La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
-20%
Le deal à ne pas rater :
(Adhérents Fnac) Enceinte Bluetooth Marshall Stanmore II Noir
199.99 € 249.99 €
Voir le deal

20 résultats trouvés pour The

Orion - Whatever it takes

Invité
9 r ; 167 v.
Jeu 26 Mai - 21:48
Orion Blackwater
I need help
ID CARD
{@=957}Orion Blackwater{/@}
35 ans - Barmaid au Overkill et moniteur d'équitation au Pegasus Hill Stables
FEAT : Matthew Daddario
Enfant unique d'une famille modeste au haut Potentiel Intellectuel. Il a eu un accident de voiture et souffre de TSPT, après avoir appris qu'il avait tué une personne et était à l'origine d'une fausse couche. Il a plongé dans l'alcoolisme suite à cela.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Américaine
Orientation : Hétérosexuel
Situation : célibataire
Occupation : Moniteur d'équitation au Pegasus Hill Stables et Barmaid au Overkill
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités : Loyal, Travailler, Intéligent (il est haut potentiel intellectuel), persévérant, ambitieux, Dynamique
Défauts :Trop ambitieux, malchanceux, Impuslif, sournois, Angoissé, provocateur
Passions : Equitation, alcool, les échecs
Communautés : {#}Pegasus{/#} Hill Stables; {#}The{/#} Overkill {#}Clean{/#} Together






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
tw: mention d'adultère, de fausse couche et d'accident de voiture.
Tu es né dans une famille assez modeste, ta mère,professeur et ton père conseiller en assurance, on toujours travaillés dur Si bien que tu as souvent été gardé par des nourrices, avant d'aller à l'école. Déjà petit, tu montrais des signes de haut potentiel et c'est ta nouorrice qui a prévenu tes parents, que tu étais un peu trop en avance par rapport aux autres enfants de ton âge. Ta mère cumulait un deuxième travail en temps que monitrice d'équitation, et c'est d'elle que tu tiens ta passion pour l'équitation,que tu as commencé tout petit. C'est à l'école primaire que ta maîtresse mis au courant tes parentss d'aller voir un psyciatre pour toi, car tu avais énormément d'avance sur les autres. Tu avais donc fais de nombreux tests et c'est ainsi qu'on te diagnostique haut potentiel intellectuel. Tu avais sauté des classes, étant toujours le plus jeunes dans tes classes, obtenant ton bac assez rapidement. Tu ne ais toujours pas à ce jour que ton haut potentiel est de la faute de ta mère qui a trompé ton père et que tu as un demi frère caché et que ton père n'est pas celui que tu crois, mais bien un certain Mr Wright, famille très intelligente et fortunée.
En grandissant,tu devins tout comme ta mère moniteur équestre à the Pegasus Hill Stables, et tu pris un boulot le soir en plus en temps que Barman à The Overkill. C'est à l'écurie que tu fis la connaissance de June Becker, de qui tu devins un moment amant, avant de finalement mettre fin à la relation, apeuré et angoissé. Pourquoi et bien tout simplement parce qu'elle ressemblait à la personne que tu avais vu sur les journaux,le lendemain de ton accident de voiture. Tu rentrais de ton travail de barman, ayant un peu abusé de l'alcool. Tu n'avais pas fait attention à la voiture venant d'en face et l'impact avait été plutôt fort. Tu t'étais remis rapidement, ta voiture marchant encore. Tu avais décidé de jeter ta voiture dans le fleuve le plus proche pour ne pas laisser de preuves. Par la suite, tu avais pu lire dans le journal que cet accident avait provoqué la mort d'une personne et une fausse couche.  Bien évidemment, tu sais que tu vas voir ta psychologue et que tu lui parles de ton addiction à l'alcool, mais pour le moment, tu n'arrives pas à parler de ton traumatisme de cet accident. Pourtant, tu as croisé la victime de cet accident, depuis maintenant deux ans et vous vous parlez par texto. A présent, tu es son moniteur équestre et tu hésites à lui demander une promenade en cheval. Parce que tu adores la voir sourire. Et malgré toio, tu te sens coupable de la mort de son bébé et de son mari et tu veux plus que tout faire en sorte de lui remonter le moral...



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom :Nathou
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  Meurtres viol  
Avatar à réserver : Matthew Daddario
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Tumblr
oui

baby, i'm jealous and i know that it ain't right (saem)

Invité
7 r ; 283 v.
Mar 12 Oct - 19:55
saem ji-woon
just small daddy issues
ID CARD
{@=171}Saem Ji-Woon{/@}
30 ans – kinésithérapeute
FEAT : wi ha-joon
Saem est né à Busan, en Corée du Sud, dans une famille plutôt aisée où la pression sociale est de mise pour réussir. Il décide de se lancer dans des études de médecine, suivant les pas de son père, et a l'occasion de faire ces dernières aux Etats-Unis, à NYC, lors d'un échange universitaire. Ce n'est que pour un an au départ et pourtant, Saem ne quitte plus jamais la ville. Il s'installe définitivement à NYC avec sa soeur jumelle. Quelques années plus tard, il décroche son diplôme de physical therapist haut la main et tient son propre cabinet sur Manhattan. Niveau vie privée, Saem est homosexuel et a fait son coming-out à sa famille lorsqu'il était à NYC. Ses parents l'ont plus ou moins accepté, ou plutôt font comme si de rien n'était. Il retourne en Corée du Sud très rarement, lors d'évènements familiaux où il doit faire un effort pour participer.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Sud-coréen.
Orientation : Homosexuel.
Situation : Célibataire.
Occupation : Kinésithérapeute dans son propre cabinet qu'il partage avec d'autres professionnels de santé.
Quartier : Staten Island.

and what else ?
Qualités : consciencieux, calme, indépendant.
Défauts : solitaire, réservé, méprisant.
Passions : natation, voyager, découvrir de nouveaux restaurants.
Communautés : {#}The{/#} Outpost, {#}Act{/#} Up New York.




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Faire semblant d'en avoir quelque chose à faire que ma cousine se soit faite larguer. J'ai l'impression que ça fait des années que j'en entends parler alors que ça fait uniquement quelques semaines – ou mois ? J'ai perdu toute notion du temps avec elle. Je ne sais même pas pourquoi elle s'acharne à venir pleurer de mon côté comme si je pouvais la comprendre...

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Pas à ma connaissance. Je n'ai pas non plus de passions particulières, pas une chose par laquelle je suis obsédé en tout cas. Certes, je pratique la natation durant mon temps libre mais c'est plus pour me tenir en forme qu'autre chose.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Ca durait depuis quatre ans déjà. On vivait ensemble. Et puis la routine a fini par s'installer, la passion s'envoler et mes sentiments ont pris la fuite petit à petit. Ca a été compliqué, autant pour lui que pour moi. Je pensais que c'était l'homme de ma vie. Depuis, je n'ai pas été capable de me relancer dans une relation.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Well, maybe he's nice..." à ma soeur jumelle qui vient tout juste de me montrer son prochain date Tinder.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Si vous y tenez... Disons que je vis bien mieux depuis que je suis loin d'eux. Je les revois de temps en temps quand je vais en Corée du Sud mais ça reste rare. On s'envoie des messages de temps en temps avec mes parents pour prendre de nos nouvelles mutuellement mais ça s'arrête là. A vrai dire, je ne suis pas très famille.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? La natation. Tous les matins avant d'aller travailler ou de commencer ma journée, je vais à la piscine olympique pendant une ou deux heures pour nager. Je prends part aussi à Act Up New-York où je suis militant agréé pour les dépistages du VIH et des IST.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Avoir tenté une approche avec l'ex (qui était à ce moment-là son mec) de ma cousine, ça compte ?



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Debo.
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Le vomi. 
Avatar à réserver : Wi Ha-joon.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Moi-même.
Souhaitez-vous un mp d'intégration No thanks.  love

days pass by and my eyes stay dry, and i think that i'm okay (liam)

Invité
14 r ; 490 v.
Sam 28 Aoû - 17:42
liam robbins
fit hot guys have problems too
ID CARD
{@=916}Liam Robbins{/@}
27 ans – ancien pilote de F1
FEAT : gavin leatherwood
Liam est né à New-York même, élevé par sa mère sans connaître une seule information sur son géniteur qui a pris la fuite. Il se passionne dès son plus jeune âge pour le sport automobile et sa mère sacrifie énormément de son temps et son argent pour réaliser les rêves de son fils même si elle pense que ce n’est qu’une lubie dans un premier temps. Pourtant, Liam enchaîne les compétitions et est bien décidé à percer dans le milieu. Il a enfin l’occasion rêver de rentrer en Formule 1 lorsqu’il déménage en Angleterre avec sa mère et son beau-père. Quelques années plus tard, il devient officiellement un pilote de F1, décrit comme un jeune talentueux dont il faut se méfier. En 2021, il est premier du classement à la moitié de la saison et compte bien devenir champion du monde  pour la première fois de sa carrière. Seulement, il rencontre un terrible accident lors du grand prix de Hongrie et en août 2021, sa carrière s’arrête brutalement. Il retourne alors définitivement s’installer à New-York pour commencer sa rééducation suite au crash qui a détruit tous ses rêves.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain.
Orientation : Hétérosexuel.
Situation : Célibataire.
Occupation : Ancien pilote de F1 dans l’écurie de Mercedes, sa carrière est en pause pour une durée indertéminée.
Quartier : Un penthouse à Manhattan, Upper East Side.

and what else ?
Qualités : combatif, joueur, compétitif, déterminé.
Défauts : arrogant, impulsif, provocateur, orgueilleux.
Passions : les courses automobiles, le sport, les jeux vidéos.
Communautés : {#}The{/#} Lift,  {#}Cours{/#} de yoga au Meow Parlour.




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Pouvoir retrouver toutes les sensations de mon bras gauche, peut-être ? Ou alors arrêter de ressasser le passé, arrêter de penser à ma dispute avec Swann. Réussir à faire une croix sur des années de ma plus belle amitié pour de bon. Arrêter de culpabiliser, de vouloir remonter le temps. Ouais, y a pas mal de choses qui me prennent la tête en ce moment.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). La vitesse, les courses. Mon métier, c'est ma passion. Être au volant, faire un freinage un peu trop tardif dans un virage... Enfin "mon métier", j'avais presque oublié que je n'étais pas prêt de retourner sur un circuit de ci-tôt.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Bonne question. J'ai rarement eu des relations sérieuses et la dernière fois que j'ai fini dans le même lit qu'une femme, ça m'a valu la perte de mon meilleur ami. On peut dire que j'ai merdé, en quelque sorte. Mais pas pour elle, parce que je m'en foutais au final. Pour lui.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "I fucking hate yoga."... C'est plutôt clair, non ?

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ma mère est la personne la plus importante à mes yeux. Elle m'a toujours soutenu et je ne pourrais jamais la remercier assez pour tous les sacrifices qu'elle a fait pour me permettre de vivre de ma passion. Maintenant, c'est à mon tour de la chouchouter. J'ai aussi une très bonne relation avec mon beau-père qui est un peu comme le père que je n'ai jamais eu.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Enormément de sport, pour garder la forme et parce que j'aime me dépasser. Mon coach sportif m'a d'ailleurs forcé à m'inscrire à des sessions de yoga car d'après lui, cela ne peut me faire que du bien. Entre nous, je peux vous dire que c'est sacrément humiliant de voir des vieilles proches de la maison de retraite être plus souple que vous. Ah et aussi, je stream de temps en temps sur Twitch. C'est parti d'un délire avec d'autres gars de la F1, sauf que moi je n'ai plus que ça à faire maintenant.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Vous voulez m'écouter parler pendant des heures ?



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Debo.
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Le vomi. 
Avatar à réserver : Gavin Leatherwood.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: all-souls.
Souhaitez-vous un mp d'intégration No thanks.  love

a king with no crown (aidan)

Invité
17 r ; 564 v.
Dim 4 Juil - 14:34
aidan blackson
fit hot guys have problems too
ID CARD
{@=892}Aidan Blackson{/@}
27 ans - comédien
FEAT : dacre montgomery
Aidan est l'enfant unique d'un père anciennement rugbyman professionnel reconverti à ce jour en journaliste sportif et d'une mère femme d'affaire. Il est né avec une cuillère en or dans la bouche, jetant l'argent de ses parents par la fenêtre durant des années avant que ces derniers décident de le déshériter suite à son comportement. C'est donc en 2018 qu'il se retrouve à la porte de la villa familiale, viré du Gotha et blacklisté des soirées mondaines, prêt à en découdre (ou pas) avec ce qu'il nomme "le monde des gueux". Grâce à son premier rôle dans la troupe du Theatre Row, il se découvre une passion pour la scène et vit désormais de cela, en plus de trouver des petits contrats de mannequinat par-ci par-là.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain pur souche.
Orientation : Hétérosexuel.
Situation : Célibataire.
Occupation : joue Phillip Carlyle dans le musical The Greatest Showman de la troupe Theatre Row.
Quartier : Brooklyn, en colocation avec Jo.

and what else ?
Qualités : talentueux (c'est ce qu'il croit), sociable, charmeur, sûr de lui.
Défauts : narcissique, peut vite paraître hautain et même parfois arrogant dans sa façon d'être, se prend un peu trop au sérieux.
Passions : le rugby, le théâtre, les voitures.
Communautés : {#}The{/#} Lift, {#}La{/#} Troupe du Theatre Row.






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Supplier Madison de me reprendre dans la troupe, quitte à faire mon comédien et pleurer devant elle pour qu'elle accepte. Sinon trouver un moyen de faire disparaître celui qui a le rôle de Phillip Carlyle actuellement pour récupérer sa place mais bon... Espérons que je n'ai pas besoin d'en arriver jusque-là, n'est-ce pas ? Au cas où, j'ai déjà acheté de l'huile pour en mettre sur scène. Mais juste au cas où, ne vous faîtes pas de film.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Ma voiture, que je vais enfin récupérer à mon retour à NYC. Elle m'a manqué... Dire que j'ai failli la vendre avant d'aller à Paris, vous vous rendez compte ? Heureusement que j'ai préféré faire mon riche dans ma vie de gueux pour me louer une place de parking dans la ville juste au cas où. Ce n'était pas du tout dans mes projets de revenir ici mais soit, me revoilà. Avec ma magnifique bagnole, prêt à parcourir les rues de NYC.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? C'était avec Sacha, à Paris. Je ne sais pas si cela s'est terminé vraiment mal, mais ce n'était pas non plus la rupture du siècle. On s'est rencontré dans la capitale et elle a eu une opportunité pour retourner à NYC. J'ai refusé de la suivre... Puis j'ai regretté au bout de quelques mois. Vous comprenez un peu mieux pourquoi je remets les pieds ici ? Ouais, pour reconquérir une femme. Ouais, je suis un canard.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "I'M BACK" à mon meilleur ami, Noam. Bon, il doit encore être avec sa copine au lieu de venir me chercher à l'aéroport mais que voulez-vous que je vous dise...

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Cela fait maintenant plusieurs années que je n'ai plus de nouvelles et ce n'est pas plus mal. Pour moi, ils n'ont plus du tout leur place dans ma vie et pour rien au monde je ne reviendrais vers eux pour quoi que ce soit.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Du sport, beaucoup de sport pour entretenir mon corps de rêve. Je m'organise aussi souvent des road trips avec ma voiture mais à Paris, c'était un peu compliqué. Là-bas, je me déplaçais surtout à vélo pour faire plaisir à la Maire de la ville. Vive l'écologie ! Non, je déconne. C'est juste que je n'avais pas assez d'argent pour m'acheter une autre voiture et participer à la pollution de la ville. Et non, mon expérience à Paris n'a pas été digne d'Emily in Paris...

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Je n'ai pas de fait peu glorieux à vous raconter. Vous me prenez pour qui, au juste ? J'ai beau avoir été renié par mes parents, je reste un Blackson. Et un Blackson a toujours la classe en toute circonstance (sauf Ruby et Eden, ma cousine et mon cousin... eux restent des gueux).



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Debo.
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Le vomi. 
Avatar à réserver : Dacre Montgomery.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Celestial Mite.
Souhaitez-vous un mp d'intégration No thanks.  love

no one knows us (cesar)

Invité
9 r ; 447 v.
Mar 25 Mai - 18:27
cesar MUÑOZ
i need help
ID CARD
{@=877}cesar MUÑOZ{/@}
27 ans - mécanicien
FEAT : danny ramirez
Cesar vient d’une famille mexicaine nombreuse qui a immigré aux États-Unis peu de temps avant sa naissance. Il y a quelques années, son père se blesse gravement et se voit contraint d’arrêter de travailler. C’est sa mère qui prend le relai et le manque d’argent se faisant ressentir au sein du foyer,  son grand frère Miguel tombe dans des affaires louches (même s’il prétend le contraire à sa famille) tandis que Cesar enchaîne les petits jobs au lieu de continuer ses études de droit. Mais en mars 2021, Miguel disparaît. Son corps est retrouvé quelques jours plus tard et Cesar se met en tête de résoudre lui-même le meurtre, quitte à empiéter sur le travail des enquêteurs et se mettre en danger. Cesar, c’est une tête brulée, un peu trop impulsif pour son propre bien et qui déteste une chose par dessus tout : l’injustice. C’est pour cela qu’il a tendance à vouloir faire justice lui-même.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : Mexicaine et colombienne.
Orientation : Sa mère a été très claire sur le fait qu’il devait se marier et lui donner des petits-enfants avec une femme et il ne vaut mieux pas la contrarier, ça répond à la question ? Dans les faits, c’est tout de même un peu plus compliqué.
Situation : Célibataire, pas le temps de se préoccuper d’une quelconque relation.
Occupation : Après avoir arrêté ses études de droit après trois années d’études, il enchaîne depuis les petits jobs. C’est l’homme à tout faire par excellence. Depuis plusieurs mois, il est mécanicien dans une concession automobile et cela lui convient pour le moment.
Quartier : En colocation dans le Bronx.

and what else ?
Qualités : Perspicace, courageux, loyal, cultivé.
Défauts : Impulsif, borné, rancunier.
Passions : Netflix and chill, boxe, escalade.
Communautés : {#}The{/#} Lift, {#}Les{/#} habitants du Miranda Heights, {#}El{/#} Halito.






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Résoudre le meurtre de mon grand frère, comprendre ce qui s'est passé quitte à devoir me mêler ce qui ne me regarde pas et à piétiner sur le travail des forces de l'ordre. Je n'arrive pas à rester là, à attendre tranquillement sans rien faire. J'ai besoin de savoir et de parler aux dernières personnes qui ont vu mon frère. Ce qui fait le plus mal, c'est de l'avoir vu changer, plonger et n'avoir rien pu faire pour l'arrêter. Et de ne pas pouvoir lui dire au revoir.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Je n'ai pas d'addiction particulière... Je ne fume pas, je ne bois pas de café car je déteste le goût. Hm, à part peut-être la nature et l'escalade. Trouver les meilleurs parcours possibles, fuir le centre-ville, m'évader loin... C'est ce qui se rapproche le plus d'une passion dans ma vie mais de là à parler d'addiction, c'est tout de même

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Pas de la meilleure des manières. J’ai eu droit à mes quatre vérités…. C’est-à-dire, que je suis un lâche, que j’ai constamment peur et que je n’arriverais jamais à être heureux en continuant de me comporter de cette façon. J’ai fait ce que je sais faire le mieux : jouer l’indifférent et rester dans le silence jusqu’à ce que cela finisse par se calmer, comme d’habitude. Mais cette fois-ci, la porte s’est claquée définitivement.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Je suis là dans 5 minutes", à ma soeur avec qui j'ai rendez-vous dans un café.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? On s'aime, on ne le se dit pas mais on le sait. Ca reste quand même compliqué. Ma mère me parle sans arrêt de mariage, de lui présenter quelqu'un, son souhait d'avoir des petits-enfants et disons-le clairement... ce n'est pas du tout dans mes projets actuellement. Puis depuis qu'il n'y a plus Miguel, c'est différent. L'ambiance est pesante. Personne n'ose se parler. Je passe souvent à la maison familiale pour m'occuper de mes frères et sœurs mais ce n'est plus pareil.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je fais beaucoup de sport, principalement de la boxe et de l'escalade en intérieur et en extérieur. Surtout en extérieur, car ça me permet de découvrir de nouveaux lieux à New-York même et aussi en dehors. Cela me permet aussi de souffler, de ne penser à rien d'autre que les gestes que j'applique. Je déteste rester enfermé, j'ai ce besoin constant de bouger.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Difficile d'en choisir qu'un seul, ma vie étant un fait peu glorieux à elle toute seule. Il y a la fois où j'ai voulu suivre Miguel dans ses conneries mais où j'ai fini par me barrer au dernier moment, la fois où j'ai voulu présenter une femme à ma mère pour qu'elle arrête de se poser des questions et que la relation s'est finie deux jours après... Disons que j'enchaîne constamment les mauvaises décisions et il faut croire que cela ne s'arrêtera jamais.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : debo.
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? le vomi.
Avatar à réserver : danny ramirez.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: moi-même.
Souhaitez-vous un mp d'intégration nope.

