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A découvrir anything you can do i can do better (owen)
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@owen gallagher & ofelia bernal
Aujourd’hui est une excellente journée. T’as enfin finalisé le divorce des Wellington - un cliché ambulant pour toutes les familles riches de ce monde - et cela vient avec un agréable bonus sur lequel tu ne cracherais pas. C’est pour service rendu, pour la subtilité dont tu as fait preuve et parce que monsieur est bien content d’avoir obtenu la villa dans les Alpes. Tu ne sais pas si tu as vraiment un quelconque mérite sur ce point, il a sacrifié beaucoup pour avoir cette stupide villa, mais qu’importe. Tu ne comptes pas le contredire alors que ça t’offre un chèque supplémentaire, un chèque qui ferait beaucoup de bien à tes prêts à rembourser. Puis bon, autant dire que tu as d’autres raisons pour apprécier une affaire remportée. D’ailleurs, il serait sans doute temps que tu trouves Owen pour lui annoncer la bonne nouvelle. C’est du moins ton intention avant que tu passes rapidement à autre chose, un autre dossier sur lequel il te faut travailler. Tu pourras toujours le rattraper lorsque viendra l’heure du diner, c’est bien un moment où vous prenez des pauses tous les deux (normalement).
Sauf que t’oublies un peu l’heure, trop occupée par le palpitant divorce qu’il y a sous tes yeux. Tu trouves parfois ce genre de choses fascinantes, parce qu’il suffirait d’un peu de communication pour que les débats se règlent plus facilement. Dommage qu’ils préfèrent tous passer par leurs avocats enfin tant mieux pour toi, tant pis pour eux. Tu notes quelques points sur les demandes de ton client, soulignant ce qui te semble possible et barrant ce qui te parait impossible à obtenir. Tu verrais bien en temps et heure, mais c’est une préparation que tu trouves importantes. Puis, c’est toujours agréable de voir que tu avais raison lorsque le divorce se conclut.
C’est finalement ton ventre qui te rappelle à l’ordre avec un bruit qui n’a rien de charmant. Ça te tire de ton travail et te pousse à te relever. Un bref regard en direction de l’heure te dit qu’il vaut mieux aller dans un des restaurants aux étages plus bas plutôt que sortir du building. Tu te diriges donc vers les ascenseurs pour te rendre au restaurant des avocats (pun intended). C’est du moins l’intention, les choses se passent un peu moins comme prévu. Tu vois une porte d’ascenseur qui commence à se fermer et tu ne réfléchis pas davantage. Tu commences à presser le pas pour finalement te glisser entre les portes qui se referment. « Hop là. » Ce n’est pas très sérieux ou très classe, mais au moins t’as pas à attendre une ascenseur comme ça.
Et sur qui tombes-tu dans cet ascenseur ? Owen en personne. Tu esquisses un sourire en t’appuyant sur la paroi à côté de lui. « Justement celui que je voulais voir. » Pas exactement, disons que c’est un autre type d’avocat que tu voulais voir, là tout de suite, mais bon, t’as quand même une victoire à lui mettre sous le nez et ça vaut presque la peine de retarder ton lunch (tardif de toute façon) de quelques minutes. « Devine qui… » Et tu t’arrêtes dans le moment de nargue parce que l’ascenseur s’arrête soudainement. Avant même que vous ne soyez à l’étage plus bas juste… en plein milieu. Ah bah génial, toi qui avait faim.
Sauf que t’oublies un peu l’heure, trop occupée par le palpitant divorce qu’il y a sous tes yeux. Tu trouves parfois ce genre de choses fascinantes, parce qu’il suffirait d’un peu de communication pour que les débats se règlent plus facilement. Dommage qu’ils préfèrent tous passer par leurs avocats enfin tant mieux pour toi, tant pis pour eux. Tu notes quelques points sur les demandes de ton client, soulignant ce qui te semble possible et barrant ce qui te parait impossible à obtenir. Tu verrais bien en temps et heure, mais c’est une préparation que tu trouves importantes. Puis, c’est toujours agréable de voir que tu avais raison lorsque le divorce se conclut.
C’est finalement ton ventre qui te rappelle à l’ordre avec un bruit qui n’a rien de charmant. Ça te tire de ton travail et te pousse à te relever. Un bref regard en direction de l’heure te dit qu’il vaut mieux aller dans un des restaurants aux étages plus bas plutôt que sortir du building. Tu te diriges donc vers les ascenseurs pour te rendre au restaurant des avocats (pun intended). C’est du moins l’intention, les choses se passent un peu moins comme prévu. Tu vois une porte d’ascenseur qui commence à se fermer et tu ne réfléchis pas davantage. Tu commences à presser le pas pour finalement te glisser entre les portes qui se referment. « Hop là. » Ce n’est pas très sérieux ou très classe, mais au moins t’as pas à attendre une ascenseur comme ça.
