, mes affaires ?) (ça f'ra pas d'mal à c'taudis d'voir des poils traîner un peu partout qui n'appartiennent pas aux coups qu'je ramène ici.) un clin d'oeil et l'marché est passé, scellé. enfin, à un détail près (par contre, tu peux m'ramener autant d'mecs que tu veux ici mais promets-moi d'toujours fermer la porte de ta piaule.)
c'est acté,
c'est vendu, c'est comme ça.
d'puis l'école, d'puis cette première main tendue.
ça, ça n'a pas changé.


excentrique, bourré d'talent, créatif,
généreux, docile, bruyant,
coloré, impulsif, dominant,
indépendant, franc et loyal, grande gueule,
fume comme un pompier, écoute du jazz,
mange mal, dort beaucoup, manque de confiance,
parfois maladroit, sensible, hésitant,
entier & passioné





this session is gonna be different
fancy ꕥ 30 ans
fréquence de rp : de manière générale, en semaine, au job. il se peut que mon rythme diffère d'ici peu parce que je change d'emploi mais normalement, c'est assez régulier. ϟ fréquence de connexion : idem que pour ma fréquence de rp, à la différence prêt que j'aime stalker depuis mon téléphone quand je le peux. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? au plus bas, j'écris a minima 300 mots par rp. je m'impose ce minimum pour donner de la matière à mon partenaire. en fonction des rps, de l'inspiration, je peux monter jusqu'à 2000 mots sans problème (et au-delà). je favorise les rps courts pour permettre aux personnages une évolution plus rapide, néanmoins, rps longs ne signifient pas forcément plus lent si l'inspiration nous porte tous les deux. ϟ avatar à réserver : ezra miller. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : dans ma boîte, il y en a un de chaque couleur de l'arc-en-ciel (j'crois que c'est mon mari qui veut m'faire plaisir en vrai). ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? forum de qualité, tant au niveau de l'esthétisme que du fond. le contexte, les annexes et tout ce qui est mis en place pour offrir un espace de jeu safe et agréable. j'aime beaucoup, jusque-là.
tumblr (gif) solsken (avatar)

even angels got a favorite sin (noah)

Invité
10 r ; 862 v.
Ven 7 Aoû - 20:49
noah mason
24 ans - étudiant en santé publique internationale
FEAT : jordan fisher
Noah a toujours vécu à New-York d'aussi loin qu'il s'en souvienne. Peu après sa naissance, il a été adopté par un couple de riches américains incapable d'avoir un enfant. Un couple qui paraît parfait au premier abord et pourtant, entre les histoires de tromperies et la maladie de la mère de Noah, la famille Mason se déchire petit à petit depuis des années sans que personne ne le sache. Noah représente le parfait cliché du mec populaire dans les teen movies. Mais tout cela n'est qu'une fausse image qu'il laisse paraître aux yeux de tout le monde. Il a ce besoin constant d'exister à travers les autres, quitte à délaisser sa vraie personnalité et à ne pas être totalement honnête avec son entourage. Avec lui, tout n'est question d'apparence – une chose qu'il a appris par sa famille et qu'il n'est pas prêt de changer.
who am I
ꕥ âge : vingt-quatre ans depuis le 21 juillet.
ꕥ nationalité : américain.
ꕥ ethnie/origines : ne connaissant pas tes parents et ayant été adopté peu après ta naissance, tu n'as aucune idée de tes origines.
ꕥ orientation : bisexuel même si sur ton palmarès, tu as plus de conquêtes féminines. tu es connu pour avoir un petit faible pour les brun·es, d'ailleurs.
ꕥ situation : célibataire, incapable de s'attacher réellement. tu es le premier à prendre la fuite ou à jouer au con dès que la relation devient trop sérieuse à tes yeux.
ꕥ occupation : étudiant en santé publique internationale.
ꕥ quartier : l'upper east side, toujours chez papa et maman.
ꕥ qualités : enjoué, sociable, amusant.
ꕥ défauts : menteur, égoïste, secret.
ꕥ passions : {#}tatouage{/#}, {#}courir{/#}, {#}faire-la-fête{/#}.
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too.
ꕥ communautés : le gotha.
ꕥ scénario/pré-lien : pré-lien des rich kids.
ꕥ parrain : nope.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Toujours une meuf chiante.  Tag tatouage sur I've got 99 problems 1380091441

petit portrait chinois
ꕥ un livre : marche ou crève du king (comment ça je radote ???)
ꕥ un film : barbie casse noisette.
ꕥ une série : dark (noah s'appelle noah à cause de noah dans dark parce que j'aime noah dans dark)
ꕥ une chanson : baby one more time !
ꕥ un animal : UN CHAT.
ꕥ un plat/dessert : un cookie
ꕥ une boisson : jus de clémentine.
ꕥ une célébrité : britney spears {#}FREEBRITNEY{/#}
ꕥ un pouvoir magique : voyager dans le temps.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : le vomi et les relations malsaines romantisées.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

