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i will leave the light on (ruben)

@ Invité

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Mer 9 Déc - 21:08

if you've lost your way
i will leave the light on

w/ @Ruben Muñoz

En commençant à animer ce groupe de soutien, tu ne t’attendais pas à ce qu’il finisse par être complet. Sauf que voilà, ton collègue te supplie de prendre quelqu’un qui a vraiment besoin d’aide selon ses dires et tu n’as pas pu t’empêcher d’accepter. Si cela continue, il va falloir que tu fasses plus de séances avec ton groupe divisé en deux… ou alors demander à l’hôpital de bénéficier d’une salle un peu plus grande pour accueillir tout le monde. Tu as fait le tour des services pour piquer une chaise de libre pour ce nouveau arrivant dont tu connais tout juste le prénom. Ruben. Tu espères que les jeunes vont lui faire un accueil digne de ce nom – même si tu en doutes, en sachant que la majorité d’entre eux ne vient pas par plaisir. Histoire de ne pas le jeter tout de suite dans le grand bain et de faire sa connaissance, tu as demandé à ton collègue de lui dire de venir une heure avant le début du groupe. Mais un bref coup d’œil à ta montre t’indique qu’il a déjà un quart d’heure de retard… Un peu déçu, tu t’attelles à la préparation du groupe. Cela arrive souvent que les jeunes décident de ne pas venir la première fois qu’ils y sont invités, tu ne perds pas espoir pour autant. Ce n’est pas du temps de perdu, c’est du temps qui permettra certainement à ce fameux Ruben de réfléchir à sa situation actuelle et ce qui l’amène à potentiellement passer le pas de la porte. Dans tous les cas, peu importe le temps qu’il mettra, tu l’accueilleras toujours avec plaisir.

Actuellement en train de remettre les chaises correctement dans la salle, tu entends des bruits de pas dans le couloir mais les ignore jusqu’à ce que des coups soient donnés sur la porte grande ouverte. Tu te retournes et tu observes l’homme qui te fait face avec surprise. Vu sa tenue, tu dirais que c’est l’accompagnant d’un patient qui s’est perdu dans les ailes de l’hôpital et qui cherche son chemin. Cela arrive souvent par ici. Bon, toi-même tu ne mets pas ta blouse blanche pour le groupe de soutien donc tu es peut-être légèrement mal placé pour le juger mais… à ta connaissance, il n’y a aucun type tatoué au cou qui travaille ici. C’est le genre de détail dont on se rappelle chez quelqu’un. « Bonjour. Je peux vous aider ? » lui demandes-tu en souriant avant de te redresser entièrement pour faire face à l’inconnu avec une dégaine qui sort plutôt de l’ordinaire. Il est clair qu’il n’a rien à faire ici, dans un groupe de soutien pour les jeunes uniquement. Sauf si tu as raté une information qu’a pu te donner ton collègue sur le nouvel arrivant pendant ton rush au travail…

@ Invité

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Mer 9 Déc - 21:13

if you've lost your way
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w/ @Isandro Santín