I Dreamed a dream: Je suis devenue une vedette - Meghan Greenwood

Invité
10 r ; 575 v.
Lun 1 Fév - 12:40
Meghan Greenwood
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=809}Meghan Greenwood{/@}
38 ans - vedette à
Broadway
FEAT : Anne Hathaway
Artiste multidisciplinaire qui a réussi à brûler les planches à Broadway en tant que comédienne et actrice de comédies musicales. Lorsqu'elle n'a pas de contrat à Broadway, elle fait du cinéma ou de la télévision. Retrouvez une femme sympathique, amusante, fonceuse qui est issue d'une famille très tissée!
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Ethnie/origines : anglaise, canadien (ses arrières-arrières-grands-parents ont émigré du Québec pour travailler dans le textile dans le Rhode Island) à suivre.
Orientation : Pansexuelle
Situation :célibataire
Occupation :Diplômée à Julliard en chant classique, artiste de théâtre et comédie musicale à Broadway
Quartier : Manhattan

and what else ?
Qualités : Affectueuse - Fonceuse - Disponible - Loyale - Sportive - Erudit
Défauts : Anxieuse - Manque de confiance en soi par moments - Réservé - Se méfie lors des premières rencontres sociaux - Routinière
Passions : karaoké, concerts de rock, boxe
Communautés :  Julliard School (ex-étudiante), {#}The{/#} Lift, {#}Broadway{/#}, {#}The{/#} Overkill,






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les damnés paparazzis! Ces vautours qui veulent tirer une photo pour soutirer une centaine de dollars aux plus offrants! Je n'arrive pas à les débarrasser, ils reviennent toujours à la charge quand je vais dans les lieux publiques.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Le café, je ne peux pas m'en passer! Il me faut ma dose de caféine pour passer à travers une longue soirée de tournage de cinéma ou de télévision. Malheureusement, quand je dois être sur la scène pour jouer du Feydeau ou préparer pour "Chicago", je dois m'en passer afin de garder les esprits en place.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? J'ai sorti avec une fille, il y a six ans. C'était une phénomène de la mode car elle sort des tenues vestimentaires branchées. On s'est fréquentées pendant deux ans et demi lorsqu'elle m'a délaissée pour vivre sa passion pour le design en France, on est restées en très bon termes.  

Le dernier texto que tu as envoyé ?Mon dernier texto s'adressait à ma soeur cadette, qui attendait un enfant. Je le cite: Félicitations ma petite soeur, je souhaite que tu sois une merveilleuse maman!. Faire un souhait à une parente, qui va accoucher d'un premier enfant, est très avantageux.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Comment est ma relation avec mes parents? Je peux en parler évidemment, j'ai vécu une relation très harmonieuse avec ma famille. Mon père fait la musique dans divers téléromans et ma mère dirige une maison de production pour des émissions jeunesses, des téléromans et émissions de variétés. Ils ont eu Stacy en 1975, maintenant une avocate qui possède son cabinet avec des associées. Une autre fille s'ajoutée en 1985, par le biais de l'adoption. J'ai été mordue par le jeu d'actrice quand j'avais cinq ans lorsque ma marraine, la soeur de mon père, m'accompagnait pendant le tournage d'une émission devant le public. Pendant une pause, un ami de ma mère, qui est le concepteur, m'a reconnu et m'a demandé si j'accepte de participer à jouer dans l'émission. La glace est cassée et j'ai décroché un rôle dans une autre série quand j'ai eu six ans. Malheureusement, mes parents vont décéder durant les vacances de Noel au Colorado, j'étais restée à Los Angeles avec ma soeur Stacy et une de ses amies. Grâce à la bienveillance de ma famille, j'ai quitté Los Angeles durant l'été 1994 pour m'installer chez une cousine dans le quartier de Greenwich Village. Le domaine artistique m'a toujours passionnée et à la fin de mes études secondaires, j'ai intégrée le collège Julliard pour travailler mon chant et mon jeu. C'est durant mes études que le terrible attentat du 11 septembre 2001 survient et par chance, Stacy était alitée en raison d'une pneumonie. Par la suite, grâce aux audtions, je n'ai pas pu doubler une comédienne dans une comédie musicale mais j'ai obtenu un rôle dans une pièce d'Arthur Miller, les Sorcières de Salem, j'interprétais une des accusées et un productrice française m'a offert de jouer dans une coproduction France-États-Unis, à Paris. Je n'ai pas eu le temps d'apprendre les subtilités du français puisque le tournage durait six mois. Durant mes voyages au Canada, j'ai eu l'aide de mes cousins et cousines qui habitent Toronto et Montréal.  

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? J'adore lire les romans policiers, fais de la cuisine pour les associations pour les LGBT. Pour me défouler, je fais un peu de boxe et de musculation et m'amuser, je m'excelle au karaoké, vais au cinéma et à la maison, je m'occupe de mes animaux, un chat abyssin et un chien labrador, deux êtres qui partagent leur maîtresse. Il m'arrive que je fais du shopping pour me changer les idées.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Lorsque j'ai passé ma première entrevue à la télévision, il y a un segment ou on doit relever un défi! Le défi que je dois relever est d'énumérer le plus de présidents américains.... en 30 secondes. J'ai été aux plus connus: Washington, Kennedy, Nixon, Reagan, Jefferson, Adams. J'avais énuméré la plupart des noms lorsque j'étais rendu à James Polk, qui a marqué avec l'annexion de l'Oregon. Dans mon énervement, au lieu de dire Polk, j'ai dit "Folk"! Je suis retrouvée avec une douche de matière gluante sur la tête en guise de récompense.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Alexistwister
Age: 39 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Oui, je suis très anxieux et parfois, ça me crée un certain stress. Parler d'anxiété est quelque chose qui me crée un malaise  
Avatar à réserver : Anne Hathaway
Crédit avatar utilisé dans la fiche: mélopée
Souhaitez-vous un mp d'intégration: oui je veux un mp, merci

Zhaleh | I'll let you love me

Invité
18 r ; 1020 v.
Sam 2 Jan - 19:28
Zhaleh Tabrizi
I need help
ID CARD
{@=797}Zhaleh Tabrizi{/@}
38 ans - Journaliste
FEAT : Golshifteh Farahani

Zhaleh est une femme iranienne musulmane. Elle est tout de même une femme moderne, cherchant son orientation sexuelle et tente de comprendre tout ce qui l'entoure. Elle déteste qu'on lui parle de quelque chose qu'elle ne connaît pas et s'empresse la plupart du temps à faire des recherches sur tout et n'importe quoi, de la série Games of Thrones à de plus gros enjeux comme les opposants politiques. Elle semble assez autoritaire, mais elle est une femme solaire malgré ce qu'elle a pu voir et vivre. Elle a perdu ses parents biologiques vers l'âge de six ans après la guerre imposée (Iran-Irak) et si leur souvenir deviennent flous, elle a un carnet qui appartenait à son père qui lui a apprit la relation amoureuse entre lui et Levi, l'homme à l'appareil photo comme elle l'appelait. Anciennement journaliste indépendante en Iran, elle s'est installée aux Etats-Unis il y a presque un an. Elle a obtenu un poste dans un journal moins engagé qu'elle le désirerait, mais il lui a été plus facile de prolonger son visa en ayant un contrat assuré pour au moins les deux prochaines années. Elle compte néanmoins se faire un nom dans le domaine du journalisme pour retrouver ses combats sur le féminisme, l'immigration et autres causes qu'elle soutient ardemment. Elle consulte actuellement un psychologue qui l'aide à gérer son passé et sa façon bien étrange d'aimer les autres. Elle est une femme qui idéalise rapidement les gens qui l'entoure et l'empêche de voir les lignes fragiles entre l'amitié, l'idole et l'amour. Elle tente de comprendre ce besoin qu'elle semble avoir de partager les passions de ses partenaires. Elle a beau être une femme au caractère fort et à l'assurance impressionnante, elle varie souvent ses goûts selon la personne qu'elle fréquente, une certaine façon de se rapprocher d'eux et de faire en sorte qu'elles ne l'abandonnent pas.      

QUICK AND DIRTY
Nationalité : Elle ne le cache pas, Zhaleh est iranienne. Elle a un visa qui lui permet d'habiter et travailler temporairement aux Etats-Unis. Elle trouve parfois les démarches administratives contraignantes et commence à penser rester sur le sol américain de façon permanente.  
Ethnie/origines : Elle avait beau ignorer plusieurs choses sur ses parents biologiques, elle sait cependant que son arbre généalogique n'est pas aussi complexe que plusieurs. Elle est iranienne tout simplement. Si elle ne se rappelle pas clairement, elle se souvient que du côté maternelle, ils étaient kurdes comme plusieurs autres habitants de son village. Elle n'est plus aussi attachée à ce côté musulman sunnite traditionnel, car Doreh, sa mère avait su s'en détacher en rencontrant son père plus ouvert d'esprit et sa famille, seulement, il faut dire que vivre selon une culture pendant une trentaine d'années, ça laisse des traces et des idées préconçues, même si elle n'aime pas l'avouer.   
Orientation : Elle a du mal à choisir quoi dire et semble plutôt éviter le sujet pour l'instant, car depuis son arrivée aux Etats-Unis, elle se rend compte que tout ou presque tout est possible. En Iran, la question de l'homosexualité est encore tabou et si elle s'est toujours convaincue qu'elle était simplement regardante sur le physique de jeune femme pour mieux leur ressembler ou par jalousie, il est vrai que maintenant elle se pose des questions, et si elle n'était pas qu'hétérosexuelle? Elle sait très bien qu'elle a de la misère avec le sens du mot aimer et la frontière entre l'adoration et l'amour lui échappe totalement.  
Situation : L'occasion qu'on lui passe la bague au doigt est arrivé à de nombreuses reprises, plusieurs inconnus, quelques amis d'enfance dont les parents imaginaient pouvoir la voir devenir une femme épanouie, mais la solitude lui a toujours convenu. Elle avait assez de travail et de cause à défendre sans devoir à défendre son statut social.  
Occupation : Elle était autrefois une journaliste indépendante en Iran, ça ne lui faisait pas gagner beaucoup d'argent, mais elle a finalement pu s'offrir son billet pour l'American Dream qui la fait pour l'instant un peu désenchantée. Elle a d'abord chercher à joindre des équipes de journalismes engagés avant d'accepter un poste dans un journal moins centré sur le féminisme ou le militantisme qu'elle le voudrait et dont elle fait preuve quotidiennement.  
Quartier : Elle vit dans le Queens, elle paie d'ailleurs le loyer grâce au travail qu'elle fait et quelques petits services qu'elle peut rendre aux voisins, garder les enfants, repasser un peu de vêtements, arroser les plantes ou garder les animaux de compagnie en leur absence et quelques fois le ménage lorsqu'il le faut. Elle aurait certainement dû s'installer au Bronx vu son budget, seulement, elle trouve le calme qu'il lui faut ici. Elle s'habitue aux bruits avoisinants, mais il lui est encore difficile de se retrouver dans des endroits où elle pourrait entendre des coups de feux et autres bruits qui l'effrayent.

and what else ?
Qualités : Zhaleh est solaire - forte - sûr d’elle - a une capacité de travail hors norme - combative - indépendante - honnête - activiste - empathique et optimiste.
Défauts : Zhaleh est aussi autoritaire - obstinée - têtue - impulsive - hypersensible - envahissante - pointilleuse; elle cherche la petite bête - manque de tact - peine à comprendre les coutumes, mais elle tente de s'intégrer et trop franche.
Passions : Depuis son enfance et sa rencontre avec Levi, la {#}littérature{/#} est devenue une passion. Elle s'intéresse à la {#}culture-générale{/#}, car elle déteste ne pas connaître ce dont on lui parle et elle s'est découvert une passion pour {#}lesplantesvertes{/#} et la botanique.
Communautés : Elle commence à se documenter à l'aide de personnes bénévoles du {#}LGBT{/#}, elle fait de la boxe au {#}The{/#} Lift pour garder une santé mentale de fer et elle compte se joindre au {#}club{/#} de lecture du Queens. Elle a aussi envie de joindre en tant que bénévole quelques causes qui lui tiennent à coeur ; {#}El{/#} Halito et {#}Orphans{/#} and their angels.






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

Ses souvenirs font souvent surface une fois qu'elle a les yeux fermés. Parfois, elle se souvient d'un détail qui semble minuscule, alors que d'autres fois, elle a l'impression de retrouver l'essence de ses parents, même si elle les a malheureusement très peu côtoyés. Elle peut parfois revoir des images qui lui avait justement fait fermer les yeux plus jeune. Elle a vu des scènes qu'elle ne décrit rarement si ce n'est jamais, car c'est un tue l'ambiance comme elle dit. Si elle sait très bien que ses images sont fortes et cauchemardesques, elle sait que son inconscient ne les a pas amplifiés. Après tout, même son esprit ne pouvait être aussi tordu, aussi dévasté que cette ville en ruine. Bombardée, comme ses repères. Cependant, elle se demande parfois si elle n'a pas recréer elle-même l'image de ses parents. Elle se fie maintenant davantage au carnet d'écriture de son père qu'elle possède encore qu'à ses souvenirs lorsqu'ils s'agit de sa mère, Doreh et son père, Atash. Son carnet lui a confirmé certains faits, souvenirs et a aussi complètement bouleversé sa vie. Comme quoi de simples phrases peuvent tout changer.

*
                                         
Sarpol-e Zahab, 1987. Ses parents. Ils étaient deux exemples de vies pour elle. Un cocon qui semblait si solide et s'avéra plus vide qu'elle ne l'avait cru. Les temps étaient difficiles, la guerre éclatait entre l'Irak et l'Iran, mais la petite ne comprenait pas. Elle tentait pourtant du mieux qu'elle le pouvait, mais comment une gamine de cinq ans pouvait comprendre une guerre politique si complexe? Même avec toute la volonté du monde, elle ne put comprendre que plus tard et un moindrement par ce qu'Atash ou même Levi voulait bien lui confier. Elle l'appelait par son prénom seulement lorsqu'elle voulait l'aborder directement, sinon elle le surnommait l'homme à l'appareil. Elle ne le savait pas encore, mais cet homme, il allait rester dans sa mémoire même une trentaine d'années plus tard. Elle lui confiait le moindre petit secret et si au début elle avait eu peur qu'il ne dise quoi que se soit à ses parents, il gagna rapidement sa confiance. Elle lui montrait la moindre petite chose qui pouvait la faire sourire et en échange, il lui apprenait le goût de la lecture, l'anglais et lui montrait les nombreuses photos qu'il avait su capturer. Un instant volé à ces personnes qui n'étaient certainement plus en état de montrer leur combativité comme il le faisait sur le champ de bataille. Se pouvait sembler sombre, mais elle savait que dehors, ça pouvait être dangereux, il fallait être prudent.

Même si Doreh et Atash veillait à ce que la petite ne soit pas aussi exposé à la guerre, ils savaient qu'elle était bien trop curieuse pour ne pas essayer de comprendre. Après tout, fille de deux enseignants et enfant unique, elle n'avait qu'une chose que ses parents avaient encourager le plus naturellement du monde : sa soif d'apprendre. C'était avec les yeux pleins de lourdeurs parfois qu'ils la regardait grandir dans cette ambiance, mais aussitôt que les yeux de l'enfant commençaient à les scruter, leur joie de vivre refaisait surface. Elle avait besoin de sourire, de regards apaisants, disait Doreh. Ils voulaient impérativement faire comprendre à leur petite "rosée matinale" que la vie ressemblait malheureusement à un front. Il fallait trop souvent se battre pour acquérir ce qu'elle voudrait plus tard. Même Levi, cet homme à la couleur de peau si pâle et aux yeux si clairs, lui avait dit de nombreuses choses qu'elle ne pouvait croire possible lorsqu'elle y repensait lors de son adolescence et d'une grande partie de sa vie en Iran.

Elle aurait voulu figer le temps. Ne pas les voir disparaître, ni ses parents, ni cet homme tout juste sorti d'un autre pays.

*

Sarpol-e Zahab, 1990. La fin de la guerre avait sonné il y avait déjà presque deux ans, seulement tellement de choses c'était produit depuis ce moment. La joie avait finit par quitter le nid un peu à la fois, pour finalement la laisser seule. Le premier a quitter le foyer fut Levi. Il avait beau avoir vécu une seule année sur le canapé familial, il était devenu le seul à qui Zhaleh donnait toute son attention. Il était parti et elle n'avait pas comprit. Elle savait que c'était dangereux dehors et qu'il ne devait pas toujours se mettre en danger pour capturer des images comme l'avait dit Atash, mais elle ne comprenait pas pourquoi il ne pouvait pas simplement rester ici sans devoir prendre le peu de bagage qu'il avait. Ensuite, ce fut le tour de son père. Atash, homme de conviction qui avait réussi à ne pas prendre les armes contre les Irakiens, avait été mobilisé en 1988.  Elle avait senti l'inquiétude et la tristesse l'assaillir tout comme Doreh, qui plusieurs semaines plus tard, avait ouvert la porte et était partie à la recherche de nouvelles de son époux. Malheureusement pour Zhaleh, il n'avait pas survécu à l'opération Mersad et Doreh ne reviendrait certainement jamais.

Elle avait passé des jours seule, sans sa mère ni son père. Quelque chose lui tenaillait l'estomac, si au début c'était parce qu'elle avait peur, les jours suivants, elle commença à entendre hurler son estomac qui ne couvrait malheureusement pas les cris et les sifflements, les ricochets de toutes les armes utilisées dans les villages avoisinants et tout près de Sarpol-e Zahab. Elle se couvrait les oreilles, mais les vrombissements lui traversait le corps, tout comme la ténacité de sa faim. Elle restait hydratée et une fois les assauts terminés, elle se décida à trouver quelque chose à manger, sa réserve de sohan finit depuis belle lurette. Elle s'était recroquevillé sur son canapé durant tout ce temps, et lorsqu'elle traversa le seuil de sa porte, elle vit tous les enfants qui venaient parfois demander des explications à Doreh ou Atash plantés là, comme elle l'était en ce moment, comme si une quelconque force avait arraché les parents de leur village. La mobilisation des pères pour plusieurs et des mères qui avaient protégés plusieurs enfants sans y parvenir. Plusieurs pilliers étaient là, choqués, trop jeunes, mais tout de même en âge de comprendre. Pour plusieurs, les genoux cédèrent, les larmes coulèrent, mais l'enfer avait déjà prit Sarpol-e Zahab dans ses filets.  

Pliée en deux, son corps essayait d'expulser une contenance qui n'existait plus. Des larmes, de la bile, elle ne savait plus. Elle était si désorientée qu'elle eut peine à gagner à nouveau le canapé sur lequel elle avait attendu. Et si elle guettait la porte qu'elle avait laissée entrouverte, ce ne fut ni le visage d'Atash, ni celui de Doreh qu'elle vit. Des collègues à ses parents, enseignants à l'école avait réussi à trouver la petite et l'avait aussitôt prit en charge. Surement une ultime demande que sa mère avait du prononcé, elle ne le saurait jamais. Elle fut simplement reconnaissante de trouver refuge chez des partisans des mêmes idéologies que ses parents. Elle entendit plus tard que l'ONU avait su aider les autres orphelins qui avaient pu survivre dans son village. Elle ne savait pas trop ce en quoi ils allaient les aider, mais il le ferait plus efficacement que ses parents adoptifs. Après tout, ils ne pouvaient pas prendre autant d'enfants à charge, ayant déjà les leur à s'occuper et à nourrir.  

*

Téhéran, 2002-2015. Officiellement adoptée, elle réussit à intégrer l'Université Shahid Beheshti où elle étudiera les sciences humaines et les lettres afin de devenir journaliste. Avec l'approbation de ses frères adoptifs et du père de famille, elle peut aller étudier sereinement sans avoir peur de représailles administratives. Cependant, elle sait qu'elle marche sur des œufs en empruntant cette voie. Lors de ses études et au long de ses premières années de travail, elle reste très en surface des sujets. Plusieurs arrestations dans le métier, hommes et femmes confondus, occupent une grande place dans les appréhensions de la relève médiatique. Elle voit rapidement des camarades de classes entrer en rébellion et être menottés. Elle ne peut rien faire pour eux, et si elle sent qu'elle devrait élever la voix devant tant d'injustice et de censure, elle reste sans mot, la bouche ouverte, la gorge nouée. Elle porte ses mains à sa gorge et ses mains se crispent sur le nœud de son voile. Elle aimerait avoir le courage et la force de tirer sur celui-ci, enlever son voile et faire retrouver à ses camarades la liberté, mais il est trop tard, si ce n'est pas devant la faculté, ce sera devant leur domicile, ils ont signé leur travail et savait au final que le gouvernement ferait ce qu'il a toujours fait : la chasse aux sorcières.

