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i think i'm sorry (jules)

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Sam 14 Mar - 15:17
Ces deux semaines dans la capitale française t'ont fait un bien fou mais le retour à la réalité new-yorkaise t'a bien vite rappelé que tu n'es rien d'autre qu'un crétin fauché, de nouveau célibataire après une rupture amoureuse qui a plutôt mal fini bien que cela a été ton souhait et surtout le dernier des cons. Mais ce dernier point, tu l'as uniquement compris lorsque tu t'es retrouvé devant ton appartement avec la serrure changée, un mot de ton propriétaire accroché à la porte t'indiquant que tu ne pourras plus remettre un pied ici. Merde. Il faut croire que les galères continuent, toi qui a eu tout juste le temps de souffler pendant quelques jours. Alors tu as pris une décision : celle de te reprendre en main. Plus ou moins. Peut-être que te reprendre en main n'est pas synonyme de recontacter son ex petite-amie et trouver toutes les excuses possibles et inimaginables pour qu'elle accepte d'aller boire un verre avec toi – ou plutôt, discuter – mais c'est pourtant bel et bien ce que tu as fait. Il faut dire qu'après vos dernières entrevues, rien ne s'est passé comme prévu. Tu ne cherches pas à te faire pardonner quoi que ce soit, simplement à lui parler sans parasite autour de vous et surtout avec honnêteté pour la première fois depuis que tu as décidé de disparaître de sa vie et de réapparaître pauvre, avec un métier qui te fait te balader en slip doré, et une petite amie qui t'en a fait voir de toutes les couleurs en un rien de temps. Maintenant que tu t'es débarassé d'un problème, tu comptes bien lui parler à cœur ouvert. Enfin, à mettre les choses au clair. Tu lui dois bien cela à Jules, non ? Étonnamment, après plusieurs messages de ta part, Madame la diva accepte enfin ce fameux tête à tête avec toi. Tu es en avance, sachant très bien que si tu t'amusais à arriver en retard avec elle, elle quitterait le bar sans attendre une seule seconde de plus. Elle a déjà assez perdu de temps avec toi, après tout. C'est elle qui finit par arriver en retard et lorsqu'elle arrive à ta hauteur, tu dois te retenir pour ne pas lui faire une réflexion à ce sujet. Ne sois pas tout de suite un petit con, Aidan. « Bonsoir Jules. Merci d'avoir accepté de me voir après tout ce... merdier. ». Pas un langage digne d'un ancien du Gotha mais un) tu n'en fais plus partie et deux) tu ne vois pas d'autres moyens pour qualifier ta vie ces derniers mois. Jules y a assisté sans même le vouloir et toi, tu as quelque peu honte de te trouver devant elle à ce moment-là. « Bon, déjà sache que non, je n'ai pas une maladie grave comme je t'ai dit par message mais il fallait bien que je trouve un moyen de te faire venir. Enfin, regarde-moi... Même la pauvreté continue de me garder en pleine forme. ». Ok, tu te doutes bien que Jules n'est pas dupe à ce point-là et toi, tu n'as eu aucun scrupule à jouer de cela mais c'est simplement une idée de ta part pour lui faire comprendre à quel point tu as besoin de la voir. Et en plus, tu peux jouer ton narcissique par la même occasion. « Mais je pense que je te dois des explications. Des vraies, cette fois-ci. Sans mensonge. ». Tu ne remarques pas tout de suite la bague de fiançailles à son doigt. Pas encore. Car à cet instant, tu l'observes dans les yeux et l'invite à t’asseoir face à toi. Jules peut toujours décider de te mettre un vent à cet instant, tu ne pourrais même pas lui en vouloir. Ce serait même mérité après tout ce spectacle pathétique dont tu as été victime. Ouais, tu préfères te faire passer pour une victime dans toute cette histoire. L'amour rend aveugle, non ? Toi, tu vois sacrément bien à présent.

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Mar 17 Mar - 21:51
Elle a essuyé la honte de se prendre une gifle de la part d’une traînée de bas étage. Elle a essuyé le fait de se faire quitter du jour au lendemain par Shana qui a déménagé sans lui donner aucune raison. Elle a essuyé le fait de se dire qu’Aidan sortait avec une fille comme la brune qui se pendait à son bras comme une pauvre fille en manque de reconnaissance. Mais elle est passée à autre chose, comme d’habitude, elle avait épousseter ses soucis comme on vire une peluche sur l’épaule. Elle était passée à autre chose, les soucis se sont transformés en d’autres, son père toujours aussi motivé à la faire épouser un type qu’elle ne connaît pas malgré le fait qu’elle ait demandé à Castiel de jouer son faux fiancé. Elle doit se consacrer au fait qu’elle a une colocataire pour une durée qui se veut indéterminée et bien qu’elle ne soit pas pénible, elle aimerait retrouvé son chez elle, à elle toute seule. Puis le message qu’elle reçoit d’Aidan la fait rire nerveusement, rire jaune. Elle lève les yeux au ciel mais accepte quand même. Si bien que quand elle doit y aller, elle est encore en serviette. Elle attrape le premier pantalon qui passe, la première chemise et enfile une paire de talons avant de descendre pour se faire conduire jusque chez Jojo’s. Elle n’avait pas prévu que la circulation soit si dense, mais elle fait courir ses doigts dans un rythme régulier, avant de dire à son chauffeur de se dépêcher, elle n’a pas envie d’être bien trop en retard, elle qui détestait ça. Quand elle regarde son téléphone, elle voit qu’elle est en retard mais elle s’en fiche, elle entre dans le restaurant, prévient qu’elle est attendue et on la dirige jusqu’à la table d’Aidan. « Eh bien, quel vocabulaire. » Elle s’installe, passe une main dans ses cheveux pour les discipliner avant de poser ses deux mains à plat sur la table et déposer sa pochette à ses côtés, son regard se baladant sur Aidan, après tout, il doit être malade. C’est ce qu’il lui a dit. Quand il se défend, elle se met à rire jaune encore une fois avant de lever les yeux au ciel « Pathétique de se servir de la maladie, mais je dois dire que je ne m’attendais pas à ça. Oui il faut croire que la pauvreté te tient au corps, c’est vrai. » Elle hausse les épaules et remercie le serveur qui lui tend la carte, elle sait ce qu’elle va prendre, un verre de vin, éponger avec de l’alcool la conversation qui approche à grand pas. Elle dépose la carte sur le côté et croise ses bras sur sa poitrine, appuyé sur la table, ses yeux dans ceux d’Aidan alors qu’elle l’écoute. « Des explications de quoi ? » Demande t-elle en le regardant toujours. « Des explications quant au fait que tu t’es barré sans me prévenir, en croyant que je n’allais pas comprendre parce que tu me pensais égoïste au point de ne pas comprendre que tes parents sont des putains de tarés ? » Elle secoue négativement la tête en se reculant, les bras toujours contre sa poitrine. « Ou alors des explications au fait que t’as pas eu le culot de me dire que t’étais de retour, et que je te vois avec un toutou à tes baskets, qui a osé me gifler ? » Oui, elle l’a encore mauvaise Jules, mais elle ne le dira pas. « Mais vas-y, explique moi. J’écoute. Mais essaye de croire en tes mensonges, parce qu'il paraît que c'est comme ça qu'un bon mensonge marche. » Après tout, elle l’a toujours aimé Aidan, au fond. Elle l’aimera sûrement toujours cet idiot qui lui a brisé le coeur, mais tout est terminé. Parce que Jules, elle ne peut pas montrer que sa couronne est tombée, Jules, elle doit rester la tête haute, toujours. Même si son père est là, dans l’ombre à guetter. Même si Castiel est là, à dépanner alors qu’il ne devrait pas. Mais Jules, reste égale à elle-même, la tête haute, et le coeur brisé. Mais ça, tout le monde s’en fout.

