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3 résultats trouvés pour chanter

Cameron ✻ white tiger in my veins

Invité
20 r ; 355 v.
Jeu 11 Mar - 11:02
Cameron Thompson
idk what you’re talking about
ID CARD
{@=833}Cameron Thompson{/@}
28 ans - interne en neurochirurgie
FEAT : Dylan O'Brien
Né à Los Angeles, Cameron a quitté l’océan pacifique pour l’atlantique alors qu’il n’avait que 4 ans. New-York semblait plein de promesses. Désuètes. Sa mère est tombé malade dans l’année, son père a perdu son travail. C’est la descente aux enfers. Alors que l’un de ses parents reste bien souvent sur un lit d’hôpital, l’autre se met à boire. Cameron est la victime parfaite : coup après coup, jour après jour. Il mise sur sa maladresse pour expliquer ses nombreux bleus. Ses fausses excuses fonctionnent jusqu’à l’adolescence. Léa, sa maman, décède quand il n’avait que 15 ans. Cameron touche désormais le fond. Il broie du noir, disparaît du monde pendant quelques temps, tombe dans la dépression. Heureusement, son groupe d’amis arrive juste à temps pour le sortir du gouffre : ils apprennent pour son père, l’aide à se relever, à se battre contre lui, à essayer de reprendre confiance. Néanmoins, il vit toujours dans la peur. Il manque de confiance en lui. Il dissimule tout ceci, cache son jeu. Mais un jour, il faudra bien qu’il affronte son passé pour réussir à avancer.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : T'es plutôt fière d'être américain. Carrément même. T'aimes ta nationalité, t'aimes ton pays quand ce dernier fait pas de la merde.
Ethnie/origines : T'as la moitié de ton sang, et de ton coeur, qui peut être considéré comme français grâce à ta mère. Elle est né à Paris même, pas si loin que ça de la place Montmartre. Et de ton père, dans la lignée des Thompson, t'es américain.
Orientation : T'es totalement le genre de mec qui arrive à regarder un film à l'eau de rose, pleurer avant la fin parce que la situation entre les deux protagonistes devient extrêmement triste, et rêver qu'une telle chose puisse t'arriver. Dans la réalité, t'es une réelle catastrophe ambulante, t'es incapable de parler sentiment et y'a ta foutu timidité qui vient compliqué le tout. Pourtant, t'es sûr de toi depuis un bon moment, t'es bisexuel, attiré autant par les meufs que les gars.
Situation : En mode abeille, tu butines là où le vent et les fleurs te portent. Ni vraiment en couple, ni totalement célibataire. Tu profites juste de ce que le monde t'offre.
Occupation : Accepter à la NYU school of medicine, avec une bourse, il se lance dans plusieurs années d’étude afin de devenir Neurochirurgien, bien que son but ultime soit d’être neuro-oncologue. Actuellement, il est en deuxième année d’internat au Richmond Medical Center. Cela signifie aussi que depuis deux ans, son parrain n’a plus besoin de lui verser une pension, pour lui réussir à se loger et se nourrir.
Quartier : Queens, apt 6 du Sunflower Building

and what else ?
Qualités : Emotif / Rieur-souriant / Protecteur / Attachant
Défauts : Brisé / Maladroit / Borné / Mystérieux
Passions : {#}chanter{/#} {#}baseball{/#} {#}travailler{/#}
Communautés : Oak appartment Tag chanter sur I've got 99 problems 151223673  complex - en tant que locataire
Richmond University Medical Center - en tant que résident de deuxième année en neurochirurgie
LGBT Center Manhattan - écoutant bénévole



that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Arrêter d’avoir peur. Peur de tout, de rien, de la vie, de la mort. Tu doutes tout le temps, sans arrêt. Tu sursautes quand tu croises parfois une personne d’une cinquantaine d’année qui ressemble un peu à ton père dans la rue. Tu pleures, sans pouvoir te stopper à un seul moment, quand tu vas au cimetière, sur la tombe de ta mère. Quand tu fermes les yeux, t’as l’impression que les coups reprennent : dans les côtes, l’estomac, le dos, les jambes. Tu fuis l’alcool comme la peste et pourtant ce dernier t’attire, irrésistible. T’as peur de devenir comme lui, de finir comme elle. Tu doutes à chaque pas que tu fais et ça te saoule. T’en as marre. Tu voudrais qu’on te montre comment avancer normalement.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). T’as l’addiction la plus nulle et bancale du monde. T’es accro à de petits gâteaux ronds, collés entre eux par une fine couche savoureuse de chocolat au lait. Les Princes. Tu pourrais te nourrir uniquement de cela jusqu’à la fin de ta vie. D’ailleurs, tu as toujours un paquet sur toi, ou proche de toi, en cas d’envie irrépressible de croquer un bout.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Tout dépend du genre de relation sous-entendus. T’es pas du genre à avoir une attache, mais tu n’es pas non plus le genre de type à ressentir le besoin d’être toujours accompagné dans ton lit. Ta dernière « relation » a commencé et s’est terminée le même jour. Un simple coup d’un soir à une soirée, principalement parce que t’étais bourré. Rien de bien original.

