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trust me i'm a jedi -- isaie

@ Invité

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Dim 29 Mar - 16:18
Adrian a fait un rêve cette nuit, il rejoignait les rangs du premier ordre et il est persuadé désormais d'être un jedi. Alors quand il se lève, il regarde sous son lit, et sort de sa "boîte à souvenirs" un sabre laser qu'il avait eu quand il était un peu plus jeune. Et il passe sous la douche, se fait un café qu'il laisse refroidir le temps de se doucher, son sabre laser posé à côté de la cafetière, et il tend sa main vers la tasse avant de voir qu'elle ne débarquait pas dans sa main sans qu'il la touche, il secoue sa main et hausse les épaules. Il descend alors dans la rue après avoir revêtu sa veste en cuir, pour ne pas se faire démasquer. Alors qu'il marche dans la rue avec son sabre laser, il marche la tête haute, le dos droit, et il regarde un enfant qui s'approche de son sabre laser « MALHEUREUX ! NE TOUCHE PAS CE SABRE. LE SUPRÊME LEADER VA T'EXTERMINER. » Et il se recule en cachant son sabre derrière son dos et regarde la mère du gamin « JE SUIS UN JEDI. ET JAI REJOINT LE PREMIER ORDRE. » il avance dans la rue, toujours cette démarche assurée, jouant avec son sabre laser « Oui vous! Je suis un jedi ! » Et il se tourne vers un homme qui pose sa main sur son épaule, son sabre laser pointé vers l'inconnu « Ne me touchez pas ! Ou le suprême leader vous retrouvera !»

@ Invité

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Dim 5 Avr - 13:34


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


Il était sur la route, conduisant sa berline noire, quand sa radio s’est enclenchée. Même en tant que commissaire, Isaie appréciait savoir ce qui se passait dans les quartiers qu’il traversait le matin. Si quelque chose se déroulait pas loin de sa route, un accident ou un braquage, il était le premier sur les lieux et pouvait appeler les bonnes équipes en renfort. Alors quand il entendit qu’un homme avec un faux sabre laser se baladait de façon étrange et inquiétait les riverains à quelques rues de lui, il haussa des sourcils. Plus interloqué qu’inquiet, il prit l’adresse et répondit qu’il était en chemin.

Sortant de sa voiture, le menton haut et l’air amusé, le suspect ne fut pas difficile à trouver. Son sabre laser rouge, surement en plastique en main, il déambulait dans la rue comme.... comme un chevalier ? Ou un maitre jedi en l'occurence. Isaie, un léger sourire sur le visage, se rapprocha et posa sa main sur son épaule. À peine eut-il ce geste que l'homme se retourna, l'air quelque peu ailleurs. Du moins, ailleurs dans une lointaine galaxie.

- Whow, on se calme. Le suprême leader est ici le commissaire Mihago, du NYPD. Il y a un soucis monsieur ?

Les mains relevés, le torse quasi touché par le bout du sabre, Isaie devait savoir si l’inconnu en face de lui avait oui ou non toute sa tête. Avec l’information que le commissaire de police était là, peut-être qu’il arrêterait sa petite blague !

@ Invité

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Mar 7 Avr - 17:40
Adrian est persuadé qu’il est une nouvelle recrue du premier ordre, alors il faut qu’il fasse régner l’ordre dans les rues de New York. Il prend tellement son rôle à coeur qu’il se balade avec son sabre laser, près à faire régner la justice si jamais quelqu’un tente de s’interpeler. Jamais les jedis ne prendront le pouvoir, le seul qui doit avoir le pouvoir, c’est le côté obscur. Quand il se fait arrêter, Adrian se tourne, son sabre laser au bout de la main, les sourcils froncés « Absolument aucun, je fais régner l’ordre. Le côté obscur et le premier ordre doit faire régner l’ordre. » Et il regarde Isaie qui est soi disant un commissaire. « Vous êtes de quel côté de la force ? » Lui demande t-il avant de murmurer « Je suis censée être un Jedi en mission, mais je peux vous le dire a vous. » Et il hausse la voix avant de replier son sabre laser « Quel est votre matricule ? Et votre armure de stormtrooper où est-elle ? Je ne vous crois pas ! » Adrian devait savoir que parfois, il faut s’arrêter parfois, mais là, il veut savoir si c’est un vrai policier, peut-être que non, peut-être que c’est quelqu’un sous couverture, après tout, parfois, les gens pensent qu’ils sont quelqu’un d’autre et c’est tout le contraire.

@ Invité

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Dim 12 Avr - 8:49


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


Isaie ne bouge toujours pas, les paumes prêtes à agir si l’homme se montre violent envers lui. Pourtant, il est surpris en l’entendant lui murmurer cette information : censé ? Il n’est pas certain de comprendre si cet homme est réellement en crise de délires ou s’il veut simplement jouer. C’est important à savoir, ça conditionnera tout le reste du moment, Isaie ne pouvant se permettre une bavure avec une personne dont le mental est atteint par une maladie qui lui est inconnue. Mais si c'est un simple con....

- Je suis du côté de la force qui va vous mettre en cellule de dégrisement !

Si l’homme a bu, il s’énervera ou rigolera. Et bien que le commissaire ne perçoive aucune odeur d’alcool, ça n’empêche pas que cet inconnu d’avoir pris quelques shot avant de sortir de chez lui.
Baissant enfin les mains, s’avançant d’un pas, Isaie attrapa le bout du sabre pour lui prouver que ça n’en était pas un réel : entre l’alcoolique ou la paranoïa, il devait jouer sur les deux tableaux pour calmer l’homme.

- Vous voyez ? Pas de main coupée. Vous allez baisser ce sabre maintenant ? Ou je devrais vous arrêter pour trouble à l’ordre publique.

@ Invité

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Mar 28 Avr - 16:38
Adrian ne s’attendait pas à devoir affronter un policier, non, il espérait que les gens ne le prennent pas au sérieux, mais bon, visiblement la personne en face de lui, semblait prendre tout ça au sérieux alors qu’il n’avait qu’un vieux sabre laser en plastique. Quand il parle de cellule de dégrisement, Adrian ouvre la bouche en forme de O

— « Je ne suis pas ivre ! Je suis sobre depuis trois ans ! » prononce t-il fièrement en levant son sabre laser au ciel.

Puis il rebaisse son sabre en regardant un gosse qui veut essayer de lui voler son sabre, et il l’évite. Non, il n’a pas envie qu’on le lui vole, c’est une fierté ce sabre laser. Quand le policier attrapait le sabre laser, Adrian fronçait les sourcils.

« Oh noooon, ne m’arrêtez pas, je devrais dire à ma soeur de venir me chercher ou à Jill et déjà que c’est tendu comme une crampe avec Jill en ce moment vaut mieux pas. Bon d’accord je le baisse. »

Adrian baisse alors son sabre laser en soupirant

« Vous pensez que j’ai fait rigolé les gens ? »  demande Adrian.

Après tout, il voulait faire l’animation et il espérait avoir réussi, pour une fois.

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Sam 16 Mai - 15:08


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


Okey, visiblement, ça n’était qu’une petite blague de rien du tout. Du moins, qui avait tout de même fait paniquer la rue bien trop animée pour un matin ! Isaie roula des yeux, ne sachant trop quelle réaction choisir : agacement ou amusement ? D’un côté, il avait perdu un peu de temps mais ça n'était pas très grave. De l’autre, il pouvait comprendre qu’on souhaitait s’amuser et faire rire le quartier, surtout avec une telle figure de pop-culture mais… Vu l’évolution des peurs de ces dernières années, la panique latente qui sévissait toujours depuis les attentats, c’était difficile de laisser passer un tel acte dans une rue de New-York.

- Je vais être sincère avec vous, y’a les blagues drôles et les blagues qui ne devraient pas être faites... La vôtre fait partie de la seconde catégorie.

Le timbre, dur et un peu trop sérieux, n’était en rien comparable au regard sombre du commissaire. Espérons que cette posture et cette remarque seront suffisantes pour faire comprendre au jeune... jedi que l'utilisation d'un faux sabre laser en pleine rue passante n'était pas une très bonne idée.

- Je comprends que vous pensiez bien faire mais votre comportement allié à cet objet, ça a plus inquiété qu'autre chose. Regardez autour de vous, vous voyez des gens vous applaudir ou rigoler ?

Non, les quelques passants avaient l'air plutôt agacé d'une telle mésaventure dans leur joli quartier.

@ Invité

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Ven 5 Juin - 16:15
« Non mais sérieux, commissaire. Vous pensez vraiment que quelqu'un a cru que j'allais pouvoir faire du mal avec un sabre laser en plastique ? » demande t-il le plus sincèrement du monde. Il ne pensait pas à mal quand il était descendu dans la rue. Peut-être même qu'il n'avait pas pensé du tout. Et il aurait fallu voir le sourire du petit garçon quand il avait vu Adrian et son sabre laser, les yeux qui brillaient. Mais non, cette blague n'était visiblement pas drôle. « Non, les gens n'applaudissent pas et ne rigolent pas. Mais ce n'est pas de ma faute s'ils ne rigolent pas. » Et il hausse les épaules en repliant son sabre laser avant de regarder les gens qui s'étonnaient dans la rue. Et il reportait son regard sur le commissaire en le regardant le plus sérieusement du monde « Les gens devraient apprendre à rire un peu, ça les décoincerait. » Il est déçu Adrian que ça n'est pas eu l'effet escompté. « Tant pis pour eux, moi je me trouve drôle c'est le principal. »

@ Invité

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Ven 12 Juin - 12:15


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


Isaie se frotta le front, mal à l'aise à l'idée de devoir expliquer ça à... un adulte ? Un adulte qui avait l'air plutôt conscient de la situation sans pour autant comprendre ce qui pouvait être gênant. Relevant les yeux, essayant de faire preuve de professionnalisme même s'il avait envie de remettre les pendules à l'heure dans l'esprit de l'inconnu, il prit quelques secondes de pause avant de lui répondre.

- Je comprends ce que vous dites mais vu la situation que nous vivons depuis quelques années, il y a un stress latent chez les habitants de cette ville et je pense que vous pouvez le comprendre.

Lui n'avait pas été là pendant les attentats et le quartier abritaient beaucoup de personnes qui les avaient vécu, 20ans auparavant. Ça et les attaques de ces derniers mois, les manifestations en tout genre, il était logique que beaucoup prennent peur même quand il n'y avait pas de raisons. Isaie en avait vu passer au commissariat de LA, des personnes anxieuses qui ne supportaient plus la moindre action dans les rues, le moindre bruit dans leur quartier.

- C'est toujours bien de s'amuser et de faire rire les autres mais prenez juste conscience que certains comportements peuvent rendre anxieux d'autres personnes que vous. Je suis certain qu'il y a des lieux pour... jouer au sabre laser ou amusez des enfants mais la rue, avec un tel sérieux, ça n'est pas l'endroit approprié. Vous éviterez de le refaire s'il vous plait ?

La politesse était là mais intérieurement, Isaie avait envie de lui taper derrière la tête pour lui remettre les idées en place.

@ Invité

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Ven 12 Juin - 21:28
Adrian ne voulait pas comprendre pourquoi cela était gênant parce que pour lui, tout le monde pouvait voir que c’était un faux sabre laser, tout le monde pouvait voir qu’il n’était pas sérieux et pourtant, voilà qu’il avait à faire à un policier qui était à deux doigts de le mettre en garde à vue pour trouble à l’ordre public. Et il n’est pas prêt, il a déjà fait des tours en cellule de dégrisement mais comme il était totalement saoul, ça lui importait peu mais là il est totalement sobre alors il ne voudrait pas se retrouver en cellule, il aurait trop peur de se faire vomir dessus. Parce que peut-être que le flic en face de lui pense qu’il est ivre. Il n’est pas ivre. Il est tout à fait lucide.

— Oui je comprend mon commissaire, je ne le ferais plus. Enfin si. Mais chez moi.

Enfin chez lui, il n’a pas de public et ça c’est très triste. Mais tant pis, s’il doit se faire public lui même, il le fera. Ou peut-être qu’il pourra faire ça avec Jill ? Bon, elle le prendra encore pour un fou mais tant pis, ce ne sera pas la première fois. Après le beauf, le fou. C’est assez sympa comme concept.

— Oui, je ne le ferais plus. Je vais me reconvertir en Jedi pour les anniversaires. Parce que je suis sûr que le nouvel ordre existe. Vraiment. La force est forte en moi. Je le sens commissaire…

Il prend un air sérieux avant de se mettre à rire en faisant une tête amusée, ses lèvres pincées.

— Ça va, je rigole. C’était une blague. JE NE VEUX PAS QU’ON ME PASSE LES MENOTTES EN DEHORS DE MOMENTS DANS MON APPARTEMENT AVEC UNE FEMME. NE LE FAITES PAS S’IL VOUS PLAIT.

@ Invité

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Dim 14 Juin - 9:37


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


S’en était trop. Isaie savait s’amuser - certains de ses amis de Los Angeles pouvaient l'attester - mais là, de bon matin et en début de service, il n'avait clairement pas envie de rire. Encore moins quand un homme faisait n'importe quoi en ville, inquiétait les passants ET ne l'écoutait pas. Il avait pourtant essayé de le calmer mais la réaction du jeune homme ne fit qu'attester ce qu'il pensait depuis le début : il n'en avait rien à carrer.
 Isaie souffla un bon coup, déjà agacé par sa matinée. il n'avait même pas eu le temps de prendre un vrai petit déjeuner ! Bordel.

- Si c'est comme ça...

Il attrapa la paire de menotte qu'il avait accrochée à sa ceinture et la desserra d'un coup sec.

- Tournez vous. Vous êtes arrêté pour outrage à agent et mise en danger d’autrui.

Mise en danger, c’était un peu trop mais Isaie ne savait pas si cet homme allait bien, s'il était malade ou s'il avait une réelle explication pour un comportement aussi infantile. L'homme roula des yeux, réellement agacé par tout ça alors qu'il n'était que sur le chemin du travail ! Bordel de new-yorkais.

- Vous avez le droit de garder le silence et d'appeler un ami ou un avocat. même si clairement vous allez juste être mis en cellule de dégrisement donc ne perdait pas votre argent.

Arrestation, oui mais le commissaire n'allait pas dépouiller cet homme. Sauf s'il continuait à se rebeller comme un adolescent pré-pubère - sans offense aux adolescents !

@ Invité

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Mer 17 Juin - 23:54
Adrian a un souci bon, il n'en a pas qu'un il ne sait jamais s'arrêter quand il doit le faire et encore une fois aujourd'hui, il en a la preuve. Et il sent bien que les embrouilles arrivent mais son cerveau est beaucoup trop au taquet pour pouvoir s'arrêter. Il continue, essaye de faire des blagues -il devrait savoir qu'on ne blague pas avec n'importe qui- et il entend la phrase de l'homme qui lui fait écarquiller les yeux.

- vous blaguez ?
ose t-il demander.

Mais quand il se sent dépourvu de son sabre laser, il se tourne en mettant les mains derrière son dos, comme si c'était un habitué. Mise en danger de la vie de quoi ? Il n'avait menacé personne, il avait fait rire des gosses, si c'était mettre en danger la vie de quelqu'un, il ne s'y connaissait pas. Puis quand le mot cellule de dégrisement était prononcé, il secouait simplement la tête.

- Monsieur le commissaire, j'ai compris ma faute. S'il vous plaît, ne me mettez pas en cellule de dégrisement.

Il retrouve son sérieux d'un coup.

- Je ne suis pas saoul, je suis sobre depuis plus de trois ans, je n'ai pas touché à une seule goutte d'alcool, si vous ne me croyez pas, appelez mon parrain. Je peux vous donner son numéro si vous voulez, mais ne me mettez pas au trou. Jai compris, je ferais des blagues qu'à mes ami.e.s ou à ma copine, mais ne me mettez pas là bas. J'ai peur de replonger si je vois un poivrot qui cuve et qui sent l'alcool.

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Sam 20 Juin - 10:15


I don't trust you, you're not a jedi.
feat @Adrian Dawkins


Isaie était un homme bon, fonctionnant aux émotions et aux valeurs comme un moteur de berline. Pour autant, il n'appréciait pas qu'on se joue de lui en dépassant une certaine limite invisible : ça n'était tout de même pas compliqué de comprendre un "stop" quand il était émis ? Il avait prévenu à deux reprises l'inconnu et à deux reprises l'homme avait continué ses boutades sans faire attention à ce qui lui pendait au nez. Ça agaçait le commissaire et pire, ça le faisait passer pour un homme qui n'était pas.
Terminant de fermer les menottes, écoutant avec attention les informations données par l'inconnu, Isaie eut un mouvement d'arrêt sur l'évocation de l'alcoolisme que ce dernier combattait. Oui, ça ne serait clairement pas une bonne idée de le mettre en miroir avec les alcoolisés de la nuit...

- Bon. Je vais vous libérer mais vous allez devoir me promettre de faire attention à ce que vous faites quand... Vous faites des blagues. Je comprends que vous ayez voulu amuser la galerie mais quand on vous dit stop ou que des gens vous regardent avec... crainte, car c'était le cas, il n'y avait pas que des rires, arrêtez et expliquez. D'accord ?

La voix était claire, professionnelle, presque solennelle. Isaie aimait l'humour, il était le premier a faire des conneries dans un bar avec un micro et une plateforme de karaoké mais.. Il était dans un lieu propice à ce type de comportement et la rue n'en était pas un.
Le cliquetis des menottes se fit entendre un seconde fois et les poignets de l'homme furent libérés.

- L'humour est une denrée rare, je le conçois mais le respect aussi. Vous comprenez que, en tant que membre des services de l'ordre, quand je vous demande d'arrêter votre jeu de rôle avec politesse, il est préférable d'arrêter ?

Il avait déjà rangé ses menottes et son ton était devenu presque paternel. Ah sacré Isaie, a toujours vouloir sauver la terre entière !

@ Invité

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Mar 18 Aoû - 11:15

Adrian ne se rend pas compte qu’il peut être un vrai boulet parfois. Et aujourd’hui est un de ces jours. Il ne se rend compte de sa connerie que quand il a les menottes au poignet et qu’il se rend compte qu’il va sûrement devoir fréquenter les pipiches de la veille, et sentir la bière a des kilomètres à la ronde que ça le fait flipper. Il le dit même au policier avant de se gratter la nuque quand il est libéré.

— « Merci et oui j’ai retenu la leçon. j’expliquerais. »

Il déglutit et sourit un peu, les lèvres qui se dressent en un sourire pas vraiment franc. Les commissures qui sont tremblantes quand il se rend compte de sa connerie. Et quand il est enfin libéré, il frotte ses poignets avec ses mains. Il secoue la tête de bas en haut à l’écoute du policier.

— « Oui j’ai compris. Merci. Je vais… Je vais arrêter de faire de l’humour. Est-ce que je peux rentrer chez moi ? »

Sa connerie n’a plus de limite mais là, il vient d’être stoppé en plein élan alors il demande la permission, prit comme un gamin qui a mit les mains dans un seau de bonbons sans y être invité.

fin du rp

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