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9 résultats trouvés pour LGBT

Quand on l'attaque, l'empire contre-attaque (Joseph)

Invité
8 r ; 322 v.
Mar 27 Juil - 9:42
Joseph Attar
Just small daddy issues
ID CARD
{@=902}Joseph Attar{/@}
55 ans - prof d'histoire
FEAT : Alain Chabat
Joseph a 55 ans et est prof d'histoire au lycée de Staten Island, il a grandi en France et ses parents sont algériens. On vous le décrira comme un prof fantasque qui fout un peu le bordel, mais qui fait tout pour faire passer sa passion aux élèves. Il est toujours dans la bienveillance avec les autres et est prêt à aider n'importe qui. Joseph plaisante, beaucoup, il fait du théâtre aussi et aime regarder un bon film au cinéma. Il a un côté un peu geek puisqu'il est fan de Star Wars et du MCU, ne le lancez pas sur le sujet, il risque de vous faire perdre une après-midi. Il est bon vivant et il semble sûr de lui. Joseph est divorcé depuis 11 ans. Il a découvert son homosexualité et depuis, il essaie de se comprendre, de s'accepter pour pouvoir enfin le dire fièrement. Parce que oui, il ne parle pas de ça, sauf à sa famille et à ses amis proches, il a peur que le regard des gens change. Il travaille sur lui et ses passages au LGBT Center l'aide beaucoup. Un jour, il pourra s'afficher avec un homme et trouver une vie de couple épanouie.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain, Français
Ethnie/origines : Origine algérienne
Orientation : homosexuel et homoromantique
Situation : Divorcé depuis plus de 10 ans, n’a pas vraiment eu de relation sérieuse depuis
Occupation : Professeur d’histoire au lycée de Staten Island
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités : Bienveillant, bon vivant, débrouillard, extraverti, optimiste, spontanné.
Défauts : Trop bavard, trop curieux, envahissant, fantasque, fougueux, hyperactif.
Passions : Histoire, théâtre, cinéma
Communautés : {#}Cours{/#} de théâtre du mardi soir, {#}Le{/#} lycée de Staten Island,  {#}Le{/#} cinéma du Queens, {#}El{/#} Hálito et {#}LGBT{/#} Center Manhattan




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Mon plus gros problème ? Je n'ai même pas besoin de chercher bien longtemps pour trouver une réponse à cette question. Je voudrais ne pas avoir de problème, pouvoir dire que tout va bien dans ma vie et qu'il n'y a que des petits trucs qui me tracassent. Ce n'est pas le cas. Mon plus gros problème c'est mon homosexualité, pas le fait que je le sois, non, le fait que je ne l'assume pas totalement, que je ne l'accepte pas totalement même. L'homophobie est tellement ancrée dans mon éducation que j'ai encore du mal à accepter que je ne pourrais pas reproduire le schéma standard. D'ailleurs, qui a décidé de ça ? Qui a décrété que pour être heureux dans la vie il fallait un homme et une femme, des enfants et un chien dans une grande maison avec jardin ? Pourquoi c'est ça la famille parfaite ? C'est stupide, mais j'ai longtemps cru que c'était ça la vérité. J'ai reproduit ce schéma, j'ai eu une femme, magnifique, parfaite, des enfants et une maison avec jardin. Pas de chien par contre. Et puis, il y a 11 ans, je me suis rendu compte que ça ne me convenait pas. Les femmes sont belles, intelligentes, fortes, mais je préfère les hommes. Maintenant, je suis divorcé et je ne parle qu'à mes amis proches et à ma famille de mon homosexualité. Les autres n'en savent rien parce que je n'arrive pas encore à assumer ça complétement. Peut-être qu'un jour, à force d'aller au LGBT Center, je pourrais dire fièrement que je suis gay.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). J'aime bien les questions de ce genre, c'est plus léger, moins déprimant. Comme tout le monde, je pense, j'ai quelques addictions, tout d'abord je dirais le cinéma et le théâtre. Si je ne fais pas de théâtre dans la semaine, il me manque quelque chose, j'ai besoin de m'exprimer au travers d'un personnage, de jouer, de faire rire les gens. Et puis, je suis aussi addict à mon boulot si c'est possible. Faire rire les gosses et leur apprendre toute l'histoire d'un pays et même du monde plus largement, j'adore ça. Voir leurs yeux s'illuminer quand ils ont compris un truc, le grand sourire qu'ils ont en recevant un A, tous ces trucs là, je pourrais pas vivre sans. J'aime bien trop aider les gamins, leur montrer qu'ils sont meilleurs que ce qu'ont leur faire croire, les aider à s'affirmer. Et puis, j'essaie toujours de rendre mes cours plus intéressant alors je débarque habillé en Roosevelt ou en Kennedy, on refait des batailles de la guerre de sécession et je m'amuse.

Est-ce que je peux dire que je suis addict à la connerie ? Parce que si c'est le cas, je le dis sans hésiter, j'aime blaguer, faire le pitre, poser mille questions et rire.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Si on parle d'une relation sérieuse, par un divorce. Quand j'ai avoué à ma femme que je pensais être gay, on a pris quelques temps pour réfléchir, voir ce qu'on voulait faire de la situation et on a décidé que le divorce était la meilleure option. J'en ai parlé à mes enfants aussi, lea plus jeune a eu un peu de mal, iel comprenait pas trop pourquoi ses parents se séparaient, mais on a bien pris le temps de lui expliquer tout ça. C'était important pour moi que mes enfants vivent bien ce changement dans leur vie. Mon homosexualité a impacté tout le monde, ça a été dur au début, surtout parce que j'étais paumé, mais je suis toujours en contact avec mon ex-femme. On est en bon terme et on a fait une garde alternée pour les enfants, et puis, on les a aussi laissé choisir ce qu'ils voulaient faire quand ils ont été assez grands, ils ont le droit de choisir.

Sinon, depuis je n'ai pas eu de relation très longue ou très sérieuse. En fait, tant que je n'arriverai pas à m'accepter, je ne veux pas imposer ça à quelqu'un. Et puis, je n'ai pas trouvé la bonne personne. Il faut quand même me supporter, je suis fatiguant à force. Donc je n'ai eu que des coups d'un soir ou des relations sans nécessairement de sentiments pour découvrir ma sexualité. Par contre, j'ai l'impression de parler que de ça depuis tout à l'heure, il y a que des questions comme ça ?

Le dernier texto que tu as envoyé ? Félicitation pour ton stage ! Je suis fier de toi love A l'un de mes enfants, il faut dire que je suis vraiment fier d'eux et que je ne manque jamais une occasion de leur faire savoir.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elle est plutôt bonne, mes parents ont toujours tout fait pour mes frangins et moi. Ils nous ont toujours poussé à faire ce qu'on voulait. Le seul truc que je regrette, c'est qu'ils ne m'ont jamais parlé de la guerre d'Algérie, pourtant ça me concerne un peu, je suis algérien moi aussi. Ils m'ont jamais parlé non plus de ce qu'ils ont vécu en tant que juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale. J'ai très vite compris que c'était un sujet sensible, alors j'ai tout simplement cessé de l'aborder. Ils faisaient déjà tellement pour qu'on arrive à trouver une place en France et pour qu'on soit heureux. Mon enfance a été bruyante, pleine de couleurs, de goûts et d'odeurs agréables. Je courrais dehors avec mes frères et sœurs, je rigolais, je m'amusais, c'était tellement bien. Mes parents ont toujours eu ce regard bienveillant et si doux pour nous. Ils nous ont appris la tolérance, autant qu'ils le pouvaient, l'écoute de l'autre et surtout l'empathie.

Mon père a eu du mal quand il a appris que j'étais gay, je redoutais tellement ce moment, mais il fallait bien que je le dise à mes parents, à ma famille, ils avaient le droit de le savoir. Il n'a rien dit, s'est muré dans le silence pendant quelques jours. Ma mère me disait qu'il avait besoin de temps, alors je lui en aie laissé. Après on a eu une grande discussion, je l'ai rassuré, lui ai dit que j'étais toujours le même, que c'était pas mon orientation sexuelle qui allait me changer. Je crois que je n'y croyais pas moi-même à ce moment-là, mais il avait besoin de l'entendre. Depuis, il l'accepte mieux, d'ailleurs, on parle de ça beaucoup plus librement maintenant. Je sais que je peux compter sur eux, qu'ils me soutiendront quoiqu'il arrive.

Ils sont vieux, mes parents, je les vois pas souvent, je fais toujours en sorte de revenir en France pendant les fêtes et on s'appelle, mais parfois ils me manquent. J'ai l'impression de passer à côté de plein de choses, bientôt ils ne seront plus là et je n'aurais pas pu profiter à fond d'être avec eux.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je pense que ça vous avez pu le deviner avec la partie sur mes addictions. Je vais au théâtre, pour jouer ou pour être le spectateur. D'ailleurs, tous les mardi je vais à des cours et je m'amuse tellement. Je vais au cinéma aussi, beaucoup, je suis fan de Star Wars et du MCU et je peux me vanter d'avoir vu tous les Star Wars au cinéma ! D'ailleurs, le cinéma m'a pas mal aider à mieux maitriser l'anglais, je regardais les films en VO avec des sous-titres. J'aime bien aussi d'autres type de films, sur l'histoire, quand même il faut bien, des comédies aussi et surtout les comédies françaises à l'humour absurde. Il y a un truc dans ses films là, j'ai essayé d'écrire des scénarios de ce genre, mais sans succès, j'ai pas leur talent et puis je me décourage un peu trop vite.

Pour finir, je fais partie de quelques assos, El Halito tout d'abord, pour aider les plus jeunes. J'aime bien donner des conseils, faire des cours d'histoire improvisés et plein d'autres choses comme ça. Et je vais au LGBT Center, pour m'éduquer d'une part, mais aussi pour aider d'autres qui passent par les mêmes étapes que moi. J'essaie toujours de faire comprendre aux gens qu'on ne doit pas les voir différemment à cause de leur orientation sexuelle. Je ne crois pas ça moi-même, mais je me dis qu'à force de le répéter à d'autres, je pourrais me dire que c'est vrai pour moi aussi. C'est très bizarre parce que j'arrive à être très détaché de tout ça si ça concerne quelqu'un d'autre, mais quand c'est pour moi, je fais une fixette et j'ai l'impression que le regard des autres va changer, que tout va devenir différent. C'est pas faux, mais ça devrait pas être le cas. Je pense qu'on devrait tous pouvoir vivre comme on l'entend sans que les autres n'aient à donner leur avis. C'est plus dur que ça. J'en ai un peu marre de ne pas réussir à appliquer ce que je pense vrai pour moi-même, mais je travaille sur moi et ça devrait le faire. De toute façon, je serais toujours le même gars un peu bruyant, qui fait des blagues et qui part trop loin dans les conneries.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Elle n'est pas facile cette question, j'ai pas nécessairement envie de vous raconter ça. Mais bon, vous demandez, je vais y répondre. Alors, c'est un peu vieux, ça date de quand je passais l'agrégation d'histoire en France. J'avais réussi les écrits sans trop de problèmes et il ne me manquait donc plus que les oraux pour mettre ce concours totalement derrière moi. L'une des épreuves consistait en la réalisation d'une leçon d'histoire devant un jury suivie d'un court entretien. Jusque là, ça va, j'avais bien préparé la méthode, je savais ce que je devais faire et de toute façon je m'étais bien entrainé dans l'année. J'arrive devant le jury, déjà je manque de trébucher, j'étais stressé, ça reste un moment important. L'épreuve se déroule bien, j'échange bien avec le jury et je vais pouvoir repartir. Juste à côté de la porte il y avait une petite poubelle, j'ai marché dedans, littéralement marché dedans. J'ai mis bien trente seconde à ressortir mon pied, j'étais mortifié. Ça a bien fait rire les jurys et j'ai quand même eu mon agrég donc tout est bon, mais c'était gênant sur le moment.

