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8 résultats trouvés pour Gotha

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 484 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



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Tawny T.-Hirsch - Cherish

Invité
15 r ; 748 v.
Dim 13 Déc - 17:09
Tawny Saffron
Thorvaldsen-Hirsch
IDK WHAT YOU'RE TALKING ABOUT
ID CARD
{@=780}Tawny Thorvaldsen-Hirsch{/@}
17 ans - étudiante
FEAT : bailee madison
Née princesse à qui tout réussit, parce que tout lui est offert sans conditions, elle se rend compte que l’âge adulte qui approche est bien plus compliqué et difficile qu’elle l’imaginait. Habituée à tout recevoir sur un plateau, elle n’a pas vraiment l’ambition de ses aînés. Franchement, elle n’a jamais réfléchi à son avenir, se contentant de faire tout ce qui lui plaisait, sans efforts parce que papa ou maman payait. À dix-sept ans, elle se rend bien compte qu’elle a été couvée trop longtemps, mais elle reste démunie devant les obstacles et les difficultés. Elle commence à comprendre que la vie n’est pas vraiment une histoire pour les enfants modernes.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Allemande, danoise, norvégienne, mais franchement, elle croit surtout qu'elle est une fée égarée.
ꕥ orientation : elle ne s’est jamais posé la question, elle a toujours voulu épouser un prince, après tout.
ꕥ situation : attends toujours le prince charmant. et pis bon, elle a encore 17 ans quoi.
ꕥ occupation : Dernière année avant l’université. Mais bon, avec ses notes, elle n’espère pas grand chose des hautes études, au grand dam de ses parents. Côté scolarité, elle croit être la grande déception de ses parents. Ils lui reprochent beaucoup de ne pas être attentive et ses notes. Elle travaille aussi à la réception de l’entreprise de papa quelques heures par semaine, parce qu’elle est gentille et qu'elle a un joli sourire. Et elle compte bien postuler pour travailler à la galerie d’art Chasse Sauvage. Elle adore l’art de Jane Sgidaa Kaw. C’est son idole.
Quartier : Staten Island

and what else ?
Qualités : Sociable - curieuse - vaillante - sans malveillance - innocente (dans le sens de pas coupable) - créative - rêveuse - manuelle - ouverte d’esprit

Défauts : craintive - prétentieuse - naïve - anxieuse - zéro intellectuelle - désorganisée - dissipée - désinvolte - égocentrique par défaut

Passions : {#}bricolage{/#} {#}dessin{/#} {#}escrime{/#} {#}gaming{/#} {#}fantaisie{/#} {#}féérie{/#}

Communautés : {#}Gotha{/#} {#}SalsaClassByRicardoDiaz{/#} {#}CoursDeYogaAuMeowParlour{/#} {#}LycéeDeStatenIsland{/#}




that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ?
Son innocence. La vie adulte… enfin, presque adulte. Elle n’est pas du tout préparée à affronter la vie réelle. La crainte du rejet, de ne pas être à la hauteur. Ça l’angoisse beaucoup. Oh, oui, évidemment son année scolaire. Ouais, c’est pas très reluisant tout ça. surtout pour la dernière année. elle souhaite ne pas redoubler la dernière année… la honte ? Ouais, sûrement.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes).
Une certaine obsession à être aimée. Elle doit plaire, être agréable et parfaite, comme Alyson l’était. Elle n’a pas l’impression d’assurer en tant que Thorvaldsen-Hirsch. Alors elle panique un peu lorsqu’on l’ignore ou quand elle se sent délaissée. Elle risque d’être un peu excessive avec ses amis, sans doute un peu collante, parfois jalouse quand ils iront voir ailleurs, croyant qu’ils estiment qu’elle n’est pas assez bien.

Comment s’est terminé ta dernière relation ?
Quelle relation ? Elle n’en a jamais vraiment eu. Après tout, elle n’a que 17 ans. Quelques flirt avec des camarades d’école, mais rien de sérieux… certains prétendent que c’est parce que le nom Thorvaldsen-Hirsch fait peur. Elle se dit que c’est parce qu’elle n’a pas trouvé le prince charmant, mais au fond elle se dit que c’est peut-être juste parce qu’elle n’est pas assez cool.

