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4 résultats trouvés pour peinture

(Sierra) towers of gold are still too little

Invité
12 r ; 452 v.
Jeu 18 Fév - 11:33
sierra ellis
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=3}sierra ellis{/@}
32 ans - voleuse
FEAT : alicia vikander
Sierra, 32 ans, voleuse professionnelle qui travaille occasionnellement dans une librairie pour donner l’impression qu’elle ne tire pas son argent de ses larcins. Fille unique de ses parents - et sans doute plus vivement d’un père faussaire, voleur et gentleman cambrioleur dont elle a suivi les traces avec acharnement - c’est une jeune femme volage, indépendante, caractérielle et égoïste qui n’a qu’une idée en tête, sauver sa peau et s’offrir une vie bien au chaud - et accessoirement, faire la fierté de Papa qui s’est fait la malle en Europe depuis bien longtemps.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Américaine
Orientation : Hétérosexuelle
Situation : Célibataire
Occupation : Voleuse / receleuse d’objets d’art principalement, elle peut faire une exception pour un client bon payeur. Pour confondre le monde, elle est aussi libraire de temps à autre.
Quartier : Queens

and what else ?
Qualités : Intelligente, rusée, cultivée, passionnée
Défauts : déloyale, snob, opportuniste, égoïste, détachée, distante, bavarde.
Passions : {#}peinture{/#} {#}musée{/#} (big lol) {#}cuisine{/#}
Communautés : The Oak Apartments Complex






that's my story / self diagnosis
Une corde enserrée autour de la taille, la jeune femme se trouvait en lévitation à plusieurs centimètres du sol, la tête en bas, les yeux rivés sur un minuscule tableau à plusieurs centaines de milliers de dollars. Un fil de fer dans la main droite, elle contourna le cadre doré et glissa le fil derrière le tableau. Avec un peu de chance, il lui faudrait moins d’une minute pour entendre le tac ! significatif. Une minute et le mince crochet de sécurité installé là par Mr Darcy serait neutralisé. Ensuite, elle n’aurait plus qu’à soulever légèrement le cadre pour le défaire de son crochet au mur, puis à rebasculer sur elle-même pour remonter le long de la corde et se glisser par le velux. Pêchant par excès de confiance - alors même s’il semblait remplir toutes les cases d’un homme psychorigide, radin et précautionneux - le propriétaire de la villa New-Yorkaise laissait régulièrement ouvert le velux de son bureau pour aérer la pièce après sa journée de travail. Sierra avait démasqué cette habitude lors de ses visites de repérage. Pensant sans doute qu’aucun corps ne pouvait passer l’entrebâillement léger de la fenêtre, il laissait ainsi, pendant une dizaine de minutes, en fin de journée, la pièce vide et accessible. Sans doute comptait-il sur le système de détection de mouvement installé au sol. Sierra, suspendue dans les airs, songea un instant à ce qu’il devait planquer d’autre dans cette pièce. Tout ici était ostentatoire, du gros fauteuil en cuir et velours vert au bureau en bois massif. Mr Darcy était sans doute un homme très riche - à en croire son lieu de résidence - aux multiples objets de collection. Si elle avait pu poser les pieds sur le sol, elle en aurait profiter pour se balader un peu dans la pièce - mais désactiver le système de sécurité lui prendrait trop de temps.

Elle était là pour un contrat, et seul le contrat devait compter.

Par chance, son client semblait vouloir marquer le coup. Elle avait pour consigne de récupérer uniquement la peinture - mais de laisser le cadre doré, comme un rappel cuisant de l’absence de l’oeuvre dans la pièce. Certains autres de ses clients lui demandaient de remplacer des originaux par des faux superbement exécutés - et en ce moment, elle était bien en mal de trouver de telles supercheries. Les contacts surs se faisaient rares - surtout depuis qu’elle se faisait un malin plaisir à repousser ceux d’entre eux qui étaient les plus doués.

Toujours suspendue à sa corde, Sierra poussa un soupir de satisfaction en entendant résonner le tac familier. Elle décrocha le tableau, retira la peinture de son cadre - puis replaça le cadre vide dans son emplacement originel. Elle roula l’oeuvre et la glissa dans la poche intérieure de sa veste noire avant de se faire basculer en s’emparant de la corde des deux mains. Elle avait été contrainte, pour parfaire sa technique, de s’entraîner pas mal à l’escalade, car monter à la corde n’était pas donné à tout le monde. Une fois parvenue en haut, elle s’assit un instant sur le toit, le temps de ranger son équipement et de reprendre son souffle.

Quelques instants plus tard, elle marchait dans la rue comme une touriste en vacances. Cheveux détachés, lunettes de soleil sur le nez, veste ouverte sur un caraco en soie, talons foulant le pavé - corde abandonnée dans une poubelle. Elle aimait voler, certes, mais toujours avec style. Il lui fallut à peine quelques secondes de plus pour s’engouffrer dans un taxi et lancer son adresse au chauffeur - à peine une heure plus tard, le quartier de Manhattan avait oublié jusqu’à son passage.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Bohemian Rhapsody / Charlotte
Age: 29 ans (j’ai bien fait de poster ma fiche aujourd’hui like)
Avez-vous des triggers personnels ? Nope
Avatar à réserver : Alicia Vikander
Crédit avatar utilisé dans la fiche: cosmiclight
Souhaitez-vous un mp d'intégration non merci love


Pour ceux qui voudraient des informations / des liens, c’est par ici : https://www.ivegot99problems.com/t5607-reconversions-de-perso cutie je vous attends avec impatience cutie

at the beginning there was nothing more than hope.

