La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

i understand why you can't raise your voice (jonas)

@ Invité

avatar
   
#
Sam 14 Mar - 16:28
Cela va bientôt faire un an que tu es arrivé à NYC, un an que tu te prives d'énormément de choses par rapport à ton passé et aujourd'hui, tu as décidé de te faire une petite balade dans le quartier où tu vis. Cela peut paraître tout à fait anodin pour une personne extérieure mais pour toi, c'est en quelque sorte un miracle. Tu t'autorises à visiter, à aller découvrir d'autres endroits autres que ceux que tu connais déjà – c'est-à-dire le bar où travaille Leora, un autre bar où tu vas pour écouter un peu de rock et l'université de droit où tu viens d'être renouvelé pour ta période de remplacement. Autant dire que ta vie est bien monotone et loin de l'agitation que tu as connu il y a quelques années. Cela te semble si improbable pour toi, de vivre une vie tout à fait banale. Et cette promenade normale, rien que pour prendre l'air... Enfin normale, c'est ce que tu crois jusqu'à ce que tu vois une femme hurler sur un homme que tu as déjà croisé plusieurs fois dans le quartier en te rendant à l'université ou en rentrant pour la simple et bonne raison qu'il vit aussi là-bas. Tellement habitué à le croiser qu'au bout d'un moment, tu t'es même autorisé à le saluer en plus du sourire habituel. Ni plus, ni moins. « Vous devriez avoir honte de ce que vous avez fait ! ». C'est qu'elle s'égosille la bonne femme. Cela commence à devenir légèrement gênant pour tout le monde, et pas uniquement les concernés. Quelques personnes s'éloignent, d'autres se retournent tout en continuant leur chemin mais ce sont surtout les regards interloqués de certains qui t'alertent. Car maintenant, c'est un couple qui s'approche de l'homme comme pour l'enfoncer. C'est le genre de scène dont tu devrais t'éloigner, et tu le sais pertinemment. Ne pas t'en mêler, voilà la meilleure chose à faire. Pourtant, c'est plus fort que toi et ton cerveau ne suit clairement pas ton corps car tes jambes semblent marcher rapidement tout droit vers Jonas qui est pris entre deux tempêtes. Bien que cela reste uniquement verbal, cela n'a pas d'importance à tes yeux. Les mots font mal, parfois plus que les coups. « Dîtes-moi, loin de moi l'idée de vouloir vous interrompre mais... Ce ne sont pas vos enfants là-bas, qui jouent sans surveillance ? ». Tu montres d'un geste de la main le parc à quelques mètres de là où des enfants se trouvent en train de rire et jouer sans se soucier de ce qui se passe. Et heureusement, car tu as honte pour leurs parents à cet instant. « Oh, inutile de perdre du temps à me répondre. Je pense que vous avez bien mieux à faire que de hurler sur quelqu'un au beau milieu d'un lieu public. Mis-à-part si c'est l'image que vous voulez donner à votre progéniture ? Je vous conseille donc de gentiment retourner d'où vous venez et ce sera bien mieux pour tout le monde. Ce n'est pas un tribunal ici Messieurs-dames, mais je peux toujours vous montrer le chemin pour vous y rendre. ». Tu restes calme, Sohan. Pourtant, le ton de ta voix est glacial et ne laisse place à aucun refus de leur part. S'ils veulent répliquer, grand bien leur fasse. Cela ne fait que resurgir ce que tu aimerais garder au fond de toi.

