La nouvelle version a été installée cute ! Pour découvrir les nouveautés c'est par ici & pour commenter c'est ici
S'intégrer sur un gros forum, le mode d'emploi excited A découvrir par iciii avec toutes les initiatives mises en place !
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le ...
Voir le deal

I’m giving you a nightcall - Jack

@ Invité

avatar
   
#
Mer 6 Oct - 16:35
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
C'est vers la fin du service que nous sommes entrain de nous diriger. Il reste encore pas mal de tables occupées, et je me décide à donner un coup de main aux employés éreintés. Loin de me douter que la plus grosse aide que je vais offrir ce soir, c'est à toi que je vais la donner. Je sens que mon cellulaire vibre dans la poche de mon pantalon, et habituellement je n'y prêterais pas attention. Sauf que là, j'ai l'intuition qu'il faut que je regarde avant de continuer mes activités. Derrière le bar, mes yeux se promènent sur l'écran, chaque mot sécrètent une montée d'adrénaline. Je déteste savoir un proche dans une situation déplaisante, dangereuse ou triste. Tu me demandes de venir jouer la comédie, de devenir ton petit ami. J'ai automatiquement mon costume de superhéros invisible qui s'invite. Mes doigts tapotent pour t'informer que je vais faire au plus vite, que je vais venir te sauver de ce mec, trop lourd, qui ne comprend pas le refus. 'Je suis là dans deux minutes.' Simple et efficace. Quelle chance que le bar choisit pour ta sortie, soit à deux pas de mon restaurant. Encore plus veinarde que je sois au travail ce soir. Je m'empresse de rejoindre l'étage afin d'enfiler ma veste, et je me dirige ensuite vers les cuisines pour prévenir mon associé que je dois partir de manière précipitée. Il me donne une approbation que je n'attendais pas, parce que peu importe ce qu'il en aurait pensé, rien ne m'aurait empêché de quitter le restaurant pour aller te retrouver. Marche rapide, ou course lente, tout ce que je sais c'est que mon allure n'est pas habituelle, on peut facilement deviner que je suis dans l'urgence. En témoigne le coup d'épaule que je viens de donner à ce pauvre gars, auprès duquel j'en viens rapidement m'excuser.    

La porte du bar poussée, j'allonge mon cou pour te chercher du regard. Moins long que le décompte du jeu qu'on allie avec le soleil, tu es dans mon champ de vision. Je suis entrain de me frayer un chemin, et ma main termine dans ton dos, mon corps à coté du tien. Quant à ma bouche, elle vient s'écraser sur le coin de tes lèvres. Que l'inconnu voit cette marque de possessivité. D'ailleurs, je l'ignore complètement dans un premier temps. "Bonsoir mon amour." Deuxième indice pour le crétin. "Ca va? Tu ne m'as pas attendu trop longtemps?" Et je viens te sourire, comme pour te dire 'je suis là maintenant'. Et c'est seulement à ce moment, que je me décide à détourner les yeux de ton visage pour les poser sur celui qui a provoqué ton message. Pas un mot pour lui, seulement mon air dédaigneux qui avertit que si il ose faire le malin, il va tomber dans le ravin. Je suis un homme gentil, même plutôt mignon par son intérieur. Mais je suis doté d'un coté beaucoup moins appréciable quand on s'en prend aux gens à qui je tiens.  

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Jeu 21 Oct - 15:18
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
La jeune libraire avait ressenti le furieux besoin de se changer les idées ce soir, il ne pouvait être question de seulement se vautrer dans le canapé en attendant que le temps passe, non elle ne pouvait se contenter d’une si ridicule distraction en vue de la date qu’affichait son calendrier. Il s’agissait du jour de sa disparition, ce jour des plus horribles où elle n’avait jamais vu celle qu’elle aimait rentrer du travail.

Ses pouces appuyèrent lourdement sur ses paupières pour empêcher les larmes de ruiner son maquillage. Il ne fallait pas qu’elle pense à tout ça sans quoi elle manquerait de replonger et elle ne voulait pas ça. Mais voilà qu’elle revoyait son sourire, la douceur de ses lèvres sur les siennes, sa voix chaude dans le creux de son oreille. Tara avait laissé un vide des plus douloureux et Jack n’avait jamais trouvé le courage de le combler parce qu’il y avait toujours ce petit espoir, cette immense interrogation.

Un regard perdu se posa sur le verre d’alcool en face de la jeune femme et ses doigts fins vinrent embrasser le froid des glaçons comme pour se sentir plus vivante, plus elle-même. Son ami aurait dû la rejoindre depuis plus d’une heure déjà mais en vu de son absence et de son manque de réponses à ses messages, monsieur avait sûrement oublié. Jack poussa un soupir à fendre l’âme et réajusta son blazer à carreaux avant d’embrasser la pièce du regard. Tout le monde semblait heureux, brillant, tranquille contrairement à elle.