Après, je dois avouer que j'ai déjà raconté ça à certaines de mes classes pour essayer d'en détendre certains qui devaient passer au tableau. En général ça marche plutôt bien.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Seung / Salomé
Age: 22 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Harcèlement, maltraitance animale
Avatar à réserver : Alain Chabat, le seul, l’unique
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Valtersen
Souhaitez-vous un mp d'intégration No I'm good love

Zhaleh | I'll let you love me

Invité
18 r ; 1021 v.
Sam 2 Jan - 19:28
Zhaleh Tabrizi
I need help
ID CARD
{@=797}Zhaleh Tabrizi{/@}
38 ans - Journaliste
FEAT : Golshifteh Farahani

Zhaleh est une femme iranienne musulmane. Elle est tout de même une femme moderne, cherchant son orientation sexuelle et tente de comprendre tout ce qui l'entoure. Elle déteste qu'on lui parle de quelque chose qu'elle ne connaît pas et s'empresse la plupart du temps à faire des recherches sur tout et n'importe quoi, de la série Games of Thrones à de plus gros enjeux comme les opposants politiques. Elle semble assez autoritaire, mais elle est une femme solaire malgré ce qu'elle a pu voir et vivre. Elle a perdu ses parents biologiques vers l'âge de six ans après la guerre imposée (Iran-Irak) et si leur souvenir deviennent flous, elle a un carnet qui appartenait à son père qui lui a apprit la relation amoureuse entre lui et Levi, l'homme à l'appareil photo comme elle l'appelait. Anciennement journaliste indépendante en Iran, elle s'est installée aux Etats-Unis il y a presque un an. Elle a obtenu un poste dans un journal moins engagé qu'elle le désirerait, mais il lui a été plus facile de prolonger son visa en ayant un contrat assuré pour au moins les deux prochaines années. Elle compte néanmoins se faire un nom dans le domaine du journalisme pour retrouver ses combats sur le féminisme, l'immigration et autres causes qu'elle soutient ardemment. Elle consulte actuellement un psychologue qui l'aide à gérer son passé et sa façon bien étrange d'aimer les autres. Elle est une femme qui idéalise rapidement les gens qui l'entoure et l'empêche de voir les lignes fragiles entre l'amitié, l'idole et l'amour. Elle tente de comprendre ce besoin qu'elle semble avoir de partager les passions de ses partenaires. Elle a beau être une femme au caractère fort et à l'assurance impressionnante, elle varie souvent ses goûts selon la personne qu'elle fréquente, une certaine façon de se rapprocher d'eux et de faire en sorte qu'elles ne l'abandonnent pas.      

QUICK AND DIRTY
Nationalité : Elle ne le cache pas, Zhaleh est iranienne. Elle a un visa qui lui permet d'habiter et travailler temporairement aux Etats-Unis. Elle trouve parfois les démarches administratives contraignantes et commence à penser rester sur le sol américain de façon permanente.  
Ethnie/origines : Elle avait beau ignorer plusieurs choses sur ses parents biologiques, elle sait cependant que son arbre généalogique n'est pas aussi complexe que plusieurs. Elle est iranienne tout simplement. Si elle ne se rappelle pas clairement, elle se souvient que du côté maternelle, ils étaient kurdes comme plusieurs autres habitants de son village. Elle n'est plus aussi attachée à ce côté musulman sunnite traditionnel, car Doreh, sa mère avait su s'en détacher en rencontrant son père plus ouvert d'esprit et sa famille, seulement, il faut dire que vivre selon une culture pendant une trentaine d'années, ça laisse des traces et des idées préconçues, même si elle n'aime pas l'avouer.   
Orientation : Elle a du mal à choisir quoi dire et semble plutôt éviter le sujet pour l'instant, car depuis son arrivée aux Etats-Unis, elle se rend compte que tout ou presque tout est possible. En Iran, la question de l'homosexualité est encore tabou et si elle s'est toujours convaincue qu'elle était simplement regardante sur le physique de jeune femme pour mieux leur ressembler ou par jalousie, il est vrai que maintenant elle se pose des questions, et si elle n'était pas qu'hétérosexuelle? Elle sait très bien qu'elle a de la misère avec le sens du mot aimer et la frontière entre l'adoration et l'amour lui échappe totalement.  
Situation : L'occasion qu'on lui passe la bague au doigt est arrivé à de nombreuses reprises, plusieurs inconnus, quelques amis d'enfance dont les parents imaginaient pouvoir la voir devenir une femme épanouie, mais la solitude lui a toujours convenu. Elle avait assez de travail et de cause à défendre sans devoir à défendre son statut social.  
Occupation : Elle était autrefois une journaliste indépendante en Iran, ça ne lui faisait pas gagner beaucoup d'argent, mais elle a finalement pu s'offrir son billet pour l'American Dream qui la fait pour l'instant un peu désenchantée. Elle a d'abord chercher à joindre des équipes de journalismes engagés avant d'accepter un poste dans un journal moins centré sur le féminisme ou le militantisme qu'elle le voudrait et dont elle fait preuve quotidiennement.  
Quartier : Elle vit dans le Queens, elle paie d'ailleurs le loyer grâce au travail qu'elle fait et quelques petits services qu'elle peut rendre aux voisins, garder les enfants, repasser un peu de vêtements, arroser les plantes ou garder les animaux de compagnie en leur absence et quelques fois le ménage lorsqu'il le faut. Elle aurait certainement dû s'installer au Bronx vu son budget, seulement, elle trouve le calme qu'il lui faut ici. Elle s'habitue aux bruits avoisinants, mais il lui est encore difficile de se retrouver dans des endroits où elle pourrait entendre des coups de feux et autres bruits qui l'effrayent.

and what else ?
Qualités : Zhaleh est solaire - forte - sûr d’elle - a une capacité de travail hors norme - combative - indépendante - honnête - activiste - empathique et optimiste.
Défauts : Zhaleh est aussi autoritaire - obstinée - têtue - impulsive - hypersensible - envahissante - pointilleuse; elle cherche la petite bête - manque de tact - peine à comprendre les coutumes, mais elle tente de s'intégrer et trop franche.
Passions : Depuis son enfance et sa rencontre avec Levi, la {#}littérature{/#} est devenue une passion. Elle s'intéresse à la {#}culture-générale{/#}, car elle déteste ne pas connaître ce dont on lui parle et elle s'est découvert une passion pour {#}lesplantesvertes{/#} et la botanique.
Communautés : Elle commence à se documenter à l'aide de personnes bénévoles du {#}LGBT{/#}, elle fait de la boxe au {#}The{/#} Lift pour garder une santé mentale de fer et elle compte se joindre au {#}club{/#} de lecture du Queens. Elle a aussi envie de joindre en tant que bénévole quelques causes qui lui tiennent à coeur ; {#}El{/#} Halito et {#}Orphans{/#} and their angels.






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

Ses souvenirs font souvent surface une fois qu'elle a les yeux fermés. Parfois, elle se souvient d'un détail qui semble minuscule, alors que d'autres fois, elle a l'impression de retrouver l'essence de ses parents, même si elle les a malheureusement très peu côtoyés. Elle peut parfois revoir des images qui lui avait justement fait fermer les yeux plus jeune. Elle a vu des scènes qu'elle ne décrit rarement si ce n'est jamais, car c'est un tue l'ambiance comme elle dit. Si elle sait très bien que ses images sont fortes et cauchemardesques, elle sait que son inconscient ne les a pas amplifiés. Après tout, même son esprit ne pouvait être aussi tordu, aussi dévasté que cette ville en ruine. Bombardée, comme ses repères. Cependant, elle se demande parfois si elle n'a pas recréer elle-même l'image de ses parents. Elle se fie maintenant davantage au carnet d'écriture de son père qu'elle possède encore qu'à ses souvenirs lorsqu'ils s'agit de sa mère, Doreh et son père, Atash. Son carnet lui a confirmé certains faits, souvenirs et a aussi complètement bouleversé sa vie. Comme quoi de simples phrases peuvent tout changer.

*
                                         
Sarpol-e Zahab, 1987. Ses parents. Ils étaient deux exemples de vies pour elle. Un cocon qui semblait si solide et s'avéra plus vide qu'elle ne l'avait cru. Les temps étaient difficiles, la guerre éclatait entre l'Irak et l'Iran, mais la petite ne comprenait pas. Elle tentait pourtant du mieux qu'elle le pouvait, mais comment une gamine de cinq ans pouvait comprendre une guerre politique si complexe? Même avec toute la volonté du monde, elle ne put comprendre que plus tard et un moindrement par ce qu'Atash ou même Levi voulait bien lui confier. Elle l'appelait par son prénom seulement lorsqu'elle voulait l'aborder directement, sinon elle le surnommait l'homme à l'appareil. Elle ne le savait pas encore, mais cet homme, il allait rester dans sa mémoire même une trentaine d'années plus tard. Elle lui confiait le moindre petit secret et si au début elle avait eu peur qu'il ne dise quoi que se soit à ses parents, il gagna rapidement sa confiance. Elle lui montrait la moindre petite chose qui pouvait la faire sourire et en échange, il lui apprenait le goût de la lecture, l'anglais et lui montrait les nombreuses photos qu'il avait su capturer. Un instant volé à ces personnes qui n'étaient certainement plus en état de montrer leur combativité comme il le faisait sur le champ de bataille. Se pouvait sembler sombre, mais elle savait que dehors, ça pouvait être dangereux, il fallait être prudent.

Même si Doreh et Atash veillait à ce que la petite ne soit pas aussi exposé à la guerre, ils savaient qu'elle était bien trop curieuse pour ne pas essayer de comprendre. Après tout, fille de deux enseignants et enfant unique, elle n'avait qu'une chose que ses parents avaient encourager le plus naturellement du monde : sa soif d'apprendre. C'était avec les yeux pleins de lourdeurs parfois qu'ils la regardait grandir dans cette ambiance, mais aussitôt que les yeux de l'enfant commençaient à les scruter, leur joie de vivre refaisait surface. Elle avait besoin de sourire, de regards apaisants, disait Doreh. Ils voulaient impérativement faire comprendre à leur petite "rosée matinale" que la vie ressemblait malheureusement à un front. Il fallait trop souvent se battre pour acquérir ce qu'elle voudrait plus tard. Même Levi, cet homme à la couleur de peau si pâle et aux yeux si clairs, lui avait dit de nombreuses choses qu'elle ne pouvait croire possible lorsqu'elle y repensait lors de son adolescence et d'une grande partie de sa vie en Iran.