Invité
11 r ; 872 v.
Mer 2 Sep - 9:22
dolorès roddle
26 yo - styliste
FEAT : ezra miller
papa ouvrier dans le monde du spectacle et maman danseuse contemporaine. dolorès, il a passé plus de temps dans les coulisses des vieux théâtres new yorkais qu'en classe. il a toujours admiré ce monde, de l'autre côté du miroir. comme s'il existait un univers parallèle lorsque les lumières s'éteignent. c'est très jeune qu'il s'est mis à créer ses premiers vêtements, quand il s'imaginait des personnages fantasques et bizarres dans le théâtre de sa petite chambre. c'est comme ça qu'il s'est construit, l'gamin. ses parents l'ont toujours invité à se livrer, à se dépasser, à créer et à imaginer. ils n'ont jamais douté de leur bambin, fils unique. c'est donc tout naturellement qu'ils se sont saignés pour lui permettre de suivre des études dans un domaine qui lui plaisait et aujourd'hui, dolorès le leur rend bien. diplômé, certifié et apprécié dans ce qu'il fait, il plance actuellement sur sa première collection alors qu'il travaille déjà pour les plus grands stylistes de new york.
who am I
ꕥ âge : 26 ans même s'il ne se considère pas vraiment adulte encore et s'il a de la peine à accepter d'vieillir. il craint l'approche de la trentaine sans pour autant trop en parler.
ꕥ nationalité : américaine, son père et sa mère sont tous les deux nés en amérique également même s'ils se sont installés tard dans la grande pomme. sa mère est californienne et son père est de la basse californie.
ꕥ ethnie/origines : caucasien avec un teint laiteux qui bronze difficilement.
ꕥ orientation : homosexuel depuis longtemps, sans jamais en avoir éprouvé la moindre gêne et la moindre honte. le corps des hommes est source d'art et d'inspiration dans tout ce qu'il entreprend. il s'est d'ailleurs spécialisé dans le stylisme masculin pour embellir ce qu'il considère, sans doute à tort, comme le merveilleux.
ꕥ situation : célibataire, pratiquement hermétique à toute forme de bons sentiments. il ne s'attache pas, il ne sait pas s'attacher. dans un monde qui court, il s'laisse porter et flirte sans jamais réussir à s'accrocher à la même branche plus d'une nuit.
ꕥ occupation : dolorès est spécialisé dans la couture et le stylisme. il a d'ailleurs suivi des études dans ce domaine et obtenu maintes certifications. en parallèle, toujours dans la mode, il a accepté quelques emplois de mannequin pour apprendre les rouages des shootings photos et s'essaie assez régulièrement à l'art de la peinture. dolorès est un éternel curieux et touche-à-tout.
ꕥ quartier : vit dans le Bronx, Miranda Heights, en colocation avec Roman et ses trois chats depuis plusieurs mois.
ꕥ qualités : curieux, épicurien, artiste, bohème, léger, drôle et généreux.
ꕥ défauts : panier percé, solitaire parfois, hypersensible, fêtard et sans doute un peu trop léger par moment.
ꕥ passions : {#}peinture{/#}, {#}mode{/#}, {#}cigarettes{/#}, {#}tatouage{/#}, {#}cinéma{/#}, {#}jazz{/#}, {#}théâtre{/#}
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ communautés : LGBT CENTER
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ mp d'intégration : oui, volontiers.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : habite en france depuis à peine un an et demi, marié depuis deux ans déjà à l'homme de ma vie, danseur semi-professionnel (enseignant btw) et travaillant dans l'immobilier, les forums font partie d'ma vie depuis mes seize ans (ce qui remonte à quatorze ans en arrière - aouch' - ) écrire est une vraie passion, d'ailleurs, puisque j'ai déjà auto-publié trois romans (une trilogie) dont le dernier tome vient de paraître. je suis un mec (je précise, sait-on jamais) gentil, drôle et ouvert. j'aime écrire au feeling et ne jamais me mettre la pression. l'inspiration vient comme elle vient, généralement et j'aime c'frisson qui m'traverse quand j'lis de beaux rps et que j'rencontre de belles plumes.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : n'essuie pas de larmes sans gants
ꕥ un film : souviens-toi l'été dernier
ꕥ une série : buffy contre les vampires
ꕥ une chanson : secret love song (little mix)
ꕥ un animal : un félin
ꕥ un plat/dessert : le tiramisù
ꕥ une boisson : le café
ꕥ une célébrité : sarah michelle gellar
ꕥ un pouvoir magique : arrêter le temps