Ce fut à cet instant qu’elle croisa le regard d’un homme seul au bar et ses poils de nuque se dressèrent sur son épiderme. Il ne lui fallut que quelques secondes pour qu’il se lève et vienne la rejoindre, un sourie goguenard plaqué sur les lèvres. Jack ne put ressentir que dégoût et énervement envers cet homme qui se pensait déjà tout permis par le seul fait d’avoir croisé son attention par inadvertance.

Jack tenta tout et n’importe quoi pour qu’il finisse par s’en aller, mais il trouvait toujours une excuse ou une anecdote pour rebondir. Le cœur de la jeune femme s’affolait de plus belle dans sa poitrine et elle avait comme cette horrible impression qu’un étau se refermait plus fort encore sur sa gorge. Aussi discrètement qu’elle le pouvait, Jack envoya un message au secours à son ami de toujours qui répondit rapidement à l’appel. Il fallait désormais patienter et attendre qu’il fasse son entrée.

L’homme se faisait de plus en plus entreprenant, les phalanges de la jeune femme devinrent blanches à force de serrer les poings contre ses genoux. Une bouche s’écrasa sur le coin de ses lèvres et son instinct manqua d’écraser son coude entre ses côtes avant qu’elle ne comprenne qu’il s’agissait de son chevalier servant. « Salut chéri. » parvint-elle à rétorquer, bien heureuse d’avoir eu des cours de théâtre. « J’ai cru que tu n’arriverais jamais. » Elle planta son regard dans le sien à la recherche de réconfort et de courage, le cœur était fou d’angoisse et l’estomac lourd de nœuds de stress. Tout chez elle criait qu’il fallait qu’il foute le camp, qu’il s’en aille le plus loin possible.

code by exordium.


@ Invité

avatar
   
#
Lun 25 Oct - 22:06
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
Je ne suis pas de ceux qui lisent parfaitement entre les lignes, ou sur les visages. Mais j'ai suffisamment de connaissances pour remarquer que tu n'es clairement pas à l'aise. Est ce qu'il s'est montré irrespectueux? Est ce qu'il a eu des gestes déplacés? Je ne sais pas si c'est une bonne idée de sa voir ça tant qu'il se tient devant moi. Je ne le quitte pas des yeux, mais ma main va vers toi, ou plutôt vers la tienne pour s'en saisir doucement. Mes doigts chauds apportent ce contact rassurant, pour appuyer que tu n'as plus de souci à te faire. "J'ai été retenu au travail." Et je me décide à faire jongler mon regard sur ta personne, puis sur la sienne, et ainsi de suite. "Vous vous connaissez?" J'en connais la réponse, mais je dois continuer de jouer l'ignare pour ne pas que ça devienne embarrassant. "On vient de faire connaissance." Qu'il me répond, sans manquer de toupet. Crétin. Je continue de sourire, non loin l'envie de lui dire ma réelle façon de penser. "Merci de l'avoir occupée pendant mon retard." Autrement dit 'je suis là maintenant, alors tu peux te barrer.' Mais non, il continue de nous observer, un air légèrement flippant. Vous savez, on dirait un prédateur qui vient de repérer une proie, et il reste hypnotisé en attendant le bon moment pour attaquer. Une grande inspiration, je souffle l'air ensuite pour l'expulser et poursuivre "Et bien, une bonne soirée à toi..." Afin d'être plus clair dans ce qui lui reste à faire. Je pivote mon corps pour lui offrir mon dos, et te faire face. Me pensant débarrasser, prêt à relancer ta soirée en restant à tes cotés le temps que tu le voudras. Volontairement aphone, j'exagère mon mouvement de lèvres pour te demander discrètement si "Ca va?" Aucun doute que tu vas déchiffrer ma courte question. Je ne serais pas contre le fait de te lâcher la main, mais je le sais encore derrière moi. J'ignore combien de temps encore, il faudra jouer ton petit ami. Si ça doit durer toute la nuit, tu peux compter sur moi pour ne pas faiblir. Et alors que je réfléchis à la boisson que je vais commander, je sens une pression sur mon épaule. Le lourd dingue m'écarte pour s'adresser à toi, et t'exposer son ressenti. "Ce n'est pas très gentil de m'écarter maintenant que ton mec est arrivé." Sans se stopper dans sa démarche, il me pousse toujours un peu pour se rapprocher. Je force alors sur mes appuis, ne lui laissant pas l'opportunité de s'avancer plus. Je viens placer mon bras à hauteur de son torse, le rire nerveux qui sort "Et tu crois que ce que tu fais c'est sympa?" Si c'est un combat de coq que tu veux, t'es tombé sur le roi de la basse-cour mon poussin. Mais t'infliger une situation angoissante, c'est la dernière chose à laquelle j'aspire. D'un geste franc de l'avant-bras, je le bouscule de deux petits pas en arrière, et je te propose "On va dans un autre endroit?" Persuadé qu'il reviendra à la charge. Je me connais, toi aussi maintenant, sa prochaine tentative va me faire vriller le cerveau et je risquerais fortement de devenir violent. Je suis venu te sauver, pas te foutre dans une situation fâcheuse, voir dangeureuse.   

