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(étage cinq, appartement 06) We out here drippin' in finesse ★ jilan

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Dim 20 Oct - 16:46
you said your heart was no longer soft
but even flowers can grow out from the cracks of stones

« Désolé, il n’y a pas de formule petit-déjeuner. » prononce Adrian alors que la blonde qui se tient dans son lit, se roule sur le côté, lui fait les yeux doux pour soit faire un dernier round, soit se nourrir dans les placards du brun, ce qu’il déteste. Il n’aime pas qu’on touche à sa nourriture, il n’aime pas qu’on touche à son frigo. Alors il n’a jamais permit à une fille de déjeuner avec lui, il aurait trop peur qu’elle tombe amoureuse. La demoiselle roule alors de l’autre côté, récupère ses sous-vêtements, et se rhabille en râlant, pendant qu’Adrian reste au lit, il ne va tout de même pas la raccompagner jusque la porte d’en bas, il ne faut pas pousser mémé dans le fossé, il se tourne sur le côté, attrape son paquet de cigarettes et il s’en grille une, comme un prince dans sa chambre, parce qu’il a la flemme d’aller dans le salon, tant pis, il aérera avant d’aller travailler, et ce n’est pas au cinquième étage qu’on viendra lui voler quelque chose. Quand il daigne enfin se lever de son lit, il allume la cafetière, attrape un mug propre dans le placard, et appuie sur le bouton quand il daigne enfin arrêter de clignoter pour se servir une boisson corsé, il doit aller travailler dans trois heures et il n’a pas vraiment envie. Il n’aime pas travailler le dimanche, parce que c’est le jour des gosses et il déteste les gosses, c’est toujours eux qui mettent des miettes partout sur le sol, qui font un boucan pas possible et il n’est pas rare que quand il rentre le dimanche, il a envie de boire. Mais il ne boit plus. D’ailleurs, il regarde son calendrier et se rend compte que ça fait trois-cent-soixante-quinze jours qu’il est sobre et il est plutôt fier de lui. Enfin fier. Il sait que ça ne rattrapera pas le fait qu’il a failli perdre sa soeur à cause de son alcoolisme, mais il est fier, et il est sûr que depuis la capitale française, sa soeur est fière de lui aussi. Quand il ouvre le placard à gâteaux, il râle. Il n’y a rien qu’il puisse avaler pour se caler un minimum, le frigo, pareil, vide. Ah oui, il devait faire les courses mais le fait qu’il ait rencontré la demoiselle qui avait passé la nuit ici, lui avait complètement bouleversé son programme. Tant pis, il ira faire les courses ce soir. Bon. Il cherche une idée et le dernier étage de son cerveau qui lui manquait pour être amplement réveillé, vient de s’allumer alors il enfile un pantalon, un sweat et il sort de chez lui avant de rentrer sans pression aucune chez Jill. Elle apprendra à fermer la porte. Il ouvre alors les placards, trouve de la brioche, du beurre de cacahuète, il attrape le tout avant de se retourner pour tomber nez à nez avec sa voisine. « Oh lâche ton arme malheureuse, tu pourrais te crever un oeil. » Enfin arme, il glousse un peu avant de se rapprocher d’elle « Tu m’excuses, j’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, je travaille comme un forcené moi. » Il ne va pas rajouter qu’il n’a pas des horaires de fonctionnaires parce qu’elle risquerait de s’énerver, et Adrian il aime bien l’énerver, mais pas dès le matin, enfin, il pourrait mais il attend un peu, c’est plus drôle de la voir monter en pression que de l’énerver tout d’un coup.

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Dim 20 Oct - 21:57
C'est dimanche et comme tout dimanche qui se respecte : Jill ne fait rien. Elle vient même de prendre le temps de répondre au message de son petit-ami en lui disant qu'aujourd'hui, elle ne bouge pas mais qu'il est possible qu'ils puissent se voir demain : lundi. En même temps c'est les vacances donc la Grayson, elle est libre comme l'air durant les jours à venir. La brune n'a d'ailleurs pas grand chose de prévu dans son planning, si ce n'est voir ses parents et ses amis. Mais aujourd'hui c'est dimanche et elle a juste prévu de passer sa journée devant Netflix avec une bonne dose de café dans le sang, sans oublier les gâteaux et les bonbons c'est important les bonbons. Malgré le fait qu'on soit dimanche, Jill prend la peine d'aller prendre une douche. Ce qui en soit n'est pas très intelligent puisqu'elle se lave pour se remettre en pyjama, mais qu'importe, elle se sentira propre dans ses affaires. Au moment où elle coupe l'eau chaude et qu'elle pose un pied hors du bac à douche, un bruit dans la pièce voisine l'alarme. Elle se tait, mais elle s'entend hurler à l'intérieur d'elle-même. Un cambrioleur ? C'est en tout cas la première idée qui lui vient en tête. Elle se hait d'avoir oublier son téléphone dans les abysses de son lit afin de pouvoir appeler à l'aide. Jill prend sur elle, attrape son peignoir qu'elle enfile et prend la première chose qui lui tombe sous la main : sa brosse à cheveux. La jeune femme marche donc sur la pointe des pieds jusqu'à la pièce à vivre. Elle prie pour que ça ne soit que le vilain