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i come back stronger than a nineties trend | Marisol 2.0

@ Invité

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Sam 28 Mai - 17:58
marisol alvarez
just small daddy issues
ID CARD
@Marisol Alvarez
40 ans - journaliste/militante
FEAT : melissa fumero
Marisol Alvarez, qui fut pendant des années Mrs Murphy-Alvarez quand elle était encore l'épouse du sénateur démocrate de New-York, est une journaliste à mi-temps et la présidente de l'association El Halito dans le Bronx. C'est le quartier où elle a grandi et où elle retourne souvent, un lieu qui lui tient à coeur et qu'elle veut voir se développer. Si pour l'heure elle est toujours à Staten Island pour que son fils termine le lycée tranquillement, elle espère retourner dans le quartier de son enfance et reprendre un mode de vie plus simple, s'immerger pleinement dans ce qui lui tient à cœur et mettre en œuvre tout ce qu'elle avait mis en suspens, sans même s'en rendre compte. Mère de deux grands enfants, elle a consacré des années à leur éducation, à l'ascension politique de son mari, se perdant peu à peu dans une vie qu'elle ne reconnaissait plus. Et si divorcer a été dur pour cette catholique pratiquante, au bout de deux ans, elle a fini par s'y faire et retrouver un peu d'elle-même.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : américaine
Ethnie/origines : cubaines
Orientation : hétérosexuelle
Situation : divorcée
Occupation : journaliste et présidente d'El Halito
Quartier : staten island

and what else ?
Qualités : généreuse, travailleuse, charismatique, loyale
Défauts : fière, idéaliste, têtue, insatisfaite
Passions : son travail, la cuisine, l'art
Communautés : el halito, dawson circle





that's my story / self diagnosis
I'm a bitch, I'm a lover

tw : sexisme au travail

« Murphy-Alvarez… » Le silence du rédacteur en chef en dit long, Marisol se prépare à la suite inévitable. « Vous êtes l'épouse du sénateur Murphy ? » Bingo. Femme de politicien n'est pas un job à plein temps, contrairement à ce que certains des collègues de son mari peuvent croire. Par contre, c'est un frein significatif pour l'épanouissement professionnel dans bon nombre de secteurs, les médias arrivant certainement en tête de liste. Pourtant, elle est loin d'être la seule journaliste mariée à une personnalité politique. Mais, certaines éditeurs voient d'un mauvais œil les relations personnelles entre les journalistes et ceux qu'ils considèrent comme leurs sujets. Qu'importe que Marisol ne fasse plus vraiment de journalisme politique, se focalisant principalement sur des sujets de société et de culture. Qu'importe que cette étudiante boursière, second generation immigrant, ai terminé son bachelor magna cum laude. Tout cela avec une fille en bas âge et une grossesse à la fin du cursus. Et qu'importe que, depuis, elle ai publié de nombreux articles dans le New York Times, reçu des distinctions. Depuis l'ascension politique de John, elle est une femme de. On l'invite à parler de sa charmante demeure à la campagne et de ses recettes mexicaines dans Town and Country. Elle s'est fendu d'une réponse pour ce mail, du genre qu'elle ignore royalement d'habitude, pour préciser qu'elle est cubaine et que Staten Island est un borough new-yorkais qui n'a rien de particulièrement glamour, malgré le parc et la promenade au bord de l'océan.

Elle contient donc un soupir à grand peine et répond avec son meilleur sourire de inoffensive white lady « En effet oui. » Son potentiel employeur fronce les sourcils, fait mine de relire son CV, comme pour y chercher une faille qui pourrait justifier le fait qu'il ne la recrutera probablement pas. Mais elle ne va certainement pas lui faciliter la tâche en apportant des excuses ou une explication. Après tout, elle sait qu'il est marié à une distante cousine Rockfeller ce qui, à ses yeux, présente un conflit d'intérêt bien plus important. Mais lui, évidemment, personne n'est venu lui chercher des poux en entretien. Alors Marisol sourit, ne dit rien et attend de voir comment il va se sortir de ce trou. Tout en sachant pertinemment qu'elle ne viendra pas travailler pour lui. L'avantage d'être une femme de sénateur qui ne fait rien de sa vie, c'est qu'elle est quand même pleine aux as et qu'elle a du temps à tuer. En temps normal, c'est ce qui l'agace et ce pourquoi elle veut absolument continuer à travailler. Mais, parfois, ça joue en sa faveur et elle n'est pas obligée d'accepter de travailler pour des malotrus qui ne la respectent pas. Et elle ne sait que trop bien le luxe que cela représente.