@ Invité

avatar
   
#
Sam 21 Mar - 9:25


i understand why you can't raise your voice
feat @Sohan Malik


Anya va peut-être rentrer dans quelques mois et Jonas ne peut s’empêcher de regarder le jardin en jachère devant chez lui. C’est un tout petit terrain, laissé à l’abandon par la plupart des locataires de l’immeuble où il vit. Trop petit, pas assez sécurisé sur les côtés, mais Jonas, c’est quelqu’un d’original et de créatif et savoir que son enfant rentrera bientôt à la maison, ça le motive. Ça ne coutera pas très cher, quelques clous à acheter en quincaillerie, le reste ça proviendra de ses trouvailles dans la rue et les poubelles. On n’imagine pas tout ce que les gens jettent sans se poser la question si ça peut être utile à quelqu’un d’autre. Des palissades en bois qui cadreraient le jardin, recouverte de lierre ou peut-être même de fleurs en été. Ça pourrait rendre agréable la petite ruelle, plaire aux habitants de l’immeuble. Oh et tiens, il pourrait construire une petite cabane dans cet arbre que beaucoup aimerait voir abattu tant ses feuilles en automne gênent le passage. Ouais, il peut faire tout ça, il en est capable, lui faut juste un peu de temps et des clous. Rien de difficile, en journée il n’a que ça, du temps. Et ça plaira à Anya, ça lui fera une jolie surprise quand elle reviendra.
L’esprit dans le vague, les yeux rivés sur le jardin abandonné, il ne voit pas arriver à ses côtés une femme qui commence à s’emporter sur lui. Les mots sont intelligibles, Jonas tourne la tête, ne réussit pas à se concentrer sur la verbe acérée tant elle est violente et inattendue. Les yeux plissés, la bouche entrouverte, il déteste ces moments où il se voit se perdre dans son esprit, quand le monde est trop fort, va trop vite, crie trop longtemps. C'est comme un instinct de survie, un mécanisme de défense que sa tête met en place sans son accord. Le bruit sourd dans son oreille, ça ressemblerait à s'y méprendre à des acouphènes mais ça n'en est pas. Ce sont simplement ses émotions, trop fortes, trop vibrantes qui le plongent dans une incompréhension totale de la scène.

Il lui faut bien deux minutes complètes pour revenir dans la réalité, discerner un couple avec la même colère suivi d’un voisin arrivé dans le quartier quelques mois auparavant. Mais lui, il n'a pas l'air énervé, au contraire. Jonas a encore du mal à comprendre les mots mais les entends cette fois-ci. Il n’a pas le temps de réagir que tout le monde disparait sous le regard glacial de Mr Malik. Non, lui il n'était vraiment pas en colère.

- Mer…merci.

C’est tout ce qu’il peut dire Jonas alors que la tête lui tourne et qu’il sent le sol trembler sous ses pieds. Mécanisme de défense….Parfois, il préférait être capable de répliquer, d'hurler aussi fort qu'eux, de les mettre face à leur propre bêtise au lieu de se renfermer dans un cocon invisible.

- J-je suis désolé que vous ayez été témoin de ça Mr Malik, je… Excusez moi.

Car l’homme était nouveau par ici, n’avait pas connu l'époque de la police et de la folie, de la peur et du regard rassuré de Jonas qui savait que sa fille allait bien malgré l'inquiétude du reste de la ville. Jonas s'imaginait qu'il ne connaissait pas l'histoire ou du moins, que des bribes. L'éboueur n'était pas coupable mais pour le quartier, il était toujours ce père qui avait laissé son enfant faire du vélo sans la surveiller. Il était plus responsable que le coupable lui-même.