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : pas grand chose, mais j'écris rarement les scènes de sexe (ça m'fait rougir derrière mon écran et j'me sens coupable  Tag peinture sur I've got 99 problems 2253815916 )


that's my story / self diagnosis
il déambule, le gamin.
il fabule aussi.
il regarde la scène avec des yeux aussi gros qu'une soucoupe.
ça y est, il rêve l'bambin.
(ne reste pas planté là dolorès, tu déranges ta mère.) qu'il entend son père gronder. alors il secoue la tête, l'enfant. haut comme trois pommes, peut-être, mais pas stupide pour autant. sa mère, il adore la contempler, l'admirer, l'observer. les courbes gracieuses de ses hanches qui vibrent au rythme de la musique, les mouvements dociles et sensuels de ses mains qui tranchent l'air.
il adore la détailler, c'est vrai.
(dolorès.) gronde encore son père.
il secoue la tête, il grimace et, à contre-coeur, il tourne les talons pour rejoindre son paternel en coulisses.
(..)
il rentre à la maison ce soir-là le ventre noué. dolorès, il n'a pas l'habitude de la violence et n'aime pas s'y confronter. mais à l'école, ses camarades réfléchissent pas tous d'la même manière.
l'école du quartier, celle de la rue.
il n'a pas le privilège des grands, dolorès. il n'étudie pas avec l'élite, c'est comme ça. peut-être que c'est mal fait, peut-être que c'est normal. son esprit travaille trop vite, a dit la maîtresse une fois. depuis, ses camarades de classe l'appelle binoclard ou tête d'ampoule.
parfois, c'est juste des mots.
dolorès, il peut supporter. du haut de ses dix ans, il sait déjà que la bêtise est un poison. il sait aussi qu'un jour, ils s'en voudront d'pas avoir su apprécier la chance qu'ils avaient de connaître un enfant surdoué.
dolorès, il s'en fiche des mots, c'est les maux qui l'blessent.
quand ses camarades le bousculent dans les escaliers parce que ça fait rire tout le monde d'voir une ampoule à l'envers. ou quand ils le frappent un peu plus fort sur l'épaule histoire de crever un ou deux neurones.
c'est dans ces moments-là qu'il sent son ventre se tordre.
qu'il a envie d'chialer.
mais quand il pousse la porte de l'appartement, jamais.. ô grand jamais elles roulent, les larmes. non, dolorès se retient. il est plus fort que ça, plus grand même.
alors quand sa mère remarque de temps en temps une éraflure, elle joue au jeu du silence. c'est comme ça qu'il fonctionne, dolorès. elle se glisse contre lui, elle lui frotte les cheveux, l'enlace un court instant et lui lance un regard entendu qui veut tout dire.
pas d'mots pour calmer les maux.
juste un bisou sur l'front et dolorès, il va déjà mieux.
(..)
mais à l'école, c'est pas l'pire.
c'est pas l'plus inconfortable non plus.
dolorès, il l'a remarqué, l'gamin plus intelligent que lui. celui qui lève toujours la main. celui qui s'fait féliciter par la maîtresse et qui s'fait parfois insulter par les autres.
dolorès, il entend.
et ça lui fait du mal, ça aussi.
pour son esprit plus développé que la moyenne, c'est une torture de voir les uns souffrir au détriment des autres. alors un beau jour, quand il voit c'gamin faire attraper par ces mêmes détracteurs, dolorès, il saute dans la mêlée. il en mène pas large.
il sait pas s'battre, il saura jamais.
il prend un coup, puis un deuxième. finalement, tous les deux, ils tombent à terre. tarlouzes qu'il entend cracher l'un des mecs alors qu'il fait d'son mieux pour se relever.
à roman, il tend une main. (c'est toujours mieux d'tomber à deux, non ?) qu'il s'entend même lui dire en rigolant légèrement.
roman, il sourit.
et dolorès il a su tout d'suite qu'ils seraient amis.
ça n'a pas manqué.
ça n'a pas changé.
(..)
des années plus tard, l'monde a changé.
pour roman comme pour dolorès.
avec le temps, on s'rend compte que les maux s'oublient, parfois.
dolorès, il l'a compris quand il a commencé ses études en stylisme. (c'est une très belle vocation mon chéri.) que lui avait glissé sa mère quand, à l'âge de quatorze ans, il avait expliqué à ses parents qu'il comptait se spécialiser dans l'monde du spectacle et, plus précisément, dans celui des costumes.
c'est en intégrant cette école, des années plus tard, qu'il a constaté que les choses pouvaient changer.
même pour lui,
même pour eux.
dans son école, rapidement, dolorès est adopté, apprécié. son talent fructifie au fil des cours, des années. ses professeurs le trouvent remarquables et très rapidement, dolorès réalise qu'il existe une place pour tout l'monde, loin du tumulte d'une enfance en demi-teinte.
à l'université, il grandi, l'gamin.
il d'vient un homme. il pousse.
