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3 résultats trouvés pour Broadway

(archie) make it to the sunrise

Invité
12 r ; 440 v.
Jeu 25 Fév - 22:18
archibald swanson
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=823}Archie Swanson{/@}
34 yo - critique
FEAT : ian harding
Archie a toujours été le fils prodige, celui qui réussissait à décrocher la lune pour ses parents, pour les rendre fier, afin de ne pas perdre leur amour. Il faisait ce qu'on lui demandait sans rechigner, obéissant et sache. Il était l'enfant que tout parent rêve d'engendrer, un gamin sans problème. Cependant, tout a changé quand il a annoncé, des années plus tard, qu'il désirait quitter le chemin que ses géniteurs avaient parfaitement tracé pour lui pour se lancer à Broadway. Adieu avenir de médecin, chercheur ou bien politicien. Archie avait alors chuté drastiquement dans leur estime et ces derniers n'avaient plus qu'une seule idée en tête : le faire changer d'avis. Seulement, même adolescent, il était déjà têtu, entêté, sûr de lui et bien trop confiant pour son propre bien. Il avait donc pris son élan pour mieux sauter, sans savoir que sa propre chute n'en serait que plus douloureuse.
Archibald est devenu aigri, portant les cicatrices de ses rêves brisés, et si lui ne pouvait pas réussir, personne ne le pourrait. Personne ne serait à la hauteur des scènes de Broadway. La critique est un art aisé pour qui sait manier le pouvoir des mots. Les vipères le savent et ont la langue fourchue pour une raison bien précise...
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américain de naissance, il n'a jamais connu que cet endroit quand bien même il rêvait d'ailleurs.
Orientation : pan, seule la personne compte, qu'importe son sexe ou son genre. si sa tête refuse de l'admettre, son coeur espère que cette personne n'est pas très loin.
Situation : célibataire, il pensait avoir trouvé chaussure à son pied, il pensait avoir connu ce que l'on ne vit qu'une seule fois dans sa vie. jamais il ne s'était autant trompé de toute son existence. désormais, il panse ses plaies avec de la rancoeur en guise de mercurochrome.
Occupation : critique au coeur sec comme la roche, il arpente les scènes de théâtres, les salles de cinéma, en quête d'espoirs à briser.
Quartier : brooklyn le connaît par coeur. brooklyn l'a vu naître, l'a vu grandir. brooklyn a vu bien des choses concernant swanson, des choses qu'on ne voudrait pas voir, mais brooklyn est toujours là.

and what else ?
Qualités : attentif - créatif - doux - franc - gourmand - passionné - romantique - sensible - tendre.
Défauts : arrogant - capricieux - coléreux - dur - égoïste - excessif - froid - impulsif - insolent - jaloux - possessif - puérile - rancunier.
Passions : cigarette, non-fumeur, il s'est laissé séduire pour apaiser ses angoisses. une cigarette, puis une autre, suivi par un paquet entier. l'odeur de la fumée ne quitte plus ses vêtements. le tabac parfume ses doigts. écriture, il passe ses journées à griffonner sur un morceau de papier, à pianoter sur son ordinateur, à tapoter sur son portable. les mots se succèdent et le monde autour de lui s'arrête. théâtre et comédies musicales, le monde de l'art causera sa perte, à coup sûr. bière, whisky et bourbon, goût prononcé qui accompagne souvent ses nuits blanches. thé lorsqu'il a besoin de sucre, il en possède en vrac, en sachet, un placard tout entier de sa cuisine en est occupé. réseaux sociaux, archie ne serait rien sans ses réseaux, sans son blog.
Communautés : {#}broadway{/#}.