C L I C H E Tu es le parfait cliché des mecs populaires dans les teen movies. Parfaitement lisse de l'extérieur, cachant tes failles à la perfection... à se demander si tu es seulement humain. Tu sais que tu plais, et tu en joues avec n'importe qui... quitte à te faire passer pour le pire des connards. Mais ce n'est jamais toi qui a le mauvais rôle, bizarrement. La situation est toujours à ton avantage. Tu as ce besoin constant de te sentir exister à travers les autres, à défaut d'avoir l'impression de trouver vraiment ta place ici.

S I C K Papa trompe maman depuis des années. Maman le sait mais se tait. Sauf que depuis quelques temps, maman ne prend plus ses médicaments ou fait semblant pour ne pas t'alerter. Elle est malade, ta mère. Elle est bipolaire et elle vit avec ses troubles depuis bien des années maintenant. Et toi, tu es parti pendant un semestre à l'étranger, la laissant seule avec ton père qui n'a rien fait. Depuis ton retour, la situation ne fait que s'envenimer à la maison. Mais tu te tais. Personne ne sait. Il faut bien garder les apparences au sein du Gotha, n'est-ce pas ?

A B A N D O N M E N T Tu n'arrives pas à t'attacher à qui que ce soit, à ressentir vraiment quelque chose de fort pour quelqu'un. Pourtant, tu as cette peur constante d'être abandonné, de te retrouver seul. Ce serait mérité –  c'est ce que tu te dis du moins. Parce que tu traites chaque personne essayant d'être un peu trop proche de toi comme de la merde. Tu n'es certainement pas un bon ami, encore moins un bon amant. Mais tu es tout de même , quelque part. Et tant que tu as quelqu'un prêt à te tenir la main, c'est tout ce qui compte. Tu ne veux pas connaître la solitude.

L O V E Pourtant, tu as connu l'amour. Enfin, certainement pas l'amour avec un grand A, celui dont on parle à la télévision et auquel tu ne crois pas. Tu as eu une relation qui a duré deux ans. Des hauts, mais surtout beaucoup de bas. Tu ne peux même pas compter le nombre de fois où tu lui as menti, le nombre de fois où tu as fini dans les draps d'une autre personne, le nombre de fois où tu as posé ton regard sur un·e autre. Tu n'as pas été à la hauteur. Tu ne l'as jamais été de toute façon. Et tes mensonges ont fini par être découverts. Fin de la relation.

H E R Elle, c'est ta meilleure amie. Elle est là depuis des années, à te supporter toi et tes conneries. Elle tente toujours de te raisonner, mais elle n'y arrive pas. Le pire, c'est que tu dis la connaître mais tu n'as jamais vu son regard changer sur toi. Tu n'es pas capable de voir les sentiments qu'elle ressent pour toi, sa manière d'être, de changer dans l'espoir que tu la remarques autrement. Mais cela ne fonctionne pas. Car tu ne vois rien, Noah. Et elle, elle finira certainement par te tourner le dos un jour ou l'autre tant elle est invisible à tes yeux mais pas aux yeux des autres.

R U N Fuir. T'en aller. Courir. C'est le seul moyen que tu as trouvé pour trouver un semblant d'espace, pour que certaines de tes pensées finissent par disparaître le temps de quelques instants. Tu ne penses à rien lorsque tu cours. Le seul moment où tu te sens bien en étant seul. Mais il faut bien à un moment ou un autre que tu finisses par rentrer. Hors de question de laisser ta mère trop longtemps seule dans cette immense maison qu'est la vôtre. Tu n'es pas certain de ce qui peut s'y passer lorsque tu n'es pas présent.