Et sur qui tombes-tu dans cet ascenseur ? Owen en personne. Tu esquisses un sourire en t’appuyant sur la paroi à côté de lui. « Justement celui que je voulais voir. » Pas exactement, disons que c’est un autre type d’avocat que tu voulais voir, là tout de suite, mais bon, t’as quand même une victoire à lui mettre sous le nez et ça vaut presque la peine de retarder ton lunch (tardif de toute façon) de quelques minutes. « Devine qui… » Et tu t’arrêtes dans le moment de nargue parce que l’ascenseur s’arrête soudainement. Avant même que vous ne soyez à l’étage plus bas juste… en plein milieu. Ah bah génial, toi qui avait faim.
(c) DΛNDELION
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@ofelia bernal & owen gallagher
Tu as la tête ailleurs. Comment ne pas avoir la tête ailleurs ? Pourtant, tu sais que tu devrais être concentré dans ce que tu fais, que certaines personnes dépendent du travail que tu peux faire, toutefois, tu ne peux pas t’empêcher d’ouvrir trop souvent la page web d’une fleuriste, tout ça pour admirer ce qu’elle sait faire en t’imaginant ce que ce serait à ton mariage. Parce que oui, c’est tout ce que tu as en tête depuis la grande demande. Depuis que tu as demandé à Hope d’être ta femme. Et tu penses qu’elle aussi, elle y pense beaucoup. Du moins, tu l’espères, parce qu’elle te semble être souvent dans sa tête. Et c’est plus facile de te voiler la face, de te dire que c’est le stress qui accompagne un tel événement que toute autre chose qui pourrait l’éloigner de toi. Finalement, passant ton regard sur le coin de ton écran, tu te dis qu’il serait peut-être le temps d’aller manger. Pas que le début de ta journée ait été très productif mais bon, tu ferais mieux cet après-midi, une fois l’estomac plein. T’en es pas convaincu mais il le faut. Tu as des responsabilités, des gens qui attendent des résultats. Des gens pour qui les résultats sont importants.
Te levant donc de ta chaise, tu prends place dans l’ascenseur et alors que les portes se referment, tu vois une main se glisser entre elles tout en entendant une voix qui t’es familière. Ton sourire s’étire à ses mots avant que tu ne soupires. - Alors, quel exploit viens-tu de réaliser ? Sur un ton amusé, loin de critiquer, bien au contraire. C’est une sorte de jeu qui s’est installé depuis quelques temps, entre vous deux. Une compétition bon enfant. À la différence que toi tu ne manques pas de rappeler que ton travail est important, là où le sien ne sert qu’à escroquer les gens. T’es pas totalement sérieux lorsque tu dis ça, mais presque.
Attentif à ses mots, elle n’a pas le temps de finir que l’ascenseur s’arrête. Surpris, tu fronces les sourcils, avant de constater l’évidence : l’ascenseur s’est bloqué entre les deux étages. Bon, c’est un peu embêtant, parce que tu commences à avoir faim mais, surtout, parce que tu dois vraiment travailler, n’ayant rien fait de ça dans les dernières heures. Tu es d’ordinaire assez professionnel, toujours à ton affaire, mais avec le mariage qui s’approche et tout ce qu’il y a à préparer pour ça, tu es un peu ailleurs. Un peu trop, même. - Ah bah bravo, l’ascenseur n’a pas pu supporter le poids de ta grosse tête. Là encore, une pique lancée sur un ton amusé tandis que tu reportes ton regard vers elle. - Ou le poids de ta culpabilité alors que tu viens de voler un pauvre innocent ? Cette fois-ci, c’est un rire qui s’échappe de tes lèvres, l’air de dire que tu n’es absolument pas sérieux. Parce qu’il est rarement question de coupable ou d’innocent. Bien souvent, ça se résume à qui a le meilleur dossier.
Te levant donc de ta chaise, tu prends place dans l’ascenseur et alors que les portes se referment, tu vois une main se glisser entre elles tout en entendant une voix qui t’es familière. Ton sourire s’étire à ses mots avant que tu ne soupires. - Alors, quel exploit viens-tu de réaliser ? Sur un ton amusé, loin de critiquer, bien au contraire. C’est une sorte de jeu qui s’est installé depuis quelques temps, entre vous deux. Une compétition bon enfant. À la différence que toi tu ne manques pas de rappeler que ton travail est important, là où le sien ne sert qu’à escroquer les gens. T’es pas totalement sérieux lorsque tu dis ça, mais presque.
