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Something's bugging you ? - Isandro

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Le rêve américain est bien moins un rêve actuellement. Il ressemble plus à une bonne grosse claque en punition pour toutes les choses que je n'ai jamais su dire. Le cœur brisé, j'avais eu l'espoir de pouvoir l'abandonner au Brésil, mais malheureusement il était surtout resté à New York. De mauvaises décisions en mauvaises décisions, je me suis perdu dans un bar, de quoi me noyer littéralement dans mes pensées. Songer à ce que je peux bien y faire, songer à comment réparer ce que j'ai pu briser. Je ne parle pas d'amour, je n'arriverais jamais à imaginer que je puisse le mériter un seul instant. Je suis assis à une table l'air déconfis, espérant que l'alcool me rendra mon sourire habituel. C'est loin de mes soirées à faire la fête pour oublier ça, j'espère que c'est juste le moment et pas que je vieillis avec l'alcool. La musique en fond me fait avoir un sourire doux quand même, parce que c'est un vieux truc et que pourtant je la connais par cœur. Trop de verre au compteur, le regard qui se perd sur le reste du monde, qui s'accroche à un visage qui a cet air qui pourrait rejoindre le mien. J'attrape mon verre dans un moment de courage, pour aller venir te voir, après avoir vérifié s'il y avait du monde avec toi. Je tiens clairement entre mes doigts, le fameux verre de trop, celui qu'on n'attend jamais si tôt. « Bonsoir... » J'essaie d'avoir l'air présentable, pas l'air du gros con qui cherche la merde. Alors je me redresse un peu en buvant une gorgée. « Vous allez bien ? » Je pose ma main sur la table, pour me maintenir un peu, avant de t'offrir un sourire doux, en tortillant mon popotin au rythme de Wham ! « Je ne veux pas vous déranger ! Juste savoir si vous avez besoin de compagnie. » Je sourire peut-être un peu plus triste un instant, comme si c'était finalement une initiative égoïste. J'espère que ça ne sonne pas comme une quelconque invitation à te draguer. J'avais juste vu ta tête de déprimé et c'est bien d'avoir quelqu'un pour discuter dans ses moments non ? Une gorgée de plus, mon regard qui se pose sur le tien sans plus le quitter pendant un trop long moment. J'attends réellement une invitation à m'asseoir, sinon je vais vraiment commencer à danser sans raison dans l'allée. Je me tortille un peu plus quand le rythme reprend histoire d'avoir un sourire ? L'espoir fait vivre, j'ai sûrement juste l'air d'un type bourré, bizarre. « Eu pareço estranho » Simplement murmuré pour moi. « Désolé... »


* J'ai l'air bizarre
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Les fêtes de Noël approchent et comme chaque année, te balader dans la ville au milieu de toutes ces décorations ne t’enchantent guère. Depuis la perte de ta femme, tu n’aimes pas fêter Noël (ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs) même si tu te forces chaque année pour faire un bon repas à ta fille et la couvrir de cadeaux. Tu as d’ailleurs profité du début du mois pour faire tes emplettes de Noël en croyant naïvement que tout le monde ne serait pas de sortie… Grave erreur. C’est certainement pour cette raison que tu as certainement terminé ta soirée dans un bar de Brooklyn au lieu de rentrer gentiment chez toi pour maudire tous ces gens heureux à l’idée de décorer leur sapin de noël avec boules de noël bas prix que leur chat vont arracher dès le lendemain. Toi, aigri ? A peine. Tu commandes alors un jus de fruit sous le regard incrédule du barman. Déprimé, certes, mais tu ne vas certainement pas noyer ton chagrin dans l’alcool. Un verre de temps en temps ne fait pas de mal, c’est vrai. Mais tu n’as pas envie ce soir… contrairement à l’homme qui vient t’accoster à ta table, au fond de la salle. Pourquoi est-ce qu’il danse devant toi ? Tu tentes d’avoir l’air totalement indifférent face à cet énergumène que tu ne connais pas, te demandant ce qui lui passe par la tête pour venir parler à un vieux con aigri qui n’a pas l’air de vouloir de la compagnie. « Bonsoir. » finis-tu par répondre après avoir laissé planer un silence légèrement gênant entre vous. « Je n’ai pas vraiment besoin de compagnie mais vous pouvez vous asseoir tant que vous ne me demandez pas de venir danser avec vous. ». Tu tentes tant bien que mal de mettre une pointe d’humour dans le ton de ta voix mais que tu n’es pas certain du résultat. De toute façon, l’inconnu semble déjà bien entamé par l’alcool alors il ne va certainement pas se fier à ce genre de détail. Pourtant, tu es bien sérieux : contrairement à lui, tu ne bougeras jamais tes fesses au rythme de la musique. « Et vous, comment vous sentez-vous ? » lui demandes-tu lorsque tu t’aperçois que tu n’as pas répondu à sa question de départ. Contrairement à lui, tu as les idées totalement claires alors c’est plutôt à toi de lui demander s’il va bien. Si l’on t’avait un jour dit que tu te ferais aborder dans un bar par un total étranger…