I'm a child, I'm a mother

tw: dirvoce/parentalité

« Tu n'es pas chez ton père ? » Marisol lève les yeux de son ordinateur, pose ses lunettes de repos sur le haut de son crâne et regarde sa fille avec douceur. Sofia est une adulte et fait ce qu'elle veut – aussi difficile que ce soit à admettre pour sa mère un poil surprotectrice – et elle était déjà majeure au moment du divorce. Techniquement, elle n'a aucune obligation légale à passer les weekends convenus avec John. Néanmoins, elle suit la plupart du temps son frère jusqu'au nouvel appartement, à Manhattan bien sûr. Il lui a gracieusement laissé la maison familiale et la garde principale de leur fils, il fallait bien qu'il y trouve son compte. Et pour quelqu'un comme lui, ça passe par l'achat d'un luxueux duplex en plein centre d'une des villes les plus chères du monde Miguel a bien essayé de lui dire combien son ex-maxi a déboursé pour cette folie, mais la brune a préféré ne pas savoir. La proximité de la vie nocturne et de ses amis de la faculté est d'ailleurs un argument convaincant pour son aînée, aucun de ses deux parents ne se leurre sur ce sujet d'ailleurs. Marisol est donc étonnée de la voir dans sa cuisine, clairement encore en pyjama.

« Pas envie. » Le ton est laconique et morose et il aurait été question de tout autre sujet, la mère de famille aurait certainement laissé couler. Elle doit gérer deux ados sous son toit depuis plusieurs années, elle a appris à choisir ses combats. Et a appris qu'une porte ouverte est plus efficace qu'une porte enfoncée. Mais, sur l'épineux sujet de sa séparation, la journaliste redouble d'efforts pour s'assurer que la communication avec ses enfants reste ouverte. Et claire et bienveillante. Ce qui n'est pas tous les jours faciles, vos enfants ont la fâcheuse tendance à adopter vos propres traits de caractère et les utiliser contre vous, c'est très frustrant. Et s'il y a une chose que Sofia a hérité du côté Alvarez, c'est sa fierté. « Ah ? » demande Marisol, ce qui lui vaut un roulement d'yeux de sa fille, qui se sert un verre de jus d'orange. Elle ne la lâche toutefois pas des yeux et insiste un peu. « Une raison particulière ? » Sofia soupire, mais s'assoit en face de sa mère à l'îlot central. « Non… J'ai juste pas envie de le voir. »

Un silence, Marisol referme son ordinateur, montrant qu'elle a le temps d'écouter. La correction de son papier sur le système des écoles privées new-yorkaises attendra. Elle a bien attendu 24h, parce que Miguel s'est blessé au basket quelques jours plus tôt. Le pauvre garçon a entamé une brève, mais dramatique, convalescence dans sa chambre et elle n'a pas manquer pas de lui apporter des PB&J dans sa chambre. Il n'y a rien qu'un grand gaillard de 17 ans aime tant que d'être traité comme un petit prince. Mais évidemment, il était bien assez en forme pour se lever tôt et filer prendre le ferry jusqu'au centre-ville. Classique.

Le silence fait son effet et sa fille déverse enfin ce qui la préoccupe. « Il nous emmène toujours faire des trucs. On va au bowling, au restaurant… Le mois dernier on a fait un escape game ? Tu te rends compte à quel point c'est ridicule de faire un escape game à trois ? Avec mon père ? » Elle insiste sur le dernier mot avec un dégoût palpable qui arracherait presque un rire à sa mère, si elle ne faisait pas attention à ses réactions. Elle la laisse poursuivre toutefois, ne se montrant qu'attentive et à l'écoute. « Je sais pas, il fait le papa modèle, comme quand on était petits, je te jure, il est à deux doigts de m'acheter une Barbie je crois. Je sais pas, on dirait qu'il cherche à se faire pardonner de pas avoir été trop là et d'être parti. »