chat qu'elle n'aime pas, mais quand elle voit une ombre, son sang se glace. « Attention, je suis armée ! J'ai appelée la police ! » dit-elle tout en brandissant sa brosse à cheveux dans sa main. « Oh lâche ton arme malheureuse, tu pourrais te crever un oeil. » C'est en le voyant qu'elle souffle enfin, soulager de voir que ça n'est que Adrian. Oui juste Adrian. « J'ai eut la peur de ma vie. » Si si, son coeur a même faillit lâcher au moins six fois. « Tu ne peux pas frapper comme tout le monde ? Comme les gens normaux ? » Non ? Non. Mais d'ailleurs qu'est qu'il fiche ici à cette heure ci, chez elle ? « Tu m’excuses, j’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, je travaille comme un forcené moi. » La bonne blague. « Tu trouves le temps pour t'envoyer en l'air et tu ne trouves pas le temps pour te nourrir ? Je t'ai déjà dis que c'était pas la soupe populaire ici. » Ni même l'armée du salut. Qu'importe le nom, elle n'est pas supérette du coin. « Non mais non, on ne touche pas au beurre de cacahuète. » Jill, elle voit rouge quand elle voit Adrian avec son beurre de cacahuète. Elle tente de lui prendre des mains mais avec son mètre dix les bras lever, elle perd vite patience.« T'es chiant Dawkins, tu le sais ça ? » S'il n'était pas au courant, au moins maintenant il le savait. « Bon puisque t'es là et que tu ne vas pas bouger, fait moi un café, noir avec un nuage de lait. » Jill en profite pour rejoindre sa chambre afin de quitter son peignoir et d'enfiler une tenue plus convenable pour ce petit déjeuner improvisé.

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Mar 22 Oct - 21:39
La nouvelle passion d’Adrian depuis qu’il a arrêté de boire c’est d’embêter Jill, et il le fait souvent des fois il lui vole ses colis et il lui ramène la bouche en coeur quelques jours après, prétextant que le livreur a cru que c’était son copain et ça la fait râler. Puis, des fois, il sonne comme un enfant à sa porte en rentrant du travail, ou comme aujourd’hui, il va se servir dans ses placards parce qu’il a faim et qu’il n’a rien à manger dans ses propres placards. « Attention, je suis armée ! J'ai appelée la police ! » Il pouffe de rire et il se retourne, oui, c’est sûre, elle a eu le temps d’appeler la police et de s’armer de cette arme d’une valeur inestimable, qu’est, une brosse à cheveux. A part lui faire un brushing, le brun ne voit pas vraiment ce qu’elle pourrait lui faire. Et encore, un brushing ce n’est pas vraiment comme ça. Il tente de lui faire comprendre qu’elle pourrait plus se faire mal à elle qu’à lui, mais elle se plaint déjà. « J'ai eut la peur de ma vie. » Il roule des yeux. « Tu ne peux pas frapper comme tout le monde ? Comme les gens normaux ? » Les gens quoi ? Adrian la regarde en haussant les sourcils et il hausse les épaules « C’est plus drôle de ne pas toquer, j’aurais louper ce spectacle. » prononce t-il en la regardant de haut en bas avec un sourire en coin, bien significatif, chose qui, il sait, va la faire râler. Et il annonce solennellement le but de sa visite, sans qu’elle ne le lui demande. « Tu trouves le temps pour t'envoyer en l'air et tu ne trouves pas le temps pour te nourrir ? Je t'ai déjà dis que c'était pas la soupe populaire ici. » blablabla, il resserre sa prise sur son butin en commençant à s’en aller, mais elle lui barre la route et l’empêche de partir. « Non mais non, on ne touche pas au beurre de cacahuète. » Il tape le haut du pot « Tu sais, tu me remercieras plus tard, il y a une étude scientifique que tout le beurre de cacahuète ça tombe sur les fesses. Et tu serais pas top avec les fesses de Kim Kardachiante. » Il hausse les épaules avant de lever les bras pour qu’elle ne le récupère pas, il s’amuse Adrian, mais il sait qu’il va finir par s’en prendre une. Il tendrait presque sa joue même, mais il n’est pas masochiste encore. « T'es chiant Dawkins, tu le sais ça ? » Il lui fait alors un grand sourire hypocrite ne la quittant pas du regard, la défiant presque avec toujours ce même sourire. Si elle veut jouer au plus con, elle sait qu’il va forcément gagner. « Bon puisque t'es là et que tu ne vas pas bouger, fait moi un café, noir avec un nuage de lait. » Quoi ? Il secoue la tête et la voit revenir habillé #déçu. Il s’appuie alors contre le plan de travail « T’as cru que j’étais la soupe populaire ? C’est pas parce que je suis barista que je vais te faire un café quand tu veux. Je viens pas toquer chez toi pour te demander à m’apprendre à compter, je sais que 2+2 ça fait 4, je viens pas te saouler un dimanche matin pour que tu m’apprennes à faire des calculs. » Il regarde alors autour de lui et il a une lumière qui s’allume dans le cerveau « Ah mais je comprends pourquoi t’es énervé, ton mec il est pas là. T’es jalouse en fait, t’aurais dû me dire, je t’aurais invité à faire un plan à trois hier soir. Suffisait de demander. » Et il pense à son propre café qui doit être froid dans sa propre cuisine maintenant. « Et déjà, on dit s’il te plaît quand on est polie. Et je te fais ton café mais tu me laisses repartir avec mes courses. » Donnant-donnant.