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J'ai bu. Trop peut-être pour le reste du monde. En vérité, j'ai même conscience que je suis déjà un peu dans la limite. Celle où ça rends juste tout plus léger et en même temps, je suis encore à me sentir si seul. Alors, t'avais rien demandé, mais je viens voir si tu veux bien d'un peu de compagnie. Je t'offre un grand sourire venant me poser avec toi l'air beaucoup trop heureux. L'alcool rend joyeux ce soir, peut-être qu'un de plus ça sera encore plus de joie ? Je regarde mon verre puis toi de nouveau. Aucunement. Je ne vous forcerais pas. C'est bien de juste discuter aussi. C'est bien de regarder le bel homme en face de soi. Hmf. C'était pas le meilleur moment. Je te regarde dans les yeux un moment avant de comprendre que tu poses la question sérieusement.  Je t'offre un grand sourire, avant que les coins de redescendent comme des traîtres. Le retour est plus compliqué que prévu, mais ça va ! Je crois. Je viens hausser les épaules, montrant qu'au pire ça n'a rien de bien grave. Au pire des cas j'aurais qu'à m'enfuir, il paraît que l'Europe s'est sympa. Même si bon, c'est loin, au moins je pourrais fuir mon démon de cœur. Je viens prendre une gorgé d'un verre qui tire sur sa fin, ou alors je bois dans le vent. J'ai plus de notion. Je ne sais toujours pas si ça va vous. J'espère que vous n'attendez pas quelqu'un ! Sinon je me glisserai loin pour vous libérer. Même si je serai triste de perdre si bonne compagnie ! On a à peine commencé à parler. Je suis un idiot. Je tapote un peu sur mon verre l'air de rien avant de me redresser. Pardon, j'ai bu un peu. J'avais le cœur lourd, maintenant l'estomac et demain le crâne ? J'ai vraiment besoin de réfléchir avant d'agir. Je fais toujours n'importe quoi et je finirais par vraiment mal tomber. Suffirait que tu sois un méchant et je pourrais mal finir.ais tu as l'air des plus sympathique, même si ton visage est un peu fermé, j'ai su y lire une pointe d'humour. Il suffit de te huiler un peu pour que tu repartes. Cette phrase n'a aucun sens, oui.
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Tu souris poliment à l’homme qui te fait face, pas certain de la même attitude à adopter face à un inconnu qui t’adresse la parole dans un bar où tu n’as pas du tout ta place. Tu devrais pourtant être content qu’une personne souhaite sympathiser avec toi… C’est tout de même rare. Même à l’hôpital, tu ne parles pas vraiment à grand monde et ne te mêle encore moins des histoires entre collègues qui ont lieu comme dans chaque lieu de travail. Sauf qu’un hôpital, c’est très grand alors imaginez un peu les dramas… « Le retour ? Où étiez-vous ? ». Tu rebondis sur les paroles de l’inconnu car c’est plus simple pour toi de faire la discussion de cette manière. Tu préfères être celui qui pose les questions plutôt que celui qui y répond. En même temps, tu n’as rien d’intéressant à raconter. Ta vie est monotone alors à part parler de ton chien qui est le centre de ta vie depuis des années… « Je dirais même que vous avez beaucoup bu pour me trouver de bonne compagnie. » ne peux-tu pas t’empêcher de répliquer au jeune homme tandis qu’un léger sourire vient éclairer ton visage plutôt sinistre. C’est bizarre, mais tu n’es jamais d’humeur pour sociabiliser tant tu ne sais plus ce que c’est. « Je vais bien, merci de vous en soucier. Et non, je n’attends personne. ». Depuis combien de temps tu n’es pas allé boire un verre avec un ami ou des collègues ? Il ne vaut mieux pas le savoir. « Et vous, cela vous arrive souvent de vous rendre seul dans un bar et de parler au type qui a l’air le moins à l’aise là-bas ? ». S’il y a une pointe d’humour dans ta voix, tu es pourtant sérieux. Est-ce que tu lui fais pitié ? Peut-être bien, mais tu ne peux pas lui en vouloir. Au moins, il anime un peu ta soirée et tu ne peux pas lui reprocher. « Isandro, d’ailleurs. » dis-tu avant de lui tendre ta main. C’est toujours mieux que d’être appelé l’inconnu du bar.
