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1 résultat trouvé pour cigarettes

at the beginning there was nothing more than hope.

Invité
11 r ; 872 v.
Mer 2 Sep - 9:22
dolorès roddle
26 yo - styliste
FEAT : ezra miller
papa ouvrier dans le monde du spectacle et maman danseuse contemporaine. dolorès, il a passé plus de temps dans les coulisses des vieux théâtres new yorkais qu'en classe. il a toujours admiré ce monde, de l'autre côté du miroir. comme s'il existait un univers parallèle lorsque les lumières s'éteignent. c'est très jeune qu'il s'est mis à créer ses premiers vêtements, quand il s'imaginait des personnages fantasques et bizarres dans le théâtre de sa petite chambre. c'est comme ça qu'il s'est construit, l'gamin. ses parents l'ont toujours invité à se livrer, à se dépasser, à créer et à imaginer. ils n'ont jamais douté de leur bambin, fils unique. c'est donc tout naturellement qu'ils se sont saignés pour lui permettre de suivre des études dans un domaine qui lui plaisait et aujourd'hui, dolorès le leur rend bien. diplômé, certifié et apprécié dans ce qu'il fait, il plance actuellement sur sa première collection alors qu'il travaille déjà pour les plus grands stylistes de new york.
who am I
ꕥ âge : 26 ans même s'il ne se considère pas vraiment adulte encore et s'il a de la peine à accepter d'vieillir. il craint l'approche de la trentaine sans pour autant trop en parler.
ꕥ nationalité : américaine, son père et sa mère sont tous les deux nés en amérique également même s'ils se sont installés tard dans la grande pomme. sa mère est californienne et son père est de la basse californie.
ꕥ ethnie/origines : caucasien avec un teint laiteux qui bronze difficilement.
ꕥ orientation : homosexuel depuis longtemps, sans jamais en avoir éprouvé la moindre gêne et la moindre honte. le corps des hommes est source d'art et d'inspiration dans tout ce qu'il entreprend. il s'est d'ailleurs spécialisé dans le stylisme masculin pour embellir ce qu'il considère, sans doute à tort, comme le merveilleux.
ꕥ situation : célibataire, pratiquement hermétique à toute forme de bons sentiments. il ne s'attache pas, il ne sait pas s'attacher. dans un monde qui court, il s'laisse porter et flirte sans jamais réussir à s'accrocher à la même branche plus d'une nuit.
ꕥ occupation : dolorès est spécialisé dans la couture et le stylisme. il a d'ailleurs suivi des études dans ce domaine et obtenu maintes certifications. en parallèle, toujours dans la mode, il a accepté quelques emplois de mannequin pour apprendre les rouages des shootings photos et s'essaie assez régulièrement à l'art de la peinture. dolorès est un éternel curieux et touche-à-tout.
ꕥ quartier : vit dans le Bronx, Miranda Heights, en colocation avec Roman et ses trois chats depuis plusieurs mois.
ꕥ qualités : curieux, épicurien, artiste, bohème, léger, drôle et généreux.
ꕥ défauts : panier percé, solitaire parfois, hypersensible, fêtard et sans doute un peu trop léger par moment.
ꕥ passions : {#}peinture{/#}, {#}mode{/#}, {#}cigarettes{/#}, {#}tatouage{/#}, {#}cinéma{/#}, {#}jazz{/#}, {#}théâtre{/#}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ communautés : LGBT CENTER
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ mp d'intégration : oui, volontiers.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : habite en france depuis à peine un an et demi, marié depuis deux ans déjà à l'homme de ma vie, danseur semi-professionnel (enseignant btw) et travaillant dans l'immobilier, les forums font partie d'ma vie depuis mes seize ans (ce qui remonte à quatorze ans en arrière - aouch' - ) écrire est une vraie passion, d'ailleurs, puisque j'ai déjà auto-publié trois romans (une trilogie) dont le dernier tome vient de paraître. je suis un mec (je précise, sait-on jamais) gentil, drôle et ouvert. j'aime écrire au feeling et ne jamais me mettre la pression. l'inspiration vient comme elle vient, généralement et j'aime c'frisson qui m'traverse quand j'lis de beaux rps et que j'rencontre de belles plumes.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : n'essuie pas de larmes sans gants
ꕥ un film : souviens-toi l'été dernier
ꕥ une série : buffy contre les vampires
ꕥ une chanson : secret love song (little mix)
ꕥ un animal : un félin
ꕥ un plat/dessert : le tiramisù
ꕥ une boisson : le café
ꕥ une célébrité : sarah michelle gellar
ꕥ un pouvoir magique : arrêter le temps

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : pas grand chose, mais j'écris rarement les scènes de sexe (ça m'fait rougir derrière mon écran et j'me sens coupable  Tag cigarettes sur I've got 99 problems 2253815916 )


that's my story / self diagnosis
il déambule, le gamin.
il fabule aussi.
il regarde la scène avec des yeux aussi gros qu'une soucoupe.
ça y est, il rêve l'bambin.
(ne reste pas planté là dolorès, tu déranges ta mère.) qu'il entend son père gronder. alors il secoue la tête, l'enfant. haut comme trois pommes, peut-être, mais pas stupide pour autant. sa mère, il adore la contempler, l'admirer, l'observer. les courbes gracieuses de ses hanches qui vibrent au rythme de la musique, les mouvements dociles et sensuels de ses mains qui tranchent l'air.
il adore la détailler, c'est vrai.
(dolorès.) gronde encore son père.
il secoue la tête, il grimace et, à contre-coeur, il tourne les talons pour rejoindre son paternel en coulisses.
(..)
il rentre à la maison ce soir-là le ventre noué. dolorès, il n'a pas l'habitude de la violence et n'aime pas s'y confronter. mais à l'école, ses camarades réfléchissent pas tous d'la même manière.
l'école du quartier, celle de la rue.
il n'a pas le privilège des grands, dolorès. il n'étudie pas avec l'élite, c'est comme ça. peut-être que c'est mal fait, peut-être que c'est normal. son esprit travaille trop vite, a dit la maîtresse une fois. depuis, ses camarades de classe l'appelle binoclard ou tête d'ampoule.
parfois, c'est juste des mots.
dolorès, il peut supporter. du haut de ses dix ans, il sait déjà que la bêtise est un poison. il sait aussi qu'un jour, ils s'en voudront d'pas avoir su apprécier la chance qu'ils avaient de connaître un enfant surdoué.
dolorès, il s'en fiche des mots, c'est les maux qui l'blessent.
quand ses camarades le bousculent dans les escaliers parce que ça fait rire tout le monde d'voir une ampoule à l'envers. ou quand ils le frappent un peu plus fort sur l'épaule histoire de crever un ou deux neurones.
c'est dans ces moments-là qu'il sent son ventre se tordre.
qu'il a envie d'chialer.
mais quand il pousse la porte de l'appartement, jamais.. ô grand jamais elles roulent, les larmes. non, dolorès se retient. il est plus fort que ça, plus grand même.
alors quand sa mère remarque de temps en temps une éraflure, elle joue au jeu du silence. c'est comme ça qu'il fonctionne, dolorès. elle se glisse contre lui, elle lui frotte les cheveux, l'enlace un court instant et lui lance un regard entendu qui veut tout dire.
pas d'mots pour calmer les maux.
juste un bisou sur l'front et dolorès, il va déjà mieux.
(..)
mais à l'école, c'est pas l'pire.
c'est pas l'plus inconfortable non plus.
dolorès, il l'a remarqué, l'gamin plus intelligent que lui. celui qui lève toujours la main. celui qui s'fait féliciter par la maîtresse et qui s'fait parfois insulter par les autres.
dolorès, il entend.
et ça lui fait du mal, ça aussi.
pour son esprit plus développé que la moyenne, c'est une torture de voir les uns souffrir au détriment des autres. alors un beau jour, quand il voit c'gamin faire attraper par ces mêmes détracteurs, dolorès, il saute dans la mêlée. il en mène pas large.
il sait pas s'battre, il saura jamais.
il prend un coup, puis un deuxième. finalement, tous les deux, ils tombent à terre. tarlouzes qu'il entend cracher l'un des mecs alors qu'il fait d'son mieux pour se relever.
à roman, il tend une main. (c'est toujours mieux d'tomber à deux, non ?) qu'il s'entend même lui dire en rigolant légèrement.
roman, il sourit.
et dolorès il a su tout d'suite qu'ils seraient amis.
ça n'a pas manqué.
ça n'a pas changé.
(..)
des années plus tard, l'monde a changé.
pour roman comme pour dolorès.
avec le temps, on s'rend compte que les maux s'oublient, parfois.
dolorès, il l'a compris quand il a commencé ses études en stylisme. (c'est une très belle vocation mon chéri.) que lui avait glissé sa mère quand, à l'âge de quatorze ans, il avait expliqué à ses parents qu'il comptait se spécialiser dans l'monde du spectacle et, plus précisément, dans celui des costumes.
c'est en intégrant cette école, des années plus tard, qu'il a constaté que les choses pouvaient changer.
même pour lui,
même pour eux.
dans son école, rapidement, dolorès est adopté, apprécié. son talent fructifie au fil des cours, des années. ses professeurs le trouvent remarquables et très rapidement, dolorès réalise qu'il existe une place pour tout l'monde, loin du tumulte d'une enfance en demi-teinte.
à l'université, il grandi, l'gamin.
il d'vient un homme. il pousse.
il essaie,
il expérimente,
il tente,
il teste,
il goûte,
il touche.
et puis, il se trouve, se construit, petit-à-petit. jusqu'à débarquer un jour chez ses parents et leur dire (désormais, je m'appelle dodo.) (dodo ?) à sa mère de lui demander, l'air circonspect. (c'est plus court que dolorès et bien plus branché. dans le milieu de la mode, ça sera plus respecté, comme coco ou guess. tu verras maman, bientôt, ce sobriquet sera sur toutes les lèvres.) (tu laisses tomber le spectacle alors ? tu ne veux plus devenir costumier ?)
non, il ne voulait plus.
à l'université, dolorès avait changé, lui aussi. troquant ses habits un peu trop grand et son air hagard pour devenir un adulte branché, aux cheveux colorés et à l'air songeur. abandonnant dolorès l'exclus pour devenir dodo l'styliste.
(je rêve de créer une collection d'fringues.) qu'il avait répondu à son père, sans hésiter une seule seconde. à peine la vingtaine mais déjà le coeur bourré d'ambitions.
(..)
dodo devient charmeur, dodo devient dragueur, dodo devient indépendant. très vite, il s'installe seul et se découvre une passion pour cette solitude.
très vite, il s'isole tout en sortant beaucoup.
dodo, il a plein d'amis, il a un carnet d'adresse bien rempli et il ne reste jamais seul bien longtemps quand il arrive à une soirée. parce que dodo sait parler aux gens, sait leur dire exactement ce qu'ils rêvent d'entendre et sait se faire désirer. dodo, il manie les mots, l'esprit et l'art sous toutes ses formes. il est intéressant mais jamais pédant, ni hautain.
dodo, il est ouvert, il est gentil, agréable et généreux.
il dépense son argent facilement, il offre, il donne, il s'octroie parfois même de petits plaisirs. il fréquente très vite - peut-être trop vite - les boîtes branchées, les boutiques branchées de new york et se découvre une passion dévorante pour le luxe et sa décadence.
à la carrie bradshaw, il veut appartenir à l'élite et s'en donne les moyens.
mais dodo n'oublie jamais dolorès.
l'gamin un peu paumé qu'il retrouve chaque fois qu'il rentre chez lui, celui qui s'enferme des heures dans son atelier et qui peint, qui coud, qui dessine et qui rêve. c'gamin un peu maladroit qui n'parle pas trop, qui joue au jeu du silence tout seul désormais et qui appelle régulièrement ses parents. c'gamin pataud qui pleure d'vant un film trop mièvre et qui réclame parfois un peu d'tendresse.
dolorès, ils sont peut à l'connaître.
il y a roman,
ses parents,
axel aussi.
pas grand monde visiblement. puisque dodo prend d'la place, dodo s'exprime mieux et dodo n'manque jamais d'confiance en lui.
les années passent et l'styliste devient reconnu, apprécié. on lui offre des opportunités, on lui propose même de défilé. il devient mannequin, parfois. passe de l'autre côté de l'objectif ensuite, soigne ses tenues et bichonne ses modèles. dodo, c'est un peu comme un fourre-tout.
il touche à tout, piqué à vif par la curiosité dès que quelque chose lui échappe.
dodo, ça d'vient très vite l'incontournable.
(..)
(..la leucémie.)
on a tous peur de la mort, tous peur de ce qu'il nous attend une fois qu'on aura rendu notre dernier souffle. pire encore, on a tous peur de mourir trop jeune, trop vite, trop tôt.
il y a tant d'choses à vivre.
dodo l'sait depuis toujours. c'est bien pour ça que lorsque son meilleur ami, roman, lui annonce sa maladie, il sent l'onde de choc le transpercer et l'faire vaciller.
il pleure pas, dodo.
il reste fort.
il n'a pas l'choix.
alors il inspire une première fois et puis, il dit (rien n't'empêche d'être beau même sur un fauteuil roulant, tu l'sais ça ?) parce qu'être caustique, ça permet d'dédramatiser la situation. un bon fou-rire et puis, ils peuvent redevenir comme avant.
jamais j'le traiterai différemment, il s'le promet dodo. parce qu'il sait pertinemment qu'être compatissant, ça n'arrange rien.
alors quand roman lui annonce qu'en plus de la maladie, l'mec avec qui il vivait d'puis des années (que dolorès lui avait présenté de surcroît) l'a largué comme on jette un kleenex à la poubelle, dodo n'hésite pas une seule seconde.
(tu vas v'nir vivre ici.) (mais.. mes chats, mes affaires ?) (ça f'ra pas d'mal à c'taudis d'voir des poils traîner un peu partout qui n'appartiennent pas aux coups qu'je ramène ici.) un clin d'oeil et l'marché est passé, scellé. enfin, à un détail près (par contre, tu peux m'ramener autant d'mecs que tu veux ici mais promets-moi d'toujours fermer la porte de ta piaule.)
c'est acté,
c'est vendu, c'est comme ça.
d'puis l'école, d'puis cette première main tendue.
ça, ça n'a pas changé.


excentrique, bourré d'talent, créatif,
généreux, docile, bruyant,
coloré, impulsif, dominant,
indépendant, franc et loyal, grande gueule,
fume comme un pompier, écoute du jazz,
mange mal, dort beaucoup, manque de confiance,
parfois maladroit, sensible, hésitant,
entier & passioné





this session is gonna be different
fancy ꕥ 30 ans
fréquence de rp : de manière générale, en semaine, au job. il se peut que mon rythme diffère d'ici peu parce que je change d'emploi mais normalement, c'est assez régulier. ϟ fréquence de connexion : idem que pour ma fréquence de rp, à la différence prêt que j'aime stalker depuis mon téléphone quand je le peux. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? au plus bas, j'écris a minima 300 mots par rp. je m'impose ce minimum pour donner de la matière à mon partenaire. en fonction des rps, de l'inspiration, je peux monter jusqu'à 2000 mots sans problème (et au-delà). je favorise les rps courts pour permettre aux personnages une évolution plus rapide, néanmoins, rps longs ne signifient pas forcément plus lent si l'inspiration nous porte tous les deux. ϟ avatar à réserver : ezra miller. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : dans ma boîte, il y en a un de chaque couleur de l'arc-en-ciel (j'crois que c'est mon mari qui veut m'faire plaisir en vrai). ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? forum de qualité, tant au niveau de l'esthétisme que du fond. le contexte, les annexes et tout ce qui est mis en place pour offrir un espace de jeu safe et agréable. j'aime beaucoup, jusque-là.
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