Elle qui se croyait en sécurité à Téhéran, elle déprima quelques jours avant de se remettre en tête qu'elle ne pouvait pas laisser les gens sans la moindre informations. Elle eut l'audace de parler des arrestations, avec une fausse neutralité qui avait endormi la politique. Elle était principalement journaliste grâce à un camarade qui avait vu le potentiel de Zhaleh à dénoncer sans éveiller les soupçons, et aussi sa maîtrise de l'anglais qui leur permettait d'avantage de liberté dans leur article. Ils travaillaient d'arrache-pied pour mettre en place leur propre journal et si au début, ils y mettaient des sommes et des efforts colossaux, ils finirent par voir leur travail se concrétiser. Deux camarades qui en unissant leurs forces avaient trouver une faille qui finirait certainement par leur coûter la peau, et ils le savaient. Une crainte encore plus profonde s'installa lorsque la vague d'arrestations des femmes journalistes et documentalistes d'octobre 2014, dont une qui avait simplement prit les clichés pour l'article. L'angoisse la tenait, alors qu'elle entendait partout "intention de propagande contre le régime iranien" et qu'elle savait bien que toute la documentation finirait certainement au sein des archives secrètes si elles n'avaient pu entrer en contact avec d'anciens camarades qui avaient choisis l'exil à juste motif.

*

Téhéran, 2017-2019. Les réseaux internationaux et l'exil étaient deux solutions et les deux seuls moyens de pressions qu'ils pouvaient utiliser, mais ils savaient aussi que la plupart des articles seraient aussitôt censuré par le gouvernement, mais entre agir ou ne rien faire, il fallait essayer. Se constituant leur propre réseau, Zhaleh et Ardeshir commencèrent à penser à former un blog commun, un front. Le projet était ambitieux, mais rien n'arrêterait les deux amis de le faire. C'est d'ailleurs à partir de ce moment qu'elle lui avouait la découverte qu'elle avait fait dans le carnet de son père, carnet qui avait éveillé depuis un bon moment la curiosité de l'homme. Si au début, il semblait aussi choqué qu'elle de la révélation sur la relation entre Levi et Atash, il fut le premier à lui dire de partir le retrouver. Elle ne pouvait abandonner leur projet, lui dit-elle rieuse au début, mais il était vrai qu'elle pouvait partir. Rien à part ce projet lui tenait aussi à cœur que de reparler et demander à l'homme à l'appareil pourquoi. Pourquoi il était parti aussi précipitamment? Elle se doutait bien maintenant, avec de meilleures connaissances politiques que son Ambassade avait certainement laissé peu de chance à l'homme de rester en Iran dans une telle situation, mais... Elle se demandait pourquoi il n'avait pas essayer de faire quelque chose. Quoi que ce soit même. Elle avait une certaine colère en y repensant et si elle la consumait et l'aider à bosser encore plusieurs heures sans trouver le sommeil, elle enviait Ardeshir de dormir sur son bureau qui faisait aussi office de salon. Après tout, leur espace de travail se résumait à l'appartement d'Ardeshir et de façon inconsciente, comme l'homme à l'appareil, elle avait aménager le peu de bagages qu'elle avait chez lui et dormait sur le canapé, éprouvant parfois un peu de gêne lorsqu'elle voyait la femme d'Ardeshir tenter de nettoyer derrière eux, trop concentrés sur le prochain article à faire paraître dans des journaux locaux ou dans le leur. Lorsqu'elle finit par sombrer elle aussi dans le canapé, elle pensait que les ordinateurs étaient simplement en veille, leur bruit l'apaisant et l'aidant à trouver le sommeil.  

Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il s'était réveillé pendant la nuit, reprenant sa place à son poste de travail. Encore à moitié endormie, ce fut le son de leur vieille imprimante qui la réveilla. Il lui tendait déjà un document dont elle ne savait pas le contenu. Peut-être qu'au final elle n'aurait pas dû l'ouvrir. Seulement, une fois tendu et la phrase éveillant sa curiosité dite "Je l'ai trouvé", elle avait déjà fait voler la page vierge du dessus. Il l'avait trouvé... Elle croyait qu'il avait trouvé un de leur ancien camarade dont la libération avait été annoncé, au lieu de quoi elle découvrait la photo de l'homme à l'appareil. Il avait vieilli, mais elle reconnaissait sa peau blanche et ses yeux clairs, comment les oublier? Elle ne savait pourquoi, mais elle avait aussitôt fermés les yeux, le revoyant une trentaine d'années plus tôt, alors que sans le vouloir, des larmes vinrent rouler sur ses joues. Jamais Ardeshir n'avait réellement eu de gestes aussi tendres pour elle, mais comme lorsque sa femme pleurait, il passait ses pouces sous ses yeux pour balayer la tristesse ou la joie de Zhaleh. Elle rouvrit les yeux, et ne savait plus quoi faire entre le remercier ou lui sauter au cou. Elle avait peine à décrocher son regard de sur son collègue et cher ami pour se focaliser sur le reste des informations qu'il avait pu trouver. Il l'aiderait, elle le savait. Peu importe ce qu'elle lui demanderait, elle savait qu'elle pouvait compter sur lui.       

Mais il savait très bien que le reste des démarches, elle les ferait seule. Elle avait toujours fait les choses à sa manière et seule, même si elle ne l'avait pas encore comprit. Si elle croyait qu'elle lui devait sa réussite, lorsqu'elle put obtenir son visa et qu'elle lui montrait le nombre d'informations sur la carrière de Levi Boyle, il lui avouait à demi-mots que sans elle, il serait perdu pendant quelques temps. Elle le consultait du regard, se demandant si c'était une façon pour lui de la faire rester, mais son cœur ne pouvait accepter de refuser de partir une fois le visa, le billet et son unique valise en main. Elle n'eut pourtant pas la volonté de lui demander s'il voulait qu'elle reste.

*

New-York, aujourd'hui.  

"Et une autre qui croit déjà qu'elle prendra les meilleures titres et qui fera la meilleure des ventes avec ses histoires de féministes et d'immigrés, c'est pas ça le journalisme. Tu tapes, tu reviens à la ligne, tu écris la rubrique qu'on t'a assigné on approuve, on aime l'idée et le contenu, sinon tu retapes et quand on est satisfaits, là tu encaisses ton chèque, compris?" Voilà l'accueil qu'il lui avait réservé. Elle aurait certainement tuer pour moins que cela, mais il y avait un contrat de deux ans avec cette poignée de main. Elle ne pouvait refuser maintenant. Elle avait à peine réussit à signer un bail de location et si elle ne montrait pas de contrat de travail rapidement, aussi bien dire qu'elle allait devoir dormir sous le pont. Elle avait donc accepté et se disait qu'elle trouverait mieux plus tard. Elle avait aussi eut des nouvelles d'Ardeshir qui l'encourageait à retrouver Levi, et de surtout, essayer de faire prolonger son visa. Il ne lui avait pas dit, mais il commençait légèrement à avoir des doutes sur une ouverture d'enquête contre leur journal indépendant, seulement, parfois, elle se doutait qu'à sa voix, il se passait quelque chose. Il prétextait des soucis avec sa femme qui était maintenant enceinte. Elle avait aussitôt cru son ami, ne cherchant pas plus loin, déjà bien préoccupé à garder un toit sur la tête, un renouvellement de visa et un contrat de travail.  


A suivre...
 



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Pomme
Age: 25 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Inceste, zoophilie et nécrophilie. Je ne pense pas avoir d'autres trigger, simplement un petit MP si vous n'êtes pas sûr va faire l'affaire.
Avatar à réserver : Golshifteh Farahani
Crédit avatar utilisé dans la fiche: corleone-avatars
Souhaitez-vous un mp d'intégration Oui, et merci d'avance.  keur

Poudre aux yeux • (Evan)

Invité
11 r ; 1047 v.
Dim 27 Déc - 11:00
Evan O'Reilly
IDK what you're talking about
ID CARD
{@=793}Evan O'Reilly{/@}
25 ans - Nettoyeur de contenu
FEAT : Jaco Van Den Hoven
Garçon paillette, clubbeur et fils de la nuit, Evan se retourne le cerveau par plaisir d'oublier son métier, et ses aspirations réduites en poudre. Le jour, il nettoie la merde sur le net, efface les reliquats du deep web et ses horreurs trop réelles pour le compte d'une boîte de censure de contenu violent. Ce n'est pas la vie dont il rêvait, et finalement, il n'a jamais vraiment su ce pour quoi il était fait. Au fond, il continue de culpabiliser concernant la cécité natale de son jumeau, traumatisme intériorisé depuis l'enfance. Alors, peut-être par envie de lui ressembler, ou de comprendre ce qu'il ressent, il s'abîme les yeux à sa façon.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain.
Ethnie/origines : Caucasien, d'origine irlandaise du côté paternel.
Orientation : Panromantique & Pansexuel.
Situation : Célibataire papillonant.
Occupation : Ancien étudiant en informatique et communication, désormais agent depuis un an dans une boîte de censure de contenu violent sur internet.
Quartier : Le Queens.

and what else ?
Qualités : Créatif • Indépendant • Sûr de lui • Franc • Loyal • Energique • Curieux • Volontaire • Altruiste • Tchatcheur talentueux • Drôle • Observateur • Bon cuisinier • Compétitif (principalement avec lui-même) • Persistant.
Défauts : Taiseux • Introverti sur ses ressentis • Colérique à retardement • Acerbe • Trop fêtard • Se laisse facilement emporter par son déni d'addiction • Menteur • Dépensier • Mauvais perdant • Couche-tard (à tendance hibou) • Têtu.
Passions : {#}théâtre{/#} {#}informatique{/#} {#}faire-la-fête{/#}
Communautés : {#}Les{/#} habitants du Oak Complex, {#}The{/#} Outpost, {#}Cours{/#} de théâtre du mardi soir, {#}Le{/#} club de lecture du Queens & {#}LGBT{/#} center Manhattan






that's my story / self diagnosis

Bidibip, bidibip, bidibip !
« Bon-jour mes petits lamantins ! Vous êtes bien sur Lounge Radio On, la station survitaminée qui vous donne envie de vous lever ! C'est Stella et moi-même qui vous accompagnerons durant toute votre mat-
- Oh ta gueuuuuuule. »

Un coussin bien placé écrase mollement le discours répétitif de Johnny, le co-animateur de cette fameuse Stella dans la non moins fameuse émission du matin. Evan y a droit cinq fois par jour, au même instant, à l'heure dite. Un 7:00 am rouge flash dans la chambre pleine de pénombre, teintée de la silhouette de son propriétaire que depuis trois heures seulement.
Ce dernier a la bouche empâtée, le cœur au ralenti, tout les deux malmenés par la soirée passée à écumer les lèvres les moins farouches d'une boîte en vogue de la ville. Les souvenirs sont parsemés de brume alcoolisée, comme son lit défait, parfum solitude éparse. Cette nuit, ce peu de nuit, il est rentré seul. Et chez lui. Une rareté dans son tableau de chasse, où figure, de temps à autre, ce genre d'acte raisonné. Comme une tâche dans le décor, un vide à combler dés que le week-end sera tombé.

Parce qu'aujourd'hui, on est seulement Mardi. Aujourd'hui, c'est un jour comme les autres, un début de semaine à peine entamée mais déjà épuisée. Quelques heures de boulot la veille et Evan a déjà besoin de s'évader. Ça promet pour le reste, qu'il se figure, la paupière lourde.

Dehors, il neige à peine. La motivation est à fleur de banquise fondue. Autant dire que le petit lamantin, lui, il veut juste continuer de ronfler.

[…]

7:30. 8:00. 8:15 am.

Une petite perturbation dans le spectre du sommeil. Un cauchemar. Trop d'images. Trop de choses gravées sur la rétine. Des terreurs qu'il n'a pas subi, qu'il efface et qu'il tait.
Cette routine que l'on veut oublier.

11.00 am.

La Belle au Bois Dormant ne fait plus d'heures supplémentaires.
C'est la vibration de son portable contre son tympan qui surprend la princesse au point de sursauter et s'écraser sur son parquet d'un autre temps. Le craquement serait capable de réveiller tout l'immeuble, si le reste du monde n'était pas déjà occupé. Le bâillement sourd et les cheveux emmêlés, le jumeau répond à l'appel de son cadet. De deux minutes, pas plus.

« Vué ?...
- T'as ta voix de quand t'es sorti.
- Vué.
- T'es en état de m'accompagner cet aprèm ? T'es sûr ? T'es pas au boulot là d'ailleurs ?
- Vué et... pas vué.
- Putain, Ev.
- C'est bon. J'dirais que j'étais malade. Y'm'doivent des heures de toutes façons. »

En poursuivant la conversation, Evan s'est redressé, paresseusement, au ralenti. Neil est toujours plus vindicatif quand il sait que son frangin fait des siennes. Des deux, paradoxalement, c'est Neil le plus clairvoyant. Ses yeux morts n'ont jamais été un frein pour lire les faits et gestes d'Evan. Même ses excès. Surtout ses excès.

« Sérieux, t'avais promis que tu commencerais à faire gaffe... Tes employeurs vont finir par vraiment gueuler.
- Tu m'appelles juste pour m'emmerder ou... ?
- Naaaan, ça c'est juste le bonus plaisir. J'voulais juste être sûr que c'était toujours bon pour toi.
- Mais oui. 15H00 au groupe de parole, j'ai pas oublié.
- Cool. Tu peux v'nir plus tôt et passer à la maison ? M'man a des trucs à te demander en plus.
- Quels trucs ?
- J'sais pas. Elle m'a dit que son ordi avait planté, ou chais pas quoi.
- Ok. J'avale un grecque et j'arrive.
- Ça marche, mais épargne moi les détails de ta vie sexuelle, tu seras mignon.
- … T'es con. »

D'un sourire à moitié défait, autant que son visage de plâtre marbré, Evan raccroche et fonce se réveiller sous un jet d'eau chaude. Une douche et une série de fringues plus tard, il sort enfin braver le froid de décembre et ses dérivés mordants. Verglas, buée, gosses criards qui hurlent au Père Noël. Evan n'aime le froid qu'en compagnie d'un plaid et d'un irish coffee. Ses pas s'écrasent le plus vite possible vers la sandwicherie à l'angle de sa rue, petit coin gras et chaleureux fleurant bon les épices. L'odeur lui flatte déjà les narines. Sous son bonnet laineux enfoncé jusqu'aux sourcils, il trace sans réfléchir. Alors c'est peut-être l'envie de remplir son estomac vide depuis trop longtemps, ou la simple idée d'échapper à la pluie givrée commençant à perler dans son cou, mais dans tout les cas, Evan ne remarque qu'à la dernière seconde le café renversé par mégarde sur son blouson, par un pas aussi pressé que le sien, si ce n'est plus encore. La personne au bout du gobelet le fixe, dans un instant suspendu. Et la tâche grandit sur la doudoune molletonnée.

C'est à qui s'excusera en premier, dans ce western moderne, aux accents de moka et de stress urbain.
Un épisode de vie typique, au cœur vermoulu de la Grosse Pomme.
Rien de plus, rien de moins.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Syato ou Victor
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Pas beaucoup, si ce n'est les actes de mutilation/scarifications, et la violence sur les animaux. Je prend le parti de toujours en discuter avec mes partenaires quand un sujet "touchy" peut être aborder irp.  cute
Avatar à réserver : Jaco Van Den Hoven
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Praimfaya
Souhaitez-vous un mp d'intégration Pourquoi pas, c'est plutôt une chouette initiative !  Tag the sur I've got 99 problems 2881807329

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 483 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Kal
Age: 22 dans 4 jours
Avez-vous des triggers personnels ?  don't think so
Avatar à réserver : Anirudh Ravichander
Crédit avatar utilisé dans la fiche: moi-même
Souhaitez-vous un mp d'intégration why not, I've got nothing to lose !

adrian -- “And now I'm right back where I started. Sober and miserable.”

Invité
11 r ; 557 v.
Dim 13 Déc - 13:26
adrian dawkins
I need help
ID CARD
{@=778}adrian dawkins{/@}
32 ans - barista
FEAT : sebastian stan
Adrian, au fond, c'est un bon gars. Il a jamais eu de problèmes à l'école, il n'a jamais eu de soucis relationnels, on peut même dire qu'il était populaire dans son lycée, dans son collège aussi. Sauf que la vie lui a pas fait de cadeaux à Adrian, quand il avait sept ans, son père a été condamné à mort suite à un braquage qui a mal tourné et sa mère s'est remarié quelques mois après le décès de son père parce qu'elle fréquentait cet autre homme alors que son père était en prison. Adrian l'a plutôt mal prit, mais c'était toujours un bon gamin. Même s au fond, il avait le coeur abîmé par l'absence de son père et le désintérêt que lui portait son beau-père. A ses 10 ans, sa mère lui a annoncé être enceinte d'une petite-fille et il a fait bloc, a refusé que quelqu'un d'autre vienne lui voler sa mère et il a eu des accès de violence de plus en plus poussé. Puis il a apprit à se faire à cette petite demoiselle qui, au fond, n'avait rien demandé.
tw:
C'est lui qui est allé chercher Lou à l'école pour qu'elle puisse dire au revoir à sa mère. C'est lui qui s'est occupé de l'enterrement. C'est lui qui s'est occupé de tout pendant que son beau-père était à l'autre bout du continent. C'est lui qui a calmé les cauchemars de sa soeur, qui l'a aidé avec son maigre salaire de barista chez Starbucks. Puis il a commencé à boire Adrian. Un peu trop. Un peu trop souvent. Jusqu'à finir mal et ne pas pouvoir venir en aide à sa soeur il y a trois ans de cela. C'est à partir de là qu'il a décidé d'entrer dans un centre pour se faire soigner. Et il est sobre depuis 3 ans maintenant.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : /
Orientation : hétérosexuel.
Situation : célibataire depuis trop de temps.
Occupation : barista au think coffee.
Quartier : bronx, miranda heights.

and what else ?
Qualités : Travailleur, altruiste, passionné
Défauts : jaloux, borné, irréfléchi
Passions : frites au fromage, café, cigarettes
Communautés : {#}Habitants{/#} du Miranda Heights
{#}The{/#} Lift
{#}LEA{/#}
{#}DriveSafe{/#}






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Son problème à l'heure actuelle reste de se faire pardonner au près de sa soeur. De se faire pardonner qu'elle a failli arrêter la danse classique à cause de lui, qu'elle a failli arrêter de danser tout court. Et puis aussi de ne pas recraquer et de ne pas retomber dans les aléas de l'alcoolisme, mais ça c'est une autre histoire. Ça c'est le plus gros des plus gros problème et il sait que ce n'est pas demain la veille qu'il le résoudra, ce problème.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Son plus gros addiction, ça reste l'alcool. Il ne peut pas entrer dans un bar sans avoir envie de boire une bonne bière, il ne peut pas passer une soirée sans avoir envie de boire encore et encore. Et pourtant il se soigne. Depuis l'accident qu'a eu sa soeur, depuis qu'il a pas été foutu de faire en sorte qu'elle n'ait pas ce putain d'accident, il se soigne. Il va voir un psychologue à l'hôpital, il a intégré un centre de désintoxication, il essaye de soigner son addiction mais c'est de plus en plus dur. Il y a aussi l'addiction à la caféine et à ses cigarettes. A croire que tout les vices ont prit part de son corps. Il y a aussi l'addiction au sexe, mais ça c'est une autre histoire, et celle-ci, il n'a pas vraiment envie de la soigner.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Well, quelle relation ? Celle qui a duré un mois alors qu'il était à Londres ? Non, il n'y a rien à en dire. Par contre la dernière relation qui a vraiment compté pour lui, c'était celle avec celle qui faisait battre son coeur un peu trop fort. Celle pour qui, il essayait de limiter la boisson, celle pour qui il essayait de rester sobre alors qu'il tapait dans les bouteilles beaucoup trop de fois. Celle qu'il a demandé en mariage aussi, et elle s'est barrée. Elle a dit non, elle a refusé. Et Adrian, il s'est promis une chose, ne jamais s'attacher. Plus jamais. Alors il ne le fait pas. Il aurait pu y avoir Jill qui aurait pu lui faire changer d'avis, mais après tout, elle s'est barrée comme l'autre. A croire qu'Adrian est celui qu'on abandonne après avoir eu ce qu'on voulait. A croire qu'Adrian est abandonnable facilement. Comme ça, en un claquement de doigts.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
miss you, little sister à sa soeur.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? (tw: mention ++ de cancer) Quels parents ? Ses deux parents sont décédés. Il aurait pu parler de son beau-père s'il pouvait le voir en peinture, s'il pouvait le voir sans avoir envie de lui crever les deux yeux. Parce que monsieur est rancunier, et il est toujours persuadée depuis qu'il a sept ans que c'est à cause de lui que son père est mort alors qu'il était en prison. Son père était en prison pour un braquage à main armée qui a mal tourné, il a finit par se faire attraper par la police parce qu'il était avec une équipe de bras cassés. Il a plaidé le cinquième amendement et il a été condamné. Il s'est fait tabassé en prison pour une raison qu'Adrian ne connaît pas. Et sa mère est partie rejoindre le ciel alors qu'il avait vingt-cinq ans. Un cancer du poumon qui a finit par se généraliser, rongeant absolument toutes les cellules vivantes de son corps. Les métastases avaient tout atteint. Adrian a su que c'était foutu quand le médecin l'a convoqué un soir, après qu'il soit passé voir sa mère qui était en soin palliatif. Il n'a jamais réussi à avouer la vérité à sa demie-soeur, qu'il savait que c'était fini quand il a passé la porte de leur appartement, les yeux rougis parce qu'il avait pleuré. Dernière fois qu'il a pleuré d'ailleurs. A l'enterrement, il n'a pas versé une larme, les yeux cachés derrière ses lunettes de soleil, droit comme un I à côté de ce beau-père qu'il détestait et qu'il détestera sûrement toujours.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? En dehors du boulot, il va à la salle de sport (trop souvent), il court, il s'aére l'esprit comme il le peut. Il voyage aussi, souvent d'ailleurs. Mais quand il le peut, seulement, quand il arrive à poser trois jours consécutifs dans la semaine. Et ça, ça devient trop rare. Parce qu'il essaie de tout faire pour gravir les échelons Adrian, et il sait qu'ils ne donneront pas le poste de manager à un tire-au-flanc, alors au lieu de passer sa vie au bar, il passe sa vie au travail. Et c'est beaucoup plus sain -ou pas, on sait pas-