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L'impression de passer un contrôle pour savoir si tout est okay dans ma vie. Peut-être que le fait que tu ne me répondes pas est une façon de couper court? Ou tu n'as peut-être pas envie de parler de toi. Je ne supplierais pas, même si j'adorerais écouter quelqu'un parler de sa vie là. J'ai déjà posé le cerveau, alors me taire et écouter ça aurait été cool pour ne pas avoir l'air plus idiot. Brésil, au soleil et je reviens ici finalement.   C'est bien mieux ici, je ne brûle pas au soleil si je ne fais pas attention et surtout, je peux disparaitre de nouveau ici, c'est plus très grave. Je regarde mon verre puis toi de nouveau et je ne dirais pas un mot sur cette vérité, j'ai définitivement trop bu. Tu me laisses m'asseoir et tu me réponds alors que j'ai trop bu. Tu es... de bonne compagnie. Tu n'es pas parti, tu me réponds et t'intéresse à moi, c'est quand même fou comme peu de gens pourraient le faire. Surtout face à un type qu'à trop bu. On préfère l'ignorer dans un coin normalement. C'est comme ça que je finis à l'autre bout de la ville par la suite. Seul dans les bars, oui. Sinon je pourrais jamais y aller. Et pour ce qui est du monsieur pas à l'aise, on a tous le droit de s'amuser. J'ai pu voir un petit sourire là. Je pointe le coin de tes lèvres du doigt avec un grand sourire, pour dire que je l'ai vu et que je suis content de l'avoir vu. Cela valait le coup d'avoir l'air d'un sac et un peu dérangé. Je pose mes mains sur mes cuisses pour les frotter vivement et essayer de me réveiller un peu. Retrouver un peu, un semblant d'intelligence, au moins le niveau de base. Isandro... Joli ! Moi c'est Aimé. Enchanté.   J'ai surement l'air bien trop sincère de ça, mais faut pas m'en demandé trop là. Je pourrais m'attacher à n'importe quoi. Du coup, si tu ne danses pas, je peux t'offrir un verre? Ou... On peut faire des fléchettes. Faudra juste pas te mettre proche de la cible. Si tu ne veux pas danser, tu veux peut-être quand même t'occuper ?
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Tu hausses tes sourcils lorsque tu apprends que le jeune homme qui te fait face revient du Brésil. Pas qu’il n’est pas la tête de l’emploi ou quoi (même si, bon…), juste que c’est une destination qu’on n’entend pas de la bouche de tout le monde. « Le temps n’a pas été très clément pour votre retour. » que tu lui lances d’un ton légèrement sarcastique en jetant un bref coup d’oeil dehors, où la pluie tambourine depuis quelques minutes déjà contre la vitre du bar. « L’alcool n’est peut-être pas un bon remède pour le jet lag, d’ailleurs. ». C’est trop tard de toute façon pour l’inconnu, il est déjà bien entamé et il n’a pas l’air de vouloir s’arrêter en si bon chemin. Tu ne serais pas étonné si tu venais à devoir le ramener… Par mesure de sécurité, car tu n’as pas envie de laisser quelqu’un totalement éméché erré dans les rues de New-York même si c’est un peu une norme ici. « Merci… je suppose. ». Tu n’es pas forcément le type le plus à l’aise dans les interactions sociales, surtout dans un bar bondé où le type pourrait certainement trouver plus entreprenant que toi. Tu secoues alors légèrement la tête de gauche à droite lorsque ce dernier te fait remarquer l’apparition d’un petit sourire sur ton visage. En même temps, difficile de rester sérieux face à un inconnu qui n’a pas l’air de se rendre compte qu’il vient de tomber sur un type déprimé d’être ici et qui veut juste rentrer chez lui. Au moins, il te fait un peu d’animation sans même s’en rendre compte. « De même. Et pourquoi ne pas allier les deux, hm ? Celui qui perd aux fléchettes paye un verre à l’autre. Dans la limite du raisonnable pour toi, bien sûr. ». Car tu n’es pas très certain qu’il va continuer à tenir debout très longtemps à ce rythme-là. Tu finis alors le fond de ton verre entamé et fait un signe de tête à Aime pour qu’il te suit jusqu’au jeu de fléchette qui n’intéresse visiblement personne. Tu prends une fléchette que tu lances… totalement à côté. Merde. Et toi, tu n’as pas l’excuse de l’alcool. « Bon… Tu vas avoir du mal à tenir debout avant la fermeture du bar si je continue comme ça. » annonces-tu devant ton score catastrophique. Aime peut se rater aussi, et tu espères a fond de toi car sinon… tu vas te rendre chez un opticien dès le lendemain matin.
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Je ne sais pas trop, j'aime bien la pluie. Sur la plage ça à un petit côté apocalypse qui fait frissonner. J'ai l'air totalement ailleurs un instant comme perdu dans le temps. Le cerveau simplement qui prend le contre coup de l'alcool. Il n'y a qu'une heure entre ici et Rio, ça peut aller donc. Et l'alcool est jamais la meilleure solution, mais elle tient compagnie ! Petit sourire qui se dessine sur mon visage alors que tu sembles gêné un peu de mon côté entreprenant. Je comprends le soucis je suis un peu trop facilement dans le compliment, c'est mon côté vendeur, mais pour une fois, je le pense vraiment, disons qu'avec les verres bu, même la chaise me semble de bonne compagnie. J'aurais pu finir par discuter avec l'une d'entre elle, mais c'est toi qui va devoir t'occuper de moi. Peut-être que c'est l'inverse finalement, je m'occupe un peu de toi? T'as l'air seul, on est deux à être seuls, amusons nous. Tu acceptes donc les fléchettes et ça me fait rire, j'hoche vivement la tête en te regardant. Attention, j'ai des années d'expériences ! C'est pas vraiment un mensonge, j'ai pas dit que j'étais bon, j'ai juste dit que ça fait des années que je joues. Pas obligé de dire que je suis mauvais et que faire des petits trous autour de la cible est un de mes talents. Viser, juste pour un verre. Normalement plus j'aurais de verres, plus tu pourras en gagner. C'est un peu compliqué, mais soit, je viens viser, en fermant un œil avec un charisme négatif. Pourquoi j'ai la bouche en duckface? Concentration et la fléchette tape le bas de la cible, le trois puis tombe. A toit de voir si ça compte ou pas. Pour moi, je dirais que non, même si ça m'affiche le score. Parce que, c'est pas planté, je vais dire que c'est un bon moyen de t'éviter de te ruiner au premier lancé. Il nous faut un peu d'échauffement à tous les deux. Tu fais quoi dans la vie? Je sais pas pourquoi j'ai envie de t'imaginer avec un uniforme... Je te laisse relancer, si tu as accepté de m'offrir ce verre, ça me va aussi, dans tout les cas, je vais finir par plus trouver la cible du tout. L'important, c'est que personne ne reçoive de fléchette dans les fesses.