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Dim 27 Oct - 18:41
En cette journée, Jill n'avait pas prévue de sortir, ni même de voir quelqu'un hormis peut-être le chat du voisin qu'elle n'aime pas. Quand elle entend du bruit dans son appartement, elle pense directement à un cambrioleur et s'arme d'une brosse à cheveux. C'est alors qu'elle tombe sur Adrian et qu'il vient de lui offrir : la peur de sa vie. Son cœur bat encore la chamade. Si elle ignore les raisons de sa venue chez elle, Jill comprend très vite le pourquoi du comment. Elle prend quand même le temps de lui râler après parce qu'il n'a pas frapper. « C’est plus drôle de ne pas toquer, j’aurais louper ce spectacle. » Pas faux. Mais Jill, elle n'avait pas signer pour offrir ce spectacle. Puis son regard croise le pot de beurre aux cacahuètes. Trop c'est trop ! La Grayson, elle n'est pas d'accord. « Tu sais, tu me remercieras plus tard, il y a une étude scientifique que tout le beurre de cacahuète ça tombe sur les fesses. Et tu serais pas top avec les fesses de Kim Kardachiante. » Meeeeeh ! Jill, elle s'offusque presque. « Pourquoi ça tomberait sur mes fesses et par sur les tiennes ? » Parce que c'est une femme ? S'il lui sort cette excuse, elle le frappe. « Il y a aussi une étude scientifique qui prouve que les personnes qui viennent faire leurs courses dans les placards de ses voisines sont cons et pourtant t'es là. » Elle le déteste quand il lève le bras pour l’empêcher une fois encore de récupérer son pot de beurre de cacahuètes. Puisque c'est ainsi, Jill lui demande un café. Autant qu'il serve à quelque chose. Elle revient quelques minutes plus tard dans sa cuisine, mais l'odeur du café ne s'en dégage toujours pas. Pourquoi ? « T’as cru que j’étais la soupe populaire ? C’est pas parce que je suis barista que je vais te faire un café quand tu veux. Je viens pas toquer chez toi pour te demander à m’apprendre à compter, je sais que 2+2 ça fait 4, je viens pas te saouler un dimanche matin pour que tu m’apprennes à faire des calculs. » Il a finit d'être relou un dimanche matin ? Elle roule des yeux. « Tu sais quand même que les maths ne se limitent pas à 2+2 ? » Simple question. «  Ah mais je comprends pourquoi t’es énervé, ton mec il est pas là. T’es jalouse en fait, t’aurais dû me dire, je t’aurais invité à faire un plan à trois hier soir. Suffisait de demander. » Pardon ? Désolé mais c'est trop pour elle, elle se met à rire. « Jalouse de quoi ? Peut-être que pour toi une relation, si on peut appeler ça une relation, doit obligatoirement tourner autour du sexe mais il n'y a pas que ça.  » Après chacun de voir les choses. « Et je ne suis pas énervé, je suis juste agacée que tu penses que mon appartement est devenue la supérette du coin. » Quant à son copain, c'est elle qui n'avait pas envie de le voir aujourd'hui, donc en quoi ça la rendait jalouse ? « Et déjà, on dit s’il te plaît quand on est polie. Et je te fais ton café mais tu me laisses repartir avec mes courses. » « Quand on est bien élever, on frappe à la porte. » 1-1, balle au centre. « Parce qu'en plus, tu voulais te barrer avec mon beurre de cacahuètes ? » Déso mais on ne touche pas au beurre de cacahuètes de Jill. « J'pensais que tu voulais qu'on déjeuner ensemble. » Mais Jill, elle a faux sur toute la ligne. « Oh et puis merde, prend ce que tu veux et barre toi, tu me feras des vacances. » La brune passe à côté de lui, prend un verre et se sert un verre de jus de fruits avant de s'installer dans son salon, dans son canapé et d'aller la télévision en attendant juste que Adrian se barre et la laisse regarder son épisode tranquillement.