Le dernier texto que tu as envoyé ?Ça date d’hier soir, à la personne qui partage l’appartement avec toi. Il était trois heures du matin, t’arrivais pas à dormir alors tu t’es dit que t’allais lancer une petite blague. « Si tu veux savoir si tu vas réussir à dormir cette nuit. Envoie ‘putain, tu me fais chier à me réveiller à cette heure-ci ! Je dormais.’ » Bien entendu, le colocataire à répondu au sms et la nuit s’est fini sur le canapé, une manette dans les mains, mario kart sur l’écran. T’as perdu, mais personne ne le saura.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? En version rapide, tu dirais : une mère décédée et un père alcoolique et absent désormais. En version longue, ça donnerait plutôt quelque chose du genre : en arrivant à New-York, ton père a perdu son boulot tandis que ta mère tombait gravement malade. Pendant qu’elle suivait de lourd traitement, ton paternel plongeait irrévocablement vers l’alcool. Les bouteilles se sont vites empilées et les coups sont tombés sur ton corps. T’abimant. T’écorchant. Te terrifiant chaque jour un peu plus. Pendant que t’affrontais le démon en personne chez toi, tu devais aussi faire bonne figure devant ta mère hospitalisée et décidant de rejoindre le ciel à tes 15 ans. A l’heure actuelle, ton père est dans un centre de désintoxication et toi, t’es seul, avec pour seul véritable appuie familiale des oncles, tantes et cousines qui comprennent parfois rien à ton vécu.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Tu lis, beaucoup. Tu passes pas mal de temps à la bibliothèque de l’université pour continuer à approfondir tes connaissances dans la neurochirurgie et de temps en temps, l’oncologie. T’as souvent du mal à sortir du « boulot ». Aussi, tu prends toujours le temps de te rendre au LGBT+ center afin d’aider et d’écouter celleux qui en ont besoin. Être présent pour les autres, c’est ta façon d’être alors, avec tout ça, t’arrives encore à trouver du temps pour tes amis, pour t’engueuler avec ton colocataire et, quand t’arrives à fermer l’oeil : dormir.  

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Lors de grandes soirées, principalement au lycée, quand tu traînais tout le temps avec ta bande de potes, tu te laissais souvent entraîner dans un mauvais engrenage : tu buvais trop, tu vomissais et ... tu finissais sans savoir comment, ni pourquoi, sur le parking d’un supermarché, à jouer aux auto-tamponneuses avec les caddies. T’étais bruyant, pathétique, probablement drôle que pour toi-même. Quand la police débarquaient, attirée par les plaintes des voisins, tu finissais, toujours, par leur montrer tes fesses. Autant dire que tu étais embarqué, que tu finissais ta soirée dans une cellule de dégrisement. Tu attendais qu’un policier sympa, qui t’avais à la bonne, te files un Doliprane et te laisses sortir de là, la tête bien baissée. Tu te promettais de ne jamais recommencer, pourtant, ceci est arrivé au moins 10 fois.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Laurine (Lempika.)
Age: 26  ohpardon
Avez-vous des triggers personnels ? sexual assaults
Avatar à réserver : Dylan O'Brien
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Vocivus
Souhaitez-vous un mp d'intégration Nope, mais merci quand même keur

give me your heart and soul (tray)

Invité
20 r ; 479 v.
Jeu 29 Oct - 22:43
travis “tray” forbes
idk what you're talking about
ID CARD
{@=755}Tray Forbes{/@}
36 ans - avocat
FEAT : hayden christensen
Aîné de la fratrie Forbes, fils de célèbres producteurs de comédies musicales à Broadway, Tray a toujours eu une vie facile où tout lui a été offert sur un plateau d'argent. Aujourd'hui avocat médiatisé dont la réputation n'est plus à refaire, il brille tant par son intelligence, son charme solaire et son excellente compagnie que par son arrogance et son égoïsme. Il plaît autant qu'il n'agace et, s'il n'est pas méchant pour un sou, il ne cherchera jamais pour autant à préserver les sentiments de qui se tient en face de lui. Capable de se rendre compte de l'impact de ses actes et paroles sur autrui, il est cependant trop égoïste pour faire l'effort d'y penser. Divorcé, il n'a connu l'amour qu'une fois au cours de sa vie, et bien curieusement, ce n'était pas avec son ex-épouse mais bien avec un petit bout de femme qui aura été la seule, à ce jour, à susciter chez lui davantage que les affects superficiels qu'il est disposé à accorder aux autres. La relation se solda néanmoins par un échec catastrophique et Tray est revenu à ses anciennes pratiques volages et sans lendemain. Tray est un grand mélomane qui jouit d'un petit succès grâce à sa voix et sa guitare, et il se produit régulièrement dans bars et événements privés à Manhattan, tant par passion que pour le capital séduction que lui garantit cette activité.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Orientation : il n'a d'yeux que pour les femmes, bien que prêt à tout s'il y a un bénéfice ultérieur en jeu
Situation : célibataire invétéré
Occupation : avocat talentueux et de renom, spécialisé en droit pénal et habitué des procès à sensation fortement médiatisés, Tray a bénéficié d'une poussée dans le dos à grand renfort de népotisme au début de sa carrière, avant de faire ses preuves pour se retrouver aujourd'hui à la tête d'un prestigieux cabinet.
Quartier : Upper East Side

and what else ?
Qualités : charismatique, extraverti, solaire, avenant, tendre, vif, éloquent, ouvert d'esprit
Défauts : égoïste, superficiel, manipulateur, opportuniste, rancunier, impitoyable
Passions : {#}cigarette{/#} {#}chat{/#} {#}chanter{/#}
Communautés : Park Avenue Plaza - NYC Bar Association - Gotha






