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you can laugh at anything. It depends on the joke (jazmine)

@ Invité

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Jeu 9 Avr - 20:02


you can laugh at anything. It depends on the joke
@Jazmine Weiss & @Matthew Cohen

« Oui, Maman, ne t’inquiètes pas je finirais pas le trouver » dis-tu par l’intermédiaire du téléphone tout en te pinçant l’arête du nez. « Je vais devoir te laisser, j’ai des choses à faire à la maison et Jazmine va pas tarder à rentrer non plus. ». Depuis que tu lui avais annoncé que tu allais te marier, ta mère était dans un état d’excitation sans nom et bien présente dans les préparatifs de l’évènement. Arya t’avait prévenu, quand tu étais parti la voir pour son anniversaire, que votre mère allait revenir à la charge si tu ne trouvais pas ton costume dans les temps. Comme Jaden te l’a dit également, tu n’allais pas te marier en jean, ce que tu comprenais totalement. Voilà, parfois, cela coutait cher et il fallait que tu poses le pour et le contre, voir si tu ne peux pas faire certaines dépenses à un moment donné. Peut être qu’elle serait soulagée sur le coup, mais t’as la certitude qu’elle finirait par revenir à la charge et même venir te chopper par la peau des fesses pour te forcer à l’acheter. Tu finis par raccrocher le premier, comme d’habitude, ou sinon, la conversation risque de se poursuivre pendant encore longtemps. Tu poses ensuite ton téléphone sur la table basse du salon. Aujourd’hui, tu ne travaillais pas. Depuis que tu avais été contraint de rester à la maison, tu avais cette hantise de rester seul. Toi, tu avais toujours besoin de te retrouver au cœur de l’action, à aider les autres, et non à rester assis dans un canapé. Pour combler l’ennui, tu envois des messages à Jaz, des images que tu trouves drôles trouvées sur les réseaux sociaux. Par moment, tu as un peu tendance à abuser, mais tu ne t’en rends pas vraiment compte.

Encore une fois, elle t’envoie un message d’avertissement, mais toi, tu fais comme si tu n’avais rien lu. En regardant le plafond, tu as cette idée qui te vient à l’esprit. Tu risques de t’attirer les foudres de ta fiancée, mais t’es prêt à prendre le risque pour rire un peu. Tu avais pris soin d’imprimer une des photos que tu avais trouvé quelques minutes auparavant, sur laquelle, on pouvait lire ‘Le chien est gentil, mais attention à ma femme’. Maintenant, il fallait un endroit où l’accrocher. Tu sors juste devant votre maison, tu regardes à droite et à gauche, personne n’est là pour témoigner de ta connerie. La feuille blanche finit par être collé sur la barrière blanche avec une bonne dose de scotch. Elle sera obligée de tomber dessus en rentrant du boulot. Tu files à l’intérieur pour te caler dans le canapé et allumer la télé. Là, tu affichais ce faux air sérieux, même si au fond, tu avais juste envie d’éclater de rire.

(c) Vesna.

@ Invité

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Ven 17 Avr - 21:06
La journée se termine enfin.
Jaz n’a qu’une seule envie : être à la maison, prendre un bain chaud et réconfortant, manger un morceau et passer du temps avec Matthew.
Bien qu’elle adore son travail et qu’elle n’y renoncerait absolument pour rien au monde, il y a des jours qui sont plus difficiles que d’autres. Il y a des interventions qui marquent, qui laissent un goût amer, et qui font absolument tout remettre en question.
Les pompiers sont bien souvent en première ligne dans ces cas-là, et sont confrontés à la détresse humaine ; à ces personnes qui remettent tout entre leurs mains, comme s’ils étaient des dieux vivants, capables de faire des miracles – alors qu’ils ne font qu’avec les moyens du bord et ils ne sont pas suffisants, pas toujours.
Et aujourd’hui, c’est une journée comme cela, qui se termine.
Une journée qui lui laisse un goût d’inachevé, qui lui fait remettre en cause les décisions de tout le monde, y compris les siennes ; surtout les siennes.
Jazmine est une éternelle insatisfaite ; elle cherche toujours à être la meilleure, à faire mieux que la veille – car sa plus grande compétition, en réalité, c’est de toujours être à la hauteur et ne jamais faillir.
Elle n’a pas l’impression d’avoir assuré, cette fois.

Un dernier message à Matthew avant de prendre la route sur sa moto, pour le prévenir qu’elle arrive dans quelques minutes.
Prudente, elle ne cherche pas à prendre des risques inconsidérés, et ne cherche pas à tout prix les sensations de la vitesse. Ses parents sont morts dans un accident de voiture, elle a failli perdre Matthew de la même manière, autant dire que cela calme les idées farfelues…
Elle a vu trop d’accident lorsqu’elle était secouriste, elle ne souhaite pas en être une victime, elle aussi.
Une vingtaine de minutes plus tard, Jaz gare sa moto et en descend avant de retirer son casque ; la main libre glisse les clés dans la poche et elle s’approche du portail, lorsque son regard s’arrête sur une affiche.
La jeune femme fronce les sourcils et la lit, une fois assez proche de cette dernière.
Il lui faut quelques secondes avant de comprendre qu’il s’agit encore d’une blague de Matt.
Évidemment.
Qui d’autre ?
Jaz roule des yeux, arrache la feuille comme elle peut, malgré tout le scotch – à croire qu’il s’est appliqué pour la rendre encore plus dingue.
La feuille roulée en boule dans le creux de sa main, elle entre dans la maison et retrouve son fiancé sur le canapé du salon, devant la télévision.
« Ça t’amuse, idiot ? » demande-t-elle en lui balançant la boule en pleine tête. « Les voisins vont vraiment croire que j’suis une cinglée ! » non pas qu’elle ne soit pas un peu… comment dire ?
Bon certes, c’est parfois une furie, lorsqu’on s’en prend à elle et qu’on la pousse à bout, mais elle ne l’est pas tant que cela.
« J’me demande parfois si j’devrais pas dire à un baby-sitter de venir veiller sur toi. » Un, oui. Pas une. Jaz ne fait pas assez confiance aux autres femmes pour s’occuper de son fiancé sans arrière-pensée.

@ Invité

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Sam 18 Avr - 17:19


you can laugh at anything. It depends on the joke
@Jazmine Weiss & @Matthew Cohen

Les blagues, c’était tout nouveau pour toi. Voilà pourquoi elles n’avaient pas tellement de succès au près du public. Tu pouvais faire des progrès, tu avais confiance en toi sur ce point. T’étais pas plus bête qu’un autre donc tu pouvais facilement y arriver. Tu as à peine le temps de réagir, de tourner la tête, que Jazmine venait te lancer une boulette en papier.

– Sois pas si violente que ça, c’était juste une blague, dis-tu en rigolant.

Apparemment, et au vu de l’insulte qu’elle t’avait sortie, la nouvelle pancarte n’était pas vraiment à son goût. Les voisins ne te faisaient pas tellement peur. Au fil du temps, tu avais appris ne pas faire attention à ce qu’ils pensaient. Certes par moment, tu avais bien besoin d’eux, mais à d’autres, tu pouvais t’en passer. T’étais plutôt indépendant comme gars.

— Mais ce n’est pas grave. Et puis, je ne suis même pas sûre que la voisine, avec son âge avancé, elle sache encore bien voir. Elle n’a surement pas eu le temps de la voir, je pense.

Tu te penches pour ramasser la boulette qui était tombé à tes pieds et tu te lèves pour aller la jeter à la poubelle qui se trouvait dans la cuisine. Ensuite, tu reviens vers ta fiancée pour lui faire face.

— Dans le pire des cas, ils vont penser qu’on est un jeune couple heureux et qui ont le sens de l’humour. Il n’y a pas vraiment mort d’homme dans l’histoire. Et puis arrête de faire cette tête-là, ça va aller.

A croire que le regard que te lançait ta fiancée ne te faisait pas peur du tout. Tu avais appris à la connaître avec le temps. Pour l’apaiser, tu l’entoures de tes bras et tu affiches ce sourire de coin.

— T’es sûre de toi? Personnellement, j’aurais préféré une baby-sitter plutôt qu’un, mais bon, j’imagine que je ne choisis pas.

Tu cherchais les problèmes. Là, ce n’est pas une pauvre boulette que tu risques de te prendre en pleine tête, mais plutôt son poing carrément. Aucune autre femme n’occupait tes pensées à part elle et rien ne saurait détourner ton regard. En amour, tu avais toujours mis un point d’honneur à te montrer fidèle et ce n’est pas maintenant que les choses vont changer. Avant de signer ton arrêt de mort, tu viens apposer un baiser sur les lèvres de ta fiancée pour saluer son retour à la maison.

— Ou sinon, ta journée s’est bien passé, honey?

Tu savais très bien que les journées dans ce genre de métier n’étaient pas toujours des plus joyeuses. Une fois à la maison, tu avais envie qu’elle s’y sente bien et libérée de toutes pensées néfastes.  

(c) Vesna.

@ Invité

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Lun 1 Juin - 16:27
Est-ce qu’elle lui en veut réellement ? Absolument pas.
Depuis le temps qu’ils se connaissent, Jazmine a appris à connaître Matt et elle sait parfaitement qu’il ne fait pas cela dans le but de la blesser ou de la vexer ; elle se doute bien que s’il pensait une seconde qu’elle le prendrait mal, il ne le ferait pas.

Et puis, force est d’admettre qu’elle a vraiment un caractère de merde – c’est le genre de femme qui ne se laisse pas faire, qui refuse qu’on lui marche sur les pieds et qui est capable de mettre des droites à ceux qui pousseront le bouchon un peu trop loin. Elle a toujours eu ce tempérament et autant dire que les convocations à l’école pouvaient être nombreuses à ce sujet… Heureusement, elle s’est calmée avec les années, mais n’a rien perdu de sa hargne.

« Moi, violente ? Tsss. Glisse-t-elle en levant les yeux au ciel. J’aurais pu faire tellement pire que d’te jeter une boulette de papier dans la tête. »
Mais elle ne le fera pas, que tout le monde se rassure. Bien qu’elle soit une adepte des sports de combat, elle n’usera pas de ces techniques pour punir son fiancé de son humour… douteux.
« T’as quand même d’la chance que j’sois amoureuse de toi : je te passe absolument tout. Mais n’en tire pas trop profit, hein… »
I
l vaut mieux le prévenir que ça ne marchera pas à tous les coups ! Même s’il est vrai que la vieille d’à côté ne parvient certainement plus à lire aussi bien, mais les passants, tous ceux qui sont dans le coin, dans les environs, qui ont pu passer devant le portail, lire ce message…
Jazmine roule des yeux, décide de ne plus y penser.
Après tout, c’est vrai qu’il n’y a pas mort d’homme et heureusement !

Elle passe les bras autour de lui, se sentant mieux maintenant qu’ils sont collés l’un à l’autre. Après la journée chaotique qu’elle vient de vivre, Jaz a bien besoin d’un peu de ce réconfort qui l’apaise et lui fait un bien fou.
Malheureusement, Matthew perd – étrangement – toujours une occasion de se taire.

« Eh… ! La seule baby-sitter que tu auras, c’est notre vieille voisine qui te fera du potage, c’est clair ? Si une femme vient ici pour s’occuper de toi, je l’envoie direct à l’hôpital avec des dents en moins. »
Et un nez cassé, sans doute. Ainsi que tous les membres de son corps, histoire qu’elle ne s’en remette pas de si tôt et qu’elle ne revienne plus jamais dans la vie de son fiancé.
Si c’est extrême ? Oui.

« Sinon la journée… mh. Elle marque une petite pause et vient nicher un instant son visage dans le cou de Matt. Ce n’était pas la meilleure de ma vie… Ça a été compliqué aujourd’hui. » Elle inspire quelques secondes et relève ensuite la tête, déposant un baiser sur les lèvres de son fiancé.
« Mais j’ai envie de me détendre plutôt que de ruminer toute la soirée… »

@ Invité

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Sam 20 Juin - 17:15


you can laugh at anything. It depends on the joke
@Jazmine Weiss & @Matthew Cohen

— Content de savoir que je suis chanceux pour cette fois, dis-tu en prenant soin de lui lancer un clin d’œil.

Tu as du mal à ne pas te mettre à rire. Quand vous étiez tous les deux, par moment, tu réussissais à retrouver ton âme d’adolescent. T’étais complètement fou amoureux. Le monde pouvait se montrer cruel par période, tu le sais bien, et quand tu as l’occasion de l’oublier, tu ne te gênes pas. Après tout, une touche d’humour n’a jamais tué personne jusqu’à présent.

— C’est plus facile à dire qu’à faire. J’aime bien te voir froncer les sourcils par moment.

Ta fiancée, avait ce don particulier, rien que certaines de ses mimiques arrivaient à te faire sourire. La façon dont elle pouvait poser les mains sur ses hanches et afficher un regard noir à ton intention, pouvait te faire craquer. Au final, tu arrivais souvent à la faire changer d’avis. Tu profites de l’étreinte pour poser doucement ton menton sur le haut de son crâne. Vos différences de tailles aidant, tu n’avais pas de mal pour ça. Tu aurais voulu que cette étreinte ne cesse jamais, pouvoir sentir son cœur battre te faisait un bien fou.

— J’ai fais quoi pour mériter autant de haine ? En tout cas, j’espère que les femmes en question ont une bonne couverture santé pour les frais liés à la perte de leur dentition. Tu hausses les épaules légèrement, faisant semblant d’être dépité. Je crois que tous les dentistes de New York risquent de t’apprécier. Enfin… calme toi quand même aussi, je ne voudrais pas finir en taule parce qu’on aurait été un peu trop lourd avec toi.

T’étais affreusement jaloux. C’était tellement évident, comme si tu avais ce mot tatoué sur le front. T’étais pas possessif pour autant, pas comme le compagnon de ta meilleure amie. Jamais, oh grand jamais, tu ne deviendrais comme ça. Même si tu avais peur qu’elle t’échappe entre les doigts, tu lui laissais sa liberté. Tu préférais largement être fiancée à une femme épanouie, plutôt qu’à une femme qui se sent prise au piège.

— Ne t’inquiètes pas, maintenant, tu es à la maison. Tout ira mieux demain. Tu veux en parler un peu?

Si seulement cela pouvait être vrai. Si seulement, tous les problèmes pouvaient disparaître en un éclair du jour au lendemain.

— Très bien. Tu veux qu’on commande à manger maintenant ? Parce que je t’avouerais que je n’ai rien préparer.

Pour elle, et son système digestif, c’était mieux ainsi. Toi et la cuisine n’était pas copains. Quand t’étais encore célibataire, que tu habitais seul, tu ne prenais pas vraiment la peine de faire de grands plats. Même chose au commissariat, tu grignotais souvent.

— Ou sinon, on peut encore attendre un peu.., lui indiquas-tu en posant délicatement tes mains sur ses hanches.

(c) Vesna.

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