Attentif à ses mots, elle n’a pas le temps de finir que l’ascenseur s’arrête. Surpris, tu fronces les sourcils, avant de constater l’évidence : l’ascenseur s’est bloqué entre les deux étages. Bon, c’est un peu embêtant, parce que tu commences à avoir faim mais, surtout, parce que tu dois vraiment travailler, n’ayant rien fait de ça dans les dernières heures. Tu es d’ordinaire assez professionnel, toujours à ton affaire, mais avec le mariage qui s’approche et tout ce qu’il y a à préparer pour ça, tu es un peu ailleurs. Un peu trop, même. - Ah bah bravo, l’ascenseur n’a pas pu supporter le poids de ta grosse tête. Là encore, une pique lancée sur un ton amusé tandis que tu reportes ton regard vers elle. - Ou le poids de ta culpabilité alors que tu viens de voler un pauvre innocent ? Cette fois-ci, c’est un rire qui s’échappe de tes lèvres, l’air de dire que tu n’es absolument pas sérieux. Parce qu’il est rarement question de coupable ou d’innocent. Bien souvent, ça se résume à qui a le meilleur dossier.
(c) DΛNDELION
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@owen gallagher & ofelia bernal
T’as même pas le temps de finir ta proclamation, de dire que t’as bouclé surement un des divorces les plus lucratifs de ta carrière. Pas parce que tu te dis que ce n’est pas vraiment un exploit que d’exploiter les failles d’un mariage pour t’enrichir - parce que ton compte en banque dirait totalement autre chose - mais bien parce que la vie semble contre toi. Tu grimaces lorsque l’ascenseur s’arrête, autant vexée par le stop que ça met dans ton affirmation que dérangée parce que ça retarderait nécessairement ton lunch. Ah aussi, il faudrait que tu travailles un peu plus, mais ça semble être loin de tes premières priorités. Sans trop de cérémonie, tu te laisses glisser contre la paroi pour te retrouver assise dans une position sans doute peu charmante. Pas que tu te préoccupes vraiment des apparences lorsque Owen est le seul dans les parages.
Puis bon, de toute façon, dès qu’il est dans les parages, le coeur de la conversation part bien souvent vers des petites piques lancées d’un côté et de l’autre. Pendant un bref instant tu te permets de feindre d’être vexée, comme si tu avais vraiment une grosse tête, avant de rire à ce qu’il ajoute. « Franchement, vu l’argent qu’il a mis dans son divorce, je doute qu’on puisse parler d’innocent. » Pas que tu parlerais d’innocent pour un seul de tes dossiers en fait. La notion ne s’applique pas vraiment au droit, encore moins pour les divorces qui font généralement ressortir le pire chez les gens qui sont impliqués. Vu toutes les bassesses que tu as pu voir dans le cadre de ton travail, autant dire que tu n’es pas très prompte à ressentir une quelconque culpabilité vis-à-vis de l’argent que tu viens d’engranger. Mais tu sais aussi que si ton cynisme est une version exagérée, elle ne peut pas être si loin de la vision d’Owen. Il a juste le luxe de pouvoir faire ce qu’il veut dans la vie.
Après un bref moment de silence tu te permets de - finalement - terminer ta réponse que l’ascenseur avait si impoliment arrêté : « J’ai enfin finalisé le divorce des Wellington. » Un franc sourire, une petite pointe de fierté surtout quand tu repenses à l’argent qui va être déposé dans ton compte en banque. « Ce qui, si je ne détrompe pas, me place en tête dans notre compétition. » Ah oui, presque qu’au même niveau que l’argent, c’est ce qui te fait plaisir dans le fait d’avoir clos le divorce. Après tout, tu t’en fiches un peu de l’état marital de monsieur Wellington, ce qui t’importe c’est de prendre la tête. Ton sourire s’étire alors que tu ne fait preuve d’aucune humilité que ce soit. « Mais comme je suis bonne joueuse, je te laisse te rattraper en nous sortant de cette situation. » Tu désignes les boutons de l’ascenseur. Oh tu pourrais surement te bouger et t’en occuper toi-même mais bon. « C’est ton moment prince charmant. » Il y a quelque chose chez Owen qui te ramène à cette idée de principe charmant. Peut-être que c’est sa façon de se comporter, peut-être est-ce parce que quatre-vingt-dix-neuf pour-cent des princes de Disney lui ressemble, qui sait.