@ Invité

avatar
   
#
Lun 30 Mar - 0:14
Tu t'attends à d'autres esclandres. Cela ne t'étonnerait pas vraiment. Mais il faut croire que tu as réussis à les faire fuir, ou du moins retourner tranquillement auprès de leurs enfants non sans continuer de lancer des regards noirs à Jonas mais aussi toi. Tu t'en fiches pas mal de t'être fait des ennemis dans le quartier si c'est le cas. D'accord, ce n'est peut-être pas la meilleure des manières pour se faire remarquer – surtout que tu mets bien un point d'honneur à rester discret vu ton passé – mais là, la situation devenait trop tendue pour que tu ne réagisses pas. Tu peux comprendre parfois, cette envie de faire justice soit-même quand on voit que certains malfrats s'en sortent très bien (dont tu fais partie mais ça, c'est un détail) mais dans le cas de Jonas, tu ne comprends pas pourquoi autant d'acharnement. Peut-être que tu ne devrais pas te fier à l'impression que tu as de lui par de simples mots et sourires, c'est-à-dire celle d'un homme gentil et poli contrairement à d'autres dans le voisinage. Mais tu préfères toujours te faire ta propre opinion plutôt que de te fier à des rumeurs. « Ce n'est certainement pas à vous de vous excuser mais je pense pouvoir dire sans l'ombre d'un doute que les personnes concernées ne le feront pas. ». Le ton est ferme, presque glacial. Ce n'est clairement pas dirigé vers l'autre homme à tes côtés. Tu es juste énervé d'avoir fait face à ce genre de comportement. Soit disant les êtres humains s'entraident. Mais tout ce qu'ils savent faire, c'est juger. Tu dois pourtant garder ton calme, Sohan. Cela fait bien longtemps que tu n'as pas ressenti cette pointe de colère traverser ton corps, cette envie de faire autant taire des personnes. Oh, cela doit bien faire un an. La dernière fois, c'était sûrement face à un type qui n'a pas voulu t'écouter. Tu as beau garder les apparences lisses depuis ton arrivée à New-York, il arrive que ta vraie personnalité ressorte comme à cet instant. Heureusement, tu n'as plus la fougue de ta jeunesse. Alors tu desserres doucement tes poings et remets machinalement le col de ta chemise en place avant d'observer Jonas. « Que diriez-vous de discuter un peu tout en me faisant visiter les alentours ? C'est la première fois que je me décide à découvrir notre beau quartier. Un peu de compagnie ne me ferait pas de mal. ». Une proposition comme une autre pour lui permettre de se remettre de ce qui vient tout juste de se passer et de se changer les idées à tes côtés tout en se prenant l'air. Une proposition que Jonas peut tout à fait refuser, surtout compte tenu des réactions qu'il a suscité en étant juste tranquillement dans son coin. C'est pour cette raison que tu t'autorises à reprendre la parole, cette fois-ci pour lui poser une question qui te semble pertinente, tandis que tes sourcils se froncent légèrement. « Comment vous sentez-vous ? ». Tu as de nombreux défauts, Sohan. Tu pourrais en faire toute une liste. Mais savoir écouter, c'est l'une de tes principales qualités. Tu te doutes bien que Jonas doit être quelque peu remué mais tu espères que cela ne va pas trop l'affecter. Tu n'as pas non plus envie de lui imposer ta présence s'il préfère être seul.

@ Invité

avatar
   
#
Dim 5 Avr - 12:29


i understand why you can't raise your voice
feat @Sohan Malik


Jonas s’y était habitué, à ce comportement violent et accusateur dans le quartier. PourtanT, c’était toujours aussi difficile pour lui de réussir à se calmer. Il acceptait les insultes, les critiques, même les poings levés qui n’allaient jamais plus loin mais… Au fond, il savait qu’il ne méritait pas tout ça. Lui n’avait rien fait, n’était pas ce méchant qu’on avait décrié pendant deux jours aux infos du soir. Il n’était qu’un père un peu différent de cette normalité que le monde préférait. Un homme qui discernait difficilement le mal, tant il avait confiance en l’être humain. Une personne qui ne voulait qu’une chose : avancer sans se prendre les pieds une nouvelle fois dans la réalité.

Acquiesçant du menton à la proposition de Monsieur Malik, Jonas s'épousseta le jean, par habitude plus que besoin et se mit à marcher aux côtés de son nouveau voisin. Il avait une attitude sereine, qui apaisait et malgré la froideur des mots de l'homme quelques instants auparavant, Jonas se sentait en sécurité à ses côtés. C'était comme un ange gardien qui arrivait au bon moment, au bon endroit bien que l'éboueur ne soit plus habitué à une telle sollicitude. a la question, il releva ses yeux bleus clairs avant de sourire à Monsieur Malik.