Marisol lève la main, le signal convenu dans la famille quand on veut dire quelque chose qui ne peut pas attendre. Ce n'est pas toujours respecté, mais elle se doit de montrer l'exemple. Après un signe de tête de Sofia, elle précise donc. « Ton père n'est pas parti chérie, c'est important pour moi que tu lui comprennes bien. On a décidé ensemble de se séparer, parce que c'était ce qu'il y avait de mieux pour nous et pour notre famille et que vous êtes assez grands pour le comprendre. Ton père est un homme exemplaire, il vous aime énormément et il n'est pas parti, tu le sais Sofia ? » Un soupir cette fois et une réponse peu convaincue. « Oui, oui, je sais Maman, tu le répètes tout le temps. Mais il était déjà parti avant en fait. Il était pas mentalement là. Et c'est pas grave hein, je suis pas traumatisée, t'étais là et je sais qu'il a fait ce qu'il pouvait, qu'il a essayé de venir aux compets de natation et déjeuner avec nous le dimanche. Mais je sais pas, ça m'agace qu'il essaie de faire genre ? Je préférerai qu'on parle, qu'on mate un film, qu'il arrête la comédie. »

Marisol déglutit, aussi discrètement que possible. Un autre revers de la plutôt bonne éducation qu'elle a donné à ses enfants, sa fille est une personne empathique et observatrice. Elle ravale donc les larmes qui montent dans le fond de sa gorge et ignore le pincement de son cœur. L'idée que, durant toutes ces années, ses enfants aient vu à travers la façade de son couple, ai perçu toutes ses failles, toutes les fissures dans son union avec John est douloureuse. Aurait-elle dû faire plus d'efforts ? Ou divorcer il y a longtemps ? Mais ce n'est pas d'elle qu'il s'agit. Sofia apprécierait sans doute que sa mère lui parle d'adulte à adulte, se confie un peu à elle. Mais ce n'est pas son rôle d'endosser sa peine. A l'inverse, c'est à Marisol de prendre toutes les difficultés du monde, les peines de ses enfants et les transformer en petits cailloux sur la route de leur succès, au pire. Une ambition irréaliste et usante, mais néanmoins réelle pour la mère de famille.

Elle pose une main sur celle de Sofia et répond d'une voix chaleureuse. « C'est une situation compliquée pour toi, surtout que je pense que toutes ses activités font plaisir à Miguel et que ça en fait une espèce de boys club pour lui et ton père. Mais je ne vous ai pas élevé seule et John et moi avons les mêmes principes d'éducation. Alors tu peux lui parler. Dis-lui que tu aimerais juste, dîner, regarder un film, tout ce que tu viens de me dire. Peut-être, ne l'accuse pas de jouer la comédie, mais dis-lui qu'il n'a pas besoin d'acheter ton temps et ton affection. Il a grandi de manière très différente de toi, même de moi. Il a du mal à s'exprimer parfois, mais ça ne doit pas t'empêcher de le faire. D'accord ? »

Sofia hoche la tête, l'air pensive, un peu émue. La journaliste se lève et fait le tour de l'îlot pour enlacer sa fille, avec autant de force et d'amour qu'elle en est capable. « Sûre que tu veux pas y aller ? » Elle confirme, Marisol lui fait donc un signe de tête. « Je vais lui envoyer un texto, pour la forme. Tu veux qu'on fasse un truc toutes les deux du coup ? Sushis et le film Disney Channel de ton choix ? » Le rire de sa fille lui met un peu de baume au cœur, tout comme son énième roulement d'yeux,tandis qu'elle embarque son verre de jus d'orange vers sa chambre. Mais ne dit pas non à sa proposition. Avec un sourire, Marisol retourne donc à son article.

I'm a sinner, I'm a saint

Marisol soupire en voyant le nom qui s'affiche sur l'écran de son téléphone, mais elle ne fait pas moins un large sourire. « Hola Mama! Non, non, tu me déranges pas enfin. » Comme s'il y avait une autre réponse possible. Un espagnol à grande vitesse fuse à l'autre bout du téléphone, du genre que les pauvres gringos qui ont appris la langue à l'école et fait un voyage au Mexique ne comprennent qu'à 20%. Il se passe des choses croustillantes dans le petit groupe d'amies de l'église de sa mère – amies étant un terme employé de manière souple, elles s'apparentent presque plus à des collègues – et la brune s'efforce donc d'y prêter attention. « Ah bon? Mais non! » lance-t-elle de temps en temps, le téléphone en haut-parleur posé sur le rebord du lavabo, concentrée sur son recourbe cils et le blush qu'elle applique à petites doses. Elle se garde bien d'expliquer à Maria qu'elle est en train de se préparer pour aller boire un verre, avec un homme, qui n'est pas celui que sa mère s'évertue encore à appeler son mari. Ca fait deux ans, mais les catholiques ne croient pas au divorce, il semblerait donc qu'elle doive faire avec.

Très honnêtement, Marisol est loin d'être convaincue que cela ira au delà d'un cocktail et quelques sms, mais quand sa propre fille lui a dit que c'était déprimant de la voir "comme ça" – c'est à dire, en pyjama à 18h un samedi soir, mangeant du popcorn devant une télénovela, qu'elle ne regarde pas que pour savoir de quoi parle les dames de l'église – elle s'est dit qu'il était peut-être temps de prendre le taureau par les cornes. Une métaphore un peu violente pour ce qui est, très franchement, à mi chemin entre le date et le work drinks. Mais au moins, elle se sera fait belle, elle sera allée en centre-ville, elle pourra raconter une anecdote choisie à Sofia après les faits et prétendre qu'elle est remise en selle, parfaitement réajustée à la vie sociale. Qui sait, elle finira peut-être même par y croire.

La voix de sa mère se fait insistante et réalisant qu'elle a laissé ses pensées divaguer, la journaliste esquive l'interrogatoire en demandant à Maria comment se porter le restaurant. Pendant ce temps, elle cherche la bonne paire de chaussures, se demandant brièvement si elle est une mauvaise fille et si elle aura le temps de passer faire un saut chez Liv après ce rancard qui n'en est pas un. Enfin, Marisol se décide et raccroche aussi subtilement que possible, une petite boule au ventre se nouant dans son estomac alors qu'elle monte dans le Uber.




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Souhaitez-vous un mp d'intégration non merci babe love

@ Lizbeth Walsh

Lizbeth Walsh
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i come back stronger than a nineties trend | Marisol 2.0 89ec9efa23533e93be16418ff744a27b94872212
Age : trente-quatre ans. (20/02)
Nationality : américano-irlandaise
Origins : irlandaise, italienne.
Religion : atheist.
Status : single mom, in a relationship w/ Jasper
Orientation : bisexuelle.
Work : cheffe étoilée @ The Modern in MoMA.
Home adress : brooklyn
Communities : #cours de cuisine du samedi matin
#famille du Dawson circle
#the overkill
#the lift

Summary : Lizbeth est issue d'une famille de trois enfants, une soeur un peu plus âgé et un frère plus jeune qu'elle. La famille s'est étendue avec la fille de Lizbeth âgée de quatre ans, qu'elle a eu alors qu'elle était tout juste séparée du père de la petite. Cheffe étoilée dans le restaurant du Plaza Hotel, elle évolue dans un monde où le machisme est très présent et où elle compte bien remettre à leurs places les hommes qui pensent qu'elle n'a pas sa place dans "leur" cuisine. Très proche de sa famille elle ne supporte cependant pas réellement les crises existentielles de sa mère et la pression que ses parents mettent à son petit frère. Elle tente tant bien que mal de leur faire comprendre qu'il peut bien faire ce qu'il veut, tant qu'il est heureux, elle n'hésite pas à leur dire ce qu'elle pense. Et elle refuse catégoriquement que sa mère puisse garder sa fille de peur qu'elle ne veuille lui offrir une éducation à sa façon et Lizbeth préfère encore que son frère la garde, ou avoir recours à une nounou plutôt que de la laisser à sa mère ou même à son père.
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Lun 30 Mai - 20:28
welcome back home babe love love
marisol est trop cute, trop hâte de trouver moult liens avec toi, je te valide avec plaisir I love you

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