that's my story / self diagnosis
Tu écrases ton mégot sur le rebord de la fenêtre, avant de le regarder tomber, les cendres virevoltant au gré du vent pollué de Brooklyn. Ta tête est pleine. De fumée, de brouillard et d’orages. Tu pourrais pleurer toutes les larmes de ton corps si tes canaux lacrymaux te le permettaient, mais ça fait bien longtemps que de l’eau salée n’a pas couru sur tes joues. Alors, tu soupires. Longuement. La foule se presse sur les trottoirs et tu n’en fais pas parti. Ils se bousculent pour se rendre dans leurs bureaux bien propres, ils se pressent pour emmener les enfants à l’école, pour valider leurs diplômes. Tu n’en fais pas parti. Tu te contentes d’écouter les notifications de ton smartphone résonnant entre les quatre murs de ton bel appartement. Il pue la cigarette froide et la bouffe livrée la veille. T’es plus le garçon plein d’espoir. Oh non. Un rictus étire la commissure de tes lèvres. Ta dernière critique a fait parler de toi, a fait parler de la mise en scène que tu as descendu en flèches sans lui laisser la moindre chance. Des mots crus. Une langue fourchue. Piquante. Acerbe. Tu gardes néanmoins un gout amer au fond de la gorge. De la mauvaise bière sûrement. Qu’est-ce que ça pourrait être d’autre, de toute façon ? « Un jeu d’acteur qui ne présente pas le moindre intérêt, qui n’apporte rien, si ce n’est un ennui mortel ; une mise en scène digne d’une pièce portée à bout de bras par instituteur en fin de carrière pressé de rejoindre son divan dès le coucher de soleil pour apprécier sa misérable retraite. Pour faire simple : mauvais. » Tu relis ces quelques lignes, encore et encore. Ce n’est pas suffisant. Tu n’es satisfait. Voilà ton quotidien : te lever d’une nuit courte, écrire les pires commentaires possibles, et vaquer à tes occupations en te répétant que si tu n’as pas réussi, personne ne le fera. Aigreur et amertume te tiennent compagnie. Elles ne te tiennent pas chaud la nuit, mais c’est tout ce qu’il te reste. La chaleur que propageait ton coeur autrefois a disparu il y a fort longtemps et jamais personne ne s’est donné la peine de le ranimait.
Dans le fond, ce que tu voudrais, c’est qu’on reconnaisse ta valeur. C’est qu’on te dise que t’es talentueux. Pas que t’aurais dû écouter tes parents quand il était encore temps. Pas que tu détruis des vies, des carrières, dans l’unique but de te sentir mieux, sans effet. Tu t’en fous. Tout ce que tu veux, c’est qu’ils souffrent tous. Tous autant qu’ils sont. Car c’est tout ce qu’ils méritent. C’est tout ce qu’elle mérite. Elle, celle qui t’a tout pris. Celle qui a pris ta place. Celle qui a réussi, quand tu t’es fait foutre dehors, sans un applaudissement, sans un remerciement, sans même un regard. Elle doit souffrir. Quoique cela puisse te coûter…
Alors, tu cliques sur poster, et ta critique se retrouve en ligne. Tu sirotes les dernières gouttes de ton café froid, claques l’écran de ton ordinateur, enfiles une veste et te voilà dans les rues de Brooklyn, des paroles cruelles envahissant ton esprit.




this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : certains pourraient me connaître sous le pseudo SUNRISE, mais vous pouvez m'appeler alex.
Age: 22 yo.
Avez-vous des triggers personnels ? je n'en ai pas qui me viennent à l'esprit à l'heure actuelle, mais si cela évolue, je le ferais apparaître dans mon profil. 
Avatar à réserver : ian harding.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: princess, bazzart.
Souhaitez-vous un mp d'intégration ? oui, avec grand plaisir.  Tag broadway sur I've got 99 problems 995762081

I Dreamed a dream: Je suis devenue une vedette - Meghan Greenwood

Invité
10 r ; 577 v.
Lun 1 Fév - 12:40
Meghan Greenwood
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=809}Meghan Greenwood{/@}
38 ans - vedette à
Broadway
FEAT : Anne Hathaway
Artiste multidisciplinaire qui a réussi à brûler les planches à Broadway en tant que comédienne et actrice de comédies musicales. Lorsqu'elle n'a pas de contrat à Broadway, elle fait du cinéma ou de la télévision. Retrouvez une femme sympathique, amusante, fonceuse qui est issue d'une famille très tissée!
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Ethnie/origines : anglaise, canadien (ses arrières-arrières-grands-parents ont émigré du Québec pour travailler dans le textile dans le Rhode Island) à suivre.
Orientation : Pansexuelle
Situation :célibataire
Occupation :Diplômée à Julliard en chant classique, artiste de théâtre et comédie musicale à Broadway
Quartier : Manhattan

and what else ?
Qualités : Affectueuse - Fonceuse - Disponible - Loyale - Sportive - Erudit
Défauts : Anxieuse - Manque de confiance en soi par moments - Réservé - Se méfie lors des premières rencontres sociaux - Routinière
Passions : karaoké, concerts de rock, boxe
Communautés :  Julliard School (ex-étudiante), {#}The{/#} Lift, {#}Broadway{/#}, {#}The{/#} Overkill,