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Mar 24 Mar - 14:29
Jules, toujours bien apprêtée, toujours tirée à quatre épingles. Pas un seul défaut. Toi aussi, tu as fait un effort. En même temps, tu ne serais pas rentré dans ce restaurant huppé sans ce costard que tu as ressorti de ton placard juste pour ce tête à tête avec ton ex petite-amie. Tu ne peux même pas appeler cela un rendez-vous, ce serait malvenu. C'est une... discussion. Voilà, une discussion entre deux personnes adultes capables de communiquer sans que l'un d'entre eux part en courant – comme tu l'as fait lors de vos retrouvailles inattendues pour la simple et bonne raison que tu n'as pas voulu assumer être déshérité et faire partie des gueux de NYC à présent. C'est sûrement idiot, mais tu te sens petit à côté d'elle. Pas à la hauteur. Elle, elle reste du Gotha. Toi, tu es blacklisté de partout à cause de tes parents. Tu commences à croire que c'est une mauvaise idée de vouloir mettre les choses au clair avec elle mais maintenant que tu es là... Oh non. Voilà que Jules appuie directement sur le sujet sensible. Tu commences machinalement à toucher le haut de ta chemise parfaitement repassée (merci à tes colocataires pour t'avoir montré la bonne technique). « Il fait chaud ici. ». Le regard que pose la jeune femme sur toi te fait comprendre que tu n'as pas intérêt à jouer au con une nouvelle fois.  Non, ta tentative de changement de sujet médiocre ne fonctionnera pas. « Je suis désolé. ». Des mots que tu marmonnes, avant de cacher ton visage derrière le verre que vient de t'amener le serveur, fuyant du regard celle que tu as tant aimé. Tu lui as promis d'être honnête, pour toi la franchise commence par des excuses que tu penses cette fois-ci. « Pour... tout. D'être parti comme un voleur, de ne pas avoir su te dire la vérité, d'avoir tenté de revenir au Gotha avec la première venue à mes bras, pour la gifle... Crois-le ou non, mais c'est à ce moment-là que j'ai commencé à réaliser certaines choses. Déjà que je n'avais plus du tout ma place au milieu de vous tous, mais aussi que les relations amoureuses ne sont pas mon fort. Il faut croire que c'est le juste retour des choses après ce que je t'ai fait. ». Tu bois une gorgée de ton verre, un bref sourire venant apparaître sur tes lèvres. Parce que c'est la vérité. Le karma t'a frappé bien fort sur ce coup-là. Au moins une chose de bien... non ? Tu ne penses pas que Jules veuille ton malheur, pas à ce point-là du moins. Elle l'a peut-être souhaité, à un moment ou un autre, mais tu espères que les choses peuvent s'arranger. Que vous puissiez parler sans vous énerver l'un et l'autre. Personne n'aurait pu prévoir que tout cela tournerait autant au vinaigre, toute cette histoire. « Je ne t'ai jamais vu comme quelqu'un d'égoïste. Juste que j'avais honte. Tu m'excuseras mais la vie n'est pas un dessin animé Disney. La Belle et le clochard, ça n'existe pas dans la réalité. ». Tu hausses les épaules, te mettant à faire pianoter tes doigts sur la table. Clairement, tous les signes montrent que tu es mal à l'aise face à Jules. « Ouais, j'ai des colocs qui me font découvrir les classiques. J'ai même été forcé de regarder Love Actually, tu te rends compte ? T'aurais vraiment voulu de cette vie ? ». C'est bel et bien toi Aidan, incapable d'avoir une conversation sérieuse sans tenter de jouer le drama king sur ta situation histoire de désamorcer la bombe, d'espérer que Jules se détende. Car là, tu n'as aucune idée de son état d'esprit, de si elle est prête à se barrer et te laisser en plan ou si les quelques mots que tu lui as dit lui donnent la curiosité de rester. Et tu n'aimes clairement pas être dans cette situation, être celui qui ne tire pas les ficelles du jeu. Tu es celui en position de faiblesse, c'est elle qui peut décider de tout ce soir. Et ton regard finit par passer sur sa main qui se porte à son propre verre. « Tu te fous de ma gueule ? » que tu t'exclames soudainement, tes yeux rivés sur... une bague de fiançailles. C'est une plaisanterie ? Adieu les bonnes résolutions de rester calme, voilà que tu commences à te poser trop de questions.

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Jeu 26 Mar - 20:25
Elle avait peur de cette entrevue la rousse, mais elle ne le dirait jamais, parce qu’après tout, elle est censée n’avoir peur de rien ni de personne. Et elle a peur de lui, peur de ce qu’il pourrait lui dire, peur de retomber dans ses travers et qu’elle finisse par recraquer pour lui. Mais non, elle a été sevrée, le chercher jusqu’au petit matin, s’endormir dans le canapé, près du téléphone fixe, son propre portable à la main… Elle avait beaucoup trop donné dans cette relation pour y retomber. Quand il dit avoir chaud, Jules a envie de lui balancer un verre d’eau à la figure, mais elle se retient simplement avant de l’entendre dire qu’il est désolé, un soupir sort de ses lèvres alors qu’elle secoue négativement la tête « Il est peut-être un peu tard non ? Pour être désolé. » réplique t-elle, acerbe, le coeur qui bat si fort dans la poitrine que ça se répercute dans tout le corps. Elle secoue négativement la tête quand elle l’entend, boit une gorgée de vin pour se donner du courage, pour ne pas fuir, pour que cette conversation soit un peu plus douce. « C’est ça de récolter la chose qui se sert de copine dans les poubelles, on apprend pas à une chienne de s’asseoir et de se comporter correctement en deux-trois coups de reins. » Elle est mauvaise Jules, mais elle déteste qu’on se pense supérieure, surtout quand on vient du petit peuple. Elle sait qu’elle agit comme une fille pourrie gâtée, elle sait qu’elle agit comme une connasse, mais elle s’en fout. Elle reprend une gorgée avant de le regarder « Mais en dépit de tout ça, j’accepte tes excuses. » Parce que c’est ça qu’il faut dire non ? Même si on ne le pense pas ? C’est ça qu’il faut prétendre, accepter des excuses, mais quand la rancune est tenace. La rancune de s’être fait brisé le coeur et de s’être fait ridiculiser plus tard, ça Jules, elle ne l’acceptera sûrement jamais. Mais tant pis, elle a l’habitude de passer pour celle qui a la rancune tenace, ça ne changera pas de sitôt, de toutes façons. « Je sais que nous ne sommes pas dans un film Disney. Ne me prend pas pour une idiote. » soupire t-elle en reprenant une gorgée d’alcool. Puis, elle dépose son verre pour que l’alcool ne lui monte pas trop à la tête, trop rapidement, elle risquerait de dire des choses qui la dépassent. Sa main forme un poing et elle détourne la tête un instant pour ne pas le gifler, elle ne doit pas le faire, elle doit se montrer courtoise et ne pas s’énerver. Elle se mord la langue pour ne pas dire ce qu’il lui passe par la tête. « Fut un temps, je t’aurais sûrement suivi Aidan. Parce qu’en dépit de tout ce qu’on nous disait, je t’aimais. Sincèrement. Et Love Actually est un très bon film. » C’était même l’un de ses films de Noël préféré, mais il l’aurait su s’il avait eu la décence de lui dire. S’il avait eu le culot de lui dire que ses parents étaient deux control freak, deux abrutis. Jules n’avait pas revu ses anciens beaux-parents mais elle leur aurait leurs quatre vérités si elle en avait eu l’occasion. Son doigt fait le contour du verre, distraitement, elle repense à tout ce qu’ils ont pu vivre, le fait qu’il lui donnait envie de se lever le matin, le fait qu’il lui donne envie de l’étriper comme de l’aimer si fort. L’amour plus fort que la haine, quel cliché. Elle se faisait sortir de ses pensées de la pire façon possible, elle sursautait et le regardait. Elle voyait que son regard se portait sur sa main. Et elle le portait son regard sur lui, d’un air détaché. « Quoi ? » Ah la bague. Elle retirait la bague pour la fourrer dans sa pochette. « C’est rien ça. » Elle avait juste oublié de la retirer. « J’ai oublié de la retirer avant de venir, tu m’excuses. » Elle hausse les épaules avec nonchalance avant de lui dire « Ferme la bouche Honey, tu vas attraper une crampe de la mâchoire et ce n’est pas très distingué. » Elle reprend une gorgée de son vin avant de le regarder « Ça te dérange ? »

