Commentaires des rps

Chris Forbes a écrit:Y'a du fight à propos de l'éducation de la petite Nova, du coup école dans le bronx ou école privée ?! @Dani Fowler & @Marcus Brown on se caaalme tout va bien se passer

Sheru Kapoor a écrit:@Dani Fowler gogo le bronx *utilise ses pompoms même si je ne suis pas sous le bon compte de Jan *

« Elle a besoin de toi… » On a besoin de toi. J’ai besoin de toi. C’était ça qu’il voulait lui dire. Mais il n’y arrivait pas alors il lui dit simplement que Vicky avait besoin d’elle.

Sheru Kapoor a écrit:@Ian Blackheart et @Alix westmore votre rp

« Elle a besoin de toi… » On a besoin de toi. J’ai besoin de toi. C’était ça qu’il voulait lui dire. Mais il n’y arrivait pas alors il lui dit simplement que Vicky avait besoin d’elle.

MAIS DIS LUI AU LIEU DE LUI DIRE QU'ELLE N'AURAIT PAS DU PARTIR NONDIDIOU

Sheru Kapoor a écrit:@Ian Blackheart et @Alix westmore votre rp

« Elle a besoin de toi… » On a besoin de toi. J’ai besoin de toi. C’était ça qu’il voulait lui dire. Mais il n’y arrivait pas alors il lui dit simplement que Vicky avait besoin d’elle.

MAIS DIS LUI AU LIEU DE LUI DIRE QU'ELLE N'AURAIT PAS DU PARTIR NONDIDIOU

Maintenant, c’était le cas. Parce qu’au-delà du désir qui avait pu exister, de l’amitié aussi, de tout ce maelstrom de sentiments qui se tenaient entre eux, il avait l’impression, à ce moment précis, que son myocarde s’emplissait d’une irrésistible envie de dire à Jan qu’il n’était pas seul. Qu’il l’aimait, envers et contre tout, comme personne. Qu’il n’était pas coupable, qu’il avait activé des défenses mentales monstrueuses pour survivre, pour se raccrocher à la vie.

Ce ne serait pas le cas. La vérité, implacable, lui venait en pleine figure. Il y avait trop, beaucoup trop, entre eux. Ces cicatrices seraient une rivière entre eux sans gué pour traverser. Ils resteraient chacun d’un côté, à contempler ce miroir inversé à ne pas s’y jeter entièrement.

Dans une autre vie, ailleurs bien loin d’ici, jamais. Et en même temps toujours, parce qu’il serait à ses côtés, parce qu’il continuerait à l’aimer, différemment, puissamment. Et qu’à défaut de gué, ils construiraient un pont en commun.

C'était les notations plus sévères en tout temps, c'était être promu des années après tes collègues, pas par manque de résultats ou de motivation, mais juste à cause de ce qu'il est, de ce qu'il représente. A cause de la couleur de sa peau, à cause de son nom. C'était les piques au quotidiens, et tant d'autres choses encore. Il n'imagine même pas ce que ce serait, s'il ne jouait pas le jeu, s'il ne fermait pas les yeux sur tout ce qui dérapait dans le service. S'il se laissait aller à laisser filtrer qui il est réellement. La famille guatémaltèque, les amis latinos. Les soirées dans les quartiers qu'ils considèrent si mal, et ... et le reste. Tout le reste.

Kenneth Myers a écrit:Kenneth coinça Winnie - sa peluche favorite et amochée qu’il s’évertuait à trimbaler partout malgré ses sept ans

Jonas Irvine a écrit:moi qui lit les sms de @leone castelli et @lyzianna crowley

QUE QUELQU'UN M'EXPLIQUE OU ME DONNE LE SUJET DE CETTE PRISE D'OTAGE