i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...



Chérubin inattendue, petit miracle. Elle était un trésor que l’on découvre, qui arrive sans vous prévenir, et qui bouleverse votre vie. Tardivement, après sept mois et demi de déni de grossesse, elle vient au monde, petite merveille, petite Gaïa, si fragile et si belle. Elle bouleverse, transcende la vie de ses parents. Angélique petit poupon fripé qui viens au monde au beau milieux du penthouse familiale, c’était étrange et pourtant si touchant de voir toutes les femmes de la famille autour d’une seule d’entre elle, de voir l’entraide dont elles pouvaient toute faire preuve. Mais Gaïa elle est fragile, c’est un miracle aux portes de la mort. Une étoile qui s’éteint aussitôt née. Paradoxalement c’est l’émotion et la mélancolie à la fois qui gagne le cœur de cette nouvelle mère qui pourtant ne pouvait pas le devenir selon les avis médicaux. L’astre chérubique est rapidement transféré dans un hôpital spécialisé. Il n’y avait pas de songes plus douloureux que les nuits qui suivirent cette naissance inattendue. Le petit trésor survivrait-elle ou cette belle fleure rare fanerait-elle ?

Et, bien que l’attente fus longue, les yeux de la jeune mère ne quittaient pas c’eux de son enfant, sous cette cage de protection, pouponnière qui sauve la vie de la frêle fleure sauvage. Mais les miracles de Noël ne sont-ils pas de ceux qui sont éternel ? Les pas lourds d’un médecin qui franchis les couloirs blancs, blouse immaculée. Nouvelle salvatrice, petit bouton de rose peu sortir de l’institut. Après un mois entre les mur protecteur, l’enfant découvre le monde, et dans ses petite orbes sombre se reflète la vie, petit nourrisson si souriante, Gaïa est un bébé qui vous donne envie de la dévorer. Petit être si fragile, et tant aimé. Qu’ils sont doux les câlins de mère et père, qu’elle est aimante cette famille unis depuis toujours, sous les traits d’un père coréen fier que sa fille porte ses traits et d’une jeune mère américaine si douce, cette belle femme brune au yeux si claire, qu’ils sont beaux les yeux de mère, elle qui porte sur son enfant le plus beau des regards.



C’est festif les marchés de Noël, les senteurs qui s’en dégage, et les couleurs merveilleuses, c’était tout ce qu’elle aimé cette maman ravis, cette mère qui n’aurait jamais dû en être une. Il y avait de la magie en cette période très précise, très prochainement elle aurait 5 ans, cette petite fille aux cheveux de jais, au orbes sombre. Petite douceur qui avait tant marché pour son jeune âge, ce petit être tant aimé et si joyeuse, cet enfant qui court de partout avant de rejoindre la poussette pour y trouver un repos bien mérité. Poussé par son oncle, un homme qui c’état juré de ne pas avoir d’enfant, mais qui donnerait sa vie pour sa nièce. Mais peut-on réellement croire que les miracles sont éternels ? Que la magie durera toute la vie ? Peut-on être naïf et égoïstement désirer que son bonheur ne soit jamais entaché ? Que pouvait-il bien faire cet enfant sur la route seul ? C’était primitif, instinctif, l’amour d’une mère, le désir de protéger même un enfant qui n’était pas le sien, et sous les opales de jais, l’être tant aimé se jette sur la route pour pousser le petit garçon. Cruel destiné, ô toi qui lui avait tant donné, pourquoi tout reprendre si cruellement ? Un père qui hurle, et la scène est effroyable, la jeune femme pour sauver un enfant avait fait don de sa vie, on ne pouvait pas trouver geste plus héroïque que celui-ci. L’enfant dans la poussette que l’on croyait endormie, avait été témoin de cette œuvre diabolique, de ce moment ou on lui arraché sa mère. N mari au bord du gouffre. Et tonton bien naïvement crois que l’enfant n’as rien vus, elle qui sous le choc à perdu connaissance, il s’en est aller, retourner dans le foyer maudit.

Parle petite ange, prononce au moins un son ? L’être chérubique c’était murait dans un silence dévastateur. La maladie, la santé bien trop fragile, et la revoilà à l’hôpital, cloué dans un lit qui n’est pas le sien, loin de son foyer aimant, loin des opales de sa mère et de son père qui s’en était rendue au cimetière pour l’enterrement de sa femme tant aimé. L’homme qui sous les traits déformés par la colère s’en prend à ce petit être présent, à celui que sa femme à sauvé au péril de sa propre vie. Si la famille de sa femme tolère sa présence, lui et son frère ne la désire pas, puisque tout était entièrement sa faute, et de celle de ses parents qui ne furent pas capable de surveiller leur fils. Un homme détruit, dont l’enfant si malade se mur dans un silence des plus totale, et le voilà au plus bas de son être, sans vouloir vivre une minute de plus, ne laissant pour seule preuves d’amour une lettre. Le suicide, c’était une orpheline qui restait derrière ce massacre familial. Prise sous l’aile d’un homme qui avait juré de la protéger et l’aimer comme sa propre enfant. Petite être qui n’as que 5 ans et demi quand elle le rencontre au détour de la rue. Son oncle et son ami discute, et la petite enfant elle, pose ses orbes sur le jeune garçon, pour la première fois depuis la mort de sa mère, Gaïa, prononce un son, sous l’étonnement de son oncle qui plus tard expliquera la situation à son ami.




Serpentine, mais ô combien douce enfant, elle qui a grandi, puisqu’ils grandissent tous, elle avait troqué ces bons résultats scolaires pour la rue, pour les battles de dance à la sauvage, pour les courbes féminines si douce, pourtant les hommes aussi était de la partie. Cette fenêtre de chambre qui donnait sur c’elle de la chambre du voisin, il n’était plus là le jeune voisin, partis vivre chez sa tendre mère. Et la chambre masculine n’était plus si animé. Mais que devenait la douce Gaïa ? Condamné, jugé de déviante, elle faisait honte à l’honneur de sa famille. Elle surprise plus d’une fois le joint à la bouche, mais que pouvait-il dire son oncle ? Et sa tante ? Puisqu’on leur disait que sa passerait, que ce n’était qu’une passade, une rébellion d’adolescente orpheline qui ne cherche que la rédemption et le pardon pour avoir été abandonnée. C’est ainsi qu’on lui accordait d’être ce jeune ado difficile sous le couvert d’excuse bidons. Mais si seulement ô douce Gaïa tu t’était arrêter là. Gaïa, belle vierge surprise dans son lit avec une autre, son oncle ne comprend plus, cette fois c’est trop à supporter, et à seulement 17 ans, elle est mise à la porte, et après la chambre du garçon, c’est c’elle d’en face, c’elle de la fille qui se vide de toute vie. Mais heureusement, il est là pour elle, lui ouvrant la porte de son foyer, depuis désormais 2 ans, leur foyer. Elle est les tissus de chaire mensonger le plus délicat à voir, et le père du jeune homme et l’oncle de la jeune femme y crois, mensonges sur mensonges, mais voilà que leurs familles sont heureuses de les savoir en couple. Le mensonge reste, et les fissures grandissent.

Depuis six mois Gaïa contribue au foyer. Comment douce enfant arrives-tu à gagner de l’argent en étant étudiante ? Mais en voilà un autres de mensonge, personne n’est dans la confidence, puisqu’elle a peur de le décevoir. Lui, mais lui et lui aussi, eux trois. Elle à échanger ses livres de neurosciences pour des costume très aguicheur, pour une barre en fer de pool dance, et un ruban pour des dance encore plus sexy. Elle se dévêtit pour les plus chanceux de ce casino, perle rare toujours vierge que l’on embauche, mais comment Gaïa ? Tu n’as que 19 ans ?! Mais la renarde est rusée, agile, et très intelligente. Elle à de faux papier qui lui donne les 21 ans légale de la société. Elle à aussi passé le permis, mais depuis un petit accident mineur, elle refuse de conduire. Ô douce Gaïa dans quel genre de monde nage tu ?