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I like my coffee like I like myself: strong, sweet, and too hot for you. (jilan)

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Jeu 5 Déc - 20:50
Adrian sifflote en préparant le café de la demoiselle qui vient de se présenter au comptoir et il regarde son collègue avec qui il fait un défi patisserie. Défi tout simple et complètement stupide, c'est celui qui vendra le plus de pâtisseries qui prendra la fermeture de l'autre quand il le décidera. Alors autant dire qu'il prend ce défi très à coeur le brun et il s'amuse à jouer de ses charmes pour vendre autant de pâtisseries que possible. Il est déjà dix-sept heures et il en a déjà vendu six contre quatre pour son collègue. Ses charmes marchent toujours. Il sert alors le café et la pâtisserie à la demoiselle avant de passer dans la salle pour nettoyer un peu tout ce qui traîne. Quand il peut enfin prendre sa pause, il se prend un café, passe par la salle de repos des employés pour attraper son paquet de cigarettes, se cale une clope entre les lèvres avant de sortir pour fumer sa cancéreuse. Son téléphone calé à l'oreille il rappelle sa soeur qui l'a appelé pour savoir ce qu'il voulait manger ce soir, il lui dit qu'il passera prendre des pizzas ce a quoi elle répond qu'il veut qu'elle ressemble à un loukoum, mais elle accepte, sa soeur ne dit jamais non à une bonne pizza bien grasse et pleine de fromage. Il raccroche et retourne dans le café, finit sa cup de café, la balance dans la poubelle. Il envoie un message à Jill pour lui dire que s'il veut, il y aura des pizzas ce soir, si elle n'a rien de prévu. Après tout, elle aura peut-être la visite de son mec, et Adrian, il ne le sent pas vraiment, il ne le sent pas du tout même, mais il ne dit rien. Enfin il se contente de passer pour un con et de faire des allusions qui le font passer pour le méchant dans l'histoire. Il dépose alors son téléphone et il voit Jill qui débarque comme une furie. Il voit en elle la chance de gagner. « Une pâtisserie avec ça ? » demande t-il en souriant, il sait que ses charmes ne marcheront pas avec Jill. Mais tant pis. « Et oui j'ai tes clés, mais faut que je passe par chez moi, j'en ai pour encore 10 minutes, tu peux m'attendre ? » Après tout, elle n'a pas  le choix, mais il préfère lui proposer quand même « Ou tu veux aller m'attendre chez moi ? »

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Ven 6 Déc - 22:01
Jill est un poil sur les nerfs ce soir. Elle se déteste. La professeur n'a pas fait attention mais en quittant sa salle de classe, elle a oublier ses clés dans son bureau. Et bien sûr quand elle le réalise, elle n'est plus qu'à deux marches de son appartement. Alors, la brune se déteste intérieurement, d'autant plus que le lycée est déjà fermé à cette heure ci. La brune pense dans un premier temps à appeler ses parents pour dormir chez eux ou son petit-ami, mais elle a vraiment besoin de pénétrer dans son appartement pour se changer demain (hors de question qu'elle garde les mêmes sous-vêtements) puis elle a vraiment besoin de récupérer des affaires pour son cours de demain. Elle est à deux doigts d'appeler Gabriele à l'aide quand elle a l'illumination du siècle. « Adrian ! » Jill lui avait passer un double de ses clés durant l'été, durant ses vacances afin qu'il arrose ses plantes vertes qui sont mortes et elle ne l'avait pas récupérer depuis. Sans attendre, elle fonce à sa porte, frappe et attend une réponse qui ne vient pas. Il l'ignore ? Ce n'est pas vraiment son genre. Elle attrape son téléphone, l'appelle : aucune réponse. Oh si ! Un message. Elle est sauvée. Jill lui explique son problème et elle apprend que le brun bosse encore. Deux solutions s'offrent à elle : soit elle attend devant sa porte, soit elle bouge le rejoindre. Pour une fois, Jill est prête à affronter le froid.

Une bonne demi-heure plus tard, Jill a vaincue le froid et elle pousse la porte du café où le Dawkins travaille. Parfait, personne au comptoir, elle s'avance. « Une pâtisserie avec ça ? » De ? « C'est la maison qui offre ? » Sait-on jamais qu'il soit généreux avec elle. « Je croyais que ce n'était pas bon pour mes fesses ? » demande-t-elle en souriant. Si Jill était sur les nerfs durant la dernière heure, cette odeur de café qui se dégage de l'endroit, lui procure une sensation de bien être. « Et oui j'ai tes clés, mais faut que je passe par chez moi, j'en ai pour encore 10 minutes, tu peux m'attendre ? » Bof, mais maintenant, elle n'est plus à 10 minutes près. « Ou tu veux aller m'attendre chez moi ? » Non, elle est bien ici. « Je vais te prendre un Latte et l'une de tes pâtisseries en t'attendant. » dit-elle avant de sortir de son sac, quelques billets et pièces nécessaires à l'encaissement. « J'ai besoin de te dire mon prénom, ou ça va tu vas réussir à t'en souvenir ? » S'il ose l'écorcher par contre, elle risque de mal le prendre. « En tout cas, sache que tu me sauves la vie Dawkins et ce n'est pas tout les jours que tu entendras ces mots de ma bouche. » Franchement ce soir, elle serait même prête à lui offrir un baiser pour le remercier. « Tu n'avais rien de prévu au moins ? » Puis même si c'était le cas, Jill s’incruste.