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les damnés paparazzis! Ces vautours qui veulent tirer une photo pour soutirer une centaine de dollars aux plus offrants! Je n'arrive pas à les débarrasser, ils reviennent toujours à la charge quand je vais dans les lieux publiques.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Le café, je ne peux pas m'en passer! Il me faut ma dose de caféine pour passer à travers une longue soirée de tournage de cinéma ou de télévision. Malheureusement, quand je dois être sur la scène pour jouer du Feydeau ou préparer pour "Chicago", je dois m'en passer afin de garder les esprits en place.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? J'ai sorti avec une fille, il y a six ans. C'était une phénomène de la mode car elle sort des tenues vestimentaires branchées. On s'est fréquentées pendant deux ans et demi lorsqu'elle m'a délaissée pour vivre sa passion pour le design en France, on est restées en très bon termes.  

Le dernier texto que tu as envoyé ?Mon dernier texto s'adressait à ma soeur cadette, qui attendait un enfant. Je le cite: Félicitations ma petite soeur, je souhaite que tu sois une merveilleuse maman!. Faire un souhait à une parente, qui va accoucher d'un premier enfant, est très avantageux.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Comment est ma relation avec mes parents? Je peux en parler évidemment, j'ai vécu une relation très harmonieuse avec ma famille. Mon père fait la musique dans divers téléromans et ma mère dirige une maison de production pour des émissions jeunesses, des téléromans et émissions de variétés. Ils ont eu Stacy en 1975, maintenant une avocate qui possède son cabinet avec des associées. Une autre fille s'ajoutée en 1985, par le biais de l'adoption. J'ai été mordue par le jeu d'actrice quand j'avais cinq ans lorsque ma marraine, la soeur de mon père, m'accompagnait pendant le tournage d'une émission devant le public. Pendant une pause, un ami de ma mère, qui est le concepteur, m'a reconnu et m'a demandé si j'accepte de participer à jouer dans l'émission. La glace est cassée et j'ai décroché un rôle dans une autre série quand j'ai eu six ans. Malheureusement, mes parents vont décéder durant les vacances de Noel au Colorado, j'étais restée à Los Angeles avec ma soeur Stacy et une de ses amies. Grâce à la bienveillance de ma famille, j'ai quitté Los Angeles durant l'été 1994 pour m'installer chez une cousine dans le quartier de Greenwich Village. Le domaine artistique m'a toujours passionnée et à la fin de mes études secondaires, j'ai intégrée le collège Julliard pour travailler mon chant et mon jeu. C'est durant mes études que le terrible attentat du 11 septembre 2001 survient et par chance, Stacy était alitée en raison d'une pneumonie. Par la suite, grâce aux audtions, je n'ai pas pu doubler une comédienne dans une comédie musicale mais j'ai obtenu un rôle dans une pièce d'Arthur Miller, les Sorcières de Salem, j'interprétais une des accusées et un productrice française m'a offert de jouer dans une coproduction France-États-Unis, à Paris. Je n'ai pas eu le temps d'apprendre les subtilités du français puisque le tournage durait six mois. Durant mes voyages au Canada, j'ai eu l'aide de mes cousins et cousines qui habitent Toronto et Montréal.  

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? J'adore lire les romans policiers, fais de la cuisine pour les associations pour les LGBT. Pour me défouler, je fais un peu de boxe et de musculation et m'amuser, je m'excelle au karaoké, vais au cinéma et à la maison, je m'occupe de mes animaux, un chat abyssin et un chien labrador, deux êtres qui partagent leur maîtresse. Il m'arrive que je fais du shopping pour me changer les idées.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Lorsque j'ai passé ma première entrevue à la télévision, il y a un segment ou on doit relever un défi! Le défi que je dois relever est d'énumérer le plus de présidents américains.... en 30 secondes. J'ai été aux plus connus: Washington, Kennedy, Nixon, Reagan, Jefferson, Adams. J'avais énuméré la plupart des noms lorsque j'étais rendu à James Polk, qui a marqué avec l'annexion de l'Oregon. Dans mon énervement, au lieu de dire Polk, j'ai dit "Folk"! Je suis retrouvée avec une douche de matière gluante sur la tête en guise de récompense.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Alexistwister
Age: 39 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Oui, je suis très anxieux et parfois, ça me crée un certain stress. Parler d'anxiété est quelque chose qui me crée un malaise  
Avatar à réserver : Anne Hathaway
Crédit avatar utilisé dans la fiche: mélopée
Souhaitez-vous un mp d'intégration: oui je veux un mp, merci

nothing means nothing without you (lola)

Invité
21 r ; 439 v.
Lun 20 Juil - 21:24
Lola Diaz
30 ans - doublure à Broadway
FEAT : Gina Rodriguez
Lola est née au Mexique, elle n’en garde pour autant aucun souvenir, trop jeune lorsque sa famille a expatrié aux Etats-Unis. Elle a grandi à New-York, des étoiles plein les yeux malgré l’incompréhension qui subsiste quand à l’arrivée de sa famille aux Etats-Unis. Lola, elle en a eu des reproches lourds, trop accablée par l’image qu’on avait d’elle. La mexicaine, l’expatriée alors qu’elle, elle se sentait uniquement américaine. Aujourd’hui, en conflit avec ses origines et sa Green Card, Lola rêve de gloire, du feu des projecteurs sur son visage. Lola danse, chante, joue la comédie, est musicienne. Elle aimerait un rôle vedette mais se retrouve constamment reléguée à être la doublure des seconds rôles. Lola n’est personne, incapable de réussir ses castings. Les factures s’accumulent, et malgré qu’elle soit serveuse pour s’en sortir, elle n’y parvient pas. Lola ne s’en sort plus, elle n’en dit pourtant rien à ses proches. Elle prévoit d’être mère porteuse pour rembourser ses dettes et pouvoir continuer à rêver dans l’ombre.
who am I
ꕥ âge : elle a 30 ans, maintenant, depuis le 15 janvier.
ꕥ orientation sexuelle : elle est attirée par les hommes.
ꕥ situation : Lola est une handicapée des sentiments qui multiplient les déceptions amoureuses. Elle en a eues, des relations et pourtant, elles se sont toutes terminées par des larmes. Elle est de celle qui s’attache, trop tôt, à donner son coeur à qui en voudra. Et à qui n’en voudra pas, d’ailleurs. Elle s’est longtemps persuadée que son prince charmant viendrait un jour, elle l’attend encore.
ꕥ occupation : Elle avait des rêves plein la tête. Enfant aux étoiles dans les yeux, elle avait regardé les spectacles de Broadway avec autant d’admiration que de détermination. Lola y serait, elle le savait. Lola le voulait tant. Elle se rêvait sur les devants de la scène, les projecteurs pointés sur elle. La réalité, elle ne l’avait pas anticipée. Elle ne l’avait même imaginée, tant elle était difficile à avaler. Lola, avec le temps, voyait son rêve s’évaporer. Elle, elle était reléguée à l’arrière de la scène, à l’espoir malsain de voir celle dont elle était la doublure se blesser. Lola, elle n’est que la remplaçante, celle qui vient sauver le spectacle en cas de besoin, jamais vraiment. Les seconds rôles ne se blessent que trop rarement, eux aussi, ils espèrent. Lola, doublure à Broadway, rêve toujours. Et pourtant, ses désirs ne paient pas les factures qui s’accumulent encore et encore. Lola se noie, s’oblige à travailler dans des bars pour compenser les dettes. Insuffisant, bien évidemment.
ꕥ quartier : elle a pris ses quartiers dans le Queens (the sunflower building).
ꕥ qualités : déterminée - passionnée (par tout et rien) - souriante - tendre - romantique - douce - créative
ꕥ défauts : têtue (terriblement) - curieuse - craintive - rêveuse - rancunière - jalouse - impatiente
ꕥ passions : {#}danse{/#} - Lola a toujours aimé ça, s’exprimer à travers les mouvements de son corps, elle danse souvent, s’entraîne en permanence. La danse, c’est ses émotions qu’elle n’ose dire. Les courbes de son corps parlent à sa place, lorsqu’elle ne parvient plus à parler. Des mouvements doux, légers, parfois plus vifs, plus saccadés. Lola ne s’en lassera jamais. {#}piano{/#} - ça n’a pas toujours été simple et pourtant, le simple fait d’effleurer les touches de son vieux piano l’apaise, calme ce trop plein d’émotion qui l’envahit sans arrêt. Lola a appris seule, avec du temps, avec de l’envie, avec la détermination qui l’anime. Ce talent, elle le montre quelques soirs. Cette passion, elle la vit pourtant seule, en général. Dans l’ombre. Ses sentiments, elle les vit en silence, tandis que les notes s’envolent. Parfois, elle chante. Voix cristalline qui explose, surprend. Lola, elle aime la musique, indéniablement. {#}chat{/#} - grande amoureuse des animaux qu’elle est, Lola aime les chats avec adoration. Elle est de celle qui change de voix, lorsqu’elle voit l’une de ses boules de poils, de celle à vouloir tous les adopter. Elle en a deux, d’ailleurs. Deux chats qui lui offrent l’amour dont elle manque cruellement. {#}dessin{/#} - ça, c’est un secret pour tous. Son jardin à elle, mais Lola dessine, met sur papier des petits personnages qu’elle connaît ou qu’elle invente. Elle laisse glisser ses crayons pour donner vie à ce qui lui passe par la tête. Elle garde ça précieusement, dans un petit carnet, sorte de journal intime.
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : {#}Broadway{/#} - {#}Los{/#} Latinx - {#}NYC{/#} Expats
ꕥ scénario/pré-lien : la petite soeur Diaz
ꕥ parrain : oui, ça me plairait bien si possible