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Lun 30 Mar - 0:11
Jules et son franc-parler... Cela t'a presque manqué. Non, pas presque. Cela te fait même marrer et tu t'autorises à sourire à sa réflexion bien que tu devrais être offusqué. Ce n'est pas ton genre de laisser quelqu'un parler d'une de tes anciennes petites amies de la sorte – non, parmi tous tes défauts, tu ne fais pas pourtant pas partie de ces types qui accusent toujours leur ex pour un oui ou pour un non. Mais là, c'est mérité et même toi tu ne peux pas la défendre. Pas après tous les coups qu'elle t'a fait sous couvert d'être amoureuse. Mais l'amour n'excuse pas tout. L'amour n'excuse pas ta manière de t'être barré pour Jules, il n'excuse pas non plus ce que ta plus récente ex t'a fait subir. Un tas de mensonges pour quoi au final ? Pour rien. « Je ne vais pas chercher à te contredire pour une fois. ». Et tant pis si cela fait de toi un connard. Tu estimes ne pas avoir à aller jusqu'à l'insulter ou l'humilier mais si les autres le font à ta place... Alors tu te contentes d'écouter. Non, tu ne vas pas trop te mouiller dans cette histoire. Tu estimes en avoir fait assez et vouloir être totalement libéré de cette histoire. Tu pourrais la remercier d'accepter tes excuses mais tu préfères rester silencieux, te contentant de lui lancer un vague sourire en coin avant de boire une gorgée de ton verre sans la lâcher du regard. Tu t'es déjà abaissé à la supplier de venir ici, à t'excuser. Il ne faut pas trop t'en demander non plus. Et tu aimerais la croire, Jules, quand elle te dit qu'elle t'aurait suivi. C'est la moindre des choses d'y croire, non ? Elle vient de le faire, elle après tout. Mais tu as du mal à t'imaginer ce que cela aurait pu donner tout cela. Mais c'est trop tard à présent. Impossible de réparer une relation qui a été aussi brisée par tes propres conneries. « J'aurais dû venir avec des pancartes devant chez toi, c'est ça ? » que tu lui lances d'un air sarcastique avant de reprendre ton sérieux. « Je t'aimais aussi. Même quand tu me donnais des cours de féminisme et que je méritais des claques pour être aussi dissipé. Quoi que, j'ai fini par l'avoir ma gifle. ». C'est étrange à avouer, beaucoup plus étrange que toutes les rares fois où tu lui as dit que tu l'aimais quand vous étiez encore ensembles. Mais tu veux qu'elle le sache, qu'elle se rappelle. Que tu l'as aimé, comme tu n'as jamais aimé personne. Que tu n'as jamais fait semblant avec elle. Que tu aurais pu n'importe quoi... comme la demander en fiançailles si elle l'avait voulu. Et c'est pour cela que cette bague à son doigt, elle te fait réagir. Un peu trop brusquement peut-être. Tu changes de tête en une seconde à peine, totalement choqué par cette bague. « Si ça me dérange ? Tu me poses sérieusement la question ? ». Bien sur que oui, cela le dérange et cela se voit rien qu'à la tronche que tu tires actuellement. Parce qu'il y a un abruti quelque part qui a réussi à faire ce que toi n'a jamais eu le cran de faire. Une pointe de jalousie totalement malvenue mais que tu ne contrôles pas sur le moment. Jules ne t'appartient pas, elle ne t'a jamais appartenu et ne t'appartiendra jamais. Pourtant, elle reste la femme que tu as aimé et non, tu es loin d'être heureux pour elle. « Depuis... quand ? ». C'est avec dédain que tu montres d'un signe de la main sa bague. Tu ne comprends pas pourquoi elle l'enlève devant toi comme si ce n'était... rien. Non, tu es incapable de penser avec cohérence à ce moment-là. JULES EST FIANCEE, BORDEL. « C'est rien. Juste une bague de fiançailles. C'est bien connu que ça n'engage en rien. Surtout pas à avoir la corde autour du cou. ». Elle ne t'a jamais parlé de ses envies de mariage, Jules. Tu l'as toujours vu comme une personne voulant rester libre, pas forcément en adéquation avec ses idées-là. C'était ce que vos familles attendaient de vous deux après tout. Il faut croire que tu t'es trompé sur toute la ligne. Et maintenant, tu attends des explications... même si cela ne te regarde absolument pas.

