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6 résultats trouvés pour manger

We face what you fear. (Mia)

Invité
17 r ; 487 v.
Dim 18 Avr - 23:48
Mia Reynolds
just small daddy issues
ID CARD
{@=856}Mia Reynolds{/@}
25 ans - Flic au NYPD
FEAT : Taylor Hickson
Mia, c'est 1m64 de dynamite dans le corps d'une jolie demoiselle. Tout gosse déjà, c'était une véritable boule d'énergie, à faire quinze choses en même temps et à essayer d'en découvrir le plus possible. Et pas toujours facile à supporter en plus de ça. Mia, c'est le genre de femme qui n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, ou de se battre pour ce en quoi elle croit. Fière de qui elle est, elle a été profondément marquée par l'agression dont elle a été victime quand elle était encore étudiante, et c'est ça qui l'a poussée à entrer dans la police. Mia, elle a le cœur sur la main, et elle est la première quand il s'agit d'aider son prochain, qu'il s'agisse de personnes ou même d'animaux. Depuis peu, elle a quitté Londres et son Angleterre natale avec sa sœur en direction de New York, dans l'espoir de retrouver leur sœur ainée, dont elles viennent seulement de découvrir l'existence.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Britannique, en pleine procédure pour obtenir la nationalité américaine.
Ethnie/origines : Anglaise.
Orientation : Homosexuelle qui s'assume totalement.
Situation : Célibataire, pour le moment elle est pleinement satisfaite d'avoir simplement à s'occuper de ses animaux de compagnie.
Occupation : Flic au NYPD, elle est aussi bénévole au NYRRT et au Best Friends Lifesaving Center.
Quartier : Dans le Bronx, à Miranda Heights.

and what else ?
Qualités : Courageuse, futée, observatrice, travailleuse, protectrice, passionnée, généreuse, combative, curieuse, un brin idéaliste.
Défauts : Sarcastique, sanguine, têtue, survoltée, impulsive, franche à l'extrême, grossière, râleuse, prends parfois les choses trop à cœur.
Passions : {#}chien{/#} {#}football{/#} {#}manger{/#}
Communautés :
- LGBT Center
- Best Friends Lifesaving Center
- The Overkill
- Miranda Heights





that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
1) C'est par une matinée pluvieuse, le 22 octobre 1995, que Mia a vu le jour, dans un hôpital londonien. Dès sa naissance, Mia n'a pas tardé à se faire remarquer, par une capacité à brailler pour le moins impressionnante pour un petit bout comme elle. 2) Mia, c'est la deuxième de la famille. Elle a une sœur, Harper, deux ans plus âgée qu'elle. Et entre les deux, tout n'a pas toujours été rose. Papa et maman Reynolds ont vite remarqué que leurs deux filles étaient dotées d'un très fort caractère, qui a inévitablement provoqué des étincelles entre elles. Le genre de hauts et de bas qu'on peut retrouver dans la majorité des relations entre sœurs, mais au fond, elles s'aiment sincèrement ces deux-là. Surtout qu'Harper avait la fâcheuse manie de la protéger du moindre danger. 3) Ses parents se sont vites rendu compte que leur cadette était une véritable pile électrique, et il a bien fallu réussir à canaliser tout ce trop-plein d'énergie. Elle a testé tout un tas d'activité, de la danse à la natation en passant même par le judo, mais elle n'arrivait pas à rester concentrée très longtemps. Jusqu'à ce que ses parents la mettent devant un ballon rond. Il lui a fallut du temps avant de trouver un poste qui lui convienne, mais elle a enfin fini par trouver un truc qui lui plaisait vraiment, et dans lequel elle a fini par se montrer particulièrement douée. 4) L'école, ça a jamais trop été son truc. Évidemment, comme la majorité des parents, ces derniers espéraient sans vraiment l'avouer que Mia serait une tête qui ferait de longues études et qui finirait par avoir un boulot un peu prestigieux, mais ça n'était pas vraiment l'objectif de leur fille. Elle n'était pas du genre à mettre le bordel en compagnie des cancres de la classe, elle faisait simplement le minimum histoire d'avoir des notes suffisantes pour passer à chaque fois. 5) C'est à la fin du collège qu'elle a eu sa première petite-amie, en même temps que la certitude qu'elle aimait les femmes au moins autant que les garçons pouvaient la laisser indifférente. C'était juste après un match, alors qu'elle traînait dans les vestiaires avec une de ses équipières, qui lui plaisait particulièrement. Son coming-out s'est fait rapidement et sans que ses parents ne trouvent rien à y redire, hormis qu'ils étaient fiers d'elle et de la femme qu'elle était en train de devenir. 6) Avec le lycée, les déconvenues ont commencée à s’enchaîner. Alors qu'on commençait à laisser entendre qu'elle pourrait finir par passer pro, un méchant tacle au cours d'un match a totalement bousillé son genou et ses chances de pouvoir un jour jouer dans une grande équipe. Dans la foulée, Mia fut obligée de rompre avec sa petite-amie parce que cette dernière déménageait à l'autre bout du pays. Avec tout ça, elle avait le moral dans les chaussettes, et évidemment, ça c'est ressentit au niveau des notes et de... à peu près tout le reste en fait. 7) Avec ses rêves d'un jour passer pro disparus, il a bien fallu que Mia change de plans de carrière. Au final, elle a finit par entrer à la fac, avec l'idée de décrocher une licence en communication, principalement parce que sa petite-amie de l'époque s'orientait dans cette voie là. 8) Le 6 janvier 2015. Une date à jamais gravée dans l'esprit de Mia, et aussi dans sa chair. Le jour ou elle s'est réveillée à l'hôpital, deux jours après avoir été agressée avec un de ses amis par des types alors qu'elle sortait d'un bar gay. Il lui a fallu plusieurs semaines pour réussir à guérir, et encore plus avant de réussir à se regarder dans une glace, à cause de la cicatrice qui lui barrait désormais le côté gauche du visage. Une période pendant laquelle Mia a été d'autant plus malade que la police ne faisait spécialement d'efforts pour essayer de retrouver les coupables. 9) Contre toute attentes et à la surprise de sa famille, Mia a laissé tomber la fac, pour entrer à l'académie de police. L'inaction de la police par rapport à ce qu'elle avait vécu l'avait mise hors d'elle, et elle avait bien l'intention de changer tout ça. Pour avoir été du côté des victimes, la jeune femme avait tout sauf envie de voir d'autres personnes – de sa communauté ou non – subir ce qu'elle avait pu vivre. 10) Depuis quelques semaines déjà, Mia a plus ou moins tout plaqué pour partir aux États-Unis avec sa sœur. La raison étant qu'elle et Harper ont découvert qu'elles avaient peut-être une autre sœur, dont leurs grands-parents maternels s'étaient débarrassés comme on pouvait jeter un jouet cassé. Un départ sur un coup de tête pour essayer de retrouver une femme dont elles ignorent tout et qui pouvait se trouver absolument n'importe où dans le pays, mais ça n'est pas ça qui peut arrêter les deux sœurs Reynolds. Les deux femmes vivent à présent dans un petit appartement du côté de Miranda Heights, et Mia a eu la chance de réussir à se faire transférer au sein du NYPD. Ne reste plus qu'à trouver une aiguille dans une botte de foin de plusieurs millions d'habitants.
11) Contrairement à sa sœur, qui est un véritable poisson dans l'eau, Mia nage aussi bien qu'une brique. Elle aime bien aller à la plage, mais dès qu'il s'agit de mettre un orteil dans l'eau, c'est une toute autre histoire. 12) Véritable amie des animaux, Mia est bénévole dans un association de protection des animaux. Elle est d'ailleurs la propriétaire de deux chiens (un berger malinois et un spitz nain), et d'un chat siamois, respectivement Ripley, Rusty et Ronron. Elle a recueilli le premier alors qu'elle habitait encore à Londres, et les deux autres à New York. 13) Malgré la blessure qui a mit fin à ses espoirs de devenir footballeuse professionnelle, Mia continue toujours d'y jouer de temps en temps. Étant une fan inconditionnelle de Chelsea, elle regarde tous leurs matchs à la télé, le plus souvent dans un petit pub sympa sur lequel elle estt tombée pendant une patrouille. 14) Elle garde encore un très fort accent britannique, qui est d'ailleurs sujet de moqueries de la part de ses collègues. Ça reste gentil, c'est surtout une façon comme une autre de bizuter la petite nouvelle. 15) Élevée dans la pure tradition anglaise, Mia est une grande consommatrice de thé. Et hors de question pour elle de boire l'infâme jus de chaussette qu'on peut trouver dans les distributeurs du poste ou de se servir d'un sachet. 16) Malgré le fait qu'elle soit dans la police depuis déjà plus de cinq ans, Mia n'a encore jamais utilisé son arme dans de vraies conditions. Elle a déjà eu l'occasion de s’entraîner dans un stand, mais elle n'a encore jamais tiré sur quelqu'un. Et honnêtement, elle n'est pas pressée de le faire. 17) Le shopping, ça n'est pas vraiment son truc. Elle n'a jamais réussi à comprendre l'intérêt de passer des heures dans un magasin et de faire flamber sa carte de crédit pour en ressortir avec les bras chargés de sacs. 18) Avec une grande sœur qui parle tout un tas de langue, Mia a finit par apprendre deux ou trois trucs. Elle n'est pas aussi douée en la matière qu'Harper, mais elle arrive quand même à baragouiner assez bien pour réussir à se faire comprendre. 19) Malgré son physique qui ne paie pas de mine, Mia possède une sacrée descente et tient particulièrement bien l'alcool. Elle boit rarement et jamais plus de deux ou trois verres. Pour avoir vu quelques-uns de ses camarades de fac finir la tête à l'envers à force de boire beaucoup trop en soirée, elle n'a jamais été très tentée à l'idée de finir totalement ivre. 20) Même si Mia n'est pas du tout versée sur la cuisine, elle adore la bonne nourriture. Elle ne dit jamais non à un bon petit resto, et elle a développé un talent certain pour dégotter les meilleur food trucks de la ville.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Cawotte
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Nope
Avatar à réserver : Taylor Hickson
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Sian
Souhaitez-vous un mp d'intégration Non merci, je pense que ça devrait aller.  Tag manger sur I've got 99 problems 1193455550

L'Oeil de Lynx ~ Lynn Sciarra

Invité
11 r ; 729 v.
Dim 27 Déc - 12:27
Lynn Sciarra
just small daddy issues
ID CARD
{@=794}Lynn Sciarra{/@}
31 ans - Responsable clientèle au Scarlet Casino
FEAT : Barbara Palvin
Née à New York, américaine aux origines siciliennes, Lynn Sciarra est la cousine de Dexter Sciarra et la nièce d'Ornella Sciarra. Âgée de 31 ans et célibataire, elle travaille au Scarlet Casino en tant que Responsable des relations clientèles. En sous-marin, elle fait également partie de la mafia italienne en tant que Contrôleuse de la qualité de la marchandise réelle et fausse. Dans le milieu, on connaît plutôt son surnom, l'Oeil de Lynx. Dans son métier, rien ne lui échappe, ce qui n'est pas le cas dans sa sphère privée. Elle aime sa vie, mais le bonheur en est absent. Au fond, elle espère un jour trouver l’homme de sa vie et pouvoir fonder sa propre famille sans pour autant s’éloigner des Sciarra et de son métier.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Italienne, plus précisément Sicilienne.
Orientation : Hétérosexuelle et demi-sexuelle.
Situation : Célibataire. Quand cela arrivera, Lynn fondera sa propre famille, mais encore faut-il rencontrer la bonne personne.
Occupation : Lynn a suivi des études d'art à New York et a été diplômée. Actuellement, elle travaille depuis plusieurs années au Scarlet, le Casino familial, en tant que Responsable des relations clientèles. Officieusement, elle fait partie de la mafia italienne. Elle est en charge de contrôler la qualité de la marchandise réelle et fausse, mais elle est plus connue sous le surnom d'Oeil de Lynx. D'un simple coup d'oeil, elle arrive à faire la différence entre la perle rare et la plus médiocre ou la plus majestueuse des reproductions. Qu'il s'agisse de bijoux ou d'oeuvres d'art, rien ne lui échappe.
Quartier : Manhattan

and what else ?
Qualités : Attrayante- Affable – Curieuse – Observatrice – Protectrice – Fidèle – Vaillante – Attentionnée – Déterminée – Patiente - Persévérante.
Défauts : Têtue – Intransigeante – Perfectionniste – Taquine – Rancunière – Jalouse - Enigmatique – Ambigüe - Dissimulatrice - tantôt menteuse, tantôt d’une cinglante franche.
Passions : {#}littérature{/#} {#}musée{/#} {#}natation{/#} {#}manger{/#} {#}famille{/#} {#}travailler{/#}
Communautés : {#}Scarlet{/#}






that's my story / self diagnosis
Enfant inespéré et tant attendu depuis de longues années, Lynn Sciarra est ce qu’on appelle un enfant miracle. Née à New York d’une mère sicilienne et d’un père américain, sa naissance fut le plus beau des cadeaux pour le couple. Durant toute son enfance, elle fut choyée et aimée. Elle n’a que des bons souvenirs de cette époque où tout n’était qu’amour, bonheur et joie. Sa mère Luciana, conserva le plus longtemps possible l’innocence de sa fille, désirant à tout prix qu’elle puisse vivre pleinement son enfance avant d’apprendre la réalité sur leur famille. Car il y a bien une raison pour laquelle Lynn n’a pas le nom de son père, John Moore, mais bien celui de sa mère, Luciana Sciarra. Mais pour l’heure, Lynn était trop jeune pour comprendre tout ce qui lui était minutieusement caché.

Pour autant, ils commencèrent à préparer très tôt Lynn, d’une manière la plus subtile et naturelle possible. Elle ne se rendait pas à l’école, puisqu’elle suivait une scolarité par correspondance comme d’autres enfants de son âge, mais à la différence qu'elle ne suivait pas exactement les mêmes cours. Sans en avoir conscience, sa mère lui inculquait déjà les valeurs et les traditions de la famille. Luciana lui transmit également son goût et sa passion pour les bijoux. Non pas seulement qu’ils étaient beaux, chers, précieux et qu’ils brillaient, mais bel et bien l’art de la joaillerie. L’histoire de bijoux célèbres, la connaissance des pierres précieuses et comment on les travaillait. Tout lui était enseigné comme s’il s’agissait d’un cours de mathématiques ou de géographie. Quoi de plus normal ? Bien entendu, il ne fallait pas croire qu’elle ne faisait qu'étudier. Lynn s’amusait aussi beaucoup et profitait, comme tout le monde, de moments en famille pour le simple plaisir d’être ensemble; du moins le croyait-elle du haut de ses 8 ans. En réalité, même dans ces moments-là, il y avait des intentions et des objectifs. Rien n’était fait au hasard ou par simple plaisir. Car ces sorties en famille n’étaient jamais une promenade dans un parc ou une sortie au cinéma, mais plutôt ce qu’on pourrait appeler des sorties scolaires.

En fait, plusieurs fois dans l’année, John et Lynn visitaient les musées et les expositions en tout genre. Son père aimait tout particulièrement emmener sa fille au MoMa, le Metropolitan Museum of art de New York. Il lui présentait chaque œuvre d’art, lui racontait son histoire et même des secrets. Des secrets qu’il ne fallait révéler à personne, surtout celui que papa lui avait avoué : qu’il était l’auteur de deux chefs d’œuvres exposés dans le musée et que tout le monde l’ignorait. Il fallait que cela reste ainsi, c’était le jeu. Etre les seuls à savoir, c’était ça qui était réellement amusant ! Lynn s’amusait et gardait bien évidemment le secret.

Malheureusement, toute bonne chose a une fin. Durant l’année de ses 10 ans, le conte de fée finit par s’assombrir pour faire place à la réalité.

***

L’année 2000 se révéla être la pire et la plus douloureuse pour la famille Sciarra, tout du moins pour John et Lynn.

Depuis le début de l’année, Lynn vit de moins en moins sa mère ; cette dernière étant très souvent alitée dans sa chambre. Son père lui refusait l’accès, soit disant qu’elle allait épuiser sa mère alors qu’elle devait se reposer. Cependant, les semaines passèrent sans aucun changement. Le couperet finit par tomber : Luciana était atteinte d’un cancer en phase terminale. Il n’y avait plus rien à faire. Lynn ne pouvait plus être mise à l’écart, elle devait savoir et Luciana voulait passer ces derniers instants en famille. John et Luciana expliquèrent le plus sincèrement possible la situation à leur fille. Deux mois plus tard, Lynn et John se retrouvèrent seuls. Lynn se souvient difficilement du mois qui suivit. Perdre sa mère si jeune était inimaginable et très douloureux. Elle passa quasiment tout le mois entier recluse dans sa chambre, son père n’ayant pas la volonté de la brusquer. Néanmoins, il profita de ce mois pour agir. John prépara tout pour assurer protection et sécurité à sa fille en demandant aide et conseils à sa belle-famille.

Avant le début de l’été, Lynn se retrouva dans une cage dorée. Elle était tout ce qui restait à son père, elle était la prunelle de ses yeux et il avait très peur de la perdre. Alors il l’entoura. Le plus possible de ses proches et surprotégée par des gardes du corps, que ce soit chez eux ou à l’extérieur, car elle avait le droit de sortir, mais jamais seule. Cela pouvait paraître extrême et exagéré, mais pas pour les Sciarra. Durant tout le reste de l’année, Lynn apprit tout ce qu’on lui avait subtilement dissimulé : l’origine de la famille, leurs métiers, l’existence de la mafia, les dangers, tout ce que cela impliqué et l’importance de certains détails et particularités de son éducation. De par ce flux d’informations, Lynn fut soulagée que son père l’ait enveloppé dans une cage dorée, lui accordant ainsi tout le temps nécessaire pour assimiler ce qu’elle venait de réaliser et aussi pour commencer les choses sérieuses : se mettre réellement au travail. Cette fois-ci, elle eut droit à un programme éducatif intensif et très organisé. D’ailleurs, son père veilla personnellement à cultiver, entraîner et peaufiner le plus finement possible l’œil aiguisé de sa fille et sa culture artistique. Il lui apprit tout ce qu’il savait en tant que maître faussaire. Non pas pour qu’elle devienne faussaire à son tour, mais pour qu’elle sache et puisse repérer, déceler, identifier et reconnaître.

Les années s’écoulèrent et l’adolescence arriva bien vite. Les choses devinrent alors de plus en plus difficiles à gérer. Peu à peu, les barreaux de la cage n’étaient plus un havre de paix sécurisant et protecteur, mais une contrainte à sa liberté qui l’étouffait un peu plus chaque jour. Le petit oiseau désirait prendre son envol et voler de ses propres ailes. Lynn avait grandit et mûri. Elle avait fait son deuil et elle n’oublierait jamais sa mère. Elle avait apprit à vivre avec, mais ce qu’elle souhaitait maintenant, c’était de vivre réellement. Elle voulait faire ce qu’elle voulait quand elle l’avait décidé, se déplacer où et quand elle le voulait et sans être constamment surveillée.

Après des heures, des semaines, des mois et même des années d’insistance et d’argumentation, son père finit par céder. Il le fallait bien, car elle avait décidé d’entreprendre des études supérieures l’année prochaine. Alors après avoir négocié ensemble, son père lui accorda le droit de faire des études d’art dans une faculté à New York. Finit les études par correspondance. Lynn était douée et ça ne pourrait qu’accentuer son œil avisé et ses connaissances. Mais sa semi-liberté venait avec un prix ou plutôt une contrepartie : les gardes du corps seraient toujours présents. En un moindre nombre et plus discrètement. Lynn accepta. Va s’en dire qu’elle ne respecta pas toujours cet accord. Bon nombre de fois, Lynn réussit à échapper à la vigilance de sa sécurité. Que voulez-vous ! C’était la fougue de la jeunesse, la soif de liberté, l’excitation de transgresser les règles et l’envie irrépressible de vivre et de s’amuser avec ses cousins et ses amis sans avoir toujours un chaperon derrière soi.

***

Peu de temps après l’obtention de son diplôme, Lynn eu le temps de fêter les fêtes de fin d’année avec son père avant que ce dernier s’éteigne deux mois plus tard, à l’âge de 74 ans, de mort naturelle. La voici désormais propulsée cheffe de cette branche de la famille, dernière et unique héritière du savoir de ses parents et de tout leur legs. Un peu trop tôt à son goût, même si Lynn savait très bien que ce jour arriverait et que tout avait été déjà préparé en amont. Elle se devait de perpétuer le savoir qui lui avait été légué et de continuer sa vie. Ce fut tout naturellement qu’elle resta auprès de sa famille et qu’elle commença à travailler dans le casino familial avec son cousin Dexter et sa tante Ornella qui la prit sous son aile.

Sept ans plus tard, l’oiseau vole de ses propres ailes sans aucune difficulté et a trouvé son équilibre. Actuellement, Lynn travaille toujours au Scarlet Casino et s’est forgée une réputation dont la famille est fière, dont elle-même ; que ce soit officiellement en tant que responsable des relations clientèles, qu’officieusement en tant que l’Oeil de Lynx. Lynn aime sa vie, elle adore ses métiers, mais est-elle heureuse pour autant ? A première vue, oui. Qu’est-ce qui pourrait bien lui manquer ? Vue de l’extérieur, la jeune femme a tout et n’a pas à se plaindre ou à être exigeante : elle est jeune, belle, séduisante, elle a un métier qui paie bien, qui lui plaît, elle est proche de sa famille et a une vie sociale. Bon nombre de personnes aimerait être à sa place. Bien entendu, ils ignorent tout de son affiliation à la mafia italienne. Les bons côtés viennent forcément avec les mauvais côtés. Ces derniers peuvent parfois peser très lourd dans la balance. Puis Lynn se sent seule, malgré la proximité de sa famille. Peut-être qu’au fond elle n’est en réalité qu’une égoïste insatisfaite qui aimerait avoir le beurre et l’argent du beurre, mais est-ce vraiment trop demandé d’espérer un jour trouver l’homme de sa vie et de pouvoir fonder sa propre famille sans pour autant s’éloigner des Sciarra et de son métier ?


this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Sophie
Age: La trentaine
Avez-vous des triggers personnels ? Abus sexuels. Avant d’aborder un sujet pouvant être sensible, j’aime bien en discuter ensemble.
Avatar à réserver : Barbara Palvin
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Cranberry
Souhaitez-vous un mp d'intégration C'est très gentil à vous, mais je pense que ça ira, j'ai déjà eu quelques propositions lors de ma présentation d'invité et j'attends d'ailleurs leurs précisions pour peaufiner et tout mettre en place en liens et/ou rp Tag manger sur I've got 99 problems 995762081

break my chains

Invité
15 r ; 338 v.
Dim 13 Déc - 17:56
alexander goodman
i need help
ID CARD
{@=781}Alexander Goodman{/@}
42 ans - ostéopathe
FEAT : michael fassbender
notre anglais n'est pas un homme du matin, plus proche de l'ours. têtu quand il à décidé qu'il n'en sera pas autrement, et pourtant un vrai coeur tendre se cache derrière tout ces...petits défauts ? n'ayant plus ses parents, alexander à du apprendre à vivre seul (même si depuis la maladie de sa mère s'était déjà le cas). il est un amoureux des animaux, de toutes sortes. sa petite chienne Arwen en est la preuve. après un divorce compliqué il a pris conscience de la valeur de sa vie et surtout ce qui compte pour lui. deux ans de thérapie, voilà ce que ça lui a coûté de subir presque 10 ans de résignation.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américain
Ethnie/origines : anglais tea
Orientation : hétéro-sexuel
Situation : divorcé
Occupation : ostéopathe dans un complexe médical
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités : curieux, à l'écoute, passionné, bon vivant, généreux, patient, cérébral
Défauts : têtu, peu communicatif, aime un peu trop sa routine, à tendance à trop prendre sur soi, réfléchi trop
Passions : {#}gaming{/#} , {#}manger{/#} , {#}comics{/#}
Communautés :
- best friends lifesaving center
- the lost planet
- saberist academy







that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
Savez-vous pourquoi vous souvenez vous de certaines personnes ? Quels sont les éléments qui ont impactés cette décision involontaire ? En général quand on demande à des personnes pourquoi ils ont été plus enclins à se souvenir de cette personne et pas d’une autre, c’est qu’elle possédait quelque chose qu’elle n’avait jamais vu ailleurs ou alors très rarement. L’attraction physique rentre également dans ces critères, et si on combine les deux, soyez sûrs qu’il sera presque impossible de ne pas s’en rappeler. Tout est une question de mémoire sélective finalement, involontaire la plupart du temps mais très performante.

La mémoire fût les premières recherches de mon père, il essayait de comprendre comment la mémoire fonctionnait et comment pouvoir la réparer quand celle-ci ne fonctionne plus normalement. Ma mère avait été touché par une dégénérescence de la mémoire, sans lien et sans explication rationnelle, du moins quand elle a été diagnostiquée. Elle n’avait que 45 ans à ce moment-là, et n’arrivait plus à s’occuper correctement de moi. Le combat de mon père fut d’essayer de remonter le temps pour récupérer sa femme, et moi d’apprendre à vivre avec deux parents qui ne semblait plus vraiment prendre ce rôle à cœur, d’une façon involontaire ou non. J’ai appris très tôt à me débrouiller seul, à comprendre par moi-même quelles étaient les responsabilités qui m’avaient déjà attrapées.

Même si mon père était un grand scientifique, un homme qui était intelligent, passionné par son métier et, mal grès tout ces efforts il n’a jamais su arrêter la maladie de ma mère mais il n’a jamais lâché prise et appris à vivre avec. Il ne pouvait pas appréhender sa maladie de cette manière et puisque je vivais avec elle plus que mon père, je savais quand elle me reconnaissait, quand elle savait où elle était. Dans ces meilleurs jours elle arrivait même à me raconter des souvenirs, mais dans les moins bons, les voisins l’entendaient hurler et je ne pouvais pas gérer ça seul (même si je m’acharnais à dire que si) et il arrivait qu’ils viennent m’aider à la raisonner mais on ne peut pas raisonner quelqu’un qui n’est plus rationnel. Lui mettre le nez dans ce que visiblement elle ne pouvait pas comprendre, c’était encore pire, mais la laisser croire que le reste existait ? Est-ce vraiment mieux ? En tout cas, ça aidait à l’amener à se calmer.

Comme vous l’avez compris, j’ai passé une partie de mon enfance et toute mon adolescence à aider ma mère comme je le pouvais, puis je me suis posé cette même question : Sait-on pourquoi on se souvient de certaines personnes ?

Je peux encore me rappeler d’un camarade de classe, j’avais six ans et c’était en ce temps-là mon meilleur-ami. Comment on était devenus meilleurs amis ? Aucune idée, mais je me souviens de ce jour où nous avions construit une cabane dans les bois, nous avions passés l’après-midi entière à imaginer un monde où il fallait survivre par ses propres moyens. Sa mère était venue nous récupérer, nous nous n’étions même pas rendus compte que l’on avait passés sept heures à jouer sans interruption. Je peux vous raconter cette journée comme si j’y étais, mais je suis incapable de me rappeler son prénom. Puisque à cette époque, son prénom m’importait peu surement mais, les moments de vie eux étaient d’une importance capitale.

J’ai grandi à Bradford en Angleterre, j’y suis même né et je n’y ai pas de très bons souvenirs dû à la maladie de ma mère, les difficultés que j’ai eu à gérer mes études et ma vie. J’ai eu beaucoup de chance que mes parents aient eu l’argent nécessaire pour mon parcours scolaire. Devenir ostéopathe n’a pas été une évidence à vrai dire, puisqu’au début il était hors de question que je travaille dans le monde médical. J’ai d’abord étudié pour devenir architecte, le métier me semblait assez éloigné de tout ce que j’avais connu et me permettait de déconnecter complétement de ma vie réelle. Il s’est avéré que je dessinais assez bien en plus de ça, mais je n’étais ni passionné, et encore moins attiré au fil du temps par mes études. L’année où j’ai décidé d’arrêter de me voiler la face fût l’année ou mon père décéda d’une embolie pulmonaire, ça ne prévient pas, c’est fatal. A vrai dire, même si c’est horrible de penser ça, j’ai toujours cru que c’est ma mère qui mourait la première à cause d’une perte de contrôle ou par un geste irrationnel bien que surveiller, on ne peut pas prévenir à tout instant un geste malheureux.

Heureusement pour ma mère, elle ne se souvenait plus de mon père mais, ce n’était pas mon cas. J’ai dû encaisser seul, et j’ai finit par prendre conscience que ni mon père, ni moi n’étions responsable de sa maladie, que ce qu’on s’infligeait comme dédier sa vie à essayer de rendre la sienne normal, étudier dans une branche au plus éloigné de notre quotidien, essayer de la ramener, rien de tout ça n’était un choix que nous avions fait, mais on nous l’avait imposé. Je peux dire que depuis ce jour j’ai brisé mes chaînes. Ma mère à été placé dans un établissement spécialisé et j’ai pu enfin respirer, réfléchir à ce que je voulais, ce que je ne voulais plus, ce à quoi j’aspirais.

Avec l’argent de l’assurance de mon père j’ai pu me payer un appartement près de l’université de Queen à Belfast, pour poursuivre un cursus et devenir ostéopathe. J’ai mis deux ans avant de me tourner vers cette spécialité, à vrai dire c’est celle que je trouvais le plus passionnant. Je ne dis pas avoir dévorer chaque bouquin concernant cette médecine, mais j’arrivais à facilement comprendre, me projeter et ça me plaisait énormément.

Je rendais souvent visite à ma mère, et une fois diplômé à la fin de mes études, j’ai rejoint un cabinet de médecins libéraux en Angleterre pour rester près de ma mère mais ça n’a pas duré très longtemps et contrairement à mon père je sentais que ma mère n’allait pas rester de ce monde très longtemps quand j’ai rejoint ce cabinet. Deux années après, elle décéda des suites de complications cardiaques, j’avais 27 ans et plus aucune attache à ma terre natale et je ne me voyais pas continuer ma vie de cette manière. J’ai donc quitté mon poste, vendu mon appartement et direction les États-Unis. Tout s’est enchainé très vite mais je n’avais plus peur de m’en aller.
En arrivant à l’aéroport de J.F.K je me rappelle n’avoir qu’une valise qui contenait quelques vêtements, des souvenirs et une envie de vouloir construire une autre vie ailleurs.

J’ai logé à l’hôtel les premières semaines, puis avec la demande préalable de rester sur le territoire pour exercer mon métier, je n’ai pas eu de mal à trouver un emploi dans un cabinet. C’était un peu le nouveau métier à la mode à ce moment-là. J’ai loué un appartement un mois après mon arrivé, je ne savais pas si j’allais rester sur New York, et même si j’avais une réserve d’argent assez conséquente sur mon compte en banque, acheter un appartement dans une ville dont je ne connaissais rien n’était pas concevable (et puis le prix des appartements étaient incroyablement cher).

La première année de mon arrivé à New York, j’ai eu beaucoup de chance (chose à laquelle je n’étais pas du tout habitué à vrai dire) mon métier était très à la mode, j’avais une petite amie à l’époque mais rien de bien concret on se voyait par-ci, par-là et je commençais à vraiment apprécier la ville dans mon petit appartement du Queens.

J’ai appris à me découvrir des passions très tard, j’étais devenu un geek à presque la trentaine, fan de la saga Star Wars, du Seigneur des Anneaux, j’ai adoré lire des comics, j’ai également découvert l’univers formidable du gaming et à vrai dire les premières semaines je n’ai pas réussi à décrocher de ma console (puis j’ai compris par la suite qu’il était bien mieux d’avoir un PC pour jouer, mais je n’étais pas lucide dans mes débuts). J’ai accumulé des objets de tout genre en rapport avec ma passion dans mon appartement qui commençait à devenir trop petit pour tout ce que j’avais à exprimer, et puis je voulais adopter un animal mais ce n’était pas possible là où j’habitais.

Deux ans après mon arrivé, j’ai déménagé dans un appartement bien plus grand, cette fois-ci que j’avais acheté. Je pouvais un peu plus m’imprégner les lieux, me sentir chez moi, et construire une vie qui me ressemblait plus. J’ai rencontré cette année-là, Jolene. Mes histoires précédentes n’étaient rien comparé à ce que j’avais ressenti avec elle et il est inutile de vous cacher que je suis un amoureux passionné quand je suis sûr de ce que je ressens (ça aussi je l’ai appris très tard sur ma personne), je l’ai aimé, énormément mais j’ai été beaucoup trop aveugle pour voir que ce n’était pas réciproque, en tout cas, pas de la façon que je voulais. Nous sommes restés un an et demi ensemble et pour vous dire à quel point j’étais aveugle : j’allais la demander en mariage. Un an et demi ensemble et je comptais franchir un cap auquel je n’avais jamais pensé avant. Je n’ai pas eu le temps de lui demander qu’elle s’est enfuit de ma vie pour son travail, j’ai eu le cœur en miette. Je ne peux même pas vous expliquer à quel point j’ai été triste et abasourdi.

Ma première vraie peine de cœur, et pourtant ça ne m’a pas empêché de vouloir y croire à nouveau. Pour soigner cette cassure, j’ai décidé d’ouvrir mon propre cabinet, j’habitais maintenant Brooklyn et je pouvais me permettre d’engager de nouveaux projets pour pouvoir tourner la page. J’ai adopté une petite chienne que j’ai renommé Arwen. Un petit beagle abandonné dans un refuge car les propriétaires ne pouvaient plus s’en occuper.

En ouvrant mon propre cabinet, j’ai réalisé qu’il me manquait le contact social avec d’autres humains médecins, après deux ans d’exercice j’ai décidé de fermer mon cabinet pour intégrer un complexe médical. Même si avoir mon propre cabinet était très gratifiant, je ne faisais pas ça pour me récompenser d’en être arriver jusque-là mais plutôt pour aider au mieux les personnes qui en avait besoin.

J’ai rencontré mon ex-femme presque en même temps lorsque j’ai intégré le complexe médical. Donna et moi, ça n’a pas été le coup de foudre immédiat mais, elle montrait un tel intérêt auquel je n’avais jamais eu le droit que je me suis laissé tenter par cette femme. Au début, tout semblait sortir tout droit d’un film, elle était compréhensive, tout le temps de bonne humeur, pas un mot plus haut que l’autre, elle me donnait tout sans restriction. Quatre mois après le début de notre relation, elle commençait à s’installer de plus en plus chez moi, et je n’ai pas osé la freiner dans son élan. Si bien qu’elle a finit par venir habiter chez moi sans qu’on en discute vraiment, puis les choses sont devenues un peu plus compliqué, au début rien de grave. Une dispute par-ci, par-là, je ne rangeais pas mes affaires comme elle voulait, j’oubliais de sortir la poubelle, Arwen prenait trop de place dans le lit, enfin notre lit. J’ai cédé à tout ce qu’elle demandait par la suite et je n’aurais jamais dû, il fallait que je lui envoi un message de là où je me trouvais, quand je partais du travail, puis je n’avais plus le droit tellement de jouer autant que je le voulais, mes potes étaient selon elle tous des idiots, ils ne m’apporteraient rien dans la vie.
Toutes les sorties que je faisais, il fallait que je lui en parle et si elle ne pouvait pas venir alors c’était une sortie stupide. Elle a fini par avoir le code mon téléphone, le mot de passe de ma boîte mail perso et professionnel, de mes réseaux sociaux. Elle avait la main sur tout, et si je changeais mon mot de passe sans lui dire c’est que je cachais quelque chose. Les seuls moments où je respirais c’était quand je sortais Arwen et encore là, elle regardait par la fenêtre si je prenais le bon itinéraire. Ça été un enfer, si bien que j’ai fini par la demander en mariage, elle m’a mis une telle pression et ses amies aussi.
J’avais la trentaine passée, pas marié, pas d’enfants vous vous rendez compte ? Quel sacrilège. Je jouais à des jeux d’ados, regardait des films nuls, mes comics étaient des torches culs, et mes centres d’intérêts complétement dépassé. J’ai totalement perdu confiance en moi et je me suis perdu pendant 7 ans de mariage, sans savoir comment m’en sortir mais il aurait fallu surement un élément déclencheur me diriez-vous ?

Un soir, je rentrais du travail et on voyait bien que quelque chose clochait, j’étais malheureux, le regard fatigué, je ne parlais pas énormément même si je n’ai jamais été une pipelette, j’aimais échanger. Je marchais pour rentrer du travail, la boule au ventre de savoir ce qu’elle allait encore trouver à dire puis je suis passé devant la saberist academy, je me suis regardé dans le reflet de la devanture d’un magasin.

« Alexander, t’as fait tout ça pour en arriver-là ? » me suis-je dis à voix haute. J’ai dû faire face à beaucoup de choses étant plus jeune, et je me laissais faire par une connasse blonde, incapable de voir la personne que j’étais ? J’ai eu un élan en moi, je ne sais pas d’où il est venu mais c’était comme si mon passé entier me criait de lui dire d’aller se faire foutre avec un F majuscule, et qu’importe ce que les gens peuvent penser, que je finisse seul avec trente chiens, tant que je ne finis pas avec une folle comme elle, ça valait le coup.
Je suis rentré chez moi, d’un pas décidé, j’ai éteint mon téléphone et quand j’ai franchi la porte de chez moi, comme d’habitude elle s’est mise à râler. Je n’ai pas bougé, je l’ai écouté me crier dessus et d’un ton calme.

« Maintenant, tu t’en vas. » lui avais-je dit, elle s’était mise à rire mais moi je ne riais pas. Elle a perdu son sourire et s’est mise à crier encore et encore. Je suis parti dans MA chambre et j’ai dégagé ses affaires par la fenêtre, elle est devenue folle mais je ne me suis pas arrêté.

« Maintenant tu t’en vas, ou sinon tout passe par la fenêtre. » pendant plus d’une heure et demie, elle s’est mise à hurler dans tous les coins de la maison, me jurant qu’elle allait faire de ma vie un enfer mais, je n’avais plus peur de quoi que ce soit venant d’elle.

« Tu dirais ça à mon avocat et crois-moi je vais prendre le plus cher et on va voir qui va hurler le plus fort. » lui répondis-je en la voyant prendre quelques affaires.

Quand elle claqua la porte et que je pus enfin fermer la porte à clé, un poids énorme s’en alla, si bien que j’ai pleuré toute la soirée de soulagement. Les semaines qui ont suivit je m’étais inscrit à la saberist academy, j’avais fait dégager ses affaires puisque même si nous étions mariés, j’avais acquis cet appartement avant qu’on le soit. J’ai également commencé à consulter une thérapeute, je m’étais débarrassé d’une épine mais le plus dur était de ne pas se laisser dépasser par les événements et de pouvoir comprendre comment j’en étais arrivé là.

Le divorce, se reconstruire, réapprendre à se connaître, perdre l’habitude de se dévaloriser. Il m’a fallu un an et demi de procédure de divorce et deux ans de thérapie avant d’y arriver. Quand elle a quitté ma vie, j’ai fêté ça avec mes amis à qui j’avais tourné le dos, je n’avais pas fait la fête comme ça depuis le temps ( et je me souviens encore de la gueule de bois que j’ai eu ).
Je suis persuadé que je vais encore apprendre, même à quarante ans passés mais c’est fini de vivre ma vie pour une autre, de me contenter de ce que je ne veux pas, de me priver de ce qui me rend vivant, de faire des choix parce que c’est socialement plus acceptable. J’ai des moments de doutes comme tout le monde, mais je ne me laisse plus submergés par mes questions, je trouverais la réponse en tant voulu.

Devenir bénévole dans un refuge, s’inscrire dans une académie pour maitriser le sabre laser ou encore militer pour une cause que je trouve juste et pour laquelle je peux m’investir, je ne trouve pas ça ridicule et je n’aurais jamais dû me laisser entendre le contraire.

Je me souviendrais de ces moments, de ces personnes parce qu’elles ont marqués ma vie, je ne peux peut-être pas vous dire le prénom de toutes car, encore aujourd’hui je me souviens des moments de vies et pas de leur prénoms.





this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : mcfly (bon c'est pas marty, mais c'est tout comme Tag manger sur I've got 99 problems 2153884322 ) et je m'appelle Camille  I love you
Age: vingt-cinq ans Tag manger sur I've got 99 problems 4032930001
Avez-vous des triggers personnels ? les relations majeur/mineur
Avatar à réserver : michael fassbender  Tag manger sur I've got 99 problems 3460843005
Crédit avatar utilisé dans la fiche: millenium pain
Souhaitez-vous un mp d'intégration oui oui oui  Tag manger sur I've got 99 problems 900075052

going 100mph (mistakes per hour)

Invité
14 r ; 953 v.
Ven 11 Sep - 22:38
curtis cho
23 ans - étudiant
FEAT : johnny suh
invisible, ordinaire : plus jeune, c'est grâce à sa quiétude qu'il s'est démarqué. simple façon d'être, caractère qu'il n'a pas choisi transformé en complexe par son beau-père macho et ses camarades qui en profitaient pour lui marcher dessus. les blessures restent, plaies ouvertes et suintantes qui infectent chaque partie de son être qu'elles touchent. curtis se sent mal dans sa peau et il a l'impression d'en être coupable, de le mériter parce qu'il est défectueux. malaise général qu'il s'efforce de surmonter en l'ignorant à défaut d'en être conscient, malgré tout il rayonne avec la force de mille soleils dès qu'on écarte les nuages qui ternissent son éclat.
who am I
ꕥ âge : 23 ans mais toujours l'impression d'en avoir 15, perdu dans le sephora de la vie un monde beaucoup trop grand pour lui.
ꕥ nationalité : américain de naissance, c'est new york qui l'a vu naître mais il a grandi à jericho, petite ville de 13 000 habitants dans le comté de nassau. les états-unis sont son bercail mais il a souvent l'impression de ne pas y avoir sa place. mal du pays, ou mal du monde ?
ꕥ ethnie/origines : sud-coréennes, sa mère est née sur le continent, fille d'immigrés venus au pays dans les années cinquante, tandis que son père y est arrivé environ trente ans plus tard pour ses études. juste une autre différence, un paramètre de plus ayant participé à son aliénation.
ꕥ orientation : hétérosexuel, complètement, à 100%, aucun doute là-dessus. oui il travaille chez lush et oui il allait sur jeuxpourfilles point com quand il était gamin mais ça veut rien dire... si ?
ꕥ situation : en couple depuis un peu plus d'un an avec celle qu'il considère comme sa meilleure amie. ça devient sérieux, ça commence à parler d'emménager ensemble... et il l'adore, vraiment, mais il y a quelque chose qui manque.
ꕥ occupation : étudiant en informatique à la columbia university, il est employé chez lush à temps partiel pour arrondir les fins de mois.
ꕥ quartier : queens.
ꕥ qualités : assidu, ambitieux, loyal, drôle, fiable, ingénieux, travailleur.
ꕥ défauts : parfois immature, timide, anxieux, tête en l'air, défaitiste, manque de confiance, se laisse souvent marcher dessus.
ꕥ passions : {#}gaming{/#} — (son refuge depuis l'enfance, les jeux vidéos lui ont offert tout ce qui manquait à sa vie.) {#}sci-fi{/#} — (quasi-spécialiste du genre et toutes ses déclinaisons, il a regardé matrix au moins 14 fois.) {#}cyberpunk{/#} — (son type de sci-fi préféré, il en connaît l'histoire par coeur et a consommé tous les classiques.) {#}informatique{/#} {#}memes{/#} {#}cinéma{/#} {#}geek{/#} {#}pâtisserie{/#} {#}manger{/#} {#}cocktails{/#}  {#}rock{/#} {#}basket-ball{/#}
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ communautés : habitants du oak complex, the lost planet, les étudiants de columbia university.
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ mp d'intégration : oui plzz

all about my player
ꕥ petite présentation perso : salut, moi c'est bee, ma passion dans la vie c'est faire des personnage sur lesquels je projette mes problèmes pour me psychanalyser à travers eux <3 #selfdrag je fais beaucoup trop de références memes/pop culture, je parle limite qu'en dialogues pardonnez moi (facepalm) à part ça j'aime les jeux vidéos, la science fiction, la musique (indie, pop, microwave sounds #100gecs, tout) et beaucoup trop d'autres trucs pour tout mettre dans une petite présentation Tag manger sur I've got 99 problems 2153884322

petit portrait chinois
ꕥ un livre : dante & artistotle discover the secrets of the universe
ꕥ un film : matrix
ꕥ une série : the good place
ꕥ une chanson : men i trust - you deserve this
ꕥ un animal : chat
ꕥ un plat/dessert : crême brûlée
ꕥ une boisson : mojito
ꕥ une célébrité : keanu reeves
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : normalisation des relations mineur/adulte (sexuelles ou non), pédophilie, inceste, viol/abus sexuel ou manque de consentement


that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
— difficile d'avoir un seul gros problème quand sa vie entière est un amalgame de soucis à l'importance variante, quand tout est si gris qu'il ne sait plus les distinguer l'un de l'autre. son futur ? celui de sa relation ? pourquoi elle semble battre de l'aile, pourquoi il se sent insatisfait alors que tout va bien, techniquement ? ou alors l'incertitude d'avoir un avenir dans un monde destiné à épuiser ses propres ressources et à se détruire sous la pression du capitalisme ? peut-être.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
— du point de vue de ses parents, la réponse est simple : accro à son ordinateur (ou à internet, mais pour eux, c'est la même chose). la vérité est qu'il est accro aux mondes auxquel il lui donne accès, que ce soit les activités dont il se distrait, les oeuvres de fiction qu'il consomme ou les communautés dans lesquelles il s'investit. tout simplement, il est accro à fuir la réalité.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
— sur un simple malentendu : lui pensait qu'il y avait une relation, alors qu'en fait, non.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
>dude i feel like a fucking onion
>there's so many layers
>i'm a goddamn lasagna of trauma

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
— celle avec son père s'est terminée à ses onze ans, quand sa maladie cardiaque a eu raison de lui. son plus grand modèle disparu quand il en avait le plus besoin, remplacé par une espèce de brute qui n'a jamais accepté sa nature et voulait le remodeler à son image. sa relation avec sa mère s'est tendue après ce mariage. il ne comprend pas qu'elle ait choisi un homme pareil, qu'elle l'ait laissé le rabaisser plus bas que terre toutes ces années. mais il ne lui en veut pas. il sait que comme lui, elle a peur d'être seule.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
— pas grand-chose, si on enlève les seuls trucs qui donnent une structure à son existence. vie sociale limitée par peur de s'embarrasser auprès des autres, il s'en tient à ses repères, aux amis qu'il a déjà. ses soirées sont souvent passées chez lui ou chez eux, devant un film ou un jeu vidéo, toujours scotché aux écrans qui sont son seul portail vers une réalité meilleure.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
— la fois où il s'est fait pipi dessus en cours de sport au primaire, celle où il s'est pris une vitre devant son crush, chaque interaction avec son beau-père depuis son apparition dans sa vie, l'adolescence qu'il a complètement passée chez lui au lieu de se familiariser avec le monde extérieur, son incapacité totale à faire des tâches administratives ou même parler à un employé sans faire une crise d'anxiété... juste un fait, vous êtes sûr ?

this session is gonna be different
bee ꕥ 23 ans
fréquence de rp : selon la motivation & la disponibilité, environ une réponse par semaine. ϟ fréquence de connexion : 5j/7? ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 300 et 800. ϟ avatar à réserver : johnny suh. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : franchement c'est pas gentil de poser une question pareille je suis obligé d'essayer de trouver une réponse originale au lieu de juste dire "verts" pfff i won't play into your agenda!!! ϟ comment avez-vous connu 99 ? grâce à {@=700}leah barghava{/@} cc <3 ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? juste envie de dire que vous êtes littéralement tout ce dont je rêvais dans un forum donc voilà, heureux d'être ici  Tag manger sur I've got 99 problems 928930545
kur8mi (gif) cez (avatar)

so quick as a flash I Agatha

Invité
19 r ; 1795 v.
Sam 8 Aoû - 13:25
agatha galbraith
30 yo - gardienne pénitentiaire
FEAT : Tuppence Middleton  Agatha est une jeune écossaise de trente ans à l'accent prononcé. Véritable rayon de soleil, son sourire et sa bonne humeur quotidienne illuminent le pénitencier d'ordinaire si morne dans lequel elle travaille en tant que gardienne. Elle est arrivée à New York il y a quatre ans après avoir été agressée par son ex petit ami, avec l'envie de prendre un nouveau départ. Elle en garde beaucoup de séquelles, mais depuis elle parvient à ne pas les montrer, les dissimulant derrière cet optimisme et ces sourires à toutes épreuves. Afin de ne pas se retrouver seule et ressasser cet évenement, elle s'occupe beaucoup lors de son temps libres, notamment la nuit : peu après son arrivée aux États Unis, elle s'est immiscée dans un trafic de courses de voitures illégales, en devenant la meilleure pilote de la ville grâce à son atout majeur ; la maîtrise des cascades, qu'elle pratique en club depuis qu'elle a obtenu son permis de conduire.
who am I
ꕥ âge : 30 ans, piles.
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle, elle n'est attirée que par les hommes, ne trouve refuge que dans leurs bras, alors que l'un d'eux l'a pourtant détruite
ꕥ situation : célibataire et qui plus est persuadée qu'elle le restera toute sa vie
ꕥ occupation : gardienne de prison officiellement, officieusement elle est la meilleures pilote de courses urbaines illégales de la ville, raflant victoire sur victoire depuis son arrivée
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : optimiste, avenante, souriante, drôle, altruiste, généreuse, téméraire, douce
ꕥ défauts : hyperactive, imprudente, tête brûlée, franche, fragile, cachotière
ꕥ passions :{#}famille{/#} {#}écriture{/#} {#}chat{/#} {#}chien{/#} {#}star-wars{/#} {#}bière{/#} {#}manger{/#} {#}culturegénérale{/#} {#}antiquités{/#} {#}histoire{/#} {#}metal{/#} {#}concert{/#} de rock {#}piano{/#} {#}voiture{/#} {#}promenades{/#} {#}associatif{/#} {#}écologie{/#} {#}féminisme{/#} {#}travailler{/#} + {#}cascades-automobiles{/#} (ou car-stunt) {#}sauvetages-d{/#}'animaux
ꕥ communautés : {#}TheLift{/#} {#}NewYorkPoliceDepartment{/#} {#}SaberistAcademy{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : ///
ꕥ groupe : I Need Help
ꕥ parrain : oui puppy

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Holà les copains !
Je m'appelle Nuvka et Sarah IRL. cute
J'ai 22 ans, et dans la vie je suis employée dans la grande distribution aka c'est moi qui mets vos yaourts en rayon et qui me farcis les clients chiants tous les jours.  Tag manger sur I've got 99 problems 1380091441 C'pas le boulot de rêve, mais je l'aime bien et c'est pas définitif car je souhaite attaquer prochainement un bachelor en ligne concernant les métiers du livre, car mon ultime rêve serait d'ouvrir une librairie en Écosse.  keur
Je fais du RP depuis que j'ai neuf-dix ans, ayant commencé sur un jeu d'élevage de chevaux virtuels. J'écris aussi beaucoup et ai tout un lore autour de mes personnages.  sisisi Je vis pour les feels, mais sur forum j'ai malheureusement rarement eu l'occasion d'en jouer et ça me manque beaucoup.  puppy
Autrement et en vrac, je fais de la sorcellerie, je dessine et fait un peu d'aquarelle, je suis hyper fan de Rupaul's Drag Race, d'Animal Crossing, Harry Potter, Star Wars, Tim Burton, etc…  Tag manger sur I've got 99 problems 3466005161

petit portrait chinois
ꕥ un livre : La Bibliothèque des Cœurs Cabossés, de Katerina Bivald.
ꕥ un film : Les Noces Funèbres de Tim Burton
ꕥ une série : Sherlock ou Peaky Blinders
ꕥ une chanson : Kyoto Song de The Cure
ꕥ un animal : Le chat.
ꕥ un plat/dessert : Des macarons
ꕥ une boisson : Du Schwepp's au gingembre !
ꕥ une célébrité : Helena Bonham Carter
ꕥ un pouvoir magique : La manipulation des frontières physiques et métaphysique, c'est précis et qu'est-ce que c'est cool !

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Le suicide par pendaison.
Et ceux qui suivent peuvent être mentionnés mais pas détaillés : La maltraitance animale et l'inceste. En général je préfère qu'on en discute avec mes partenaires de RP hihi.

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
Au premiers abords on peut penser d'Agatha qu'elle n'est rien d'autre qu'une espèce de tapageuse, un peu grande gueule et très impulsive qui aime faire des entrées fracassantes. En réalité, c'est surtout du au fait que c'est une jeune femme qui a beaucoup d'énergie à revendre, une énergie qui marche en fonction de la pression qu'elle peut ressentir lors d'un évènement. Plus il y a de pression, plus l'adrénaline monte, plus elle aime ça et essaye de le tirer à son avantage. Le stress ? Elle connaît pas. Ou très peu.

Agatha, ce qui la botte, son essence de vie, ce sont les prises de risque. Si elle ne pouvait vivre que pour ça, elle le ferait. Se mettre constamment en danger.
C'est une femme très débrouillarde, Agatha. Elle est capable de se sortir de n'importe quelle situation : tout ce qu'il faut faire, c'est réfléchir avant d'agir. Paradoxal avec ce qui a été dit au début, non ? Cet aspect de gamine écervelée est une couverture. La demoiselle peut s'avérer bien plus maligne qu'on ne le croit et c'est tout à son avantage.

Dynamique et intrépide, elle semble n'avoir peur de rien et possède toujours une certaine ambition de réussir qui l'anime. Mais si elle n'y arrive pas, elle relativise. La négativité, Agatha elle ne sait pas trop ce que c'est. Elle est optimiste h24, toujours en train de répéter que ce qui arrive n'est pas si pire, que ce qui aurait pu arriver aurait pu l'être. Un moyen de se protéger ? Peut-être.

Toujours très souriante, c'est un véritable rayon de soleil pour son entourage, quel qu'il soit. Il est difficile de la mettre en colère ou de l'attrister. Peut-être qu'elle garde tout en elle lorsque ça arrive, mais ce sera toujours d'un grand sourire qu'elle répondra à ce genre de choses. Et elle aime communiquer sa gaité, faire sourire les autres, c'est un objectif qu'elle se donne au quotidien.

ANECDOTES

+ Grande passionnée d'écriture, elle ne se sépare jamais d'un petit carnet et d'un stylo. Chez elle, elle a toute une bibliothèque consacrée à ses notebooks, remplis d'idées, de textes achevés ou non, de petites histoires qu'elle invente et de répertoires à personnages. C'est une passion qu'elle possède depuis toute petite.  

+ Gardienne de prison, ce n'est pas un métier bien joyeux en apparence, mais son optimisme constant et son grand sourire à toute épreuve mettent un peu de couleur dans ce pénitencier si morose d'ordinaire. Que ce soit avec ses collègues ou bien certains des détenus eux-mêmes, Agatha est appréciée de beaucoup de monde.  

+ Elle a cette fâcheuse tendance à adopter n'importe quel chat de rue qui passerait prêt de chez elle. Elle en a trois pour l'instant ici à Los Angeles, mais encore cinq chez ses parents en Écosse. Elle possède aussi un berger allemand et un rat domestique. Elle adore les animaux, et a adopté depuis plusieurs années un régime végétalien. Aussi très engagée dans la cause animale, elle va souvent aider des associations de sauvetage (équidés la plupart du temps, mais aussi beaucoup de chiens et de chats) lors de ses temps libres.

+ La seconde passion d'Agatha réside dans le domaine des cascades automobiles. En effet, depuis qu'elle a l'âge de tenir un volant, elle s'est inscrite dans un club de cascades et en pratique régulièrement depuis. C'est notamment et surtout ce qui fait sa force dans le trafic dans lequel elle s'est immiscée peu après son arrivée à LA, et c'est pourquoi en très peu de temps elle en est devenue la meilleure pilote, assez connue dans le milieu.  

+ Agatha a eut un accident de voiture ayant faillit lui couter la vie lorsqu'elle avait 21 ans. Ce n'était pas elle qui conduisait mais une amie et elles se sont faites rentrer dedans par un automobiliste alcoolisé. Elle a passé une semaine dans le coma suite à un choc au niveau du crâne, mais s'en est finalement sortie. Son amie a gardé davantage de séquelles, dont une immobilisation complète des jambes. Malgré cet accident, ça ne l'a pas résigner à arrêter de pratiques les cascades et les courses.  

+ Elle possède une Honda Civic Type R qu'elle s'est offerte peu après son arrivée aux Etats Unis. D'un rouge flamboyant, c'est une voiture performante bien qu'elle ne court pas avec, et il s'agit de son petit bijou. Elle en est très fière.  

+ Agatha participe aux courses urbaines avant tout pour s'amuser et non pour l'argent. Elle estime que les sensations fortes qu'elle ressent lorsqu'elle se trouve à toute blinde sur la route valent tout l'or du monde. C'est une mafia qui gère ce genre de trafic au sein de NY, mais Agatha ne s'est toutefois jamais faite arrêtée par les forces de l'ordre : faisant elle même partie du milieu carcéral, elle fait office de "taupe" et permet à la police de garder un œil sur le trafic. Sauf que ça, le patron du trafic et les autres coureurs n'en savent absolument rien.  

+ Aussi, en tant que grande fan de Star Wars (on dit merci papa et le frangin), elle a découvert en arrivant à New York une nouvelle activité qui l'a complètement charmée : les combats de sabre laser. Elle a trouvé le concept extrêmement original, et aime énormément ce mélange spectaculaire entre le combat et sa chorégraphie. Elle a intégré la Saberist Academy et pratique ce sport depuis trois ans désormais.

+ Ce sont des sons des années 80, synthétiseurs et synthwave en folie qui rythment ses pas et ses courses. Agatha n'écoute presque que ça et il lui arrive même parfois de bidouiller quelques remixs de chansons récentes en les mettant à la sauce "eighties" grâce à son propre synthé'.  

+ L'écossaise sait imiter à la perfection toutes sortes d'accents. Ça ne lui sert pas à grand chose, mais il faut avouer que c'est assez marrant et ça anime parfois les soirées de l'entendre parler tantôt avec un accent allemand, tantôt français.

HISTOIRE

Sur un chemin caillassé, bordé par ces champs piétinés par quelques troupeaux de moutons, trottine une fillette. Elle évite les pierres, saute à cloche pieds sur certaines d'entres elles, les nuages noir menaçant de l'engloutir sous une pluie torrentielle à tous moments. Son sac qu'on dévine être celui d'une écolière rebondit sur son dos au rythme de ses pas et petits sauts. Elle gravit une pente et s'arrête à son sommet pour admirer le paysage que lui offre ses précieuses Highlands. Beauté entre eaux et rochers. Sa petite maison se dresse à l'horizon et son pas s'accélère.
Elle en passe la porte et une voix retentit. "Qu'est-ce que t'as encore fait ?" Le ton n'est pas empli de reproches. Il n'est pas moqueur. Mais curieux, rieur, comme si le jeune homme avait l'habitude de voir sa petite sœur couverte de bleus et d'égratignures sur les bras et les jambes. La brunette rit doucement. "Je suis passée par un autre chemin. Tu le dis pas à Maman hein, elle aime pas trop."


Agatha est la deuxième née de la famille Galbraith, purement écossaise depuis des décennies entières. Une petite famille tout à fait charmante, qui sans rouler sur l'or a toujours vécu dans un confort minimum. Les parents de la jeune femme étaient musiciens pour une troupe de théâtre avant de devenir propriétaires d'un pub dans le village où ils ont toujours vécus; Applecross. Raghnall et Donella Galbraith ont toujours tout donné pour leurs enfants et ce sont eux qui leur ont transmit toutes leurs valeurs.

Dès qu'elle fut en âge de marcher, Agatha s'est vite avérée être une fillette plus difficile que son frère à cause de son côté casse-cou. A peine ses parents avaient le dos tourné, et ils la retrouvaient à grimper de partout, à essayer de faire des figures acrobatiques depuis les meubles du salon ou encore à partir seule dans les champs de moutons autour de la maison.

Plus tard, lorsqu'elle apprit à écrire et à lire, Agatha s'est mise à inventer ses propres histoires. Elle réalisait de petits livres à l'aide de feuilles qu'elle pliait soigneusement, écrivait sur le côté droit et dessinait en face, à l'image d'un livre illustré pour enfants. Si ses œuvres graphiques n'étaient pas du grand art, il fallait avouer que du côté écriture elle avait une imagination débordantes. Quelques fautes par-ci, quelques erreurs par là, mais les idées étaient toujours plus variées les unes que les autres et gardaient une certaine logique. L'enfant faisait lire ses écrits, mais ce qu'elle aimait le plus c'était les raconter de vive voix, s'inspirant des pièces de théâtre qu'elle voyait de temps en temps, lors des quelles ses parents jouaient de leurs instruments. Très vite, Raghnall et Donella virent en elle une future carrière littéraire.

Ses yeux courent à plusieurs reprises le long des lignes. Elle veut être sûre de ce qu'elle lit, sûre de ce dans quoi elle s'engage. Mais en même temps, elle est pressée à l'idée de signer ce papier. Elle entends les vrombissements des voitures qui passent derrière elle, étouffés par ces murs qui la séparent du circuit. Elle regarde parfois par la fenêtre, les yeux rêveurs. Puis elle appose enfin sa signature, d'un geste vif et précis. Elle fait glisser le papier sur la petite table pliante qui sert de bureau et l'inspecteur la range sans même y accorder le moindre regard. Agatha sens des frissons lui parcourir le corps lorsqu'il la fait monter au volant d'une des voitures. Le moniteur est étonné par sa maîtrise, lui demande si elle ne lui a pas menti en lui disant qu'elle avait son permis depuis quelques semaines seulement. La sincérité de la jeune fille le cloue un peu plus dans son siège. La voiture prend de la vitesse. Encore et encore."

Au grand damne de ses parents, après avoir passé son permis Agatha a souhaité s'inscrire dans un circuit automobile pratiquant les cascades. Si Donella était catégoriquement contre de peur pour la sécurité de sa fille, Raghnall a su tempérer les choses et faire en sortes que sa compagne accepte l'envie de sa fille. Cela fait donc plusieurs années maintenant que la jeune femme maîtrise les cascades à la perfection. Il lui arrive même parfois de former certains novices. Elle est extrêmement douée au volant, et la voiture n'a aucun secret pour elle.

A côté de cela, contrairement à ce que pensaient ses parents, la brunette ne s'est pas lancée dans des études littéraires. Son grand frère étant récemment engagé dans la police, elle a décidé de suivre la même voie que lui en se renseignant sur les métiers y étant liés. Et en découvrant celui de surveillant pénitentiaire ce fut le coup de foudre.


L'homme la toise d'un regard. Est-ce qu'il la trouve trop petite ? Trop frêle ? Trop… Souriante ? Bah, ça se tassera bien au fil du temps, doit-il penser. Au pire des cas, elle ne sera pas admise. Il lui tend pourtant le formulaire et elle s'éloigne pour le remplir, y glisse sa lettre de motivation et son curriculum vitae. Quelques semaines plus tard, c'est une petite tornade qui entre dans le salon où toute la famille discute tranquillement. " J'ai été acceptée !" Elle en a presque les larmes aux yeux. Harry la félicite. Leur petite sœur, Cléo, applaudit. Ses parents l'étreignent un instant, heureux pour leur fille. Ce n'est pas le métier auquel ils avaient rêvé pour elle, mais si c'est ce qui lui convient, ça leur convient aussi. Alors tant qu'elle est heureuse dans ce qu'elle fait, ils seront comblés.


Agatha s'est vite avérée être une gardienne pas comme les autres en intégrant sa première prison. Elle était la nouvelle recrue, celle qu'on pensait beaucoup trop frêle et fragile pour ce métier, celle sur laquelle les autres pariaient entre eux sur la durée pendant laquelle elle allait tenir. La surprise fut que, au bout de quelques mois, elle était devenue le petit rayon de soleil de cet endroit si sombre. Sa gaité constante et son optimisme à toute épreuve ont ajouté quelque chose de plus au pénitencier, quelque chose d'insoupçonné. Les détenus commençaient à vouloir voir elle seulement lors de leurs moments difficiles, et elle organisaient parfois des "activités" d'écriture avec les plus réceptifs d'entres eux. Sa différence avec beaucoup de ses collègues était qu'elle traitait les prisonniers comme des égaux malgré leurs actes, sans pour autant sympathiser avec eux.

Cette prison se situant à Glasgow, y entrer fut pour Agatha l'occasion de prendre son envol. Petit appartement en ville, découverte de la vie citadine et apprendre à se gérer toute seule. Un joli petit programme qui lui donna du fil à retordre les premières semaines mais auquel elle finit par s'y habituer peu à peu. Très vite elle commença à sortir, à faire de nouvelles rencontres, se faire des amis, des amours. Un train de vie qui lui plaisait beaucoup.

Elle n'eut pas beaucoup de conquêtes durant ces première années en tant qu'adulte de la vie active. Mais avec Jace, c'était du sérieux. Du moins c'est ce qu'elle croyait. A tel point qu'à 25 ans, après un an déjà de relation, ils s'installèrent ensemble. Aveuglé par l'amour qu'elle portait à cet homme, Agatha ne voyait pas la face cachée de l'iceberg. Belles paroles, mensonges, tromperies. Il lui aura fallu un an de plus pour le découvrir. Triste, trahie, indignée, en colère. Elle n'a pas attendu une seule seconde après l'avoir su pour lui annoncer qu'elle le quittait. Il a essayé de la retenir, de s'excuser, de se justifier, mais elle ne voulait rien entendre. Il semblait pourtant désolé, mais la jeune femme ne voulait pas se laisser avoir une seconde fois.

"Il n'est pas tard, mais il fait nuit. Les rues sont encore bondés de monde et bercées par le bruit des pneus sur le bitume. Après cette violente dispute, Jace est sorti et elle a préféré téléphoner à Harry et à Cléo. Entendre des paroles rassurantes, avoir un peu de réconfort dans cette dure épreuve. Le téléphone finalement raccroché après deux heures écoulés, elle décide d'aller se coucher. Elle peine a trouver le sommeil, mais y arrive finalement au bout de quelques heures.
Une silhouette menaçante sur l'encadrement de la porte. Le son d'une bouteille en verre qui s'écrase sur le sol. Elle se réveille en sursaut, l'odeur de l'alcool lui agresse les narines. Il s'avance, titube jusqu'au lit. Elle ne bouge pas, ce mélange de colère et de tristesse toujours ancré en elle. Il s'approche, vient lui susurrer à l'oreille qu'il a envie d'elle. Une dernière fois. Elle refuse. Mais il n'est pas de cet avis là. Elle refuse encore. Mais il la force."


Cette nuit restera gravée en elle à tout jamais. Sur sa peau, dans son cœur meurtri. Saoul, bouteille à la main, il revient. La réveille en la brisant sur le mur, au dessus de sa tête. Elle est effrayée. Il la veut. Une dernière fois. Elle refuse. Mais il ne lui laisse pas le choix. S'en suivent deux heures d'un véritable supplice. Si elle a le malheur de pleurer, de crier, de se débattre, il la blesse avec le verre.
Un moment d'inattention et elle parvient à s'échapper. Rassemble le peu des forces qui lui restent, l'assomme avec la lampe de chevet pour s'enfuir et l'enfermer dans la chambre. Nue, le corps ensanglantée, elle s'empare de son téléphone, pour directement alerter Harry qui, chef de la police de Edimburgh, a donné l'alerte à celle de Glasgow et s'est dépêché de prendre la route pour retrouver sa sœur et l'aider. Laissant sa femme et ses filles derrière lui en pleine nuit. Le mal était fait, mais il voyait rouge. Tout ce dont il avait envie, c'était de le faire payer à cet homme. En arrivant, il a trouvé une Agatha comme il ne l'avait jamais vue.

La jeune femme mit plusieurs semaines pour retrouver un état émotionnel à peu près stable grâce au soutien de sa famille. Mais elle n'avait plus envie de rester à Glasgow. Car aller travailler voulait dire pour elle revoir son agresseur, l'homme qu'elle a aimé pendant deux ans et qui en quelques heures a détruit une part d'elle-même. Désormais emprisonné pour son acte, sur le lieu de travail d'Agatha.

Elle voulait donc partir. Loin. Oublier tout ça malgré les séquelles, prendre un nouveau départ. C'est alors qu'elle se mit à chercher un endroit où s'en aller. C'est après plusieurs jours, à peser le pour et le contre entre divers endroits, qu'elle fit son choix et s'arrêta sur la belle et immense ville de New York. Quitter le Royaume Uni pour les États Unis semblait être bien mieux que ce qu'elle aurait imaginé. Elle se mit très vite en contact avec le pénitencier local le plus adapté et, bingo, ils cherchaient actuellement quelqu'un. Elle se mit en suite en contact avec diverses agences immobilières pour se trouver un toit, et elle allait enfin pouvoir partir.

La séparation avec sa famille fut très dure. Mais elle savait que c'était de ce départ dont elle avait besoin pour se reconstruire. Elle s'envola donc pour NYC, emplie d'un sentiment étrange fait d'un mélange de soulagement et de déchirement.

Après son arrivée, elle prend deux mois pour s'installer et se faire à ce tout nouvel endroit. Deux mois lors desquels elle évite de se morfondre dans son coin et préfère sortir. Elle adopte un chien, récupère un chat dans la rue, s'offre une nouvelle voiture, écrit, intègre des associations de sauvetage d'animaux, cherche un nouveau club de cascades, découvre petit à petit la ville, se rend dans son futur lieu de travail pour faire connaissance avec ses futurs collègues. Fait des choses qui lui parlent, des choses qui lui plaisent. Puis elle intègre son nouveau pénitencier. Se remets dans le bain de son métier et c'est le même schéma qui s'opère que lors de ses début dans ce milieu. Elle commence à sympathiser avec un peu tout le monde, elle est douée pour ça, Agatha.

Agatha arrive au niveau d'un feu qui passe au rouge et s'arrête alors en première ligne. Cette fois, c'est une chanson de Depeche Mode qui l'accompagne. Mais quelques autres sons attirent davantage son attention, tandis qu'une voiture apparaît à côté de la sienne, et d'autres derrière. Un sentiment étrange s'empare d'elle tandis qu'elle jette un coup d'œil vers le véhicule parallèle au sien. Un homme est au volant et joue sur sa pédale d'accélérateur. Les autres, à l'arrière, semblent en faire de même. Agatha sent la montée d'excitation s'emparer d'elle. Puis, l'homme tourne la tête et leurs regards se croisent. Elle ne saurait définir ce qu'il se passe lors de cet échange silencieux. Quelque chose d'électrifiant. Un air de défi. Elle ne pense plus qu'à une seule chose : se prendre à ce jeu dont elle n'a absolument aucune idée de ce qu'il peut être. Elle se met alors elle aussi à jouer sur sa pédale, faisant rugir le moteur de sa Civic. Un sourire en coin s'étire sur son visage. Les voitures d'en face s'arrêtent, leur feu va bientôt passer au vert. Son moteur vocifère de plus en plus fort, elle est prête à démarrer.
n'a absolument aucune idée de ce dans quoi elle s'engage, mais ça lui plait. Son cœur bat au rythme de cette excitation qui la gagne. Les mains fixes sur son volant, elle n'attend qu'une seule chose : que le feu passe au vert. En attendant, elle prépare ses pédales, joue avec l'accélérateur. Le son du moteur de la Civic la fait frémir, tandis que sa carrosserie écarlate se reflète dans celle de la Lexus près d'elle. Contrairement à tous les participants, Agatha n'a aucune idée de l'itinéraire. Mais c'est dans un sens ce qui lui plait davantage. L'inconnu. Et, bien évidemment, les dérapages qu'un virage surprise pourrait l'obliger à réaliser. Les néons colorés de la ville éclairent la route, face à l'enfièvrement de l'adrénaline, Agatha monte le son. Les secondes s'écoulent lentement, la pression semble palpable pour certaines des participants. Elle jette quelques coups d'œil sur ses rétroviseurs. Ils n'ont pas l'air bien commodes mais ça ne lui fait pas peur. Du moins, l'euphorie l'empêche de ressentir ne serait-ce qu'une once de crainte. Elle ne pense même plus à son appartement, à l'accueil que lui réserveront ses animaux, à ce film qu'elle pourrait regarder en attendant de s'endormir. Elle ne songe même pas une seule seconde aux dangers de ce qu'elle s'apprête à faire.

Vert. Les moteurs à l'unisson s'embrasent, les pneus crissent et son cœur s'emballe.


Cette première course dans laquelle elle s'est immiscée sans vraiment le vouloir fut la signature de son entrée dans le domaine des courses urbaines illégales. Une première course vaincue, le début d'une longue série de victoire avec pour principal atout son expérience dans les cascades. Le trafic est encadré par la mafia, et possède des règles strictes à ne surtout pas briser. Voitures obligatoirement prêtées, GPS pour avoir connaissance du parcours, système de paris grâce à une caméra embarquée et balise présente dans les véhicules pour dissuader quiconque d'en voler un.

Agatha a réussi à négocier pour que le salaire qu'elle est censée gagner après chaque course soit redistribué aux autres participants, car elle le fait avant tout pour s'amuser, pas pour l'argent. C'est un domaine qui comporte énormément de risques desquels elle est consciente, mais c'est justement ce qui l'encourage à continuer. De plus, le fait d'être la seule femme présente parmi les coureurs a fait naître en elle une certaine fierté.

Mais d'autres ne sont pas de cet avis là. Dont l'homme qui a déclenché ce soudain envie chez la tempête écossaise de participer de façon clandestine à cette première course. Car avant, c'était lui le meilleur pilote. Jeremiah a essayé de la dissuader de rejoindre le trafic après sa première victoire, lui expliquant que le grand manitou lui en voudrait et qu'elle risquait gros. Mais c'est avec un beau sourire et un immense entrain qu'Agatha a refusé de l'écouter.

Les remords se sont pourtant vite immiscés dans sa tête quant au paradoxe entre son travail et son activité illégale. Après beaucoup de réflexion et sans aucune transparence, elle en a parlé à son frère, puis à l'un de ses supérieurs, énonçant l'idée de s'infiltrer dans le trafic pour y faire office de "taupe". Non pas sans difficulté, elle a su les convaincre. Plus aucun problème de ce côté là. Mais si un jour sa couverture est découverte par les mafieux… Disons qu'elle préfère ne pas y penser.



"Aujourd'hui, elle va beaucoup mieux. Elle a réussi à se retrouver du travail dans la prison du coin, a pu acquérir son propre appartement dans lequel elle vit avec ses chats, son chien et son rat, a pu s'offrir une voiture performante qui lui a valu sa place dans un trafic de courses illégales. Si elle participe aux courses, dès qu'elle peut, c'est pour s'éviter une nuit seule. S'éviter ces cauchemars qui la hantent dès qu'elle ferme les yeux. Elle a été brisée. Détruite. Depuis cette nuit, elle a honte des cicatrices qui lui parcourent le dos, la poitrine et le ventre, souffre de vaginisme. Elle n'arrive plus à se reconstruire, à faire confiance à quelqu'un. Et pourtant. Pourtant, elle a toujours le sourire aux lèvres, Agatha. Toujours cette énergie infatigable, cette manie à tout rendre positif, à toujours communiquer la moindre once de bonne humeur avec son entourage.

Elle hausse les épaules et sourit. Ses grands yeux verts se perdent un instant sur l'horizon, puis elle se retourne vers la personne en face d'elle. "Hey, relativise, ça pourrait être pire, hein !" Lance-t-elle en riant doucement.





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nuvka/sarah ꕥ 22 ans
fréquence de rp : écrire ici. ϟ fréquence de connexion : 7j/7 ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Entre 700 et 1400 je dirais. ϟ avatar à réserver : Tuppence Middleton ϟ de quelle couleur sont les petits pois : C'est Jonhatan ! Ah mince, j'me suis trompée de texte, pardon ϟ comment avez-vous connu 99 ? D'abord sur facebook, puis sur PRD en suite ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? C'est vous les beautés
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La vérité toute nue n'est pas toujours belle à regarder + LINA

Invité
16 r ; 598 v.
Mar 24 Mar - 13:50
Lina Meziani
27 ans - gérante d'une nouvelle pâtisserie
FEAT : nina dobrev
Lina elle est née à Jérusalem et y a vécu les 7 premières années de sa vie en compagnie de ses parents, son frère et sa soeur avant de déménager à NY pour fuir la guerre. Peu de temps après leur arrivée au USA son père s'est mis à frapper sa mère. Lina n'a jamais pardonné à sa mère de ne pas avoir fuit cet homme et de toujours lui avoir pardonné. Aujourd'hui son père est décédé et c'est désormais Lina qui se fait frapper par son petit ami actuel mais qui refuse de le quitter parce qu'elle est persuadé qu'il l'aime. Lina elle n'a jamais vécu dans le le luxe et a commencé à travailler dès l'âge de 14 ans. Du ménage, du repassage, tondre la pelouse puis du baby-sitting. A 21 ans elle a commencé à travailler dans un bar, ce genre de bar ou les serveuses sont en petite tenue parce que ça fait soit disant mieux consommer. Et puis il y a quelques semaines son petit ami lui a permis de réaliser le rêve pour lequel elle économise depuis des années : ouvrir sa propre pâtisserie avec des spécialités française, arabe et italienne. Lina elle est combative, fidèle, ambitieuse, organisée, hyperactive et très secrète sur sa vie amoureuse. Elle aime rire, s'amuser et est une fille pleine de vie.
who am I
ꕥ âge : 27 ans
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle
ꕥ situation : en couple
ꕥ occupation : gérante d'une toute nouvelle pâtisserie depuis quelques semaines
ꕥ quartier : le queens
ꕥ qualités : organisé, battante, fidèle, loyale, ambitieuse
ꕥ défauts : hyperactive, fragile, maladroite, naïve (ou peut-être juste amoureuse)
ꕥ passions : {#}pâtisserie{/#}, {#}instagram{/#}, {#}manger{/#}, {#}sport{/#}, {#}makeup{/#}, {#}sugaraddict{/#}, {#}animaux{/#}
ꕥ communautés : the oak appartment complex
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? no thanks  keur
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ꕥ petite présentation perso :Est-ce que je suis pardonné si je vous fait un copier/coller de ma présentation sur la fiche de Ian ? Tag manger sur I've got 99 problems 225322147 Je m'appelle Gaëtane, j'ai 23 ans, je fais du RP depuis 10 ans environ et je suis POUFSOUFFLE !! C'est une information importante sisi !! Autrement et bien je suis une férue de lecture, ma bibliothèque est pleine et ma PAL déborde bien trop. J'adore suivre des booktubeuse sur Youtube, j'ai un compte instagram dédié aux livres et j'adore également les séries (en ce moment je me refais toutes mes vieilles séries que j'ai adoré regardé, je suis également à fond dans Reign  Tag manger sur I've got 99 problems 3460843005  Tag manger sur I've got 99 problems 3460843005 et j'attends avec impatience la partie 4 de la casa de papel dans quelques jours  pompom
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : la saga Un palais d'épines et de roses de Sarah J. Maas
ꕥ un film : The Greatest Showman ! Je comprends même pas pourquoi j'ai pas répondu ça sur ma première fiche
ꕥ une série : Un dos tres
ꕥ une chanson : Impossible - James Arthur
ꕥ un animal : Le chien et plus particulièrement mon chien !  love
ꕥ un plat/dessert : Des crêpes ! Toute ma vie je pourrais manger des crêpes !
ꕥ une boisson : De l'Oasis orange ! Oui oui pas le tropical le orange !
ꕥ une célébrité : Kristen Bell  Tag manger sur I've got 99 problems 3460843005 j'adore cette femme
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : /

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Aujourd’hui quand elle y pense elle se demande ce qui a bien pu passer par la tête de ses parents de quitter leur pays d’origine avec 4 enfants en bas âge. Quatre enfants qui ont du reconstruire toute leur vie de l’autre côté de l’océan. Lina se souvient de son premier jour aux Etats-Unis. Ils étaient restés des heures à l’aéroport et ses parents avaient parlé avec des hommes en uniformes pendant des heures. Bien sur elle n’avait pas compris un mot de la conversation. Sa langue à elle c’était l’arabe et voila qu’on lui parlait maintenant d’apprendre l’anglais, alors qu’elle avait seulement 6 ans. Plus tard elle apprit que s’ils étaient restés aussi longtemps à l’aéroport c’était parce que le territoire américain n’était pas un grand adepte des étrangers, d’autant plus ceux venant des pays du Moyen-Orient. Et un an plus tard ils le seraient encore moins après l’attentat du 11 Septembre. Enfin après des heures passés là-bas ils avaient ensuite fait quelques heures de routes jusqu’à arriver dans cette ville avec des maisons aux palissades en bois. Elle se demanda pourquoi ils avaient tous des palissades devant chez eux. Avaient-ils peur d’être attaqué ? Pourquoi ses parents auraient-ils fuit un pays en guerre pour un autre qui l’était également ? Malgré tout, la petite tête blonde était émerveillée par tout ce qu’elle voyait autour d’elle. C’était tellement différent de Jérusalem. Il lui fallut plusieurs semaines pour s’habituer à sa nouvelle vie, sa nouvelle maison et cette nouvelle langue dont elle devait tout apprendre. Ses parents ne prenaient pas la peine de parler anglais à la maison si bien que chaque jour à l’école Lina se sentait mise de côté. Tous les enfants étaient venus la voir dans un premier temps. Elle était la nouvelle de la classe et la nouveauté ça donnait envie. Mais ils se lassèrent aussi vite de ne pas la voir répondre à leur question. Elle les regardait tour à tour sans savoir quoi dire. Ils ne comprenaient pas sa langue et elle ne comprenait pas la leur. Et puis les années ont passés. Elle finit par apprendre l’anglais, par le comprendre même mieux que sa langue maternelle. Les années passèrent et les souvenirs de Jérusalem s’évanouirent petit à petit. Elle avait oublié jusqu’au nom de ses anciens amis remplaçant ceux là par de nouveaux noms.

On dit souvent que c'est lorsque tout va bien que quelque chose se produit. Comme si la vie refusait de nous octroyer trop de bonheur à la fois. C'est ce qui se passe pour Lina et pour sa famille. Son père avait toujours été un homme assez étrange à ses yeux. Parfois il demandait à ses enfants de venir s'asseoir sur ses genoux juste pour leur dire qu'il les aimaient, et puis le lendemain il leur hurlait dessus en leur répétant qu'ils n'étaient que des bons à rien. Lina ne se souvint plus vraiment de quand cela à commencé. Ils étaient à New York depuis 1 an environ, peut-être moins quand il leva la main sur sa mère la première fois. Lina avait vu toute la scène. Il ignorait qu'elle était dans l'escalier à les écouter alors qu'ils se disputaient. Il ignorait qu'elle avait vu toute la scène. Elle avait vu sa main gifler la joue de sa mère avec violence. Elle avait vu les larmes de sa mère lui monter aux yeux. Puis elle l'avait entendu la supplier de lui pardonner quelques minutes plus tard. Ce qu'elle avait fait. Ce qu'elle continua à faire au fil des années. Lina elle, elle ne pardonna pas à son père. Si elle n'était pas encore en âge de quitter le domicile familial elle était en revanche en mesure d'ignorer son père un maximum. Plus elle grandissait et moins elle comprenait la brunette. Sa mère ne cessait de lui répéter que leur père l'aimait. Lina et elle n'avait visiblement pas la même définition de l'amour.

Lorsqu'elle avait 15 ans environ Lina tomba amoureuse pour la première fois. Ce garçon c'était le garçon d'à côté. Le garçon vivant dans l'immeuble d'en face, au même étage qu'elle. Ce garçon c'était celui qu'elle avait vu une fois sur les marches de l'immeuble avec un oeil au beurre noire. Elle lui avait demandé comment il s'était fait ça. Il avait répondu qu'il était tombé. Ce garçon c'était Ezra. Mais Ezra il semblait tomber souvent. Lina elle finit par s'asseoir avec lui sur ces marches lorsque la vie devenait trop dur dans l'appartement pour qu'il veuille rentrer. Elle restait la avec lui pour ne pas qu'il tombe et pour ne pas que les coups tombe sur lui. Ezra c'était ce garçon d'à côté dont le père frappait la mère avant de finalement se rabattre sur lui quand ce dernier s'interposait. Ezra c'était ce garçon qui la comprenait parce qu'il vivait plus ou moins la même chose qu'elle. Ce n'est peut-être pas une bonne idée de tomber amoureuse d'un garçon qui a les mêmes démons que vous et pourtant c'est ce qu'elle fit. Ils tombèrent amoureux. Follement amoureux et lorsque le soir dans leur lit les cris et les coups devenaient trop dur à entendre ils s'installaient chacun à la fenêtre de leur chambre se faisant face. Ils s'enroulaient chacun dans leur couverture et s'endormaient ainsi en se regardant à quelques mètres l'un de l'autre. Mais les années passèrent et si Lina refusait de quitter sa famille, sa vie ici, Ezra lui n'éhsita pas une seconde. Il disait qu'il fallait qu'il parte pour vivre, pour survivre, pour se reconstruire. Et c'est ce qu'il fit lorsqu'il eut 18 ans. Il parti loin. Très loin.

Des garçons il y en a eu d'autres. Des histoires plus ou moins longues. Des histoires qui ont compté plus que d'autres. Et puis il y a quelques mois il y a eu Isaac. Isaac elle l'a rencontré le jour de l'enterrement de son père. Ce jour-là sa mère lui avait demandé à ce qu'elle fasse un discours pour rendre hommage à son père. Lorsqu'elle fut devant le micro Lina n'ouvrit pas la bouche. Parce que la vérité c'est qu'à ses yeux il n'y avait rien d'honorable à raconter sur cet homme. Rien qui ne puisse enlever toutes les années de souffrance qu'il avait fait vivre à sa femme. Ce jour-là après l'enterrement elle s'était rendu sur le toit d'un immeuble. C'est quelque chose qu'elle aime bien faire Lina. C'est là qu'elle le rencontra. Isaac il était issu d'un milieu riche à l'opposé du sien. Quand elle n'avait fait que petit boulot sur petit boulot depuis plus de 10 ans pour gagner un maigre salaire, lui avait voyagé à travers le monde tout en faisant des études de médecine. Isaac et elle ne pourrait pas être plus différent et pourtant ils tombèrent amoureux. Il y a quelques semaines sans même avoir son consentement il décida de lui offrir la boutique dont elle rêvait pour ouvrir sa pâtisserie. Son rêve. Elle lui en voulu d'avoir dépensé tout cet argent pour elle Lina. Mais elle lui pardonna bien vite lorsque ses lèvres se posèrent à nouveau sur les siennes. Mais comme je le disais plus tôt c'est souvent lorsque tout va bien que... Il la gifla la première fois alors qu'elle rentrait du travail. Il s'excusa presque aussitôt. Elle ne partit pas comme elle s'était toujours juré de le faire si un jour elle rencontrait un homme comme son père. Il n'était pas comme son père. Il l'aimait... C'est ce dont elle finit par se convaincre. Elle lui pardonna. Elle fit ce qu'elle avait reproché à sa mère pendant toutes ces années sans même s'en rendre compte.

un. Lina porte absolument toujours du rouge à lèvre, même si c’est des fois des couleurs neutres elle en a toujours et se retrouve d’ailleurs souvent avec une dizaine de rouge à lèvre dans son sac. Elle adore faire des marques de rouge à lèvre sur les joues de son frère d’ailleurs qui lui déteste ça. deux. Lina parle couramment anglais bien sur malgré qu’elle ai appris cette langue à partir de 7 ans, elle parle également arabe avec sa mère qui refuse toujours de parler anglais avec ses enfants. trois. Elle vit en colocation Lina parce qu'elle a beaucoup de mal à se retrouver seule le soir quatre. Depuis presque 10 ans maintenant elle est devenue une grande adepte de la course à pieds et du sport en général. Elle cours presque tous les matins et va à la salle de sport au moins 3 fois par semaine. cinq. Lina c'est une hyperactive, elle a besoin d'être productive, toujours en mouvement. Elle est également très organisée et c'est ça qui lui permets d'allier son boulot, sa vie, perso, le sport. Chaque jour elle se fixe une liste de choses à faire assez impressionnante et se couche rarement avant d'avoir tout terminé, même si cela signifie ne dormir que 2h avant d’enchaîner sur une grosse journée de travail. six. C'est un vrai ventre sur patte, si elle peux passer des heures, des journées presque sans dormir en revanche il lui est impossible de passer plus de trois heures sans manger quelque chose. Même s'il ne s'agit parfois que d'une barre de céréales mais il lui faut à manger. Ainsi dans son sac en plus des 10 rouges à lèvres on retrouve également toujours deux ou trois barres de céréales écrasés ou en morceaux. sept. Lina elle rêve d'avoir un chien, un bouledogue français pour être exacte. C'est d'ailleurs une grande fan d'animaux et de chiens en général. C'est simple lorsqu'elle en croise un dans la rue elle s'arrête presque systématiquement pour le caresser. huit. Elle est légèrement psychorigide sur le rangement Lina. Elle a besoin que tout soit à sa place si bien qu'elle ne se couchera jamais sans avoir rangé tout ce qui peux traîner dans la cuisine ou le salon. Il en va de même pour tout. Les photos sur son téléphone sont toutes rangés dans un album spécifique. neuf. Lina elle est très discrète sur sa vie personnelle et surtout sur ce qui concerne son petit ami actuel si bien que personne n'est au courant qu'il la frappe.



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fréquence de rp : 2 rp / semaine environ ϟ fréquence de connexion : aussi souvent que possible  puppy  ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? en moyenne j'écris au minimum 500 mots, j'ai beaucoup de mal à écrire moins et beaucoup de mal à répondre à quelqu'un qui écrit moins. Enuite je peux écrire facilement jusqu'à 1000 mots si le rp m'inspire  cute  ϟ avatar à réserver : Nina Dobrev ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ceux que j'avais dans mon assiette à midi étaient verts  scratch  ϟ comment avez-vous connu 99 ? par une fille un peu cool qui a rejoins le staff récemment  Tag manger sur I've got 99 problems 3697710961  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'ai tellement hâte de vous faire découvrir Lina et de la jouer  Tag manger sur I've got 99 problems 2881807329  Tag manger sur I've got 99 problems 2881807329  Tag manger sur I've got 99 problems 2881807329
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