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Hello tout le monde Tag broadway sur I've got 99 problems 2881807329,
J’ai pas tellement l’habitude de ce genre de présentation, et même de parler de moi, je préfère écouter en général. Je suis plutôt discrète, comme personne, mais vous pouvez m’appeler Lili.Je fais du rp depuis dix ans maintenant, ça me paraît loin tout ça quand je vois tout ce que j’ai pu inventer. J’aime dessiner, chanter, dormir (c’est très important), lire, écrire (évidemment). Je suis une petite joueuse d’Animal Crossing, Pokémon et d’autres (quand je prends le temps). Et voilà ce que je peux dire pour le moment.Vous êtes beaux et adorables, aussi.  Tag broadway sur I've got 99 problems 995762081

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La Baie des Baleines, Jojo Moyes
ꕥ un film : Love Actually (pour n’en choisir qu’un)
ꕥ une série : Sex and The City (ou One Tree Hill, ou Grey’s Anatomy ...)
ꕥ une chanson : Make you feel my love, Adele
ꕥ un animal : le pingouin (ou le chat, le tigre, l’ours, le chien, la loutre ... amoureuse des animaux, en fait)
ꕥ un plat/dessert : la pizza / la tarte au citron meringué
ꕥ une boisson : l’eau ...
ꕥ une célébrité : Emma Watson
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation, pour aller partout facilement

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : les agressions sexuelles


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
(les anecdotes) Lola est passionnée. Par tout, par rien. Par les petites curiosités de la vie, par le monde en sa globalité. Son ouverture d’esprit - et ses origines - lui ont permis de voir au-delà de New-York. Lola se fascine pour l’histoire, pour les langues - en plus de l’espagnol et de l’anglais, elle a tenté d’apprendre le français et le mandarin avec plus ou moins de succès - pour les découvertes scientifiques, pour la politique, les travaux manuels et même la décoration d’intérieur. Tout ça, en plus de la danse, du théâtre, de la musique. Lola aime tout, veut tout tester. ○  Elle peut passer du tout au rien. Du rire à gorge déployée au torrent de larmes en quelques secondes. De l’apaisement total à un stress intense et sans appel. De l’affection à l’agressivité. Lola change en un instant. Pour une petite contrariété, pour un moment plus triste, plus touchant, pour un problème mineur, pour une grande joie. Ce n’est qu’une partie de l’iceberg, parce que Lola est plus que ça. Elle peut être dérangé par un bruit infime, par une odeur trop forte. Elle peut pleurer pour si peu - ce film triste, cette scène remplie d’émotion dans une série, une tranche de vie dans la rue. Lola est à fleur de peau sans arrêt. Elle craint, elle a peur du regard des autres. Lola veut plaire, cherche à se faire aimer. Tout le temps. Elle a le souci du bien faire, trop perfectionniste parfois d’ailleurs. On lui dira qu’elle est trop sensible, mais Lola répondra qu’elle l’est. Qu’elle est même hypersensible. Des bons côtés, il y en a. Elle a de la créativité au bout des doigts, des pieds, dans la tête. Lola écoute beaucoup, elle sait le faire à merveille bien plus que parler d’elle. Elle analyse, se questionne, conseille. Lola est une éponge à émotion, elle comprend vite, inutile de lui mentir. ○ Lola a rêvé très tôt du grand amour. De celui en lettres capitales. Elle rêvait d’un prince aussi beau que drôle. Aussi charmant qu’intelligent. Elle a rêvé de perfection très longtemps. Et elle en a rencontrés, des crapauds. De nombreux. Les mêmes qui se prenaient pour des princes. Lola est tombée amoureuse plusieurs fois. Peut-être trop, d’ailleurs, pour que ce soit véritable. Lola s’est surtout couverte de ridicule. Elle a cru, s’est abandonnée. Elle a perdu gros. Sa fierté, son coeur et son amour propre, aussi. ○ Elle a beaucoup vécu de ses économies, sans réellement pouvoir prévoir l’avenir. Faut dire, doublure de seconds rôles, ça n’avait rien pour lui offrir la vie dont elle avait rêvée. Lola a bien essayé de s’en sortir, en travaillant plus, toujours plus pour payer les factures accumulées, pour éviter les relances trop nombreuses. Lola a tenté de palier au rouge de son compte en banque, aux loyers impayés, aux menaces. Elle a commencé comme serveuse, puis comme pianiste pour divertir. Lola avait besoin d’argent mais rien ne suffisait. Devenir mère porteuse, finalement, ce n’était que la solution à ses problèmes. Elle le savait. Ce n’était pourtant pas ainsi qu’elle avait imaginé devenir maman - et même pas vraiment, d’une certaine façon. ○ Du plus loin qu’elles se souviennent, Lola a toujours aimé les animaux. Pas étonnant de savoir qu’elle en possède. Un lapin, douce peluche du nom de Harry - à cause du héros à lunettes, pas du prince - deux chats, l’un affectueux et fin gourmet qui répond au nom de Cookie et l’autre, tendre et peureux du nom de Hercule. De l’amour, elle leur en donne plus que de raison. Si elle pouvait, elle en aurait d’autres. De toutes les tailles, de toutes les couleurs, de toutes les formes. ○ Lola en veut à sa mère, depuis tant d’années qu’elle a cessé de compter. Les étiquettes l’ont lassée. Pas aussi américaine qu’elle le prétendait, il suffisait de voir sa Green Card. Et pourtant, des souvenirs, elle n’en a aucun. De là-bas, de son pays d’origine. Lola n’était rien d’autre que la mexicaine, l’expatriée, la fausse espagnole. Elle n’a cessé d’être jugée, de ne pas comprendre pourquoi on ne la considérait pas comme ce qu’elle était. Une New-Yorkaise. Elle ne cesse de reprocher leur arrivée ici, d’avoir été déracinée pour vivre sous des étiquettes qu’elle ne pouvait accepter. ○ Lola est allergique aux fraises. Elle déteste le café. Elle a toujours des bonbons à la menthe dans son sac à main. Elle fait des listes, de peur d’oublier alors qu’elle a pourtant une excellente mémoire. Elle réfléchit trop, est trop souvent indécise et se perd dans des pensées désordonnées. Lola a le rire facile. Elle a appris à jouer du piano toute seule, sur un coup de tête. Elle cuisine plutôt bien, même si elle ne fait jamais rien de compliqué.

(l’histoire)
INTO THE UNKNOWN
Elle n’en gardera aucun souvenir, de ces paysages qui se dessinaient sous ses yeux. Ce sera la dernière fois qu’elle les verra. Ce sera la derrière fois qu’elle foulera les terres qui l’avaient vu naître. Lola n’était qu’une enfant, incapable de comprendre ce qu’il se passait réellement. Incapable de mettre des mots sur ce qu’ils faisaient tous. Elle n’aurait jamais pensé que c’était pour le mieux, que c’était ce qu’il fallait. Lola n’en savait rien, elle ne faisait que suivre le mouvement. Fuir le pays pour une nouvelle vie. Trop jeune même pour comprendre que jamais plus elle ne reverrait celui qu’elle appelait Papa, qu’elle n’en garderait que des souvenirs vagues grâce à une vieille photo conservée précieusement. Lola ne savait pas encore combien les discriminations pourraient la toucher, elle mais toute sa famille également.

ALL I WANT IS A GOOD GUY
Il y a ces moments dans vie qui marquent plus que les autres. Ou peut-être qu’elle a voulu le voir ainsi, Lola. Elle a souvent imaginé, rêvé, pensé à ce jour où elle pourrait croiser son chemin, un peu trop bercée par les romans d’adolescentes et les dessins animés. Trop optimiste pour ne pas voir l’envers du décor. Elle l’a vu à la sortie d’un cours. Un nouveau venu, venu de loin - comme elle, d’une certaine façon - d’après les quand dira-t-on. A peine plus vieux, beaucoup plus beau. On a dit qu’il s’appelait Teddy, Theodore. Il venait de Memphis, une mutation. On en a tant dit à son sujet que Lola, elle n’a plus su ce qui était vrai ou non. On a surtout fait rêver tout le monde, toutes les filles du lycée surtout. Teddy, il a représenté la fraîcheur, l’élève à amadouer. Elles ont tout essayé pour l’approcher, pour lui décrocher un sourire, pour le séduire. Sauf Lola, toujours dans l’ombre. Toujours en retrait. Suffisamment loin pour observer le défilé de la concurrence. Elle n’aurait eu aucune chance. Le destin a eu raison de l’attente, de l’observation et du fantasme qu’il avait fait naître. Lola avait finalement eu la chance de se retrouver en binôme avec lui, pour un exposé important. De quoi griffonner les pages de ses cahiers de Teddy + Lola sans jamais se lasser. Lui, il est resté fantasme inavoué, parce qu’elle, elle n’a jamais osé le lui dire. Elle l’a aimé longtemps, jusqu’à s’en brisé le cœur.

FLYING ON MY OWN
Ils avaient tous des rêves plein la tête. Certains avaient voulu Harvard, d’autres Brown. Lola, elle, elle rêvait surtout de Broadway. Elle dansait déjà depuis longtemps, elle chantait, depuis autant de temps - et même dans la chorale - elle avait rejoint la troupe de théâtre du lycée. Elle avait l’art au bout des doigts, la musique dans le sang et l’envie de briller toujours plus. Des rêves, Lola en avait, mais ils étaient bien différents de ceux des autres. Médecine, ce n’était pas pour elle. Droit, encore moins. Littérature, sociologie, psychologie, rien ne l’intéressait plus que la scène. Lola a étudié à Columbia, grâce à une bourse durement obtenu. Elle est entrée à l’université, pleine d’espoir pour son avenir. Elle a choisi d’étudier la danse, le théâtre et la musique, aussi. Pour se donner les chances de réussir. Son ambition était forte, trop sans doute. Lola voulait prouver ce qu’elle valait, quitte à se brûler les ailes. Elle voulait que sa famille soit fière, montrer à tous qu’elle pouvait y arriver.

LOVING YOU HAD CONSEQUENCES
Nouvelle crise de larmes, nouvelle déception. Elle a fini par cesser de les compter. Incapable de choisir les bons hommes. Hugo, Samuel, Julian, Trent, Brett. Et la liste pouvait continuer ainsi, encore trop longue. Au fond, ça n’avait jamais été très loin. Parfois quelques rendez-vous, quelques promesses puis rien. Parfois quelques mois, quelques projets. Puis rien. Alan a été le dernier en date. Et si les autres avaient été idiots, ils n’avaient jamais osé aller jusque-là. Lola a eu droit aux excuses sans fondement. Des c’est pas toi, c’est moi. Des t’es trop bien pour moi, tu trouveras mieux. Du manque de sentiments, passion ou flamme - ça dépendait de l’homme. Du besoin de se recentrer. Du plus direct, sans passer par la case délicatesse. Lola a connu les déceptions amoureuses en plusieurs volumes. Une encyclopédie, sans vraiment exagérer. Peut-être parce qu’elle s’attache trop, trop vite. Et Alan, il a eu le meilleur trophée. Celui du salaud. Lola l’a surpris avec une autre. Une fois. Elle a pardonné. Et il a recommencé. Plusieurs fois, trop de fois. Elle s’était pourtant persuadée que c’était le bon.

WILD HEART CAN’T BE BROKEN
On lui avait encore fait la remarque. Encore une fois, on lui avait dit qu’elle ne ferait pas l’affaire. Trop mexicaine, qu’on lui avait rétorqué. Lola ne correspondait pas, elle n’irait pas. Elle leur avait hurlé qu’elle était d’ici, qu’elle avait grandi ici. Probablement même qu’elle connaissait mieux cette ville que n’importe qui d’autre. On lui avait désigné la porte, sans un mot. Lola en avait assez. Trop à fleur de peau. L’annonce officielle de la mort de son père l’avait bouleversée. Personne ne l’avait cherché, au fond. Peut-être qu’il n’était pas mort d’ailleurs, Lola n’en saurait jamais rien, incapable de se souvenir de lui ou même du son de sa voix, de mots qu’il lui disait avant de dormir ou de son sourire. Lola ne s’en souvenait pas. Comme elle ne se souvenait pas de ce pays qui avait été le sien, un jour. Un jour lointain. Lola s’est toujours sentie américaine, quand bien même elle était obligée d’avoir une Green Card pour ça. Elle lui en voulait si fort, à sa mère, de l’avoir obligé à partir, de l’avoir privée d’une vie qu’elle croyait sans discrimination - bien loin d’entendre qu’elle l’aurait subi au Mexique aussi, trop espagnole cette fois. Elle lui en voulait tant qu’elle en provoquait des tensions, des crises auprès de ses aînés. Ses reproches ne devraient pas, c’était mieux pour eux. C’était comme ça. Pour leur sécurité. Discours qu’elle n’entendait pas, tant elle en voulait d’être aujourd’hui encore discriminée pour des origines sur le papier.


I’LL NEVER LOVE AGAIN
Il paraît que l’on ne s’en remet jamais réellement. Lola a été heureuse un instant. Un an, finalement. On lui a dit qu’elle avait précipité les choses. Et c’était vrai. Il paraît qu’on ne se relève jamais, de cette déchirure à la poitrine. Lola a eu le coeur brisé une énième fois. Non, je ne peux pas. Désolé. Les mots continuent de résonner dans son esprit. Elle a cru à un rêve, s’est pincée et a réalisé. Des larmes plein les joues, des rêves envolés et un coeur en morceau. Elle l’avait rencontré après une nouvelle déception. Le hasard, avait dit quelqu’un. Un beau hasard qui lui a permis d’y croire à nouveau - encore une fois. Lola a espéré que tout soit différent. Tout a été soudain, spontané. Jusqu’à cette demande, genou à terre, devant des milliers de gens. Lola ne s’y attendait pas. Il a demandé sa main lors d’un match de baseball. Petit coup monté de sa part, filmé sur la caméra centrale. Des larmes de joie, un grand oui et une sublime bague à son doigt. Lola a vécu le rêve ultime. Non, je ne peux pas. Désolé. Elle n’avait pas compris, elle n’a jamais eu d’explication. Il s’est enfui, devant familles et amis. Il l’a plantée devant l’autel, sans se retourner. Elle ne l’a même pas revu après ça, incapable de le regarder en face. La lune de miel non remboursable, elle l’a passée avec ses meilleures amies. Les cadeaux de mariage ont retrouvé le chemin des magasins, les remboursement celui des acheteurs. Les lettres de félicitations jetées. Les dizaines de mails d’excuses envoyés dans les courriers indésirables. Et la bague, toujours sur le porte bijou, comme pour lui rappeler de ne jamais plus commettre d’erreur.

NEVER ENOUGH
La honte l’a envahie. Elle n’avait pas prévu d’en arriver là. Des rêves plein la tête, des projets en pagaille et le néant. Lola a eu l’esprit trop vif, avec ses espoirs de gloire. Aujourd’hui, fauchée. Loyers en retard, factures impayées. Elle n’aurait jamais cru en arriver là, en choisissant ses rêves à la sécurité. Lola, pourtant, elle aurait dû se résigner. Toujours doublure, jamais de rôles. Toujours là, avec l’espoir malsain que l’actrice se blesserait et qu’il lui faudrait la remplacer. Ça n’arrivait quasiment jamais. Elle n’avait pas le succès espéré. Lola ne pouvait nier, elle commençait à paniquer. Ses soucis financiers, elle préférait ne pas en parler. Ni à ses amis, ni à sa famille. Encore moins à sa famille. Lola a tenté, espéré. Elle a commencé à travailler comme serveuse, comme pianiste. En attendant la gloire. Lola est définitivement dans le rouge. Lola, elle n’aurait jamais cru devoir faire ça. Tenter le tout pour le tout, gênée et incertaine de ce qu’elle faisait. Devenir mère porteuse pour de l’argent. Elle n’a rien dit. Pas tant qu’elle ne sera pas enceinte, de peur de revenir sur sa décision sous le regard de ses proches.



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lili/alicia ꕥ 26 ans
fréquence de rp : au moins une fois par mois ϟ fréquence de connexion : régulièrement, plusieurs fois par semaine ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 500 mots, mais je m’adapte ϟ avatar à réserver : gina rodriguez ϟ de quelle couleur sont les petits pois : qu’est-ce que c’est que cette chose ?  Arrow  ϟ comment avez-vous connu 99 ? une petite voix m’a soufflé l’adresse. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c’est certain, je vous aime déjà.  I love you
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