that's my story / self diagnosis
« Jane, Jane McDouglas, monsieur l’avocat. » « C’est juste une grosse crevette, Tray. N’aie pas peur. » « Ils sont jolis ces mots, tu les as eus où, sur désespéré-avec-les-filles.com ? » « Ne m’approche plus. » « J’ai l’impression qu’à tout jamais, lorsque je verrai ton visage, je le verrai accompagné de tes coups bas, de ta trahison. (…) Donne-moi une seule bonne raison de croire en tes belles paroles, Tray. Une seule. »
🙞 🙜
Ce matin-là, lorsque son réveil sonna à sept heures tapantes, Tray s’empressa de l’éteindre d’un geste sec et ouvrit les yeux sans même une pensée pour la grasse matinée qu’il aurait pu faire, comme il en avait l’habitude. En face de lui, le visage paisiblement endormi de la plus belle femme du monde, une mèche de cheveux sombres en travers de la joue. Il la replaça avec un geste d’une infinie tendresse, et sourit en voyant le petit nez en trompette se froncer légèrement, se retenant d’y déposer un baiser de peur de réveiller sa belle. Silencieusement, il se glissa hors de l’immense lit et enfila un pantalon de training, se dirigea vers la porte et, la main posée sur la poignée, se tourna une dernière fois vers la silhouette endormie. Jane McDouglas. Elle était parfaite, et elle était sienne. Elle avait débarqué dans sa vie sans crier gare, avec sa robe beige à paillettes et ses grandes boucles d’oreilles et, sans même s’en rendre compte, l’avait mise sens dessus-dessous. Sans le vouloir, elle avait accompli l’impossible, et avait provoqué chez Tray une profonde remise en question, phénomène pour le moins inédit chez ce spécimen d’arrogance et de suffisance. Sans le savoir, elle lui avait fait découvrir des sentiments dont il n’avait jusqu’alors jamais ne serait-ce que soupçonné l’existence.
La vie de Tray n’avait jamais été rythmée par la moindre incertitude, car il était de ceux qui faisaient disparaître toute contrariété d’un claquement de doigts. Il n’avait jamais compris la complexité des relations d’autrui, car n’avait jamais envisagé d’autre solution aux conflits que la volte-face pure et simple. Face à l’adversité, il avait toujours coupé les ponts sans l’ombre d’une hésitation, se tenant ainsi avec succès à l’écart de tout sentiment douloureux. C’était toutefois sans compter Jane et sa façon de faire imploser l’ordre méticuleusement établi dans la vie sentimentale et relationnelle de Tray. Voilà que Tray, dont toutes les histoires avaient toujours été manichéennes et dénuées de l’ombre d’un compromis, se trouvait projeté au cœur d’une relation sur laquelle il n’avait aucun contrôle, mais dont il se trouvait incapable de se passer. Il découvrit la douleur de se retrouver assujetti à des sentiments qu’il ne maîtrisait pas, dans une relation dont il n’était pas le seul à tenir les rênes, marquée de conflits et de complications mais dont il devint bien vite dépendant. Surtout, il découvrit pour la toute première fois ce que c’était que de réellement tenir à quelqu’un. Tout cela lui était tombé dessus sans qu’il pût faire quoi que ce soit pour y échapper, ou changer le cours des événements, et maintenant, elle était là, endormie dans son lit, et représentait tout ce qu’il voulait sur terre. Trois mois déjà qu’il connaissait le bonheur de se réveiller avec son visage devant les yeux, sa peau satinée sous les doigts, son odeur familière qui l’enivrait, sa respiration régulière qui le berçait.
Tray quitta silencieusement sa chambre, actionnant sur son passage les interrupteurs qui, un par un, sortirent son spacieux penthouse de la pénombre. Le soleil n’était pas encore levé, Jane non plus, et Myrtle, son fidèle bleu russe, était roulée en boule sur le canapé, en proie elle aussi à un sommeil paisible. Tray se dirigea vers la cuisine, et se mit au travail, un petit sourire vissé sur les lèvres.
Lorsqu’il vit apparaître, un peu plus d’une heure plus tard, une Jane encore légèrement endormie, son sourire s’élargit et il la rejoignit en quelques enjambées. L’enveloppant de ses bras, il déposa sur ses lèvres un tendre baiser et replaça la même mèche de cheveux qu’il avait touchée une heure plus tôt derrière l’oreille de Jane. « Bonjour toi, joyeux trois mois. J’espère que tu as faim, ton petit-déjeuner t’attend. » À ces paroles, un air de surprise traversa le joli minois de Jane, dont les yeux bleus s’illuminèrent d’une lueur que Tray interpréta comme la même joie que celle qu’il ressentait en ce moment, et qu'il avait ressentie à chaque instant qu'il avait passé à ses côtés ces trois derniers mois.
🙞 🙜
Ce matin-là, lorsque son réveil sonna à huit heures tapantes, Tray s’empressa de l’éteindre d’un geste sec et, dans un réflexe acquis au cours des mois, entrouvrit ses yeux pâles pour scruter le visage de la femme de sa vie. Mais là où ses prunelles s’attendaient à voir les traits endormis de Jane, elles ne découvrirent qu’une moitié de lit vide et froide. Tray ouvrit entièrement les yeux, se redressa, scruta sa chambre silencieuse à la recherche de la jeune femme. Sans s’inquiéter, bien que surpris qu’elle se soit levée avant lui, il s’extirpa de son lit et, après avoir découvert que la salle de bain, elle aussi, était vide, se rendit dans son salon, s’attendant à voir Jane installée sur le canapé, enveloppée dans une couverture, une tasse sur les genoux. Mais le salon, lui aussi, était désert. Tray jeta un coup d’œil au gigantesque bar qui trônait au milieu de la pièce, où elle avait l’habitude de lui laisser des petits mots quand elle partait. Mais le bar était vide, lui aussi. De plus en plus perplexe, Tray se prépara une tasse de café, s’efforçant de ne pas succomber à la mauvaise humeur qui menaçait de s’emparer de lui. Lorsqu’il retourna dans sa chambre afin de se préparer et ouvrit sa penderie, il ne put toutefois s’empêcher de faire immédiatement une constatation bien plus difficile à expliquer : l’étagère où Jane laissait toujours quelques vêtements, elle aussi, était vide.
🙞 🙜
Ce matin-là, lorsque son réveil tapa à six heures tapantes, Tray s’empressa de l’éteindre d’un geste sec et, sans trop y croire, ouvrit les yeux. Il ne traina pas, se prépara en quatrième vitesse et se hâta de monter dans le taxi qu’il avait commandé pour l’emmener à l’aéroport.
Lorsqu’il arriva dans le hall de l’aéroport O’Hare de Chicago, Tray se hâta vers la sortie, bousculant sans s’excuser bon nombre de passants, et héla avec empressement le premier taxi qu’il aperçut. Légèrement fébrile, il s’efforça de ne rien laisser paraître lorsqu’il énonça l’adresse où il désirait se rendre au chauffeur.
Tray monta les marches qui menaient à la porte d’entrée de la maison devant laquelle l’avait déposé le taxi. Il sonna, trois fois. Au bout de quelques instants interminables, la porte s’ouvrit – sur une Jane dont le visage trahit rapidement une stupeur sans nom.
- T… Tray ? Mais… Qu’est-ce que tu fais là ?
- Ce que je fais là ? Jane, qu’est-ce que toi, tu fais ici ? Pourquoi tu ne m’as rien dit ? Pourquoi tu n’as pas répondu à mes appels ?
Jane ne répondit pas, toujours sous le choc. Tray, quant à lui, la regarda avec une expression douloureuse qui trahissait une souffrance mal dissimulée. Lorsqu’il reprit la parole, ce fut presque avec désespoir.
- Écoute, je ne sais pas ce que j’ai fait de mal, mais je te promets qu’on arrangera ça à la maison. Reviens, Jane. Tu me manques. S’il te plaît, reviens. Je m’excuse si j’ai fait quelque chose de travers, mais tu peux pas me laisser en plan, juste comme ça… »
Jane ferma brièvement les yeux, visiblement à bout de nerfs.
- Non, non, Tray, c’est pas de ta faute. Ma tante est malade, je suis venue m’occuper d’elle. Puis, réalisant que Tray ne se contenterait en aucun cas de cette excuse, elle poursuivit, visiblement hésitante : Et j’ai besoin d’un peu de temps, pour savoir où j’en suis. Seule. C’est pour ça que je me suis éloignée. Mais dès que ça ira mieux, je reviendrai. Devant la mine incompréhensive de Tray, elle acheva, d’une petite voix : Ne m’appelle plus, d’accord ? Quand je serai prête, je reviendrai. Elle se mordit la lèvre, et Tray sentit quelque chose en lui se briser en mille morceaux. Je suis désolée, Tray… Mais ça s’arrangera. Je te le promets.
🙞 🙜
Ce matin-là, lorsque son réveil sonna à dix heures tapantes, Tray l’éteignit d’un coup de poing rageur, et ne prit pas la peine d’ouvrir les yeux. De toute façon, elle ne serait pas là.
🙞 🙜
Ce matin-là, lorsque son réveil sonna à huit heures tapantes, Tray ne prit pas la peine de l’éteindre. Avec un peu de chance, l’alarme stridente suffirait à faire détaler la blonde dont il avait oublié jusqu’au nom qui était encore allongée à ses côtés, dans ce même lit que, il y a une éternité, Tray avait eu l’habitude de partager avec Jane McDouglas. Aujourd’hui, elle n’était plus qu’un souvenir douloureux mais lointain, qu’il ne se remémorait sous aucun prétexte, et qu’il n’hésitait pas à noyer dans quelques verres de whisky dès qu’il menaçait de s’imposer à son esprit réticent.