R I C H  K I D Tu n'es pas légitime à te plaindre, Noah. Car toi, tu as eu la chance d'être adopté par une riche famille américaine et de ne jamais manquer de rien. C'est ce que tu te répètes souvent. Pourtant, ton statut ne t'empêche pas d'être bénévole dans un orphelinat. Là-bas, personne ne sait qui tu es, d'où tu viens. Personne pour te rappeler que tu as de l'argent et que l'argent fait ton putain de bonheur. Pourtant, pourquoi tu as ce besoin constant de savoir d'où tu viens vraiment ? De connaître ta réelle identité ? Peut-être que toi, personne ne peut t'aider. Mais au moins, tu peux encore aider les enfants sans famille.



this session is gonna be different
debo ꕥ 25 ans
fréquence de rp : le week-end uniquement. ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 400/900 ϟ avatar à réserver : jordan fisher. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Tag tatouage sur I've got 99 problems 1380091441 ϟ comment avez-vous connu 99 ?  Tag tatouage sur I've got 99 problems 1380091441  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Tag tatouage sur I've got 99 problems 1380091441
tumblr (gif) little liars (avatar)

black panther (basil).

Invité
23 r ; 741 v.
Mar 9 Juin - 22:33
basil matthews
vingt-neuf ans - propriétaire et patron du outpost
FEAT : lakeith stanfield
Basil a une soeur jumelle, Billie. D’origines afro-américaines, ils n’ont jamais rien su de leurs parents biologiques. Ils ont été adopté par les Matthews à l’âge d’un an et trois mois. Comme chaque membre de la fratrie, ils ont tous deux un surnom. Beast pour Basil et Beauty pour Billie. Depuis tout petit, Basil souffre du syndrome de l’imposteur : il a l’impression de n’avoir aucune légitimité au sein de sa famille adoptive, comme s’il ne méritait pas la place qu’ils lui ont offerte. Gamin discret, toujours assis au fond de la classe, il a subi plusieurs remarques racistes durant sa scolarité. Alors il sortait les poings. Cette habitude lui est restée, mais s’il sort son poing aujourd’hui, c’est plutôt pour le lever au ciel. Basil est très engagé pour la cause afro-américaine, et toujours présent aux rassemblements Black Lives Matter. Il n’a jamais fait d’études supérieures, s’est toujours débrouillé pour s’en sortir. Il est devenu barman et a travaillé dans plusieurs bars de Brooklyn. À ses vingt-cinq ans, il a été condamné pour un crime qu’il n’avait pas commis. Il a été emprisonné une année entière avant que l’on ne reconnaissance son innocence. Il a reçu un dédommagement de l’État, ce qui lui a permis de prétendre à un prêt et de venir propriétaire du Outpost, lieu synonyme d’une paix dont il avait tant besoin.
who am I
ꕥ âge : vingt-neuf ans, né le dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze
ꕥ orientation sexuelle : s’il n’a eu que des relations avec des femmes, basil se refuse pourtant la moindre étiquette
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : propriétaire et patron du outpost
ꕥ quartier : bedford street, brooklyn
ꕥ qualités : généreux, sincère, fidèle
ꕥ défauts : imprévisible, colérique, têtu
ꕥ passions : {#}cinéma{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}tatouage{/#}
ꕥ groupe : idk what you’re talking about
ꕥ communautés : the outpost
ꕥ scénario/pré-lien : famille matthews
ꕥ parrain : non merci

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Moi c’est Margaux, vingt-huit ans (punaise), actuellement à Montréal. Développeuse web, gourmande et geek, j’adore voyager, chiller devant Netflix et cuisiner. Si je suis là, c’est parce qu’une âme généreuse m’a recommandé ce si joli forum, et que je suis complètement sous le charme de l’esprit qui règne ici.  cute

petit portrait chinois
ꕥ un livre : deux petits pas sur le sable mouillé d’anne-dauphine julliand
ꕥ un film : room
ꕥ une série : game of thrones
ꕥ une chanson : buy the stars de marina
ꕥ un animal : l’éléphant
ꕥ un plat/dessert : le chocolat sous toutes ses formes
ꕥ une boisson : arizona au miel
ꕥ une célébrité : marina
ꕥ un pouvoir magique : voler

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : disons ce qui touche au viol, aux agressions sexuelles, et à l’automutilation.