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Tu observes Aime tenter de viser tout en levant un sourcil. S’il arrive à viser quoi que ce soit, tu risques d’applaudir. C’est déjà un miracle qu’il tienne debout, non ? Tu ne sais pas combien de verres il a avalé avant de venir te parler mais tu n’as pas non plus envie de le voir s’écrouler. A croire que tu as vraiment des problèmes de vue car le jeune homme, lui, trouve plus ou moins le chemin de la cible à l’aide sa fléchette même si elle s’écroule sur le sol presque aussitôt.  « Hm, tu as quand même réussi. Par contre, on va finir par passer à l’eau pour toi si tu continues de gagner. ». Tu décides quand même de jouer le jeu jusqu’au bout et de lui offrir un autre verre, te promettant tout de même dans un coin de ta tête de t’arrêter bientôt. « Tu bois toujours autant ? » que tu lui demandes en tentant de ne pas te donner l’air du rabat joie professionnel – même si c’est ce que tu es au fond. Déformation professionnelle obligée. Déjà, tu te retiens pour le moment de lui demander comment il va faire pour rentrer. Tu attrapes une fléchette et te concentres, mais la question du blond te fait décrocher un petit rire. « J’ai un uniforme, effectivement. ». Tu lances la fléchette qui, cette fois-ci, atterrit sur le numéro 5. Beaucoup mieux que ton premier lancée catastrophique. « Je travaille à l’hôpital de Staten Island, je suis pédopsychiatre. » ajoutes-tu après lui avoir pu lui laisser le temps que tu sois un flic ou quelque chose dans le genre. Est-ce que tu as une dégaine de flic ? Pas sûr. « Et toi ? Je t’imagine bien barman… ou alors un métier où tu dois sans cesse parler. ». Tu lui retournes la question tout en lui tendant une fléchette, comme c’est son tour. Tu n'es pas très doué pour deviner la vie des gens. Mais vu qu'Aime semble assez à l'aise socialement, tu t'imagines qu'il doit avoir un emploi où il peut s'exprimer librement.
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"C'est toi qui décide !" Tu aurais pu dire que c'était une égalité, je n'aurais pas bronché le moins du monde, puisque c'est le but du jeu de planter la fléchette. Autrement c'est facile. Tu m'offres donc un nouveau verre et ça me fait sourire un instant avant que la question ne fâche un peu, enfin autant que je peux l'être. C'est à dire avec le sourire, mais l'air perdu. " Quand j'essaie de plus penser. J'avais pas bu depuis super longtemps en vrai ! Seulement depuis que je suis rentré." J'aurais peut-être pas dû, mais comme on voulait plus de moi là-bas et qu'ici c'est un peu mon seul autre endroit du monde où je ne suis pas perdu, j'ai pas hésité comme il faudrait. J'ai aucunement été vexé par ta question au moins, c'est un bon point. J'ai même complétement conscience que j'ai un peu dépassé les bornes pour ce soir et ça m'ira les verres d'eau ou de jus de fruit, peu importe. Je te regardes lancer une nouvelle fléchette, la suit du regard, bon, disons que j'ai vu le début et la fin, mais j'applaudis, parce que je suis fier de toi. C'est pas bizarre? Boarf. Mon regard qui revient sur toi, pour te regarde de haut en bas et ça me fait rire. " Pas du tout le genre d'uniforme que j'imaginais !" Pédopsychiatre donc, je suppose que t'aime bien les gosses, autrement t'aurais pas choisi de les aider. " Je dois comprendre que je parle beaucoup trop?" Je t'offre un sourire terriblement amusé, parce que là faut avouer que c'est comique comme remarque. " J'ai longtemps été vendeur dans les fringues de luxe, alors ouais, un boulot où faut parler et vendre les choses." Un rire doux avant de reprendre. "Bon je me vends très mal ce soir, on a pas dansé, mais j'ai gagné un verre et le droit de te parler." Petit haussement de sourcils avec cet air qui montre que je suis un peu fier de moi quand même. On a pas toujours ce qu'on veut, mais faut se contenter de ce qu'on peut avoir. Je préfère te savoir à l'aise de toute façon. Tu attrapes la fléchette et tire une nouvelle fois. Elle tombe de nouveau et je viens faire une moue désespéré. " J'arrive pas à viser le trou, c'est terrible. j'irai plus fort pour ma prochaine !  Tu veux un jus de fruit? " Une gorgée de boisson qui est prise en attendant de commander ton verre à toi. " Du coup t'aime les gosses, je suppose? J'ai quand même une question. Pourquoi ce métier? J'ai toujours trouvé super fort les gens qui veulent aider les autres comme ça. Non pas que je sois un égoïste, mais je veux dire, en faire son job quoi. "
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