ce n'est pas la première fois qu'il se retrouve convier à cette stupide réunion. pas la première fois qu'il déchire sans gêne son courrier comme si de rien n'était. mais, contrairement aux précédentes réunions, cette fois il est dans l'obligation d'y assister. il n'a aucune envie de voir encore ce flic sonner à sa porte, le menaçant une nouvelle fois de l'envoyer au trou. il n'a aucune envie d'attirer encore plus l'attention sur lui -étonnant- ses voisins déjà persuadés d'avoir un dealeur à côté de chez eux, autant éviter s'attirer encore plus d'ennuis avec la justice. son retrait de permis, les différentes nuits en cellule après des bagarres sont déjà bien assez suffisante. il soupire longuement, bien conscient en plus de devoir entrer dans un nouveau groupe -sans doute qu'il a trop tiré sur la corde avec le précédent-, dégoûté à l'avance de devoir une nouvelle fois se présenter, parler de lui, devoir expliquer son addiction à l'alcool qui pour lui ne représente rien de malsain. c'est sans doute l'alcool qui lui permet de tenir debout aujourd'hui, d'oublier à quel point sa vie ressemble à une merde sans fin. qui lui fait oublier le temps d'une soirée qu'il est fiché à la banque et qu'il ne pourra plus jamais dormir à poings fermés. au moins, ça lui arrive de penser à autre chose dans ces cas-là. il balance sa clope de l'autre côté de la rue, cherchant la fameuse salle de réunion. trop long, beaucoup trop long à croire qu'il est désormais perdu dans un labyrinthe sans fin. ruben regarde sur son passage toutes les affiches qui s'offrent à lui. le problème avec le dernier verre, c'est que c'est parfois le dernier. il soupire, passant une main sur sa nuque beaucoup trop tendue par la colère. après tout qu'est-ce qui l'oblige à devoir écouter les flics ? au pire il risque de finir en prison, plus de soucis de loyer, de devoir faire un travail minable, de se faire chier avec les gens. porte à laquelle il ne frappe même pas avant d'entrer dans la salle de l'hôpital. une salle blanche, avec plusieurs chaises au centre et un seul homme déjà présent. surement le mec qui s'occupe du massacre. il ne sourit même pas ruben, son bonnet toujours sa tête, sa petite veste noir qui ne tient pas chaud mais, avec son sang chaud mexicain aucun risque qu'il tombe vraiment malade. les mains dans les poches il s'avance vers l'inconnu, observant l'endroit. toujours de la prévention partout putain ruben ne peut pas simplement vivre. « c'est ce qu'on dit. » qu'il est capable de pouvoir aider les gens dans le besoins. c'est pas son taff après tout ? il retire sa veste qu'il pose sur le dos d'une chaise, dévoilant au passage une autre partie de ses nombreux tatouages. la tête d'emploie d'un criminel comme dirait la mamie qu'il croise toujours en sortant les poubelles. « c'est moi muñoz. ruben muñoz. » qu'il balance de but en blanc, posant ses fesses sur la chaise, sans quitter l'inconnu du regard. faut dire qu'il est pas mal à devoir regarder contrairement à l'ancien. « et vu ta tête, j'ai comme l'impression que tu n'étais pas au courant. » un large sourire qui s'affiche sur ses lèvres. finalement ça pourrait être intéressant cette fois.

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Sam 12 Déc - 13:13

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w/ @Ruben Muñoz

Tu observes l’inconnu retirer sa veste et la poser sur le dossier de la chaise, te dévoilant par la même occasion un tee-shirt noir – ne ressent-il pas le froid ? – et surtout d’autres tatouages sur son corps. Ce simple geste t’indique que soit ce dernier te confond avec quelqu’un, soit c’est bel et bien toi qu’il vient voir et tu ne comprends pas vraiment pourquoi. A moins que tu es raté un épisode, tu ne t’occupes que d’enfants et de jeunes, que ce soit dans ton métier de pédopsychiatre ou dans ce groupe de soutien que tu animes depuis maintenant plusieurs années. Tu tentes de ne pas avoir l’air surpris mais tu n’as jamais été le plus doué du monde pour cacher tes expressions. Et malgré ton sourire, tu ne peux pas t’empêcher de hausser les sourcils lorsque l’homme qui te fait face t’annonce être le fameux Ruben dont t’a parlé ton collègue. Le « jeune » qui doit faire sa première séance avec le groupe aujourd’hui et qui a rendez-vous avec toi depuis quelques minutes déjà. Pendant quelques secondes, tu te sens totalement désemparé face à la situation. Un adulte n’a jamais mis un pied dans le groupe que tu animes – il y a déjà pas mal de groupes de soutien pour les personnes majeures et vaccinées alors là… Tu ne comprends pas trop ce qui se passe. Mais tu ne peux pas trop déstabilisé, au risque de faire fuir le fameux Ruben. « Isandro, ravi de vous… te rencontrer. ». Si ce dernier n’a aucun mal à te tutoyer, toi tu as du mal. Les jeunes te tutoient et tu les tutoies aussi, c’est une de tes règles. Pied d’égalité. Pour le coup, c’est différent lorsque tu te retrouves face à un adulte bien accompli – qui n’a donc rien à voir avec les profils des jeunes que tu suis en ce moment. Après un moment d’hésitation, tu t’assis sur la chaise qui lui face et tes mains viennent se poser sur tes genoux. « J’étais au courant qu’un dénommé Ruben devait venir aujourd’hui mais avec quelques années et tatouages en moins. » lui réponds-tu avec honnêteté, alors que ton léger sourire revient vite prendre place sur tes lèvres. Oh, tu n’as rien contre les tatouages même si toi tu n’en as aucun. Juste que certains de ton groupe n’ont même pas l’âge légal pour s’en faire. Tu ne préfères même pas imaginer leur tête lorsqu’ils vont voir Ruben débarquer parmi eux. « Est-ce que le docteur Martins t’a prévenu que c’était un groupe composé uniquement de jeunes mineurs ? Bon, à part moi bien évidemment. Et toi, si tu acceptes de participer malgré cette légère... surprise de ma part. ». Tu ne peux pas passer à côté de la question. Si toi tu n’as pas été mis au courant de l’âge de l’homme qui te fait face, lui n’a peut-être pas été mis au courant d’où il met les pieds. Inutile de créer l’effet de surprise pour lui non plus, ton but est de le mettre en confiance après tout. Et de lui donner envie de laisser une chance à ce groupe pour son propre bien.  