Le dernier texto que tu as envoyé ?
« Papa, tu peux m’envoyer le chauffeur ? J’ai besoin d’aller faire des courses. Oh et ta carte de crédit aussi ! »

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ?
Un peu conflictuelle, actuellement. Ils veulent bien faire, mais de toute évidence, elle n’est pas aussi raisonnable et douée que ses aînés. Du moins c’est ce qu’elle croit, alors elle se bute souvent à leur incompréhension et à son incompréhensions envers eux. De toute évidence, ils ne se comprennent plus. Tout le monde est très occupée et elle essaie de devenir une adulte, mais ils la considèrent encore comme une gamine (avec raison) et elle estime qu’elle devrait avoir plus de responsabilités, mais ils le croient pas qu’elle soit assez mature… elle voudrait être comme alyson, mais elle ne l’est pas et ils le lui rappellent souvent… et puis avec ses notes à peine passable, ils estiment qu’elle n’est pas à la hauteur. Bon, ils ne le disent pas comme ça, mais c’est ce que retient Tawny.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ?
Elle dessine des fées, des licornes et des créatures merveilleuses. Beaucoup de bricolage et d’artisanat. Elle essaie d’apprendre la vie réelle et non le conte de fée qu’elle vivait. Elle joue à des jeux vidéo avec un petit groupe régulier. Elle pratique l’escrime à un haut niveau, parce que bon, c’est pas mal le seul sport qu’elle accepte de faire, outre les échauffements et la mise en forme pour rester au niveau et parce que papa trouve que c’est un sport noble. Elle aime aller faire du yoga au Meow Parlour et les cours de Salsa.

Un fait peu glorieux à nous raconter ?
Elle est née le 5 juin 2003. Alyson, sa grande sœur, a été assassinée le 4 juin 2019. Autant dire que son 16e anniversaire, le lendemain, a été jeté aux oubliettes. Pas mal de gosses de riches ont été hyper déçus que sa fête d’anniversaire soit annulée. Ça promettait d’être la fête du siècle. Pas mal ont trouvé ça nul que ce soit annulé. Alors Tawny a fait une petite crisette, furieuse que l'événement ait été annulé. Parce que ses amis ont critiqués, elle a piqué une crise à ses parents. Elle s'est sentie très bête après coup...




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Pseudo ou Prénom : Leeyarom / Gab
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Recherche de Jesse Palmer

Invité
0 r ; 290 v.
dans rps
Mar 22 Sep - 15:00
MES PETITES ANNONCES
coucou à tous.tes  keur
j'ouvre ce petit sujet pour quelques recherches précises. n'hésitez pas s'il y en a qui correspondent à vos personnages ! on pourra éventuellement en discuter ensemble, bref je mords pas promis  Tag gotha sur I've got 99 problems 161493249

Résumé : jesse a grandit dans une famille riche et ordinaire. il a toujours été très proche de son père qui lui a donné envie de s'investir dans leur entreprise familiale. dès son plus jeune âge, il a déjà choisi son métier ; créateur de mode, il a tout fait pour y arriver et reprendre le flambeau. il ne s'entend pas énormément avec sa mère française encore moins avec sa petite soeur, trop farfelue pour l'être simple qu'il est. il s'est toujours considéré asexuel vu son éternelle carence d'envie sexuelle. en réalité, il a ce qu'on appelle l'amnésie infantile ; plus jeune il avait subi des attouchements, un événement un brin trop traumatisant pour lui. afin de préserver son équilibre, son mécanisme avait fait en sorte de bloquer ses souvenirs. cependant, il avait fait quelques rencontres qui commencent sérieusement à titiller sa libido et créer une certaine confusion chez lui. dans la vie de tous les jours c'est un casanier qui se respecte, préférant la compagnie de livres que le genre humain. dans son travail il est un brin tyrannique. il est un peu coincé même si c'est quelqu'un de très ouvert d'esprit. { présensation }

Scénas :
none

Préliens :
le prélien de sa petite soeur verra bientôt le jour o/

Communautés :
{#}gotha{/#} {#}theoutpost{/#}

Recherches / idées de liens
tell me more:


Contacter : directement sur la fiche [x] par MP [x] discord [x]
(je n'ai pas de préférence, que ce soit par mp ou par discord voire même sur ce sujet, je répondrai le plus rapidement possible love)

Verrouiller le sujet : oui [] non [x]

Compte principal : {@=719}Jesse Palmer{/@}

Discord : (facultatif) Magma.{#}9797{/#}

none is forgiven, all is replaced, petrichor

Invité
15 r ; 714 v.
Jeu 17 Sep - 19:30
Gaeul Sin
24 ans - étudiante en droit
FEAT : Kang Seulgi (Red Vlevet)Gaeul, c'est un mélange très mal blendé des prequels Star Wars, de Mike Ross, et d'un condensé de dank memes -- dans le sens où toute sa vie se résume au fait que son père soit un génie du mal, qu'elle possède une mémoire hors du commun, et que c'est dans ses gènes de dramatiser et compliquer les choses.

Du haut de ses vingt-quatre ans, quoi qu'elle puisse plaindre, elle a mené une vie plutôt facile. Elle est née en Corée-du-Sud, Seoul, et a été élevé par sa grand-mère (d'où elle tire son sarcasme prononcé et son penchant pour l'humour noir, d'ailleurs). De ce pays, elle n'a connu que les quartiers les plus riches, que les écoles les plus réputés, que les personnes les plus estimés. Ca vient avec le nom : Sin. Ce qu’a commencé autrefois une petite raffinerie de sucre à Busan, est devenu un empire Fortune 500 aujourd'hui. Et elle en est l'unique héritière.

En bref: son père n'a jamais vraiment aimé sa mère, sa mère n'a jamais vraiment voulu voir qu'il ne voulait que sa fortune, et Gaeul n'a jamais vraiment eu le courage de s'en mêler. Sa lettre d'acceptation de candidature Pre-Law pour l'université de Columbia était l'excuse parfaite pour s'en distancer davantage.

Elle ignore ce qu’elle veut vraiment – éternellement l’indécise – mais elle sait ce qu’elle ne veut absolument pas : n’être qu’un ombre parmi les ombres. Sin, quelqu’un. Sin, quelque chose. Comme une phobie qui la hante, ou une peur qui motive chaque acte et influence chaque pensée – l’ordinaire l’épouvante, tant les expectations s’empilent sur ses épaules. Et on attend d’elle beaucoup. Tant de choses. Tant, tant de choses qu’elle en perd le souffle parfois, à l’abri des regards. Nerveuse, agitée.

Qu’elle soit une effigie exemplaire, alors, glorifiée et façonnée à la Sin mais frêle sous la surface. Son jeu, elle le cache bien ; et le cachera toujours aussi bien – fière, trop fière. Sin Gaeul. On la dit souriante, facile à vivre, drôle. Différente. Sympa, mais d’un air de sûreté qui vire un peu vers de l’arrogance, de l’arrogance qui ne sert qu’à maintenir son charme alors on le lui pardonne.

Elle ne promet jamais ce qu’elle ne pense pas pouvoir accorder. Soit un non, soit un oui, jamais un peut-être ; elle n’agit quand dans les limites de ses possibilités. Seulement, son pragmatisme échoue là où ses sentiments commencent. Les interpréter, les accepter, les digérer – que des frustrations qui s’ajoutent.

La vérité, c’est qu’elle n’est pas assez patiente.
who am I
ꕥ âge : 24 ans
ꕥ nationalité : sud-coréenne
ꕥ ethnie/origines : de père et mère coréens
ꕥ orientation : bisexuelle, confuse (men are trash amirite)
ꕥ situation : en couple, pourtant elle n'arrive pas à virer une certaine péruvienne de son cœur
ꕥ occupation : étudiante en droit, première année
ꕥ quartier : 74th street, upper east side
ꕥ qualités : drôle, pragmatique, amicale
ꕥ défauts : perfectionniste, arrogante, têtue
ꕥ passions : {#}memes{/#} {#}instagram{/#} {#}cinéma{/#}
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : {#}Les{/#} étudiants & profs de Columbia University; {#}TheLift{/#}; {#}LGBTcenter{/#}; {#}NYC{/#} Expats; {#}Gotha{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : inventé
ꕥ mp d'intégration : ui et je veux des câlins uwu

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je m'appelle Narimene, j'ai 23 ans, et je suis algérienne Tag gotha sur I've got 99 problems 1380091441 Je suis étudiante en médecine, du coup j'ai un penchant inné pour le sado-masochisme  :lyzirius: niveau rp, je suis là assez souvent (daily?) et je pense pouvoir assurer un rp/mois, tant je ne suis pas en période d'exam  slurp

petit portrait chinois
ꕥ un livre : malika mokeddem - mes hommes
ꕥ un film : last holiday
ꕥ une série : suits
ꕥ une chanson : ts - the one
ꕥ un animal :  Tag gotha sur I've got 99 problems 3323327925
ꕥ un plat/dessert : COOKIES  :lyzirius:
ꕥ une boisson : café pour survivre, thé pour le plaisir
ꕥ une célébrité : sandra oh
ꕥ un pouvoir magique : invisibilité wbk wbk