Elle aurait voulu figer le temps. Ne pas les voir disparaître, ni ses parents, ni cet homme tout juste sorti d'un autre pays.

*

Sarpol-e Zahab, 1990. La fin de la guerre avait sonné il y avait déjà presque deux ans, seulement tellement de choses c'était produit depuis ce moment. La joie avait finit par quitter le nid un peu à la fois, pour finalement la laisser seule. Le premier a quitter le foyer fut Levi. Il avait beau avoir vécu une seule année sur le canapé familial, il était devenu le seul à qui Zhaleh donnait toute son attention. Il était parti et elle n'avait pas comprit. Elle savait que c'était dangereux dehors et qu'il ne devait pas toujours se mettre en danger pour capturer des images comme l'avait dit Atash, mais elle ne comprenait pas pourquoi il ne pouvait pas simplement rester ici sans devoir prendre le peu de bagage qu'il avait. Ensuite, ce fut le tour de son père. Atash, homme de conviction qui avait réussi à ne pas prendre les armes contre les Irakiens, avait été mobilisé en 1988.  Elle avait senti l'inquiétude et la tristesse l'assaillir tout comme Doreh, qui plusieurs semaines plus tard, avait ouvert la porte et était partie à la recherche de nouvelles de son époux. Malheureusement pour Zhaleh, il n'avait pas survécu à l'opération Mersad et Doreh ne reviendrait certainement jamais.

Elle avait passé des jours seule, sans sa mère ni son père. Quelque chose lui tenaillait l'estomac, si au début c'était parce qu'elle avait peur, les jours suivants, elle commença à entendre hurler son estomac qui ne couvrait malheureusement pas les cris et les sifflements, les ricochets de toutes les armes utilisées dans les villages avoisinants et tout près de Sarpol-e Zahab. Elle se couvrait les oreilles, mais les vrombissements lui traversait le corps, tout comme la ténacité de sa faim. Elle restait hydratée et une fois les assauts terminés, elle se décida à trouver quelque chose à manger, sa réserve de sohan finit depuis belle lurette. Elle s'était recroquevillé sur son canapé durant tout ce temps, et lorsqu'elle traversa le seuil de sa porte, elle vit tous les enfants qui venaient parfois demander des explications à Doreh ou Atash plantés là, comme elle l'était en ce moment, comme si une quelconque force avait arraché les parents de leur village. La mobilisation des pères pour plusieurs et des mères qui avaient protégés plusieurs enfants sans y parvenir. Plusieurs pilliers étaient là, choqués, trop jeunes, mais tout de même en âge de comprendre. Pour plusieurs, les genoux cédèrent, les larmes coulèrent, mais l'enfer avait déjà prit Sarpol-e Zahab dans ses filets.  

Pliée en deux, son corps essayait d'expulser une contenance qui n'existait plus. Des larmes, de la bile, elle ne savait plus. Elle était si désorientée qu'elle eut peine à gagner à nouveau le canapé sur lequel elle avait attendu. Et si elle guettait la porte qu'elle avait laissée entrouverte, ce ne fut ni le visage d'Atash, ni celui de Doreh qu'elle vit. Des collègues à ses parents, enseignants à l'école avait réussi à trouver la petite et l'avait aussitôt prit en charge. Surement une ultime demande que sa mère avait du prononcé, elle ne le saurait jamais. Elle fut simplement reconnaissante de trouver refuge chez des partisans des mêmes idéologies que ses parents. Elle entendit plus tard que l'ONU avait su aider les autres orphelins qui avaient pu survivre dans son village. Elle ne savait pas trop ce en quoi ils allaient les aider, mais il le ferait plus efficacement que ses parents adoptifs. Après tout, ils ne pouvaient pas prendre autant d'enfants à charge, ayant déjà les leur à s'occuper et à nourrir.  

*

Téhéran, 2002-2015. Officiellement adoptée, elle réussit à intégrer l'Université Shahid Beheshti où elle étudiera les sciences humaines et les lettres afin de devenir journaliste. Avec l'approbation de ses frères adoptifs et du père de famille, elle peut aller étudier sereinement sans avoir peur de représailles administratives. Cependant, elle sait qu'elle marche sur des œufs en empruntant cette voie. Lors de ses études et au long de ses premières années de travail, elle reste très en surface des sujets. Plusieurs arrestations dans le métier, hommes et femmes confondus, occupent une grande place dans les appréhensions de la relève médiatique. Elle voit rapidement des camarades de classes entrer en rébellion et être menottés. Elle ne peut rien faire pour eux, et si elle sent qu'elle devrait élever la voix devant tant d'injustice et de censure, elle reste sans mot, la bouche ouverte, la gorge nouée. Elle porte ses mains à sa gorge et ses mains se crispent sur le nœud de son voile. Elle aimerait avoir le courage et la force de tirer sur celui-ci, enlever son voile et faire retrouver à ses camarades la liberté, mais il est trop tard, si ce n'est pas devant la faculté, ce sera devant leur domicile, ils ont signé leur travail et savait au final que le gouvernement ferait ce qu'il a toujours fait : la chasse aux sorcières.

Elle qui se croyait en sécurité à Téhéran, elle déprima quelques jours avant de se remettre en tête qu'elle ne pouvait pas laisser les gens sans la moindre informations. Elle eut l'audace de parler des arrestations, avec une fausse neutralité qui avait endormi la politique. Elle était principalement journaliste grâce à un camarade qui avait vu le potentiel de Zhaleh à dénoncer sans éveiller les soupçons, et aussi sa maîtrise de l'anglais qui leur permettait d'avantage de liberté dans leur article. Ils travaillaient d'arrache-pied pour mettre en place leur propre journal et si au début, ils y mettaient des sommes et des efforts colossaux, ils finirent par voir leur travail se concrétiser. Deux camarades qui en unissant leurs forces avaient trouver une faille qui finirait certainement par leur coûter la peau, et ils le savaient. Une crainte encore plus profonde s'installa lorsque la vague d'arrestations des femmes journalistes et documentalistes d'octobre 2014, dont une qui avait simplement prit les clichés pour l'article. L'angoisse la tenait, alors qu'elle entendait partout "intention de propagande contre le régime iranien" et qu'elle savait bien que toute la documentation finirait certainement au sein des archives secrètes si elles n'avaient pu entrer en contact avec d'anciens camarades qui avaient choisis l'exil à juste motif.

*

Téhéran, 2017-2019. Les réseaux internationaux et l'exil étaient deux solutions et les deux seuls moyens de pressions qu'ils pouvaient utiliser, mais ils savaient aussi que la plupart des articles seraient aussitôt censuré par le gouvernement, mais entre agir ou ne rien faire, il fallait essayer. Se constituant leur propre réseau, Zhaleh et Ardeshir commencèrent à penser à former un blog commun, un front. Le projet était ambitieux, mais rien n'arrêterait les deux amis de le faire. C'est d'ailleurs à partir de ce moment qu'elle lui avouait la découverte qu'elle avait fait dans le carnet de son père, carnet qui avait éveillé depuis un bon moment la curiosité de l'homme. Si au début, il semblait aussi choqué qu'elle de la révélation sur la relation entre Levi et Atash, il fut le premier à lui dire de partir le retrouver. Elle ne pouvait abandonner leur projet, lui dit-elle rieuse au début, mais il était vrai qu'elle pouvait partir. Rien à part ce projet lui tenait aussi à cœur que de reparler et demander à l'homme à l'appareil pourquoi. Pourquoi il était parti aussi précipitamment? Elle se doutait bien maintenant, avec de meilleures connaissances politiques que son Ambassade avait certainement laissé peu de chance à l'homme de rester en Iran dans une telle situation, mais... Elle se demandait pourquoi il n'avait pas essayer de faire quelque chose. Quoi que ce soit même. Elle avait une certaine colère en y repensant et si elle la consumait et l'aider à bosser encore plusieurs heures sans trouver le sommeil, elle enviait Ardeshir de dormir sur son bureau qui faisait aussi office de salon. Après tout, leur espace de travail se résumait à l'appartement d'Ardeshir et de façon inconsciente, comme l'homme à l'appareil, elle avait aménager le peu de bagages qu'elle avait chez lui et dormait sur le canapé, éprouvant parfois un peu de gêne lorsqu'elle voyait la femme d'Ardeshir tenter de nettoyer derrière eux, trop concentrés sur le prochain article à faire paraître dans des journaux locaux ou dans le leur. Lorsqu'elle finit par sombrer elle aussi dans le canapé, elle pensait que les ordinateurs étaient simplement en veille, leur bruit l'apaisant et l'aidant à trouver le sommeil.  

Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il s'était réveillé pendant la nuit, reprenant sa place à son poste de travail. Encore à moitié endormie, ce fut le son de leur vieille imprimante qui la réveilla. Il lui tendait déjà un document dont elle ne savait pas le contenu. Peut-être qu'au final elle n'aurait pas dû l'ouvrir. Seulement, une fois tendu et la phrase éveillant sa curiosité dite "Je l'ai trouvé", elle avait déjà fait voler la page vierge du dessus. Il l'avait trouvé... Elle croyait qu'il avait trouvé un de leur ancien camarade dont la libération avait été annoncé, au lieu de quoi elle découvrait la photo de l'homme à l'appareil. Il avait vieilli, mais elle reconnaissait sa peau blanche et ses yeux clairs, comment les oublier? Elle ne savait pourquoi, mais elle avait aussitôt fermés les yeux, le revoyant une trentaine d'années plus tôt, alors que sans le vouloir, des larmes vinrent rouler sur ses joues. Jamais Ardeshir n'avait réellement eu de gestes aussi tendres pour elle, mais comme lorsque sa femme pleurait, il passait ses pouces sous ses yeux pour balayer la tristesse ou la joie de Zhaleh. Elle rouvrit les yeux, et ne savait plus quoi faire entre le remercier ou lui sauter au cou. Elle avait peine à décrocher son regard de sur son collègue et cher ami pour se focaliser sur le reste des informations qu'il avait pu trouver. Il l'aiderait, elle le savait. Peu importe ce qu'elle lui demanderait, elle savait qu'elle pouvait compter sur lui.       

Mais il savait très bien que le reste des démarches, elle les ferait seule. Elle avait toujours fait les choses à sa manière et seule, même si elle ne l'avait pas encore comprit. Si elle croyait qu'elle lui devait sa réussite, lorsqu'elle put obtenir son visa et qu'elle lui montrait le nombre d'informations sur la carrière de Levi Boyle, il lui avouait à demi-mots que sans elle, il serait perdu pendant quelques temps. Elle le consultait du regard, se demandant si c'était une façon pour lui de la faire rester, mais son cœur ne pouvait accepter de refuser de partir une fois le visa, le billet et son unique valise en main. Elle n'eut pourtant pas la volonté de lui demander s'il voulait qu'elle reste.