Un fait peu glorieux à nous raconter ? s'il n'y en avait qu'un et il faut mettre tout cela sur le compte de l'ivresse. Il s'est endormi dans un caniveau, et il s'est réveillé dans une benne à poubelle. Mais le fait le moins glorieux est sûrement que suite à une soirée un peu trop alcoolisé, il est allé à un entretien d'embauche avec un dessin peu glorieux dessiné à l'encre invisible qui ne se voit que dans le noir et bien évidemment, il a fallu que le recruteur passe un power point de l'entreprise. Dans le noir.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Marion
Age: 27 ans.
Avez-vous des triggers personnels ?  agressions sexuelles et scarification
Avatar à réserver : adrian dawkins
Crédit avatar utilisé dans la fiche: jenesaispas
Souhaitez-vous un mp d'intégration je pense que ça ira Arrow

Ready to Run

Invité
15 r ; 574 v.
Mar 3 Nov - 14:56
Hoël  Quivillic
Fit Hot guys have problems too
ID CARD
{@=760}Hoël Quivillic{/@}
32 ans - ¨Paysagiste
FEAT : Brock O'Hurn Elevé dans une communauté peace and love à la campagne et dans des conditions plus que discutables, Hoël à voulu s'en éloigner le plus possible en grandissant. Même s'il à gardé de cette époque une chevelure sauvage, ainsi qu'un esprit très ouvert à tout ce qui pouvait se présenter à lui. Partagé entre l'Amérique de sa mère et la France de son père, il effectue souvent des voyages entre les deux continents. Paysagiste fortuné qui s'est fait une belle renommée, l'homme est passionné par son travail. Un peu trop, car il en oublie ceux qui vivent autour de lui. Sociable, cultivé il se lie très facilement avec les inconnus qui croisent son chemin, mais ça s'évapore aussi vite que le vent. Alors au fond de son cœur, de son âme de ses pensées, est-il vraiment aussi heureux qu'il croit l'être ?
!
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Une mère américaine, du moins il le suppose, il n'a jamais vraiment su comment elle avait atterrie dans cette communauté ou il à grandit. De plus, elle lui racontait beaucoup d'âneries, alors pour discerner la vérité dans tout ça, faudrait devenir un peu magicien. Un père français, breton et fier de l'être, qui l'a beaucoup inspiré.
Orientation : Indécis, Hoël s'est laissé séduire par les uns et par les unes sans jamais vraiment approfondir ses inclinations. Accédant à une liberté complète dans ce lieu ou l'on prêchait l'amour sous toutes ses formes, ça lui à semblé naturel. Il n'en discute jamais, il n'en voit pas l'utilité, il se dirige la ou ses sens l'attirent. Un peu comme une abeille, il vole de fleur en fleur non parce qu'il est infidèle, mais plutôt parce qu'il est inconséquent. Il n'offre pas grand chose de lui, pas beaucoup de temps, Avare  par rapport à tout ce qui le concerne, il déconcerte, il décourage, il s'évanouit dans la douce brise qui vous caresse le visage ...
Situation : en couple éphémère ou célibataire passager, il oscille continuellement entre ces deux statuts. Il ne cherche pas vraiment ... Mais qui sait ce qu'il pourrait trouver sur son chemin ?
Occupation : Paysagiste visionnaire et avisé qui s'implique du début à la fin de ses créations !
Quartier : Sa réussite lui à permis de se payer une maison au 74th Street, Upper East Side, si vous le cherchez vous le trouverez au numéro 7

and what else ?
Qualités : passionné il ne manque pas de s'instruire dès qu'un sujet l'intéresse pour en comprendre tous les rouages, lors de ses activités il ne fait rien à moitié , et l'on peut avancer sans mentir que son boulot, il l'embrasse de la même manière que tous ses autres hobbys ! Attentionné à ceux avec qui ils parlent, quand il s'adresse à vous il vous donne l'impression que vous êtes la seule chose qui compte en ce monde.  Extrêmement pointu dans tout ce qu'il entreprend il n’arrêtera pas avant d'être satisfait - ou que le client le soit -. Particulièrement sociable il se lie facilement avec les gens. Contre toute attente bien qu'il ait une culture étendue il se montre souvent très humble et ne l'étale pas devant les autres, et s'il est riche il ne considère jamais qui que ce soit comme moins important que lui, d'ailleurs au premier coup d’œil il ne ressemble pas au voisin fortuné et snob auxquels les stéréotypes pourraient s'attendre mais plutôt au gars qui vient faire des réparations chez vous ... Il vous surprendra à tous les coups !  A savoir qu'il n'a aucun problème de confiance en soi.
Défauts :
Bien trop lisse quand on veut se pencher un peu plus sur qui il est. Bien qu'il vous réponde toujours poliment - à moins que vous ne dépassiez les limites -, il restera toujours en surface. Parce que c'est comme ça qu'il à toujours fonctionné, et non parce qu'il à le désir de paraitre mystérieux. Grandissant dans une communauté ou il n'existait que peu d'interdit, très jeune il s'est bâti des barrières pour avoir un peu d'intimité. Il s'est senti tellement envahit que désormais il à besoin d'espace, si bien qu'il ne déballe pas grand chose de lui. Et s'il le fait, il y a des chances pour qu'il manque le prochain rendez-vous. Légèrement égoïste, il fait passer ses propres passions avant ses relations. Il prétendra que c'est par distraction ... Une fois, deux, trois fois, il n'est pas le maître absolu pour les excuses, il ne s'en donne pas véritablement la peine. Extrêmement perfectionniste, il ne lâche rien avant que d'avoir réussi, et ça énerve beaucoup ceux qui l'attendent ou à qui il pose un lapin. Pas véritablement menteur il à tendance à tordre la vérité pour qu'elle se plie à ses désirs, ce qui le fait paraître régulièrement de mauvaise foi. Il croit qu'il n'a besoin de personne, et qu'il s'en sortira toujours tout seul.
Passions :
Les randonnées en moto il ne pourrait pas s'en passer !
La musculation parce que ça décharge le trop plein d'énergie qu'il ne parvient pas toujours à maîtriser et puis il adore ça
Les jeux vidéos, Aussi débordé qu'il soit, il parvient toujours à trouver du temps pour s'adonner au gaming.
Communautés :
{#}The{/#} Lift régulièrement dans la salle de musculation
{#}the{/#} lost planet parce que ça lui plait et qu'il peut voir des gens tout en s'adonnant à un de ses plaisirs les jeux virtuels
# The Outpost Il l'a découvert récemment, et il aime bien assister à un spectacle de temps à autre
# Cours de cuisine du samedi matin parce que c'est cool d'apprendre de nouvelles recettes et qu'il adore cuisiner !






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? A l'heure actuelle ? Je ne vois pas. Je suis certain d'avoir atterri là ou je voulais, et de faire exactement ce dont j'avais rêvé. Mon but principal était de me tirer de cette communauté ou j'ai grandit. et grâce à mon père qui vit en France, j'ai pu suivre de grandes études. Là ou j'ai grandit, on y vivait comme des pauvres, les uns sur les autres comme dans un poulailler. C'est le souvenir que j'en garde. L'idée que ce lieu existe encore me donne envie de gerber oui. Parce que ma mère vit toujours là-bas, elle refuse l'aide que je veux lui apporter.   Ainsi que mes deux jeunes frères. Ça me tue de les imaginer vivre dans de telles conditions. Je n'y suis plus retourné depuis des mois, et je n'en parle jamais à personne. Je ne veux surtout pas que ce passé resurgisse et attire plus l'attention qu'il ne le devrait. Oui je pense bien que ça doit être le seul point noir dans ma vie.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
Je fume pas, je bois très peu. Je n'aime pas vraiment le café mais j'ai une passion pour le thé. Je ne peux pas aller me coucher sans m'être préparé une petite tasse. Je me goinfre un peu trop de crème glacée en été, oui il faut que j'en déguste tous les jours, et je ne pourrais pas vivre sans ma moto. J'en connais qui me reprochent de passer trop de temps - et de nuits blanches - sur les jeux vidéos. Et j'avoue que je suis bien obligé de les zapper quand j'ai un travail vraiment important, mais c'est fou comme mes doigts me démangent, oui ça doit être un genre d'addiction ...

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Ma dernière relation ? Je me souviens plus trop. On à arrêté de se voir, tout doucement, sans s'en rendre compte. Enfin moi ... Et puis je me suis dit que ça faisait un moment qu'on s'était plus parlé alors je l'ai appelé. Mais elle m'a refermé le téléphone au nez. Çà ne m'a pas trop touché, je suppose qu'au fur et à mesure des jours ce qu'on ressentait l'un pour l'autre a dépérit. Les femmes et les hommes que je vois me reprochent souvent de ne pas être assez attentif. J'ai un peu l'impression qu'ils exagèrent. Peut-être aussi que c'est moi qui me lie aux gens trop vite, sans prendre assez de temps pour mieux les connaître avant de m'engager ...

Le dernier texto que tu as envoyé ?
" Vous cherchez quoi exactement ?" Adressé à un client qui essayait de m'expliquer ce qui n'allait pas pour lui, mais qui ne parvenait pas trop à le décrire. D'ailleurs il ne m'a pas encore répondu, faudrait peut-être que je lui passe un petit coup de fil !

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Je les adore mes parents. Même si il y des décisions et des choix pour lesquels je ne suis pas d'accord avec eux. Désormais ils ne vivent plus ensemble et ça n'a pas duré vraiment longtemps. Je Crois que mon père à vite été .... Désenchanté par la communauté ou vivait ma mère. Et elle n'a pas voulu la quitter ni le suivre en France. A l'époque il à estimé être trop jeune pour me prendre en charge, mais j'allais passé toutes mes vacances chez lui. Et sa vie luxueuse m'a donné envie d'autre chose. De me battre pour avoir ça aussi, sans qu'il me le donne tout cuit. J'ai toujours de très bon rapports avec lui, il vient me rendre visite, et je vais régulièrement le voir. Pour ma mère c'est plus compliqué, je l'aime mais ... Vraiment je ne supporte pas d'aller la voir dans son lieu de vie, et bien entendu elle ne souhaite pas venir par ici. Alors on se voit très peu ... Mais on s'envoie des lettres.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Beaucoup beaucoup beaucoup d'activités. Déjà je me rends régulièrement à la salle de musculation parce qu'il faut entretenir sa santé et son corps. Ensuite je fais régulièrement de longues balades en moto avec les copains. J'aime sortir, découvrir de nouveaux endroits, lire, regarde des films, écouter de la musique et quand il me reste encore assez de temps consacrer quelques nuits blanches aux jeux vidéos. Oui quand une nouvelle extension arrive, je me permets de prendre quelques jours de congé afin de pouvoir y plonger tout à mon aise ...

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Je sais pas si il y à un truc vraiment particulier. Je me sens parfois un peu honteux de pas rendre visite à ma mère, mais c'est un sentiments général plutôt qu'un fait. Ah oui, une fois j'ai ma copine qui m'a appelé parce qu'elle avait loupé son bus, et qu'elle se retrouvait dans un bled paumé, alors elle m'a demandé de venir la chercher. Pas que c'était tout prêt, mais elle savait bien que ça me dérangeait pas de faire de la route. Sauf qu'en prenant une pause, j'ai rencontré un vieux pote, on à discuté et puis je l'ai complétement oubliée. Je pense pas qu'il soit vraiment utile de dire qu'on est plus ensemble depuis.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : IsaÏah
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ? J'évite tout ce qui concerne un peu trop l'abus de pouvoir !
Avatar à réserver : Brock O'Hurn
Crédit avatar utilisé dans la fiche:Cranberry
Souhaitez-vous un mp d'intégration mp d'intégration personnalisé par le staff, comportant des idées de liens avec d'autres membres. C'est gentil de proposer mais je pense que ça ira  keur

leja -- and there's nothing like a mad woman

Invité
16 r ; 617 v.
Ven 18 Sep - 21:37
{@=148}Alejandra Wiley{/@}
31 ans - propriétaire du meow parlour
FEAT : ana de armas
Alejandra Perkins-Wiley a 32 ans, et elle est la l'aînée du fratrie de quatre enfants composée uniquement que de soeurs. Les parents ont toujours voulu un garçon mais visiblement, ils ont un peu loupé le coche. Et n'ont eu que des filles, mais ça ne les empêchait pas de les aimer très fort. D'origine Cubano-Espagnol, elle n'en reste pas pour le moins américaine par le droit du sol, vu qu'elle a vu le jour à Boston, dans le Massachussetts. Leja elle a toujours nourri le rêve d'ouvrir sa propre boutique ou son propre commerce. C'est donc pour cela qu'elle a tout donné pour aller étudier à l'université, obtenant une bourse mais ne pouvant s'empêcher de travailler à côté dans un dinner qui lui a donné mille et une idées. Ce n'est que quand elle a poussé la porte du best friend living center à la fin de ses études, qu'elle a eu l'idée d'ouvrir un bar à chats. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle a continué à travailler dans le dinner en gardant ses économies de côté pour pouvoir mettre son coeur à l'ouvrage et ouvrir son bar à chats il y a de cela trois ans.

Côté coeur, ça a toujours été fluctuent, elle n'a jamais eu vraiment de relations longues au point de se dire qu'elle finirait sa vie avec cette personne (Leja est pansexuelle). Enfin tout ça c'était jusque Vegas, quand après une virée imprévue et impromptue, elle a fini par louer une chapelle pour se marier avec Ross, pensant que tout cela allait être tout bonnement effacé le lendemain, sauf que ce n'est pas effacé du tout et surtout, un divorce ça coûte cher, quand on a une petite entreprise qui marche correctement mais qui ne permet pas non plus de vivre dans un grand luxe. Et puis surtout, le secret a éclaté dans la famille de Liz, et la mère de cette dernière voit en Ross le gendre idéal et parfait, alors comment pourrait-elle briser les rêves de sa mère ? Elle qui ne lui avait jamais présenté personne voilà qu'elle ramène Ross, non pas en tant qu'époux mais en tant que mari. Surtout que c'est grâce à Ross qu'elle est sortie de sa plus longue relation qui a duré quatre ans, avec un homme qui ne la méritait pas. Et qui ne rendait pas justice à la femme qu'elle était.
who am I
ꕥ âge : 31 ans, bientôt la 32ème année, la trentaine qui a pointé le bout de son nez et qui n'a pas eu d'effet particulier sur la jeune femme.
ꕥ nationalité : américaine par le droit du sol. Née à Boston.
ꕥ ethnie/origines : cubano-espagnoles.
ꕥ orientation : bisexuelle et biromantique.
ꕥ situation : mariée à Ross. Sur un coup de tête, un coup d'ivresse, l'ivresse d'une nuit.
ꕥ occupation : propriétaire du meow parlour dans le Lower East Side, ancienne étudiante en marketing. Elle a combiné sa passion pour les chats et ses études pour ouvrir un bar à chats.
ꕥ quartier : brooklyn, dans le même immeuble que Ross mais pas dans le même appartement.
ꕥ qualités : altruiste, travailleuse, avenante
ꕥ défauts : jalouse, grande gueule, procrastineuse
ꕥ passions : les chats, le café et star wars.
ꕥ groupe : fit hot guys have problem too.
ꕥ communautés :  {#}the{/#} saberist academy {#}the{/#} lift {#}best{/#} friend life saving center
ꕥ scénario/pré-lien : Ross Wiley's wife
ꕥ mp d'intégration : Oui s'il vous plaît What a Face non je rigole

all about my player
ꕥ petite présentation perso :Je m'intitule toujours Marion, j'ai toujours vingt-six ans. Et ce que je trouve beau dans cette histoire c'est que j'ai fait le changement d'Adrian un an après lavoir inscrit et je trouve ça joli. On lui fait un bisou d'au revoir.  saluut Je viens toujours du Nord de la France, j'aime toujours autant la bière et le café et je suis toujours a proud Hufflepuff.  plzz

petit portrait chinois
ꕥ un livre : harry potter
ꕥ un film : requiem for a dream
ꕥ une série : the good place
ꕥ une chanson : creep
ꕥ un animal : un panda
ꕥ un plat/dessert : le tiramisu
ꕥ une boisson : un latte
ꕥ une célébrité : barack obama
ꕥ un pouvoir magique : invisibilité

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : les agressions sexuelles décrites, les relations malsaines romantisées, petit trigger aussi sur le cancer.


that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Son plus gros problème à l'heure actuelle ? Trouver une solution pour que la mascarade cesse et qu'elle puisse enfin trouver une solution pour avouer à sa famille que le mariage avec Ross, résulte d'une soirée d'ivresse à Las Vegas et que c'était censé n'être qu'une blague. Mais elle entend encore sa mère lui dire que Ross est le gendre idéal et qu'elle a hâte qu'ils aient des enfants. Si seulement elle savait, sa mère, qu'ils n'ont jamais succombé à la tentation de finir dans le même lit. Si elle savait sa mère, que tout cela n'est qu'un mensonge et qu'une mascarade.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). son boulot ? Elle adore son boulot et elle aime trouver des solutions pour améliorer encore plus le quotidien des chats à l'adoption à son café ou même pour satisfaire les clients. On a remarqué avec les cours de yoga le mercredi, alors que le café est fermé. On le remarque quand elle arrive avec des meubles qu'elle a récupéré pour les transformer en jeu pour les chats.  

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Elle s'est terminée au fond d'un pot de glace ben & jerry's. Elle croyait dur comme fer que Matthieu était l'homme de sa vie, elle y a cru dur comme fer pendant 4 ans. C'était beau au début, puis ça a été la déchéance, le déclin, les crises de jalousies qui se multipliaient, les mensonges pour pouvoir retrouver Ross et la bande, puis la séparation, quand Ross a réussi à lui ouvrir les yeux. Quand Ross a réussit à faire en sorte qu'elle le quitte, sans ménagement.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
À : Ross Wiley
20.09.19 ; 5:45 pm.