that's my story / self diagnosis
Brooklyn, dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze ; naissance des jumeaux. Leur mère qui les dépose au foyer d’adoption avant de rejoindre l’homme de sa vie. Leur naissance n’était pas un accident, loin de là. Leur naissance était une raison de plus pour se battre. Mais deux enfants n’avaient pas leur place dans ce genre de guerre. Dix avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze, deux amoureux éperdus qui prennent la route du sud des États-Unis. C’est là-bas que la lutte est à son comble. Tous deux poings levés vers le ciel, tous deux qui rejoignent d’anciens membre du Black Panther Party. Quand bien même le parti a été dissous des années auparavant, la lutte n’est toujours pas finie. Les meurtres dissimulés, les discriminations, les inégalités sociales ; ils sont toujours là. Tant qu’ils seront là, le combat persistera. Vingt-sept juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze, deux amoureux éperdus perdent la vie, assassinés par des policiers lors d’une manifestation. Des meurtres étouffés par les médias. Vingt-sept juin mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze, les jumeaux ont quatre ans. Jamais ils ne connaîtront leur histoire.

Les années quatre-vingt-dix ; l’enfance des jumeaux. Les Matthews, le coeur sur la main. Ils ont adopté les jumeaux quand ils n’avaient qu’un an et trois mois. Billie et Basil. C’est auprès d’eux qu’ils ont grandi, loin d’imaginer la guerre que menaient leurs parents biologiques en leurs noms. Les Matthews, leur famille, la seule qui compte. Depuis tout petit, Basil souffre du syndrome de l’imposteur. Cette place qu’il occupe auprès d’eux, cet amour qu’il reçoit ; il a l’impression que tout cela ne lui est pas légitime. Il essaie d’accepter, de se convaincre qu’il n’a pris la place de personne, que sa vie est ici et nulle part ailleurs. Il essaie, et parfois il y croit. Jusqu’au lendemain. Malgré tout, Basil n’a jamais été malheureux. Très proche de sa jumelle et de ses frères et soeurs, proches de ses parents aussi. À l’école, il était discret. Toujours en fond de classe, peu bavard, dans son coin, mais avec de grandes capacités. Durant sa scolarité, il a reçu plusieurs remarques racistes. Parfois, plus que des remarques, des violences physiques. Alors il sortait les poings. Il est rentré plusieurs fois avec la lèvre en sang ou l’oeil gonflé. En grandissant, Basil s’est forgé. Il a appris à défendre sa voix, à défendre ses droits. Puis on a compris qu’il n’était pas de ceux à emmerder.

De l’adolescence à la prison. Aux onze ans des jumeaux, les Matthews ont perdu leur père. Un coup dur pour toute la famille. Chacun d’eux a été bouleversé. Basil, comme ses frères et soeurs, en a énormément souffert. Malgré le syndrome de l’imposteur, il était son père. Le seul qu’il n’aurait jamais. Un père auquel il n’a jamais su se confier, pour lequel ses démonstrations d’affection se faisaient rares. Il aurait aimé faire les choses autrement. Il ne pourra jamais rattraper le temps perdu avec lui. Il ne pourra jamais être un meilleur fils. Depuis, il essaie de profiter de sa mère au maximum. De lui faire savoir qu’il l’aime et qu’il est reconnaissant de la place qu’ils lui ont offerte. Quelque chose a changé en Basil depuis que son père n’est plus. Il a perdu son sang froid, sa patience. Sa colère l’emporte parfois, surtout face aux discriminations qui persistent. Après le lycée, il a directement enchainé plusieurs boulots de barman à Brooklyn. Jusqu’au douze mars deux mille seize. Il faisait nuit noire. N’arrivant pas à dormir, Basil était sorti observer les étoiles. C’est là qu’il l’a vu. Un homme cagoulé sortant de l’Outpost un gros sac à la main. Il venait de vider les caisses, cela ne faisait aucun doute. Une jeune femme était là, elle semblait légèrement ivre mais essayait malgré tout de s’interposer. Le cambrioleur lui porta un coup à la tête qui la fit tomber net. Basil est intervenu dès qu’il a pu. L’homme était armé, il a su le désarmer. Pistolet à la main, il le menaça. L’homme prit la fuite, l’argent en main. Alors Basil se précipita vers la jeune femme. Marloes. Il la connaissait. Elle reprit doucement connaissance, mais la police arriva au même moment. On les avait appelé, signalant une attaque à mains armées d’un homme de type afro-américain. Les empreintes de Basil se trouvaient désormais sur l’arme du crime. Il était en présence d’une femme gravement blessée. Les caisses du bar étaient vides. Il correspondait au signalement. Il était le seul et unique suspect. Non, en réalité, aux yeux de la police, il n’a jamais été suspect mais bel et bien coupable. Quoi qu’il dise pour se défendre, on ne lui laissa jamais le bénéfice du doute. Encore une interpellation injuste, encore de la discrimination. Mais cette fois-ci, il en était la victime directe. Son avocat lui conseilla d’accepter un deal : trois ans de prison, sinon le procès risquait de l’y envoyer dix ans. Il accepta, conscient que la justice était contre lui. Et il passa un an en prison. Une année durant laquelle Marloes, avec qui il entretenaient une relation épistolaire, aida sa famille à rétablir la justice. Ce sont eux qui ont su l’innocenter. On lui avait voler une année de vie. L’État lui offrit un léger dédommagement financier pour l’erreur de justice. Alors Basil racheta l’Outpost, comme une vengeance. Et puis surtout parce qu’il avait besoin d’un lieu comme celui-ci pour se relever. Un lieu de paix et d’inclusion. Il s’est également acheté un appartement sur Bedford Street. Ses journées sont partagées entre son engagement pour le mouvement Black Lives Matter, l’Outpost et ses proches.



