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My two cents - Ft. Reese

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Jeu 8 Oct - 21:50
Well that’s my two cents
C’est ce qui arrive quand on habite Manhattan et que maman et les jeunes de la fratrie habitent dans le Queens. Quoi de mieux que de faire les petits commissions de tout le monde ? C’est donc les bras chargées de commandes et surprises qu’elle arrive chez sa mère. Elle sait qu’ils ne sont pas là, parce que pour certains, c’est la semaine chez leur père et pour les autres, c’est la soirée activités socioculturelles. Sa mère en profite pour travailler plus tard ou pour un deux heure d’esthétique avant de récupérer les gamins à la fin des cours. Même si elle ne reste pas longtemps, elle laisse descendre Glitter, pour qu’il puisse se dégourdir les pattes un peu. Il a passé la fin de l’après-midi dans la voiture, alors bon, il va en profiter pour courir et se dépenser un peu. Alors elle le laisse courir sur la pelouse avant, l’ayant attaché avec sa plus longue laisse au bac à fleurs près de l’entrée.

Elle rentre les trois sacs de plateau de sushis et les divers commandes. malheureusement, tout ne tient pas dans les quatre énormes sacs qu’elle transporte. Elle ne réussit à passer par la porte qu’avec difficulté. c’est dire la grosseur des sacs. Elle récupère les derniers sacs et pose le tout sur la table de la cuisine. Sushis pour tout le monde. Bon, les ados vont surement se faire un à côté plus tard… ou juste après le dessert. Tandis que les plus jeunes vont peut-être en laisser. Bref, tout le monde y trouvera son compte. Un petit plaisir d’après activité. Elle laisse les sushis se tempérer et sort les assiettes pour lorsqu’ils arriveront. Et c’est alors qu’elle se rend compte que ça barde à côté. Sa mère l’avait prévenue que Reese avait du mal avec son ado, mais c’est vraiment au-delà de ce qu’elle croyait. Elle n’entend pas l’objet de la dispute, mais lorsqu’elle estime que le ton devient trop violent, elle traverse.

Elle ne prend pas la peine de frapper à la porte, tant la situation lui semble urgente. Elle entre et n’a même pas le temps d,informer qu’elle est là que la jeune Amy lance une injure à son père qui fait frissonner Ariadne d’horreur. Elle ne réfléchit même pas à l’impact que ça pourrait apporter. Elle ne réfléchit même pas, d’ailleurs, elle réagit.

- AMY ! Elle se dit que peut-être sa réaction est déplacée, mais Amy n’a pas à parler à son père sur ce ton et encore moins lui cracher une telle injure au visage. On ne dit pas des choses comme ça à son père ! C’est pas ton ami à l’école, c’est ton père ! C’est pas parce que t’es furieuse que t’as le droit de balancer des insultes comme ça !

De toute évidence, elle est outrée par le comportement de l’adolescence. Depuis quand le manque de respect et les insultes règlent quoique ce soit ?



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Lun 19 Oct - 19:22
Reese observait sa fille en hochant la tête. Il avait reçu un appel de son établissement scolaire dans la matinée, lui indiquant que sa fille n’était pas en classe. Ce n’était pas la première absence injustifiée cette année, et si cela continuait de la sorte, Amy risquait ni plus ni moins que l’exclusion. Et que ferait-il alors?
L’adolescente n’avait pas des notes catastrophiques, mais elle était loin de peloton des meilleurs élèves. La marge d’amélioration était plutôt large, et si elle continuait sur cette route glissante, la courbe ne ferait que descendre.

Il s’assit sur le canapé, invitant la demoiselle à en faire de même, mais celle-ci resta debout, les bras croisés contre sa poitrine, un air de fierté dans le regard.
“Pourquoi as-tu séché les cours?” demanda-t-il simplement. Il ne crierait pas. Pas en premier en tous cas. Reese en avait assez d’enchaîner les disputes avec elle. Il l’aimait de tout son coeur et ne voulait que son bien. Il n’avait jamais abandonné le fait d’essayer de la comprendre, même si, récemment, il perdrait son contrôle et se mettait parfois à hurler, avant de la punir. Punition, il y aurait, c’était certain.

“J’avais mieux à faire.” Amy répondit, avant de balancer sa main, faisant un geste large exprimant qu’elle en avait déjà assez de la conversation. Elle fit quelques pas, prêt à rejoindre sa chambre, mais Reese se leva d’un bond, l’attrapant doucement par le bras.
“Tu restes ici, et tu m’expliques ce que tu avais de ‘mieux à faire’!” s’exclama-t-il. Et ce fut à partir de cet instant que le ton monta. Les cris se succédèrent jusqu’au point culminant, apothéose du dédain de l’adolescente.
“Ça m’étonne pas que maman soit partie, t’es qu’un sale con!”

Le quadragénaire ne se rendit compte de la présence d’Ari que lorsqu’elle prit la parole.
Amy lança un regard à la jeune femme, haussa les épaules, hochant la tête, les sourcils froncés de colère, avant de simplement quitter les lieux en claquant la porte.

Reese était rouge du fait de son énervement, de sa tristesse et de sa honte.
Il poussa un large soupire, tentant de se calmer avant de se laisser tomber sur le canapé. La tête entre les mains, il posa de nouveau les yeux sur la nouvelle venue.
“Bonjour Ari.” la salua-t-il finalement. “Je suis vraiment désolé, on a fait beaucoup de bruit?” Sans doute avait-il mis un terme à la quiétude du voisinage, ce qui avait fait accourir la jeune femme.
“Excuse-la, je crois qu’elle passe une étape difficile.” Mais je ne comprends pas pourquoi elle me déteste tant…. songea-t-il sans l’exprimer à voix haute.
Il ferma les yeux un petit instant, avant d’afficher un sourire sincère. “Cela fait longtemps que je ne t’avais pas vue, comment te sens-tu?” Changer de sujet était la meilleure méthode. De plus, il était vrai que cela faisait un certain temps que la demoiselle n’avait pas mis son nez dans les parages.

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Dim 8 Nov - 4:36
MY TWO CENTS
Ariadne sait très bien qu’elle est intervenue là où elle n’aurait peut-être pas dû. Mais elle avait été surprise du ton d’Amy, sans parlé de l’insulte proférée. C’est vrai qu’elle n’est plus dans le coin très souvent, mais à son souvenir, ce n’était pas toléré. Et pourtant, elle en entendait des insultes, dans son métier et elle savait très bien la différence entre la politesse et le respect. Et ce qu’Amy venait de balancer à son père était loin d’être poli et ça ne cadrait surement pas avec la notion de respect d’Ariadne. Peut-être n’était-elle pas venu assez souvent pour découvrir que les balises s’étaient élargies. Mais elle doutait que ce soit maintenant un gouffre béant. Elle se demande si sa mère n’aurait pas hurlé plus fort qu’elle, si elle avait entendu ça. Même à travers les murs, Maman Pickford aurait sans doute débarqué mis une fessée à Amy. Enfin, façon de parler, maman n’avait jamais vraiment mis de fessée à personne, mais aucun des enfants Pickford n’avait, à sa connaissance, jamais vraiment poussé le bouchon trop loin. Peut-être parce qu’elle ne se gênait pas pour balancer des trucs à travers la pièce. Accessoirement, les Pickford ont toujours été stable dans leur stabilité. Évidemment, avec six pères différents, la dynamique familiale était différente de pas mal tout le monde, à la base. Mais jamais sa mère n’aurait toléré qu’un de ses enfants la traite de conne ou même un des pères. Évidemment, Amy n’était pas l’une de ses soeurs, mais elle reste convaincue que ce n’est pas acceptable de traiter son père de con parce qu’on est contrariée. Et concrètement, elle préfère qu’Amy entre en conflit avec elle pour lui expliquer le respect plutôt qu’avec son père.

Elle est aussi convaincue que si Amy avait su qu’elle pouvait entendre, elle ne l’aurait pas dit. Ariadne sait Amy parfaitement consciente que d’avoir été entendue n’est pas en sa faveur. Ariadne est convaincue que Amy n’a pas vraiment de quoi à reprocher à Reese, outre les jérémiades persécutées normales d’ados. Elle ne dit rien tandis que l’ado la foudroie du regard et quitte la pièce. Avec de la chance, elle va lui en vouloir à elle plutôt qu’à son père. De toute manière, elle a connu plus effrayant que la jeune Amy.

- Allo, dit-elle avant de se retourner et sourire. Assez pour que je vienne , avoue-t-elle, concernant le bruit de leur querelle. Elle esquisse une moue sceptique. Bien sur que j’excuse ses éclats de voix et sa contrariété, mais ça ne lui donne pas le droit de te parler comme ça. Ça, c’est inexcusable, même si elle passe une étape difficile. Et pis t’es son père, t’es pas un étranger.  Effectivement, il ne l’a pas vu depuis longtemps, parce qu’elle n’est pas venue depuis longtemps, quand même, et les dernières fois, elle n’a pas eu, ni pris le temps de venir le voir. Elle esquisse une moue coupable. Oh, oui, je sais, je suis pas mal occupée... C’est plus ou moins vrai, disons qu’elle se tient pas mal occupée au boulot pour éviter de trop réfléchir. Et pourtant, elle répond franchement à Reese, après une ou deux seconde de réflexion. Je... je sais pas, en fait. Elle hausse les épaules, comme si c’était pas très important. Je peux êtres des jours, voir des semaines que je crois que ça va, puis tout d’un coup, ça ne va plus pendant quelques heure. Après, ça revient.

Même si peu, elle essayait de ne pas en raconter autant à sa mère. Parce que sa mèr pouvait s’inquiéter. Ariadne n’aime pas trop inquiéter sa mère. Alors elle fait souvent semblant que tout va bien. Elle a toujours eu du mal à accepter d’avoir besoin d’aide. C’est elle qui est privilégiée et, par conséquent, doit aider les autres.

- Tu as mangé ? T’as l’air d’avoir besoin d’une bière. T’en veux une ?





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