Je ferme le café, je fais le ménage et j'arrive, ça te dit de manger mexicain ce soir ? J'ai réussi à éviter un "repas de famille" demain, remercie moi.  love

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Sa relation avec ses parents et par extension avec sa famille est correcte. Il n'y a jamais de prises de têtes, ou du moins, pas vraiment. Elle sait que le jour où elle annoncera la supercherie, le mensonge elle sait que ça explosera. Elle sait que ça partira en live et elle n'en a pas envie. Elle a mal au coeur d'avance Liz, alors peut-être qu'ils pourraient continuer la supercherie jusqu'à ce que ses parents se lassent. Mais ça, ce n'est pas demain la veille.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? En dehors du boulot, elle passe sa vie à faire des marathons harry potter et ou star wars. Avant, elle faisait partie des élèves de la saberist academy et maintenant, elle est devenue professeure depuis quelques mois. Elle fait de la pâtisserie aussi. Et puis au mois de décembre, elle regarde des films de Noël, tout le monde, avec de la cannelle dans toutes ses pâtisseries et des tisanes de Noël. Mais surtout, en dehors du boulot, elle dort. Et elle s'occupe des chats du refuge.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Leja est allergique aux fruits de mers. Et un jour, elle se demandait si les allergies partaient comme elle venait, peut-être. Alors elle a décidé de manger un jambalaya, elle a commencé par tout sauf les crevettes, puis elle a décidé de manger une crevette. Une seule crevette. Et ça allait, elle était plutôt heureuse. Mais après, elle s'est mise à se gratter, gratter à sang. Heureusement pour elle, un médecin était présent dans la salle, mais elle évite les questions stupides et surtout elle évite de vouloir des réponses à ses questions qui sont bien trop évidentes quand on y pense.  


this session is gonna be different
harleen/marion ꕥ 26 ans
fréquence de rp : aléatoire, le week-end plus. ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? aucune préférence. ϟ avatar à réserver : ana de armas ϟ de quelle couleur sont les petits pois : jaune  love  ϟ comment avez-vous connu 99 ? dans un annuaire. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?keurkeurlove
tumblr (gif) solsken (avatar)

(Sasha) Life is still testing me

Invité
21 r ; 690 v.
Mar 25 Aoû - 15:30
Sasha Mills
45 - Coffreur
FEAT : Tom Hardy

Un homme qui a décidé de changer de vie arrivé à l'âge adulte, quittant sa famille pour s'écarter de la mauvaise voie et construire sa vie tout seul. Une vie saine et équilibrée où le danger ne risquera jamais d'atteindre ses proches. Un choix de vie pour lequel il a sacrifié tout lien avec sa famille mais qui en valait la peine au vu du bonheur qu'il s'est construit avec celle qu'ils se sont créé avec Samir, l'homme qu'il aime par-dessus tout. Mais le passé revient toujours à un moment ou un autre pour mieux se rappeler à vous et Sasha en a fait les frais, forcé de devoir s'absenter durant de longs mois pour régler certaines choses autour du drame provoqué par la disparition de l'un de ses frères, victime d'un clan ennemi de sa famille qui gravite autour d'activités illégales depuis toujours. Aujourd'hui, il va devoir rattraper le temps perdu et parvenir à expliquer bien des choses autour de sa longue absence. La pression est d'autant plus terrible que le mot divorce a été prononcé par son homme il y a peu. Quand un combat se termine, un autre commence ... . La vie se révèle parfois être une lutte de chaque instant pour protéger et garder près de soi ceux qu'on aime.
who am I
ꕥ âge : 45 ans
ꕥ nationalité : américaine
ꕥ ethnie/origines : américaine
ꕥ orientation : bisexuel
ꕥ situation : marié à Samir
ꕥ occupation : Coffreur. Réalise des coffrages pour certaines parties de la construction d’un bâtiment neuf en béton (fondations, murs et planchers, dalles, escaliers et poutres). Sa mission l’amène également à travailler pour les ouvrages d’art comme les ponts, les barrages et centrales.  

ꕥ quartier : Staten Island
ꕥ qualités :  C'est un homme bon, attentionné, franc et direct en général même s'il a quelques loupés à l'occasion. Tempérament sulfureux en amour et à l'occasion, plutôt romantique. Courageux, engagé et fonceur. Drôle. Ouvert d'esprit. Bosseur.

ꕥ défauts : Sanguin et sans gêne. Culotté. Entêté et taciturne. secret, il ne parle pas beaucoup de lui, encore moins du passé. Samir et les filles ne connaissent pas l'existence de ses frères et soeurs, ils savent juste que ses parents sont décédés quand il était encore un adolescent.
ꕥ passions : Spéléo, photographie, moto et mécanique.

ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés :  {#}best{/#} friends lifesaving center {#}the{/#} Overkill à Brooklyn
ꕥ scénario/pré-lien : lien par ici
ꕥ parrain : non

all about my player
ꕥ petite présentation perso : : je m'appelle Claire, j'ai 38 ans, j'habite en France. Je fais du rp depuis environ 7 ans. J'écris généralement entre 600 à 2000 mots en fonction de mes partenaires. Je m'intègre facilement la plupart du temps, n'hésitant pas à aller vers les autres avec une idée en tête et je raffole des petits mp ! Je suis folle de séries et de cinéma. J'adore lire et j'aime beaucoup les bd.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La trilogie du mal de Maxime Chattam (ouais je sias ça comporte 3 bouquins mais je m'autorise à tricher !) et en plus j'en rajoute un : Puzzle de Franck Thilliez.
ꕥ un film : mais vous êtes fou, j'peux pas n'en citer qu'un ! The place beyond the pines, Oblivion, Beignets de tomates vertes.
ꕥ une série : Taboo ou Banshee (j'hésite)
ꕥ une chanson : The dead heart de Midnight oil
ꕥ un animal : chien
ꕥ un plat/dessert : gaufres avec sucre glace et chantilly
ꕥ une boisson : Orangina
ꕥ une célébrité : Tom Hardy et Jon Bernthal (non je sais pas m'arrêter à un seul)
ꕥ un pouvoir magique : force surhumaine

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : tout ce à quoi je pense ne figurera jamais sur un forum je l'espère et j'aime pas citer ces mots (ça commence par pedo et zoo)



that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

1 - Anecdotes et famille (en introduction à la partie sous forme de rp plus bas) :

➽ Samir et les filles ne connaissent pas l'existence de ses frères et soeurs, ils savent juste que ses parents sont décédés quand il était encore un adolescent. Aussi ne connaissent-ils pas son ancienne identité ni véritablement d'où il vient.
Il a cherché à s'éloigner de sa famille paternelle une fois arrivé à l'âge adulte, du fait de l'univers dans lequel ils gravitaient. Cette branche du côté paternel évoluant en effet depuis toujours dans le milieu lié à des activités illégales, constituant en divers trafics.
En partant, il a quasiment complètement coupé les ponts en s'assurant de changer d'identité pour ne pas être associé au clan que constitue sa famille, et pouvoir mettre un maximum de distance entre eux de plusieurs États. Sa famille étant établie en Arizona.
Il a ainsi deux frères (Tommy et Jeff) et une soeur (Cristina). Leurs parents sont toutefois décédés suite à un règlement de compte entre clans il y a bien des années. C'est d'ailleurs sans doute cet évènement là qui a poussé Sasha à l'âge adulte, a s'écarter complètement de la famille.

➽ Il y a quelques mois, bien avant janvier 2020, suite au décès de l'un de ses deux frères, Sasha a néanmoins du revenir auprès d'eux pour venger ce dernier qui a trouvé la mort dans un énième règlement de compte entre clans opposant ainsi sa famille et un autre "concurrent".
Désirant laisser sa nouvelle famille en dehors de cet univers malsain et dangereux, Sasha a prétexté œuvrer sur un grand projet de chantier à quasiment l'autre bout du pays dans le Wyoming, pour la construction d'un immense pont dont la construction devait s'étaler sur quelques mois. Ceci afin de mieux les protéger et les tenir à l'écart de son ancienne vie.
Mais une fois de retour auprès de sa famille paternelle, les choses ne sont pas aussi simples à régler et sa soif de vengeance prend le pas sur le reste. Il se retrouve alors embarqué dans ce piège qui le tient éloigné de New York bien plus longtemps que prévu. Car les emmerdes n'arrivent jamais seules, c'est bien connu. L'escalade de violence ne fait que s'accroitre et empêche Sasha de revenir vers sa fille Charlotte lorsqu'elle lui apprend au téléphone qu'elle a un cancer en janvier 2020.
Le risque est trop grand à ce moment-là pour pouvoir se permettre de revenir auprès des siens sans risquer de griller sa nouvelle identité auprès du clan adverse et les conduire tout droit à sa nouvelle famille. Tout dégénère très vite entre sa famille paternelle et leurs ennemis, et le plus frustrant demeure dans le fait qu'il est obligé de s'en tenir au secret auprès de Samir et les filles par rapport à son passé et à ce mensonge prétexté vis-à-vis de son travail concernant cette absence qui s'éternise. Impossible pour lui de leur révéler ce qu'il en est vraiment ... .
En découlent un sentiment de culpabilité et d'impuissance qui lui font voir rouge. Le désir de vengeance redoublé, il souhaite pouvoir en finir une fois pour toute avec le clan ennemi qui risque de menacer à nouveau sa famille un jour ou l'autre, autant celle paternelle que celle qu'il a créée avec Samir, son époux.
Les mois passent à vive allure, rendant les choses encore plus compliquées face aux secrets qu'il a pour sa petite famille et son impossibilité de revenir sur place immédiatement... ça et les silences qu'il est de plus en plus forcé d'imposer, à court d'excuses quant à ses rares coups de fils et le fait que malgré l'annonce de la maladie de Charlotte, il n'ait pu se libérer une seule fois pour revenir ni même au moins le temps d'un week-end. La tension et les doutes sont ainsi sur tous les fronts.

➽ Il tient à sa famille plus que tout. Les deux filles qu'ils ont adoptées avec Samir sont comme les siennes même si avec la toute dernière arrivée en 2019, Cassiopeia, il n'a pas su être assez présent pour pouvoir nouer plus qu'une esquisse de lien à ce jour.

➽ Il a toujours été très bosseur avec le besoin constant de s'occuper. Il est d'ailleurs souvent absent vu le domaine dans lequel il exerce et qui le conduit à travailler sur de gros projets comme la construction de ponts, de barrages ou de bâtiments, bien souvent dans différents États avoisinants.
Il lui arrive ainsi de partir des semaines en déplacement.

➽ Il aime les animaux. Il milite à sa façon pour la planète, l'environnement et diverses causes (animale, amérindienne) en s'efforçant de sensibiliser les gens qu'il rencontre en mettant simplement le sujet sur la table et en évoquant ce que beaucoup ignorent. Il n'est toutefois pas adepte des associations et des manifestations. Il agit de son côté, verse des dons aux communautés amérindiennes dans le besoin en suivant les actualités des divers nations qui souffrent encore à l'heure actuelle de nombres d'injustices. Si Samir participe parfois à des opérations coups de poings, Sasha n'est pas en reste mais il agit en général en solo sur le vif du moment lorsqu'il est témoin d'un évènement. Il s'occupe également parfois d'animaux en refuge quand il a l'occasion de pouvoir y consacrer du temps.

➽ Sinon, c’est un grand gourmand et un viandard invétéré ! Paix à ton âme Samir ... . Il adore la musique et le cinéma. Il lit énormément et il aime pratiquer des activités sportives comme le ski ou le snowboard, le paintball et le basket de temps en temps. Il aime également les sports mécaniques et aime faire du quad ou de la moto. Il aime beaucoup la photographie et c'est également un amoureux de la nature qui aime s'adonner à la spéléo et aux balades.
Il a toujours besoin de s'occuper que ce soit en bricolant ou en s'adonnant à la mécanique.

➽ Situation financière : Il gagne bien sa vie, comptant également sur les économies de toute une vie et une partie de l'héritage de ses parents dont il a reçu une certaine somme. Cependant, il ne mène pas pour autant la grande vie. Il aime en général les choses simples même s'il aime à l'occasion se faire plaisir pour certains grosses dépenses qui en valent le coup sur le long terme.

➽  Il fume pas mal. Il boit plutôt modérément même s'il lui arrive de se prendre de sévères cuites.


2 - Histoire

- Arizona (2020) - Chez sa soeur -

Il fait nuit et il ne doit pas être bien loin de vingt-deux heures. Le silence règne dans la pièce. Installé sur le canapé du salon dans la semi-obscurité à laquelle l'éclairage d'une lampe en porcelaine apporte une touche tamisée, j'écoute le vent qui se heurte contre les vitres en les faisant trembler légèrement. Je m'empare de la télécommande pour mettre un peu de musique. L'album de REM "Out of time" se lance alors. Autrefois c'était notre préféré à moi et mon frère aujourd'hui disparu. On l'écoutait en boucle à une période.

Mes doigts courent sur le bord de mon verre placé sur la table basse toute proche après avoir bu une nouvelle gorgée de son liquide ambré. Étendu sur le dos, la nuque calée contre l'accoudoir, je demeure immobile, le téléphone dans la main gauche, encore sous le coup du choc après avoir ré-écouté le message que m'a laissé Sam sur mon répondeur. "Ton absence est inexcusable [... ] tu trouveras les papiers du divorce sur la table si tu reviens un jour".
Je déglutis avec difficulté, partagé entre le désir de le rappeler tout de suite et ces entraves psychiques qui me coincent dans cette situation où je n'aurais malheureusement pas plus d'excuses à lui avancer face à mon absence prolongée qui devient franchement douteuse. Si bien d'ailleurs, qu'au fil du temps, mes silences ont fait places aux différentes excuses à la con, nées de ce mensonge monté de toute pièce pour ne pas impliquer ma famille vis-à-vis de ma vie passée et des dangers qu'elle comporte. J'ai pris soin jusqu'ici de couper les ponts avec le passé et je ne veux pas que tous les trois aient quoi que ce soit à faire un jour avec ma famille paternelle.
Je compose le numéro de Sam mais je raccroche aussitôt. Putain de merde !! Fais chier !! J'envoie balader le téléphone sur le fauteuil en face puis me passe nerveusement les mains sur le visage. J'ai l'impression que ma voix résonne dans le vaste salon de ma soeur. C'est chez elle que je crèche depuis ma venue. Je n'ai pas envie de l'alarmer et la voir débarquer parce que si elle vient s’inquiéter de moi, elle cherchera à me faire parler. Et même si elle respecte ma nouvelle vie et ma volonté de couper les ponts avec la famille il y a de ça un paquet d'années maintenant histoire de préserver ma vie future, il lui arrive tout de même de se montrer curieuse et désirer avoir quelques précisions sur ce que je suis devenu et où je vis. Toutefois, j'ai toujours mis un point d'honneur à taire tous les aspects de cette nouvelle vie pour ne jamais courir le moindre risque qu'on m'atteigne. Ni moi ni les personnes qui graviteraient alors autour de moi. Et si je fais confiance à mes frères et soeurs qui respectent cela, je sais pertinemment qu'il suffit d'une simple faille pour que des infos parviennent à l'autre clan. Ne rien révéler à ma fratrie reste l'option la plus sûre.

Me redressant pour récupérer le téléphone échoué plus loin, je cogite à la façon de rattraper les choses auprès de Samir et de nos deux filles, et plus encore à la façon dont on pourra enfin venir à bout du soucis ici présentement. Laquelle m'assurera enfin mon retour vers ceux que j'aime.
Sans pouvoir m'en empêcher, mes doigts glissent bientôt avec nostalgie sur l'écran alors que je fais défiler les photos présentes dans mon téléphone. Quelques-unes de Samir et moi, d'autres des filles, les toutous à la maison sont aussi du lot. Que des moments de bonheur et de fun. J’ai envie de tout lâcher tout de suite pour aller les retrouver mais je ne peux pas. La situation est trop délicate. Là où les choses en sont arrivées avec le clan ennemi, c'est le moment décisif où il ne faut pas faire de faux pas. Si je rejoignais les miens maintenant, je serais capté illico vu la surveillance dont on doit être actuellement la cible.
Je dois tenir, rester discret et surtout demeurer ici. Juste le temps de pouvoir entrevoir la moment précis où il sera temps pour nous d'agir. L'instant où l'on cernera un instant de faiblesse dans leur sécurité et agir pour en finir avec tout ça.
Et tandis que je sombre peu à peu dans les bras de Morphée, je songe inévitablement à lui. Mon tout, ma vie, ma moitié. Quand le moment sera venu de retrouver mon véritable chez moi, y aura-t-il encore de la place au pardon ? Cette histoire de divorce pourra-t-elle enfin être écartée ? Rien ne s'annonce plus délicat car je n'aurais hélas pas plus d'excuses à lui révéler sur les véritables raisons qui m'ont tenues éloignées si longtemps et en pareille circonstances. Charlotte me pardonnera-t-elle de n'avoir pu être là dans un moment pareil ? Cassie saura-t-elle faire une place à ce père déjà peu présent auparavant ? Ma volonté de mener cette lutte ne me lâchera pas là non plus, quoi qu'il arrive.


this session is gonna be different
Diesel and Dust ꕥ 38 ans
fréquence de rp : toutes les semaines voir toutes les deux semaines (et parfois même plusieurs fois par semaine quand je suis à fond dedans). ϟ fréquence de connexion : tous els jours quasiment. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 600 à 2000 mots. ϟ avatar à réserver : Tom Hardy. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts mais ce serait trop fun qu'ils soient arc-en ciel ! ϟ comment avez-vous connu 99 ? par un partenariat je crois et je me l'étais noté il y a quelques mois sur les forums à explorer plus tard. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Hâte de jouer parmi vous !!
tumblr (gif) solsken (avatar)

Carla - la mini policière

Invité
18 r ; 584 v.
Lun 10 Aoû - 16:18
Carla Cadwell
31 - officière de police
FEAT : lucy kate hale
Carla, 1,57m les bras levés, toujours belle, toujours bien apprétée.
Petite, sa mère voulait qu'elle soit actrice. Elle a participé à de nombreux castings et concours de mode, jusqu'à ce qu'elle sache dire stop.
Carla a une apparence toujours impeccable (robes, chaussures à talons, maquillage, coiffure, etc) à cause d'une promesse faite à sa mère enfant.
Pour autant, Carla a souvent été catégorisé comme étant un "garçon manqué", ce qui contraste totalement avec ce qu'on peut penser d'elle au premier abord.
Carla, elle aime l’action, elle aime rigoler, roter, péter, boire des bières, taper de la gueule…
Et surtout, Carla travaille dans un milieu majoritairement masculin dans lequel on ne lui accorde que peu de crédibilité à cause de sa silhouette minuscule et de son apparence : celui de la police. Elle obtient pourtant des résultats aussi excellents que ses congénères, mais quand vous êtes fille et petite-fille de policiers renommés dans le métier, ça n'aide pas. C'est donc un combat quotidien qu'elle mène pour réussir à se faire accepter sans devoir changer qui elle est ou renier la promesse faite à sa mère. (tw : harcèlement)
who am I
ꕥ âge : 31 ans
ꕥ nationalité : américaine
ꕥ ethnie/origines : américaine
ꕥ orientation : bisexuelle
ꕥ situation : célibataire, a le don de rester dans la friendzone bien trop souvent, ce qui fait qu'elle n'a jamais vraiment eu de relation sérieuse.
ꕥ occupation : officière de police à Brooklyn
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : empathique, dévouée, bosseuse, se bat pour ses convictions, débrouillarde
ꕥ défauts : tétue, bordélique, naïve
ꕥ passions : son métier, ses amis, la picole
ꕥ groupe : Fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : {#}LGBT{/#} Center {#}The{/#} Outpost {#}The{/#} Saberist Academy

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Surnommée June sur les RPG, j'ai 28 ans (et je ferais pas la blague de toutes les dents, promis :twisted: ) Je fais du RPG depuis 13 ans maintenant, et ça fait un bout de temps que je ne m'étais plus inscrit sur un nouveau RPG (car je suis sur le même depuis plusieurs années) mais j'ai tout de suite craquée sur le concept de 99 ! (et sur le scénario de Sirius aussi  keur ) Mes habitudes en terme de rp, c'est souvent d'y aller au feeling. J'adore ne rien prévoir et laisser libre court à mon personnage, qui écrit limite à ma place sur le clavier  puppy  Il est très important pour moi de jouer le personnage comme il est et non selon ce qu'on attend de lui. Alors si vous dites quelque chose qui ne lui plait pas, n'attendez pas de moi qu'il vous saute dans les bras juste pour vous faire plaisir  Tag the sur I've got 99 problems 2153884322 J'adore les rp bizarres, les trucs complètement loufoques. J'adore rire, m'amuser, ressentir des feelings de ouf en écrivant  keur Je suis capable de faire des rp longs, mais je suis atteinte de flemmingite aigue assez souvent alors je privilégie la qualité à la quantité  cute Je réponds selon mon inspiration, mon envie. Je suis capable de répondre 10 lignes à quelqu'un qui m'en aura fait 50. Je suis capable de l'inverse aussi. Et je ne juge jamais mon partenaire là-dessus non plus. Tout ce qui est important, c'est qu'il y ait matière à rp  excited Je suis capable de répondre plusieurs fois par semaine et parfois d'être deux semaines sans rp, car tout dépend de l'IRL mais je fais au mieux pour prévenir mes partenaires lorsque je suis plus longue  Tag the sur I've got 99 problems 3697710961 Et ça ne m'empéche pas de venir faire un coucou sur la CB ou par MP  sifle J'adore discuter avec les gens, faire la con, toussa toussa  Tag the sur I've got 99 problems 3974363061 Bref, j'espère qu'on s'amusera bien ensemble. N'ayez pas peur de venir me parler  Tag the sur I've got 99 problems 497855176
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
ꕥ un livre : n'importe quel manga - pas un grand fan de lecture
ꕥ un film : Fast & Furious
ꕥ une série : One Tree Hill - Certes pas très viril mais gulty pleasure
ꕥ une chanson : JUST THE WAY YOU ARE – BRUNO MARS
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : des lasagnes bolognaise
ꕥ une boisson : du redbull
ꕥ une célébrité : Bob Morley - parait qu'il ressemble à Sirius
ꕥ un pouvoir magique : Voler