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Lun 6 Avr - 18:15
Jules n’a pas la langue dans sa poche quand il s’agit de parler de gens qu’elle n’aime pas, qu’elle déteste au plus haut point. Elle ne veut pas se prendre la tête, et quand on l’attaque, elle réplique en pire, et elle est inventive quand il s’agit d’insultes. Elle sourit en coin quand il lui dit qu’il ne la contredira pas. Heureusement parce qu’elle veut toujours avoir le dernier mot. Puis cette conversation devient trop sérieuse, trop de regrets, de mots qu’on ne dit pas et Jules secoue la tête quand il cherche à répondre, elle serre les poings, soupire un instant avant de souffler. Elle a envie de lui faire ravaler son sarcasme. Pauvre idiot. Et elle redescend un peu de son nuage d’énervement quand il parle de la gifle et des cours de féminisme. Elle a un sourire nostalgique qui plane finalement « Oui, et je ne m’excuserais pas pour la gifle. Et des pancartes, ça dépend ce que tu aurais marqué, mais de toutes façons, je ne t’aurais pas vu. » Elle habite bien trop haut, quelque chose qui n’a pas changé. Puis elle ne sait pas si elle l’aurait pardonné de toutes façons, avec du recul, aujourd’hui, elle l’aurait fait. Mais sur l’instant T, elle n’en est pas sûre. Peut-être qu’elle lui aurait dit de dégager et qu’ils ne seraient pas là aujourd’hui. Jules s’humidifie les lèvres et elle se saisit de son verre pour boire une gorgée, avec lequel elle manque presque de s’étouffer. Qu’est-ce qui lui prend ? Ah, sa bague de fiançailles ? Jules hausse un sourcil, étonnée, elle se serait attendue à beaucoup de réactions de sa part, sauf celle ci. De quel droit ose t-il ?  « Non, non, je te pose la question pour faire la conversation. » prononce t-elle en levant les yeux au ciel, emplie de sarcasme. « Je ne vois pas pourquoi tu es dérangé. » avoue t-elle, parce qu’ils ne sont rien, s’il n’avait pas demandé à la voir, il ne l’aurait pas su. Et puis même qu’il le sache ou non, ça lui faisait ni chaud, ni froid, puisqu’elle n’avait pas a le prévenir, ni même à prévenir personne tant que son père était au courant. Depuis quand ? Jules fait mine de réfléchir « Oh, quelques mois. » Le dédain dont elle fait preuve alerterait n’importe qui voudrait bien l’entendre, mais pourtant, ça n’a pas l’air d’alerter le blond qui semble être agacé. Elle souffle quand il continue dans son monologue du c’est pas bien. Elle a envie de le gifler pour qu’il se réveille, ou bien lui balancer son verre de vin. « Et alors ? C’est quoi ton problème ? » Elle reprend une gorgée de vin en levant une nouvelle fois les yeux au ciel. « Quand je te dis que c’est rien, c’est que c’est rien. » Après tout, elle n’a pas vu Castiel depuis deux semaines, alors pourquoi est-ce qu’elle devrait lui rendre des comptes ? Elle s’humidifie les lèvres avant de se mordre la lèvre. « Tu sais, c’est pas parce que j’ai une bague de fiançailles que je me met la corde au cou hein, tu me demanderais qu’on s’envoie en l’air, je vois pas pourquoi je dirais non. » Elle ne peut s’empêcher de se moquer de lui, parce qu’elle sait qu’il va monter encore une fois dans les tours et Jules, quand on lui tend une perche, elle la prend avec plaisir. Et elle savoure cela avec un bon verre de vin, comme maintenant.

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Sam 11 Avr - 16:44
Tu bouillonnes à l'intérieur. Tu as l'impression d'avoir raté un épisode... non toute une saison carrément. Pourquoi ta cousine ne t'a pas tenu au courant de ces fiançailles ? Elle est la première à te balancer les dramas et potins du Gotha et voilà qu'elle oublie de te dire le plus important... Le pire, c'est de voir Jules agir avec autant de dédain avec ses fiançailles à la con. Elle se fout de toi ou quoi ? C'est important, ce n'est pas quelque chose d'anodin. Tu ne comprends pas, vraiment. Impossible de voir ce qui se passe. La dernière fois que tu as vu Jules à des soirées, elle était accompagnée d'une jeune femme rousse. Pas d'un abruti à son bras qui lui sert de fiancé. « Je ne suis pas dérangé. Je suis juste... surpris. » que tu répliques juste histoire qu'elle ne croit pas que tu sois jaloux de son pseudo fiancé que tu n'as jamais vu. Mais tu serres les dents, Aidan. Tout montre que tu as un problème avec cette idée et ce n'est même pas le fait de l'avoir là, face à toi. Juste de savoir que quelqu'un a réussi là où tu as foiré complètement. Savoir Jules heureuse, c'est ce que tu souhaites. Mais c'est trop tôt, merde. Enfin, c'est ce que tu dis alors que toi, tu as mis un an pour retrouver quelqu'un mais cela s'est avéré être un vrai carnage. Alors d'accord, peut-être que tu es juste jaloux de savoir qu'elle a retrouvé quelqu'un de mieux. Quelqu'un à la hauteur, assez pour qu'elle s'affiche avec une bague à son doigt. Sauf que le discours de Jules ne va pas avec ce que tu penses à cet instant. C'est perturbant. « Tu peux me dire où il était au mariage de notre chère Harry et au nouvel an ? ». Encore une fois, cela ne te regarde pas mais... Pour une fois, Jules a l'air décidé à parler un peu et à ne pas t'envoyer balader tout de suite alors tu en profites. A croire que vous avez enfin réussi à instaurer un dialogue sans vouloir vous étrangler mutuellement. Un miracle parmi tant d'autres. Et alors que tu t'apprêtes à boire une nouvelle gorgée de ton verre, voilà que Jules t'achève avec ses mots. Heureusement pour toi, tu reposes le verre à temps mais tes yeux écarquillés pendant une seconde à peine, elle n'a pas pu les rater. En temps normal, une phrase comme celle-ci ne t'aurait pas fait autant réagir. Non, tu te serais contenté de faire ton charmeur, de rentrer dans son jeu. Mais là, c'est différent. « Tu sais bien que je me ferais un plaisir pour cela, Jules. En souvenir du bon vieux temps et parce que, malheureusement pour moi, tu es toujours aussi belle. Mais je suis le roi des cons et non celui des crédules. ». Et que tu n'as pas envie de retomber dans une spirale infernale, surtout. C'est fini entre vous parce que tu as foiré. Rien ne pourra rattraper cela, même si tu essayais. Elle est passée à autre chose, toi aussi même si tu n'es pas tout à fait prêt de la revoir avec quelqu'un pour le moment. De toute façon, tu te doutes bien qu'elle n'est pas sérieuse et puis compte tenu de ce que tu viens d'apprendre, tu es juste... confus. Perdu même. Cela arrive trop rarement, assez pour être noté néanmoins. « Dois-je en conclure que ton fiancé ne remplit pas ce rôle-là, alors ? ». Tu craches presque le mot, d'un ton dédaigneux qui ne laisse aucun doute sur ce que tu penses de toute cette situation.

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Lun 27 Avr - 17:23
Il est surpris, Jules se demande bien pourquoi, au fond, c’est lui qui est parti. Parfois, quand elle y repense, elle se demande à quoi ressemblerait sa vie si Aidan n’était pas parti, s’il n’avait pas prit le large. Est-ce qu’ils seraient mariés, la corde au cou, malgré le fait que Jules clamait haut et fort à qui voulait l’entendre qu’elle ne voulait pas qu’on lui passe la bague au doigt quelques années auparavant ? Est-ce qu’ils auraient eu un gosse ? Non. Jules avait toujours eu envie de finir ses études avant d’avoir un enfant, et puis désormais, elle n’est même pas sûre de savoir si elle en veut un jour finalement. Elle y réfléchit des fois puis elle se dit qu’elle ne veut pas offrir à un enfant ce que son père lui a offert, son père qui rince ses caprices avec des billets, son père qui la fait taire avec un chèque et des 0. Non, Jules voudrait inculquer des valeurs à son futur enfant, mais elle n’est pas prête à être maman de toutes façons. Elle n’a personne avec qui elle veut fonder une famille « Surpris de quoi ? Que quelqu’un t’ait doublé et m’ait mit la bague au doigt ? Ce que tu aurais pu faire si tu ne t’étais pas barré comme un voleur. » réplique Jules, acerbe avant de se calmer parce que l’aigreur est partie maintenant, elle n’a pas envie de se prendre la tête avec, autant mettre un pas de plus dans la vie d’adulte et passer au dessus des conflits. Elle s’humidifie les lèvres et pince sa lèvre inférieur entre ses dents pour ne pas rajouter d’acidité dans ses propos et elle lève les yeux au ciel quand il lui demande où était Castiel au nouvel an et au mariage d’Harry « Je n’avais pas envie de le présenter à tous avant d’être sûre que ça allait marcher. J’ai fait l’erreur une fois, je ne la referais pas deux fois. » lui offre t-elle avec un sourire forcé, lui rappelant qu’elle avait cru bon que présenter ou plutôt parler de sa relation avec Aidan à son père, et qui avait eu du mal à avouer que tout était terminé, elle avait usé et abusé de subterfuges avant de devoir avouer que tout était terminé, qu’il avait disparu et son père avec ses commentaires acerbes lui avait un peu plus écrasé le coeur, à l’époque. Alors a défaut de rester dans le sérieux de la conversation et changer du sujet Castiel, elle gardait la tête haute Jules, et rester surtout elle-même. « Le roi des cons, ça c’est sûr. Et merci pour le compliment, je vais dire que tu n’es pas mal non plus. » conclue t-elle avec un petit sourire en coin, reprenant une gorgée de sa boisson et se mordant la lèvre. Et elle rit encore quand elle entend sa demande et le ton dédaigneux qu’il emploie, elle secoue la tête de droite à gauche en riant. « Il le remplit c’est suffisant. » Bien, pas bien, Jules n’en savait rien, elle n’avait jamais fini dans le même lit avec Castiel et elle ne sait même pas si ça lui arrivera un jour. « M’enfin, j’ai compris, tu n’es pas le roi des crédules. » reprend t-elle en citant ses mots. Et elle plonge son regard azur dans celui d’Aidan « Mais tu sais, ton dédain te trahit un peu, mais je ne t’en veux pas. Je serais pareille à ta place, enfin j’étais pareille quand je voyais l’autre pimbêche à ton bras, mais j’avais le mérite de le cacher. » prononce t-elle fièrement en haussant les sourcils, prenant une nouvelle gorgée de sa boisson, le regard amusé.

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Dim 7 Juin - 20:45
« A défaut que toi et moi, c'était réel. » que tu répliques toujours sur ce même ton dédaigneux. Tu ne peux pas croire que si tu l'avais demandé en fiançailles, Jules se serait comportée de cette manière avec un autre homme. Qu'elle s'amuserait à faire comme si elle n'avait pas une foutue bague à son doigt, comme si tu n'avais aucune importance pour elle. Vous vous êtes aimés, sincèrement. Et tu lui as toujours voué une confiance aveugle. Car à ce que tu saches, elle n'a jamais vu d'autres hommes ou femmes derrière ton dos. Des rumeurs, il y en partout eu de toutes sortes – que ce soit sur toi ou sur elle. Votre couple ne plaisait pas. Mais tu as tout de même cru en vous... jusqu'à ce que tu finisses par te barrer comme un voleur, comme elle te le rappelle si bien. Il faut croire que c'est ta soirée, car elle n'hésite jamais à en rajouter, Jules, à te rappeler par ses mots que tu as tout gâché et que c'est de ta faute. Une erreur, c'est que tu es. C'est difficile à avaler mais c'est pourtant la vérité. « Je te souhaite que ça marche alors même si... ». Même si, quoi ? Tu n'as pas envie d'avoir Jules sur le dos une nouvelle fois, de la voir quitter cette table. P as si vite. Tu chasses alors la suite de tes paroles d'un geste de la main avant de boire une gorgée de ton verre. « Peu importe. ». Tu n'as plus de place dans sa vie, pas assez pour pouvoir te permettre d'omettre un jugement même si c'est ce que tu fais à cet instant, dans tes pensées. Tu n'as pas envie d'y croire, à ses fiançailles. Que cette relation marche. Tu pourrais pourtant jouer le rôle de l'ex sympa, qui ne souhaite que le bonheur de la seule femme qu'il a aimé mais... Bordel, ce n'est pas toi d'agir de cette manière. Et tu ne devrais pas avoir ce sourire en coin, un peu fier, quand elle te répond que tu n'es pas mal non plus. C'est stupide, mais le compliment te fait plaisir. Elle a beau faire parti du passé, elle reste Jules. Celle qui a réussi là où toutes les autres ont échoué avant (mais aussi après) elle. « Bien le cacher, tout est relatif. Je n'oublie pas que tu as cherché à lui faire comprendre le connard que je suis. ». Tu dis cela avec un léger sourire, preuve que tu ne le prends plus du tout au sérieux maintenant. Tu as agis comme le dernier des cons avec elle alors c'était amplement mérité. Toi, tu n'as aucun droit à jouer le type pas content de savoir son ex petite-amie avec un autre. Pourtant, cela ne t'empêche pas de le faire. « Je n'ai pas envie de te voir avec quelqu'un d'autre. De toute façon, je ne le verrais pas donc... ». Tu hausses les épaules, bois une énième gorgée sans savoir comment tes paroles peuvent être interprétées à cet instant. Tu as toujours été faible face à Jules. Elle sait l'effet qu'elle a sur toi. Il faut croire que même si vous avez tous les deux refaits vos vies différemment, il te resta toujours quelque chose pour elle. Pas forcément de l'amour. Juste une sorte d'attache. « Et si tu veux tout savoir, je ne sais pas si c'est de la jalousie mal placée ou juste le fait de me rendre compte que toi, tu as le droit de passer à autre chose. ». Tu as promis une discussion honnête, sans faux semblant. C'est peut-être la dernière fois que tu la vois, maintenant que tu as pris la décision de ne plus du tout mettre un pied au Gotha, alors autant jouer carte sur table. « Mais crois-moi, tu ne trouveras jamais quelqu'un capable de te réciter de la poésie française comme je le faisais. ». Un rire moqueur s'échappe de tes lèvres en te remémorant vos débuts, où tu cherchais à jouer le mec romantique et en foirant totalement. Alors pendant votre relation, de temps en temps, tu t'amusais à lui réciter des poèmes en français juste pour rire et vous rappeler de ta drague minable envers elle.

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Ven 12 Juin - 18:01
« Ça a été tellement réel que tu t’es barré quand même. » prononce Jules, prenant un air dédaigneux pour ne pas lui montrer qu’elle est toujours autant touché qu’il l’ait abandonné. Elle a vécu ça comme un abandon, pur et simple, comme son frère l’a abandonné, comme sa mère l’a abandonné. A croire qu’elle n’est faites pour que être apprendre la Ainsworth, et même si elle ne montre rien, elle le prend assez mal, mais ça passera. Parce que ça passe toujours les sensations étranges qui prennent le coeur comme ça, sans raisons. Elle n’avait pas envie de s’attarder, comme elle n’avait jamais voulu s’attarder sur les rumeurs qui allaient bon train concernant leur couple. Elle ne s’attarde plus sur rien Jules, parce qu’elle a apprit à s’en foutre. même si, Jules hausse un sourcil interrogatif. Qu’est-ce qu’il veut dire ? Jules aimerait qu’il continue ses phrases plutôt que de les laisser en suspens, comme si ce n’était rien. peu importe, un rire mesquin sort des lèvres maquillées de la jeune rousse alors qu’elle se mord la lèvre « Non, continue, dis ce que tu penses. » Parce qu’elle déteste ça, elle déteste le fait qu’il la prenne pour une imbécile à ne pas comprendre les sous-entendus, à ne pas comprendre tout ce qu’il avait envie de lui dire et qu’il ne finissait pas. Il ne finissait pas ses phrases, et il sait bien qu’elle n’aime pas ça. Elle n’aime pas ça et ça n’a pas changé avec le temps. Elle prend une gorgée de sa boisson et le regarde, son regard qui se balade un peu partout sur le visage d’Aidan, elle se souvient Jules, des tas de souvenirs qui lui reviennent dans la figure. Leur premier baiser, le fait qu’il la faisait râler tout le temps. Et elle secoue la tête discrètement, elle ne doit pas replonger, même si elle ne dirait pas non au fond. Elle est peut-être rancunière, mais Aidan restera celui qu’elle a aimé intensément le premier. Et Jules rit un peu quand il lui dit qu’elle se souvient du comportement qu’elle a eu lors de la soirée. « Oui, bon. C’était une erreur de parcours ça aussi. Mais au moins, tu n’es plus avec elle. » Et c’est tant mieux, même si elle ne supporterait pas non plus de le voir avec quelqu’un d’autre, il méritait mieux qu’une roturière, qu’une fille de bas étage. Non, il ne le verra pas, parce qu’il ne vient plus aux soirées du Gotha, aux soirées où son père pourrait la voir avec Castiel. Il ne les verra pas et c’est tant mieux, parce que Jules ne peut rien cacher à Aidan et elle sait que son regard la trahit parfois, quand elle le regarde, celui qui est censé partager sa vie. « Si tu voulais que je t’attende, tu n’avais qu’à me le demander, mais je ne l’aurais sûrement pas fait de toutes façons. » Elle hausse les épaules, déjà qu’avant, on ne lui mettait pas la corde au cou, mais alors la forcer à attendre quelqu’un dont elle ne connaissait pas la date de retour, encore moins. Et un sourire nostalgique se dresse sur ses lèvres quand il lui parle de poésies françaises. « Tu as redoublé d’idées et d’efforts pour que je craque pour toi… » se souvient-elle avec une voix nostalgique en passant une main dans sa nuque. « Mais oui, je ne trouverais jamais personne qui me récite Corneille aussi bien que toi. » Une gorgée de nouveau et elle le regarde, amusée. « Après tout, tout ce qu’on a eu été beau, peu de personnes peuvent t’arriver à la cheville, même si je t’ai détesté. Même si j’aurais voulu que tu sois mort plutôt que tu reviennes. Puis  personne d’autre ne peut se vanter de m’avoir tiré des soupirs aussi brûlants que toi. » Est-ce qu’elle est en train de se trahir et de dire qu’elle n’a jamais couché avec Castiel sûrement, rien qu’une mascarade dans laquelle il se tient au bout de sa main. « mais ça c’était avant. » Elle finit son verre en le déposant devant elle et le regarde, sa main qui attrape celle d’Aidan, peut-être pour lui donner un pardon, un pardon silencieux. Un pardon silencieux parce qu’elle, elle n’est pas capable de le lui dire, trop de fierté qui remplit son corps de garce.

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Sam 13 Juin - 21:54
« Je pense trop de choses. Ce serait une perte de temps. ». Tu as beau avoir réussi à lui avouer une partie de tes pensées, il reste encore pas mal de choses dans ta tête qui ne sont pas prêtes de sortir. Et qui ne se sauront sûrement jamais. Il n'y a rien de pire que d'avouer sa défaite, de se mettre face à la réalité, face à Jules et comprendre toutes les erreurs que tu as pu faire avec elle et que tu te promets de ne pas reproduire avec une autre personne. Sauf que tu n'es pas prêt pour avoir quelqu'un d'autre dans ta vie. Tu t'en rends compte maintenant. Il t'a fallu l'affronter pour le comprendre, te rendre compte que tu ne peux pas avancer dans ta vie sentimentale. Pas encore. Et ce n'est pas grave, cela arrive à tout le monde. Tu as le droit de ne pas être prêt après tout. « Tu n'es pas le genre de femme à qui on demande d'attendre. Tu es plutôt le genre de femme que l'on ne veut pas faire attendre... pour ne pas prendre le risque de la perdre. ». Jamais tu ne te serais permis de lui dire de t'attendre, pas après la situation dans laquelle tu t'es trouvé. La honte t'a bouffé, au point de te faire tout abandonner lâchement, préférant fuir plutôt que d'affronter la vérité. La chute a été terrible pour quelqu'un comme toi qui se mettait sur un piédestal, qui pensait que tout était acquis. Mais rien ne l'est et tu l'as appris à tes dépends. Maintenant tu dois faire face aux conneries de ton passé. Et Jules, c'est un électron libre. Tu n'aurais jamais pu la priver de sa liberté d'une quelconque façon, la priver de ce monde dans lequel elle est née et elle continue de baigner. Elle est faîte pour le Gotha, contrairement à toi. Sûrement que sa famille n'apprécierait pas de la savoir à cet instant, ici, en ta compagnie. Personne ne le saura de toute façon. « Heureusement que je ne suis pas mort, sinon je n'aurais jamais eu la chance de t'entendre avouer tout cela. ». L'heure est aux confidences visiblement, que ce soit pour toi ou pour elle. Et cela fait du bien de parler avec honnêtement, sans faux semblant pour une fois. Sa main attrape la tienne et tu l'observes quelques secondes avant de serrer un peu plus sa main, plongeant ton regard dans le sien. « Une dernière danse ? » que tu lui lances. Puis tu te lèves de la chaise, l'invitant à en faire de même. Pas que tu aies un excès de confiance soudain, juste que tu as l'impression que cette discussion sonne comme un au revoir. C'est désagréable, tu as même l'impression d'être à deux doigts de partir en courant. Peut-être que tu n'as pas envie que le moment se finisse tout de suite. Alors tu trouves un moyen comme un autre de l'éterniser encore un peu. Elle a représenté quelques années de ta vie, mais surtout, elle t'a appris à aimer et à être aimé en retour. Et tu as beau l'avoir évité durant des mois, tu n'as pas envie de retourner dans ce cocon protecteur, de ne plus du tout la voir. Mais tu ne peux pas constamment te permettre de réapparaître dans sa vie, pas vrai ? Pas maintenant qu'elle a une bague aux doigts, même si sa relation ne signifie peut-être rien. « Si tu penses à refuser, vois cette proposition comme un entraînement pour ta future danse de mariage avec ton fiancé. ». Voilà qu'il revient, ton sourire plein d'arrogance tandis que tu attends un geste de sa part ou même un refus si elle le souhaite.

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Mar 16 Juin - 21:17
Jules lève les yeux au ciel en secouant un peu la tête quand il lui dit que ce n’est pas le genre de nana que l’on fait attendre. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure avant de faire craquer sa nuque. Quel idiot. Jules a envie de le gifler mais elle ne dit rien d’autre. Elle ne veut pas surenchérir, après tout, ça ne sert à rien. A quoi bon surenchérir hein ? Même si elle comprend, elle n’aurait pas voulu l’attendre, elle n’en aurait pas eu la force, elle aurait voulu savoir quand est-ce qu’il voudrait revenir, un an, deux ans, ça aurait été mais si c’était plus ? Dix ans? Jules ne l’aurait jamais attendu tant de temps, elle n’est pas Pénélope, Jules. Elle ne l’aurait pas attendu. Et elle s’en serait peut-être voulu, mais elle n’avait pas envie de se prendre la tête et finalement, heureusement qu’il ne lui avait pas demandé de l’attendre. Aidan est le seul à pouvoir lui retourner la tête et retourner le coeur, Aidan est le seul avec qui elle a eu une relation assez longue et elle s’en souvient souvent. Mais maintenant c’est terminé, elle a Castiel, elle est censé avoir quelqu’un dans sa vie et ce n’est pas Aidan. Jules boit une gorgée de sa boisson avant de rire un peu « Oui, enfin, j’espère bien que tu ne le diras pas à tout le monde, que Jules Ainsworth a été sympathique. Ou du moins, elle a presqu’enterrer la hache de guerre. Mais il n’y aura jamais de drapeau blanc parce que Jules sait que dans une semaine il risquerait de l’agacer. Si elle le recroiser dans deux semaines, elle pourrait finir par lui mettre une gifle parce qu’il lui ferait une remarque déplacée. Et sa main dans la sienne, Jules a le coeur qui palpite un peu trop, on oubliera jamais son premier amour, et Aidan, on ne peut pas l’oublier. Elle a tout vécu avec lui, le grand amour, la rupture qui fait mal, la disparition, les recherches jusqu’au bout de la nuit et puis la résilience. Se dire qu’il ne reviendra pas, jusqu’à le revoir. Quand il lui propose une dernière danse, elle rit un peu en secouant la tête. Elle se lève et le regarde, est-ce qu’elle doit le faire ? Peut-être et quand elle entend son excuse, elle ne peut s’empêcher de rire, elle se lève alors et saisit la main d’Aidan pour se rapprocher de lui, ses bras autour de sa nuque, son regard céruléen plongeait dans celui arrogant du blond. Elle rit un peu en baissant la tête avant de la relever « Arrête avec ton arrogance mal placée. Vraiment. Ça ne sert à rien. » Cette phrase qui veut tout et rien dire à la fois. Ça ne sert à rien parce qu’il n’y aura pas de mariage voudrait elle lui dire, mais même si il a quelque peu regagner sa confiance, elle ne lui dira jamais. Alors qu’elle se met lentement à tourner, elle a l’impression que la terre s’arrête de tourner, qu’il n’y a qu’eux dans cette salle, rien qu’eux. Et même si c’est difficile à croire, ça lui fait du bien. « Tu te souviens à quel point tu détestais danser avant ? » Elle se souvient Jules, qu’elle était obligé de le tirer pour qu’il vienne danser ne serait-ce qu’une danse avec elle. « Je devais te supplier pour que tu le fasses et maintenant c’est toi qui me propose mais on marche sur la tête non ? » Le regard toujours plongé dans celui d’Aidan, elle ne peut s’empêcher de sourire, encore. Elle est heureuse qu’ils aient enfin poser cartes sur table. Et qu’ils ne se détestent plus. Ou du moins, que l’animosité soit moins présente.

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Dim 26 Juil - 21:25
« Ta réputation est bien gardée avec moi. ». En même temps, tu sais très bien que tu ne parleras pas de votre conversation à grand monde. Seulement ta cousine, certainement. Car elle est la seule personne à qui tu arrives à t'ouvrir sans chercher à faire semblant. Même face à ton meilleur ami, tu fais le malin et tu joues le parfait cliché du célibataire ambulant qui cherche juste à s'amuser et à profiter sans se prendre la tête. Le problème, c'est que tu n'as jamais mis un point final à ta relation avec Jules. Même lorsque tu as rencontré quelqu'un d'autre. Tout simplement car il n'y a jamais eu cette fameuse discussion, celle où les langues se délient et où on dit clairement que c'est terminé. La veille de ton départ, tu étais encore avec elle. Tu savais que tu allais disparaître de sa vie mais tu as fait semblant juste pour avoir l'illusion encore un instant que votre histoire avait du sens. Mais non. A partir du moment où tes parents ont décidé de te mettre dehors, il n'y avait plus aucun foutu sens à ta vie. Pourtant, quand elle est là, face à toi, ses bras autour de ta nuque tandis que tu poses tes mains sur ses hanches, tu te rends compte à quel point tu as merdé avec elle. C'est qu'elle est capable de te déstabiliser, Jules. Mais tes yeux ne quittent pas les siens pour autant. Tu as l'impression de faire une pause dans ta vie, de retrouver pendant quelques instants ce qui t'a tant manqué durant des mois même si tu n'as jamais su l'avouer à qui que ce soit. Car il n'y a que le temps capable de panser les plaies et en perdant tout d'un simple claquement de main, tu as juste dû te contenter d'attendre. Attendre un foutu miracle qui n'est jamais arrivé et qui n'arrivera jamais – même si tu n'es pas à plaindre. Il y a tant de choses qu'elle ne sait pas, Jules. Toutes ces fois où tu as hésité à lui envoyer des messages, à te rendre chez elle, à faire en sorte de la croiser « par hasard » dans un endroit que vous fréquentiez tous les deux. Mais ta fierté t'en a toujours empêché. Plutôt perdre la femme que tu aimes plutôt que d'avouer avoir besoin d'aide, n'est-ce pas ? « Mon arrogance mal placée est l'une des rares choses qui me reste avec ma voiture. Tu crois vraiment que je vais m'en séparer? » que tu répliques tandis qu'un sourire en coin apparaît sur ton visage. A défaut qu'avec le temps, et surtout après tout ce qui est arrivé, tu as appris l'humour et surtout à faire du second degré sur toi-même – même si tu as encore du mal à bien capter toutes les ficelles de cet art que tu as du mal à t'approprier. En même temps, difficile toi-même de te prendre au sérieux quand tu n'as plus la richesse. Car après tout, il n'y avait que l'argent pour toi auparavant. Le reste n'avait peu d'importance. « Il faut croire que même après tout ce temps, j'essaye encore de te surprendre. ». Il est vrai que tu as toujours détesté danser. Certainement à cause de tes parents qui t'ont forcé à prendre des cours avec ton cousin histoire de ne pas faire tâche au Gotha lors des galas. Tu as toujours trouvé cela ridicule. Pourtant, tu n'as pas hésité une seule seconde pour proposer à Jules de t'accompagner pour une danse. Peut-être une excuse comme une autre pour être une dernière fois proche d'elle, pour te remémorer ces souvenirs que tu devrais mettre une bonne fois pour toute dans un coin de ta tête. Tu continues de danser avec elle, ton regard ancré dans le sien, et c'est presque déçu que tu entends la musique se terminer. Tu n'as pas envie de t'éloigner et pourtant... Ta main devrait quitter sa taille, tu devrais ne pas la regarder de cette manière, avoir envie de goûter une nouvelle fois ses lèvres. Elle t'a pardonné, ne gâche pas tout. Mais c'est mal te connaître. C'est presque instinctif quand tu poses tes lèvres sur les siennes, comme avant. Comme si tu cherchais à te séparer une bonne fois pour toutes de ce sentiment de nostalgie qui t’envahis à ces côtés. Tu lui as demandé une dernière danse, et non un dernier baiser. Mais tu n'as pas réfléchi une seule seconde. A croire que tu as envie de recevoir une deuxième gifle. Et celle-ci aussi serait méritée.

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Lun 3 Aoû - 21:34
Elle mentirait si elle disait que cette conversation ne l’avait pas retourné. Mais elle avait besoin de cette conversation, besoin que tout soit remit à plat pour avancer. Avancer sans se retourner, mettre enfin toute cette animosité derrière elle, le fait d’avoir été abandonné par lui quelques années plus tôt et toutes ces choses qui marquent une vie. Jeunesse ou non. Et là, ils ont laissés les armes à l'entrée, ont posés la rancoeur sur le côte pour s'offrir une discussion à coeur ouvert. La seule chose qui fallait à Jules. Même si l'animosité a été présente, quand il a apprit pour ses fiançailles, maintenant tout est calmé. Ou du moins, Jules espère. « Sauvée alors. » répond t-elle avec uns sourire quand il lui parle de sa réputation. Jules n'a pas envie qu'on sache qu'elle flanche parfois, elle et son comportement de peste, elle qui marche sur les deux pieds avec des talons de douze centimètres quand on marche sur ses plates bandes. Ce qui n'a pas changé, c'est l'arrogance dont Aidan fait preuve comme à son habitude, et sa réponse lui tire un rire qu'elle a du mal à contenir. « Ah toi et ta voiture... On ne peut nommer un duo plus iconique. J'ai des souvenirs dans ta voiture, mais il y a bien trop d'oreilles chastes ici pour qu'on en reparle. » prononce t-elle d'une voix mielleuse avant de se reculer pour s'appuyer contre le dossier de sa chaise avant d'être attirée pour danser. Elle se laisse faire et ne peut s'empêcher de lui faire une remarque. Parce qu'il fallait se lever de bonne heure pour le faire danser. « Et ça marche. » Ajoute elle en entourant la nuque d'Aidan tout en continuant de danser. Le monde s'arrête de tourner, il n'y a plus qu'eux. Comme avant. Le regard plongé dans celui d'Aidan, elle a l'impression que rien ne pourrait lui arriver... comme avant. Elle ne pense plus à rien. Et la musique s'arrête, elle ne bouge plus, elle voudrait qu'ils bougent, qu'ils retournent s'asseoir. Mais non. Ils restent la. Jules ne bouge pas et quand il l'embrasse, elle ne peut pas se reculer, ses yeux se ferment avec instinct et elle prolonge ce baiser, ses mains qui trouvent chemin dans les cheveux de son ex et elle pousse le baiser avec un peu plus de ferveur. Parce que c'est comme ça, toujours comme ça. Elle se colle à lui, avant de se rendre compte de ce qu'elle fait. Elle est censée être fiancée. Mais ça ne l'empêche pas de rester contre lui, ses mains qui se déposent sur les joues alors qu'elle le regarde « Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » Il faut qu'ils se séparent, il faut qu'ils rentrent chacun chez soi, mais Jules ne veut pas bouger. Elle est beaucoup trop bien là, maintenant.

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Dim 30 Aoû - 12:03
Elle est fiancée. Et tu viens de l'embrasser. Tu ne sais pas à quoi tu joues à cet instant, ce qui a bien pu te traverser par la tête. Tu t'attends à ce qu'elle te repousse car ce serait une réaction tout à fait normale compte tenu de votre passé et cette bague qu'elle porte au doigt. Mais non. Jules répond à ton baiser. Ton bras autour de sa taille, tu savoures la douceur de ses lèvres sur les tiennes. Ce n'est plus un souvenir à présent, c'est bel et bien réel. C'est étrange ce que tu ressens à cet instant mais une chose est sûre : Jules te fait toujours le même effet. Incapable de lui résister, incapable de rester éloigner. La revoir t'a rappelé à quel point tu as foiré avec elle. Tu le sais pourtant, au fond de toi, que tu l'as définitivement perdu. Mais tu n'as pas envie de la lâcher. Pas maintenant. Et quand elle te pose cette question, des tas de pensées fusent dans ta tête. Il est clair que tu ne sais pas quoi faire à cet instant. Du moins, tu ne sais pas si tu dois trouver la force de rentrer chez toi car tu sais que ce n'est pas une bonne idée ou si toi continuer de suivre ton instinct. Celui qui te dit que tu ne peux pas la laisser partir de cette manière. « Hm... ». Tu fais semblant de réfléchir tandis que le bout de tes doigts effleurent le tissu de sa robe au niveau de sa taille. « Je te propose de te ramener chez toi. Tu acceptes et après une longue hésitation, tu te décides enfin à m'inviter monter boire un dernier verre. ». Des mots que tu lui balances avec un sourire en coin sans cesser de la regarder. Elle est belle. Et tu aimerais pouvoir l'embrasser encore. Tu sais bien que ta proposition n'est pas la plus adéquate et que tu as soudainement oublié tous tes retranchements. La jalousie qui battait dans tes veines quelques minutes plus tôt ne s'est pas soudainement évaporé pour autant. Juste que tu ne réfléchis plus vraiment à ce qui est bien ou ce qui est mal. Jules, tu l'as faîte souffrir. Et tu ne veux plus jamais lui faire du mal d'une manière ou d'une autre. N'est-ce donc pas égoïste de ta part de revenir dans sa vie de cette façon ? D'oser poser tes lèvres sur les siennes juste pour ressentir encore quelque chose, au moins une dernière fois ? « Qu'est-ce que tu en penses ? ». Il est temps de dire au revoir au peu de principes que tu t'es mis dans le crâne avant de venir la rejoindre. Il est pourtant connu que tu n'es pas le type le plus réfléchi du coin mais avec Jules dans les parages, plus rien ne fonctionne correctement chez toi. A cet instant, tu ne vois qu'elle et elle pourrait bien t'envoyer balader que tu la remercierais.

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