il essaie,
il expérimente,
il tente,
il teste,
il goûte,
il touche.
et puis, il se trouve, se construit, petit-à-petit. jusqu'à débarquer un jour chez ses parents et leur dire (désormais, je m'appelle dodo.) (dodo ?) à sa mère de lui demander, l'air circonspect. (c'est plus court que dolorès et bien plus branché. dans le milieu de la mode, ça sera plus respecté, comme coco ou guess. tu verras maman, bientôt, ce sobriquet sera sur toutes les lèvres.) (tu laisses tomber le spectacle alors ? tu ne veux plus devenir costumier ?)
non, il ne voulait plus.
à l'université, dolorès avait changé, lui aussi. troquant ses habits un peu trop grand et son air hagard pour devenir un adulte branché, aux cheveux colorés et à l'air songeur. abandonnant dolorès l'exclus pour devenir dodo l'styliste.
(je rêve de créer une collection d'fringues.) qu'il avait répondu à son père, sans hésiter une seule seconde. à peine la vingtaine mais déjà le coeur bourré d'ambitions.
(..)
dodo devient charmeur, dodo devient dragueur, dodo devient indépendant. très vite, il s'installe seul et se découvre une passion pour cette solitude.
très vite, il s'isole tout en sortant beaucoup.
dodo, il a plein d'amis, il a un carnet d'adresse bien rempli et il ne reste jamais seul bien longtemps quand il arrive à une soirée. parce que dodo sait parler aux gens, sait leur dire exactement ce qu'ils rêvent d'entendre et sait se faire désirer. dodo, il manie les mots, l'esprit et l'art sous toutes ses formes. il est intéressant mais jamais pédant, ni hautain.
dodo, il est ouvert, il est gentil, agréable et généreux.
il dépense son argent facilement, il offre, il donne, il s'octroie parfois même de petits plaisirs. il fréquente très vite - peut-être trop vite - les boîtes branchées, les boutiques branchées de new york et se découvre une passion dévorante pour le luxe et sa décadence.
à la carrie bradshaw, il veut appartenir à l'élite et s'en donne les moyens.
mais dodo n'oublie jamais dolorès.
l'gamin un peu paumé qu'il retrouve chaque fois qu'il rentre chez lui, celui qui s'enferme des heures dans son atelier et qui peint, qui coud, qui dessine et qui rêve. c'gamin un peu maladroit qui n'parle pas trop, qui joue au jeu du silence tout seul désormais et qui appelle régulièrement ses parents. c'gamin pataud qui pleure d'vant un film trop mièvre et qui réclame parfois un peu d'tendresse.
dolorès, ils sont peut à l'connaître.
il y a roman,
ses parents,
axel aussi.
pas grand monde visiblement. puisque dodo prend d'la place, dodo s'exprime mieux et dodo n'manque jamais d'confiance en lui.
les années passent et l'styliste devient reconnu, apprécié. on lui offre des opportunités, on lui propose même de défilé. il devient mannequin, parfois. passe de l'autre côté de l'objectif ensuite, soigne ses tenues et bichonne ses modèles. dodo, c'est un peu comme un fourre-tout.
il touche à tout, piqué à vif par la curiosité dès que quelque chose lui échappe.
dodo, ça d'vient très vite l'incontournable.
(..)
(..la leucémie.)
on a tous peur de la mort, tous peur de ce qu'il nous attend une fois qu'on aura rendu notre dernier souffle. pire encore, on a tous peur de mourir trop jeune, trop vite, trop tôt.
il y a tant d'choses à vivre.
dodo l'sait depuis toujours. c'est bien pour ça que lorsque son meilleur ami, roman, lui annonce sa maladie, il sent l'onde de choc le transpercer et l'faire vaciller.
il pleure pas, dodo.
il reste fort.
il n'a pas l'choix.
alors il inspire une première fois et puis, il dit (rien n't'empêche d'être beau même sur un fauteuil roulant, tu l'sais ça ?) parce qu'être caustique, ça permet d'dédramatiser la situation. un bon fou-rire et puis, ils peuvent redevenir comme avant.
jamais j'le traiterai différemment, il s'le promet dodo. parce qu'il sait pertinemment qu'être compatissant, ça n'arrange rien.
alors quand roman lui annonce qu'en plus de la maladie, l'mec avec qui il vivait d'puis des années (que dolorès lui avait présenté de surcroît) l'a largué comme on jette un kleenex à la poubelle, dodo n'hésite pas une seule seconde.
(tu vas v'nir vivre ici.) (mais.. mes chats, mes affaires ?) (ça f'ra pas d'mal à c'taudis d'voir des poils traîner un peu partout qui n'appartiennent pas aux coups qu'je ramène ici.) un clin d'oeil et l'marché est passé, scellé. enfin, à un détail près (par contre, tu peux m'ramener autant d'mecs que tu veux ici mais promets-moi d'toujours fermer la porte de ta piaule.)
c'est acté,
c'est vendu, c'est comme ça.
d'puis l'école, d'puis cette première main tendue.
ça, ça n'a pas changé.