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ

ꕥ un trigger : Je suis très ouverte sur tout ce qui est RP (ou même dans la vie en général ^^) mais clairement, j'ai beaucoup de mal quand on me force à écrire des RP sexe trop détaillé. Je préfère rester dans l'implicite pour ces choses là ou faire une ellipse. Tant que c'est "mignon", ça va, mais faut pas que ça vire dans le trash ^^.


that's my story / self diagnosis
Carla, c’est un petit bout de femme comme il en existe tant. Enfin… C’est ce qu’on peut se dire en la voyant pour la première fois tout du moins ; parce que Carla, elle passe inaperçu dans la rue, du haut de son mètre cinquante sept suspendu sur de hauts talons aiguilles. Elle est toujours bien apprêtée et bien coiffée, comme si elle sortait d’un photoshoot pour un magazine de mode. Oui, Carla, on pourrait facilement la penser influenceuse, mais la vérité, c’est qu’elle a été formatée depuis sa plus tendre enfance au niveau de son apparence, par sa mère, qui rêvait qu’elle devienne actrice. Tout bébé, elle a passé des castings et plus tard, elle a participé à des castings de miss. Jusqu’à ce qu’elle soit enfin assez grande (vers 12 ans) pour dire stop et faire comprendre à sa mère que c’était son rêve à elle, et pas le sien. La déception qu’elle a lu dans le regard de sa maman ce jour-là lui a glacé le sang. Elles ont tout de même trouvé un compromis : Carla devrait continuer à vêtir les habits sélectionnés par sa mère et à faire des séances photo à la maison « pour le fun ». Un véritable calvaire pour elle, autant vous le dire, mais elle n’aurait pas supporté de décevoir davantage sa maman. Encore aujourd’hui d’ailleurs…

Quand je parle de calvaire, c’est parce qu’au fond d’elle, Carla est plus « garçon manqué » qu’autre chose, pour reprendre l’expression de ses petits camarades de classe à l’école maternelle. Carla, elle aime l’action, elle aime rigoler, roter, péter, boire des bières, taper de la gueule…  Mais ça, vous ne le croirait jamais avant de bien la connaitre ! Carla, elle se contrefiche du regard des autres et ne vit que pour ses amis et son métier. Son métier, d’ailleurs, parlons-en : elle est agent de police. Oui, elle a l’air d’une ado dans sa tenue et le képi lui tient à peine sur la tête d’ailleurs, mais pour autant, c’est une passionnée et elle a des résultats aussi bons que ses meilleurs collègues homme du NYPD. Elle se bat chaque jour pour être accepté dans ce monde plutôt masculin où elle doit sans cesse faire ses preuves, parce que soyons honnête, elle n’a juste pas le physique pour… Qu’elle est juste là parce qu’elle est la fille et petite-fille de policiers très connus dans le milieu… Enfin, soi-disant. (tw : harcélement léger)

Son père est originaire de New-York. C'est là qu'il a commencé sa carrière dans la police, travaillant aux côtés de son propre père. Les deux ont travaillé sur un des plus gros braquages qu'a connu New-York et c'est miraculeusement qu'ils sont sortis vivants de cette histoire qui a fait de eux des héros aux yeux de leurs collègues. Encore aujourd'hui, leur photo est accrochée sur un des murs du commissariat. Peu de temps après, le père a rejoint la mère de Carla à Stanford, où ils se sont mariés et ont élevé leurs deux filles, Carla et Ambre. Une famille tout ce qu'il y a de plus saine, sans histoire. A 18 ans, Carla débarque à New-York pour ses études, avant d'entrer dans les forces de l'ordre. Ses parents la rejoignent en ville il y a 5 ans, et plus récemment Ambre.



this session is gonna be different
june ꕥ 28 ans
fréquence de rp : 1/10 jours. ϟ fréquence de connexion : principalement le weekend. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 200 et 500 mots ϟ avatar à réserver : lucy kate hale ϟ de quelle couleur sont les petits pois : violet gris azur ϟ comment avez-vous connu 99 ? quelle question... ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Beauté  Tag the sur I've got 99 problems 3697710961
tumblr (gif) solsken (avatar)

Kore + C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre.

Invité
19 r ; 761 v.
Dim 14 Juin - 16:09
kore Franklin
30 ans - professeur de danse
FEAT : katerina graham D'origine canadienne par son père et américano-libérienne par sa mère. Elevée pour être le parfait modèle d'assimilation culturel (c'est beau d'y croire, non ?), elle fréquente durant toute sa jeunesse une paroisse très conservatrice. Rebelle par sa proximité avec la communauté LGBT+, c'est au cours d'une Pride qu'elle rencontre cet homme gay qui deviendra son plus grand amour. Tombant follement amoureux l'un de l'autre, ils construirent (trop) rapidement une vie à deux, avec enfant, mariage et rêves d'avenir. Mais la passion du début laisse rapidement place place au tracas du quotidien et les deux amoureux deviennent rapidement meilleurs partenaires de vie qu'amants. La passion s'étiole, leur parentalité et leur travail deviennent rapidement tout ce qu'il leur reste d'amour. Kore, tombe alors sous le charme d'une femme, mal intentionné, égoïste, peu fiable. Elle fait tomber la brune dans la drogue et les vices d'une vie de mensonges, jusqu'au réveil, brutal, qui amène la jeune femme à quitter mari, enfant et vie d'avant pour s'enfermer six mois dans une clinique pour une cure de désintoxication. Revenue sevrée, mais pas sauvée, Kore tente de reprendre sa vie en main dans le vrai monde et espère pouvoir renouer avec sa famille, même si rien ne sera plus jamais comme avant.
who am I
ꕥ âge : Breaking news : fêter son anniversaire en désintox n'est pas super joyeux. Entre ceux qui sont un peu trop excité par un tel événement et ceux qui pleurent l'absence d'alcool... Sans compter le gâteau bon marché... Non, j'ai totalement été dépossédé de mon premier jour dans la trentaine, mais qu'importe. J'avais mieux à faire de toute façon.
ꕥ orientation sexuelle : J'ai toujours pensé que j'étais hétéro, jusqu'à ces derniers mois où j'ai découvert que je pouvais aussi être attirée par les femmes, même si elle reste bien plus souvent encline à tomber sous le charme d'un homme. J'apprends encore à composer avec ma bisexualité.
ꕥ situation : Je pourrais me dire célibataire, divorcée même. Mais en fait, je suis toujours légalement marié. Mais je serais bientôt divorcée. Dès que j'aurais donné à l'avocat de mon mari le nom d'un avocat et une adresse où envoyer les papiers. J'avoue que je fais délibérément traîner les choses. C'est injuste pour mon mari, mais j'ai besoin de temps pour faire mieux les choses avec lui.
ꕥ occupation : Passionnée de danse depuis toujours, j'en ai fait mon métier très tôt, devenant professeur de danse dans une école. Je rêvais d'ouvrir mon propre studio, mais le destin en a décidé autrement et aujourd'hui, contrainte de travailler, j'exerce principalement comme employée au Lift, en qualité de professeur de zumba.
ꕥ quartier : Je suis retournée dans le Queens, le quartier où j'ai vécu ma plus belle et ma plus mauvaise vie. J'ai décidé toutefois d'aller dans le quartier de Flushing pour ce nouveau départ.
ꕥ qualités : énergique, résiliente, compréhensive, débrouillarde, ...
ꕥ défauts : fragile, fuyarde, tiraillée entre devoir et envies, dépendante, ...
ꕥ passions : {#}danse{/#} ; {#}yoga{/#} ; {#}thé{/#}
ꕥ communautés : Le lift ; Le club de lecture du Queens ; Les narcotiques anonymes ; The Oak Appartment Complex
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : non, c'est bon, je connais la maison ^^

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Hello everyone. Que dire de moi ? 29 ans, bientôt les 30 (ENFIN !), plus de douze ans de RP, une passion dévorante pour la lecture, l'écriture et l'exploration des méandres de l'esprit humain et des relations qu'on peut nouer aux travers des histoires. Passionnée, barge, compulsive, blagueuse, désespérante, hypersensible, entière, shippeuse, romantique, honnête, loyale, incomprise (drama queen XD), sadique avec mes persos, soumise à leurs envies, atteinte de DCites compulsive quand je me sens chez moi, tumblr addict, etc...

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Les contes de grimm
ꕥ un film : La couleur des sentiments
ꕥ une série : Dr House
ꕥ une chanson : The next right thing
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : un opéra
ꕥ une boisson : du thé
ꕥ une célébrité : Johnny depp
ꕥ un pouvoir magique : le transplanage

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : ça dépend des jours en fait ! Mais tant que ça reste safe et pas gratuit, ça me convient.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? En un mot ? Famille ! Ma famille est mon plus gros problème à l'heure actuelle. Cette famille que j'ai abandonnée, du jour au lendemain, sans une explication et sans un mot. J'ai tant appris sur moi ces derniers mois. J'ai tant de choses à leur dire. Mais j'ai abandonné mari et enfant, du jour au lendemain et je sais que cela ne sera pas simple. Mes parents doivent penser que je suis une honte. Mon mari... je connais assez son tempérament pour savoir que son ego en a prit un coup et qu'il me faudra plus qu'un café et des excuses pour qu'il comprenne et pardonne. Quant à ma fille... Mon dieu, j'ai si peur qu'elle finisse par m'en vouloir. Même si elle a été heureuse de me retrouver dans son école, je l'ai quand même abandonné, il y a six mois. Ce sont forcément des choses qui laissent des traces...

Une addiction à déclarer ? Le thé. Je bois énormément de thé et je mange des trucs sucrés. Beaucoup aussi. Mon thérapeute me dit que c'est normal. Que le corps réclamera toujours des doses et que le sucre reste malgré tout meilleur que mon ancien poison. Victime de la crise des opiacés. Voilà ce que j'ai été. Ce que je ne veux plus être.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Ironie du sort, mes deux dernières relations se sont terminées en même temps et je ne sais plus vraiment laquelle était la première et laquelle était la dernière. J'avais une maîtresse. Une grave erreur, mais voilà. Quand j'ai réalisé à quoi ressemblait ma vie : adultère, drogue, danger, j'ai mis fin à ma liaison. J'ai mis ma maîtresse à la porte, attendu devant la porte, assise sur ma valise, que mon mari rentre du travail, puis je lui ai dit que j'étais désolée, que je ne pouvais plus faire ça, que je n'étais bonne ni pour lui, ni pour notre fille et je suis partie. Je lui dois encore une explication. Je le sais bien. A lui. Pas à elle. Elle n'était qu'une erreur et elle le savait très bien. Je n'ai plus aucun contact avec elle. Je dois maintenant reprendre contact avec lui.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
[mention]message envoyé[/mention] a écrit:Je vais aller voir ce dealer au coin de East et Lowell si tu viens pas de suite me chercher...


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Je ne préfère pas. Bon d'accord. Ils sont bons. J'ai toujours cru qu'ils étaient irréprochables, mais j'ai appris des secrets de familles qui ne sont pas évidents. Ils sont en parti la raison pour laquelle j'avais besoin d'endormir la douleur. Je ne leur en veux pas. Ils ont fait ce qu'ils ont pu avec ce qu'ils avaient. Avec leurs propres failles... Mais il y a des secrets qui vous meurtrissent dans votre chair, même quand c'est la leur qui est atteinte. Ils m'ont éduqué comme une bonne Américaine, catholique, pratiquante, irréprochable. En cours de route, j'ai appris que rien n'était tout blanc ou tout noir (ironie des mots), pas même eux. Je les ai abandonnées, sans un mot, comme tous les autres.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? La danse est un peu une obsession, une passion. Quand je ne travail pas, j'aime rester tard pour continuer de profiter de la salle pour danser, rien que pour moi. Je vais aux réunions des narcotiques anonymes et trois fois par semaine, au cours de yoga de mon parrain. Je passe beaucoup de temps avec lui, à travailler sur moi, sur ma résistance aux envies toxiques et bien évidemment, j'ai mon rendez-vous toutes les deux semaines avec ma thérapeute. Je ne fais pas de folies. Encore moins qu'avant. La stabilité est essentielle pour la guérison, alors j'ai un planning et j'y déroge peu. On pourrait presque me qualifier de ritualisée.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Des faits peu glorieux, j'en ai quelques-uns à mon actif, le pire étant bien évidemment celui où mon enfant s'est mis en danger parce que j'étais trop stone pour y prêter attention. Mais je n'ai pas très envie de m'étendre sur le sujet, essayant grandement de penser à mon avenir et à ce que je peux réparer, plutôt qu'à ce que j'ai fais du mal. Je vais donc plutôt parler de mon premier jour aux Narcotiques Anonymes. Déjà, j'y suis un peu allé en traînant des pieds. Après six mois de cure, je pensais pouvoir m'en sortir dans le vrai monde. Grave erreur et Chudi le savait très bien. C'est lui qui m'a traîné là-bas. Je me demande encore parfois ce qu'il voit en moi pour mettre tant d'énergie à me sauver de mes démons. Chudi était intervenant au centre. C'est lui qui nous initiait au yoga, à la méditation, à toute la réappropriation de notre corps et de nos sensations. Pas la meilleure partie du programme à nos débuts. Quand il m'a fait asseoir et écouter les histoires des autres, toutes ces histoires tellement sordides que je roulais des yeux toutes les deux minutes, il m'a demandé d'avoir l'esprit ouvert, de ne pas oublier d'où je venais et où j'en étais maintenant et le chemin qu'il me restait à parcourir. Je l'ai presque envoyé balader, lui disant qu'il avait beau travailler auprès de drogués, il ne savait pas ce que c'était que de vivre dans la tête de l'un d'eux. J'ai cru avoir réussi à le piquer au vif et j'étais toute fière de moi en me tournant vers la fille à mes côtés pour lui dire que j'avais raison et qu'il avait tort, lorsqu'il s'est levé en roulant des yeux. Sauf que je l'ai vu s'avancer et monter sur la petite estrade servant au témoignage. J'avoue, je suis devenue rouge de honte, alors, quand il a commencé son discours par le traditionnel : "bonjour, je m'appelle Chudi" ; avant de poursuivre d'un : "Je suis abstinent et aujourd'hui ça fait précisément dix ans que j'ai pris ma dernière dose." Ca a été au tour de la fille de me regarder avec un air supérieur, avant de me dire que Chudi était un des plus anciens membres du groupe et le meilleur parrain du monde. Qu'il l'avait aidé à resté sobre ces quatre dernières années et qu'ils venaient de mettre fin à leur parrainage parce qu'elle était enfin prête à voler de ses propres ailes. Je me suis promis ce jour-là de ne plus jamais juger un livre à sa couverture. Quelques jours plus tard, Chudi est devenu officiellement mon parrain.
this session is gonna be different
Lilith W./Em ꕥ 29 ans
fréquence de rp : suivant l'inspiration, mais au minimum une fois par deux semaines. ϟ fréquence de connexion : Autant que possible *SBAFF*. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je préfère la qualité à la quantité, je peux très vite écrire 500 mots sur une phrase qui m'a inspiré et je ne demande qu'une chose qui m'en inspire tout autant en retour, même si c'est court. Faut donc pas s'inquiéter de la quantité Wink ϟ avatar à réserver : katerina graham. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : et les chaussettes alors, on y pense ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? le seul, l'unique et le cultissime prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? cucurbitacé.
gifer (gif) tumblr (avatar)

Paz + War can make a person forget who he really is

Invité
14 r ; 526 v.
Jeu 7 Mai - 22:06
Paz Mendoza
32 ans - faussaire
FEAT : Lindsey Morgan Paz est orpheline depuis ses cinq ans. Baladée de foyer en foyer, elle n'a jamais eu de vraie famille. À sa majorité et pour ne pas se retrouver à la rue, elle décide de s'engager à l'armée. Elle passe trois ans en Syrie jusqu'à ce qu'une milice ennemie attaque son camps. Quatre de ses camarades sont morts et sa jambe est extrêmement endommagée. Rapatriée en urgence aux États-Unis, elle tente de reprendre une vie normale mais ses nuits sont rythmées par les même cauchemars et elle est addict à la Vicodin. Sans diplôme, sans argent, il ne lui reste que sa peinture. Elle décide de mettre son talent à profit. Grâce à Robert (Kalya), elle devient faussaire.
who am I
ꕥ âge : 32 années d'errance sur terre.
ꕥ orientation sexuelle : héterosexuelle jusqu'à preuve du contraire.
ꕥ situation : Célibataire parce que toute seule c'est plus facile et qu'elle n'aime rendre de compte à personne
ꕥ occupation : Ex-Soldate médaillé par l'U.S. Army, officiellement elle ne travaille plus à cause de sa jambe, officieusement disciple de {@=508}Katya McMuffin{/@}. Elle est faussaire et s'attaque plus précisément au mouvement pop (Niki de Saint Phalle, Roy Lichtenstein ou encore Andy Warhol n'ont plus de secret pour elle)
ꕥ quartier : Miranda heights, Lafayette avenue, Soundview
ꕥ qualités : Sincère, Minutieuse, Déterminée, Spontanée, Pure
ꕥ défauts : Grincheuse, Blessante, Grossière, Antisocial, Égocentrique
ꕥ passions : {#}peinture{/#} {#}metal{/#} {#}Boxe{/#}
ꕥ groupe : groupe
ꕥ communautés : {#}the{/#} Overkill
ꕥ groupe : IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ꕥ parrain : non  keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Par ici les amis cutie

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................
ꕥ un livre : Demain est un autre jour - Lori Nelson Spielman
ꕥ un film : Elle s'appelle Ruby
ꕥ une série : Elite
ꕥ une chanson : Intentions - J.Bieber Embarassed
ꕥ un animal : Koala
ꕥ un plat/dessert : Tiramisu
ꕥ une boisson : Mojito
ꕥ une célébrité : Blanca Suarez
ꕥ un pouvoir magique : Aucun... Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités... pas pour moi! Je veux vivre ma vie d'humaine tranquillement.  scratch

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : Pas spécialement (tant qu'on évite le trop trash).  Tag the sur I've got 99 problems 2153884322

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Cette douleur à la jambe qui continue à persister et l’empêche de marcher correctement. À chaque fois qu’elle pense que ça va mieux, la douleur revint. Ça la pince au point qu’elle ne peut ni avancer ni reculer. Des éclats d’obus se sont logés dans sa jambe lorsqu’elle était à Kobané, en Syrie. Un quotidien rythmé par les bombardements et offensives ennemies. Les souvenirs de cet instant sont flous comme si son esprit avait choisi de la protéger contre ce qui s’est passé réellement. Elle sait juste qu’à son réveil, elle n’était plus là-bas. Quatre autres soldats sont morts et deux autres extrêmement blessés. Elle n’est pas la plus à plaindre et elle n’a jamais cherché à ce qu’on la prenne en pitié. Des mois de rééducation et un mental d’acier lui ont permis de s’en sortir. Pourtant la douleur est toujours là, elle l’handicape et l’empêche de mener sa vie comme elle l’entend. Heureusement, elle peut compter sur ces petites pilules blanches pour calmer ses crampes mais ça ne dure jamais trop longtemps.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Un aveu qu’elle ne fera jamais. Paz n’est pas du genre à reconnaître qu’elle a un problème. Pourtant sa consommation de Vicodin dépasse très largement les prescriptions de son médecin. Elle a d’ailleurs changé le premier parce qu’il refusait d’augmenter sa dose. Il s’agit d’un analgésique puissant qu’elle prenait d’abord pour sa jambe mais qui lui permet aujourd’hui de pouvoir s’évader un peu. Sa mère était accro au crack, elle est morte d’une overdose lorsque Paz n’avait que cinq ans. Si la jeune femme refuse de se laisser diagnostiquer et laisse entendre qu’elle a continué à avoir le contrôle, il n’en est rien en réalité. Depuis peu, elle a des hallucinations qu’elle n’arrive pas à maîtriser.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Si on peut parler de relation… peut être qu’il l’aimait plus qu’elle n’était capable de l’aimer. À moins qu’en fait qu’elle ait été trop fière pour lui dire qu’elle l’aimait en retour. Il en a eu assez d’attendre, alors il est parti. Paz s’est mis en tête qu’elle était incapable de s’impliquer dans une vraie relation. Elle consomme le temps d’une nuit ou deux, puis disparaît. Elle n’a pas la passion, elle préfère quand c’est sans attache, juste le temps d’assouvir ses pulsions charnelles et elle retrouve son quotidien de loup solitaire. Elle laisse l’amour aux autres, ça ne l’emballe pas et elle n’a jamais compris tout cet engouement autour. Pourtant, il y en a bien eu un qui l’a fait vibré par le passé. Elle est irrité à chaque fois qu’elle entend son nom parce que malgré les années, il est toujours présent dans un coin de sa tête. Elle est tombée amoureuse pendant sa mission en Syrie d’un médecin. Il n’y a jamais rien eu d’officiel, ni de concret entre eux. Seulement des échanges de sourire et des promesses envolées. Andy. Il n’y a qu’à voir combien son visage se décompose lorsqu’elle se met à en parler. Il lui a brisé le cœur lorsqu’elle a découvert qu’une femme et un fils l’attendait. Elle s’est sentie trahie mais elle n’a jamais eu le courage de demander d’explication. Parfois, elle se dit que tout s’est passé dans son esprit et qu’elle a peut être mal interprété ses gestes. Et puis, elle se souvient… Aujourd’hui, elle préfère rester seule.