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Mer 18 Déc - 22:03

« C'est la maison qui offre ? » Adrian hausse simplement les épaules, il pourrait mais elle ne sait pas si elle le mérite, alors un sourire qui se dresse sur ses lèvres, il répond, rieur « Je ne sais pas, tu le mérites ? » Est-ce qu’elle a été sage ? Pas sûr. Et il retient un rire quand il voit sa tête « Je ne sais pas, peut-être que tu n’as pas été sage. » Enfin, il dit ça, il ne dit rien. Et il reste suspendu à sa réponse en attendant qu’elle commande ce qu’elle veut, bien qu’elle soit sa voisine et son amie, il ne peut pas être trop amical avec le client, bien que c’est le but du café, il ne doit pas faire trop. Et il n’a pas envie de faire trop certains matins. Mais il est toujours aimable et courtois. « Je croyais que ce n'était pas bon pour mes fesses ? » Il hausse une nouvelle fois les épaules en riant avant de la regarder, haussant les sourcils, toujours en attente de sa réponse. « Je vais te prendre un Latte et l'une de tes pâtisseries en t'attendant. » Ahhhh, quand même. « J'ai besoin de te dire mon prénom, ou ça va tu vas réussir à t'en souvenir ? » Il lève les yeux au ciel avant de se tourner pour préparer le café, après avoir écrit un petit beauté sur le gobelet et il lui sert une pâtisserie qu’il met dans un sachet avant de se tourner et lui tendre le petit sachet, un sourire commercial sur le visage. « En tout cas, sache que tu me sauves la vie Dawkins et ce n'est pas tout les jours que tu entendras ces mots de ma bouche. Tu n'avais rien de prévu au moins ? » Il écarquille les yeux et lui tend son café, tentant de juger sa réaction quant à son prénom avant de l’encaisser et lui rendre la monnaie. « Je te rejoins dans cinq minutes. » Et il encaisse la demoiselle derrière elle, lui sert son café, toujours avec un sourire avant de regarder son collègue « Boom, j’ai gagné. Je t’offrirais une de mes fermetures. » Et il passe dans la salle des employés pour retirer son superbe tablier et sortir, sa veste sur le dos. Il rejoint alors Jill et lui tend une nouvelle pâtisserie qu’il a payé ce matin et qui de base était pour lui mais il n’a finalement pas faim. Il fallait évidemment que son collègue puisse prendre sa pause au même moment et qu’il débarque sans pression, ses gros sabots et lui se rapprochant de la table  « Oh Dawkins, tu m’avais pas présenté ta meuf. » Adrian lève les yeux au ciel « C’est pas ma meuf, elle a un mec. » Et il regarde Jill lui faisant comprendre du regard qu’il n’avait pas spécialement envie de taper la discute à son collègue. Et quand ils se décident enfin de sortir, Adrian sort une cigarette qu’il coince entre ses lèvres. « Alors comme ça, je te sauve la vie ? » Demande t-il, pour qu’elle le répète. « Et non, je n’avais rien de prévu. Ma soeur sera contente que tu sois là ce soir. » Au moins, il avait déjà l’aval de sa soeur si jamais il se passait un truc entre eux. Ce qui ne se passerait sûrement pas. « Mais ton mec il va pas être jaloux ? » Après tout il s’en fout « Non pas que j’en ai quelque chose à cogner de lui, mais s’il te prend la tête, je risque de m’énerver. » Oui parce qu’il n’avait pas le droit de prendre la tête à Jill, il n’y avait que lui qui pouvait la faire tourner en bourrique. Pas quelqu’un d’autre, juste lui.