this session is gonna be different
margaux/weeping willow ꕥ 28 ans
fréquence de rp : un rp tous les dix jours au minimum. ϟ fréquence de connexion : cinq jours par semaine. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 400 et 800. ϟ avatar à réserver : lakeith stanfield. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ça dépend sous quel angle on les regarde. ϟ comment avez-vous connu 99 ? une coccinelle m’en a parlé.  Tag tatouage sur I've got 99 problems 176241234  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? n’hésitez pas si vous avez la moindre envie/idée de lien  cute
tumblr (gif) vulpecula (avatar)

u say wot m8 ? - Sen Kovács

Invité
12 r ; 887 v.
Mar 2 Juin - 22:13
Senji Kovács
27 ans - Cinéaste
FEAT : Joji Sen il est né le 29 septembre 1992, à Buenos Aires, d'une mère japonaise professeure de mathématiques et un père hongrois informaticien. C'est lorsque sa mère a eu l'opportunité de venir travailler à New York, dix ans plus tard, que toute la petite famille s'est installée dans le Bronx.
Le petit Senji, il a d'abord eu du mal à trouver sa place, c'était le petit nouveau et en plus il était pas vraiment comme les autres, il était différent , il le voyait, et certains de ses camarades lui faisaient bien comprendre. En grandissant il a apprit a ne plus prêter attention à ceux qui lui reprocher sa différence et à se rapprocher de ceux qui l'appréciait.
Ce qu'il aime Sen c'est le cinéma et le hip-hop. Alors des fois il rappe, quand l'envie lui prend, mais surtout il réalise ou joue. Tout petit déjà il aimait se donner en spectacle devant la caméra de son père, a l'adolescence il a commencé réaliser des petites vidéos avec ses potes, d'abord toutes simples puis de plus en plus poussées. Puis grâce à une bourse il a pu étudier à l'école des Arts de Columbia et d'obtenir un Master of Fine Arts. Ces études finies et après quelques clips et courts métrages, il est s'est lancé dans l'écriture son premier long.
who am I
ꕥ âge : vingt-sept ans
ꕥ orientation sexuelle : hétéro
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : tu changes de casquettes comme de slip, réalisateur/vidéaste/acteur/rappeur tu fais un peu ce que tu veux, quand tu veux. Ahhh les joies de l'internet.
ꕥ quartier : Le Bronx bébé
ꕥ qualités : intelligent - créatif - débrouillard - franc - observateur - calme - drôle
ꕥ défauts : sarcastique - vulgaire - têtu - désinvolte - secret
ꕥ passions : {#}cinéma{/#} {#}sci-fi{/#} {#}comics{/#} {#}hiphop{/#} {#}musique{/#} {#}bières{/#} {#}nerd{/#} {#}gaming{/#} {#}tatouage{/#} {#}marijuana{/#}
ꕥ communautés : {#}elhalito{/#} {#}offthewallskatepark{/#} {#}cinemaduqueens{/#} {#}thelostplanet{/#} {#}thesaberistacademy{/#}
{#}rockyhorrorpictureshow{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ parrain : non, je devrais m'en sortir  keur