this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : balderdash - Zoé
Age: 25 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  rien à signaler  Tag chanter sur I've got 99 problems 176241234
Avatar à réserver : Hayden Christensen
Crédit avatar utilisé dans la fiche: valruna
Souhaitez-vous un mp d'intégration je dis jamais non à un petit mot doux dans ma boîte de mp mais j'ai déjà été gâtée par plein de propositions de liens donc je vais pas mobiliser encore plus d'efforts  Tag chanter sur I've got 99 problems 995762081

I need to blow something up - Soledad

Invité
7 r ; 330 v.
Ven 16 Oct - 14:35
Soledad Castellano
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=749}soledad castellano{/@}
28 yo - chanteuse
FEAT : Hailee Steinfeld
Chanteuse de 26 ans en plein béguin pour sa co-star de doubleuse, Soledad est du genre franc jeu mais se voile la face sur son alcoolisme. Elle aime les femmes et tourne le dos aux hommes depuis que son fiancé l'a lâchement abandonné. Fan de musique et de sport, elle n'hésite pas à se donner à fond dans ses domaines. Tout comme elle se donne à fond pour la communauté Latinx et LGBT+.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Latino américaine.
Ethnie/origines : Hispaniques de par sa mère principalement, elle ne connaît pas grand chose des origines de son père. Elle sait simplement qu'il vient du Mexique.
Orientation : Lesbienne dans tous les cas même si elle a su tomber amoureuse d'un homme une fois dans sa vie.
Situation : Fraichement célibataire.
Occupation : Chanteuse mais aussi comédienne et nouvellement doubleuse.
Quartier : Brooklyn.

and what else ?
Qualités : Extravertie | Tactile | Déterminée.
Défauts : Insomniaque + Impulsive + Jalouse.
Passions : {#}chat{/#} + {#}chanter{/#} + {#}youtube{/#}
Communautés :  Los Latinx + The Outpost






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Ma co-star, plus connue sous le nom de Hope, commence sérieusement à jouer avec mes nerfs. Loin de moi l'idée de lui exploser les dents contre le pavé, non, c'est bien plus compliqué. Comment peut-on ignorer un amour naissant lorsque l'on croise tous les jours ce regard à faire fondre le plus pierreux des coeurs? Ah merde. Oui je suis dans la merde, je ne peux pas dire ça autrement.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Je me voile la face sur le sujet de l'alcool, on ne va pas se mentir. Au début, c'était une simple bière dans un bar pour oublier que l'homme que j'aime m'a quitté. Puis c'est devenu un verre pour cuisiner, pour regarder la télé jusqu'à devenir la routine du réveil et de la journée. A côté de ça, je fais du sport à outrance pour ne pas redevenir cette fille un peu enrobée qui a essuyé trop de critiques sur les réseaux sociaux. Le moindre gramme compte, la moindre erreur peut me faire vriller. Sinon simplement, je ne quitte jamais mon téléphone mais ça c'est un peu un fléau de notre époque.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Douloureuse et injuste, je ne peux pas la décrire autrement. Monsieur a posé la bague de fiançailles sur la table et a quitté les lieux sans piper mot. Il n'a pas accepté que la notoriété parvienne jusqu'à notre porte, le casanier. Qu'est-ce que je peux y faire? Tourner le dos à mon gagne pain et à des personnes dont je suis devenue le modèle? Il ne voulait pas être connu, il ne voulait pas subir la pression qui a tantôt pesé sur mes épaules, un lâche. La seule fois où je laisse un homme prendre mon cœur, il en fait n'importe quoi. Un simple commentaire sur cette relation que ce soit de la part d'un proche ou d'un tiers et je pars en vrille.

Le dernier texto que tu as envoyé ?"Devine qui a fait une connerie hier et a adopté un chat juste pour l'appeler Catra et dire c'est mon mini moi?" Dernière excuse en date pour ne pas avouer que je ne supporte plus le silence de mon appartement et la solitude qu'il m'offre. Je me dis qu'une petite boule de poils me permettra d'être heureuse de rentrer chez moi.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Mes parents? Je ne leur ai pas parlé depuis que je me suis affirmée au sein de la communauté lgbt de New York. Mon père ne veut plus attendre parler de moi après que j'ai refusé son offre de me faire "soigner". Ma mère a acquiescé sans broncher, jamais elle ne s'oppose aux décisions du paternel. Je vois de temps en temps mes frères et sœurs mais ça reste dans l'ordre du banal. Je ne me confie plus de peur qu'ils soient devenus les petits oisillons de père. Je ferme les yeux sur le fait qu'ils me manquent cruellement, après tout j'ai aimé mes parents comme jamais je n'ai aimé personne, mais j'ai refusé de me taire, de souffrir en silence sur ce qui fait de moi celle que je suis aujourd'hui.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Très bonne question. Je fais du sport et je bois, je suppose? Non plus sérieusement, j'aime beaucoup être tranquille de temps en temps dans mon canapé et ma télévision à laisser mon esprit s'échapper. Mais quand je ne suis pas occupée à devenir un légume absorbée par les histoires d'amour ratées, je vais dans les rues, à la rencontre des autres pour discuter, défendre, conseiller.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'ai profité de mon emploi de nounou dans une famille huppée de Los Angeles pour les cambrioler. Ca ne s'est pas fait dans l'heure, mais disons qu'après quelques semaines l'idée m'a effleuré l'esprit. Une question de fierté froissée par la jolie grande soeur qui a refusé mes avances, alors j'ai donné les clés à mes mauvais amis de l'époque. Ces crétins ont brisé les baies vitrées, de quoi alarmer les voisins et rameuter les policiers. J'ai payé le prix fort pour cette connerie.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Verlinghem. (oui oui c'est le nom d'un village :sisi)
Age: 21 yo.
Avez-vous des triggers personnels ? Les TCA et agressions sexuelles.
Avatar à réserver : Hailee Steinfeld.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: @chaussette.
Souhaitez-vous un mp d'intégration Naaaaaan hihi.

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