*

New-York, aujourd'hui.  

"Et une autre qui croit déjà qu'elle prendra les meilleures titres et qui fera la meilleure des ventes avec ses histoires de féministes et d'immigrés, c'est pas ça le journalisme. Tu tapes, tu reviens à la ligne, tu écris la rubrique qu'on t'a assigné on approuve, on aime l'idée et le contenu, sinon tu retapes et quand on est satisfaits, là tu encaisses ton chèque, compris?" Voilà l'accueil qu'il lui avait réservé. Elle aurait certainement tuer pour moins que cela, mais il y avait un contrat de deux ans avec cette poignée de main. Elle ne pouvait refuser maintenant. Elle avait à peine réussit à signer un bail de location et si elle ne montrait pas de contrat de travail rapidement, aussi bien dire qu'elle allait devoir dormir sous le pont. Elle avait donc accepté et se disait qu'elle trouverait mieux plus tard. Elle avait aussi eut des nouvelles d'Ardeshir qui l'encourageait à retrouver Levi, et de surtout, essayer de faire prolonger son visa. Il ne lui avait pas dit, mais il commençait légèrement à avoir des doutes sur une ouverture d'enquête contre leur journal indépendant, seulement, parfois, elle se doutait qu'à sa voix, il se passait quelque chose. Il prétextait des soucis avec sa femme qui était maintenant enceinte. Elle avait aussitôt cru son ami, ne cherchant pas plus loin, déjà bien préoccupé à garder un toit sur la tête, un renouvellement de visa et un contrat de travail.  


A suivre...
 



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Pomme
Age: 25 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Inceste, zoophilie et nécrophilie. Je ne pense pas avoir d'autres trigger, simplement un petit MP si vous n'êtes pas sûr va faire l'affaire.
Avatar à réserver : Golshifteh Farahani
Crédit avatar utilisé dans la fiche: corleone-avatars
Souhaitez-vous un mp d'intégration Oui, et merci d'avance.  keur

c'est quand qu'tu va m'mettre des paillettes dans ma vie kevin ?!

Invité
11 r ; 409 v.
Lun 28 Déc - 19:14
amaris alvaro
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=796}Amaris Alvaro{/@}
30 ans - drag queen
FEAT : diego barrueco
Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum.
Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine, est venu au monde sur cette terre de liberté, dans la patrie des braves.
Ethnie/origines : joli petit caucasien aux yeux ébènes et aux cheveux bruns, d'origine mexicaine de par ses parents, bien qu'il ait très peu connu son père.
Orientation : ne s'est jamais réellement posé de questions à ce sujet là, n'assume pas son attrait pour les muscles saillants qu'importe le flacon les gars.
Situation : célibataire, la tête le cœur et les couilles discutent, mais sont jamais d'accord.
Occupation : barman, de ce qu'il dit à ses proches, mais également drag queen.
Quartier : Queens, baby.

and what else ?
Qualités : loyal, franc, attentif, généreux, doux.
Défauts : discret, introvertis, fier, impulsif.
Passions : {#}cartomancie{/#}, {#}art-du-spectacle{/#}, {#}tequila{/#}
Communautés : {#}LGBT{/#} Center, {#}LE{/#} BAR THE OUTPOST & {#}LOS{/#} LATINXS






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Écrire ici écrire ici

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Écrire ici

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Écrire ici

Le dernier texto que tu as envoyé ?Écrire ici

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Écrire ici

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Écrire ici

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Écrire ici



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : dragon
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ? bien sur, mais rien que je n'ai jamais vu jouer sur un forum, donc ça va.
Avatar à réserver : oui, diego barrueco
Crédit avatar utilisé dans la fiche:
Souhaitez-vous un mp d'intégration oh ça pourrait être génial, oui s'il vous plaît  Tag lgbt sur I've got 99 problems 3974363061

Poudre aux yeux • (Evan)

Invité
11 r ; 1054 v.
Dim 27 Déc - 11:00
Evan O'Reilly
IDK what you're talking about
ID CARD
{@=793}Evan O'Reilly{/@}
25 ans - Nettoyeur de contenu
FEAT : Jaco Van Den Hoven
Garçon paillette, clubbeur et fils de la nuit, Evan se retourne le cerveau par plaisir d'oublier son métier, et ses aspirations réduites en poudre. Le jour, il nettoie la merde sur le net, efface les reliquats du deep web et ses horreurs trop réelles pour le compte d'une boîte de censure de contenu violent. Ce n'est pas la vie dont il rêvait, et finalement, il n'a jamais vraiment su ce pour quoi il était fait. Au fond, il continue de culpabiliser concernant la cécité natale de son jumeau, traumatisme intériorisé depuis l'enfance. Alors, peut-être par envie de lui ressembler, ou de comprendre ce qu'il ressent, il s'abîme les yeux à sa façon.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain.
Ethnie/origines : Caucasien, d'origine irlandaise du côté paternel.
Orientation : Panromantique & Pansexuel.
Situation : Célibataire papillonant.
Occupation : Ancien étudiant en informatique et communication, désormais agent depuis un an dans une boîte de censure de contenu violent sur internet.
Quartier : Le Queens.

and what else ?
Qualités : Créatif • Indépendant • Sûr de lui • Franc • Loyal • Energique • Curieux • Volontaire • Altruiste • Tchatcheur talentueux • Drôle • Observateur • Bon cuisinier • Compétitif (principalement avec lui-même) • Persistant.
Défauts : Taiseux • Introverti sur ses ressentis • Colérique à retardement • Acerbe • Trop fêtard • Se laisse facilement emporter par son déni d'addiction • Menteur • Dépensier • Mauvais perdant • Couche-tard (à tendance hibou) • Têtu.
Passions : {#}théâtre{/#} {#}informatique{/#} {#}faire-la-fête{/#}
Communautés : {#}Les{/#} habitants du Oak Complex, {#}The{/#} Outpost, {#}Cours{/#} de théâtre du mardi soir, {#}Le{/#} club de lecture du Queens & {#}LGBT{/#} center Manhattan






that's my story / self diagnosis

Bidibip, bidibip, bidibip !
« Bon-jour mes petits lamantins ! Vous êtes bien sur Lounge Radio On, la station survitaminée qui vous donne envie de vous lever ! C'est Stella et moi-même qui vous accompagnerons durant toute votre mat-
- Oh ta gueuuuuuule. »

Un coussin bien placé écrase mollement le discours répétitif de Johnny, le co-animateur de cette fameuse Stella dans la non moins fameuse émission du matin. Evan y a droit cinq fois par jour, au même instant, à l'heure dite. Un 7:00 am rouge flash dans la chambre pleine de pénombre, teintée de la silhouette de son propriétaire que depuis trois heures seulement.
Ce dernier a la bouche empâtée, le cœur au ralenti, tout les deux malmenés par la soirée passée à écumer les lèvres les moins farouches d'une boîte en vogue de la ville. Les souvenirs sont parsemés de brume alcoolisée, comme son lit défait, parfum solitude éparse. Cette nuit, ce peu de nuit, il est rentré seul. Et chez lui. Une rareté dans son tableau de chasse, où figure, de temps à autre, ce genre d'acte raisonné. Comme une tâche dans le décor, un vide à combler dés que le week-end sera tombé.

Parce qu'aujourd'hui, on est seulement Mardi. Aujourd'hui, c'est un jour comme les autres, un début de semaine à peine entamée mais déjà épuisée. Quelques heures de boulot la veille et Evan a déjà besoin de s'évader. Ça promet pour le reste, qu'il se figure, la paupière lourde.

Dehors, il neige à peine. La motivation est à fleur de banquise fondue. Autant dire que le petit lamantin, lui, il veut juste continuer de ronfler.

[…]

7:30. 8:00. 8:15 am.

Une petite perturbation dans le spectre du sommeil. Un cauchemar. Trop d'images. Trop de choses gravées sur la rétine. Des terreurs qu'il n'a pas subi, qu'il efface et qu'il tait.
Cette routine que l'on veut oublier.

11.00 am.

La Belle au Bois Dormant ne fait plus d'heures supplémentaires.
C'est la vibration de son portable contre son tympan qui surprend la princesse au point de sursauter et s'écraser sur son parquet d'un autre temps. Le craquement serait capable de réveiller tout l'immeuble, si le reste du monde n'était pas déjà occupé. Le bâillement sourd et les cheveux emmêlés, le jumeau répond à l'appel de son cadet. De deux minutes, pas plus.

« Vué ?...
- T'as ta voix de quand t'es sorti.
- Vué.
- T'es en état de m'accompagner cet aprèm ? T'es sûr ? T'es pas au boulot là d'ailleurs ?
- Vué et... pas vué.
- Putain, Ev.
- C'est bon. J'dirais que j'étais malade. Y'm'doivent des heures de toutes façons. »

En poursuivant la conversation, Evan s'est redressé, paresseusement, au ralenti. Neil est toujours plus vindicatif quand il sait que son frangin fait des siennes. Des deux, paradoxalement, c'est Neil le plus clairvoyant. Ses yeux morts n'ont jamais été un frein pour lire les faits et gestes d'Evan. Même ses excès. Surtout ses excès.

« Sérieux, t'avais promis que tu commencerais à faire gaffe... Tes employeurs vont finir par vraiment gueuler.
- Tu m'appelles juste pour m'emmerder ou... ?
- Naaaan, ça c'est juste le bonus plaisir. J'voulais juste être sûr que c'était toujours bon pour toi.
- Mais oui. 15H00 au groupe de parole, j'ai pas oublié.
- Cool. Tu peux v'nir plus tôt et passer à la maison ? M'man a des trucs à te demander en plus.
- Quels trucs ?
- J'sais pas. Elle m'a dit que son ordi avait planté, ou chais pas quoi.
- Ok. J'avale un grecque et j'arrive.
- Ça marche, mais épargne moi les détails de ta vie sexuelle, tu seras mignon.
- … T'es con. »

D'un sourire à moitié défait, autant que son visage de plâtre marbré, Evan raccroche et fonce se réveiller sous un jet d'eau chaude. Une douche et une série de fringues plus tard, il sort enfin braver le froid de décembre et ses dérivés mordants. Verglas, buée, gosses criards qui hurlent au Père Noël. Evan n'aime le froid qu'en compagnie d'un plaid et d'un irish coffee. Ses pas s'écrasent le plus vite possible vers la sandwicherie à l'angle de sa rue, petit coin gras et chaleureux fleurant bon les épices. L'odeur lui flatte déjà les narines. Sous son bonnet laineux enfoncé jusqu'aux sourcils, il trace sans réfléchir. Alors c'est peut-être l'envie de remplir son estomac vide depuis trop longtemps, ou la simple idée d'échapper à la pluie givrée commençant à perler dans son cou, mais dans tout les cas, Evan ne remarque qu'à la dernière seconde le café renversé par mégarde sur son blouson, par un pas aussi pressé que le sien, si ce n'est plus encore. La personne au bout du gobelet le fixe, dans un instant suspendu. Et la tâche grandit sur la doudoune molletonnée.