@ Invité

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Lun 14 Déc - 17:47

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w/ @Isandro Santín

ce n'était pas dans ses intentions de rester. il ne s'attendait pas à trouver une quelconque motivation pour accepter l'idée de participer à cette réunion. encore une fois parler de lui. encore une fois se faire passer pour un malade, pour quelqu'un ayant besoin d'aide alors, que ruben n'en a pas besoin. c'est faux. une petite soirée -plusieurs- alcoolisées ne peuvent pas vraiment faire de mal. ce n'est pas parce qu'il répond mal à quelqu'un, qu'il a forcément envie de le tabasser et qu'il mérite de passer une nuit au trou. ce n'est pas parce qu'il conduit une fois -ou deux- en état d'ivresse que.. mais, bref. ruben ne discute jamais. parce qu'il est impossible de pouvoir discuter avec ces gens. ceux qui pensent être au dessus de tout. meilleur que les autres. ceux qui pensent qu'il est facile d'oublier les problèmes, de pouvoir tout régler d'un claquement de doigts. si c'était aussi facile ruben n'aurait pas besoin de travailler presque 7/7 uniquement dans le but de rembourser de vieux crédits. « espagnol ? » parce que isandro n'a pas la tête d'un américain typique et que ruben ne voit pas pourquoi il serait le seul à devoir "parler" de lui aujourd'hui. parce qu'il n'a aucune intention de réellement parler.. surtout de répondre à des questions par d'autres questions ou comme maintenant en essayant de déstabiliser les personnes face à lui. « mes tatouages posent problème ? » qu'il demande un peu curieux, s'avançant un peu plus dans sa chaise pour ne pas le quitter du regard, ne pas perdre une seule miette du spectacle. « et tu n'as pas tout vu. » provocation ? certainement. parce que ce n'est ni l'endroit pour montrer le reste de son corps et encore moins pour draguer son.. il ne sait même pas exactement ce que représente isandro pour ce groupe. un médecin ? un thérapeute ? un conseilleur ? bref, qu'importe le titre, ça lui passe complètement au dessus de la tête. « prévenu de quoi ? il était juste heureux de se débarrasser de moi. » une façon comme une autre de pouvoir souligner qu'il risque de toute façon de ne pas faire long feu. « et comme j'ai été recalé par la moitié des types comme toi. » ceux qui font partit d'une classe que ruben ne pourra plus jamais atteindre désormais. « j'aime prendre les gens par surprise. » sa lèvre qu'il vient lentement mordiller avant de pousser un long soupir et de rire légèrement. il est presque mignon à vouloir le "protéger". si seulement il comprenait d'avance que ruben était un cas perdu.. ça lui donnerait moins de travail. « au risque de te décevoir de toute façon. je ne compte pas rester longtemps, mineurs ou pas je m'en fiche royalement. » parce que c'est amusant deux secondes mais, ruben ne sait pas ce qu'il pourrait lui trouver d'encore plus intéressant que son physique. draguer son conseiller c'est cool deux minutes mais, le faire pendant des mois.. jamais de la vie. ruben n'a pas besoin de tout ça. il va bien. boire n'a jamais été un crime après tout.