all about my player
ꕥ petite présentation perso : La première impression est toujours très importante donc il faut que je fasse ça bien. Surtout quand c'est la deuxième fois. Mais en vrai je vais vouloir trop en faire et ça va me saouler du coup je vais finir par faire a minima juste pour que ça passe. Technique qui ne fonctionne absolument pas comme le prouve mes trois premières années de fac. Et quand je dis ça j'entends vraiment que la première année...trois fois. What a Face
(Et aussi le fait que je sois allez retrouver ma fiche pour c/c cette partie)

Bref, j'ai 29 ans, et je me fais grandement chier. Du coup je me suis dit qu'il serait temps que je me remette au rp, avec cette fois-ci l'espoir de tenir un peu plus de 3 semaines ! J'y crois ! (après j'y croyais a chaque fois mais chut sifle  )
J'aime beaucoup le cinéma, la sci-fi en tout genre, les jeux de société, lire un livre tout les six mois et Wes Anderson.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Le Guide du voyageur galactique
ꕥ un film : Chevalier
ꕥ une série : Community
ꕥ une chanson : Attention - Joji
ꕥ un animal : L’ornithorynque (j'avoue j'ai pas réussi à l'écrire du premier coup)
ꕥ un plat/dessert : Les pâtes carbonara (mais avec de la crème dedans  hidebox )
ꕥ une boisson : Le thé
ꕥ une célébrité : Dave Burd
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : none

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les gens. Franchement, les gens m'énervent de plus en plus. Je veux dire, ça te coûte quoi de laisser sortir les gens du métro avant de sauter dedans ? De laisser la mamie qui a juste boite d'oeuf passer devant toi à la caisse ? Rien ? Bon ben voilà, fait le et arrête de casser les couilles. Ca me crispe au plus haut point, je vous jure. En dehors de ça, j'ai pas trop à me plaindre je dois dire

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). La clope je dirais, non pas que je fume comme un pompier mais bon je dois bien l'admettre j'ai essayer beaucoup trop de fois d'arrêter pour ne pas assumer que je suis accro. Mais je suis sur que la prochaine sera la bonne, c'est pas encore le moment par contre. Et puis il m'arrive de fumer un peu des choses plus naturelles aussi mais je ne sais pas si on pourrait parler d'addiction, c'est plus un petit plaisir personnel.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? En petit ghostage des familles. Attention j'en suis pas fier hein, mais c'est quand même beaucoup plus simple de faire le mort avant que les sentiments s'en mêlent plutôt que de finir par se faire larguer comme une merde au bout de deux mois, parce que clairement c'est ce qu'il se passe a chaque fois que je m'emballe un peu. Alors certes c'est pas très classe je le reconnais mais ca m'évite d'avoir à réécouter des trucs comme wherever you will go en déprimant pendant trois semaines après.

Le dernier texto que tu as envoyé ?"Non", pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple, efficace ? "Tu veux venir à cette soirée ou tu connaîtras pas grand monde, et la moitié sont relou ?", réponse "Non". Problème résolu. Et souvent ça clôt le débat.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ca va hein, imhotep. Alors c'est sur qu'il voudrait sans doute que je leur donne plus de nouvelles et que je vienne les voirs plus souvent mais que voulez vous, je suis un mec busy moi, genre dimanche prochain par exemple j'ai poney aquatique, déso'.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je me touche. Je me touche trop d'ailleurs, je pense qu'il faudrait que je réduise parce que j'ai lu dans un magazine que un peu c'était bien, mais que trop c'était pas bien. Alors j'essaye de réduire tu vois. A part ça, je vais voir des potes, je skate, je fais un peu de musique. Rien de bien fou quoi.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? La grosse rêche que je me suis prit en skate devant l'école quand j'avais 11 ans, je me souviens c'était un mardi. Il m'a fallu au moins 6-7 ans pour remonter sur un skate après ça.

this session is gonna be different
tuffninja ꕥ 29 ans
fréquence de rp : un à trois par semaine. ϟ fréquence de connexion : a peu près tout les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? moins de 500 je dirais pour commencer. ϟ avatar à réserver : Joji  cutie . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour. et cette fois-ci pour plus longtemps qu'un mois je l'espère  hidebox
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