Puis bon, de toute façon, dès qu’il est dans les parages, le coeur de la conversation part bien souvent vers des petites piques lancées d’un côté et de l’autre. Pendant un bref instant tu te permets de feindre d’être vexée, comme si tu avais vraiment une grosse tête, avant de rire à ce qu’il ajoute. « Franchement, vu l’argent qu’il a mis dans son divorce, je doute qu’on puisse parler d’innocent. » Pas que tu parlerais d’innocent pour un seul de tes dossiers en fait. La notion ne s’applique pas vraiment au droit, encore moins pour les divorces qui font généralement ressortir le pire chez les gens qui sont impliqués. Vu toutes les bassesses que tu as pu voir dans le cadre de ton travail, autant dire que tu n’es pas très prompte à ressentir une quelconque culpabilité vis-à-vis de l’argent que tu viens d’engranger. Mais tu sais aussi que si ton cynisme est une version exagérée, elle ne peut pas être si loin de la vision d’Owen. Il a juste le luxe de pouvoir faire ce qu’il veut dans la vie.
Après un bref moment de silence tu te permets de - finalement - terminer ta réponse que l’ascenseur avait si impoliment arrêté : « J’ai enfin finalisé le divorce des Wellington. » Un franc sourire, une petite pointe de fierté surtout quand tu repenses à l’argent qui va être déposé dans ton compte en banque. « Ce qui, si je ne détrompe pas, me place en tête dans notre compétition. » Ah oui, presque qu’au même niveau que l’argent, c’est ce qui te fait plaisir dans le fait d’avoir clos le divorce. Après tout, tu t’en fiches un peu de l’état marital de monsieur Wellington, ce qui t’importe c’est de prendre la tête. Ton sourire s’étire alors que tu ne fait preuve d’aucune humilité que ce soit. « Mais comme je suis bonne joueuse, je te laisse te rattraper en nous sortant de cette situation. » Tu désignes les boutons de l’ascenseur. Oh tu pourrais surement te bouger et t’en occuper toi-même mais bon. « C’est ton moment prince charmant. » Il y a quelque chose chez Owen qui te ramène à cette idée de principe charmant. Peut-être que c’est sa façon de se comporter, peut-être est-ce parce que quatre-vingt-dix-neuf pour-cent des princes de Disney lui ressemble, qui sait.
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@ofelia bernal & owen gallagher
Entrant dans l’ascenseur, tu tombes nez à nez avec une Ofelia qui te semble être particulièrement de bonne humeur. Un dossier finaliser ? Un point de plus à ajouter de son côté du tableau ? Tu te décides donc de l’embêter, te montrant curieux vis-à-vis de son exploit, te faisant toutefois la réflexion qu’il allait vraiment falloir que tu y mettes un peu plus du tiens si tu ne souhaitais pas la voir prendre trop d’avance sur toi. Tu pourrais toujours argumenter qu’elle avait un boulot plus facile que le tiens, qu’arnaquer les gens pour quelques centaines de dollars de plus ça n’avait rien de bien difficile, mais bon, tu étais plutôt bon joueur et tu comptais bien remporter ce pari lancé il y avait quelques temps de cela seulement grâce à tes réussites. Surtout que bon, tu n’as pas le temps de t’étaler un peu plus sur le sujet ni même d’avoir de réponse de sa part avant que l’ascenseur ne s’arrête sans trop que tu comprennes pourquoi, préférant donc opter pour une plaisanterie plutôt que de te pencher sur le fait que cela signifiait que, pour le moment, vous étiez coincés tous les deux ici et ce, pour une durée indéterminée.
- Il te faisait confiance pour gérer tout ça et toi, tu as profité de lui dans cette période difficile… Une expression dramatique sur le visage, une main posée sur ton coeur, serrant ta main comme si tu mimais d’avoir été blessé. Tu laisses ensuite entendre un rire, signifiant ainsi que tu n’étais pas vraiment sérieux avant de grimacer à ses mots. Tu le savais déjà, tu t’étais fait la réflexion mais tu avais presque espéré qu’elle, elle ne s’en souvienne pas. - Mouais, peut-être… Je regarde pas trop nos points. En arborant une expression de confiance, la grimace rapidement effacée de tes traits. - Je sais déjà que je vais gagner donc, à quoi bon ? Sous-entendant par là que tu étais donc un bien meilleur avocat qu’elle. Tu sais que ce n’est pas vrai, que tu exagères, mais ça ne t’empêches pas de le souligner non sans une pointe d’arrogance.
Tu fais mine de réfléchir suite à ce qu’elle te dit. - Ça me donne un point que de nous sortir d’ici ? L’air plus amusé tout en t’approchant des boutons de l’ascenseur - Parce que, si non, je te préviens que je ne ferai rien. Aussi charmant pouvais-tu être, tu n’étais le prince que d’une seule (qui semblait t’éviter ces derniers temps mais bon, tu mettais ça sur le compte du mariage qui s’approchait). Te laissant donc tomber sur le sol, t’asseyant tout en appuyant ton dos sur le mur derrière toi, tu reportes ton regard sur la jolie demoiselle prisonnière de cette pièce étroite avec toi. - Et donc ? Parce que je suis patient, hein. Très patient. Surtout lorsque tu es en agréable compagnie. Une pensée que tu chasses rapidement de ton esprit. Pas qu’Ofelia n’est pas d’une agréable compagnie, au contraire, tu as juste été surpris d’avoir pensé à elle… Comme ça. Chose que tu préfèrerais ne pas faire. Ne serait-ce que parce que tu vas être bientôt marié. Et qu’aussi jolie qu’elle est, tu es complètement fou amoureux de ta fiancée. De celle qui t’évite. Pas que ça ait quelconque importance. Et pourquoi est-ce que tu penses à tout ça en fait ?
- Il te faisait confiance pour gérer tout ça et toi, tu as profité de lui dans cette période difficile… Une expression dramatique sur le visage, une main posée sur ton coeur, serrant ta main comme si tu mimais d’avoir été blessé. Tu laisses ensuite entendre un rire, signifiant ainsi que tu n’étais pas vraiment sérieux avant de grimacer à ses mots. Tu le savais déjà, tu t’étais fait la réflexion mais tu avais presque espéré qu’elle, elle ne s’en souvienne pas. - Mouais, peut-être… Je regarde pas trop nos points. En arborant une expression de confiance, la grimace rapidement effacée de tes traits. - Je sais déjà que je vais gagner donc, à quoi bon ? Sous-entendant par là que tu étais donc un bien meilleur avocat qu’elle. Tu sais que ce n’est pas vrai, que tu exagères, mais ça ne t’empêches pas de le souligner non sans une pointe d’arrogance.
Tu fais mine de réfléchir suite à ce qu’elle te dit. - Ça me donne un point que de nous sortir d’ici ? L’air plus amusé tout en t’approchant des boutons de l’ascenseur - Parce que, si non, je te préviens que je ne ferai rien. Aussi charmant pouvais-tu être, tu n’étais le prince que d’une seule (qui semblait t’éviter ces derniers temps mais bon, tu mettais ça sur le compte du mariage qui s’approchait). Te laissant donc tomber sur le sol, t’asseyant tout en appuyant ton dos sur le mur derrière toi, tu reportes ton regard sur la jolie demoiselle prisonnière de cette pièce étroite avec toi. - Et donc ? Parce que je suis patient, hein. Très patient. Surtout lorsque tu es en agréable compagnie. Une pensée que tu chasses rapidement de ton esprit. Pas qu’Ofelia n’est pas d’une agréable compagnie, au contraire, tu as juste été surpris d’avoir pensé à elle… Comme ça. Chose que tu préfèrerais ne pas faire. Ne serait-ce que parce que tu vas être bientôt marié. Et qu’aussi jolie qu’elle est, tu es complètement fou amoureux de ta fiancée. De celle qui t’évite. Pas que ça ait quelconque importance. Et pourquoi est-ce que tu penses à tout ça en fait ?
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Tu ne peux que rire aux dires d'Owen. Tu ne le penses pas sérieux, même si tu supposes qu'il y a une pointe de vérité dans ses mots et ça suffit à t'amuser. Est-ce que tu as vraiment profiter du malheur de quelqu'un pour l'extorquer ? Peut-être un peu, mais ça, c'est la définition de la grande majorité des avocats. Certains, comme Owen, peuvent se permettre de ne pas imposer des tarifs faramineux. Toi t'as pas cette chance et t'as choisi un domaine dans lequel tu n'as pas à avoir de cas de conscience sur ce que tu fais. « Ça lui apprendra à choisir la mauvaise personne. » Et à être un connard. Tu gardes ce point pour toi, sachant que ce n'est pas quelque chose que tu devrais penser sur un client potentiel. Puis bon, c'est pas non plus important, tu préfères rappeler à Owen que ce dossier te place en avance dans votre petite compétition. « C'est mignon de dire ça alors que t'es en train de perdre. J'admire la confiance, vraiment. » T'as cette même confiance au fond. Tout ce que tu dis sous-entend que tu vas l'emporter à la fin alors que tu sais que ce n'est nécessairement pas vrai. Il est un bon avocat, au même titre que toi, donc qui sait qui pourrait vraiment l'emporter.
Puis bon, ce n'est pas comme si un de vous deux ferait beaucoup de travail dans un avenir proche considérant l'état de l'ascenseur. T'invites Owen à régler le problème, c'est son rôle de prince charmant, un rôle que tu lui as attribué sans vraiment lui demander son avis. « Ah parce que t'as besoin de points donnés pour avoir une chance de l'emporter ? Je pensais pas que t'étais désespéré à ce point. » Et tu rigoles alors qu'au fond, tu lui aurais bien donné le point pour qu'il vous sorte de la situation. T'as faim et t'as vraiment la flemme de t'en occuper. Mais bon s'il faut qu'il prenne cette position là et qu'il négocie pour des points, l'embêter parait une meilleure utilisation de ton temps. Et t'as même une occasion en or de le faire lorsqu'il souligne être patient. Ça tu n'as aucun doute pour l'avoir vu travailler sur des dossiers, mais évidemment ce n'est pas ce que tu décides de tirer de l'affirmation. « Il fallait le dire si tu voulais passer plus temps avec moi. » Serais-tu en train de flirter ? Totalement, t'as le sourire charmant en prime et tu lui adresses un clin d'oeil. Tu sais qu'il est fiancé, tu t'en fiches un peu. Ce n'est pas comme si tu t'attendais à ce qu'il se passe quoi que ce soit entre vous. Si t'étais honnête, tu pourrais dire que ça ne te dérangerait pas le moins du monde, mais bon. Ce n'est qu'un flirt innocent, le genre qui n'importe pas. « C'est une manière bizarre de faire les choses, mais je dois te donner des points pour la créativité. » Et tu rigoles doucement alors que tu relèves les yeux vers lui. Tu devrais sans doute t'en tenir à tes sujets plus sérieux, son futur mariage par exemple. Mais non, à la place tu te rapproches de lui pour lui donner un petit coup de coude (amical). T'es pas sérieuse, mais tu l'aimes bien Owen au fond.
Puis bon, ce n'est pas comme si un de vous deux ferait beaucoup de travail dans un avenir proche considérant l'état de l'ascenseur. T'invites Owen à régler le problème, c'est son rôle de prince charmant, un rôle que tu lui as attribué sans vraiment lui demander son avis. « Ah parce que t'as besoin de points donnés pour avoir une chance de l'emporter ? Je pensais pas que t'étais désespéré à ce point. » Et tu rigoles alors qu'au fond, tu lui aurais bien donné le point pour qu'il vous sorte de la situation. T'as faim et t'as vraiment la flemme de t'en occuper. Mais bon s'il faut qu'il prenne cette position là et qu'il négocie pour des points, l'embêter parait une meilleure utilisation de ton temps. Et t'as même une occasion en or de le faire lorsqu'il souligne être patient. Ça tu n'as aucun doute pour l'avoir vu travailler sur des dossiers, mais évidemment ce n'est pas ce que tu décides de tirer de l'affirmation. « Il fallait le dire si tu voulais passer plus temps avec moi. » Serais-tu en train de flirter ? Totalement, t'as le sourire charmant en prime et tu lui adresses un clin d'oeil. Tu sais qu'il est fiancé, tu t'en fiches un peu. Ce n'est pas comme si tu t'attendais à ce qu'il se passe quoi que ce soit entre vous. Si t'étais honnête, tu pourrais dire que ça ne te dérangerait pas le moins du monde, mais bon. Ce n'est qu'un flirt innocent, le genre qui n'importe pas. « C'est une manière bizarre de faire les choses, mais je dois te donner des points pour la créativité. » Et tu rigoles doucement alors que tu relèves les yeux vers lui. Tu devrais sans doute t'en tenir à tes sujets plus sérieux, son futur mariage par exemple. Mais non, à la place tu te rapproches de lui pour lui donner un petit coup de coude (amical). T'es pas sérieuse, mais tu l'aimes bien Owen au fond.
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Tu secoues doucement de la tête, comme pour nier ses dires. - Alors, je ne suis pas en train de perdre. Je travaille simplement sur des dossiers plus compliqués que les tiens mais, t’en fais pas, il y en a beaucoup qui vont être résolus avant la fin du pari. Est-ce que tu en as plus qu’elle ? T’en sais franchement rien puis, si t’étais honnête, tu n’as aucune idée de qui entre vous deux allait l’emporter, ce pari. Mais bon, ça, tu ne peux pas le dire de vive voix, encore moins à elle, alors tu te contentes d’afficher ce sourire confiant. - Puis bon, il faut bien que je te laisse une chance, que tu ais l’impression que tu puisses gagner, sinon la compétition n’aurait rien de marrant. Est-ce que tu prétends que tu fais exprès de lui laisser de l’avance ? Bien évidemment. Est-ce la vérité ? Absolument pas. Surtout que tu as l’esprit un peu ailleurs, ces temps-ci. Il y a ton mariage qui se rapproche et, en même temps, Hope qui s’éloigne. Un fait qui t’embête un peu, que tu mets sur la nervosité que tu ressens vis-à-vis du grand jour. Parce que tu as envie que tout soit parfait. Et tout allait être parfait. Parce que c’était avec elle que tu allais te marier.
Tu préfères tout de même chasser tout ça de ton esprit, considérant que ce n’est peut-être pas le moment de te laisser aller aux doutes qui te hantent par moment. Pas alors que tu es coincé dans un ascenseur et encore moins alors que tu es avec Ofelia. Parce que tu n’as pas envie d’être de mauvaise compagnie et parce qu’elle a sûrement autre chose à faire que de t’entendre ressasser ce qui n’existe sans doute pas, que des peurs irrationnelles qui n’auraient plus lieu d’être une fois que tu lui aurais passé la bague au doigt. À Hope, évidemment, pas à Ofelia. Tu fronces un peu les sourcils lorsqu’elle rebondit sur tes conditions, un peu pris de court par sa répartie. - Ah, eh… Tu cherches quelque chose d’intelligent à répondre pour te défendre. - C’est juste que comme c’est ton égo et ta grosse tête qui nous a coincé ici, tu me fais perdre du temps. T’as pas trouvé mieux.
Puis bon, tu n’y penses déjà plus lorsqu’elle t’adresse ce clin d’oeil. Serait-elle en train de flirter avec toi ? Ça en a tout l’air. Est-ce que ça te dérange ? Non, pas spécialement et ça ne te déplaît pas. Tu aimerais bien dire que c’est seulement parce que c’est toujours agréable de se sentir apprécié par d’autres mais la vérité c’est que tu l’aimes bien, Ofelia. Et tu aimes bien cette façon dont elle te regarde. Dont elle s’adresse à toi. - Hm, moi de ce que je comprends, c’est toi qui veux passer plus de temps avec moi. Après tout, tu refuses de me donner les points, me forçant ainsi à rester en ta compagnie… Tu retournes un peu la situation, sourire aux lèvres, cherchant surtout à chasser ces pensées qui viennent t’embêter, celles d’un homme dont la relation qui allait pourtant très bien jusqu’ici semble un peu plus compliquée. - Tu penses qu’ils vont mettre combien de temps à nous sortir d’ici ? Question comme une autre pour faire un peu la discussion. Après tout, semblerait-il que vous étiez désormais tous les deux coincés ici, à savoir pour combien de temps encore.
Tu préfères tout de même chasser tout ça de ton esprit, considérant que ce n’est peut-être pas le moment de te laisser aller aux doutes qui te hantent par moment. Pas alors que tu es coincé dans un ascenseur et encore moins alors que tu es avec Ofelia. Parce que tu n’as pas envie d’être de mauvaise compagnie et parce qu’elle a sûrement autre chose à faire que de t’entendre ressasser ce qui n’existe sans doute pas, que des peurs irrationnelles qui n’auraient plus lieu d’être une fois que tu lui aurais passé la bague au doigt. À Hope, évidemment, pas à Ofelia. Tu fronces un peu les sourcils lorsqu’elle rebondit sur tes conditions, un peu pris de court par sa répartie. - Ah, eh… Tu cherches quelque chose d’intelligent à répondre pour te défendre. - C’est juste que comme c’est ton égo et ta grosse tête qui nous a coincé ici, tu me fais perdre du temps. T’as pas trouvé mieux.
Puis bon, tu n’y penses déjà plus lorsqu’elle t’adresse ce clin d’oeil. Serait-elle en train de flirter avec toi ? Ça en a tout l’air. Est-ce que ça te dérange ? Non, pas spécialement et ça ne te déplaît pas. Tu aimerais bien dire que c’est seulement parce que c’est toujours agréable de se sentir apprécié par d’autres mais la vérité c’est que tu l’aimes bien, Ofelia. Et tu aimes bien cette façon dont elle te regarde. Dont elle s’adresse à toi. - Hm, moi de ce que je comprends, c’est toi qui veux passer plus de temps avec moi. Après tout, tu refuses de me donner les points, me forçant ainsi à rester en ta compagnie… Tu retournes un peu la situation, sourire aux lèvres, cherchant surtout à chasser ces pensées qui viennent t’embêter, celles d’un homme dont la relation qui allait pourtant très bien jusqu’ici semble un peu plus compliquée. - Tu penses qu’ils vont mettre combien de temps à nous sortir d’ici ? Question comme une autre pour faire un peu la discussion. Après tout, semblerait-il que vous étiez désormais tous les deux coincés ici, à savoir pour combien de temps encore.
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@owen gallagher & ofelia bernal
Tu ne te montres pas convaincue par les dire d’Owen. Tu te permets même un « hm-hm » bien sarcastique juste pour la forme. Tu ne sais pas s’il dit la vérité ou s’il essaie de frimer un peu. En soit, il n’y a aucun doute dans le fait que ses dossiers sont plus complexes que les tiens. Même les pires divorces se terminent souvent sur une simple question d’argent, ce qui est difficilement le cas pour le cas pour la garde d’enfants (enfin t’espères). « Continue de te dire ça et je vais finir par conduire ta voiture. » Mais bon, c’est certainement pas toi qui te plaindrait s’il prend pas le tout au sérieux. Après tout, c’est une voiture qui est en jeu et tu comptes bien la gagner. « Tu penses que tu pourras faire changer les sièges avant de me la donner ? Je verrais bien un recouvrement en velours. » Et non, tu n’es pas sérieuse. Tu cherches juste à raconter n’importe quoi pour voir à quel point ton adversaire tient à sa voiture. C’est juste pour l’embêter plus qu’autre chose. Tu doutes que ça lui fera quelque chose cela dit. Monsieur est bien trop riche pour ça.
Puis vous aviez d’autres chats à fouetter, comme le besoin de sortir de cet ascenseur dans lequel vous êtes à présent coincé. Tu renvoies cette responsabilité à Owen qui la refuse aussitôt. Il te fait rire avec son manque de répartie, tu trouves ça attachant, surtout pour un avocat. « Tu devrais être content, non seulement tu passes un moment en excellente compagnie, mais en plus je peux pas bosser pendant ce temps-là. » Bon c’est pas la meilleure réponse parce que ça veut dire que lui non plus peut pas bosser, mais c’est un détail. Le plus important c’est ta bonne compagnie. C’est pour ça que tu te permets de flirter sans aucune gêne que ce soit. Oui, tu sais qu’il est fiancé, mais ce n’est pas comme si tu t’attends vraiment à ce qu’il se passe quelque chose.
C’est pour ça que tu ne peux que rire lorsqu’il te renvoie tes propres paroles. Est-ce que tu voudrais peut-être passer plus de temps avec lui ? Peut-être, pourquoi pas même. « Oh crois moi, si je voulais passer plus de temps avec toi je t’inviterais plutôt prendre un verre. » En tout innocence bien sur, parce qu’il est fiancé. T’as pas beaucoup de scrupules dans la vie pour ce genre de chose, mais disons que t’as un minimum de standard (un très bas minimum).
Pour ce qui est du temps que ça prendrait avant que vous sortiez de cet ascenseur… « Wow, on dirait que t’as hâte de partir. Je suis si moche que ça ? » Tu sais que non. T’as ton lot d’insécurités dans la vie, mais ton apparence physique n’en fait pas partie. Il n’est donc question, encore une fois, que de l’embêter un peu. « T’as juste à demander si t’es si pressé. » Et tu fais mine d’être blessée en prime. Peut-être que tu pourrais te bouger, mais franchement, à ce stade, c’est surtout une question de ne pas lui donner la satisfaction de le faire. T’es mature comme ça à tes heures.
Puis vous aviez d’autres chats à fouetter, comme le besoin de sortir de cet ascenseur dans lequel vous êtes à présent coincé. Tu renvoies cette responsabilité à Owen qui la refuse aussitôt. Il te fait rire avec son manque de répartie, tu trouves ça attachant, surtout pour un avocat. « Tu devrais être content, non seulement tu passes un moment en excellente compagnie, mais en plus je peux pas bosser pendant ce temps-là. » Bon c’est pas la meilleure réponse parce que ça veut dire que lui non plus peut pas bosser, mais c’est un détail. Le plus important c’est ta bonne compagnie. C’est pour ça que tu te permets de flirter sans aucune gêne que ce soit. Oui, tu sais qu’il est fiancé, mais ce n’est pas comme si tu t’attends vraiment à ce qu’il se passe quelque chose.
C’est pour ça que tu ne peux que rire lorsqu’il te renvoie tes propres paroles. Est-ce que tu voudrais peut-être passer plus de temps avec lui ? Peut-être, pourquoi pas même. « Oh crois moi, si je voulais passer plus de temps avec toi je t’inviterais plutôt prendre un verre. » En tout innocence bien sur, parce qu’il est fiancé. T’as pas beaucoup de scrupules dans la vie pour ce genre de chose, mais disons que t’as un minimum de standard (un très bas minimum).
Pour ce qui est du temps que ça prendrait avant que vous sortiez de cet ascenseur… « Wow, on dirait que t’as hâte de partir. Je suis si moche que ça ? » Tu sais que non. T’as ton lot d’insécurités dans la vie, mais ton apparence physique n’en fait pas partie. Il n’est donc question, encore une fois, que de l’embêter un peu. « T’as juste à demander si t’es si pressé. » Et tu fais mine d’être blessée en prime. Peut-être que tu pourrais te bouger, mais franchement, à ce stade, c’est surtout une question de ne pas lui donner la satisfaction de le faire. T’es mature comme ça à tes heures.
(c) DΛNDELION
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