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Dim 14 Nov - 16:00
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Comment faisait-elle pour se mettre dans pareilles situations ? Pourquoi n’était-elle pas partie directement dès l’instant où elle avait compris que personne ne viendrait la rejoindre ce soir ? Il était facile de refaire le passé lorsque les problèmes avaient débarqué, mais aux dernières nouvelles, la machine dans le temps n’existait pas encore. Mais Jack n’en avait pas eu besoin puisqu’elle avait pu compter sur son chevalier servant qui la comprenait et l’adorait, le merveilleux Alfred. Cet ami qui savait comment lui remonter le moral ou même comment se débrouiller lorsque le manque revenait à vitesse grand V.

Malheureusement pour eux, l’homme ne semblait pas vouloir partir et trouver une autre proie, Jack semblait être celle qui manquait à sa collection et il semblait prêt à ne rien lâcher pour l’obtenir. De quoi lui donner de foutues sueurs froides, sa prise se resserrant dans la main de son ami comme un véritable appel au secours. Elle était prête à lui dire que non elle ne connaissait pas ce taré et qu’elle voulait s’en débarrasser, mais ce dernier fut plus rapide qu’elle. Non, ils ne faisaient pas connaissance, elle n’avait jamais souhaité le connaître juste qu’il se casse et qu’il aille se faire foutre. L’envie de lui balancer son verre en pleine figure la démangeait fortement.

Elle suivit Alfred, bien heureuse de ne plus voir l’emmerdeur de service, bien trop naïve. Elle hocha la tête à sa question muette, prête à débuter une nouvelle conversation, à lui dire que oui elle veut changer d’endroit, quand soudain, la silhouette de son confident s’écarta pour laisser place à celle du forceur. Jack vit tout de suite rouge et ne put ignorer plus longtemps l’impulsivité qui la possédait depuis sa naissance. Tout ceci lui rappelait bien trop son enfance et adolescence sous le joug d’un père violent qui n’avait jamais hésité à lever la main sur ses gosses. Non, elle ne se laisserait plus faire. De ses doigts fins, elle se saisit de son verre de bière pour le lui jeter au visage, la mâchoire serrée.

Elle qui voulait calmer les choses, fuir calmement et ne pas faire une scène, c’était raté. « Tu vas me foutre la paix ? Il t’a dit de partir pourquoi tu reviens comme un parfait connard ? Dégage-toi et ta sale gueule ! » Elle voyait rouge et son cœur était en panique dans son cœur. C’était fini l’époque où elle se laissait faire, se laissait malmener par la gente masculine.

code by exordium.


@ Invité

avatar
   
#
Ven 19 Nov - 18:30
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
Et quand la situation semble s'arranger, que s'offre à nous la possibilité de s'éloigner d'ici... Il nous rattrape, il insiste et commence à irriter mes nerfs. Je suis craintif de ma colère, car je ne sais pas où elle peut s'arrêter. La machine se met en route, les turbines se lancent. Mon visage se ferme quand ma mâchoire se serre. J'ai tout un tas d'insultes qui vacillent là-haut, sur le point de faire le tirage au sort. Je suis stoppé par ta main qui serre la mienne, et j'observe sa jumelle en mouvement. Tu attrapes ce verre de bière, et ne perd pas de temps pour lui balancer le contenu au visage. Oh putain! Que je m'exprime intérieurement, un léger geste de recul. Ma bouche entre ouverte voulait parler, mais encore une fois, c'est par toi que je suis coupé. Si je sentais ma furie grimper, j'étais bien loin de remarquer que tu serais la première à exploser, telle une grenade dégoupillée. Pendant qu'il s'essuie la vieille face de ses doigts, j'ai une sensation d'être observé. Je ne me trompe pas, un rapide coup d'oeil autour, et je remarque qu'un public s'est installé, faisant de nous, une pièce de théâtre. Une représentation à guichet fermé. Pendant que je découvrais l'interêt que l'on nous porte, l'autre abruti en profite pour rétorquer verbalement à ton attaque, que je vois plutôt comme une défense pour contrer son insistance. "Tu vas regretter d'avoir fait ça..." Mais cette façon de menacer, d'annoncer un mauvais présage, ça a le don de me recentrer sur l'action principale. Mon visage tourne brusquement en sa direction, et si je lâche ton habile, c'est uniquement pour placer mon corps entre vous deux. Je t'offre mon dos, mon corps comme bouclier, ne sachant pas l'intention de ce demeuré. "Oh stop." Mon index posé sur son torse "Ton existence n'a aucune valeur à mes yeux. Toi et ta sale petite gueule, je n'en ai absolument rien à branler. Alors maintenant, tu vas nous lâcher." Je ne lui dirais pas d'aller se trouver quelqu'un d'autre à emmerder, parce que personne ne mérite ça. Et je l'enchaine, comme pour m'assurer de bien le terminer "Tu te crois au-dessus de tout le monde, mais je pense que tu peux te la mettre bien profond, ta suffisance de merde. Elle n'a pas de valeur. Je crains même que ce ne soit une illusion de ton cerveau que tu crois si performant." Et lui clouer le bec. "Maintenant, barre toi de là avant que ne me vienne l'envie irrésistible de te frapper." Je ne pense pas pouvoir faire plus clair. Je ne vais pas rester le temps de savoir si cet individu, né d'une sodomie qui a dérapé, décide de se raisonner. Je pivote, je viens saisir tendrement ton bras et nous fait marcher pour sortir de cet enfer. Vu mon énervement, se frayer un chemin jusqu'à l'extérieur est chose aisée, rien que mon regard pourrait indiquer qu'il faut s'écarter. Et une fois l'air frais en contact de ma peau, je stoppe la marche, je laisse un long soupir s'échapper avant de venir te fixer, et de rire nerveusement. Un instant, avant de m'inquiéter et demander "Comment tu te sens?" Le petit sourire qui vient s'afficher.  

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Mar 23 Nov - 11:40
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Les poings étaient serrés tout comme la mâchoire, Jack était prête à toute riposte de la part du forceur. Il fallait dire que ce n’était pas des plus intelligents que de lancer un verre de bière au visage de quelqu’un qu’on connaissait instable. Heureusement pour elle, elle n’était pas seule et pouvait compter sur Alfred pour lui venir en aide en cas de tout débordement. Chose qu’il fit assez rapidement lorsque l’homme sembla sur le point de prendre sa revanche. Jack aurait bien pu lui mettre son poing en pleine figure, mais elle n’était pas sûre de finir en bon état après cela.

Elle coula un regard au reste des clients du bar et pinça les lèvres en voyant que la foule s’était attroupée autour d’eux. Ce n’était ni l’endroit ni le moment pour se donner en spectacle. Et puis si Alfred s’échauffait, elle avait bien trop peur que quelques gros durs viennent se mêler à la bagarre, en quête de sensation forte. Elle inspira profondément et tenta de calmer les battements fous de son cœur, il ne fallait pas céder à la panique.

Alfred vint jouer le rôle de muraille entre elle et celui qui lui avait gâché son début de soirée. Il fallait désormais espérer que son ami ne fasse rien d’impulsif et d’irrémédiable. Pour l’instant, il se contentait d’attaquer avec des mots et elle espérait qu’il s’en contente. Alfred était plutôt doué pour appuyer là où ça faisait mal sans devoir écraser ses phalanges dans la figure de l’adversaire.

Jack l’écoutait d’une oreille plus qu’attentive, tout en vérifiant que personne ne venait à se prendre pour un gentil justicier du mauvais côté de la vérité. Les spectateurs restaient gentiment à leur place et semblaient presque prêts à se saisir d’un bol de popcorn pour se délecter de la scène avec plus de confort. Malheureusement pour eux, la joute verbale ne se fit pas, le couple factice s’en alla prestement du bar sous les regards curieux des clients.

Comment se sentait-elle ? Quelle drôle de question avec tout ce qui venait de se passer. Elle se mordilla l’intérieur de la joue, se passa une main dans les cheveux et glissa un coup d’œil en direction du bar. « Franchement ? J’aurais préféré une bonne petite soirée devant un film plutôt que l’on me pose un lapin comme ça. » La seule fois où elle avait réussi à aller de l’avant, bam, on venait l’emmerder. Foutue Tara qui avait disparu sans laisser de nouvelles. Qu’est-ce qu’elle lui en voulait à cet instant précis. « C’est peut-être un signe qui sait ? Un signe qu’il est encore trop tôt pour enterrer mon mariage. » Elle lui offrit un sourire on ne peut plus triste. « Merci d’être venu à ma rescousse. »
code by exordium.


@ Invité

avatar
   
#
Mer 1 Déc - 18:19
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
Il est toujours risqué de s'afficher de cette façon dans un endroit bondé. On ne peut pas prévoir la réaction des autres, bien qu'il serait dangereux pour eux de venir se frotter à moi quand la colère est entrain de grimper. C'est ce qu'il se passe, devant l'irrespect de ce mec qui se pense tout puissant. Nous n'avons pas tous reçu la même éducation, et c'est réellement dommage. Sauf que je n'ai pas le temps de lui donner une leçon de savoir-vivre, ma priorité c'est toi et te tirer d'ici. Ce que je m'empresse de faire une fois que son clapet est fermé. L'extérieur semble si calme à coté du brouhaha d'avant. En face de toi, je ne peux retenir ce rire nerveux de s'échapper, mais rapidement effacé par mon inquiétude et mon envie que tu ailles bien. Je grimace à ta réponse, sans relever que je me doutais bien de ta réponse. "Ouais... Mais tu as bien fait de me demander de venir." Parce qu'on ne peut pas savoir comment il aurait continuer d'agir, ce crétin. Ni même, ses réelles intentions. Au moins, t'es en sécurité, sans me vanter. Mon visage bouge de droite à gauche lentement, refusant de te laisser penser que le destin se plait à te faire passer des messages de ce genre. "Non. Si il y a un signe là-dedans, c'est simplement celui que ce monde est peuplé de tout, mais surtout de gros cons." J'englobe là, celui du bar mais aussi la personne qui n'est pas venu à votre rendez-vous, te foutant ainsi dans cette posture. Je te rends un sourire moins attristé et ma main revient sur ton bras, que je caresse doucement. "Je suis content que tu me demandes de venir." Que tu me fasses suffisamment confiance pour m'appeler dans des instants de difficultés. Et comme pour tenter de rapidement effacer le moment désagréable ainsi que tes mauvaises pensées, je demande la moue enfantine. Démarche pour t'amadouer "Tu penses qu'il est trop tard pour l'option film?" Façon, je ne retournerais pas au restaurant.; hors de question que je te laisse comme ça. "Sauf si tu veux faire autre chose. Avec ou sans moi." Car ton avis et ton consentement, ça compte. Encore une leçon que j'aurais pu donner à l'autre si j'en avais eu l'envie et le temps. Mais chacune de mes secondes te sont consacrées dès l'instant où j'ai posé le pied dans cet établissement. D'ailleurs, je ne sais pas toi mais... "Merde, je suis ton petit ami au fait!" Et voilà que je rigole un peu plus franchement, repensant à cette imposture. La tête qui voudrait bien se baisser pour l'étouffer, mais je ne veux pas manquer la réaction que ça va te provoquer. Quasi-assuré que ta future expression faciale ne fera qu'empirer ce dernier.  

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Mer 29 Déc - 14:48
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Jack avait tourné un regard confiant en direction de son ami, un doux sourire peint sur ses lippes, le cœur tambourinant encore de colère dans sa fragile poitrine. Elle espérait que tout ceci était bel et bien terminé, que personne ne reviendrait lui parler de tout ça au risque de lui faire perdre les pédales. Elle inspira profondément, touchée par les paroles d’Alfred. Il fallait qu’elle arrête de se morfondre vraiment, l’échec de son mariage n’était pas de sa faute. L’Amérique était connue pour être cruelle et surtout pleine de surprises morbides. Il était ridicule de sa part de croire qu’elle ne pourrait jamais s’en sortir, que le fantôme de Saoirse continuerait de rôder autour d’elle.

« Un film ? Il y a vraiment des trucs intéressants en ce moment ? » Jack n’était pas une grande fan du cinéma ou des films en général, elle préférait se mettre quelques séries en fond en faisant sa vie, elle avait toujours un mal fou à se concentrer sur une et unique chose ces derniers temps, il fallait toujours qu’elle occupe ses mains et son esprit. Elle était prête à lui proposer une seconde option avant qu’il ne s’exclame sur son rôle de parfait petit-ami.

« Eh bien, je vois que monsieur n’est pas très concentré. » plaisanta-t-elle. « On peut toujours aller manger un bout ou aller ailleurs, histoire de rattraper le temps perdu non ? Mine de rien ça fait quelques semaines qu’on s’est pas vu, t’as surement des choses croustillantes à me raconter ! »

Après tout, la librairie lui avait pris du temps et Louisa aussi, il avait fallu qu’elle lui explique tous les rudiments de la boutique et de son fonctionnement. Entre ça et ses réunions chez les narcotiques anonymes, Jack avait souvent tendance à perdre le fil et se devait de se dépêcher de prendre soin de ses amis. « Tu en penses quoi, darling ? »

code by exordium.


[/quote]

@ Invité

avatar
   
#
Mer 29 Déc - 16:48
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
J'aime assez le monde cinématographique, bien que dernièrement je manque de temps pour réellement m'intéresser aux sorties. Je suis friand des films indépendants, le genre de chef d'oeuvre qui me retourne le sang, ou la tête. Mais pour ce soir, c'est loin d'être l'idéal pour te faire oublier ce qu'il s'est passé à l'instant. Ce qu'il te faudrait, c'est une comédie légère, quelque chose qui te donnerait envie de rire à gorge déployée. "Aucune idée.. Mais avec toutes les plateformes que j'enrichis mensuellement, il y a moyen de trouver quelque chose de bien." Un haussement d'épaule et un sourire rassurant. Si tu décides de continuer la soirée en ma compagnie, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te faire oublier les crétins de ta vie. Pourquoi ne pas commencer à plaisanter? Le rôle dont j'ai été affublé est risible, et je vais en jouer pour ramener la bonne humeur dans ton coeur. Fier de constater que ça fonctionne, et que te vient l'inspiration pour une future activité. "Je ne sais pas... Ça fait quoi les couples?" Je prends le risque de me recevoir un coup, mais tu sais aussi bien que moi que cette anecdote va rester gravée. Et que tu n'as pas fini de me voir faire l'imbécile en la citant. "J'ai une idée!" Maintenant, reste à prier qu'elle te convienne. "On peut aller à mon restaurant. On commande quelque chose, et on va s'installer dans mon bureau pour plus de tranquillité." Car quand j'en suis parti pour venir te sauver, la salle était bondée. Loin de moi l'envie de te remettre au milieu d'une foule. "On pourra discuter tout en mangeant." C'est la maison qui offre, tu n'auras qu'a choisir ce qui te fait saliver. Espérant que tu vas autant te délecter des histoires que je vais te raconter, parce qu'il y en a. Des nouveautés. Et franchement, je ne suis vraiment pas contre l'avis d'une amie.  

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Jeu 30 Déc - 12:54
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Qu’est-ce que font les couples ? Jack avait presque envie de rire à cette question avant que les souvenirs ne viennent la frapper en plein cœur. D’un sourire triste, elle se revoyait avec celle qu’elle avait cru être la femme de sa vie. Entre étreinte, rire et évènements heureux, elles avaient toujours adoré se consacrer à leur passion respective, côte à côté, ne pouvant s’empêcher de venir embêter l’autre après quelques temps, lorsque l’inspiration s’échappait.

Elle secoua doucement la tête pour chasser ses pensées qui lui faisaient plus de mal qu’autre chose. Il était impossible pour elle de tourner la page tant qu’on ne lui disait pas ce qu’il était advenu de cette femme, était-elle morte ? captive ? ou s’était-elle enfui ? Cette dernière option lui semblait ridicule, tellement ridicule. « Oh, j’ai l’honneur d’être invité à un repas privé dans ton fameux restaurant ? » plaisanta-t-elle, lui claquant un baiser sur la joue. « Ca me va ! Si tu me laisses le choix de la nourriture ! »

Depuis son arrivée aux États-Unis, la jeune femme était devenue une inconditionnelle de la pizza à la New Yorkaise et ne pouvait quasi plus s’en passer. Certes, elle n’en dévorait pas des kilogrammes par semaine, mais il était vrai que ce genre de repas lui remontait souvent le moral. « J’ai hâte de savoir comment mon petit-ami s’en sort en amour. » ricana-t-elle alors qu’ils prenaient la direction d’un restaurant qu’elle connaissait pour y être allée des centaines de fois.

Cette soirée s’annonçait bien plus agréable que prévue. Il était toujours bon d’être avec un ami aussi aimant qu’Alfred, un gars aussi attentionné que drôle. Elle se demandait réellement si monsieur Forbes était abonné au célibat ou si quelqu’un avait su faire battre son cœur. Des questions qu’elle s’empresserait de poser une fois planqués dans ce petit havre de paix qu’était le restaurant.

code by exordium.


@ Invité

avatar
   
#
Jeu 13 Jan - 18:18
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
L'amour, je ne suis pas si novice en la matière, mais étant toujours celui que l'on quitte j'ai comme des doutes sur le fonctionner. Ou sur ma manière de faire. Quoi qu'il en soit, je me pense beaucoup plus doué en amitié et offre volontiers mes compétences pour te faire sourire et te changer les idées. Passager est ce petit malaise que j'ai inconsciemment installé, mais t'es rapidement recentrée. J'ai même le droit à un baiser furtif déposé sur ma joue, qui ne peut retenir mes lèvres de s'étirer. "Absolument, et tu vas même y entrer au bras de patron." Si ce n'est pas la classe ça, je ne sais pas ce que c'est. "Tout ce que tu voudras." Bien que prononcé d'un air amusé, cette phrase n'est pas dite pour plaisanter. Tu pourras commander ce que tu désires, même commencer par le dessert et finir par l'entrée. On s'en fiche, on sera isolé à l'étage à papoter. Et bizarrement, ton sens est aiguisé quant au sujet que je voudrais aborder. "Tu vas applaudir mes prouesses." Et certainement ricaner. Si ce n'est, m'exploser de rire à la tronche. "Je te raconte tout dès que nous sommes arrivés." Laissant ainsi la possibilité d'échanger quelques banalités pour le reste du chemin.

Une fois dans l'établissement, celui que je considère comme mon bébé depuis maintenant six années, j'informe un employé que l'on s'échappe dans mon bureau. Au passage, j'attrape une carte de menu - inutile pour moi, je le connais par coeur - et ta main de mon autre habile pour te guider jusqu'au sommet du bâtiment. Pièce atteinte, je te propose "Installes toi où tu veux." Mon siège, celui de l'autre coté du bureau, ou le canapé à l'opposé de ce mobilier. Oui, il m'arrive de siester parfois entre deux services. Une fois chose faite, je m'avance pour te tendre le papier. "C'est principalement inspiré de la gastronomie française, mais si tu veux un truc espagnol, je trouverais le moyen de te le faire préparer." Notamment chez ma voisine de restaurant. Mais j'ai comme l'intuition que l'interrogatoire va bientôt commencer. Je ne sais par quoi tu vas débuter, mais j'occupe mes mains en rangeant un peu ce qui pourrait trainer.

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Mer 2 Fév - 10:56
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Il était drôle de se dire qu’elle aussi était patronne de sa propre affaire. Certes, une petite entreprise qu’elle faisait tourner à l’improvisation, mais elle était bel et bien propriétaire. Une chose qui était bien compliquée au début puisqu’elle n’y connaissait pas grand-chose au domaine des affaires, mais sa mère avait su la mettre sur les rails et l’aider à débuter sans se casser la figure. Désormais, elle gérait plutôt bien la chose, n’allant pas trop vite de peur de voir sa petite structure s’effondrer sous le souffle du loup qu’était la vie financière.

Elle suivit Alfred, avec un large sourire, content de rejoindre son restaurant. Elle s’y était déjà rendue à plusieurs occasions, mais ne se lassait jamais de redécouvrir encore et encore les lieux, appréciant la chaleur qu’ils dégageaient. « Pas de soucis darling. » Elle claqua un dernier baiser sur sa joue quelque peu piquante et prit la carte en s’installant souplement. Ses cheveux battirent l’air et elle vint croiser les jambes, son doux regard se posa sur la liste alléchante des plats. « Tu as des spécialités du Nord de la France ? Ma mère vient de là-bas ! » Cette fameuse maman qui n’avait cessé de lui vanter les spécialités de sa région.

Son estomac était bien curieux d’accueillir tous les bons plats qu’on lui proposait et ses doigts tapotèrent impatiemment la table, mais Jack était du genre indécise. « Tu sais quoi ? Je te fais confiance, surprends moi ! » Elle déposa la carte et croisa les bras dans un sourire malicieux, plantant son regard amusé dans le sien. Cet homme avait le don de lui redonner le sourire d’un simple claquement de doigts et elle l’en remerciait énormément pour ça. Il ne l’avait jamais jugé, toujours épaulé et aidé quand l’humeur n’y était plus. « Faisons simple, j’ai hâte de pouvoir t’embêter avec mes questions. Si tu veux, on peut même en faire un jeu histoire d’alléger l’atmosphère de mon interrogatoire improvisé. »

code by exordium.


@ Invité

avatar
   
#
Ven 4 Fév - 16:23
I’m giving you a nightcall.
'To tell you how I feel. I’m gonna drive you through the night, down the hills. I’m gonna tell you something'
@Jack Baker
Je ne pourrais jamais me lasser de tes baisers. Aucune ambiguïté derrière et c'est ce qui fait aussi que je ne me retiens pas de les apprécier. C'est bras dessus, bras dessous, que l'on rentre dans mon établissement. Il ne m'appartient qu'à moitié mais avec mon associé il n'a jamais été question de se comporter comme des cons qui veulent séparer le restaurant et tout ce qu'il englobe, en deux. C'est notre bébé, nous avons toujours été clairs là-dessus. Notre aventure fonctionne, c'est une histoire qui roule depuis six longues années. Dans mon bureau, tu es rapide à t'installer et ça me fait sourire. Une fois que mon bazar - qui n'en est pas un - est rangé, je viens appuyer mon fessier sur le mobilier principal. "Tu as de la chance. Les quelques plats de cette région ne sont abordées qu'en hiver sur notre carte." Car c'est général bien gras, ça tient chaud et c'est beaucoup plus facile à manger par cette météo. Imaginez vous manger une raclette sous une canicule. Pas impossible, mais pas aussi agréable qu'en période de grand froid. Tes yeux se promènent sur le papier, mais te vient rapidement l'idée de me laisser responsable du choix. Avec en supplément, la pression de te surprendre. "Dis moi ce que tu veux boire." Que je puisse commencer à pianoter sur mon téléphone la commande complète que je vais envoyer à mon bras droit. Il est en cuisine ce soir, et je sais qu'il a comme une sonnerie spéciale pour reconnaitre les appels et messages qui viennent de moi. Il pourra alors faire préparer notre repas, et le faire monter grâce aux mains d'un employé. Deux Welschs accompagnés d'une grosse assiette de frites. Le genre d'assiette où l'on va compter trois portions, car Jasper est généreux. Il sait aussi que je suis capable d'avaler tout ça. C'est sur le siège à coté de toi que je viens me poser, interpeler par ta proposition. "Un jeu? Et comment on y joue?" Parce qu'il n'y a pas que la spécialité du nord qui va se faire cuisiner, je le sens. Je te fixe, intensément mais d'une douceur sans nom. Ma main gauche se lève, pendant que sa jumelle atterrie sur ma poitrine, niveau coeur "En tout cas, je jure de ne dire que la vérité!" L'air idiot, je fais ce serment comme si je n'étais pas déjà vêtu d'une grand honnêteté.  

code by black arrow

@ Invité

avatar
   
#
Jeu 28 Avr - 16:31
I'm giving you a nightcall
Jack & Alfred
Elle eut un doux sourire à sa réponse et frétilla d’impatience à l’idée de redécouvrir les plats de son enfance. Elle se souvenait encore des remarques agacés de son père qui ne supportait pas le fromage et qui devait pourtant s’en coltiner à tous les repas puisque sa fille et sa femme en raffolaient comme personne. C’était encore la belle époque avant que tout ne vire au cauchemar, avant que Jack ne finisse dans ce pensionnat qui l’entraîna en enfer. Mais là n’était en rien le sujet du jour et elle ne laisserait pas ses démons du passé lui susurraient de terribles souvenirs à l’oreille. « Tu fais une heureuse en me disant ça ! Et j’accompagnerai ce léger repas d’une bonne bière. » répondit-elle avec une touche d’humour.

La bière française lui manquait affreusement, elle était bien plus savoureuse que toutes les pisses de chat qu’elle pouvait croiser ici, mais elle avait fini par s’y faire et puis elles n’étaient pas toutes si mauvaises. « Oh c’est assez simple très cher Alfred. » sourit-elle ; lui donnant un coup de coude taquin. « C’est un échange de bons procédés. Je te pose une question et si je juge la réponse satisfaisante, alors tu auras le droit de m’en poser une en retour. Ainsi de suite. Un jeu de commères. »

Jack se souvenait d’y avoir jouer avec ses amis du pensionnat pendant de longues nuits où rires et pleurs se mêlaient aux révélations. Elle se souvenait encore de l’éclat de malice qui s’était mis à étinceler dans l’iris noisette de sa camarade espagnole avant que celle-ci n’avoue son amour pour elle sous les souffles étonnés du reste de l’équipe. Cette fille qui l’avait trahi en avouant son homosexualité à ses parents sans son accord. Elle secoua doucement la tête pour chasser tout ceci de son esprit et imita le geste de son ami dans un rire. « Je jure la même chose ! Et j’ouvre le bal ! » Elle posa à plat ses mains sur la table et glissa un regard malicieux dans sa direction. « Fréquentes-tu quelqu’un ? »


code by exordium.




Désolée du retard I’m giving you a nightcall - Jack 4032930001

@ Contenu sponsorisé

   
#

Poster un nouveau sujetRépondre au sujet

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum