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(baxel) pacify my nightmare, calm down the bomb

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Dim 21 Nov - 11:10
tw : homophobie, mental breakdown, adultère, alcoolisme

pacify my nightmare,
calm down the bomb
Le soleil se couche de plus en plus tôt à New York, et je reste pourtant de plus en plus tard au bureau. A quoi bon partir en même temps que les autres, si c'est pour rentrer dans mon nouvel appartement à la décoration froide et au silence sans pareil. La seule chose qui me force à rentrer dans moi, c'est Obi-Wan, mon husky qui a besoin d'être nourrit et choyé. Sans lui, je passerais certainement ma vie au travail, encore plus que c'est le cas maintenant.
Je ne donne plus signe de vie à grand monde depuis que je suis parti de Staten Island, une réponse à un sms la plus froide possible, pour certaines rares exceptions. Il fait partie des exceptions. Je réponds, parfois à ses messages, même si je ne le fais pas de la manière la plus commode qu'il soit. Il ne sait même pas ce qu'il s'est passé. N'a aucune idée que je ne vis plus avec ma femme et ma fille, ne se doute pas qu'Olivia a tout découvert. Je n'ai pas eu le courage de lui en parler, à vrai dire, je n'ai pas eu le courage de faire grand chose ces derniers temps.
Peut-être même a t-il rencontré quelqu'un depuis tout ce temps. Trois mois qu'on ne s'est pas vus, et tant de choses ont changé dans ma vie, alors tout est possible. Je ne me suis même pas rendu compte des trois mois qui sont passés, j'ai laissé le temps m'emporter, vécu ma vie comme un robot pendant ces longues semaines. Métro, boulot, dodo. Heureusement, entre deux, je case toujours une promenade avec mon beau husky. Et finis une bouteille de whisky.

Mais aujourd'hui, je suis décidé. Sans contexte, sans même lui dire que c'est chez moi, j'envoie un message à Axel. L'adresse de mon appartement dans l'upper east side, suivi d'un "Retrouve moi-là. Je dois te parler." Je ne veux pas être froid avec lui, à vrai dire, je ne me rends pas compte d'à quel point ces mots peuvent être mal perçus. Trop aveuglé par la misérabilité de ma propre vie. Je passe donc mon dimanche matin à jouer et câliner mon chien, attendant Axel. Sans réelle impatience, parce que je vais devoir parler, m'expliquer, et m'excuser même de mon comportement de ces derniers mois. J'ai tort, je le sais, et pour une fois, je peux l'avouer.

Une heure et deux irish coffee plus tard, je décide de promener Obi-Wan au pied des building du quartier, une balade durant laquelle je raccroche au nez de ma soeur, à qui je ne réponds plus au téléphone depuis des semaines. Je sais pourquoi elle m'appelle. Les gens de Staten Island parlent, les rumeurs courent, et elle veut des explications. Je sais déjà les questions qu'elle va me poser : est-ce que c'est vrai tout ce que ces gens disent ? tu as été viré de chez toi par... olivia ? Elle qui, je le sais, a toujours détesté ma femme parce qu'elle n'était pas "comme nous". Mais je sais surtout ce qui doit la mettre en rage, ce qu'elle ne comprendra pas. Je sais surtout que la question que ma soeur veut me poser c'est : benjamin, ne me dis pas que c'est vrai. ne me dis pas que tu as trompé olivia avec un homme ? Et je ne veux pas avoir cette conversation. Encore moins avec elle.

Je ne me rends même pas compte du temps que je passe dehors, à marcher avec mon chien, perdu dans mes pensées. Longtemps en tout cas, assez longtemps pour qu'au moment de me retrouver face au grand building dans lequel je vis désormais, je vois Axel, sortir d'un taxi. Je me fige quelques instants, avant de me retrouver à chasser un semblant de sourire qui tente tant bien que mal de se dessiner sur mon visage. Je m'approche de lui, lentement, Obi-Wan à mes côtés, et tout ce que je trouve à lui dire c'est « Bonjour Axel. » De trop longues secondes passent, et je lui montre le complexe d'appartement de luxe de ma main libre, « suis-moi. » Et je guide celui qui a été longtemps mon amant jusqu'à l'ascenseur, mon chien nous suivant de près. « mon appartement est au neuvième, » je murmure en appuyant sur le bouton de l'ascenseur, osant à peine poser mes yeux sur lui. « mon nouvel appartement. » Que je répète, le regard rivé sur mon husky, pour éviter de faire face à l'incompréhension qui doit, je suppose, se lire sur son visage.

C'est d'un pas lourd que j'ouvre la marche jusqu'à ma porte d'entrée, et je libère Obi-Wan qui courre aussi tôt à sa gamelle d'eau, avant que je puisse, enfin regarder Axel de nouveau. « J'ai beaucoup de choses à t'expliquer. »

(c) AMIANTE

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Sam 4 Déc - 22:21
pacify my nightmare,
calm down the bomb
Lorsque le nom de Benjamin s’affiche sur ton portable, tu ne peux pas t’empêcher de sentir les battements de ton cœur s’accélérer. Et qu’est-ce que tu peux te détester pour cela. Trois mois que tu n’as presque plus de nouvelles, trois mois que tu ne l’as pas vu que tu as beau lui demander ce qui se passe, tu n’as jamais eu droit à une seule réponse pouvant te satisfaire. Alors tu as fini par laisser tomber, à ne plus rien attendre de sa part. Tu le savais pourtant, que cela se terminerait de cette manière. Tu aurais juste espéré qu’il fasse les choses un peu plus proprement. Mais il faut croire que c’est l’histoire de ta vie. Tu soupires, puis tu finis par lire son message qui te ferait presque ricaner si tu n’avais pas le cœur en mille morceaux. Tu devrais l’envoyer balader, lui dire que tu n’es pas à sa disposition et qu’il peut bien aller se faire voir mais… Il y a constamment ce « mais » dans votre relation qui te pousse à retourner vers lui, peu importe les conséquences que cela engendre derrière.

Pourtant, il y a ces quelques secondes de flottement où tu hésites. Où tu te dis qu’il est peut-être mieux pour toi de rester chez toi. Tu te doutes bien de ce qu’il va te dire, que vous deux c’est terminé. Aller au centre de New-York pour te faire jeter comme une vieille chaussette ? C’est exactement ce que tu vas faire. Plutôt que de prendre ta propre voiture (en sachant que tu risques de finir dans un état pitoyable), tu décides de commander un taxi. Contrairement à la dernière fois où il t’a vu dans sa maison, tu es habillé comme si tu te dirigeais à la Fashion Week. Te faire larguer, oui, mais en beauté tout de même. Le trajet passe vite. Bien trop vite à ton goût. Tu n’as pas encore eu le temps de faire tous les scénarios possibles dans ta tête. C’est sur une musique de Britney Spears que tu sors du taxi et si en temps normal, tu en aurais profité pour faire une entrée digne de ce nom, c’est loin d’être le cas aujourd’hui. Tu claques la porte du taxi et observe Benjamin accompagné de son chien arriver vers toi. « Bonjour. » que tu réponds plutôt froidement – mais est-ce qu’on peut t’en vouloir ? Tu souris néanmoins au chien, dont tu caresses la tête en guise de salutation. Tu hausses les sourcils lorsqu’il te parle de son appartement. Tu as raté une étape ? Oh, certainement. Après tout, cela ne fait que TROIS mois que tu ne sais plus rien de lui.

Beaucoup de choses à t’expliquer ? Sous le coup des nerfs, tu pourrais presque en rire. Tu t’éloignes machinalement de lui, allant t’appuyer contre un meuble, les bras croisés. « J’en ai bien l’impression. » te contentes-tu de dire tout en balayant l’appartement du regard. Qu’est-ce que tu cherches ? Quelque chose, n’importe quoi, appartenant à Olivia et prouvant qu'elle est bel et bien ici, aussi. Une paire de chaussures qui traîne sur le parquet, une robe jetée sur le canapé, n’importe quoi. Ce n’est pas normal. Quelque chose cloche. « Je t’écoute. » ajoutes-tu tout en faisant un bref signe de la main pour l’inciter à parler. Parce que ce n’est pas toi qui fera le premier pas. Et ce n’est pas toi non plus qui mettra fin à tout cela. Alors tu attends, tu attends qu’il te le dise pour que tu puisses t’en aller pour de bon d’ici. Peu importe à quel point cela va te faire mal.


(c) AMIANTE

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Dim 5 Déc - 19:15
pacify my nightmare,
calm down the bomb
Il m'en veut. Pire, il me déteste. Il est plus amical avec mon chien qu'avec moi. Après tout, il a raison. Il n'a pas eu de nouvelles depuis des mois et je reviens vers lui d'un coup, sans donner d'explication. Le voir si distant avec moi me ferait presque froid dans le dos. C'est de ta faute, Benjamin. T'es un connard, tu l'as cherché. Non. Il me faut chasser mes démons, chasser la voix dans ma tête qui ne se tait plus depuis tout ce temps. Je dois rester concentré. Il mérite que je lui raconte calmement. Il mérite des excuses. « Comme tu peux le constater, je ne suis plus avec Olivia. » J'avance vers un placard derrière moi pour accrocher mon manteau à un cintre, et je tends la main à Axel pour qu'il me laisse accrocher le sien aussi. « Elle a tout découvert, je suis parti. » J'aurais aimé pouvoir lui dire que je l'ai quitté pour lui. J'aurais aimé qu'il ne me voit pas comme un pauvre lâche qui a attendu que les choses se fassent toutes seules au lieu de prendre des décisions. Mais il mérite la vérité. Pas des bobards utopiques de comment j'aurais aimé que ça se soit passé. De plus, j'ai assez menti cette dernière année pour une vie entière.

« J'aurais du te le dire plus tôt. Ça fait des mois que c'est arrivé, mais tout est allé si vite. » Je n'ai pas d'excuse valable, je ne tente pas d'en donner plus que cela car je sais que j'ai tort. Je sais que c'est de ma faute. Que tout est de ma faute. J'avance un peu dans l'appartement à la pièce de vie ouverte, m'assois sur l'accoudoir froid du canapé en cuir, passe mes mains dans mes cheveux. Je soupire. Je repose enfin mes yeux sur lui, les miens sont probablement vitreux, miroirs de la peur qui me ronge et a fait de moi une loque. Je n'ai jamais été aussi faible que je le suis aujourd'hui, pourtant, je suis terrifié de ressortir de cette conversation encore plus affaibli, encore plus seul, encore plus épouvanté.  Une partie de moi est persuadée qu'il va me rejeter. « Je suis désolé de mon comportement ces derniers mois. Je n'ai pas d'excuse. J'ai mal agit avec tout le monde. Je le sais. » Je savais que la meilleure des décisions aurait été de dire toute la vérité à Olivia, de partir et d'ouvrir enfin mon cœur à Axel. Au lieu de cela, j'ai attendu, fait le mort, comme tout tout allait se régler tout seul. « Axel, dis moi que je ne t'ai pas perdu. » Je pris à ce moment-là dans le coin de ma tête, car la seule chose dont j'ai besoin, c'est d'un petit mouvement de tête. D'un geste, un sourire, quelque chose qui me rassure. Quelque chose qui me réconforte et me murmure que je n'ai pas tout perdu. Ma famille, ma relation avec mes parents et ma soeur, ma réputation, toutes ces choses ont volées en éclat il y a quelque semaines. Mais la seule et unique chose qui pourrait me redonner le sourire, c'est de savoir que j'ai encore Axel à mes côtés.



(c) AMIANTE

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Sam 8 Jan - 15:34
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Si tu avais appris d’une autre manière qu’il n’était plus avec Olivia, sûrement que tu te serais mis à tweker au milieu de la pièce. Mais les circonstances ne sont pas là. Il a fallu que sa femme découvre les choses par elle-même pour que Benjamin accepte d’affronter la vérité. Est-ce seulement lui qui est parti ou elle qui l’a mis dehors ? Tu devrais n’en avoir rien à faire de ce genre de détails mais pour toi, c’est important. Parce que tu n’es pas sûr que Benjamin aurait fini par prendre les choses en main par lui-même un jour ou l’autre. Et ce n’est pas grave, au fond. Ce n’est pas grave parce qu’il a toujours été honnête avec toi sur cela. Mais il y a cette petite voix dans ta tête qui te dit que tu n’en vaux pas la peine. Pas assez, en tout cas. Cette voix, tu tentes de la chasser. Elle n’a rien à faire là, ce n’est pas le bon moment. Mais petit à petit, tu craques, Axel. Sauf que tu continues de tenir bon, parce que tu n’as pas envie d’affronter tes états d’âmes ou de les renvoyer dans la gueule de Benjamin. Sa vie est assez mouvementée pour que tu lui dises que tu n’en peux plus. « Comment est-ce qu’elle a appris ? » lui demandes-tu d’un ton toujours aussi sec tout en te décidant à enlever tes lunettes de soleil dans un geste digne d’une des plus grandes divas. Tu te souviens très bien de la dernière fois où tu as dû attendre des semaines avant d’avoir un message de Benjamin. C’était après que tu lui aies envoyé une photo assez… comment dire ça poliment ? On va dire que la photo était plus ou moins explicite. « Ne me dis pas que... » commences-tu sans même prendre la peine de continuer ta phrase. Non, tu ne préfères pas imaginer que c’est de ta faute.

Tu détournes le regard et observes l’appartement comme si tu en avais quelque chose à faire de la décoration. Car tu as du mal à l’affronter lui, mais surtout ses excuses. « Je suis désolé aussi. ». Ce n’est peut-être pas à ce genre de mot que Benjamin s’attendait à l’instant. Toi non plus, tu n’es pas très certain de ce que tu es en train de lui balancer. « Désolé d’avoir tout gâché. Désolé d’avoir ignoré la bague à ton doigt à Los Angeles. Désolé d’avoir ruiné ta famille et même ta vie. Tu sais, ce n’est pas facile pour moi non plus. Je pensais que… les choses seraient plus faciles. ». Parce que tu as toujours été insouciant et aujourd’hui, tu te rends compte que tu ne peux plus agir de cette façon. « Je savais très bien ce que je faisais, Benjamin. Je savais que j’étais en train de briser toute une famille. Mais je ne prenais pas les chose au sérieux parce que… Tu me connais, de toute façon. ». Tu ne t’es jamais empêché de le provoquer, de tout faire pour être le centre de son attention… tout faire pour qu’il oublie sa femme. Chaque acte amène une conséquence et tu as préféré tout ignorer jusqu’à présent. Mais pendant ces trois mois sans nouvelle de lui, tu as le temps de poser des mots sur tout ce que tu ressens, toutes ces émotions qui traversent ton corps tel un tsunami. « Et toi, tu crois que tu ne veux pas me perdre ? Tu vas finir par ouvrir les yeux et m’en vouloir pour… pour tout ce qui s’est passé. ». Il finira par se lasser, comme tous les autres. Ça fait mal au cœur de se l’avouer. Mal au cœur de le dire à voix haute. Tu n’aurais jamais dû venir ici au final, et tu le comprends lorsque tu sens ta gorge se nouer quand ton regard croise le sien.

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Ven 14 Jan - 15:54
tw: homophobie internalisée, alcoolisme

pacify my nightmare,
calm down the bomb
Je ne dirai pas que je suis l'homme le plus à l'aise du monde face à la situation dans laquelle je me trouve à cet instant précis, pourtant, je me sens moins stressé que je l'aurais cru. Sa présence m'apaise et me rappelle que si on prend la peine de creuser un peu au cœur de mon malheur, on y trouve quelque chose de beau. Une rencontre, celle qui a bouleversé ma vie, une rencontre qui m'a ouvert les yeux sur qui je suis vraiment. Je ne suis pas sûr qu'Axel se doute une seule seconde de l'impact qu'il a eu sur moi, et du bien qu'il m'a fait. J'étais coincé, emprisonné dans un moule, dans une vie qui me convenait par confort et habitude. Et l'idée de sortir de ce fameux moule me terrorisait.
Oh, je ne suis pas moins effrayé aujourd'hui, puisque je continue de fuir ma sœur, parce que je n'ai annoncé la nouvelle à personne vraiment. Je suis passif et je me laisse porter, complètement dépassé par les évènements. Mais là, j'ai enfin pris une décision, et il était temps. Celle d'avoir une discussion à cœur ouvert avec mon amant. « Elle l'aurait apprit dans tous les cas. » un léger sourire se dessine sur mon visage, et c'est bien la première fois que j'arrive à rire ne serait-ce qu'un petit peu de la situation. « Je devrais te remercier, même. Ah ça a été efficace. » Mais je préfère ne pas m'étaler sur ce sujet-là, cette soirée avait été un enfer. Rentrer chez moi bourré, faire en sorte qu'elle ne se rende pas compte que je buvais en cachette pour enchaîner sur l'apothéose qu'a été la photo d'Axel. On ne récolte que ce que l'on sème.

Les excuses d'Axel me font froncer les sourcils et relever la tête. Je pose mes yeux sur lui et écoute ce qu'il a à me dire, des petites lignes sur mon front marquant l'incompréhension totale. Pourquoi s'excuse t-il, alors qu'il n'a en aucun cas autant de responsabilité dans les décisions que j'ai prise ? Le voir tenir de tels propos me serre le cœur, et je m'approche de lui lentement, avec mon index je l'aide à tourner la tête vers moi. J'ai l'impression de ne pas avoir vu ses yeux depuis qu'il est arrivé, il ne me regarde même pas. « Oui, je te connais. Et te connaitre a été la meilleure chose qu'il me soit arrivé depuis des années. » Je le rassure autant que je le peux, mais la question qu'il me pose ensuite me déstabilise encore plus, et mes sourcils se froncent une nouvelle fois en l'écoutant. « Vouloir te perdre ? Non je ne veux plus te perdre. » EUH ? Stupide, stupide, stupide, stupide, stupide Benjamin. « Je ne veux surtout pas te perdre. » Un pas en arrière, je me déteste. Pourquoi j'ai dit ça comme ça ? Que va-t-il penser maintenant ? Je prends une inspiration. Calmes-toi Benjamin, respires et exprimes toi correctement. Cet homme a vraiment le don pour me perturber au point que j'en oublie comment parler. « Ce que je voulais dire c'est que j'ai réfléchis. Et tout ce temps loin de toi m'a conforté dans l'idée que... je ne veux plus me cacher. Je veux être avec toi. Je ne veux plus être séparé de toi. » Une nouvelle inspiration, je ferme les yeux. Pourquoi est-ce que j'ai autant de mal à sortir ces mots de ma bouche ? Je ne suis juste pas encore habitué à dire ces choses là à un homme, mais une fois que ce sera fait, que j'aurai déballé mon sac, tout se fera plus facilement. J'en suis certain. « Je t'aime. Je ne t'en voudrai jamais pour tout ça, parce que je t'aime. »

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