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Sam 2 Jan - 18:53

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w/ @Ruben Muñoz

« Non, chilien. Et toi ? ». La question te déroute un peu sur le moment, car tu n’es pas vraiment habitué à parler de toi – même pour un léger détail comme celui-ci. Surtout pas avec tes patients. C’est une règle que tu respectes à la perfection car ils ne peuvent tout simplement pas te connaître. Ils peuvent en avoir l’impression, mais c’est tout. Ce n’est pas pour rien que tu t’es aussi désinscris des réseaux sociaux lorsque tu as un jour reçu une requête d’ami sur Facebook d’un des jeunes. Il y a une ligne à ne pas dépasser entre la vie professionnelle et la vie personnelle même si ton travail empiète beaucoup sur cette dernière. Lorsque Ruben te demande alors si ses tatouages dérangent, tu t’empresses de répondre avec un léger sourire. « Pas le moins du monde. Tu risques juste de te faire accaparer par deux ou trois jeunes pour avoir l’adresse de ton tatoueur. ». Tu aimerais que ce soit de l’humour mais tu es bel et bien sérieux. Ruben va être l’attraction de la journée pour les jeunes que tu reçois dans quelques minutes. C’est à chaque fois pareil lorsqu’il y a une nouvelle personne qui débarque mais cette fois-ci, c’est différent. Tu rajouterais bien qu’il peut tout à fait les envoyer balader s’il le souhaite mais tu te doutes bien qu’il s’en occupera lui-même si jamais les jeunes se montrent trop curieux à son propos. Les tatouages restent quelque chose de totalement privé et c’est à lui de choisir de les partager ou non. « J’imagine. ». Oui, tu imagines facilement que des tatouages se trouvent sur des parties du corps caché de Ruben. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin, n’est-ce pas ? Tu n’es pas certain que ce soit la bonne réponse à lui donner mais bon… Tes sourcils se froncent alors légèrement lorsque tu apprends qu’il a été recalé par d’autres groupes. Cela explique pourquoi ton collègue ne t’a pas donné plus de détails que cela. Tu ne fais pas plus attention que cela à sa phrase quelque peu ambiguë – mais que toi tu n’interprètes pas du tout de la même manière dans ta tête. « On peut dire que c’est réussi sur ce coup-là. » dis-tu, tes mains légèrement crispées sur la chaise. « Pourquoi est-ce que ça n’a pas fonctionné dans  tes anciens groupes ? ». Ruben t’a donné l’occasion de mettre le sujet sur le tapis et tu ne vas pas risquer de passer à côté. C’est une question inévitable de toute manière et tu préfères l’entendre de sa propre bouche plutôt que de celle de ton collègue. « Contrairement à ce que tu peux croire, je ne suis pas là pour te garder en cage ici. Tu es libre de quitter la séance en plein milieu, libre de revenir la prochaine fois si cela te chante ou pas. Parfois, je ne vois pas certains jeunes pendant un mois et on reprend comme si de rien n’était à leur retour. ». Non, tu ne t’amuseras pas à noter son prénom et son nom à chaque fois qu’il rate une séance pour le balancer. Et non, tu ne le jugeras pas non plus. Une manière comme une autre de lui faire comprendre que tu ne le forceras jamais ni à parler, ni à s’ouvrir, ni à rester.

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