Le dernier texto que tu as envoyé ?Elle n'utilise pas beaucoup son téléphone pour envoyer des messages. La plupart du temps, elle préfére appeler directement, c'est plus rapide et la réponse est instantanée. Mais à regarder dans sa petite boite rectangulaire, son dernier SMS remonte à trois jours à l'attention de {@=508}Katya McMuffin{/@} :

Tu vas probablement croire que je suis folle mais Lichtenstein était dans mon salon. On a longtemps discuté sur « Still Life with Goldfish ». Il m’a avoué adorer mon travail. Il voudrait qu’on collabore ensemble sur un prochain tableau qu’il n’a jamais eu le temps de peindre. Je te jure Rob, il était là, avec moi, il m’a même pris la main !

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elle pourrait en parler pendant des heures mais la vérité est loin d’être glorieuse. Paz n’a jamais connue son père et sa mère est morte d’une overdose alors qu’elle n’avait que cinq ans. Elle ne se rappelle pas très bien d’elle. Quelques bribes de souvenirs erronées par une imagination débordante. Elle n’a gardé d’elle qu’une petite photo glissée dans un médaillon. Elle n’arrive même plus à se rappeler du genre de mère qu’elle était réellement. Paz a appris à grandir sans parent. Avant de rencontrer Rob, elle ne savait même pas ce que c’était d’avoir une famille. Iel a été là pour elle lorsque son monde a arrêté de tourner. Bien que complètement fêlé, iel est ce qui se rapproche le plus d’une famille et d’un parent. Elle donnerait tout ce qu’elle a pour cet étrange énergumène.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Grande amatrice de heavy metal. Elle est tombée dedans par hasard et autant dire que ce qui s’est passé dans son esprit dépasse l’entendement. Elle ne sait pas expliquer vraiment ce qu’elle apprécie dans ce genre de musique et aussi paradoxale que ça en a l’air, ça l’apaise. Après son premier concert Mayhem, elle a fini totalement bourrée avec un tatouage peu glorieux sur la fesse. Habituée du Overkill, elle y passe beaucoup de ses soirées. Elle pratique également la boxe. Taper sur un sac lui permet de s’évader un peu. À cause de sa jambe, elle n’est plus aussi sportive qu’elle ne le voudrait.  Elle se fatigue très rapidement et elle a souvent peur de se faire mal. D’ailleurs, elle a eu du mal à convaincre le gérant de sa salle de la prendre. Elle a découvert El Halito par hasard et c'est un vrai refuge pour elle lorsqu'elle n'est pas chez elle à se gaver de cochonneries en regardant la télévision. C'est un endroit qu'elle aurait aimé fréquenter plus jeune et où elle vient apporter volontairement son aide. La plupart de ces jeunes qui y sont lui rappelle ce qu'elle était quelques années en arrière. Elle n'est certes pas la mieux placer pour donner des conseils mais le fait qu'ils ne se sentent pas seuls lui paraît important. C'est aussi pour elle-même qu'elle le fait, ça lui permet de se donner bonne conscience et de guérir quelques blessures du passé.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?Les vices se multiplient et la jolie Paz creusent doucement sa tombe. Connue pour ses principes, il semblerait que ces temps-ci elle en ait mis plusieurs de côté. D’abord la drogue, elle avait promis de ne jamais y toucher. Fille d’une ancienne toxico, elle était persuadée d’être plus forte que sa génitrice mais elle se retrouve esclave de sa propre pilule. Un cercle vicieux dans lequel elle est tombé puisqu’elle s’est retrouvée à faire de l’illégal pour pouvoir multiplier sa dose. Bizarrement, elle prend plaisir à exercer son nouveau métier. Ses motivations premières étaient l’argent, aujourd’hui elle est comme un poisson dans l’eau dans le milieu des faussaires. Robert est son mentor.

this session is gonna be different
madame-al/a. ꕥ 28 ans
fréquence de rp : environ 1 rp/semaine. ϟ fréquence de connexion : Chaque jour. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Pas de préférence. Le but est de s'amuser, le reste on s'en fiche un peu. ϟ avatar à réserver : écrire ici. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : pois? ϟ comment avez-vous connu 99 ? Il me tapait dans l'oeil depuis un long moment. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Une image vaut mille mots :   uuh .
tumblr (gif) solsken (avatar)

Anything more than whispers

Invité
25 r ; 1490 v.
Dim 26 Avr - 23:11
Priya Advani
30 ans – infirmière scolaire
FEAT : Tina Desai Priya est la fille unique d'un couple d'immigrés venus du Rajasthan (Inde) pour faire fructifier l'affaire familiale. Bien qu'elle soit née aux Etats-Unis, ses parents ont toujours tenu à ce qu'elle vive en accord avec la culture familiale, par la pratique religieuse où le respect des coutumes de leur caste. Si en face d'eux, c'est ce qu'elle fait, elle questionne de plus en plus ses pratiques et transgresse les règles quand elle est seule. Elle travaille aujourd'hui comme infirmière scolaire au lycée de Staten Island où elle désespère des principes d'éducation sexuelle qu'elle doit inculquer à ses élèves, ce qui entre en écho avec les questionnements personnels qu'elle a de plus en plus au sujet de sa propre sexualité, pas si hétéro qu'elle l'aurait crue. Pour autant, étant très introvertie et indécise, elle a du mal à s'ouvrir aux autres de peur de rencontrer un terrain hostile. Cette timidité maladive est un réel frein à ses ambitions, et se lancer une bonne fois pour toute, accepter de prendre des risques, est la seule thérapie possible.
who am I
ꕥ âge : Trente ans depuis peu, et bien que ça ne soit qu’un an de plus par rapport à l’année passée, le chiffre est symbolique et ça lui fait bizarre. Comme si la vingtaine était une sorte de post-adolescence, et qu’elle devenait adulte pour de bon, avec ce que cela implique de responsabilités.
ꕥ orientation sexuelle : Là ça devient compliqué… Comme beaucoup de gens, elle s’est supposée hétérosexuelle pendant des années, étant donné qu’elle ne sortait qu’avec des hommes. Mais elle n’a jamais été portée sur le sexe, trouvant même toujours une excuse pour masquer le fait qu’elle n’en avait tout simplement pas envie. Comprenez bien, là où elle a grandit, tout ce qui n’est pas hétérosexuel se voit dénier toute existence. Alors elle se pose des questions
ꕥ situation : Célibataire depuis plus d’un an, cette situation est un peu nouvelle pour elle car elle a été en couple pendant longtemps avec le même homme, qu’elle a finit par quitter. Il lui fallait une pause, histoire de se remettre les idées en place.
ꕥ occupation : Elle est infirmière scolaire au lycée de Staten Island depuis peu. Le public à l’air agréable, de même que l’équipe enseignante, et tenter d’aider les autres est une des valeurs principales autour de laquelle elle organise sa vie.
ꕥ quartier : Elle est née et a grandit à Staten Island, et habiter à nouveau le quartier de son enfance, elle le vit comme un retour aux sources, rassurant et facile à vivre.
ꕥ qualités : persévérante, empathique, prévenante, curieuse, travailleuse
ꕥ défauts : introvertie, peureuse, menteuse, hypersensible,  impulsive
ꕥ passions : {#}mode{/#} {#}thé{/#} {#}littérature{/#} {#}netflix-and-chill{/#} {#}piano{/#} {#}travailler{/#}
ꕥ groupe : groupe
ꕥ communautés : Lycée de Staten Island, cours de salsa
ꕥ scénario/pré-lien : c'est pas tout à fait ça, mais c'est ce pré-lien qui m'a inspiré Priya
ꕥ groupe : I need help
ꕥ parrain : oui
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Hello ! Seli au rapport (oui ça vient de Kaamelott). J'essaie de reprendre le rp et l'habitude d'écrire pour mes propres projets. Je ne sais pas encore très bien quel sera mon rythme d'écriture et de réponse, donc on verra.
Je viens d'avoir 25 ans (début avril) et franchement sans exagérer, tomber sur un forum comme ça c'est un cadeau d'anniversaire très sympa  cute j'adore l'ambiance et tous les sujets qui sont traités ici. J'ai fait seulement deux passages sur la CB mais je peux vous dire vous formez une super communauté que j'ai bien envie d'intégrer. Sinon, pour mes goûts et centres d'intérêts, je pense que tout est juste en dessous.
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates
ꕥ un film : Un long dimanche de fiançaille ou Amélie Poulain, un Jean-Pierre Jeunet dans tous les cas
ꕥ une série : Sense8 of course, mais en ce moment, je suis très One day at a time
ꕥ une chanson : Through the fire, de Larry Greene
ꕥ un animal : Un petit chat  Tag the sur I've got 99 problems 3897432730
ꕥ un plat/dessert : Un bon vieux gâteau au chocolat, oh non… une key lime pie
ꕥ une boisson : Un thé au citron (oui j'aime le citron)
ꕥ une célébrité : Entre Stephanie Beatriz et Terry Crews mon cœur balance...
ꕥ un pouvoir magique : J'ai toujours rêvé de savoir voler

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : Grossophobie + relations toxiques romantisées

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? J'ai l'impression de courir après un temps dont je ne dispose pas. Tout ce que je prenais pour acquis dans ma vie s'est envolé du jour au lendemain, et je dois tout reconstruire en un temps record, pour rassurer mes parents qui sont de plus en plus circonspects face à mes choix de vie. Enfin, dire que je leur ment serait plus honnête. Je gagne du temps, pour repousser le temps de la conversation gênante que nous allons avoir. Il faudra leur expliquer pour mon mariage avorté, pour mon déménagement brusque, pour la bouteille de rosé que ma mère a trouvé dans le frigo. Toutes des questions qu'ils me poseront auxquelles je n'ai pas de réponse à apporter. Quelqu'un aurait un tuto pour expliquer à ses parents qu'on est peut-être pas la fille qu'ils ont cru avoir pendant des années ? Alors que j'en était moi-même persuadée...

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Pour ce qui est des addictions habituelles (de celles dont on voir les flyers partout dans les infirmeries scolaires et dont les mômes se foutent royalement), rien à signaler. Mais mes amis de fac m'ont toujours dit à quel point j'étais une "workaholic", toujours à bosser, même quand c'était inutile. Mais depuis quand on peut bosser pour rien ? Et puis je dois bien travailler pour pouvoir me payer toutes les fringues qui me font envie, une bien belle obsession de l'apparence que m'a refilée ma fashion-victim de mère. C'est plus fort que moi, je peux difficilement passer devant une vitrine sans sortir avec le dernier blazer a la mode ou ne pas passer des heures devant des magazines de mode. Mais je me soigne, j'essaie d'aller un peu plus en friperie. Comme je suis difficile, je fais des économies.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Une fin bizarre pour une relation très bizarre. Ce sont mes parents qui m'ont présenté ce type pendant que je faisais mes études. Leur objectif était bien entendu qu'on se marie, comme ils l'appelaient de tous les vœux. Lui et moi on s'entendait bien, on a même emménagé ensemble mais… je ne saurai même pas dire ce qui a foiré. On était sur la même longueur d'onde, on aimait les mêmes choses, on avait tous les deux la même horreur de la foule. Du coup je ne sais pas pourquoi je n'ai pas voulu aller plus loin. Je lui disais sans cesse d'attendre. Alors on a attendu et je n'ai jamais été prête, même si nous avons annoncé notre mariage dans l'espoir que ça change quelque chose. J'ai laissé notre relation mourir avant d'y mettre un terme par honte il y a à peu près un an. J'ai ramassé mes affaires au milieu de la nuit et je suis partie. Je ne lui ai plus jamais parlé. Personne ne sait ce qui m'a pris, même pas moi. J'avais juste cette étrange certitude que je devais partir avant d'étouffer.

Le dernier texto que tu as envoyé ? A Ryan Newman : L'Overkill, t'es sure ? tu connais pas un endroit plus calme ???

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? J'ai toujours été proche de mes parents, étant leur unique fille sur laquelle ils ont fondé leurs espoirs. Aucun frère ou aucune sœur pour me décharger un peu. J'ai l'impression pourtant que nous vivons dans deux dimension parallèle mais difficilement conciliables. Chez eux, on parle Rajasthani et Hindi, on brûle de l'encens sur l'autel de Vishnu, on ne mange pas de viande et surtout on ne boit pas d'alcool. Tout ça dans un joli pavillon de banlieue de Staten Island… J'ai grandi là dedans, et ça me convenait bien jusqu'à ce que je sois une ado bien plus intéressée par les dernières séries, les dernières fringues à la mode et son téléphone portable. J'ai commencé à transgresser les règles à cette époque, et ça continue aujourd'hui. Et ils commencent à peine à s'en rendre compte. Nous sommes vraiment proches, et c'est peut-être ce qui rend douloureux le sentiment que nous avons de vivre sur deux planètes différentes et que nous avons de plus en plus de mal à nous comprendre.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je passe principalement mon temps chez moi, à trainer en chemise de nuit ou en robe de chambre. Enfin, trainer c'est un bien grand mot. Disons que je sort assez peu car je déteste les endroits bondés. Je lis pas mal, j'apprend de nouvelles partitions au piano, et surtout, je regarde pas mal Netflix les soir après m'être commandé une Ropa Vieja chez le traiteur cubain du coin (ne le dites pas à ma mère). Je suis un peu trop tranquille diraient certains. Récemment, sur un coup de folie sans doute, j'ai décidé de m'inscrire aux cours de salsa que Ricardo Diaz organise après qu'il ait affiché un prospectus au lycée. Je suis terrorisée à l'idée de me ridiculiser devant des inconnus, mais quelque part, j'ai toujours rêvé de savoir danser.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Il y en pas mal, surtout ces derniers temps. Que voulez-vous savoir ? La façon dont j'ai trahi les préceptes de ma caste Agrawal en consommant à foison alcool et viande sans demander pardon pour mes actions ? La façon dont je mens continuellement à mes parents sur mes habitudes soi-disant religieuses et la raison pour laquelle je ne suis pas mariée aujourd'hui ? La façon dont j'explique à des lycéens que l'abstinence est un moyen sûr de se protéger du VIH car c'est une consigne obligatoire ? Ou encore la façon dont j'ai laissé mon couple s'étioler, tout ça parce que je n'avais pas envie de coucher avec mon fiancé ? J'en parle peu, peut-être que je devrai…

this session is gonna be different
Seli ꕥ 25 ans
fréquence de rp : au minimum une réponse par semaine. ϟ fréquence de connexion : une fois par jour au minimum. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je peux m'adapter mais je fais en général en 400 et 500 je dirai. ϟ avatar à réserver : Tina Desai. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : C'est une question piège ?  tomato  ϟ comment avez-vous connu 99 ? Complètement pas hasard en surfant sur le net. Je suis arrivée via l'avatar de quelqu'un mais je ne sais plus qui  sifle ... ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? C'est ici qu'on demande un parrain la meuf complètement paumée ? sinon  uuh .
tumblr (gif) solsken (avatar)

let's hurt tonight (bambi)

Invité
18 r ; 1352 v.
Dim 12 Avr - 17:05
bambi matthews
29 ans - barmaid à The Overkill
FEAT : zazie beetz
Bambi est née à New-York, dans une famille dysfonctionnelle, avec un père abusif qui a brisé son enfance. Alors qu'elle n'a que cinq ans, elle perd sa mère et finit en foyer avant d'être adoptée par la famille Matthews. La tradition est d'avoir un surnom commençant par un B et le sien, c'est Bear pour la simple et bonne raison qu'elle grogne tout le temps. Une vraie maman ours bien que le mot maman l'exaspère au plus haut point. En effet, elle déteste les enfants. Malheureusement pour elle, sa demi-soeur biologique a refait surface dans sa vie et Bambi a à présent la garde de ses deux enfants pour une durée indéterminée. Mis-à-part sa vie familiale et sentimentale totalement chaotique, Bambi tient un blog où elle écrit des articles incendiaires. Militante et activiste pour les droits des femmes, elle se revendique féministe et fière de l'être. Dés son plus jeune, elle s'est réfugiée dans les livres de Stephen King qui sont devenues pour elle un véritable échappatoire. Depuis, elle écrit des histoires d'horreur dans son coin en rêvant un jour d'être publiée.
who am I
ꕥ âge : vingt-neuf ans.
ꕥ orientation sexuelle : bisexuelle.
ꕥ situation : seule. tu n'as clairement pas le temps pour une relation, surtout depuis que tu t'es retrouvée avec la garde de deux sales gosses.
ꕥ occupation : barmaid au bar The Overkill. pendant ton temps libre, tu écris des histoires d'horreur et tu tiens aussi un blog féministe où tu ne mâches pas tes mots.
ꕥ quartier : le bronx.
ꕥ qualités : imaginative, courageuse, dévouée, bienveillante, sincère.
ꕥ défauts : cynique, négative, têtue, blasée, bordélique, nerveuse.
ꕥ passions : {#}activisme{/#}, {#}écriture{/#}, {#}féminisme{/#}, {#}films-d-horreurs{/#}, {#}littérature{/#}/lecture
ꕥ communautés : {#}the{/#} overkill.
ꕥ scénario/pré-lien : famille matthews
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? non.
all about my player
ꕥ petite présentation perso : Rien n'a changé mis-à-part que j'ai pris un an de plus depuis mon dernier compte et c'est très triste.  Arrow

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : Marche ou crève de SK.
ꕥ un film : Zootopie parce que c'est le dernier en date que je viens de voir.
ꕥ une série : Westworld, best serie ever.
ꕥ une chanson : Tout le dernier album de Dua Lipa.
ꕥ un animal : Un chaton.
ꕥ un plat/dessert : Des pâtes carbonara.
ꕥ une boisson : Jus de clémentine.
ꕥ une célébrité : Bill Skarsgard lol jtm
ꕥ un pouvoir magique : Remonter le temps.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : ce n'est pas obligatoire, mais n'hésitez pas à préciser les sujets sur lesquels vous n'avez pas envie de lire, ou qui vous mettent mal à l'aise.

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...