- Bien, il commence à fai-faire beau, je voulais remettre en état le jar-jardin de l’immeuble. Des palissades, peut-être une balançoire dans l’ar-arbre, enfin…. J’ai un peu perdu le fi-fil de ma pensée quand ils m’ont…

Agressé. Pourtant, le mot resta sur le bord de ses lèvres, silencieux. Impossible à articuler. Agresser. C’était douloureux de se dire qu’on était une victime et un bourreau à la fois, que chacun avait son avis sur lui alors que Jonas ne demandait que la paix et la tranquillité.
Se frottant la nuque, le stress passait doucement mais quelques signes étaient encore visible : ses doigts impossible à calmer, son regard passant du visage du voisin à ailleurs en très peu de secondes, son sourire un peu éteint, ses mots bien plus hachés qu'en habitude.

- Vous avez quelques boutiques dans la ru-rue en angle là-bas et… un restau-taurant avec des pizzas délicieuses ! Si un jour vous-vous voulez y inviter votre fiancée, je vous le conseille !

Fiancée. Jonas avait toujours tendance à s’imaginer des unions là où il n’y avait que des couples ou des amis mais il les avait vu une fois ou deux, dans la rue devant chez eux et… ils avaient une façon de se regarder qui avait fait sourire l'éboueur, en grand romantique qu'il avait toujours été.

@ Invité

avatar
   
#
Sam 11 Avr - 22:44
Jonas accepte ta proposition et tu marches donc tranquillement à ses côtés, profitant du soleil qui se laisse découvrir peu à peu ces derniers jours et du plein air surtout. Tu as passé des années à vivre la nuit, à ne presque pas voir la lumière du jour comme la journée était faîte pour dormir pour toi. Un rythme de vie totalement décalé auquel tu as dû renoncer pour t'annoncer à une vie beaucoup plus simple. Plus normale aussi. Ce côté-là de ton quotidien ne te déplaît pas. Ce qui t'ennuie, c'est d'avoir l'impression d'être déjà tombé dans cette fameuse routine du quotidien. Métro, boulot, dodo... Un cliché que tu vis maintenant à ton tour. Mais voyons le bon côté des choses : tu es en vie, libre de tes actes. Libre de profiter d'une simple balade accompagné d'un de tes voisins. Cela sonne étrangement et pourtant, c'est bel et bien ce qui se passe. Il faut croire qu'il te reste encore un petit côté sociable, là, caché dans un coin et qui a décidé de ressortir aujourd'hui. Sûrement que si cette altercation n'avait pas eu lieu, tu n'aurais jamais proposé cela à l'homme à tes côtés car ce n'est tout simplement pas ton genre d'aller vers les autres. Mais les choses ont fait que tu te retrouves maintenant à l'écouter d'une oreille attentive, le laissant te guider dans le quartier dans lequel tu vis et que tu découvres à peine. « Ma fiancée ? ». Tu parles avant de réfléchir et surtout de comprendre qu'il veut parler de Leora. Soudainement, les connexions se font dans ton cerveau. Mais cela te fait sourire. Un sourire sincère. « Leora n'est pas ma fiancée mais elle adore les pizzas alors... Je vous remercie pour l'adresse. Peut-être que ce serait mieux de se tutoyer entre voisins ? Je pense qu'on sera amené à se recroiser par ici. D'ailleurs, ça fait longtemps que tu vis dans le coin ? ». C'est même certain, vu que tu le croises tout de même assez souvent et autant rendre votre échange moins formel. Un peu plus chaleureux aussi, surtout après ce qui s'est passé. C'est d'ailleurs pour cela que tu décides de rebondir sur ses paroles de tout à l'heure qui t'ont quelque peu interpellé – mais dans le bon sens du terme. « Pour revenir à tes propos... Je pense que c'est une bonne idée de vouloir remettre en état le jardin de l'immeuble. Et puis une balançoire, je pense que ta fille en sera ravie ! ». Certes, tu n'as pas d'enfants et tu ne comptes pas en avoir pour le moment mais il suffit de voir comment les enfants courent comme des fous dés qu'ils aperçoivent une balançoire pour comprendre que cela serait tout de même un beau cadeau pour l'endroit. De quoi l'égayer un peu, aussi. « Tu aurais besoin d'aide ? Je suis professeur de droit alors après mes cours, j'ai toujours du temps libre. ». Est-ce que cela se ressent que tu t'ennuies ? Leora travaille le soir, tu es donc à chaque fois seul, devant ta télévision ou devant ton ordinateur pour retravailler tes cours et envoyer des mails aux étudiants qui te sollicitent. Si tu peux être utile d'une manière ou d'une autre et trouver une occupation, tu n'es pas contre.

@ Invité

avatar
   
#
Jeu 30 Avr - 13:13


i understand why you can't raise your voice
feat @Sohan Malik


Oh. Ce n’est pas sa fiancée. Jonas se rabroue intérieurement. Il devrait éviter de faire ce type de connexion sans réellement en savoir d’avantage sur les personnes impliquées. Parfois, son esprit va trop vite pour pas grand chose et heureusement pour lui, Monsieur Malik n’a pas l’air d’être agacé contre cette supposition. Et puis, en plus, Leora - car c’est son prénom - aime les pizzas ! Heureusement qu’il a eu raison au moins sur un élément, ça le rassure quelque peu.
Souriant à la proposition de son voisin, le tutoiement lui vient toujours difficilement quand il est question de rencontre. La peur d’aller trop vite dans les relations, de ne pas être respectueux, de blesser. La société met tellement de règles parfois qu’il est difficile pour Jonas de savoir où il peut se permettre une certaine liberté et où il doit rester sur des conventions sociales connues.

- Ça serait avec plaisir pour l’aide ! Vo…tu-tu…

Il rigole un peu, les doigts frottant sa nuque, gêné de l’erreur qu’il vient de réaliser. Il lui faudrait un peu de temps pour s’y faire.

- Tu pourrais venir demain soir après ton travail ? J’ai récupéré quelques plan-planches de bois lors de mes tournées, elles sont à la maison. On pourrait déjà co-commencer à nettoyer le lieu, retirer les branches, les feui-feuilles et voir ensuite quoi faire avec ?

Ça serait vraiment bien, pour le quartier, les enfants, Anya. Pour eux aussi, ça leur permettrait de mieux se connaitre !
Se rappelant de la question de Mr. Malik, Jonas hésite quelques instants. Les chiffres ont toujours été difficiles pour lui, les retenir encore plus. Compter dans sa tête et sur ses doigts comme un enfant, c'est un peu gênant en société mais ça lui permet de ne pas faire d'erreur.

- Mmh...13 ans ! Je suis l’un des plu-plus vieux du quartier… J’aurais dû le quitter après l’affaire avec la po-police mais… C’est un endroit paisible et parfait pour un enfant.

Anya aime ce lieu, s’y sent rassurée malgré tout ce qu’elle y a vécu. Lors de sa dernière visite, Jonas lui a tot de même proposé de déménager, de trouver un nouvel endroit où vivre tous les deux quand elle retournera chez lui. La petite a refusé d'une traite, anxieuse à l'idée de changer encore de maison. Déjà que passer de chez Teddy à chez son père, ça ne sera pas très simple mais si en plus Jonas détruit tout ce qui la rassure, de sa chambre d'enfant à la cabane dans le salon, ça lui donnera l'impression de n'être plus qu'une inconnue. Anya a beau avoir parfois quelques difficultés pour se faire comprendre, quand il est question de ce qu'elle préfère, elle n'a pas sa langue dans sa poche.

- Donc… Leora aime les pizzas. Elle a l’air très gen-gentille en tout cas. Tous les deux je veux dire ! Vous étiez déjà de New York avant d’aménager ici ?

@ Contenu sponsorisé

   
#

Poster un nouveau sujetRépondre au sujet

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum