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(neil) there is no dark side of the moon, really. matter of fact, it's all dark.

@ Invité

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Lun 21 Nov - 19:57

QUICK AND DIRTY
Nationalité : américain
Ethnie/origines : écossais, il a d'ailleurs hérité de l'accent de son père
Orientation : bisexuel
Situation : célibataire indisponible, c'est pourtant pas faute d'essayer de se sortir de la mouise
Occupation : psychologue au lycée de Staten Island, il fait également des permanences bénévoles pour l'Innocence Project
Quartier : Staten Island

and what else ?
Qualités : avenant, charismatique, drôle, désintéressé, battant, papa poule (de son filleul), doux, à l'écoute.
Défauts : têtu, atteint d'une certaine forme de syndrome du martyr dont il a amplement conscience et sur lequel il travaille sans vraiment parvenir à s'en débarrasser, dramatique, facilement sujet aux épisodes de déprime, sujet à l'auto-dépréciation.
Passions : le hockey, s'instruire, la lecture, écrire, prendre du temps seul.
Communautés : LEA, lycée de staten island, harlem jazz jam, innocence project, dawson circle
Groupe : just small daddy issues


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
[tw : deuil, self deprication] Tout est calme dans la maison de Staten Island. Nathan est au lit depuis près d’une heure, Parker est occupée à dieu sait quoi à l’autre bout de la pièce, et Neil s’empresse de lire les dernières pages de son roman, assis précautionneusement dans le canapé. Incapable de se résoudre à voir cette maison comme la sienne malgré qu’il y ait établi ses quartiers plusieurs mois auparavant, Neil ne s’affale jamais – il se pose. Il ne se sert pas – il emprunte. Ne s’étale pas non plus et range toujours derrière lui, fait la vaisselle dès qu’il a fini de manger, passe l’aspirateur une fois par jour. Lui l’ancien bordélique s’étonne parfois lui-même de la maniaquerie qui s’est emparée de lui depuis qu’il vit sous ce toit. Et malgré qu’il ait déménagé une bonne partie de ses affaires et jeté le reste à la poubelle avec sa vie d’homme célibataire sans enfant à charge, la chambre dans laquelle il s’est installé n’a pas bougé d’un pouce et ses décorations personnelles sont toujours enfouies au fond d’un carton qui traîne dans un coin, incapable de se résoudre à l’idée que la situation est permanente. Réaliser que non, il n’est pas juste babysitter temporaire à temps plein, et qu’Eric ne passera plus jamais la porte d’entrée de cette maison est un crève-cœur, et si la partie logique de son cerveau a bel et bien reçu l’information et a conscience de la réalité, pour l’heure, le subconscient de Neil se complaît dans une forme de déni qu’il étend à sa guise au fil des jours, des semaines, des mois qui passent, et l’empêchent de réellement se poser.

Le psychologue se retrouve donc dans une position inconfortable, assis sur le bord du canapé, le dos bien loin du dossier et une jambe croisée sur l’autre - un désagrément qu’il fait de son mieux pour oublier. Il mâchonne distraitement un stylo qu’il a oublié de ranger, ou plutôt qui lui sert d’anti-stress, tâchant tant bien que mal de se concentrer sur la phrase qu’il relit en boucle depuis dix minutes, tout perdu dans ses pensées qu’il est. C’est une voix d’enfant qui le tire de sa rêverie. « Uncle Neil, I’m thirsty. » Lentement, il lève les yeux de son livre, et par-dessus ses lunettes, adresse un sourire à l’enfant dressé devant lui, l’air penaud et le visage fatigué. « Hey, baby, it’s bed time now, you need to go back to bed. », susurre-t-il en se levant. Il pose le livre sur la table basse et prend Nathan dans ses bras. Comme s’il s’agissait d’un vulgaire sac de plumes, il le porte jusqu’à l’étage. « Here, come on, let’s get you some water and go. » « But I don’t wanna go to sleep, my eyes aren’t tired. » Neil étouffe un rire attendri face aux plaintes définitivement étouffées par une fatigue intense de son filleul. Il n’imagine que trop peu ce qui peut bien se passer dans la tête de cet enfant. Aussi, il se contente de la plus pure des bienveillances. Serrant un peu plus fort le garçon contre lui, il demande : « What about your brain ? Isn’t your brain tired ? » « Maybe. » « Then we could try a magic trick. I bet you had no idea I was a wonderful magician. » Dans le creux de son cou, Neil sent son filleul secouer la tête de gauche à droite. « That’s what I thought. Well, let me show you how it works. »

Durant les vingt minutes qui suivent, Neil s’applique à rendormir Nate avec le plus grand soin. Et lorsqu’il y arrive enfin, il reste assis un moment sur le tapis de la chambre d’enfant, les genoux ramenés contre sa poitrine. Le psychologue ferme les yeux, collant son front à ses genoux et étouffe un soupir. Quelque chose ne va pas. Tout ne va pas. Rien. De bien des manières, Neil se sent aussi impuissant qu’on puisse l’être face à un gamin de sept ans en deuil de ses deux parents, parents qui lui ont accordé une confiance qu’il n'était pas certain de mériter à l’époque, pas bien plus à présent non plus. Il se sent bien incapable d’offrir une stabilité à cet enfant qui mérite bien plus que ce qu’il n’est capable de lui offrir. Partager cette tâche avec PJ n’est pas chose facile non plus. Bien sûr, ils ne sont pas inconscients : devant Nate, ils se comportent comme deux adultes qui s’entendent, font même relativement bien illusion. Mais dès qu’il ne regarde plus, c’est un silence glacial qui prend la place du duo fonctionnel qu’ils prétendent être. La rancœur de Parker, les doutes de Neil, un passif que même le plus adorable humain miniature ne puisse effacer, rien ne semble suffisant pour les ramener à un semblant de paix. A chaque jour qui passe, il se promet de lui parler. Lui avouer ce qui l’a poussé à mettre fin à leur relation, maintenant que l’eau a coulé sous les ponts, maintenant que la vie a décidé de mettre des bâtons dans les roues de son amour, maintenant qu’il pourrait ramper à ses pieds et implorer son pardon. Et puis, l’ego lui joue des tours. PJ décline toute tentative communication et plutôt que de gérer ces refus en adulte responsable, Neil s’emporte puis se mute dans le silence. Plusieurs jours passent ensuite dans un dédain uniquement canalisé par la présence de leur neveu, jusqu’à la tentative suivante du psychologue d’appliquer les leçons qu’il donne à ses patients.

Ce jour est arrivé. Bien décidé à mettre les points sur les i, pour leur santé mentale, pour la stabilité du gamin, Neil se relève et ferme délicatement la porte, puis descend jusqu’à la cuisine. Il prépare du thé tandis qu’il aligne son discours dans sa tête. Cette fois, c’est la bonne, il pense avec conviction, et une fois l’eau bouillante, il traîne deux mugs et la théière dans la pièce où se trouve Parker et demande : « Tea ? » Sans attendre sa réponse, il les sert tous les deux. Il laisse traîner quelques secondes d’un silence gênant et gêné, puis met les pieds dans le plat : « You know, PJ, we’re, we’re gonna need to communicate, at some point. » Soupir. Long soupir désespéré. D’un geste de la main, il l’intime de le laisser terminer avant de lui couper la parole : « If we wanna do this whole parenting thing right, we’re gonna have to stop whatever this (il agite une main entre elle et lui, dans un geste saccadé, précipité, un peu ridicule) is we’re doing here and figure this shit out. For Nate’s sake. » Soudain, Neil réalise que tout ce petit discours ressemble fort à des reproches et il rétropédale plus ou moins habilement : « I mean, this kid is dealing with enough instability to add ours on top of it all. Mine. Anyway, you know what I mean, I know you do. » De la même main qu’il agitait quelques secondes auparavant, il désigne l’étage. Et puisqu’il réalise son incapacité à se tenir tranquille, il décide soudainement de croiser les bras, ses deux mains bien calées sous ses bras.

this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : k-ro
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ?  viol, relations toxiques romantisées, en gros
Avatar à réserver : david tennant
Crédit avatar utilisé dans la fiche: nocreativejuiceleft
Souhaitez-vous un mp d'intégration non bb tu es mon inté ✨ love

@ Invité

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Lun 21 Nov - 20:15
jsuis pas validée mais balec, faut que je poste (neil) there is no dark side of the moon, really. matter of fact, it's all dark. 199075109



si tellement hâte d'en lire plus et en même temps je suis déjà si heureuse que Neil soit là, merci merci merci de faire d'une de mes dernières obsessions en date une réalité, I love you, ok bye (neil) there is no dark side of the moon, really. matter of fact, it's all dark. 3906856619

(rebienvenue à la maison bb (neil) there is no dark side of the moon, really. matter of fact, it's all dark. 3974363061 )

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Sam 26 Nov - 17:30
Vraiment trop mims ce personnage, Rebienvenue ici et bon courage pour la fin de la rédaction de ta fiche. (neil) there is no dark side of the moon, really. matter of fact, it's all dark. 507729297 saluut

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Dim 27 Nov - 15:10
Merci à vous deux puppy

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Sam 3 Déc - 20:42
puppy puppy
validééééé bb love

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