C'est à qui s'excusera en premier, dans ce western moderne, aux accents de moka et de stress urbain.
Un épisode de vie typique, au cœur vermoulu de la Grosse Pomme.
Rien de plus, rien de moins.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Syato ou Victor
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Pas beaucoup, si ce n'est les actes de mutilation/scarifications, et la violence sur les animaux. Je prend le parti de toujours en discuter avec mes partenaires quand un sujet "touchy" peut être aborder irp.  cute
Avatar à réserver : Jaco Van Den Hoven
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Praimfaya
Souhaitez-vous un mp d'intégration Pourquoi pas, c'est plutôt une chouette initiative !  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2881807329

Wake me up before you go-go

Invité
6 r ; 773 v.
Sam 5 Déc - 15:42
Aime Hirsch
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=774}Aime Hirsch{/@}
31 ans – Personnal shopper
FEAT : Kevin Pabel
Il a passé la plus grande partie de sa vie au Brésil, venant de deux parents d'origines opposées qui se sont rencontrés lors d'un séjour humanitaire en Amérique du Sud, ils n'ont pas su la quitter. (Allemand, Américaine.) Il a eu la nationalité américaine il y a quelques années, avant de s'absenter un an au Brésil pour revenir. Il parle allemand, anglais et portugais. Amateur de shopping à l'extrême, vendre des fringues en boutique ne lui suffisait plus, il se reconvertit en personnal shopper. Il aime faire la fête, draguer, le sport, l'alcool. Il a quelques soucis avec l'attachement, peur de trop s'accrocher. Il est bisexuel, fuyant l'idée d'une quelconque relation il y a encore quelques années. Il devient plus sage avec le temps avec ses rencontres.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Brésilienne / Américaine
Ethnie/origines : Allemand / Américain
Orientation : Pansexuel, trop peu tombé amoureux pour savoir son attirance romantique.
Situation : Célibataire, depuis toujours.
Occupation : Personnal Shopper
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités :Joyeux,  Drôle,  Joueur, Gentil,  Curieux, À l’écoute , Souriant, Confiant.
Défauts :Débauché, Têtu, Légèrement bordélique,  Chieur, Irresponsable, Excentrique, Enfantin.
Passions : {#}Faire-la-fête{/#}, {#}Danse{/#}, {#}Shopping{/#}
Communautés : {#}Studio{/#} de danse  {#}LGBT{/#} Center Manhattan ( Bénévole )






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Le contrôle de mes émotions, c'est comme si j'implosais à chaque sentiment trop positif, comme si j'étais réellement brisé à chaque défaite relationnelle.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). L'alcool devient peut-être petit à petit un problème. Je n'en suis pas plus sûr que ça, mais combler le problème avec m'a pas semblé si idiot les vingt premières fois.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? L'invitation à une quelconque relation n'avait même pas traversé mes lèvres qu'on s'est quitté. Des obligations de chaque côté et l'idée que de toute façon, il méritait un type mieux. N'osant même pas donner des nouvelles depuis mon retour, peur que les choses soient trop brut de pomme.

Le dernier texto que tu as envoyé ? «  J'espère que maman va bien, que tout va bien pour vous. » Prendre des nouvelles de temps en temps, c'est au moins la promesse que je peux essayer de tenir sans paniquer.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Une relation à distance, ils ne quitteront pas le Brésil, ma vie s'est malheureusement faites à New York. Je ne passe que peu souvent les voir, je prends des nouvelles quand je peux, quand j'y pense ou que je suis en état de le faire. J'ai passé neuf mois avec eux et je n'ai pu que remarquer que même si nous gardions de bons liens, ils étaient bien mieux à me savoir mener ma vie de "rêve" ici.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? De la danse ? Des photos sans queue ni tête sur un instagram que personne ne regarde et des soirées qui se finissent dans une randonnée nocturne.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'ai abandonné une bonne partie des personnes proches de moi en un an. Comme si cela allait arranger les choses, je me planque pour ne pas les blesser plus.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Awkward
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ?   Violence sur les animaux
Avatar à réserver : Kevin Pabel
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Warrior
Souhaitez-vous un mp d'intégration Non, je vais essayer de m'intégrer un peu plus avec les nombreux moyens que vous avez mit en place.  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2881807329

Carla - la mini policière

Invité
18 r ; 585 v.
Lun 10 Aoû - 16:18
Carla Cadwell
31 - officière de police
FEAT : lucy kate hale
Carla, 1,57m les bras levés, toujours belle, toujours bien apprétée.
Petite, sa mère voulait qu'elle soit actrice. Elle a participé à de nombreux castings et concours de mode, jusqu'à ce qu'elle sache dire stop.
Carla a une apparence toujours impeccable (robes, chaussures à talons, maquillage, coiffure, etc) à cause d'une promesse faite à sa mère enfant.
Pour autant, Carla a souvent été catégorisé comme étant un "garçon manqué", ce qui contraste totalement avec ce qu'on peut penser d'elle au premier abord.
Carla, elle aime l’action, elle aime rigoler, roter, péter, boire des bières, taper de la gueule…
Et surtout, Carla travaille dans un milieu majoritairement masculin dans lequel on ne lui accorde que peu de crédibilité à cause de sa silhouette minuscule et de son apparence : celui de la police. Elle obtient pourtant des résultats aussi excellents que ses congénères, mais quand vous êtes fille et petite-fille de policiers renommés dans le métier, ça n'aide pas. C'est donc un combat quotidien qu'elle mène pour réussir à se faire accepter sans devoir changer qui elle est ou renier la promesse faite à sa mère. (tw : harcèlement)
who am I
ꕥ âge : 31 ans
ꕥ nationalité : américaine
ꕥ ethnie/origines : américaine
ꕥ orientation : bisexuelle
ꕥ situation : célibataire, a le don de rester dans la friendzone bien trop souvent, ce qui fait qu'elle n'a jamais vraiment eu de relation sérieuse.
ꕥ occupation : officière de police à Brooklyn
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : empathique, dévouée, bosseuse, se bat pour ses convictions, débrouillarde
ꕥ défauts : tétue, bordélique, naïve
ꕥ passions : son métier, ses amis, la picole
ꕥ groupe : Fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : {#}LGBT{/#} Center {#}The{/#} Outpost {#}The{/#} Saberist Academy

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Surnommée June sur les RPG, j'ai 28 ans (et je ferais pas la blague de toutes les dents, promis :twisted: ) Je fais du RPG depuis 13 ans maintenant, et ça fait un bout de temps que je ne m'étais plus inscrit sur un nouveau RPG (car je suis sur le même depuis plusieurs années) mais j'ai tout de suite craquée sur le concept de 99 ! (et sur le scénario de Sirius aussi  keur ) Mes habitudes en terme de rp, c'est souvent d'y aller au feeling. J'adore ne rien prévoir et laisser libre court à mon personnage, qui écrit limite à ma place sur le clavier  puppy  Il est très important pour moi de jouer le personnage comme il est et non selon ce qu'on attend de lui. Alors si vous dites quelque chose qui ne lui plait pas, n'attendez pas de moi qu'il vous saute dans les bras juste pour vous faire plaisir  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2153884322 J'adore les rp bizarres, les trucs complètement loufoques. J'adore rire, m'amuser, ressentir des feelings de ouf en écrivant  keur Je suis capable de faire des rp longs, mais je suis atteinte de flemmingite aigue assez souvent alors je privilégie la qualité à la quantité  cute Je réponds selon mon inspiration, mon envie. Je suis capable de répondre 10 lignes à quelqu'un qui m'en aura fait 50. Je suis capable de l'inverse aussi. Et je ne juge jamais mon partenaire là-dessus non plus. Tout ce qui est important, c'est qu'il y ait matière à rp  excited Je suis capable de répondre plusieurs fois par semaine et parfois d'être deux semaines sans rp, car tout dépend de l'IRL mais je fais au mieux pour prévenir mes partenaires lorsque je suis plus longue  Tag lgbt sur I've got 99 problems 3697710961 Et ça ne m'empéche pas de venir faire un coucou sur la CB ou par MP  sifle J'adore discuter avec les gens, faire la con, toussa toussa  Tag lgbt sur I've got 99 problems 3974363061 Bref, j'espère qu'on s'amusera bien ensemble. N'ayez pas peur de venir me parler  Tag lgbt sur I've got 99 problems 497855176
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
ꕥ un livre : n'importe quel manga - pas un grand fan de lecture
ꕥ un film : Fast & Furious
ꕥ une série : One Tree Hill - Certes pas très viril mais gulty pleasure
ꕥ une chanson : JUST THE WAY YOU ARE – BRUNO MARS
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : des lasagnes bolognaise
ꕥ une boisson : du redbull
ꕥ une célébrité : Bob Morley - parait qu'il ressemble à Sirius
ꕥ un pouvoir magique : Voler

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ

ꕥ un trigger : Je suis très ouverte sur tout ce qui est RP (ou même dans la vie en général ^^) mais clairement, j'ai beaucoup de mal quand on me force à écrire des RP sexe trop détaillé. Je préfère rester dans l'implicite pour ces choses là ou faire une ellipse. Tant que c'est "mignon", ça va, mais faut pas que ça vire dans le trash ^^.


that's my story / self diagnosis
Carla, c’est un petit bout de femme comme il en existe tant. Enfin… C’est ce qu’on peut se dire en la voyant pour la première fois tout du moins ; parce que Carla, elle passe inaperçu dans la rue, du haut de son mètre cinquante sept suspendu sur de hauts talons aiguilles. Elle est toujours bien apprêtée et bien coiffée, comme si elle sortait d’un photoshoot pour un magazine de mode. Oui, Carla, on pourrait facilement la penser influenceuse, mais la vérité, c’est qu’elle a été formatée depuis sa plus tendre enfance au niveau de son apparence, par sa mère, qui rêvait qu’elle devienne actrice. Tout bébé, elle a passé des castings et plus tard, elle a participé à des castings de miss. Jusqu’à ce qu’elle soit enfin assez grande (vers 12 ans) pour dire stop et faire comprendre à sa mère que c’était son rêve à elle, et pas le sien. La déception qu’elle a lu dans le regard de sa maman ce jour-là lui a glacé le sang. Elles ont tout de même trouvé un compromis : Carla devrait continuer à vêtir les habits sélectionnés par sa mère et à faire des séances photo à la maison « pour le fun ». Un véritable calvaire pour elle, autant vous le dire, mais elle n’aurait pas supporté de décevoir davantage sa maman. Encore aujourd’hui d’ailleurs…

Quand je parle de calvaire, c’est parce qu’au fond d’elle, Carla est plus « garçon manqué » qu’autre chose, pour reprendre l’expression de ses petits camarades de classe à l’école maternelle. Carla, elle aime l’action, elle aime rigoler, roter, péter, boire des bières, taper de la gueule…  Mais ça, vous ne le croirait jamais avant de bien la connaitre ! Carla, elle se contrefiche du regard des autres et ne vit que pour ses amis et son métier. Son métier, d’ailleurs, parlons-en : elle est agent de police. Oui, elle a l’air d’une ado dans sa tenue et le képi lui tient à peine sur la tête d’ailleurs, mais pour autant, c’est une passionnée et elle a des résultats aussi bons que ses meilleurs collègues homme du NYPD. Elle se bat chaque jour pour être accepté dans ce monde plutôt masculin où elle doit sans cesse faire ses preuves, parce que soyons honnête, elle n’a juste pas le physique pour… Qu’elle est juste là parce qu’elle est la fille et petite-fille de policiers très connus dans le milieu… Enfin, soi-disant. (tw : harcélement léger)

Son père est originaire de New-York. C'est là qu'il a commencé sa carrière dans la police, travaillant aux côtés de son propre père. Les deux ont travaillé sur un des plus gros braquages qu'a connu New-York et c'est miraculeusement qu'ils sont sortis vivants de cette histoire qui a fait de eux des héros aux yeux de leurs collègues. Encore aujourd'hui, leur photo est accrochée sur un des murs du commissariat. Peu de temps après, le père a rejoint la mère de Carla à Stanford, où ils se sont mariés et ont élevé leurs deux filles, Carla et Ambre. Une famille tout ce qu'il y a de plus saine, sans histoire. A 18 ans, Carla débarque à New-York pour ses études, avant d'entrer dans les forces de l'ordre. Ses parents la rejoignent en ville il y a 5 ans, et plus récemment Ambre.



this session is gonna be different
june ꕥ 28 ans
fréquence de rp : 1/10 jours. ϟ fréquence de connexion : principalement le weekend. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 200 et 500 mots ϟ avatar à réserver : lucy kate hale ϟ de quelle couleur sont les petits pois : violet gris azur ϟ comment avez-vous connu 99 ? quelle question... ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Beauté  Tag lgbt sur I've got 99 problems 3697710961
tumblr (gif) solsken (avatar)

Doubt kills more dreams than failure ever will (+) Asher

Invité
21 r ; 454 v.
Dim 14 Juin - 16:25
asher whitaker
33 ans - agent de police
FEAT : chris evans
Australien d'origine, Asher a quitté son pays natale afin d'intégrer la CIA. Dernier fils d'une lignée de policier, le jeune homme était fier de rentrer dans une des institutions les plus respectées au monde. C'est dans cette institution qu'il a fait la connaissance de Dante, qui lui a permis de s'accepter. Une histoire d'amour naquit au sein de l'équipe d'intervention et tout allait pour le meilleur des mondes. Les projets d'avenir étaient déjà écrits pour les deux tourtereaux avant qu'un tragique accident ne vienne tout effacer. Asher tomba dans une spirale infernale, quittant boulot, repoussant amis et famille. Dépression, idées noires devinrent son quotidien. Seul les longues séances chez le psychologue lui permirent de reprendre pieds. Et si aujourd'hui, Asher a repris pied, a abandonné ses idées noires dans un coin de sa tête, il a toujours du mal à se rapprocher des autres. La peur de l'abandon semble s'être développée chez le blond et s'attacher lui semble impossible...
who am I
ꕥ âge : 33 ans
ꕥ orientation sexuelle : Homosexuel, il a fallu son arrivée aux USA pour qu'il décide à se l'avouer
ꕥ situation : Célibataire, il a connu l'amour et il est persuadé qu'on y a le droit qu'une fois fans la vie
ꕥ occupation : Ancien membre de la CIA, il est maintenant un simple agent de police au sein de la NYPD
ꕥ quartier : BROOKLYN, Bedford Street
ꕥ qualités : attentionné, indépendant, sportif
ꕥ défauts : impulsif, manque de tact, insouciant
ꕥ passions : {#}chien{/#}, {#}guitare{/#}, {#}tennis{/#}
ꕥ groupe :  fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : {#}LEA{/#} - Groupe de soutien aux personnes en deuil (Même s'il y va de moins en moins), {#}LGBT{/#} Center Manhattan (Parce que le combat continue) et {#}New{/#} York Police Department (NYPD) (Au vu du métier, pas trop le choix)

ꕥ scénario/pré-lien : Non, inventé par ma petite tête
ꕥ parrain : Pourquoi pas ?  pompom

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Homme trentenaire, traînant sur les forums RPG depuis ses 15 ans. Adepte des liens compliqués ou déjantés. Humour un peu décalé, parfois noir mais décapant. Dans ma petite vie, je suis ingénieur énergétique et au passage, j'ai le même prénom que mon personnage ({#}MEGALOMAN{/#}) Je suis adepte de livres, jeux vidéos, musiques en tout genre et des chiens. ({#}LabsAreBeautiful{/#})
petit portrait chinois
ꕥ un livre : Les milles visages de notre histoire
ꕥ un film : Marley & moi  Tag lgbt sur I've got 99 problems 4032930001  Tag lgbt sur I've got 99 problems 4032930001
ꕥ une série : Friends
ꕥ une chanson : So Cold, Ben Cocks
ꕥ un animal : Chien
ꕥ un plat/dessert : Tiramisu
ꕥ une boisson : Orangina
ꕥ une célébrité : Henry Cavill
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Rien de particulier. Je suis capable de parler de tout, tant que c'est discuter par avance avec le partenaire afin que celui-ci(ou celle-ci) ne soit pas mal à l'aise.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
∞ THE ONE WHEN EVERYTHING START

Asher ne pouvait pas se plaindre d'avoir eu une enfance malheureuse. Ses parents étaient stricts, surtout son père. Certes, ce dernier n'était pas souvent présent mais on pouvait ressentir l'impact de son métier dans son attitude quotidienne. Parfois, Ash avait l'impression de se retrouver face à l'agent de police Whitaker et non pas son père. C'était une chose que sa mère ne concevait pas mais il n'y avait pas plus entêté que Jacob Whitaker ! Même la naissance de sa petite sœur n'y changea rien à ça. Et malgré tout, plus les années passaient, plus Asher se sentait attiré par ce métier ! L'uniforme, la satisfaction de sauver des vies... C'était un rêve que tout petit garçon avait un jour où l'autre mais chez Asher, c'était devenu une obsession. Il voulait rendre fier son père, et il espérait que suivre ses traces suffiraient

∞ THE ONE WHEN YOU MADE A CHOICE

"La CIA ? Mais c'est quoi cette blague Asher ?" Le jeune homme grimaça légèrement alors que sa mère déposait sa tasse de thé sur la table basse du salon et que son père faisait les cents pas dans le salon. Sa sœur était assise à sa droite et il sentit cette dernière se raidir alors qu'il venait d'annoncer son intention de partir aux USA, pour suivre une formation spéciale pour intégrer la CIA. Levant les yeux vers la femme qui l'avait mis au monde, il sentait toute l'inquiétude dans son regard et Asher commençait à regretter de lui avoir annoncé de but à blanc. Diplômé il y a peu, Asher avait annoncé depuis longtemps son désir de rentrer dans les forces de l'ordre, chose que ses parents avaient accepté. Son père était perplexe mais il ne disait mot. Cependant, après avoir passé les évaluations pour rentrer à l'école de police, il avait été contacté par la CIA. Ces derniers avaient trouvé son profil intéressant et souhaitait le compter parmi leur rend. "Non, Papa ! C'est pas une blague... Il y a le cachet officiel sur l'enveloppe. Et je veux y aller !" Sa mère émit un léger soupir. Asher aimait sa mère mais celle-ci était trop émotive et mère poule à son goût. Il se doutait que cette nouvelle n'allait pas la ravir.
"Tu es vraiment certain que c'est ce que tu veux ? Et si ça ne marche pas ?" Arquant un sourcil, il pouvait remercier son père pour lui témoigner une énorme confiance en lui. Se crispant, Asher était prêt à riposter quand sa mère prit la parole, empêchant une énième altercation entre les deux hommes de la famille. "Ton père se demande simplement si c'est la situation la plus judicieuse pour toi, chéri ! Tu es encore jeune et ce n'était pas vraiment ce que tu voulais faire non ? On ne veut simplement pas que tu prennes une décision trop hâtive." La voix de sa mère était calme et posée, comme d'habitude. Mais contrairement à l'accoutumée, ça ne calma pas pour autant le jeune diplômé

"Je pensais que vous seriez heureux pour moi ! C'est une chance en or et vous, vous essayez de me dissuader d'y aller ! Tout ça par jalousie et par peur." Et il sentit la rage gagner son père, celui-ci frappa la table basse du salon et Asher eût un sursaut. Ce genre d'attitude était habituel chez Jacob Whitaker, quand quelque chose ne lui plaisait pas. Sa mère, elle, avait toujours su rester calme, en toute circonstance. C'était sûrement une des raisons pourquoi leur couple avait aussi bien fonctionné ! Ils se complétaient... "Comment peux-tu penser une chose pareille ? Tu crois qu'on souhaite ta perte ? Notre rôle est de te conseiller et je ne pense pas que ce soit une bonne idée, voilà tout !" Et il entendit un grognement sortir de la gorge de son père. Celui-ci secoua la tête avant de partir du salon, laissant Asher seul avec sa mère, sa sœur et ses pensées. Il s'était imaginé le pire en pensant à cette entrevue... Il venait de se mettre à dos ses parents. Se passant une main dans les cheveux, il n'en était pas moins déterminé à suivre sa voie. Le réconfort que lui apporta sa sœur lui fit chaud au cœur. Son frère cadet n'était pas là mais il était persuadé qu'il aurait été de son côté. Les trois enfants Whitaker étaient soudés comme les doigts de la main. Mais là, ses parents ne voyaient que le côté noir de la chose. Une nouvelle vie, à l'autre bout du monde, il se rendait compte que c'était effrayant mais il ne pouvait pas se permettre de laisser passer une chance pareille, même si ça faisait exploser sa famille...

∞ THE ONE WHEN LOVE HIT YOU

Donuts à la main droite, un café à la main gauche, Asher ne pouvait faire plus cliché que ça. Déambulant dans Time Square en faisant son possible pour ne pas rentrer en collision avec quelqu'un, il finit par rejoindre le lieu de rendez-vous. Faisant un tour d'horizon à la recherche de son sésame, il sourit légèrement quand il vit une voiture s'arrêter devant lui. "Bonjour jeune homme, vous cherchez quelqu'un " Secouant la tête, devant le sourire narquois de Dante, l'agent de la CIA prit place dans la voiture qui ne tarda pas à mettre les voiles. "J'espère que tu as pris mes préférés, la dernière fois, tu m'avais ramené je ne sais plus quoi ! C'était dégueulasse ! " Arquant un sourcil, il lui montra le paquet qu'il tenait dans sa main droite. "Non et je dois te rappeler que tu as tout dévoré, la dernière fois ? " Dante haussa les épaules, alors qu'ils arrivèrent à Central Park. Aujourd'hui était un des rares jours de repos qu'ils aient pu s'octroyer. Travaillant tous les deux dans une unité spéciale, servant à intervenir lors de prises d'otages, ce n'était pas vraiment un métier où on pouvait se permettre de partir en vacances. Mais Asher aimait son job, plus qu'il ne l'aurait jamais imaginé. Comment le petit australien qu'il était, avait pu intégrer une des équipes les plus professionnelles de la planète ? Il n'en savait rien mais d'après ses supérieurs, ils avaient recruté autour du monde les meilleurs éléments. Lui venait d'Australie, Dante du Canada et il ne devait avoir que deux américains pur souches dans l'équipe sur quinze membres. L'ambiance était bonne entre tout le monde, malgré le danger que pouvait représenter ce job. Chacun avait sa spécialité, Asher était doué au tir à longues distances tandis que Dante était passé maître dans l'art de la négociation. En gros, ce dernier lui mâchait le travail et l'empêchait la plupart du temps d'utiliser son sniper.

Côte à côte, ils arpentaient les sentiers de Central Park, en cette belle journée de printemps. Ils n'étaient pas les seuls à avoir eu cette idée. " Tiens, on va se poser là haut... " C'était Dante qui avait eu l'idée de passer cette journée ensemble. Dante avait été surpris contrairement à leurs coéquipiers qui n'avaient pas pu s'empêcher de faire des commentaires à ce sujet. L'un d'eux avait soufflé un "enfin" plus équivoque que le reste. Asher n'allait pas se mentir, Dante lui plaisait. Si au début, il avait pensé que ce n'était qu'une passade, un petit moment de flottement dans leur amitié, il s'est avéré depuis que c'était beaucoup plus que ça. S'installant aux pieds d'un arbre, Dante distribua les vivres et un silence s'installa. Ce n'était pas un silence gênant mais chacun était plongé dans ses pensées, tout du moins, c'était le cas pour Asher. "Merci d'avoir accepté de passer la journée avec moi, je n'avais pas envie de passer la journée seul chez moi !" Hochant la tête, Asher mordit dans son donuts et but une gorgée de son café quand il sentit la main de Dante sur son bras. " En fait, si je t'ai invité, c'est que j'ai quelque chose à te dire..." Soudainement intéressé, Asher arqua un sourcil et posa son café sur l'herbe. "Ah oui ? Tu as rencontré quelqu'un et tu as peur de ma réaction ?" Si tel était le cas, Ash ne saurait pas comment il réagirait. Mal ? Sûrement mais il allait devoir rester maître de ses émotions s'il ne voulait pas tout perdre d'un coup. Il sentit le regard de Dante le fuir et Asher l'encouragea en lui donnant un coup d'épaule affectueux." Allez, craches le morceau ! " Un léger silence s'installa, alors qu'Asher reprit son café. "C'est toi !" Avalant de travers, Whitaker se mit à tousser frénétiquement essayant de ne pas s'étouffer. Après quelques secondes, le blond retrouva son souffle. " Ça va ? Je suis désolé, je n'aurais pas dû te le dire comme ça. Je pensais que... Enfin tu vois, on passe beaucoup de temps ensemble et puis les gars arrêtent pas de sous entendre que nous deux, enfin... Mais je ne t'en veux pas, hein ! Après tout, on est sûrement mieux amis" Si c'était de cette façon qu'il négociait, il ne devait pas être aussi bon que ça. Souriant devant l'embarras de Dante, il posa de nouveau son café, prit le visage de ce dernier et l'embrassa. Il sentit ce dernier se raidir avant de répondre au baiser. Finissant par se séparer, Asher posa son front contre celui de Dante et se mit à rire. " Mon dieu, je croyais que ça n'arriverait jamais..." Dante sourit légèrement avant de se mettre à rire aussi. " Alors toi aussi, tu..." Levant les yeux au ciel, Asher finit par répondre. "Bien sûr idiot, tu veux que je te prouve encore une fois ?" Le sourire lubrique et demandeur de Dante suffit à le pousser à reprendre possession des lèvres de ce dernier.

∞ THE ONE WHEN YOU LOSE EVERYTHING

Les mains tremblantes, la vision trouble, Asher ne pouvait détacher son regard de celui de Dante. Cependant, ce dernier ne pourrait pu jamais le regarder. C'était sensé être une mission de routine, une intervention lors d'une prise d'otages dans une banque. Bref, une mission bénigne pour eux. Ils avaient même plaisanté sur le chemin, persuadé que l'affaire serait dans la poche. Pourtant, il aurait dû se douter que quelque chose n'irait pas. Pour la première fois, Dante l'avait embrassé et lui avait murmuré qu'il l'aimait avant de sortir pour rejoindre sa place. Asher avait été surpris mais n'avait pas cherché à voir plus loin, il aurait l'occasion de lui poser la question quand cette histoire serait finie. Malheureusement, il n'en aurait jamais l'occasion. Il sentait les bras d'un de ses coéquipiers essayer de le faire bouger mais il se dégagea. Il ne pouvait pas partir, il n'en avait pas la force. Pourtant, il savait que ça n'allait rien changer... Dante était mort et ça, même s'il ne voulait pas l'accepter.

"Viens, Ash, ça ne sert plus à rien de rester ici..." Debout, le visage rivé à l'endroit où une heure encore gisait le corps de Dante, il n'avait pas bougé. Il ne sentait plus rien, ni tristesse, ni désespoir. Il avait l'impression d'être vide. "On devait se marier..." Phrase sortie de nulle part et a l'intention de personne en particulier. Ils étaient ensemble depuis cinq ans, six ans de bonheur. Asher n'aurait jamais cru que ça aurait duré autant de temps, il avouait sans complexe qu'il avait été perplexe au début. Mais, il avait fini par se rendre compte qu'il n'imaginait pas passer sa vie sans le brun. Mais c'était une chose avec lequel il allait devoir apprendre à vivre. " Je sais, Ash, et je suis désolé ! Viens, je t'en pries ! Tu te fais plus de mal qu'autre chose en restant là" N'ayant plus la force de résister, il se laissa guider par Aaron.

Il avait tué le braqueur, le meurtrier de Dante. Il allait devoir rendre des comptes. Même s'il était intimement persuadé qu'il avait pris la bonne décision ( Et qu'il n'avait pas mis assez de balles dans le corps de cet enfoiré..), il allait droit vers de graves ennuis. Mais c'était le cadet de son soucis, il voulait juste rentrer chez lui et s'endormir. Avec l'infime espoir qu'en se réveillant, tout ceci ne serait qu'un rêve.



this session is gonna be different
Thomas ꕥ 30 ans
fréquence de rp : Toutes les semaines, une fois minimum ϟ fréquence de connexion : Tours les jours, au moins trois fois par semaine. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Entre 500 et 1000 mots. ϟ avatar à réserver : Chris Evans ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ou rouge  sifle . ϟ comment avez-vous connu 99 ? Bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?  pompom .
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i'll never meet the ground (jake)

Invité
12 r ; 337 v.
Jeu 14 Mai - 22:50
jacob "jake" baker-shark
25 ans - étudiant à la julliard
FEAT : timothée chalamet jacob, c'est l'garçon qui pense que les étoiles peuvent atterrir dans la mer, c'est aussi l'bonhomme à la famille fusionnel mais aux idées qui virevoltent et qui rêve de chant et de danse sur des planches de bois craquée. c'est le petit gars tout frêle qui n'ose pas l'ouvrir quand il le faut mais qui devient un autre homme au contact de ses passions, qui s'habille de toutes les façons différentes et qui travaille quelques heures par semaine pour pouvoir se nourrir. c'est l'étudiant de la julliard au piano, boursier émérite qui fait la fierté de ses parents, il est l'enfant adopté d'une famille qui a eu trop de mal à concevoir d'enfant mais il a cependant une grande soeur biologique dont il a foi bien plus qu'en tout le reste.
who am I
ꕥ âge : 25 ans sur le papier, peut-être quelques mois de plus ou de moins que ce que les documents lui attestent
ꕥ orientation sexuelle : sûrement pansexuel, n'a de pré-requis quant à sa sexualité, indéfinissables sentiments qui se débattent dans sa cervelle
ꕥ situation : célibataire, n'a jamais connu l'amour, fuyant tout type de relation par peur  
ꕥ occupation : métier, études etc
ꕥ quartier : miranda heights
ꕥ qualités : loyal, avide de nouvelles expériences, vivant
ꕥ défauts : introverti, fuyant, maladroit
ꕥ passions : {#}art-du-spectacle{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}piano{/#}
ꕥ communautés : {#}lgbt{/#}, les habitants de miranda heights, {#}thelostplanet{/#}, {#}jade{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ parrain : oui, pourquoi pas ?  puppy
all about my player
ꕥ petite présentation perso :hola everyone Tag lgbt sur I've got 99 problems 176241234 j'm'appelle anaïs surnommée nana, j'ai 26 ans, j'suis très active en rp et j'suis du genre à aimer tous les gens. que ça soit du drama, du fun, des trucs loufoques ou simplement de manger un sandwich devant un movie, j'suis partante.

j'suis pas dérangé de faire des ouvertures de rp mais j'ai toujours peur qu'en face la personne soit déçue, donc prenez pas mal si j'vous demande de faire l'ouverture, c'est la timidité des premiers temps sur le forum, après j'me lâche et j'suis pas si timide que ça, bien au contraire sifle

j'suis une fana de drama inrp, j'aime quand ça chiale et quand ça souffre, mais j'veux d'la paix aussi et j'aime vraiment construire les liens... sur plusieurs mois (j'ai eu un perso, un ship, ils ont couché ensemble la première fois au bout de 1 an de rp... et on était à 6-7 réponses par semaine à des rp en cours. POUR VOUS SITUER SUR LE LONG TERME QUE J'AIME Tag lgbt sur I've got 99 problems 2958767705)

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : le livre du voyage, bernard werber
ꕥ un film : harry potter et le prisonnier d'azkaban ou interstellar
ꕥ une série : sense8
ꕥ une chanson : ben platt, waving through a window, dear evan hansen
ꕥ un animal : le louveteau
ꕥ un plat/dessert : une forêt noire
ꕥ une boisson : thé glacé à la pêche
ꕥ une célébrité : Michelle Obama
ꕥ un pouvoir magique : être capable de comprendre les animaux, ça serait fascinant

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : nothing, really

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Savoir si c'est p*tains de chaussures vont lui aller aux pieds. Ou peut-être est-ce son incapacité à appréhender qui il est. C'est un enfant qui n'a aucune connaissance de son passé, peut-être que des tares y sont ou seront révélés.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). il n'osera pas le dire mais c'est l'genre à regarder tous les derniers potins en date de ses artistes préférés, il est capable de se lever à 3 heures du matin pour attendre la sortie d'un single d'un chanteur qu'il adore. il se ronge les ongles, mauvaise addiction prise par sa soeur Jaz.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? quelle relation ? pas de relation. il a cru parfois être amoureux, a embrassé deux ou trois filles mais à chaque fois, il y avait une grande incompatibilité pour une raison qu'il souhaite comprendre.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Papa est passé chez moi ce week-end, il m'a donné son vieil appareil photo, j'ai trouvé des dossiers. Donne moi 5$ ou je les mets sur insta." pour sa soeur Jaz.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? La relation est incroyable et positive. Il a été adopté par Daniel Baker et sa femme, Olive Baker-Shark qui étaient déjà les parents d'une fille qui s'appelle Jaz. Il n'a jamais eu de souci à s'intégrer, mais les premiers temps ont été difficiles, Jake est arrivé dans cette famille new-yorkaise vers ses trois ans. Mais la suite... quelle belle histoire. Il a grandi dans un ranch, entouré de chevaux, de poules et de cochons, apprenant à réparer une voiture ou dans le petit planeur de Papa, à plusieurs mètres au-dessus du ciel.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Jake tente de se faire repérer pour être acteur ou artiste à Broadway. Il prend des cours de théâtre, gagne de l'argent en vendant des glaces, en étant mascotte pour une nouvelle marque de dentifrice, parcours et écume les parcs à la recherche d'une nouvelle espèce de fleurs... de tout ou de rien, c'est un jeune homme qui ne sait pas s'arrêter.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Une fois, il a pris une paire de ciseau et il a coupé une mèche de sa soeur pendant son sommeil. Ca partait d'une bonne intention, il voulait la mettre dans sa peluche pour la garder auprès d'elle mais elle s'est retrouvé avec un trou dans les cheveux.

this session is gonna be different
elladora tonks/anaïs ꕥ 26 ans
fréquence de rp : si j'suis méga ultra motivée, all day everyday, mais j'suis relativement très active. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, sans trop peu d'exception. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'peux varier entre 200 et 500 mots, ma seule crainte c'est d'avoir quelqu'un qui accepte que je n'écrive pas forcément autant qu'elle  puppy ϟ avatar à réserver : timothée chalamet. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts couleur petit pois. ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur facebook. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? merci beaucoup d'avoir créé ce genre de bijou, un forum solaire, positif et qui m'a l'air vraiment humain. j'espère vraiment y trouver ma place Tag lgbt sur I've got 99 problems 717540281
tumblr (gif) solsken (avatar) managram

Le plein et le vide, ou l'altérité de l'être -> Bob

Invité
23 r ; 458 v.
Lun 13 Avr - 15:20
Robert McMuffin
50 ans - Faussaire
FEAT : Tilda Swinton Bonjour, je m'appelle Robert. Si si, j'insiste. Je suis mère au foyer et romancier graphique depuis bientôt 30 ans. J'ai divorcé deux fois avec la même personne. Et oui, je porte encore son nom. C'est un choix personnel. Isaac est aussi mon associé en affaire (en plus d'être mon second enfant à charge. Et dire que c'est lui qui doit me verser une pension...). Ça reste entre nous mais être faussaire ça paye pas mal mais ce n'est pas aussi facile qu'on pourrait le croire. Que pourrais-je vous dire de plus ? Je suis comme tout le monde après tout, malgré mes vieux travers et mes délires fictifs.
who am I
ꕥ âge : 50 ans
ꕥ orientation sexuelle : J’aime bien qui je veux et je désire bien quoi je veux. Oui, j’ai bien dit quoi. De toute façon je sais que vous l’interpréterez comme ça vous arrange.
ꕥ situation : Divorcé(e), deux fois. j’ai une « super »  fille de 16 ans. Elle a 16 et une famille un poil dysfonctionnelle… quoi, je vous fais pas un dessin. Franchement ? On a connu pire.
ꕥ occupation : Officiellement je dirais que je suis mère au foyer ou… en réinsertion professionnelle à durée indéterminée. Plus officieusement, je suis aussi Romancier graphique, et je paye le loyer en étant faussaire.
ꕥ quartier : Le Bronx. Il y a de la place pour un atelier d'une bonne surface, et le loyer est très raisonnable. Mais que demande le peuple ?
ꕥ qualités : De façon générale… je dirais que je suis d’un naturel plutôt tranquille et pacifique, d’un abord assez facile. J’ai une patience et une minutie irréfutable en matière de travaux manuels. Je n’ai pas besoin de grand chose et je suis ordonné. Je fais aussi preuve d’altruisme avec mes congénères.
ꕥ défauts : Mais… Je ne sais pas m’attacher vraiment aux gens. Me connaitre est difficile. Au fond je suis  une âme solitaire dont l’esprit peut dérailler et tourner en boucle sur des obsessions lancinantes. J’ai besoin de repères fixes assez stricts pour parvenir à mener une vie normale.
ꕥ passions : Son oeuvre, les pièces vides, les espaces publics vides…
ꕥ communautés : {#}LGBT{/#} Center Manatthan
ꕥ scénario/pré-lien : Nope
ꕥ groupe : Fit Hot guys have problems too,  Evidement ! Si on ne peut même plus rire… I NEED HELP.
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? Pourquoi po... petit petit petit.
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Bonjour, je suis une Fougère Extraterrestre de 666 années. Je suis une mamie du RP (pas loin des 15 ans, déjà...), je porte des charentaises et je dis souvent : c'était mieux avant que je ne comprenne plus rien à ce que les jeunes ils écrivent force d'utiliser des mots compliqués pour faire "jolie" (en postillonnant à cause de mon dentier). Je suis une reeeeelaaaax du rp, j'aime me marrer, faire du drama et du WTF. (et faire des fiches personnages me gooooonfle.  quooi ).
En gros, vous allez me détester.  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2958767705   

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : je lis pas
ꕥ un film :  je regarde pas de film
ꕥ une série :  je regarde pas de série non plus
ꕥ une chanson : je suis sourde
ꕥ un animal : je suis allergique
ꕥ un plat/dessert : le carton
ꕥ une boisson : le chateau Lapompe
ꕥ une célébrité : je connais personne de célèbre
ꕥ un pouvoir magique : Je ne maille pas les collants (et la magie ça existe pas au fait)

ꕥ un trigger : Je sais pas trop... potentiellement tout peut être interessant à explorer et peut aussi mettre mal à l'aise en même temps. Au pire si ça me choque, clairement je le dirais (avec respect quand-même) et je ne lirais tout simplement pas.  Tag lgbt sur I've got 99 problems 1380091441

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Essentiellement payer mes factures, soutirer une pension à mon Con attitré, jeter ou non ce t-shirt… Je n’ai aucun problèmes particuliers, parce que j’en ai beaucoup trop sur les bras depuis longtemps et que je ne peux pas vraiment les régler. Donc, disons que se concentrer sur le quotidien c’est très bien pour mener une vie normale et ne pas sombrer dans une forme sévère de dépression. J’ai déjà suffisamment donné dans ma jeunesse. Disons qu’avec l’âge j’atteins enfin une forme de sagesse il faut croire.


Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
C’est vrai, je bois pas mal de café, et du thé, avec un lichette de whisky dedans au petit déjeuner. J’avoue.
En toute franchise, je dirais que le travail est mon addiction principale. Oh, non, je ne parle pas de mon activité de faussaire. Ça c’est juste alimentaire. Je parle de mon roman graphique : LOG

Ça fait bientôt 30 ans que j’y consacre un temps non négliageable. 1342 épisodes à ce jour. Tous disponibles gratuitement sur mon site. De quoi ça parle ? Oooh… De beaucoup de choses… Je suppose que chacun y voit ce qu’il veut.
Non, on me l’a déjà proposé mais je n’ai jamais souhaité éditer. Ça peut paraître prétentieux sans doute, mais… je souhaite que mon oeuvre soit accessible à tout le monde et qu’elle puisse aider certaines personnes… Personnellement, ça m’a aidé à surmonter beaucoup de tempêtes.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
J’ai 50 ans et une adolescente à charge. Je suis doublement divorcé d’avec un con d’envergure intergalactique qui occupe pourtant une place quotidienne dans ma vie. Ce qui n’est, soyons honnête, pas près de changer. Et puis au cas où vous ne l’auriez pas encore compris, je me fais pousser la moustache, on m’appelle monsieur, tout en ayant un vagin. Entre nous, vous vous doutez bien que ma dernière relation sérieuse remonte à un long moment. Pour être exact, ça remonte à 6 ans… et disons que cette charmante personne et moi-même somme dans un froid certain à cause d’Isaac… Y’a bien que lui pour croire qu’on s’est séparés à cause d’une divergence de point de vue sur la façon de ranger les assiettes dans le lave vaisselle. Non, il n’est pas idiot, il me connait juste beaucoup trop bien.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
l'histoire de ma vie:


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
Je peux le faire en cinq seconde. Aucune, je suis née sous X et je n’ai jamais cherché à connaitre mes parents biologiques. Je suis mère, j’ai été épouse, c’est la seule famille que je connais.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
Je n’ai pas tellement de loisirs… Je suppose que je suis comme tous le monde, il m’arrive de sortir un peu. Je n’ai pas énormément d’amis, les relations sociales et moi c’est assez…  chaotiques. On fait des soirées lasagnes et western spaghetti à la maison le jeudi soir ? Sinon, je travaille encore, vous savez maintenant sur quoi.

Et puis, être un bon faussaire ça demande aussi une bonne connaissance en histoire et en techniques dépassés depuis des lustres. Il faut avoir la bonne toile, la bonne composition des peintures. Je passe plus de temps en recherche et dans les antiquaires pour trouver du matériel que sur la toile même. C’est pas si horrible, ça fait passer le temps de faire tous les marchés d’antiquités et les vides greniers de l’état.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
J’ai abandonné ma fille au soin de son handicapée de père pendant presque une année. Je n’avais pas vraiment le choix, je commençais à me taper la tête contre les murs… non, ce n’est pas une métaphore. Je crois que Myrtle a plus souffert que moi durant cette période, même si elle ne portait pas de camisole. Ce qu’il y a de bien avec les cachets qu’on vous donne à l'asile, c’est que le temps passe très différemment, qui tout est anesthésié. Ce n’était hélas pas le cas pour elle.

this session is gonna be different
pseudo/prénom ꕥ La Fougère Extraterrestre (la seule et unique... sinon c'est une contrefaçon)666 ans
fréquence de rp : On va dire 1 rp par mois, ouep. Tag lgbt sur I've got 99 problems 2958767705 ϟ fréquence de connexion : une fois par semaine ? ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? heu... je dirais... Moyen ? Pas trois lignes, mais pas 3 pages non plus quoi.  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2153884322 ϟ avatar à réserver : Tilda Swinton ϟ de quelle couleur sont les petits pois : je sais pas ce que c'est  Tag lgbt sur I've got 99 problems 2958767705 ϟ comment avez-vous connu 99 ? par... des...  Tag lgbt sur I've got 99 problems 245165265  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? non  Tag lgbt sur I've got 99 problems 1380091441  
tumblr (gif) solsken (avatar)

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