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3 résultats trouvés pour CinemaDuQueens

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 486 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Kal
Age: 22 dans 4 jours
Avez-vous des triggers personnels ?  don't think so
Avatar à réserver : Anirudh Ravichander
Crédit avatar utilisé dans la fiche: moi-même
Souhaitez-vous un mp d'intégration why not, I've got nothing to lose !

Avery don't have avery-thing

Invité
14 r ; 317 v.
Sam 3 Oct - 18:26
avery mcdouglas
42 ans - bibliothécaire / receleur d'objets d'art
FEAT : jensen ackles
Avery a grandi dans un milieu modeste. A 21 ans, il perd l'usage de ses jambes, et provoque la mort de 3 de ses amis dans un accident de la route, suite à quoi il passera 5 ans à se reconstruire dans un centre médical adapté. Il est donc depuis en fauteuil roulant. A 27 ans, il obtient un poste de bibliothécaire qu'il occupe encore aujourd'hui. En parallèle, à défaut de pouvoir devenir l'archéologue qu'il rêvait d'être, il devient un habitué du darknet et devient receleur d'objets d'art. Du bibliothécaire sympathique à qui on donnerait le bon dieu sans confession au receleur d'objets d'art qui vous donnera froid dans le dos, selon qui vous êtes pour lui, vous verrez l'une ou l'autre des personnalités.
who am I
ꕥ âge : 42 ans
ꕥ nationalité : Américaine
ꕥ ethnie/origines : Allemandes, Irlandaises & Anglaises
ꕥ orientation : bisexuel
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : Bibliothécaire officiellement, receleur d'objets d'art officieusement
ꕥ quartier : Downtown
ꕥ qualités : intelligent, parle rarement pour ne rien dire, fait bonne impression en général, rusé, professionnel, courageux
ꕥ défauts : manipulateur, peut être très froid ou paraître distant surtout en affaires, ne se laisse pas marcher sur les pieds
ꕥ passions : geek ; antiquités ; histoire
ꕥ groupe : I need help
ꕥ communautés : {#}DriveSafe{/#} {#}TheLostPlanet{/#} {#}CinemaDuQueens{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ mp d'intégration : Vous imaginez bien que ça me serait très utile sifle

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Idem que pour Sirius

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Harry Potter
ꕥ un film : Me Before You
ꕥ une série : Prison Break
ꕥ une chanson : Happy
ꕥ un animal : Chat
ꕥ un plat/dessert : Mousse au chocolat
ꕥ une boisson : Coca cola
ꕥ une célébrité : Jensen Ackles
ꕥ un pouvoir magique : Voler

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : comme sirius


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...A l’âge de 21 ans, il a un accident de voiture alors qu’il était au volant en rentrant de soirée. Il n’avait pas bu, pourtant. Ses trois amis y perdent la vie. Seul survivant, il y perd l'usage de ses jambes dans lesquelles il n’a depuis plus aucune sensation.
Ses espoirs de faire de grandes études et de devenir archéologue s’envolent alors qu’il est contraint de passer 5 années dans des centres médicaux, à la fois pour rééduquer son corps, s’habituer à cette nouvelle vie, et surtout se pardonner d’avoir été la cause de la mort de ses amis.
A 26 ans, sa jeunesse s’est envolée et il ne sait plus exactement quoi faire de sa vie. Il vit un certain temps chez ses parents mais n’aime pas du tout la sensation d’être un fardeau. C’est quand sa mère tombe malade, trop fatiguée à force de s’occuper de lui, qu’il décide qu’il est vraiment temps de se prendre en main et de faire quelque chose.
Sa mère s’en remettra quelques mois plus tard, et lui décide alors de prendre son envol. A partir de là, il refusera qu’on voit son handicap comme une faiblesse et voudra montrer au monde qu’il est comme tout un chacun, qu’il est capable d’accomplir ce qu’il veut quand il veut. Son caractère s’endurcit et il n’accepte plus qu’on le plaigne.
N’ayant que son diplôme d’études secondaires en poche, il est difficile pour lui de trouver un emploi dans un premier temps. Il songe à refaire une formation, mais les moyens financiers de ses parents étant assez limités – et les siens encore plus – ceci n’est pas possible. On l’embauche bientôt à la bibliothèque centrale de New-York. Un boulot bien planqué qui ne lui demande pas beaucoup de capacités.
Autodidacte, il se met à lire, beaucoup. Il se perfectionne en informatique aussi, jusqu’à découvrir le dark net, qui deviendra bientôt sa nouvelle maison. De fil en aiguille, il fait la connaissance de personnes peu fréquentables, de ceux qui pourront l’aider financièrement et sa passion pour les objets et l’art ancien venant se greffer à tout cela, il devint receleur d’objets anciens. Il faut dire qu’avec son handicap et sa bonne bouille, il a la tête parfaite du mec innocent qu’on ne soupçonnera jamais, et c’est clairement un bon point. Les années passent et il commence à se faire un nom et une réputation dans le milieu. On ne connait pas sa véritable identité, évidemment, mais son pseudo ‘Le Sphinx’ est sur toutes les lèvres.
Mais si vous le croisez dans la rue, vous ne verrez rien de cet homme. Vous ne pourrez apercevoir qu’un individu lambda que tous ignore, quelqu’un sans histoire qui continue à mi-temps son travail à la bibliothèque depuis toutes ces années, pour sauver les apparences... Au mieux, vous vous attacherez à cet homme qui semble très drôle et attachant au premier abord, mais qui est intransigeant et hyper professionnel en affaire. Il y a l’homme public, et le receleur, celui qu’on connait, et celui qu’on ne peut connaitre.



this session is gonna be different
june ꕥ 29 ans
fréquence de rp : 1 / 10 jours ϟ fréquence de connexion : tous les jours ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? moins de 500 mots, voir réponses très courtes (200/300 mots) ϟ avatar à réserver : Jensen Ackles ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Vert orangé ϟ comment avez-vous connu 99 ? no comment ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Tag cinemaduqueens sur I've got 99 problems 2881807329 Tag cinemaduqueens sur I've got 99 problems 2881807329
tumblr (gif) solsken (avatar)

u say wot m8 ? - Sen Kovács

Invité
12 r ; 887 v.
Mar 2 Juin - 22:13
Senji Kovács
27 ans - Cinéaste
FEAT : Joji Sen il est né le 29 septembre 1992, à Buenos Aires, d'une mère japonaise professeure de mathématiques et un père hongrois informaticien. C'est lorsque sa mère a eu l'opportunité de venir travailler à New York, dix ans plus tard, que toute la petite famille s'est installée dans le Bronx.
Le petit Senji, il a d'abord eu du mal à trouver sa place, c'était le petit nouveau et en plus il était pas vraiment comme les autres, il était différent , il le voyait, et certains de ses camarades lui faisaient bien comprendre. En grandissant il a apprit a ne plus prêter attention à ceux qui lui reprocher sa différence et à se rapprocher de ceux qui l'appréciait.
Ce qu'il aime Sen c'est le cinéma et le hip-hop. Alors des fois il rappe, quand l'envie lui prend, mais surtout il réalise ou joue. Tout petit déjà il aimait se donner en spectacle devant la caméra de son père, a l'adolescence il a commencé réaliser des petites vidéos avec ses potes, d'abord toutes simples puis de plus en plus poussées. Puis grâce à une bourse il a pu étudier à l'école des Arts de Columbia et d'obtenir un Master of Fine Arts. Ces études finies et après quelques clips et courts métrages, il est s'est lancé dans l'écriture son premier long.
who am I
ꕥ âge : vingt-sept ans
ꕥ orientation sexuelle : hétéro
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : tu changes de casquettes comme de slip, réalisateur/vidéaste/acteur/rappeur tu fais un peu ce que tu veux, quand tu veux. Ahhh les joies de l'internet.
ꕥ quartier : Le Bronx bébé
ꕥ qualités : intelligent - créatif - débrouillard - franc - observateur - calme - drôle
ꕥ défauts : sarcastique - vulgaire - têtu - désinvolte - secret
ꕥ passions : {#}cinéma{/#} {#}sci-fi{/#} {#}comics{/#} {#}hiphop{/#} {#}musique{/#} {#}bières{/#} {#}nerd{/#} {#}gaming{/#} {#}tatouage{/#} {#}marijuana{/#}
ꕥ communautés : {#}elhalito{/#} {#}offthewallskatepark{/#} {#}cinemaduqueens{/#} {#}thelostplanet{/#} {#}thesaberistacademy{/#}
{#}rockyhorrorpictureshow{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ parrain : non, je devrais m'en sortir  keur

all about my player
ꕥ petite présentation perso : La première impression est toujours très importante donc il faut que je fasse ça bien. Surtout quand c'est la deuxième fois. Mais en vrai je vais vouloir trop en faire et ça va me saouler du coup je vais finir par faire a minima juste pour que ça passe. Technique qui ne fonctionne absolument pas comme le prouve mes trois premières années de fac. Et quand je dis ça j'entends vraiment que la première année...trois fois. What a Face
(Et aussi le fait que je sois allez retrouver ma fiche pour c/c cette partie)

Bref, j'ai 29 ans, et je me fais grandement chier. Du coup je me suis dit qu'il serait temps que je me remette au rp, avec cette fois-ci l'espoir de tenir un peu plus de 3 semaines ! J'y crois ! (après j'y croyais a chaque fois mais chut sifle  )
J'aime beaucoup le cinéma, la sci-fi en tout genre, les jeux de société, lire un livre tout les six mois et Wes Anderson.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Le Guide du voyageur galactique
ꕥ un film : Chevalier
ꕥ une série : Community
ꕥ une chanson : Attention - Joji
ꕥ un animal : L’ornithorynque (j'avoue j'ai pas réussi à l'écrire du premier coup)
ꕥ un plat/dessert : Les pâtes carbonara (mais avec de la crème dedans  hidebox )
ꕥ une boisson : Le thé
ꕥ une célébrité : Dave Burd
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : none

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les gens. Franchement, les gens m'énervent de plus en plus. Je veux dire, ça te coûte quoi de laisser sortir les gens du métro avant de sauter dedans ? De laisser la mamie qui a juste boite d'oeuf passer devant toi à la caisse ? Rien ? Bon ben voilà, fait le et arrête de casser les couilles. Ca me crispe au plus haut point, je vous jure. En dehors de ça, j'ai pas trop à me plaindre je dois dire

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). La clope je dirais, non pas que je fume comme un pompier mais bon je dois bien l'admettre j'ai essayer beaucoup trop de fois d'arrêter pour ne pas assumer que je suis accro. Mais je suis sur que la prochaine sera la bonne, c'est pas encore le moment par contre. Et puis il m'arrive de fumer un peu des choses plus naturelles aussi mais je ne sais pas si on pourrait parler d'addiction, c'est plus un petit plaisir personnel.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? En petit ghostage des familles. Attention j'en suis pas fier hein, mais c'est quand même beaucoup plus simple de faire le mort avant que les sentiments s'en mêlent plutôt que de finir par se faire larguer comme une merde au bout de deux mois, parce que clairement c'est ce qu'il se passe a chaque fois que je m'emballe un peu. Alors certes c'est pas très classe je le reconnais mais ca m'évite d'avoir à réécouter des trucs comme wherever you will go en déprimant pendant trois semaines après.

Le dernier texto que tu as envoyé ?"Non", pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple, efficace ? "Tu veux venir à cette soirée ou tu connaîtras pas grand monde, et la moitié sont relou ?", réponse "Non". Problème résolu. Et souvent ça clôt le débat.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ca va hein, imhotep. Alors c'est sur qu'il voudrait sans doute que je leur donne plus de nouvelles et que je vienne les voirs plus souvent mais que voulez vous, je suis un mec busy moi, genre dimanche prochain par exemple j'ai poney aquatique, déso'.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je me touche. Je me touche trop d'ailleurs, je pense qu'il faudrait que je réduise parce que j'ai lu dans un magazine que un peu c'était bien, mais que trop c'était pas bien. Alors j'essaye de réduire tu vois. A part ça, je vais voir des potes, je skate, je fais un peu de musique. Rien de bien fou quoi.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? La grosse rêche que je me suis prit en skate devant l'école quand j'avais 11 ans, je me souviens c'était un mardi. Il m'a fallu au moins 6-7 ans pour remonter sur un skate après ça.

this session is gonna be different
tuffninja ꕥ 29 ans
fréquence de rp : un à trois par semaine. ϟ fréquence de connexion : a peu près tout les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? moins de 500 je dirais pour commencer. ϟ avatar à réserver : Joji  cutie . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour. et cette fois-ci pour plus longtemps qu'un mois je l'espère  hidebox
tumblr (icon) childish (avatar)

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