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Ven 1 Nov - 18:50
Passer un début de journée avec Jill lui plairait bien au brun mais il est absolument trop fier pour le lui avouer, puis c’est de toutes façons, bien plus marrant de la faire tourner en bourrique que de lui offrir la vérité sur un plateau d’argent avec des verres en cristal pour boire son jus d’orange du matin. Alors il préfère jouer au con comme d’habitude, il préfère nettement mieux la faire tourner en bourrique que de lui faciliter la vie. « Pourquoi ça tomberait sur mes fesses et par sur les tiennes ? » Il se frotte le menton comme s’il réfléchissait « Bah disons que je ne sais pas si avec ton mec vous faites beaucoup de sport, donc je me doute que le beurre de cacahuète irait plus sur tes fesses que sur les miennes. » Non, il ne lui sortira pas l’excuse du fait que c’est une femme et lui un homme. Il n’est pas si con que ça quoique.« Il y a aussi une étude scientifique qui prouve que les personnes qui viennent faire leurs courses dans les placards de ses voisines sont cons et pourtant t'es là. » il roule des yeux le brun et trouve ça terriblement petit et bas. « Je ne suis pas con, je suis mentalement limité, c’est pas vraiment la même chose. » Il serait presque vexé le petit mais il ne dit rien, il se contente de répliquer comme un enfant de cinq ans. Et puis prout, il ne lui fera pas son café tant qu’il n’aura pas la preuve qu’il repartira avec le beurre de cacahuète, l’épicier du coin de la rue n’en a jamais, et il faut qu’il aille à Walmart en acheter, et il a la flemme d’y aller juste pour du beurre de cacahuète, elle pourrait être sympa quand même non ? La bonne action du jour. « Tu sais quand même que les maths ne se limitent pas à 2+2 ? » Il fait une grimace mal cachée avant de secouer la tête « Oui, y’a aussi le théorème de Phythales tout ça, le truc relou là. Et les x qui servent à rien. » Adrian a toujours une très forte opinion de la matière que peut être les mathématiques. Et il ne les a jamais vraiment aimé, mais il se dit parfois qu’il aurait eu une prof comme Jill ça lui aurait peut-être fait aimé les maths. « Jalouse de quoi ? Peut-être que pour toi une relation, si on peut appeler ça une relation, doit obligatoirement tourner autour du sexe mais il n'y a pas que ça.  » blablabla, il ne va pas non plus lui offrir des roses pour obtenir ce qu’il veut. « Alors non, il n’y a pas que le sexe, mais bon, tu ne vas pas me dire que si ton mec être nul comme un manche, tu allais continuer d’être avec, à moins d’être maso et ne pas avoir envie d’avoir plaisir, je ne vois pas. » Comment est-ce qu’elle pourrait rester avec un mec qui se soucie de son bien être à lui plutôt qu’à elle ou qui termine aussi vite que Lucky Luke tire sur son ombre ? Il faudrait lui expliquer à Adrian parce que là, c’est une énigme. Enfin, il n’a pas vraiment envie de juger Jill et son couple, bien qu’il pense qu’ils ne vont pas si bien que ça ensemble, il ne dit rien il est dans le déni le garçon « Et je ne suis pas énervé, je suis juste agacée que tu penses que mon appartement est devenue la supérette du coin. » Bon. Il pourrait peut-être faire un effort et lui rendre ? Ou alors il lui rachète un pot quand il va chez Walmart ? Il hésite Adrian. Il hésite fortement. Il se pince la lèvre et non, pour l’instant, il garde le beurre de cacahuète dans ses mains en la clashant un petit peu comme un enfant de cinq ans toujours« Quand on est bien élever, on frappe à la porte. » Un point pour le mammouth. « Parce qu'en plus, tu voulais te barrer avec mon beurre de cacahuètes ? » Il hausse la tête de haut en bas pour répondre par la positive en lui offrant un petit sourire hypocrite. « J'pensais que tu voulais qu'on déjeuner ensemble. » Oh ben, il ne l’avait pas vu venir celle là, alors qu’il ouvre la bouche, il la voit partir. « Oh et puis merde, prend ce que tu veux et barre toi, tu me feras des vacances. » Il peut vraiment prendre ce qu’il veut ? COOL ! Alors qu’il ouvre le placard il se rend tout de même compte qu’il agit comme un con, alors il soupire, regarde le beurre de cacahuète, le paquet de brioche et il décide de faire griller deux tranches de brioches et de préparer deux tasses de cafés qu’il dépose sur un plateau en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et il débarque dans le salon avant de déposer le plateau sur la table et il s’installe à côté de la brune avant de passer son bras autour de la nuque de sa voisine, sans aucune pression « T’as vu que je te l’ai fait ton café, pas la peine de râler. » prononce t-il avec un sourire avant de prendre la tasse pour le lui tendre, et boire un café dans sa propre tasse « Je devrais laisser mon mug ici, pour venir prendre le petit-déjeuner chez toi tout les dimanches, ça peut être cool. Bon sauf quand j’ai la gueule de bois et que j’offre le petit déjeuner. » Oui, il n’allait pas venir avec son date de la veille, il n’est pas si con que ça. « Bon. On regarde quoi ? » Parce qu’autant regarder quelque chose maintenant qu’il est là et installé, il ne va pas manger son petit-déjeuner en quatrième vitesse, non mais.