25 Février 2019

Tu rentres tard. Plus tard que prévu. Il est là, il t'attend et tu sais très bien que cela va pas mal se passer. Il va chercher le moindre détail pour enclencher une dispute, pour te hurler, te reprocher tout qu'il a sur le cœur. Tu n'as même pas envie de rentrer ce soir-là, de passer la porte de ce qui est pourtant ton appartement à toi. Ton chez toi, là où tu devrais être en sécurité et où tu rentres de plus en plus à reculons quand tu sais qu'il est là, à t'attendre. Tu sais pourtant que tu devrais être heureuse de le voir, ressentir ces foutus papillons dans le bas ventre comme à vos débuts. Ce n'est plus pareil. Le conte de fée s'est transformé doucement mais sûrement en cauchemar comme dans l'un de tes romans. Un soupir et voilà que ta main se pose sur la poignée, ouvrant la porte d'entrée. Il est là, assis sur le canapé, à regarder un documentaire à la télévision. Dégage de là, c'est terminé. Voilà ce que tu crèves d'envie de lui dire, depuis des mois maintenant. Mais tu n'y arrives pas. Parce que tu as peur, peur de la réaction qu'il peut avoir. Il se lève et tu ne flanches pas. Pas cette fois-ci. Tu ne le lâches pas des yeux tandis qu'il s'approche de toi certainement pas pour t'embrasser. Tu peux le voir dans son regard. « Est-ce qu'on peut juste s'installer dans le canapé et regarder un film niais à la télé s'il te plaît ? » que tu lui lances, la fatigue se faisant ressentir dans ta voix. Tu ne veux pas t'excuser, pas ce soir. T'excuser de quoi au juste ? D'avoir dû rester au boulot plus longtemps pour aider à tout ranger ? Il ne comprend pas. Il ne veut jamais comprendre. Bien sûr, ta requête passe à la trappe. Les mots montent, plus haut les uns que les autres. Tes voisins se sont déjà plains de nombreuses fois de vos disputes, certains sont même allés jusqu'à appeler les flics. Mais il paraît si charmant. Tu ne sais pas comment tu en viens à être plaquée contre le mur, ses mains sur ton cou mais c'est à ce moment-là que tu as compris. Tous tes souvenirs sont remontés, tous ceux que tu t'es forcée d'oublier. Ceux de ton enfance, de ta famille biologique. Les hurlements, les objets qui volent à travers la pièce, les coups... Ta mère n'a pas su se défendre, ta mère n'a tout simplement pas eu d'aide. Et maintenant, elle n'est plus là pour en parler. C'est grâce à cette pensée que tu trouves la force de le repousser, de répondre, et surtout de t'enfuir avec seulement ton sac-à-main et rien de plus. Ce soir-là, tu fais exprès de prendre des rues bien fréquentées et éclairés, malgré les larmes qui coulent le long de tes joues. Parce que tu as peur. Peur qu'il soit là, quelque part, qu'il te suive. De tomber une nouvelle fois sur quelqu'un de mauvais. Il n'y a qu'un seul endroit où tu veux aller. C'est devant l'immeuble de ton petit frère d'adoption, Blaise, que tu finis. Et quand il ouvre la porte, tu ne peux que baisser le regard sur le sol. « Désolée. ». Désolée de ne pas l'avoir écouté, désolée d'avoir cru un seul instant que le bonheur pouvait être possible. Tu n'as jamais montré un signe de faiblesse, Bambi. Certainement pas devant tes frères et soeurs. Mais ce soir-là, tu craques. Parce que tu viens de vivre ce que ta mère a vécu durant les premières années de ta vie.


15 mars 2020

Tu espères que c'est une blague, lorsque tu lis la lettre que tu tiens entre les mains. Mais après plusieurs appels, toutes ces fois où tu t'es déplacée aux différents lieux que l'on t'a indiqué, tu as bien vite compris que non. Ton géniteur a fait des siennes avant de rencontrer ta mère et n'a rien trouvé de mieux que de pondre une gosse avant de s'évaporer dans la nature au bout de quelques mois ou années, tu n'en sais rien. Sauf que voilà, tu n'as jamais voulu te retrouver avec une grande demi-soeur biologique qui apparaît soudainement dans ta vie. C'est elle qui a fait le premier pas vers toi et tu as accepté après des mois d'hésitations. Tu pouvais sentir qu'il y avait quelque chose mais à aucun moment tu n'as pas te douter que reprendre contact avec elle, ce serait te retrouver avec la garde de ses enfants. Un adolescent de dix-huit et une gamine de dix ans. Tu aurais pu refuser, si seulement tu avais eu le courage de le faire. Et après les nombreuses visites et rendez-vous avec des professionnels, voilà que tu te retrouves avec ce que tu n'as jamais voulu dans ta vie : des enfants. Ce n'est que provisoire, qu'elle t'a dit. Le temps de sa cure de désintoxication, de prouver qu'elle est de nouveau capable de prendre soin de ses enfants toute seule. Parce que le père s'est barré, bien évidemment. C'est toi la plus normale dans cette famille. Voilà ce qu'elle a osé te sortir. Mais toi, tu estimes n'avoir plus rien à faire dans cette famille. Que ta vraie famille, ce sont les Matthews, ceux qui t'ont donné la chance de vivre dans un environnement sain. Et tu es censée faire quoi, maintenant ? Faire la même chose avec ses gosses ? « Quoi ? On va devoir vivre dans ce trou à rats ? J'aurais préféré aller dans un foyer. ». C'est la première phrase que l'aîné te sort lorsqu'il passe la porte de ton appartement. C'est aussi à ce moment-là que tu as compris que tu allais certainement devoir apprendre la patience et surtout dire adieu à ta tranquillité.
this session is gonna be different
deborah ꕥ 25 ans
fréquence de rp : une fois tous les dix jours. ϟ fréquence de connexion : trop souvent. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 400/900. ϟ avatar à réserver : zazie beetz. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : turquoise. ϟ comment avez-vous connu 99 ? j'y suis déjà. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?  doog
tumblr (gif) HOODWINK (avatar)

dream baby dream

Invité
17 r ; 508 v.
Ven 6 Mar - 15:11
Stefan Keddle
ft Matthew Gray Gubler
ꕥ résumé : Stefan est un compositeur et musicien faisant parti du groupe The Rip depuis 2005, il connait la notoriété et se plait dans son métier. Il est né à New York où il a à peine connu son père et était très fusionnel avec sa mère. Il a eu une enfance assez banale, quoique, il a un QI un peu plus élevé que la moyenne et ça lui a facilité les choses dans son apprentissage. Aujourd'hui, il vit tranquillement sa petite vie, en échappant le plus possible aux rumeurs fondées sur le groupe, même si ça n'est pas toujours évident.
who am I
ꕥ âge : il approche peu à peu de la quarantaine mais cela ne se voit pas forcément sur son visage. Aussi, dans sa tête, il a encore douze ans d'âge mental, il n'a jamais vraiment grandi et est resté dans son petit monde tout le long de sa vie. Et ça n'est pas près de s'arrêter...
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuel, il n'a jamais été attiré par une personne du même sexe ou du même genre, même s'il a déjà essayé pour voir c'que ça fait. Mais définitivement, les hommes ne sont pas fait pour lui.
ꕥ situation : célibataire, il n'a toujours pas trouvé l'heureuse élue qui aurait le courage de rester avec lui.
ꕥ occupation : membre du groupe The Rip à plein temps, il occupe la place de pianiste et claviériste, c'est aussi un compositeur de génie, il se sent très inspiré, surtout après avoir bien fumé.  
ꕥ quartier : brooklyn
ꕥ qualités : malin, enthousiaste, bosseur, bon vivant, ouvert, passionné
ꕥ défauts : têtu, égoïste, impulsif, bordélique, immature, téméraire, pessimiste
ꕥ passions : musique, rock, concert, jeux vidéo, star wars, le seigneur des anneaux, films en tout genre (surtout les films d'horreur), jeux de société, astronomie, déguisements, alcool, cigarettes, thé, ...
ꕥ communautés : Prélien de {@=408}SIMON CHATWOOD{/@}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? nope
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Rien de plus triste qu’une présentation sans réponse n’est-ce pas ? Nous avons pensé qu’il y aurait tellement plus de choses à dire en faisant une petite présentation de soi (donc le joueur) aux autres membres. Ici soyez donc libre d’écrire quelques mots sur vous, ce que vous aimez rp, votre rythme, vos centres d’intérêt ! Vous n’êtes pas obligés de remplir cette section, si vous n’en avez pas envie, mais ça peut être sympathique !

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : écrire ici
ꕥ un film : écrire ici
ꕥ une série : écrire ici
ꕥ une chanson : écrire ici
ꕥ un animal : écrire ici
ꕥ un plat/dessert : écrire ici
ꕥ une boisson : écrire ici
ꕥ une célébrité : écrire ici
ꕥ un pouvoir magique : écrire ici

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : ce n'est pas obligatoire, mais n'hésitez pas à préciser les sujets sur lesquels vous n'avez pas envie de lire, ou qui vous mettent mal à l'aise.

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...1. Stefan est né un 21mars dans le quartier du Bronx, à New York. Il est fils unique et son père était infirmier dans un hopital, quant à sa mère, elle était flic et bikeuse. Stefan a grandi à New York, et c'est probablement là qu'il mourra dans un futur à venir. Il ne se voit pas vivre ailleurs, même si vu son métier, il est amené à se déplacer assez souvent. Il a d'ailleurs un petit studio à Los Angeles qu'il occupe lorsqu'il vient là bas pour affaires.

2. Son père est parti du foyer pour vivre sa vie avec une autre femme lorsque le petit Stefan eut atteint l'âge de trois ans. Il n'a jamais vraiment connu son père et s'en souvient que vaguement, il voit quelques traits de son visage mais sans plus. Son père n'a jamais demandé sa garde ni même à le revoir, et c'est très bien comme cela. Quand à sa mère, Stefan a eu une relation profondément fusionnelle avec elle. Il l'a toujours aidée quoiqu'il advienne et s'est montré là pour elle et inversement. Malheureusement, elle est décédée il y a un an de cela, un grand bouleversement pour Stefan qui a vu son petit monde s'effondrer en même temps que son départ. Mais la vie continue...

3. Stefan a eu une enfance sans encombre, si ce n'est l'absence d'un père. En attendant, il s'est contenté des beau père qu'il a pu avoir au long de sa vie, sans réelle stabilité. Sa mère, qui souhaitait qu'il apprenne d'un instrument de musique, lui a payé des leçons de piano, un instrument dans lequel Stefan s'est plu immédiatement. Il s'est beaucoup investit là dedans, le piano c'était un peu son moyen de s'évader, de penser à autre chose que la dure réalité à laquelle il était confronté. Il a d'ailleurs l'oreille absolue, ce qui l'a beaucoup aidé lors de son apprentissage de la musique. Il sait aussi jouer un peu de guitare, mais son points fort reste le piano et le clavier.
En plus de faire de la musique, il aime beaucoup aussi en écouter. Son groupe préféré est Pink Floyd, mais il aime aussi les Beatles, les Rolling Stones, Queen ou encore Metallica.

4. Lorsqu'il ne faisait pas de musique, Stefan regardait soit des films, soit jouait aux jeux vidéo, ses deux autres passions. Il a toujours été dans son petit monde à lui, un peu renfermé, à imaginer des tas de chose. Son jeux vidéo préféré est la saga Tomb Raider, mais il a rien contre les Uncharted sorti beaucoup plus tard, il adore l'exploration. Ses films préférés sont la saga Star Wars, Indiana Jones, Retour vers le Futur, le Seigneur des Anneaux, mais il apprécie aussi beaucoup Harry Potter, autant à regarder qu'à lire. Il adore les séries aussi fantastiques tel que Star Trek ou encore Doctor Who.

5. C'était un enfant précoce, avec de bonnes notes à l'école, surtout en sciences. Son domaine d'activité préféré c'était l'astronomie, il peut en parler beaucoup avec passion et ce depuis longtemps. Il appréciait aussi la littérature en tout genre. Mais son comportement était parfois à douter. Il faisait souvent le pitre en classe pour amuser ses camarades et ça lui arrivait souvent de se retrouver en heure de colle où il ne faisait pas grand chose. Il a cependant un QI plus élevé que la moyenne, sans être un génie non plus pour autant.

6. Au lycée, il a rencontré Karl et Dgee, tous les deux passionnés de musique aussi, comme lui. Ensemble, ils ont décidé de former un groupe de musique, en changeant de batteur régulièrement, sans arriver à en trouver un stable. Ils répétaient dans les garages de chez qui avait une maison, ou dans la chambre, ce qui était assez déplaisant pour les voisins. Ce n'est que plus tard, en 2005, qu'ils rencontrèrent Tony qui resta dans le groupe pour une durée assez longue. Ils profitèrent de la notoriété de ce dernier pour se faire un nom petit à petit jusqu'à connaitre la célébrité. Plus tard, ils furent victimes de nombreuses rumeurs et pas toujours plaisantes mais Stefan, alias Edge, a toujours pris ses distances par rapport à ça. Même s'il buvait pas mal, il n'était pas celui qui participait aux fêtes et tout le tumultes d'après concert, lui il était plus discret, même s'il avait son lot lui aussi. En effet, ça lui est arrivé plus d'une fois de terminer en cellule de dégrisement pour diverses raisons, mais souvent c'était après s'être battu dans un bar après avoir trop bu, souvent pour défendre les autres. Deux saouls ensembles, ça faisait rarement bon ménage.

7. Stefan ne fait pas que de la musique, il compose aussi. La plupart du temps, les idées lui viennent après avoir fumé quelques joints et en se laissant aller. Il adore composer, s'essayer à plusieurs sons. Il a d'ailleurs participé à la composition de bandes sonores de quelques films, dans le milieu du cinéma, et il en est plutôt fier. Il lui arrive aussi d'aider quelques artistes qui ne savent pas composer, et à être une sorte de mentor pour eux.

8. Bien qu'il aime beaucoup les femmes, Stefan ne s'est jamais réellement posé avec l'une d'entre elles. D'ailleurs, il n'a jamais fondé une famille jusque là et ce n'est pas dans ses priorités. Il est trop occupé professionnellement pour penser à ça, même si l'idée de mourir seul l'effraie. Il aimerait au moins se marier une fois, lorsqu'il aura trouvé la perle rare, celle qui fera qu'il n'a envie de rester avec elle et uniquement avec elle.

9. A la mort de sa mère, Stefan a décidé d'honorer sa mémoire en intégrant le groupe de bikers auquel elle appartenait, bien qu'il n'y connaisse pas grand chose. Il a eu son permis moto à l'adolescence mais n'a pas pratiqué plus que cela, même si ça lui arrivait de voir les autres de temps à autre par pure sympathie. Néanmoins, il demeure fidèles aux camarades de sa mère et est très heureux de pouvoir les revoir de temps en temps, lorsqu'il a le temps d'aller leur rendre visite. Il projette d'aller voyager avec eux au moins une fois pour voir ce que ça fait mais pour le moment, il a d'autres préoccupations.

10. Stefan ne peut pas démarrer une journée dans boire une tasse, sinon plus, de thé. Il aime aussi le café mais c'est le thé qu'il apprécie le plus, surtout le earl grey. Il a plusieurs boite de thé à divers parfum chez lui. Il sucre toujours son thé, voir même parfois il rajoute un peu de lait pour adoucir mais c'est rare. Lorsqu'il reçoit, il propose toujours une tasse de thé, quoiqu'il arrive, et se prends une tasse pour lui au cas où.

this session is gonna be different
white mocha/camille ꕥ 29 ans
fréquence de rp : elle varie. ϟ fréquence de connexion : si y'a rien qui se passe, à peu près tout les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 200 et 500, mais ça peut être plus si je suis inspirée. ϟ avatar à réserver : matthew gray gubler ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouges, évidement. ϟ comment avez-vous connu 99 ? par bazzart ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? toboggan
tumblr (gif) solsken (avatar)

get your killer heels, sneakers, pumps or lace up your boots (robin)

Invité
14 r ; 578 v.
Mer 1 Jan - 23:18
robin young
ft alice pagani
ꕥ résumé : Robin a toujours vécu à New-York, dans le Queens avec son grand frère et ses parents. Elle a eu la chance de vivre dans une famille aimante mais cet équilibre familial a fini par se briser lors du départ de son père alors qu'elle entre dans l'adolescence. Elle vit une adolescence compliquée suite à cette absence. C'est durant cette époque qu'elle commence à se réfugier dans les jeux vidéos et à créer des vidéos sans vraiment d'intérêt. Cette passion finit par devenir son métier car depuis quelques années, elle est connue en tant que streameuse sur la plateforme Twitch où elle rencontre un franc succès. En février 2019, elle a même ouvert son propre bar gaming "The Lost Planet". Féministe et militante pour les droits des femmes, Robin participe à des manifestations diverses et n'hésite pas à se faire entendre. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds – certainement pas par les hommes et n'hésite pas à utiliser sa notoriété dans le monde du gaming pour les bonnes causes.
who am I
ꕥ âge : vingt-trois ans.
ꕥ orientation sexuelle : tu aimes uniquement les femmes.
ꕥ situation : en couple depuis deux ans.
ꕥ occupation : tu es connue pour être streameuse sur la plateforme Twitch et grâce à l'argent des abonnés, tu as pu ouvrir ton propre bar gaming « The Lost Planet » qui rencontre un franc succés.
ꕥ quartier : tu vis dans un appartement de Brooklyn, à Williamsbourg, avec ta petite amie.
ꕥ qualités : généreuse, dynamique, curieuse, aventureuse, maline.
ꕥ défauts : impulsive, têtue, bagarreuse, indomptable, imprudente, mauvaise perdante.
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ communautés : {#}The{/#} Outpost.
all about my player
ꕥ petite présentation perso : toujours la même.  Tag the sur I've got 99 problems 3897432730
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un livre : écrire ici
ꕥ un film : écrire ici
ꕥ une série : écrire ici
ꕥ une chanson : écrire ici
ꕥ un animal : écrire ici
ꕥ un plat/dessert : écrire ici
ꕥ une boisson : écrire ici
ꕥ une célébrité : écrire ici
ꕥ un pouvoir magique : écrire ici

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : ne me parlez pas de vomi ou de gastro en cette douce période et tout ira bien.

that's my first rp
Le problème en étant à ce point exposée sur le net, c'est que tu ne peux pas te permettre de disparaître trop longtemps. Twitch n'est plus ta source de revenue première maintenant que tu as ton propre bar gaming mais cela reste un métier à part entière pour toi et tu ne peux pas t'absenter plus d'une semaine sans donner de nouvelles. Il faut te justifier à chaque fois, quitte à inventer des excuses totalement bidons à tes abonnés pour avoir un peu la paix et redécouvrir la vie réelle. Et surtout, profiter de ce qui compte le plus pour toi : tes proches. Pas ta petite-amie qui te supporte déjà tous les jours dans votre appartement – bien qu'elle t'a plusieurs fois fait remarquer avec son tact habituel que cela fait bien longtemps que vous n'avez pas eu une soirée juste toutes les deux. Ce soir, tu aurais pu faire l'effort de rester avec elle, de lui proposer une soirée en amoureuse. Rien qu'elle et toi, personne d'autre. Sûrement que cela lui aurait fait plaisir. Mais tu as plutôt décidé de te rendre à l'Outpost pour voir la personne la plus importante dans ta vie : ton grand frère, Andreas.

Dos à toi, Andreas a l'air d'être en grande discussion avec le barman. Barman qui n'est pas Blake, sûrement que c'est son jour de repos. Dommage, tu en aurais profité pour taquiner ton grand frère à ce sujet si cela avait été le cas. Pas que tu sois vraiment intrusive dans la vie de ce dernier, juste que tu te doutes bien qu'il y a bien plus que ce qu'il ne laisse croire entre lui et son « ami » (avec de gros guillemets s'il vous plaît) qui est aussi accessoirement son ex petit-ami. Toi, tu te contentes de lui lancer quelques remarques à ce sujet, avec toujours cet air malicieux sur le visage. Tu ne cherches pas pour autant à en savoir plus car tu estimes qu'il viendra te parler de lui-même si jamais il le souhaite. Andreas sait qu'il pourra toujours compter sur toi, peu importe ce qui se passe. Il pourrait même tuer quelqu'un que tu l'aideras à cacher son cadavre ! Ouais, tu es plutôt une sœur géniale quand tu le veux bien. « Andreaaaaaaaaas ! ». Toi, discrète ? Pas vraiment. Mais tu viens de temps en temps dans ce bar grâce à ton frère alors les quelques clients fidèles sont habitués de ton comportement. Surtout les employés. Et alors qu'il a à peine le temps de se retourner, tu sautes à son cou tel un koala... manquant de le faire tomber sur le comptoir. Oups. « Je t'ai manqué ? » que tu ajoutes avant de laisser tes pieds glisser sur le sol, allant pincer ses joues comme si tu étais la grande sœur et lui le petit frère. Sauf qu'il n'y a pas de doute quant à votre différence d'âge – rien que par ton visage aux traits encore enfantins malgré tes vingt-trois ans mais aussi car il te dépasse d'une bonne tête niveau taille. « Moi je dois avouer que ta tête de fouine manquait dans mon paysage. ». Vous avez toujours été fusionnel avec Andreas, surtout après le départ de votre père de la maison familiale. Tu t'es quelque peu rattachée à lui sans en prendre réellement conscience, cherchant ce besoin de combler ce manque autrement. Maintenant, tu en as conscience. Peut-être bien qu'à certains moments, ton grand frère s'est senti étouffé par tes manières et surtout ton comportement compliqué. Adolescence difficile, adolescence gâchée par l'absence d'un père. Tu as un peu n'importe quoi, comme si tu avais cherché à gâcher ta vie. Mais Andreas, il ne t'a jamais abandonné. Et rien que pour cela, tu pourrais le remercier encore et encore. Car c'est grâce à lui que tu as pu devenir ce que tu es aujourd'hui.
this session is gonna be different
PARKER/debo ꕥ 24 ans
fréquence de rp : un rp tous les dix jours. ϟ fréquence de connexion : souvent. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 500/900. ϟ avatar à réserver : alice pagani. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : de la couleur de mes yeux (ou pas). ϟ comment avez-vous connu 99 ? j'y suis déjà. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? salut.
tumblr (gif) Blossom. (avatar)

Sauter vers: