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2 résultats trouvés pour drogue

can you hear them screamin' out your name ? (shaheen)

Invité
16 r ; 504 v.
Sam 14 Nov - 6:58
shaheen farahani
i need help
ID CARD
{@=572}shaheen farahani{/@}
32 ans - ancienne femme de ménage
FEAT : olga safari
Celle qui n'a jamais rien eu, celle qui a toujours dû se battre. Souillon qui s'est retrouvée propulsée dans monde qui ne lui a jamais appartenu, rêveuse qui n'a jamais voulu se dérober aux anges qui vivaient autour d'elle, elle est cette femme qui a toujours dû se battre, qui n'a jamais renoncé. cette femme qui s'est retrouvée au cœur d'un monde bien différent, d'un monde luxuriant, alors qu'elle travaillait au bas de l'échelle, récurait pour une famille importante, riche. Une femme qui pensait tout savoir des gens au-dessus d'elle, avec un mélange de mépris pour cette race, mais aussi d'envie. Une femme qui a croisé le regard de la solitude et en est tombée amoureuse, cœur à jamais possédé par celle qui lui faisait face, cette gamine, adolescente de seize ans, bien trop jeune, de dix ans sa cadette, princesse dans sa tour d'ivoire qui connaissait tout, sauf le bonheur. Deux regards qui n'auraient jamais dû rentrer en contact, deux regards qui ne se perdirent plus durant quelques mois, les plus beaux au monde, l'amour glissant le long de leurs sourires. L'amour qui semblait les rendre invincibles. L'amour interdit, relation découverte, effroi familial, la souillon rejetée, accusée, trahie. Amour de sa vie se retournant contre elle, la case prison cochée pour les cinq prochaines années, elle vécut un enfer, un enfer littéral. Violences, viols, abus en tout genre, jusqu'à la punition ultime, les produits dans son regard de « monstre », les détenues en tant que bourreau, sa vue s'en alla à jamais. Son âme se perdit à jamais. Son cœur brisé à jamais. Aujourd'hui sortie de prison, elle n'est plus qu'une carcasse vide, une aveugle sans abris, femme perturbée, perdue dans ses émotions, dans ses sentiments, dans ses sensations. Elle n'est plus qu'une ombre.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : double nationalités pour une femme qui a dû fuir son pays d'origine aux côtés de sa mère étant petite, l'amérique, les états-unis, et l'iran, la perse moderne.
Ethnie/origines : un sang mixte coule dans ses veines, celui d'un paternel américain et absent, d'une mère iranienne et lâche. perdue dans la pauvreté, le désir de toucher la surface, de remonter, de tendre les bras vers ces anges qui parcourent le monde.
Orientation : il y a toujours eu cette indécision, cette réflexion qui ne s'est jamais réellement posée, une idée qui ne restait jamais bien longtemps dans son esprit, une vague idée. celle d'aimer les femmes, alors qu'elle ne pouvait le concevoir. un tabou caché pendant si longtemps, jusqu'à ce que son regard se porte sur la princesse dans la tour d'ivoire, celle qui sut lui montrer qui elle était réellement, celle qui sut lui insuffler l'amour, le vrai. peu importe que des hommes, que des femmes, vinrent dans son esprit, attirances du passé, attirances éphémères. parce que désormais, et depuis bien des années, il n'y a qu'une âme au monde capable de lui faire ressentir quelque chose. théoriquement lesbienne, potentiellement pansexuelle, elle n'est que nevasexuelle, pour toujours, malgré ce cœur à jamais brisé.
Situation : le cœur à jamais saccagé, l'âme brisée pour une éternité de douleurs et de souffrances, le monde n'existe plus, il s'affaisse, il s'éclipse. il n'en reste plus rien, sans l'unique amour de sa vie, celle qui vint la porter au firmament, celle qui vint la briser en enfer, celle qui trône dans ses souvenirs comme dans ses pensées, dans son cœur comme dans sa rage. une unique femme qui n'est plus sienne, qui l'a trahie, qu'elle aime encore. u'elle ose encore aimer, seule au fond du trou où son amour la jeta. elle ose encore l'aimer, l'aimera finalement à jamais.
Occupation : au bas de la tour, souillon chevauchant un balai, mais point pour s'envoler, elle nettoyait, elle récurait, elle ne se plaignait pas, petite sans abris que le monde refusait d'aider, jusqu'au jour où tout bascula. désormais, c'est l'enfer, le monde s'est éteint, elle n'y voit plus rien, les ténèbres dans son cœur comme dans ses yeux, elle ne sait plus rien faire, à part mendier, prier.
Quartier : si seulement elle pouvait trouver, le soir venu, un foyer, un toit au dessus de sa tête. si seulement… mais non, le trottoir est son antre, la ruelle est sa chambre, elle n'a plus jamais eu d'endroit à elle depuis que sa maternelle est partie. et ses misères la conduisent plus généralement dans les rues du bronx, tandis qu'elle rêve encore à une vie meilleure.

and what else ?
Qualités : déterminée, passionnée, forte, intuitive, intelligente, différente, franche, loyale envers l'être aimé, sensible, endurante, attentionnée
Défauts : jalouse, possessive, instable, irascible, perdue, têtue, traumatisée, grossière, rancunière.
Passions : {#}café{/#} {#}alcool{/#} {#}drogue{/#} {#}marcher-dehors-la-nuit{/#}
Communautés : planned parenthood, orphans and their angels






that's my story / self diagnosis
hello darkness my old friend...
à la lumière, elle s’éveillait, petite fille dans un monde sauvage, dans un monde mécréant, qui ne choisissait que les plus forts pour survivre. Petite fille dans un pays qui ne voulait pas d’elle, dans un pays qui rejetait les faibles, dans une vie qui n’attendait qu’une seule chose, qu’elle dépose les armes, se laisse abattre. Parce que le monde est une guerre sans fin, entre la pauvreté et la richesse. Parce que le monde n’est qu’une bataille sanguinaire, alors que les étoiles sont les rêves parsemés de lueurs que les gens laissent derrière eux. Et elle lève la tête, shaheen. Elle lève la tête, depuis sa plus tendre enfance, pour oublier les horreurs, la misère. Pour oublier le monde, et rêver. Rêver à une vie meilleure, rêver à un monde nouveau, rêver comme si son imagination était sa seule limite. Elle s’est éveillée dans un monde ténébreux, elle voit pourtant la lumière, elle.
dans les ténèbres, elle se réveille, dans un monde changé, un monde qu’elle n’entrevoit plus. celui qu’elle pouvait chérir autrefois, parce que les étoiles lui montraient le chemin, n’est plus. il ne vit plus que dans son esprit, tandis que les larmes sur ses yeux viennent les lui brûler. Elle ne peut plus pleurer, depuis ce jour. elle ne peut plus pleurer, les larmes viennent caresser ses blessures. Celles qui ne se voient plus, celles qui restent toujours là. sa peau est neuve, autour de ses yeux, mais ils brûlent quand elle laisse entrevoir sa tristesse. Elle ne peut plus pleurer, pourtant elle n’a plus que cela, plus que ses larmes pour se souvenir d’un passé différent, tandis que ses membres tremblent dans le froid d’un hiver approchant, que le trottoir est sa dernière demeure, et qu’elle a beau tenté de rêver, les blessures d’un passé trop difficile la hantent pour l’éternité.

au coin du feu. elle était seule. Femme sans famille, père absent, mère partie, laissant une gosse dans l’horizon pour prendre les jambes à son cou, elle s’était retrouvée toute seule, shaheen. Seule, mais bien vite devant la porte d’un orphelinat, elle avait pu vivre sous la chaleur d’un toit, elle avait pu avoir un lit, elle avait pu avoir de quoi se nourrir. Ce n’était pas beaucoup, mais cela lui suffisait, tandis qu’elle oubliait peu à peu sa mère disparue. L’orphelinat n’était pas bien grand, n’était pas bien riche, il n’y avait pas de vraie éducation au-delà de la lecture, de l’écriture, et des nombres. De quoi survivre, mais pas de quoi s’en sortir, alors qu’à seize ans, elle était jetée, c’était impossible de la garder, si elle n’était pas adoptée, pas après cet âge fatidique, quand ils estimaient qu’elle était assez grande. elle ne s’en plaignait pas, ne s’en est jamais plainte, parce qu’elle avait eu six années de sursis à la rue glaciale qui l’attendait.
et dans le froid. il ne faisait pas bon y vivre, le trottoir, les ruelles, les bennes à ordures pour un peu de chaleur. mais elle ne pouvait pas faire autrement, tentait de tout faire pour avoir quelques piécettes, mendiait, grelottait, mais parvenait parfois à avoir un assez bon petit pécule pour une nuit au motel, de quoi se restaurer, se laver, laver ses seuls vêtements, avant de tenter de travailler. Ou de voler. L’un ou l’autre, il fallait survivre. Nettoyer, récurer, et avoir chaud une petite partie de la journée, dans les maisons où on l’engageait, parfois, dans les bars où on lui donnait, de temps en temps, une bonne bière après le travail, son âge aidant à la compassion. Elle s’en sortait, durement. Elle s’en sortait, et jamais elle n’abandonnait, volonté de fer gravée dans la peau, regard vers les étoiles une fois la nuit tombée, elle se surprenait à rêver, encore.

pour le meilleur. elle la regardait, ne pouvait s’en détacher, regard qui vibrait, qui brillait, à chaque fois que ses yeux se posaient sur sa belle peau, celle qu’elle laissait entrevoir, sous ses habits de princesses. à chaque fois qu’elle croisait son regard, que le rouge prenait possession de ses joues, mais qu’elle se retrouvait à jamais marquée par les iris d’une reine, une véritable déesse qui habitait cette glorieuse maison, si imposante. Elle n’aurait jamais cru pouvoir un jour travailler dans une aussi belle demeure, nettoyer derrière des gens aussi riches. Et si son but avait été de les dérober, au début, bien vite, elle avait compris qu’elle ne serait peut-être pas toujours dans cette villa, mais que jamais son cœur ne pourrait en repartir, quand celui-ci se mit à battre plus férocement à la rencontre avec la fille de ses employeurs. Seize ans, si jeune, et pourtant une beauté qui ne pouvait lui échapper. Shaheen avait vingt-six ans, elle ne pouvait décemment pas tomber amoureuse d’elle. elle avait vingt-six ans, et ne s’était jamais retrouvée attirée par le regard d’une femme. elle avait vingt-six ans, c’était mal. Elle se contentait des regards, priait pour que les maîtres la gardent un peu plus longtemps à leur service, ne pouvait pas supporter de ne pas la voir, ne pouvait pas supporter de ne plus l’entendre, ses mots qui semblaient naviguer vers elle sur des nuages. Elle en rêvait, elle en devenait folle, elle ne savait pas se libérer de cette étrange obsession, de cette attirance qui prenait possession d’elle. et alors qu’elle était, un soir, souffrante, elle se retrouva, sans s’y attendre, si proche de la princesse qu’elle ne put presque plus respirer, jusqu’à son toucher délicat, jusqu’à son sourire contagieux, jusqu’à ses attentions divines… et jusqu’à ce premier baiser, scellant tant son destin que son amour pour elle. Neva.
et pour le pire. une idylle, une beauté, l’impression de revivre, que son cœur battait toujours plus fort. L’impression qu’elle pouvait affronter le monde entier. L’amour, plus puissant que tout. Elle avait l’impression de rêver, mieux encore, de vivre un rêve éveillé. Elle avait l’impression d’avoir trouvé un second souffle, sans comprendre comment elles en étaient arrivées là. deux femmes, deux mondes, une histoire. aux yeux de shaheen, neva n’était pas la riche héritière, mais la princesse dans sa tour d’ivoire, qu’elle désirait protéger, aimer, de tout son cœur, de tout son être. Il n’y avait plus d’argent, il n’y avait qu’elle. neva, et ce qu’elle avait à offrir, neva et sa douceur, neva et son sourire, neva et son charme, neva et son intelligence, neva et son toucher, neva et son trône dans le cœur de l’iranienne. Elle aurait voulu que cela dure une éternité, elle se sentait si bien dans le regard, dans les bras de sa princesse. Elle se sentait si bien, alors qu’elle lui montrait, et découvrait par la même occasion, la force, et la beauté de la chair… d’une relation homosexuelle. Elle se sentait libérée, leur couple vivait dans cette immense maison, elle voyait l’évidence. L’évidence de leur amour.
Jusqu’à ce qu’ils découvrent tout. Les parents. Indignés. Horrifiés. Lorsque tout s’arrête, lorsqu’il y a la menace d’un procès, lorsqu’elle passe de femme heureuse à cible prioritaire d’une armée d’avocats. Elle tente de se défendre, parle d’amour, parle de chaleur, parle avec son cœur, mais quand elle entend les mots écrits sur cette lettre, celle que l’on lui confie après, écrite par la main de sa promise, elle perd tout, jusqu’à la plus infime part de bonheur encore présente dans son cœur. parce que neva l’accuse, dans ses mots. Parce que neva l’accuse, elle n’est plus qu’une criminelle, abus sur mineur, elle a le choix. Affronter les avocats en procès, mais ils lui promettent une sentence plus élevée, ou signer un accord, et faire cinq années de prison. elle signe. Et perd sa lumière.

à la lumière de sa cellule, elle compte les jours, les pleurs fréquents, le cœur douloureux. Elle ne comprend plus, elle ne comprend pas. pourquoi neva a-t-elle fait cela, pourquoi a-t-elle écrit toutes ces choses, alors qu’elle sait, au fond d’elle-même, shaheen. Elle sait qu’elle ne l’a pas manipulée, qu’elle n’a pas abusée d’elle. c’est neva qui a initié cette romance, c’était un véritable amour, mais son cœur est désormais noir, tâché par la trahison. La trahison de sa promise. Elle perd pied, perd les pédales, perd le contrôle. Elle perd la volonté, elle perd sa force, elle perd tout. Il n’y a plus rien qui compte, plus rien qui puisse valoir le coup. elle perd sa raison, d’abord. Tandis que les autres détenues lui mènent la vie dure. Puis elle commence à perdre son sang, lorsque les autres la frappent. Brutalement. Une fois. Deux fois. Trois fois. Elle ne compte même plus, à la fin. Parce que tout se sait, en prison. et les personnes comme elle, sont des pédophiles aux yeux des autres. Sans même chercher à comprendre, à connaître la vérité, elle se retrouve harcelée, brutalisée. Violée. A de nombreuses reprises. Puis à jamais, elle plonge dans le noir.
dans les ténèbres, elle se réveille. Sur un matelas dur, elle est à l’infirmerie de la prison. les yeux brûlant, elle hurle de douleur, mais sa voix est éteinte, elle n’en a plus pour le moment. Elle ne se souvient plus de grand-chose, elle ne se rappelle que de cette femme, trois fois plus imposante qu’elle, qui, après l’avoir tabassée, lui a dit qu’elle ne pourrait plus jamais mater des gamines. Et la seconde d’après, elle avait l’impression que ses yeux prenaient feu. Les produits chimiques, versés directement sur ses iris. La douleur, tellement forte, qu’elle perdit connaissance. L’impression de mourir au réveil, plus d’une fois. Le corps endolori, les yeux qui la brûlaient tellement qu’elle tenta de se les arracher, une fois. Avant de se faire arrêter, menotter au lit. Par la suite, convulsions, hurlements lorsque sa voix retrouva son intensité, griffures jusqu’au sang sur ses cuisses, seules parties de son corps à portée de ses mains. Il lui fallut du temps, protégée par l’infirmerie, pour se remettre. Mais si ses globes oculaires étaient encore présents, presque pas abîmés, les produits avaient fait leur œuvre, la vue lui était ôtée. Elle ne voyait plus. ce n’était pas noir pour autant, il y avait la lumière qui pouvait pénétrer ses rétines, mais rien d’autre. Elle ne voyait plus.
Et à sa sortie de prison, elle était différente. Traumatisée. Perdue. Aveugle. Instable. Morte entre ces murs, sans pour autant avoir rejoint les cieux. Colère dans son cœur. elle sortait, mais n’avait plus rien. encore moins qu’à son arrivée. Retour dans la rue. Retour dans la souffrance. sans possibilité de revoir un jour les étoiles. Elle ne rêvait plus d’étoiles, de toutes façons. Ne revoyait qu’une seule chose, qu’une seule personne, dans son esprit. neva. Neva la traitresse. Neva l’amour de sa vie. neva qu’elle ne savait oublier. Qu’elle ne savait pardonner. Qu’elle ne savait détester. Neva, qui possédait toujours son cœur. neva. Seuls ses souvenirs pour l’accompagner dans le froid de l’hiver approchant… neva.

je vous laisse mon chat haha:




this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Victoria
Age: 24
Avez-vous des triggers personnels ? Non  
Avatar à réserver : Olga Safari
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Battery Fox
Souhaitez-vous un mp d'intégration Avec plaisir

what are you willing to loose ? (eris)

Invité
19 r ; 727 v.
Jeu 4 Juin - 4:57
Eris Castle
33 ans - Cambrioleuse
FEAT : Zoë Kravitz
un monde qui n'est guère beau, la pauvreté, et les difficultés quotidiennes. ce qu'Eris découvre quand elle vient au monde. Tout ce qu'elle a, c'est une mère forte, c'est une sœur vaillante, c'est la volonté. La volonté qui déraille, la perte qui s'engouffre dans leurs vies. Il y a la mort de la sœur, grave maladie l'emportant. Il y a la mort de ma mère, chagrin pour cause. Il y a la mort de ses rêves, et la découverte de la rue, la survie avant tout, pour une femme qui perd trop. Esprit défaillant, esprit instable, elle peine à survivre, elle vole, tente de trouver une stabilité, mais finit par commettre l'impensable, cause la mort d'un homme. Et se doit de purger une peine, six ans de prison, elle a de la chance. Six ans de prison, elle a souffert. Elle est différente, quand elle revient. Elle est différente, brisée, quand elle la trouve. Femme de sa vie qu'elle tente de dérober, vieux travers toujours présents, elle finit par découvre l'amour, s'enfuit avec cette dernière, comprend la jalousie. la vie n'est superficielle qu'un moment, et quand l'argent manque, c'est au sein de cette secte qu'elles trouvent de quoi survivre. Deux amantes dans un monde obscure, treize mois de violences tant physiques que morales, avant que sa belle ne parte. Qu'il ne reste plus qu'elle. Qu'elle s'effondre. Et s'enfuit finalement. Esprit saccagé, de retour dans son monde à elle, elle n'a que faire de la survie si sa lueur n'existe plus, lueur qu'elle ne trouve que dans le regard de sa promise... si seulement elle pouvait la retrouver, si seulement elle pouvait ne pas flancher, malgré les fêlures de son âme, de son esprit. De son cœur.
who am I
ꕥ âge : déjà trente-trois ans qu'elle se heurte aux obstacles que le monde prend soin de placer sur son chemin, elle commence à s'épuiser, se lasser, sans l'être cher à ses côtés.
ꕥ orientation sexuelle : l'âme. l'âme a toujours primé sur le corps, pour elle. voir la profondeur d'une personne est tellement plus puissant... elle se dit pansexuelle, mais la réalité est qu'elle est homosexuelle et panromantique puisque si le cœur saurait se contenter de l'âme, le corps ne sait que toucher les femmes, se refuse à glisser contre les muscles des hommes.
ꕥ situation : il n'y a de place pour personne dans sa vie. personne d'autre que celle qui vint la sortir de sa misère, qui vint toucher son cœur, douce caresse sur son palpitant, lèvres scellées dans un secret, amour éternel qui ne saurait se briser. malgré la fin de sa romance, elle reste éperdument amoureuse de cette femme.
ꕥ occupation : rien. il n'y a rien qu'elle sache faire, aucune études à son actif, aucun travail honnête pour le moment. rien, sauf son vice le plus maudit, celui qui lui causa ses six années en cage, le vol, doigts aiguisés, entraînés à subtiliser, elle se spécialise néanmoins dans l'effraction, dérobe secrets et bibelots pour pouvoir s'en sortir.
ꕥ quartier : vogue dans le bronx le regard perdu, de retour en ville, elle n'a rien a elle.
ꕥ qualités : courageuse, passionnée, forte, intelligente, différente, observatrice, franche, loyale envers l'être aimé, sensible.
ꕥ défauts : jalouse, possessive, instable, irascible, perdue, amorale, violente (parfois), grossière, irrespectueuse.
ꕥ passions : {#}tatouages{/#} {#}drogue{/#} {#}poésie{/#} {#}larcin{/#}
ꕥ groupe : i need help
ꕥ communautés : planned parenthood, LEA
ꕥ scénario/pré-lien : pré-lien d'{@=567}adriana sparks{/@} (mais non écrit, donc pas d'url)
ꕥ parrain : si possible, ce sera avec plaisir, oui  uuh

all about my player
ꕥ petite présentation perso : bonjour bonjour... je m'appelle Victoria, j'ai 23 ans, je suis en droit, et ma passion, c'est l'écriture. c'est ainsi qu'en 2014, j'ai commencé à arpenter le monde des forums rps, bien qu'au début, je n'étais pas à l'aise du tout. puis, petit à petit, j'ai pu évoluer, m'améliorer, rencontrer des personnes incroyables (comme la joueuse d'adriana)... j'aime le rp, j'adore ça, même. j'adore créer, je pense avoir une imagination assez fournie, qui me permet d'avoir des idées, sans cesse. et quand je peux les mettre en pratique, et écrire, jouer des histoires, je suis comblée. j'adore aussi rencontrer de nouvelles plumes, lire de nouvelles histoire. en vrai, je suis une mordue de lecture, même si on ne va pas se mentir, je ne lis pas des ouvrages de la grande littérature française  Tag drogue sur I've got 99 problems 36146562 mais des romans, des fictions... j'adore ça. d'ailleurs, cela fait quelques temps que je suis sur mon propre roman, que j'essaie d'écrire, plus pour moi que pour le faire lire, haha. sinon, j'adore les séries, j'adore les comics. DC, ou marvel, je suis fan. je prends les deux, parce qu'il y a des pépites de chaque côté. (ne regardez pas un film ou une série de super-héros avec moi, vous allez m'entendre comparer aux comics tout le temps mdrrr). sinon, ben... hmmm... en fait je ne sais pas quoi dire d'autre, doooooonc. voilà. (j'suis pas douée en conclusion mdr)

petit portrait chinois
ꕥ un livre : trilogie de l'ange de la nuit - brent weeks
ꕥ un film : the greatest showman
ꕥ une série : lucifer
ꕥ une chanson : phoenix - chrissy costanza & cailin russo
ꕥ un animal : un chat, un serpent, une chouette, une loutre (non, je ne me décide pas mdr)
ꕥ un plat/dessert : sushis et forêt noire
ꕥ une boisson : eau citronée (j'aurais dit soda, mais j'ai arrêté)
ꕥ une célébrité : tasya teles (et d'autres, quand même, je ne peux pas toutes les citer)
ꕥ un pouvoir magique : me transformer (ou arrêter le temps ?  hidebox )

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : aucun.


that's my story / self diagnosis
you cover your wounds, but underneath them, a million voices in your head that whisper, "stop, now"

Douce folie qui la réveille, femme perdue dans un monde de feu, le regard anéanti face au néant de sa vie, qui hurle à l’agonie, terreur encore présente en elle, marquée au fer rouge contre son épiderme, le souvenir seulement pour seul compagnon, alors que sa mémoire faillit, qu’elle peine à retrouver ses esprits. Il n’y a plus rien. plus rien à retrouver, de toutes façons, âme saccagée par tant d’horreur, faucheuse en peine qui ne prend plus le temps de s’intéresser à elle. elle en a déjà trop fait . elle en a déjà trop pris. Le monde n’est plus le même. la vie n’est plus pareille. Il n’y a plus personne, les départs l’ont fracassée, douce fleur poussant sur le bitume.
d’abord la sœur, le cauchemar récurrent, l’infâme ne voulant laisser la famille tranquille. Un être abominable, comparé à son aînée. Un être abominable, la maladie. Fatale, qui prive le monde d’un cadeau, qui prive le monde d’une chaleur, cette sœur toujours présente pour la maudite, cette sœur qui savait lui conter monts et merveilles pour les sortir de la pauvreté, pour leur assurer un avenir meilleur, pour soutenir leur mère, forte, seule. Merveilleuse sœur, femme de bon cœur, qui s’assurait de toujours être présente, qui était dotée d’une telle gentillesse, une telle bonté. La vision d’un enfant envers cette ainée, la vision d’une enfant qui la décrivait comme une héroïne. Et la lâche tumeur qui s’installa, détériorant sa santé au fil du temps. le désir de le stopper, le temps, la vie. le désir de tout arrêter, pour préserver cette pureté qui existait pour elle, cette personne qui existait pour elle, cette promesse qui lui avait été faite, de l’emmener ailleurs, de lui donner une vie meilleure, de l’aimer jusqu’à la fin des temps. le désir qui n’écoute pas, les larmes qui ne s’arrêtent plus, chagrin immense lorsque la mort et son manteau noir viennent la prendre, première âme de la famille à être emportée.
ensuite, la mère, l’horreur encore présente dans son esprit, les fêlures qui marquent son esprit, destin tragique qui ne sait s’arrêter, qui ne cesse de vouloir la torturer. Destin tragique, un souvenir de plus, les sanglots qui coulent, alors qu’elle voudrait fermer les yeux pour oublier. Oublier cette horreur, oublier ces pleurs, les sanglots d’une mère qui ne sait pas comment vivre sans son bébé, qui affronte la douleur pour s’occuper de la seconde. Qui affronte la douleur, mais rêve d’un repos éternel, aux côtés de son trésor. Son trésor. Eris n’a pas cette place dans son cœur, n’a pas assez de son amour pour lui supplier de rester, alors que dans son rêve, petite enfant, elle s’écroule d’un coup, les cris des voisins qui se heurtent à son ouïe, songe devenu cauchemar quand elle rapplique en courant, mère écrasée au sol qui n’en a plus pu, le saut de l’ange, l’acte du démon, les étages qui reflètent la peur, l’horreur, alors que plus jamais les yeux d’eris ne sauront se fermer. Pas avant des années.
puis le vieil homme, un inconnu, et des années de plus au compteur. La survie pour seule compagne, quand le corps n’est pas pris par les regrets, par les détresses. Elle s’accroche, mais la vie ne veut pas d’elle. elle s’accroche, trouve quelqu’un pour y planter ses griffes, pour oublier d’être seule, tout en détruisant chaque parcelle de bonheur dans ses iris tâchés de larmes, devenus vitreux avec les substances qu’elle s’injecte, pour ne plus penser, pour ne plus pleurer, pour ne plus sentir. Ni ressentir. Elle s’accroche, garde pour objectif d’affronter la mort, plutôt que de l’accepter, et ses talents se développent, le vol pour seul frisson, le vol pour seul salaire. Glissade dans les demeures pour s’emparer des bibelots, les revendre au prix bas, pour n’éveiller aucun soupçon. Billets durement gagnés, son seul souffle quand elle laisse le sommeil s’emparer d’elle : elle n’est pas sans rien. mais cette nuit, tout s’écroule. Car dans la maison, il y a quelqu’un. Vieillard qui se réveille en entendant un bruit, confrontation rapide, sursauts de chaque côtés, mais cardiaque pour l’un. Eris le voit s’effondrer, homme à terre. figée sur place, mort de plus. elle oublie tout, même la fuite, alors que la police parvient sur les lieux, alertés par un coup de fil. Il n’en faut pas plus pour que les menottes prennent place. Et que le cœur s’emballe.
elle a tué. Meurtrière.

douce folie qui la maintient éveillée, la nuit est noire, pleine de terreurs, les monstres rodent, démons de son passé, démons de son présent, démons de son futur. Les cauchemars ne sont pas les seuls à s’acharner sur elle, les séquelles aussi, les vices aussi. Les marques, toujours présentes, son esprit craquelé, qui ne s’en remet pas. les songes d’une nuit heureuse ne remontent qu’à des décennies, tandis qu’elle endure toujours un peu plus les sévices qu’on lui a fait, les sévices qu’elle a causé. elle a durci son cœur. elle a durci son âme. pour se protéger, pour ne pas souffrir. Pour se protéger, pour ne pas mourir. Tandis qu’elle revoit tout ce qui est arrivé, qu’elle revoit les horreurs sur son corps.
d’abord, les maltraitances de la prison, celles qui ne la voient pas d’un bon œil, celles qui se font appeler les reines de l’endroit, qui dirigeent d’une main de fer les autres détenues. Pourtant, elles ne sont pas sans faute, criminelles endurcies qui ont oublié le goût de la liberté. Mais la différence, les préjugés la tourmentent, les habitent. Elle ne sait résister, au début, elle ne sait comment faire au début. Il y a les bousculades. Il y a les menaces. Il y a les coups en traître. On ne l’aime pas. il y a les douches, celles qui finissent pas ressembler à un carnage, les pleurs, les cris, les horreurs que son corps subit. Il y a l’eau bouillante, il y a les outrages à son corps, il y a le sang. Supporter cela est impossible, elle craque, elle déraille, elle se défend enfin, elle oublie la morale, elle frappe, elle rend les coups. Elle se défend, elle a mal. Elle se défend, elle fait mal. Il y a les poings, il y a les bagarres. Il y a les mots qui vrillent, l’esprit qui se fêle, le monde qui s’écroule, la brisure qui sépare l’avant et l’après. Le point de non-retour, tandis qu’elle se perd, pendant six années. Qu’elle se perd, s’oublie. Perd tout, aussi. Ancre qui disparait, compagne qui s’enfuit, argent qui s’envole. Elle n’a plus rien, à sa sortie, mis à part les déboires psychologiques, les horreurs qui s’inscrivent sur sa peau, qui s’inscrivent sur son âme.
et puis il y a la secte et les violences de cette dernière, promesse d’un avenir meilleur, promesse d’un réconfort, d’une vie sans difficultés. Promesse d’un foyer, quand elle se souvient avoir franchi le pas avec l’amour de toute une vie au bout de sa main. Promesses qui flanchent, seul le foyer reste. Mais le réconfort disparait, il y a des larmes, des cris, des meurtres. Avenir bien pire, il y a les coups, les violences faites à son aimée, les violences qu’on lui inflige. Il y a la brutalité qui s’empare d’elle, qui s’empare d’elles. Il n’y a plus rien, plus de morale, plus que des maltraitances, des sourire atroces, parfois. Les coups jusqu’à la mort, les agressions sexuelles, la vie disparait, entre ces murs. La vie disparait, quand on ouvre les yeux. Seule son amante parvient à lui donner la force, tandis qu’elle voit les pertes, qu’elle participe, qu’elle inflige toutes ces horreurs.  Qu’elle devient inhumaine.
elle devient un monstre.

douce folie qui la fait rêver, le seul bonheur de sa vie, celle qui a tant su l’aimer que la détruire, fureur de son cœur, qui ne demande qu’elle, fureur de son âme, qui ne veut qu’elle. et la colère d’être abandonnée, et la colère qui saccage ses doux rêves. Qui laisse les larmes s’emparer d’elle, quand elle ferme les yeux. Parce qu’elle est sa seule vraie pensée, parce qu’elle est la seule reine de son palpitant, parce qu’elle ne sait l’oublier, ne veut pas l’oublier. elle qui a su aimer un esprit éteint. celle qui lui a montré que son âme n’avait rien d’horrifiant.
d’abord, il y eut la rencontre, celle qui ne décrit rien de romantique, celle qui reste loin d’une beauté. Quand eris, sortie de prison, n’a rien. plus rien. et qu’elle peine à se refaire, qu’elle se remet à voler, oublie que tout a commencé ainsi, que tout se répète. Et c’est elle qu’elle trouve. Elle, qu’elle tente de dérober. Elle, qu’elle approche, comme attirée, aimant qui la guide, elle ne comprend pas son choix, mais sa main dans le sac, elle se fait prendre, dextérité perdue, ou désir inconscient de ne pas lui faire de mal ? elle n’en sait rien, la regarde, et ne sait plus parler. Il y a le tambourin de son cœur qui s’affole, il y a les pulsations de son cœur qui la font vibrer. Il y a comme de l’électricité dans l’air, ce coup de foudre qui s’empare d’elle, ce regard qui la perd. Elle bredouille, quand elle retrouve la parole, mais ne sait comment exprimer ce qu’elle ressent, ne sait même pas ce qu’elle ressent, ne l’a jamais ressenti. Amour. Ce doux nom, qu’elle ne connait réellement que pour l’amour familial. Amour, cette puissance, cette flamme, qui ne sait se défaire d’elle, tandis qu’elle flotte sur un nuage, qu’elle finit par tenter de s’excuser, cette main qui ne parvient pas à lâcher ce qu’elle tient, jusqu’à ce que la demoiselle dépose ses doigts sur le bras tatoué, et que son toucher chaleureux parvienne à tout cesser. Doigts qui se détendent, il y a l’impression que son myocarde va exploser, il y a ce regard qui ne la désire plus qu’elle, il y a cette impression, cette folle attirance.
ensuite, il y a la passion, c’est comme un rêve, c’est comme une nouvelle vie. un nouveau monde qui se découvre à elle, et ce sentiment toujours plus puissant qui la garde précieusement. Cette main qu’elle aime prendre dans la sienne, et les découvertes de son histoire, de sa vie, à cette merveilleuse adriana, nom de la femme de sa vie, une certitude qui embrase son cœur. cette passion, qui les dévore. Cette première fois, sous les étoiles. Ces caresses qui ne savent s’oublier, qui existent toujours contre sa peau. et les lippes qui viennent trébucher contre les siennes, langue qui vient danser avec la sienne, et chaleur qui perdure jusqu’à l’aube. Relation interdite qui transgresse les codes sociaux, mais qui fait des étincelles, tandis qu’il y a les rires, qu’il y a le bonheur, qu’il y a la folie. La folie des grandeurs, les promesses toujours plus belles, les rendez vous secrets… le paradis sur terre, dans le fin fond des yeux d’adriana.
puis la jalousie, ce qu’elle découvre peu après cet amour. La jalousie, quand son aimée s’approche d’un homme, d’une femme. la jalousie, quand elle comprend qu’elle ne sera jamais assez bien pour la famille de sa belle, quand elle comprend qu’on voudra les séparer. Cette jalousie, qui lui crève le cœur, lui fait mal, la détruit complètement. Cette rage, qui sommeil en elle, et ce besoin de s’assurer qu’elle est sienne. Demande faite sur un coup de tête, partir avec elle, partir loin de cette ville, loin de cette famille, loin de ces ondes maudites. Une demande acceptée, la vie la plus belle, la jalousie toujours là, mais le soulagement d’avoir la confiance de la seule personne au monde qui sait l’aimer.
et enfin, la séparation, les larmes qui ne s’arrêtent pas de couler, quand, après treize mois au sein de la secte, du cercle rouge, elle découvre avec horreur que sa promise n’est plus là. les horreurs du lieu l’auront faite fuir, mais eris tient bon, a toujours tenu bon pour elle. mais eris oublie la morale, oublie l’inhumanité pour elle. mais eris ne veut qu’elle. qu’elle, pour toujours et à jamais. qu’elle, qui sait comment la rendre forte. Elle. qui est partie. Les larmes. La rage. La colère. Le vide. Néant abominable qui emporte son palpitant, elle ne sait plus survivre au cercle, finit par tomber, force vitale qui ne tient plus. elle finit par tomber, garde la volonté pour s’enfuir, les pas qui la ramènent là où son destin l’a mise en face de son amour.
elle ne sait vivre sans elle.




puisque mon gif a plu, autant le laisser:





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Victoria ꕥ 23 ans
fréquence de rp : au moins un rp par semaine, voire plus ϟ fréquence de connexion : souvent. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? aucune importance pour mes partenaires. ceci dit, moi je serais entre 500 et 1300 mots. c'est une fourchette large, cela dépendra des rps, il est évident que tous mes rps ne feront pas 1300 mots xDϟ avatar à réserver : zoë kravitz ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rose, c'est évident  Tag drogue sur I've got 99 problems 36146562  ϟ comment avez-vous connu 99 ? par ma petite chouette adorée {@=567}adriana sparks{/@} ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? début.  Tag drogue sur I've got 99 problems 3309353901 (plus sérieusement, j'adore le forum, je sens que je vais vraiment m'y plaire  Tag drogue sur I've got 99 problems 3348919469
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