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Sam 21 Déc - 18:40
Jill ne va pas l'admettre, mais passer une soirée avec Adrian est loin d'être déplaisant. Bon ils n'ont pas réellement prévu de passer la soirée ensemble, mais Jill sent qu'elle va s'imposer. Déjà, il faut qu'elle récupère ses clés et la suite, ils l'écriront ensemble. Puis, avant même qu'ils ne bougent, Adrian doit finir son service. Ce dernier lui propose une pâtisserie. Surprise, elle demande si c'est la maison qui offre. « Je ne sais pas, tu le mérites ? » Totalement. « Pourquoi, je ne le mériterais pas ? » Pourquoi d'ailleurs ? « Je ne sais pas, peut-être que tu n’as pas été sage. » Adrian, il a la chance d'être derrière un comptoir. Dans le cas contraire, Jill lui aurait donner un petit coup. « Je sais que tu es vieux mais quand même, je pensais que tu avais dépasser l'âge de croire au père noël. » Face à ses propres propos, elle place sa main sur sa bouche. « Désolé si j'ai brisé des années de croyance, mais quelqu'un devait rétablir la vérité, pour ton bien. » Au final, c'est lui qu'il devait lui dire merci. Pour conclure, Jill, elle mérite amplement cette pâtisserie. Elle en profite même pour commander une boisson. Quand elle récupère celle-ci, elle fronce les sourcils en observant ce qui ne ressemble pas à son prénom. Ou alors Adrian ne sait plus écrire Jill. Bien qu'elle soit prête à faire une remarque, elle ne dit rien. Elle garde ça pour elle, parce que dans le fond ça lui plait. Et surtout que sur l'instant, elle n'a rien à répliquer. En l'attendant, Jill s'installe à une table en ne faisant que quelques bouchées de cette pâtisserie qu'elle trouve beaucoup trop bonne. Elle vient à peine de finir celle qu'elle a en bouche, que son voisin de pallier lui en rapporte une nouvelle. « Merci. » dit-elle le plus naturellement du monde. Pour une raison qu'elle ignore, l'un des collègues d'Adrian veut se joindre à eux. « C’est pas ma meuf, elle a un mec. » Mec c'est peut-être un grand mot mais il est vrai que Jill n'est pas célibataire. « L'un n'empêche pas l'autre. » répond t-elle en haussant les épaules. Si dans la tête de Jill, elle est consciente qu'il ne se passera jamais rien avec Adrian, si son collègue peu croire le contraire et le faire chier, ça fera sa journée. Jill se rhabille, prête à affronter le froid aux côtés d'Adrian, son Late toujours en main. « Alors comme ça, je te sauve la vie ? » De-suite les grands mots. Bon en même temps, c'était ceux de la brune. « Je savais que je n'aurais jamais du te dire ça. » Parce qu'elle le connait assez pour savoir qu'il va le ressortir dès que possible. « Mais oui. Je ne savais pas comment rentrer chez moi et faire venir un serrurier, ça m'aurait certainement coûter un bras. » Voire un rein ou deux. Finalement l'option Adrian c'était plus sage. « Et non, je n’avais rien de prévu. Ma soeur sera contente que tu sois là ce soir. » Whaaaaat ? Jill se stoppe net dans sa marche. « Attend, attend. Tu es en train de me dire que j'ai fais tous ces km pour venir ici alors que ta sœur était chez toi et qu'elle aurait pu me donner les clés ? » Elle le déteste, c'est officiel. Enfin c'est Jill, elle va bouder trente seconde et elle aura déjà oublier le pourquoi du comment. « Mais ton mec il va pas être jaloux ? Non pas que j’en ai quelque chose à cogner de lui, mais s’il te prend la tête, je risque de m’énerver. » « Non, il n'est pas jaloux et je ne suis pas jalouse aussi. » avoue-t-elle en haussant les épaules. « Tu sais, je suis une femme libre, j'ai le droit de faire ce que je veux sans rendre des comptes à quelqu'un. » La brune finit sa boisson et jette le gobelet de celui-ci dans une poubelle avant de pénétrer dans le métro. « C'est ta façon de draguer les filles au boulot ? D'écrire un petit mot mignon sur leur gobelet ? » Elle faisait en l’occurrence référence au beauté qu'elle avait eut sur le sien. Celle derrière elle, avait eut le droit à quoi ? Alors qu'ils sont en train dans le métro, assit à attendre l'arrêt jusqu'à la station la plus proche de chez eux, Jill parvient à capter une douce mélodie d'un téléphone portable. La brune commence à fredonner l'air, tout en bougeant la tête. En voyant que son ami ne semble pas réceptif, elle s'offusque presque. « Tu me déçois Dawkins. » Il ne connait pas Joe Dassin, c'est une atteinte à son amour propre. La brune dépose sa tête contre l'épaule du brun. « Et si tu n'existais pas dis-moi pourquoi j'existerais ? Pour traîner dans un monde sans toi, sans espoir et sans regrets. » Non, toujours pas ? Ça ne lui parle pas ? « Sache que si tu n'étais pas là, ma vie serait bien triste. » Trop. Elle dépose calmement ses lèvres contre la joue du brun, une façon comme une autre de le remercier d'être là pour elle.

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Lun 23 Déc - 18:54
« Pourquoi, je ne le mériterais pas ? » Adrian hausse simplement les épaules, il sait qu’il n’a pas le droit de discuter beaucoup avec la clientèle mais quand même. C’est Jill, ce n’est pas n’importe quelle cliente. « Je sais pas. » Oui, c’est un Adrian en manque d’arguments que nous avons là. « Je sais que tu es vieux mais quand même, je pensais que tu avais dépasser l'âge de croire au père noël. Désolé si j'ai brisé des années de croyance, mais quelqu'un devait rétablir la vérité, pour ton bien. » Pour la taquiner, Adrian porte une main à son coeur et ouvre la bouche en forme de O « tu viens de briser mes rêves. Alors le père Noël du centre commercial c’est pas le vrai ? » Puis il se met à glousser en levant les yeux au ciel, lui tendant sa boisson et il s’occupe des clients suivants, en étant un peu moins bavard avant de lâcher son tablier comme un chef pour retourner voir sa voisine et accessoirement pour rentre chez lui, c’est un homme presque comblé, il a fini sa journée. « Merci. » Un sourire se dresse sur les lèvres du Dawkins avant que son sourire ne se fane quand son collègue vient faire son gros lourd. « L’un empêche pas l’autre » Adrian regarde Jill avec un sourire en coin, une lueur malicieuse dans le regard « Intéressant. » Mais voilà qu’ils sont dehors avant qu’il n’est le temps de dire café et il en profite pour s’en griller une, tout en rappelant à Jill ce qu’elle lui avait dit quelques instants plus tôt, il faut dire qu’il est sourd quand il veut quand sa soeur lui demande un service par exemple. Et sa réaction le fait rire. « Je savais que je n'aurais jamais du te dire ça. Mais oui. Je ne savais pas comment rentrer chez moi et faire venir un serrurier, ça m'aurait certainement coûter un bras. » Il pose alors une main sur le bras de Jill et fait semblant de lui parler « Tu peux me dire merci petit bras, je suis l’homme de toutes les situations. » Et il reporte son attention sur la brune comme s’il n’avait rien fait. Puis il se met à parler de sa soeur et visiblement, ça ne plaît pas à la Grayson. « Attend, attend. Tu es en train de me dire que j'ai fais tous ces km pour venir ici alors que ta sœur était chez toi et qu'elle aurait pu me donner les clés ? » Ah parce qu’elle n’est pas venue pour ses beaux yeux ? « Je suis déçu. Je pensais que tu étais venu juste pour moi. » Un temps d’arrêt et il continue « Non, elle est au studio de danse il me semble tout l’après-midi, elle rentre ce soir. Ou alors elle est chez la chose qui lui sert de mec. » Il n’en sait rien Adrian et il s’en fout un peu, tant qu’elle rentre en vie et sur ses deux jambes, elle peut bien faire ce qu’elle veut. Rapidement, le sujet du mec de sa voisine revient sur le tapis et adrian a la sombre sensation qu’il pourrait lui casser les dents s’il faisait du mal à sa voisine, mais il met ça sur le coup d’une sur-protection et non sur le dos d’une jalousie mal placée. « Non, il n'est pas jaloux et je ne suis pas jalouse aussi. » Heureusement. Pour lui en tout cas. « Tu sais, je suis une femme libre, j'ai le droit de faire ce que je veux sans rendre des comptes à quelqu'un. » Ah ouais ? Adrian la regarde en penchant un peu la tête sur le côté « Donc si je t’embrasse, il dira rien ? » Il prendrait un malin plaisir à le faire, juste pour voir sa réaction mais c’est un Homme civilisé donc il garde sa langue dans sa bouche Marion allait dire dans sa poche, mais c’est bizarre« C'est ta façon de draguer les filles au boulot ? D'écrire un petit mot mignon sur leur gobelet ? » Il hausse une nouvelle fois les épaules en la regardant malicieusement et en se mordant l’intérieur de la joue, il s’attendait à cette réflexion. « Non, juste à toi. » Il n’avait jamais tenté, c’était peut-être un truc a faire, sauf qu’il noterait son numéro de téléphone à la place. Chose que Jill a déjà. Il pénètre ensuite dans le métro qui vient d’arriver et Adrian laisse la brune s’assoir avant d’en faire de même, les mains dans les poches. Il regarde Jill, étonné, quand il la voit qui bouge la tête en rythme sur une chanson qu’il ne connaît pas. Il se demande s’il a loupé un truc, mais cette chanson ne lui dit vraiment rien et ça fait râler la brune. Évidemment. « Tu me déçois Dawkins. » Meh. « Et si tu n'existais pas dis-moi pourquoi j'existerais ? Pour traîner dans un monde sans toi, sans espoir et sans regrets. »  Hein ? Il baisse le regard vers la tête de Jill et la regarde comme si elle avait une deuxième tête et il  arbore une expression un peu étrange qui indique qu’il est étonné et … la lumière fut. « Ahhhhh c’est les paroles de la chanson ? » Oh ben il se sent bien con pour changer Mais elle aurait pu laisser sa tête ça ne le dérangeait pas le moins du monde. « Sache que si tu n'étais pas là, ma vie serait bien triste. » Il lui sourit et la regarde « La mienne aussi, a qui je ferais crever les plantes vertes parce que je suis absolument nul en jardinage ? » Il faut dire qu’il avait complètement oublié d’arroser ses fleurs pendant trois jours, pas étonnant que quand elle est revenue, il n’y en avait plus. « Et puis à qui je ferais des sous-entendus graveleux si tu n’existais pas? T’es la seule à m’envoyer me faire cuire un oeuf, toutes les autres elle se sente pousser des ailes quand je leur fais des sous-entendus de la sorte. » Lui demande t-il en souriant en coin. Quand ils arrivent à leur arrêt, il la laisse sortir et se dirige vers l’immeuble où ils habitent. « Tu veux rire ? J’ai rêvé qu’on couchait ensemble l’autre soir. » Oui, il lui annonce ça sans pression. « Dans l’ascenseur de l’immeuble. » Ascenseur qu’ils vont forcément emprunter, c’est peut-être même pour ça qu’il lui dit, juste pour l’embêter encore une fois.

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Lun 30 Déc - 18:06
Adrian est chiant, c'est un fait. Jill l'apprécie ce chiant. Elle aimerait juste qu'il arrête toujours de la contredire ou d'aller à l'inverse de ses propos. Mais c'est surement ce qui fait son charme comme cette façon qu'il a de jouer l'idiot. « Tu viens de briser mes rêves. Alors le père Noël du centre commercial c’est pas le vrai ? » Malheureusement non, c'est un faux. Jill fait une petite moue triste sans le quitter des yeux. « Tu t'en remettras, t'es un garçon fort. » dit-elle en serrant le poing. Puis, elle récupère sa commande et attend simplement que le Dawkins finit son service afin de pouvoir rentrer chez elle. Chose faite, les voilà déjà à l'extérieur du café. « Tu peux me dire merci petit bras, je suis l’homme de toutes les situations. » « Petit bras ? Je vais prendre ça comme un compliment. » dit-elle. Elle pourrait se vexer pour si peu, c'est déjà arrivé mais pas ce soir, elle n'a pas la force. Cependant, elle voit rouge quand elle comprend que la sœur d'Adrian était chez lui. Donc, Jill a fait tous ces kilomètres pour rien ? « Je suis déçu. Je pensais que tu étais venu juste pour moi. » Bof non. « Non, elle est au studio de danse il me semble tout l’après-midi, elle rentre ce soir. Ou alors elle est chez la chose qui lui sert de mec. » Bon finalement en apprenant cette vérité, Jill ne tuera pas Adrian, pas ce soir. « La chose qui lui sert de mec ? Tu as vraiment toujours aussi peu d'estime pour les hommes ? » demande-t-elle en se mettant à rire. « C'est peut-être un mec bien. » Après tout si sa soeur sortait avec, c'est bien qu'il y avait une raison. Et voilà, parler de relation ça vient à mettre celle de Jill sur le tapis. La brune souligne qu'ils sont dans une sorte de relation libre. « Donc si je t’embrasse, il dira rien ? » Il n'en rate vraiment aucunes. « Aucune idée. » annonce-t-elle en haussant les épaules, elle n'est pas dans la tête de Josh. « Mais c'est fort possible que tu te retrouves avec la marque de ma main sur ta joue. » C'est même une certitude. Jill, elle n'aime pas qu'on viole sa bouche sans même qu'on en fasse la demande avant. Adrian, il est mignon mais ça reste Adrian. La brune apprend même qu'elle est la seule à avoir le droit à un traitement de faveur en ayant un petit mot sur son gobelet. Savoir ça, ça lui plait. Ce qu'elle n'aime pas c'est de constater que Adrian a une culture musical à chier. « Ahhhhh c’est les paroles de la chanson ? » Vu la façon dont elle le fusille du regard, il doit avoir comprit. « La mienne aussi, a qui je ferais crever les plantes vertes parce que je suis absolument nul en jardinage ? » Oui d'ailleurs. « Même mon cactus est mort, un cactus Adrian, tu te rends compte ? Un cactus ! » Non désolé, elle ne s'est toujours pas remise de la mort de cette plante. Adrian, il n'a pas de l'or dans les mains, du moins pas quand il s'agit de jardinage. « Et puis à qui je ferais des sous-entendus graveleux si tu n’existais pas ? T’es la seule à m’envoyer me faire cuire un œuf, toutes les autres elle se sente pousser des ailes quand je leur fais des sous-entendus de la sorte. » Cette révélation surprend toujours autant la brune. « Elles acceptent peut-être simplement pour obtenir un tour de bite gratuit et supplémentaire. » Désolé mais Jill ne voit pas d'autres solutions. « Ou, t'es lourd qu'avec moi. » Parce qu'elle est Jill et qu'il adore la titiller. Bon ça voudrait dire aussi que le Adrian il a des tendances SM. « Tu veux rire ? J’ai rêvé qu’on couchait ensemble l’autre soir. » Pardon ? Jill, elle était prête à tout, sauf à ça. Elle tourne même la tête vers lui, choqué par cette révélation. « Dans l’ascenseur de l’immeuble. » En plus ! Jill ne va plus vouloir le prendre durant un moment cet ascenseur, les escaliers c'est mieux pour le fessier en plus ! « J'espère que c'était bien. C'était bien ? » Finalement, Jill est curieuse de connaitre les détails de ce rêve. « On était tout nus ? Ou tu avais juste baisser ton jean et lever ma robe ? » La Grayson est même prête à prendre des notes. Une fois devant l'immeuble et devant le dit ascenseur, Jill se stoppe dans son élan. « Je sais que tu es un homme qui aime réaliser ses rêves, mais si tu pouvais garder ta langue dans ta bouche, tes mains dans tes poches et ta queue dans ton pantalon, tu serais bien mignon. » Quand ils sont dans le lieu maudit, Jill appuie sur l'étage correspondant au leur. « Je te déteste. » balance-t-elle simplement en tournant la tête afin de ne pas croiser son regard par crainte d'avoir des milliers d'images en tête. Et voilà que le drame se poursuit. La cabine de l'ascenseur bouge et se stoppe net. « Maiiiiis noooooon ! » crie-t-elle en comprenant que l'engin vient de se bloquer. « C'est ta faute ça. » dit-elle en pointant son doigt vers Adrian. « Je t'interdis de me dire que dans ton rêve, il y avait aussi une panne ! » Sinon, elle pleure.

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Jeu 2 Jan - 22:10
« La chose qui lui sert de mec ? Tu as vraiment toujours aussi peu d'estime pour les hommes ? C'est peut-être un mec bien. » Adrian lève les yeux au ciel en la fusillant du regard. « Non je ne le sens pas. Et oui j’estime les autres hommes, quand ils sont loin de ma soeur. » et loin de toi, bon par contre ce qu’il pense, il ne le dira pas. Parce que bon, il ne veut pas se prendre une gifle. « Aucune idée. Mais c'est fort possible que tu te retrouves avec la marque de ma main sur ta joue. » Quand il le disait qu’il s’en prendrait une. Mais c’est parce qu’il lui a dit qu’il allait l’embrasser et bien qu’il en ait envie, il ne le fera pas, il lève les mains pour se défendre, il n’a pas envie de se prendre une gifle, sa joue en a déjà bien assez prit. Et il se remémore quand il a fait crever toutes ses plantes, il avait eu beau se confondre en excuses, il n’avait pas pu s’empêcher de se remémorer sa tête de trois pieds de longs et la dispute qui avait suivi. Il s’était fait appelé Arthur pendant des semaines durant avant qu’il lui ait racheté l’équivalent qu’il avait fait crevé. « Même mon cactus est mort, un cactus Adrian, tu te rends compte ? Un cactus ! » Il lève les yeux au ciel tout en se disant qu’il préférait quand même quand elle chantait. « Oui, je sais j’ai tué Hubert le Cactus mais je t’en ai acheté un nouveau roh ! » Un beau, avec un pot jaune. « Il était même plus beau il avait un pot jaune. » Et ça allait très bien avec toutes ses plantes. Il se démarquait des autres ce petit cactus. « Il était le roi des plantes, le petit cactus. » Et Adrian l’aimait bien ce cactus, mais il ne le voit plus quand il vient, alors ça c’est triste. Il lui offrira un cactus à Noël. C’est décidé.« Elles acceptent peut-être simplement pour obtenir un tour de bite gratuit et supplémentaire. Ou, t'es lourd qu'avec moi. » Adrian tourne la tête choquée du terme qu’emploi Jill « Non mais Jill dis donc ! » Il ne s’attendait pas à ça. « Je suis brusqué. » Oui, des fois il utilise des mots intelligents. Puis cette fois-ci c’est elle qui est choquée et il est fier de lui, il sourit, fier comme un coq, ses mains dans les poches de sa veste. « J'espère que c'était bien. C'était bien ? » Il laisse un suspens de quelques secondes. Mais elle pose une nouvelle question. Évidemment. « On était tout nus ? Ou tu avais juste baisser ton jean et lever ma robe ? » Il rit un peu, ses mains toujours dans ses poches avant de les retirer pour ouvrir la porte avant de lui répondre « alors on avait pas eu le temps de se mettre tout nus. Et oui c’était bien. » La preuve il s’en souvient. Les rêves nuls, ils les oublient et il n’en parle pas. Quand elle le fusille du regard, il remet ses mains dans ses poches avant de s’approcher de l’ascenseur. « Je sais que tu es un homme qui aime réaliser ses rêves, mais si tu pouvais garder ta langue dans ta bouche, tes mains dans tes poches et ta queue dans ton pantalon, tu serais bien mignon. » Il pince ses lèvres, garde ses mains en dans ses poches et vérifie que sa queue est dans son pantalon avec un coup d’oeil et il hoche la tête pour lui signifier que ce n’est pas ce soir qu’il réalisera son rêve, son lui intérieur est triste mais quand même, tant pis. Il rentre dans la cage d’ascenseur, la laisse appuyer sur le bouton après avoir voulu le faire Jill étant visiblement trop rapide. « Je te déteste. » « Moi aussi Je t’aime. » Du tac au tac, il aime savoir que chaque fois qu’elle va entrer dans l’ascenseur, elle pensera à ce qu’il lui a dit. Par contre, il ne s’attendait pas à ce que l’ascenseur se bloque, il explose de rire et se cache le visage pour tenter de se calmer, ce qu’il n’arrive pas à faire. C’est beaucoup trop drôle comme situation, il ne peut pas s’arrêter de rire même quand elle comprend « Maiiiiis noooooon ! C'est ta faute ça. » et qu’elle le pointe du doigt par la suite. C’est beaucoup trop hilarant. Il en pleurerait presque. Il tente de se calmer, ferme les yeux et serre les poings. « EH J’AI RIEN FAIT. » Il crie pour se défendre parce qu’il a bon dos dans cette histoire. « Je t'interdis de me dire que dans ton rêve, il y avait aussi une panne ! » Il lève l’index en l’air « Ah non, dans mon rêve j’ai provoqué cette panne en appuyant sur le bouton. C’est pas pareil. » Et la il est bien trop loin pour appuyer dessus. « Mais t’inquiète, ma soeur doit sûrement me stalker sur son téléphone, elle va bien voir qu’on est bloqués. » Elle n’est pas idiote. Il appuie même sur le bouton d’urgence et se met en relation avec un technicien qui lui dit qu’il ne va pas tarder. Adrian se rapproche alors d’elle en se mordant l’intérieur de la joue. « j’suis désolé de t’avoir parlé de ce rêve, j’pensais pas que ça allait bloqué. » Il trouve la situation sacrément cocasse quand même. Il ouvre les bras pour qu’elle vienne dedans. « Si tu veux un câlin en tout bien tout honneur, évidemment. » Oui, il va garder sa langue dans sa bouche et sa queue dans son pantalon. « Et tout a l’heure, c’était con de te demander s’il serait jaloux si je t’embrassais. » Oula, on pourrait presque croire qu’il est vivre. « Non pas que je n’en ai pas envie hein, mais je préférerais encore que ça vienne de toi. » Et quand elle vient -enfin- se perdre dans ses bras il a failli mourir les bras ouverts comme s’il attendait le messi, le pauvre il entoure le corps de Jill de ses bras -à une place raisonnable- et ses lèvres se posent sur le sommet de son crâne en silence. C’est beaucoup trop étrange, mais il assume Adrian. « J’appellerais le syndic demain. C’est traumatisant de rester coincé dans un ascenseur. » prononce t-il pour détendre l’atmosphère en riant, restant avec Jill dans ses bras en attendant que l’ascenseur daigne se remettre en marche.

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Mar 21 Jan - 19:16
Adrian joue au grand frère protecteur et plutôt que de continuer dans cette lutte sans fin, Jill baisse les bras en lève les yeux vers le ciel, sachant éperdument qu'elle ne fera pas changer son ami d'avis. Si Adrian est protecteur envers sa sœur, Jill confirme qu'il est totalement nul en jardinier. Il a été capable de tuer l'un de ses cactus en l'espace d'une seule semaine. C'est dingue, elle n'en revient toujours pas. Heureusement qu'elle n'avait pas un chat ou un chien, sinon c'est l'animal qu'elle aurait retrouvé mort dans son appartement.« Oui, je sais j’ai tué Hubert le Cactus mais je t’en ai acheté un nouveau roh ! » Hubert ? Elle glousse, ce nom est tellement ridicule. « Il était même plus beau il avait un pot jaune. Il était le roi des plantes, le petit cactus. » « Enfin ça c'était avant que tu ne le nourrisses trop. » Maintenant il doit finir sa vie dans une décharge. La forme d'un cactus fait penser à un pénis et Jill expose le sujet des conquêtes du garçon. Selon elle, les femmes sont surtout intéresser par le cactus d'Adrian. « Non mais Jill dis donc ! Je suis brusqué. » Ah bon ? « Tant que ça ? » demande-t-elle avant de se rendre compte qu'il se fiche d'elle et de lui donner un petit coup sur l'avant bras. Si Adrian a été brusqué, désormais c'est elle qui est choquée. Elle ne s'attendait pas à ce que le Dawkins lui explique qu'il a fait un rêve érotique en sa compagnie la nuit dernière. Le dit rêve ayant lieu dans cet ascenseur qu'ils sont en train de prendre. Plutôt que de rougir, la brune joue la curieuse. Elle veut connaitre les moindres détails de ce rêve. « Alors on avait pas eu le temps de se mettre tout nus. Et oui c’était bien. » C'était bien. C'est essentiellement ce qu'elle retient de ces propos. Cela a même le don de lui tirer un doux sourire. Malgré tout, elle met les choses au clair avec Adrian en lui expliquant que ça n'est pas ce soir qu'il pourra réaliser ses rêves avec elle. Et forcément, elle devait s'y attendre. A trop parler de cet ascenseur, celui-ci décide de ne plus répondre et de se stopper. « Moi aussi Je t’aime. » C'est mignon mais ce soir, elle ne l'aime pas. Elle sait que c'est de sa faute s'ils sont tombé en panne. « EH J’AI RIEN FAIT. » « SI ! » Jill a pourtant été claire, ça n'était pas ce soir qu'il devait réaliser son rêve. « Ah non, dans mon rêve j’ai provoqué cette panne en appuyant sur le bouton. C’est pas pareil. » AH ! « Tu l'as peut-être fait par la pensée quand j'avais les yeux fermés. » Oui c'est de sa faute dans tous les cas. Jill, boude. Elle croise ses bras contre sa poitrine et laisse Adrian jouer les supers-héros d'un soir. Enfin il appelle juste un technicien, ça aussi, elle aurait pu le faire. « J’suis désolé de t’avoir parlé de ce rêve, j’pensais pas que ça allait bloqué. » La brune affiche toujours une mine boudeuse, tournant même la tête de l'autre côté pour ne pas le regarder. « Je suis sure que tu es de mèches avec la compagnie qui gère l'ascenseur de l'immeuble. » Jill s'imagine une théorie du complot avant de se rendre compte qu'elle est ridicule. « Si tu veux un câlin en tout bien tout honneur, évidemment. » « Non, j'en veux pas de ton câlin. » Pour l'instant. « Et tout a l’heure, c’était con de te demander s’il serait jaloux si je t’embrassais. Non pas que je n’en ai pas envie hein, mais je préférerais encore que ça vienne de toi. » Là, elle est perdue. Elle fronce les sourcils et pour ne pas le laisser mourir les bras ouverts, elle trouve quand même le courage de s'y perdre dedans. « J’appellerais le syndic demain. C’est traumatisant de rester coincé dans un ascenseur. » Beaucoup trop. Mais elle a eut le droit à un bisous et à un câlin, donc c'est une petite victoire pour Jill Grayson. « Heureusement que je n'ai pas envie de faire pipi. » dit-elle en riant. Elle ne veut pas savoir comment, elle aurait du faire dans cet endroit qui fait peut-être trois mètres sur trois, et encore. « Tu voulais dire quoi en préférant que ça vienne de moi ? » Jill est encore assez perplexe face à cette révélation, elle n'a pas vraiment comprit où il voulait en venir. « Tu veux que je t'embrasses ? » Elle est obligé de demander pour en être sûre. « Genre, comme ça ? ... » Jill lève les yeux vers Adrian pour se plonger dans son regard bleuté qui le temps d'une seconde l’enivre. Elle humidifie ses lèvres avec sa langue. Puis elle se rapproche de lui, assez pour sentir son souffle chaud. Quand enfin, sa bouche n'est qu'à plus que quelques centimètres de la sienne, un sourire s'installe sur son visage. Elle se stoppe net en sentant l'ascenseur qui reprend du service vers l'étage convoiter. Malgré tout, Jill vient dépose ses lèvres sur la joue du brun. « Déso, ce n'est pas aujourd'hui qu'on réalisera ton fantasme de l'ascenseur. » annonce-t-elle, tout en quittant son étreinte. Quelques secondes plus tard, les portes s'ouvrent, les laissant à leur étage. « Merci encore Adrian. » dit-elle après avoir récupérer ses clés. « Elle était jalouse. » dit-elle en ayant embrasser l'autre joue du brun. « Passe une bonne soirée. » Et c'est sur ces quelques mots que la brune quitte l'appartement du Dawkins pour rejoindre le sien, consciente qu'elle venait de briser une barrière de plus entre eux.

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