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Jeu 7 Nov - 16:14
Pour un dimanche tranquille c'est loupé. Maintenant Jill doit supporter la présence d'Adrian. Ce n'était absolument pas prévu dans sa journée Netflix & Chill, mais il semble que la Grayson n'est pas son mot à dire. Très bien. Mais pourquoi en plus de s'inviter, il se permet de fouiller dans ses placards et de voler son beurre de cacahuètes ? Jill se sent encore plus insulter quand il lui balance qu'à force d'en manger, elle pourrait ressembler à l'une des Kardashian. But, pourquoi pas lui ? « Bah disons que je ne sais pas si avec ton mec vous faites beaucoup de sport, donc je me doute que le beurre de cacahuète irait plus sur tes fesses que sur les miennes. » C'est réellement ça son excuse ? Elle fronce les sourcils et elle ne comprend pas vraiment. « C'est quoi le rapport entre le sexe et le beurre de cacahuètes ? J'ai pas besoin d'un homme pour faire du sport. » Jill, elle va même tous les soirs en sortant de son boulot dans une salle de sport. Faut bien qu'elle s'entretienne pour garder la ligne. « Je ne suis pas con, je suis mentalement limité, c’est pas vraiment la même chose. » AH. C'est vrai qu'il y a une petite nuance très subtile. « Bof, j'ai l'impression qu'être mentalement limité c'est pire que d'être con. Mais c'est tes mots, alors je vais garder en tête que tu es limité. » Ce qui explique pourquoi il pense que c'est open bar dans l'appartement de la Grayson. Mais puisqu'il est ici autant qu'elle en profite pour qu'il fasse le café. Autant que Adrian serve à quelque chose, au moins une fois dans sa vie. Mais voilà qu'il prend des airs de drama queens en insinuant que ce n'est pas parce qu'il barista qu'il doit passer sa vie à faire du café pour les autres. « Oui, y’a aussi le théorème de Phythales tout ça, le truc relou là. Et les x qui servent à rien. » C'est tellement nul qu'elle rit. « Phytales ? C'est la première fois qu'on me la sort celle-là. Tu trouves peut-être que ça ne sert à rien mais heureusement que tout le monde n'est pas dans son cas. » Parce que sinon la brune se serait tirer une balle depuis longtemps. « Et désolé je n'offre pas des cours du soir pour combler tes lacunes. » D'autant plus qu'elle est certaine qu'elle perdrait son temps avec le brun. Comme il est en train de lui faire perdre son temps actuellement en sous entendant qu'elle est jalouse. LOL. « Alors non, il n’y a pas que le sexe, mais bon, tu ne vas pas me dire que si ton mec être nul comme un manche, tu allais continuer d’être avec, à moins d’être maso et ne pas avoir envie d’avoir plaisir, je ne vois pas. » Bon, il marque un point. « Je suis peut-être maso t'en sait rien. » Puis merde. Il n'a pas à connaitre sa vie sexuelle, ni sentimentale. Jill n'a pas envie de parler de ça ce matin, elle n'a pas envie de parler du tout. Elle finit par s'énerver contre Adrian et quitte simplement la pièce pour rejoindre son canapé en attendant gentiment que l'intrus quitte son appartement. Sauf que retournement de situation, Adrian débarque à son tour avec un plateau qu'il dépose sur la table basse. Ça, elle ne l'avait pas vu venir. Quand il pose son bras derrière elle, elle tourne la tête, le regarde et lui rend son bien. Déso mais non. « T’as vu que je te l’ai fait ton café, pas la peine de râler. » Elle arrête pour les dix prochaines minutes, promis. « Merci. » Elle aime sentir le café toucher ses lèvres, elle se sent envahit par une sensation de bien être. « T'aurais quand même pu faire une feuille en lait. » Fallait bien qu'elle râle et déso elle n'a pas tenue 10 minutes. « Je devrais laisser mon mug ici, pour venir prendre le petit-déjeuner chez toi tout les dimanches, ça peut être cool. Bon sauf quand j’ai la gueule de bois et que j’offre le petit déjeuner. » Haha non. « Autrement dit c'est le dernier dimanche où je te vois. » dit-elle en riant. « Tu as quoi contre mes tasses, elles ne sont pas assez bien pour toi ? » En plus, il y en a pour tous les goûts. Trop difficile le Adrian. « Bon. On regarde quoi ? » « Baby. » Elle tourne le regard vers lui. « C'est le nom de la série et pas un surnom que je pourrais te donner. » C'est sa série du moment, il ne lui reste plus que quelques épisodes afin de finir la saison et Jill a vraiment hâte. « J'attend pas de ta personne que tu aimes parce que bon c'est un truc de filles. » Mais sait-on jamais peut-être que Adrian, il pouvait la surprendre. « Oui, elles se prostituent. » dit-elle pour devancer sa question à propos de la série. La brune vient à poser sa tasse sur la table et prendre l'une des tartines que le brun avait préparer. Elle tartine la sienne de beurre de cacahuètes et fait de même pour Adrian. « Tiens, t'es plus mignon quand tu as un truc dans la bouche. » Et que autrement dit, il ne parle pas. « Tu bosses jusqu'à qu'elle heure aujourd'hui ? » Si Adrian voulait suivre l'épisode, il allait devoir faire taire la brune parce que Jill, quand elle commence c'est un vrai moulin à paroles.

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Jeu 14 Nov - 20:20
« C'est quoi le rapport entre le sexe et le beurre de cacahuètes ? J'ai pas besoin d'un homme pour faire du sport. » Oh ? Adrian la regarde avec un regard lubrique et il se met à rire « C’est pas faux, t’as surtout pas besoin de ton mec. » Petite pique pour lui signifier qu’elle trouverait sûrement mieux ailleurs, mais il se le garde bien pour lui de lui dire de but en blanc. Il préfère faire des insinuations et puis c’est tout. Enfin, jusqu’au jour où il lui dira vraiment qu’elle ne va pas bien avec lui, cela va de soi, mais ce n’est pas demain la veille que ça arrivera.« Bof, j'ai l'impression qu'être mentalement limité c'est pire que d'être con. Mais c'est tes mots, alors je vais garder en tête que tu es limité. » Adrian fait une tête d’idiot en parlant de façon muette en levant les yeux au ciel tout en la regardant un vrai idiot en puissance « Oui, je suis limité, je ne suis pas con. Puis je suis unique aussi. » Et puis, être limité, ça veut dire qu’il n’y en a pas beaucoup comme lui. Alors il est plutôt fier Adrian, il gonfle même le torse pour prouver au monde entier qu’il est nique et qu’il n’y en a pas deux comme lui, avant de se rendre compte qu’il n’y a que Jill, alors il dégonfle bien vite le torse et commence à parler des mathématiques. Parce qu’elle se croit tout permis et elle croit aussi que c’est parce qu’il est barista qu’il va lui faire un café quand ça lui chante. Puis même, Adrian ne comprend pas comment on peut aimer les maths. Il ne comprend toujours pas, depuis le lycée comment quelqu’un peut apprécier apprendre à manier des chiffres. Et surtout comment ça peut passionner des étudiants, lui, il aimait manier autre chose quand il était à l’université (pour le peu de temps qu’il y est allé), et ce n’était pas une calculatrice. « Phytales ? C'est la première fois qu'on me la sort celle-là. Tu trouves peut-être que ça ne sert à rien mais heureusement que tout le monde n'est pas dans son cas. » Olalala, quelle rabat-joie. « Et désolé je n'offre pas des cours du soir pour combler tes lacunes. » Il lui fait une tête de chat potté en entrelaçant ses deux mains et plissant les sourcils « Et si je te paye en nature ? » Quand il voit la tête de Jill, il rigole un peu et rajoute « Je voulais te payer en cafés gratuit mais tant pis. » Non, c’est faux, tout le monde sait ce qu’Adrian Dawkins pensait mais de toutes façons, jamais ça n’arrivera, il aime Jill d’un amour platonique et il préfère l’embêter que tenter de coucher avec pour l’instant« Je suis peut-être maso t'en sait rien. » il trouve ça intéressant mais se contente de lui sourire bêtement avant de lui faire plaisir et de lui amener son plateau petit-déjeuner. Et il s’installe comme un prince avant que son bras ne se fasse éjecter et qu’il se retrouve à sa place initiale, à savoir près du corps du brun. Shit. Il aura essayé. « Merci. T'aurais quand même pu faire une feuille en lait. » Il regarde à droite, à gauche, sur les meubles et il ne voit pas son diadème de princesse « Tu te prends pour la reine d’Angleterre ? J’avais pas le matos pour, t’as qu’à passer au café je t’en offrirais un avec une feuille de lait va. » Ça fait quand même plusieurs fois qu’il compte la revoir et non pas que l’idée lui déplait, il se demande bien ce qu’il lui prend. Enfin après tout, il n’a qu’à sonner s’il veut la voir. Mais il compte bien venir reprendre le petit-déjeuner avec elle, c’est quand même plus sympa que de le prendre tout seul. « Autrement dit c'est le dernier dimanche où je te vois. » Pas forcément. « Tu as quoi contre mes tasses, elles ne sont pas assez bien pour toi ? » beeeeeh, non. Il ne veut juste pas la priver. « Je ne veux pas te voler tes superbes tasses. Et non, je fais de moins en moins formule petit-déjeuner, elles sont de plus en plus chiantes. » Plus beauf que ça, tu meurs. « Baby. » Déjà ? « C’est pas un peu … » Et elle lui coupe l’herbe sous le pied. « C'est le nom de la série et pas un surnom que je pourrais te donner. » Il noie son -faux- désespoir dans la tasse de café fumante qu’il vient de servir et dépose la tasse sur la table. « J'attend pas de ta personne que tu aimes parce que bon c'est un truc de filles. Oui, elles se prostituent. » Ahhhh, il n’avait pas vu ça comme ça. « Je te rappelle que ma soeur m’a fait aimé Elite alors bon, Baby, ça peut peut-être passé. Et ce n’est pas un surnom que je te donne. » prononce t-il, le tout appuyé d’un clin d’oeil en riant un peu. « Tiens, t'es plus mignon quand tu as un truc dans la bouche. » Il attrape la tartine et en croque un bout qu’il avale avant de la regarder « Merci, je devrais dire la même chose de toi. » Parce qu’il ne s’attendait pas à ce qu’elle parle autant. Mais ce n’est pas ce qui le dérange le plus, il est bien réveillé, mais quand il a encore la tête dans le gaz, il ne vaut mieux pas lui adresser la parole. « Tu bosses jusqu'à qu'elle heure aujourd'hui ? » Il réfléchit un instant en regardant au plafond comme si la réponse y était marqué et il baisse la tête en la regardant « Je suis de fermeture. » Autrement dit, il est heureux comme un dieu. Ou pas. Il déteste faire la fermeture, parce que le dimanche, les clients s’éternisent toujours et ils pensent qu’ils ont le droit de planter leur tente Quechua dans le salon sans pression aucune, ils râlent même quand le brun leur dit qu’ils doivent quitter le lieu. « Tu veux pas venir traîner pour faire la fermeture avec moi ? » C’est une proposition tout à fait bizarre et pourtant ça lui semble normale. Il hausse les épaules « Je pourrais te cacher dans la réserve le temps de nettoyer. » Enfin, elle pourrait même se cacher dans un placard si elle y mettait du sien. « Et je t’invite au resto après. » Est-ce qu’Adrian venait vraiment de faire ça ? Oui. « A moins que tu doives passer la soirée avec ton mec. Et la je peux pas rivaliser déso. »

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Mer 27 Nov - 19:18
« C’est pas faux, t’as surtout pas besoin de ton mec. » Jill le fusille du regard et lui offre son plus beau majeur. « Je t'emmerde ! » Puis c'est son problème à elle de ce qui se passe dans son couple. Qu'est que ça peut lui foutre au Dawkins ? S'il est jaloux, il avait qu'à être plus rapide et prendre un ticket. Mais le garçon est trop con, pardon limité. « Oui, je suis limité, je ne suis pas con. Puis je suis unique aussi. » La brune rit face à sa remarque. « Encore heureux, j'aurais pas supporté deux Adrian dans mon appartement. » Jill se serait tirer une balle depuis longtemps ou plus simplement, elle aurait déménager pour ne plus avoir à le revoir. C'était moins tragique quand même. Certes, Adrian est peut-être " limité " comme il veut bien l'affirmer mais en maths, il n'y connait rien le garçon et désolé, Jill ne lui offrira pas des cours du soir pour rattraper son retard. « Et si je te paye en nature ? » Pardon ? Il a de la chance qu'elle n'ait pas quelque chose sous la main parce qu'autrement, il se le serait prit en pleine face. « Je voulais te payer en cafés gratuit mais tant pis. » « Bien sûr, en café. J'ai le droit de ne pas y croire ? » Jill, elle n'est pas dupe, ni blonde. Elle le connait le Dawkins, il pense beaucoup trop avec sa troisième jambe et désolé pour lui, ça n'est pas aujourd'hui qu'il mettra un coup à la Grayson. « Ceci dit, j'ai plus confiance en ton café qu'en tes performances. Et non, je ne veux pas tester, sans façon. » Jill, elle préfère laisser sa place aux autres, celles en manque d'amour et de chaleur humaine. Jill, elle pense aux femmes désespérées qui ont un besoin d'homme. C'est une fille bien la Grayson. Mais Adrian et son caractère de chiotte font râler Jill, elle part sur son canapé bouder dans son coin, en attente qu'il claque la porte et la laisse tranquille pour la journée. A la place, elle retrouve un Adrian à ses côtés qui prend trop ses aises. Elle ne manque pas de le rappeler à l'ordre et le remercie pour son café. « Tu te prends pour la reine d’Angleterre ? J’avais pas le matos pour, t’as qu’à passer au café je t’en offrirais un avec une feuille de lait va. » Il ne dit pas non et c'est uniquement ce qu'elle retient. « Uniquement pour Jillian Grayson, première du nom. Je suis pas une vieille peau ridée moi. » Elle se sent presque offensé d'avoir été comparé à la reine d'Angleterre. Malgré tout, Jill savoure son café chaud et ça lui fait un bien fou. Elle se sent sur un petit nuage de paradis, enfin ça c'était avant que son voisin lui fasse une réflexion sur ses tasses. Il a quoi contre ? « Je ne veux pas te voler tes superbes tasses. Et non, je fais de moins en moins formule petit-déjeuner, elles sont de plus en plus chiantes. » La formule petit-déjeuner, elle glousse de cette appellation. « J'ai la solution à ton problème : arrange toi pour aller chez elles. » Au moins, il n'aura pas à proposer de formule. Installer devant la télévision, Jill lance sa série du moment : Baby. Et non ça n'est pas le petit surnom qu'elle donne à Adrian. « Je te rappelle que ma soeur m’a fait aimé Elite alors bon, Baby, ça peut peut-être passé. Et ce n’est pas un surnom que je te donne. » Whaaaaaat ? Jill, elle se retourne rapidement vers Adrian, toute enjouée par cette nouvelle. « Toi, tu regardes Elite ? » Elle n'en croit toujours pas ses oreilles. « Merci, je devrais dire la même chose de toi. » Comment doit-elle prendre la chose ? Elle l'ignore ... Peut-être veut-il avouer qu'elle parle trop ? En même temps, c'est Jill, c'est une bavarde. Plutôt que de lui répondre, elle le pousse un peu. Jill, la bavarde n'a pas finit. Elle se demande à quelle heure, Adrian il finit, sans arrière pensée. « Je suis de fermeture. » Cette phrase lui tire un sourire, elle se moque, c'est moche, elle le sait mais c'est plus fort qu'elle. « Je penserai à toi. » Elle pose une main sur son épaule, en guise de soutient avant de rire. Le sérieux chez Jill ça ne dure jamais longtemps. «  Tu veux pas venir traîner pour faire la fermeture avec moi ? » Hum ? Jill tend l'oreille vers lui. Pourquoi ? « Je pourrais te cacher dans la réserve le temps de nettoyer. Et je t’invite au resto après. » Elle le regarde presque surprise par cette invitation. « Pourquoi, je dois me cacher dans une réserve ? » Il doit la tuer, c'est ça ? « A moins que tu doives passer la soirée avec ton mec. Et la je peux pas rivaliser déso. » En même temps, le choix entre Adrian et son petit ami est vite fait. « J'ai un peu beaucoup la flemme. » dit-elle après avoir bu une gorgée de café. « Il y a peut-être des gens qui travaille, mais ce n'est pas mon cas. C'est dimanche et j'ai pas envie de bouger aujourd'hui, ni même de m'habiller convenablement. » La brune n'a aucune honte à lui mettre un vent. « Mais je peux commander des pizzas, tu vas les chercher en sortant du taff, tu me les apporte et on les mange ensemble ? Ou tu me les apportes et je les mange toute seule. » Elle lui laissait le choix la Grayson, dans les deux cas, elle était gagnante.

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Dim 1 Déc - 18:45

« Encore heureux, j'aurais pas supporté deux Adrian dans mon appartement. » Il est choqué le brun. Il fait mine de bouder et puis il fait une tête d’imbécile avant de lui tirer la langue comme un enfant. « je me sens vexé Grayson. » Il croise même les mains sur son torse pour appuyer ses paroles avant de dire comme un imbécile heureux. Et puis il fait encore une allusion sexuelle, parce que bon Jill est pas moche et Adrian ne refuserait pas de l’avoir dans son lit, mais ce serait beaucoup trop bizarre comme histoire. Mais il le pense quand il dit que son copain ne la mérite pas. Elle pourrait avoir beaucoup mieux comme lui. Il dit souvent ça sur le ton de la plaisanterie, mais il le pense réellement. Après, elle fait bien ce qu’elle veut mais ce qu’il sait aussi c’est qu’il sera la si jamais ce con est vraiment un con. « Bien sûr, en café. J'ai le droit de ne pas y croire ? Ceci dit, j'ai plus confiance en ton café qu'en tes performances. Et non, je ne veux pas tester, sans façon. » Il venait d’ouvrir la porte et voilà qu’il la referme aussi sec en boudant. Est-ce qu’elle est sérieuse ? « Tu ne sais pas ce que tu perds. » se vante t-il en soupirant, se renfrognant un peu. Il n’en revient pas qu’elle n’ait jamais dit oui. Mais tant pis, il va arrêter de passer pour un gros beauf ça va être compliqué Et il l’enquiquine encore en lui demandant si elle se prend pour la reine d’Angleterre. Il sait qu’elle va réagir, il la connaît par coeur. « Uniquement pour Jillian Grayson, première du nom. Je suis pas une vieille peau ridée moi. » HAN. Ce clash. Adrian rapproche un peu son visage pour regarder « Ah non t’as pas de rides. » Puis même avec des rides, il la trouverait jolie c’est le côté loveur. Il est même persuadée qu’elle sera belle même vieille. Et voilà qu’ils parlent de ses conquêtes. Enfin conquêtes. Ces coups d’un soir comme il aime bien les appeler. Plan A, Plan B, Plan Q aussi. Enfin Adrian ne les appelait jamais Ô grand jamais par leurs prénoms. Ca leur donnerait trop d’importance. Adrian est un connard. « J'ai la solution à ton problème : arrange toi pour aller chez elles. » Il hausse les épaules « Ouais mais la plupart elles sont en coloc ou alors elles sont encore chez leurs parents. Et tu sais, prendre une tasse de café avec leur père c’est pas trop mon délire. » Ce serait surtout très très awkward. Puis vient le moment des séries et Jill semble étonnée qu’il regarde Elite. Quand on a une soeur ce n’est pas vraiment étonnant. « Toi, tu regardes Elite ? » Il lève un pouce en l’air. « Ouais et je trouve que Paulo est quand même sacrément chiant et j’aime beaucoup l’autre là… Carla. » Oui, évidemment. C’est tout Adrian. « et laisse moi deviner toi t’aime Nano je suis sûr. » Adrian pourrait même parier. Mais il ne le fait pas. Parce qu’elle lui demande pour le boulot. Et il dit à voix haute qu’il est de fermeture et ça le gonfle. « Je penserai à toi. » il regarde sa main et se contente de sourire. « Pourquoi, je dois me cacher dans une réserve ? » Il hausse les épaules « Parce que sinon je serais obligé de te passer la serpillère sur les pieds ? Et que je ne veux pas que tu passes la serpillère à ma place ? » Parce qu’elle n’est pas là pour ça et puis même, il n’est pas censé avoir quelqu’un avec lui lorsqu’il fait la fermeture. « J'ai un peu beaucoup la flemme. » Déçu. Mais il comprend. « Il y a peut-être des gens qui travaille, mais ce n'est pas mon cas. C'est dimanche et j'ai pas envie de bouger aujourd'hui, ni même de m'habiller convenablement. Mais je peux commander des pizzas, tu vas les chercher en sortant du taff, tu me les apporte et on les mange ensemble ? Ou tu me les apportes et je les mange toute seule. » Il réfléchit en passant une main sous son menton en guise de réflexion. Est-ce qu’il serait capable de la supporter ce soir ? Sûrement. « Hum, tu commandes les pizzas, je les ramène et on mange ensemble. » C’est une bonne idée. Puis il étend ses pieds sur la table basse avant de boire son café et il sent son téléphone qui vibre dans sa poche arrière. « Oh fais chier. » Ça veut dire qu’il faut qu’il se prépare. « Je dois y aller beauté. » Il se lève alors, récupère sa tasse qu’il met dans l’évier et il se penche au dessus du canapé pour lui embrasser la joue sans pression avant de claquer la porte de l’appartement de la brune pour retourner dans le sien et se préparer à aller bosser. Lui envoyant un message envoie ce que tu veux comme pizza beauté. Je te ramène ça ce soir.  et partant rapidement au travail pour ne pas être en retard. Comme d’habitude.

fin du rp

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