excentrique, bourré d'talent, créatif,
généreux, docile, bruyant,
coloré, impulsif, dominant,
indépendant, franc et loyal, grande gueule,
fume comme un pompier, écoute du jazz,
mange mal, dort beaucoup, manque de confiance,
parfois maladroit, sensible, hésitant,
entier & passioné





this session is gonna be different
fancy ꕥ 30 ans
fréquence de rp : de manière générale, en semaine, au job. il se peut que mon rythme diffère d'ici peu parce que je change d'emploi mais normalement, c'est assez régulier. ϟ fréquence de connexion : idem que pour ma fréquence de rp, à la différence prêt que j'aime stalker depuis mon téléphone quand je le peux. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? au plus bas, j'écris a minima 300 mots par rp. je m'impose ce minimum pour donner de la matière à mon partenaire. en fonction des rps, de l'inspiration, je peux monter jusqu'à 2000 mots sans problème (et au-delà). je favorise les rps courts pour permettre aux personnages une évolution plus rapide, néanmoins, rps longs ne signifient pas forcément plus lent si l'inspiration nous porte tous les deux. ϟ avatar à réserver : ezra miller. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : dans ma boîte, il y en a un de chaque couleur de l'arc-en-ciel (j'crois que c'est mon mari qui veut m'faire plaisir en vrai). ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur prd. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? forum de qualité, tant au niveau de l'esthétisme que du fond. le contexte, les annexes et tout ce qui est mis en place pour offrir un espace de jeu safe et agréable. j'aime beaucoup, jusque-là.
tumblr (gif) solsken (avatar)

ꕥ oh my darling

Invité
25 r ; 868 v.
Dim 23 Aoû - 12:34
Clementine Long
24 ans  - artiste/barista
FEAT : Fernanda Ly Une petite tempête de folie, une bonne humeur constante, la joie de vivre malgré les emmerdes. Le crédo de Clem, c'est : le ridicule ne tue pas. Elle se lance toujours et n'a peur de rien ou presque, elle n'hésite pas à se mettre en avant, à attirer l'attention sur elle et ne le regrette jamais, surtout si elle peut faire sourire ou même rire, et c'est vraiment pas grave si elle se tape la honte : à priori, on en meurt pas ! Elle rêve d'une carrière d'artiste célèbre, aimerait que sa peinture soit reconnue et appréciée, mais ça a un peu de mal à démarrer cette affaire... Alors, elle fait barista en attendant, et même si ce n'est pas ce qu'elle souhaite faire toute sa vie, elle vient au taf avec le travail et n'hésite pas à ajouter quelques rayons de soleil dans ses cafés ! C'est une métaphore, cherchez pas un truc dans vos tasses les gars !
who am I
ꕥ âge : 24 ans à faire des étincelles. Épuisante, mais inépuisable
ꕥ nationalité : Américaine, née à San Diego en Californie
ꕥ ethnie/origines : Elle est d’origine Chinoise
ꕥ orientation : Bisexuelle
ꕥ situation : Célibataire, se contente de petites aventures par-ci par-là pour un peu de chaleur humaine. C'est plus facile de faire croire qu'on a pas de sentiments
ꕥ occupation : Artiste peintre, la tête pleine d’idées mais les poches vides. Des toiles abstraites, des émotions en image, des projets de galeries, de tournées dans le monde entier… Ça rapporte que dalle, elle fait barista pour ne pas mourir de faim
ꕥ quartier : Brooklyn
ꕥ qualités : Enthousiaste, Créative, Comique
ꕥ défauts : Rêveuse, Sans-gêne, Désordonnée
ꕥ passions : {#}peinture{/#}, {#}théâtre{/#}, {#}memes{/#} ꕥ groupe : Just Small Daddy Issues
ꕥ communautés : # Cours de théâtre du mardi soir, # The Lost Planet
ꕥ pré-lien : PL de {@=249}Candace Jordan{/@}
ꕥ parrain : Non merci Tag peinture sur I've got 99 problems 507729297

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Bon ben salut, moi c’est TheHazalgar (Ou Hazalgar tout seul si vous voulez), tout juste 30 ans. Dans la vie, je suis un geek, j’essaye d’écrire un roman, mais ça avance pas. Je travaille dans l’animation avec les enfants, j’ai passé un BPJEPS récemment et j’ai peut-être un job sympa qui m’attend à la rentrée, affaire à suivre.
J’étais déjà là aux débuts du forum, je suis pas resté longtemps avec mon premier perso dont j’ai oublié le nom, j’ai vite changé pour Edward Murray… (avec Caleb Landry Jones) et je suis parti sur un coup de tête. Évidemment avec le recul, je vois que c’est une erreur. J’ai beaucoup change mon attitude sur les forums RPG, j’ai pas mal bossé sur moi-même en fait, de manière à m’améliorer etc. Bref, malgré tout ça, j’ai toujours gardé 99 dans un coin de ma tête (ou de mon navigateur) et je veux retenter ma chance. J’espère que ceux qui étaient là lors de mon départ sauront me pardonner et me donner une autre chance !

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Nadja d’André Breton
ꕥ un film : 28 days later
ꕥ une série : Rick & Morty
ꕥ une chanson : Meg Myers - Numb
ꕥ un animal : Un ours (carrément mon animal totem)
ꕥ un plat/dessert : Cassoulet
ꕥ une boisson : De l’eau fraiche
ꕥ une célébrité : Jamy Gourmaud, the best
ꕥ un pouvoir magique : Téléportation !

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Aucun trigger à signaler



It's a "Long" story. Haha, get it ?
C’est l’unique fille d’un couple d’immigrés chinois. Enfant, elle avait déjà ce petit grain de folie qui ne la quittera jamais. C’était déjà le clown de sa classe, incapable de revenir de l’école avec des habits propres, mais toujours avec le sourire. Bref, elle n’a pas eu une enfance bien difficile et a grandi au sein d’une famille aimante.

Seulement voilà, si elle faisait rire ses petits camarades, ce n’était pas du tout le cas de ses professeurs qu’elle avait plutôt tendance à exaspérer. Clem n’était pas spécialement heureuse à l’école, mis à part pendant les cours d’art plastique, cela va de soi. Cette période pénible fut ponctuée d’épisodes heureux qui atténuèrent son supplice : la découverte du théâtre, l’apprentissage du piano puis du synthé, etc. Elle intégra un conservatoire qu’elle quittera dans l’année, trop irritée par les règles et conventions oppressantes de l’apprentissage de la musique.

À ses dix-huit ans, elle rejoignit un collectif d’artistes amateurs et vécut en collocation avec eux une courte année avant qu’ils décident tous de vivre sur les routes. Reproduction quasi parfaite d’un mode de vie hippie, le petit groupe traversa les États-Unis en long et en large dans la joie et la bonne humeur (et dans des camping-cars). Éventuellement, les histoires d’amour et les disputes ont progressivement dissous le petit groupe et chacun emprunta un nouveau chemin. Clementine resta avec un des garçons pendant un certain temps : pas tout à fait amis, pas tout à fait amants, ils s’installèrent sur la côte est pour ouvrir un musée amateur à ciel ouvert. Le projet échoua en même temps que leur relation indescriptible au bout de quelques mois seulement.

Entre temps, Clem a décidé qu’elle vivrait de sa peinture. Si à l’aube de ses vingt-deux ans, elle peignait quatre à cinq peintures par semaine, elle n’en vendait aucune. À contrecœur, elle se mit à chercher des petits boulots et en enchaina plusieurs avant de trouver son compte dans les cafés de la Grosse Pomme. Son sourire radieux et son énergie débordante excusaient ses erreurs de débutantes. Et maintenant que ça fait trois ans qu’elle fait ça, elle s’en sort un peu mieux. En revanche, elle peint moins régulièrement.

Clem, c’est le genre de nana qui ne se prend pas la tête, celle qui aborde les inconnus sans aucune gêne, discute volontiers avec les sans-abris pendant des heures, qui parle quand elle rit et qui chante quand elle parle. Le monde dans lequel elle vit n’est pas tout rose, elle en a conscience, mais cela ne semble pas l’atteindre. Tout est prétexte à faire la fête, à dépasser ses limites et peut-être même jouer avec l’interdit. Quand on est artiste maudit, on se sent invincible.

Elle parle chinois et anglais couramment… Mais sur internet, elle s’exprime en memes. C’est la fille qui vous noie de memes sans se restreindre. Elle n’a honte de rien, peur de rien, pas même de déranger, si bien que parfois ça peut agacer. Clem vit sa vie à 2000 à l’heure et n’a pas le temps de s’occuper de problèmes, de régler des conflits ou quoi : elle préféra prendre la fuite ou faire la sourde oreille.

À peine elle se réveille qu’elle a 100000 idées dans la tête. Peu survivent et les plus chanceuses meurent au stade de l’ébauche. L’avantage avec ça, c’est qu’elle ne s’ennuie jamais, même toute seule. Y s’passe toujours un truc. L’inconvénient avec ça, c’est qu’elle est pas mal tête en l’air et bordélique, qu’il reste plus de place dans sa cervelle pour les banalités du quotidien : un rendez-vous oublié, une date d’anniversaire inventée, un objet mystérieux disparu… OH WAIT IL ÉTAIT DANS MA POCHE DEPUIS LE DÉBUT.

Enfin voilà, Clem c’est un peu un ovni, mais elle assume. Clairement, rien ne la ferait plus chier que d’être normale… Vous avez vu la couleur de ses cheveux ? En vrac, si jamais vous vous êtes perdus en route : elle joue du synthé, elle peint, elle aime le rose. Elle écoute des musiques bizarres d’internet, parce que ce qui passe à la radio n’est franchement pas terrible. Son parfum de glace préféré, c’est lavande et son jeu vidéo préféré c’est les Sims (le 2, évidemment). Enfin, si elle est toujours partante pour faire la fête, c’est toujours sans alcool et sans drogue. Ça vous étonne ? Voyez comment elle est à l’état normal ? Vous imaginez la catastrophe si elle venait à être dans un état altéré ? Donc voilà, pas besoin de substances, de base elle est déjà foncedée. En quelque sorte.


this session is gonna be different
TheHazalgar ꕥ 30 ans
fréquence de rp : Au moins une fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : Probablement tous les jours ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Variable, ça va de 200 à 600 mot en moyenne. ϟ avatar à réserver : Fernanda Ly. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Rouges :) . ϟ comment avez-vous connu 99 ? Je crois que c’était via bazzart (rip). ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Levier de Vitesse (pardon, ça fait trois mots)
internet? (gif) Kelly. (avatar)

Paz + War can make a person forget who he really is

Invité
14 r ; 529 v.
Jeu 7 Mai - 22:06
Paz Mendoza
32 ans - faussaire
FEAT : Lindsey Morgan Paz est orpheline depuis ses cinq ans. Baladée de foyer en foyer, elle n'a jamais eu de vraie famille. À sa majorité et pour ne pas se retrouver à la rue, elle décide de s'engager à l'armée. Elle passe trois ans en Syrie jusqu'à ce qu'une milice ennemie attaque son camps. Quatre de ses camarades sont morts et sa jambe est extrêmement endommagée. Rapatriée en urgence aux États-Unis, elle tente de reprendre une vie normale mais ses nuits sont rythmées par les même cauchemars et elle est addict à la Vicodin. Sans diplôme, sans argent, il ne lui reste que sa peinture. Elle décide de mettre son talent à profit. Grâce à Robert (Kalya), elle devient faussaire.
who am I
ꕥ âge : 32 années d'errance sur terre.
ꕥ orientation sexuelle : héterosexuelle jusqu'à preuve du contraire.
ꕥ situation : Célibataire parce que toute seule c'est plus facile et qu'elle n'aime rendre de compte à personne
ꕥ occupation : Ex-Soldate médaillé par l'U.S. Army, officiellement elle ne travaille plus à cause de sa jambe, officieusement disciple de {@=508}Katya McMuffin{/@}. Elle est faussaire et s'attaque plus précisément au mouvement pop (Niki de Saint Phalle, Roy Lichtenstein ou encore Andy Warhol n'ont plus de secret pour elle)
ꕥ quartier : Miranda heights, Lafayette avenue, Soundview
ꕥ qualités : Sincère, Minutieuse, Déterminée, Spontanée, Pure
ꕥ défauts : Grincheuse, Blessante, Grossière, Antisocial, Égocentrique
ꕥ passions : {#}peinture{/#} {#}metal{/#} {#}Boxe{/#}
ꕥ groupe : groupe
ꕥ communautés : {#}the{/#} Overkill
ꕥ groupe : IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ꕥ parrain : non  keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Par ici les amis cutie

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : Demain est un autre jour - Lori Nelson Spielman
ꕥ un film : Elle s'appelle Ruby
ꕥ une série : Elite
ꕥ une chanson : Intentions - J.Bieber Embarassed
ꕥ un animal : Koala
ꕥ un plat/dessert : Tiramisu
ꕥ une boisson : Mojito
ꕥ une célébrité : Blanca Suarez
ꕥ un pouvoir magique : Aucun... Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités... pas pour moi! Je veux vivre ma vie d'humaine tranquillement.  scratch

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : Pas spécialement (tant qu'on évite le trop trash).  Tag peinture sur I've got 99 problems 2153884322

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Cette douleur à la jambe qui continue à persister et l’empêche de marcher correctement. À chaque fois qu’elle pense que ça va mieux, la douleur revint. Ça la pince au point qu’elle ne peut ni avancer ni reculer. Des éclats d’obus se sont logés dans sa jambe lorsqu’elle était à Kobané, en Syrie. Un quotidien rythmé par les bombardements et offensives ennemies. Les souvenirs de cet instant sont flous comme si son esprit avait choisi de la protéger contre ce qui s’est passé réellement. Elle sait juste qu’à son réveil, elle n’était plus là-bas. Quatre autres soldats sont morts et deux autres extrêmement blessés. Elle n’est pas la plus à plaindre et elle n’a jamais cherché à ce qu’on la prenne en pitié. Des mois de rééducation et un mental d’acier lui ont permis de s’en sortir. Pourtant la douleur est toujours là, elle l’handicape et l’empêche de mener sa vie comme elle l’entend. Heureusement, elle peut compter sur ces petites pilules blanches pour calmer ses crampes mais ça ne dure jamais trop longtemps.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Un aveu qu’elle ne fera jamais. Paz n’est pas du genre à reconnaître qu’elle a un problème. Pourtant sa consommation de Vicodin dépasse très largement les prescriptions de son médecin. Elle a d’ailleurs changé le premier parce qu’il refusait d’augmenter sa dose. Il s’agit d’un analgésique puissant qu’elle prenait d’abord pour sa jambe mais qui lui permet aujourd’hui de pouvoir s’évader un peu. Sa mère était accro au crack, elle est morte d’une overdose lorsque Paz n’avait que cinq ans. Si la jeune femme refuse de se laisser diagnostiquer et laisse entendre qu’elle a continué à avoir le contrôle, il n’en est rien en réalité. Depuis peu, elle a des hallucinations qu’elle n’arrive pas à maîtriser.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Si on peut parler de relation… peut être qu’il l’aimait plus qu’elle n’était capable de l’aimer. À moins qu’en fait qu’elle ait été trop fière pour lui dire qu’elle l’aimait en retour. Il en a eu assez d’attendre, alors il est parti. Paz s’est mis en tête qu’elle était incapable de s’impliquer dans une vraie relation. Elle consomme le temps d’une nuit ou deux, puis disparaît. Elle n’a pas la passion, elle préfère quand c’est sans attache, juste le temps d’assouvir ses pulsions charnelles et elle retrouve son quotidien de loup solitaire. Elle laisse l’amour aux autres, ça ne l’emballe pas et elle n’a jamais compris tout cet engouement autour. Pourtant, il y en a bien eu un qui l’a fait vibré par le passé. Elle est irrité à chaque fois qu’elle entend son nom parce que malgré les années, il est toujours présent dans un coin de sa tête. Elle est tombée amoureuse pendant sa mission en Syrie d’un médecin. Il n’y a jamais rien eu d’officiel, ni de concret entre eux. Seulement des échanges de sourire et des promesses envolées. Andy. Il n’y a qu’à voir combien son visage se décompose lorsqu’elle se met à en parler. Il lui a brisé le cœur lorsqu’elle a découvert qu’une femme et un fils l’attendait. Elle s’est sentie trahie mais elle n’a jamais eu le courage de demander d’explication. Parfois, elle se dit que tout s’est passé dans son esprit et qu’elle a peut être mal interprété ses gestes. Et puis, elle se souvient… Aujourd’hui, elle préfère rester seule.

Le dernier texto que tu as envoyé ?Elle n'utilise pas beaucoup son téléphone pour envoyer des messages. La plupart du temps, elle préfére appeler directement, c'est plus rapide et la réponse est instantanée. Mais à regarder dans sa petite boite rectangulaire, son dernier SMS remonte à trois jours à l'attention de {@=508}Katya McMuffin{/@} :

Tu vas probablement croire que je suis folle mais Lichtenstein était dans mon salon. On a longtemps discuté sur « Still Life with Goldfish ». Il m’a avoué adorer mon travail. Il voudrait qu’on collabore ensemble sur un prochain tableau qu’il n’a jamais eu le temps de peindre. Je te jure Rob, il était là, avec moi, il m’a même pris la main !

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Elle pourrait en parler pendant des heures mais la vérité est loin d’être glorieuse. Paz n’a jamais connue son père et sa mère est morte d’une overdose alors qu’elle n’avait que cinq ans. Elle ne se rappelle pas très bien d’elle. Quelques bribes de souvenirs erronées par une imagination débordante. Elle n’a gardé d’elle qu’une petite photo glissée dans un médaillon. Elle n’arrive même plus à se rappeler du genre de mère qu’elle était réellement. Paz a appris à grandir sans parent. Avant de rencontrer Rob, elle ne savait même pas ce que c’était d’avoir une famille. Iel a été là pour elle lorsque son monde a arrêté de tourner. Bien que complètement fêlé, iel est ce qui se rapproche le plus d’une famille et d’un parent. Elle donnerait tout ce qu’elle a pour cet étrange énergumène.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Grande amatrice de heavy metal. Elle est tombée dedans par hasard et autant dire que ce qui s’est passé dans son esprit dépasse l’entendement. Elle ne sait pas expliquer vraiment ce qu’elle apprécie dans ce genre de musique et aussi paradoxale que ça en a l’air, ça l’apaise. Après son premier concert Mayhem, elle a fini totalement bourrée avec un tatouage peu glorieux sur la fesse. Habituée du Overkill, elle y passe beaucoup de ses soirées. Elle pratique également la boxe. Taper sur un sac lui permet de s’évader un peu. À cause de sa jambe, elle n’est plus aussi sportive qu’elle ne le voudrait.  Elle se fatigue très rapidement et elle a souvent peur de se faire mal. D’ailleurs, elle a eu du mal à convaincre le gérant de sa salle de la prendre. Elle a découvert El Halito par hasard et c'est un vrai refuge pour elle lorsqu'elle n'est pas chez elle à se gaver de cochonneries en regardant la télévision. C'est un endroit qu'elle aurait aimé fréquenter plus jeune et où elle vient apporter volontairement son aide. La plupart de ces jeunes qui y sont lui rappelle ce qu'elle était quelques années en arrière. Elle n'est certes pas la mieux placer pour donner des conseils mais le fait qu'ils ne se sentent pas seuls lui paraît important. C'est aussi pour elle-même qu'elle le fait, ça lui permet de se donner bonne conscience et de guérir quelques blessures du passé.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?Les vices se multiplient et la jolie Paz creusent doucement sa tombe. Connue pour ses principes, il semblerait que ces temps-ci elle en ait mis plusieurs de côté. D’abord la drogue, elle avait promis de ne jamais y toucher. Fille d’une ancienne toxico, elle était persuadée d’être plus forte que sa génitrice mais elle se retrouve esclave de sa propre pilule. Un cercle vicieux dans lequel elle est tombé puisqu’elle s’est retrouvée à faire de l’illégal pour pouvoir multiplier sa dose. Bizarrement, elle prend plaisir à exercer son nouveau métier. Ses motivations premières étaient l’argent, aujourd’hui elle est comme un poisson dans l’eau dans le milieu des faussaires. Robert est son mentor.

this session is gonna be different
madame-al/a. ꕥ 28 ans
fréquence de rp : environ 1 rp/semaine. ϟ fréquence de connexion : Chaque jour. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Pas de préférence. Le but est de s'amuser, le reste on s'en fiche un peu. ϟ avatar à réserver : écrire ici. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : pois? ϟ comment avez-vous connu 99 ? Il me tapait dans l'oeil depuis un long moment. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Une image vaut mille mots :   uuh .
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