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : abus sexuel


that's my story / self diagnosis

vodka shot, amphetamine coma


Elle arrive dans cette famille très attendue – mais ils arrivent tous très attendus. Sin. Tous ceux d’avant, ceux d’avant avant ; ceux d’après, aussi, qu’en sait-elle. Ils sont tous liés de sang, tous liés d’un seul et simple nom : Sin. Traduit dieu, ou divin. L’ironie. Ils n’ont absolument rien de divin. L’empire qu’ils se plaisent tous à gouverner n’est pas le leur. Ni leur réputation d'ailleurs, même pas leurs vies. Tout ce qu’ils possèdent, Gaeul incluse, leur a été servi sur une cuillère en or. A quoi bon se tenir si crânes, s’ils n’en méritent rien ?

« Tu es l’héritière Sin. »
Une inhalation agacée. « M’ouais. Je n’ai jamais rien demandé, mais ok. »

C’est un titre qui la dérange, Gaeul. Elle a du mal à se valoriser en tant que personne quand on lui rappelle sans cesse que tout ce qu’elle possède, toutes les opportunités, toutes ses réussites, elle les doit à son grand-père. Et puis elle, elle ne veut pas faire perdurer le rêve d’un autre, elle veut plutôt réaliser le sien. Elle n’en veut rien, de cet héritage. Et c’est quand qu’ils l’ont perdu, le sens de l’ambition, dans cette famille ? Bon sang, quand ont-ils commencé à croire qu’ils étaient entitled à quoi que ce soit d’autre que leurs propres triomphes ?

« Tu m’écoutes ? »
« Mm.. non, » répond-t-elle, sourire aux lèvres. Elle se redresse un peu, croise les jambes pour y poser son livre. Elle tourne la page, inscrit chaque mot dans sa mémoire.

« C’est quand que tu es devenue aussi insolente ? »
L’aînée réprimande, ôtant enfin le regard de la télé en face. Elle n’a pas l’air irritée, plutôt taquine. « Je dis juste que tu n’as pas besoin de lire un guide pratique pour chirurgie parodontale, tu ne vas pas devenir dentiste. Après tout, son ton se morphe en une imitation du père de Gaeul, tu es déjà l’héritière Sin ! »

« Haha, très drôle Ma’, » Gaeul lui donne la satisfaction de la voir lever la tête, rouler les yeux, puis reprendre sa lecture. Elle sait, mieux que tout le monde, à quel point elle déteste ce titre. « Et c’est pour un parie que j’ai fait avec un étudiant en chir-dent, le livre. » Elle lui a dit qu’elle apprendrait le livre par cœur et il a cru qu’elle bluffait.

Un rire échappe à la grand-mère. « Et c’est quand que tu comptes dire à tes parents, pour ton ‘don’ ? »

Un petit hum, puis, « sûrement jamais ? » Satisfaite de son progrès, Gaeul ferme son livre et le pose sur le chevet à côté du lit. Elle se tourne pour s’allonger, sa tête sur les hanches de sa parente. « Dis. T’as toujours voulu travailler dans ce business ? Tu n’as jamais eu envie de… faire autre chose ? »

« Et bien, pour être honnête, si, je voulais devenir vétérinaire, à ton âge. » Amusée de voir les sourcils de sa petite fille se froncer tantôt ces paroles dites, elle ramène une main contre sa joue, caresses qu’elle espère consoler. « Je comprends que ça t’effraye. J’ai déjà été à ta place. On a tous eu nos moments de doute, tout comme toi. » Raffermit-elle, patiente. « Tu dois juste… garder en tête que c’est toi qui définies l’extraordinaire. Et quoi qu’il puisse arriver, tu n’es pas seule. C’est aussi ça, d’avoir une famille aussi grande que la nôtre. Cet héritage n’est pas une punition. »

Gaeul grogne son désaccord. « Si je finis coincée dans un bureau, si, ça m’a tout l’air d’une punition. »

« On peut faire de merveilleuse choses, depuis un bureau. Crois-moi. » Une pause. « Et tu peux toujours faire autre chose. Tu dois juste trouver comment le faire sans fuir ton devoir. »

Ton devoir. La jeune fille résiste à l’envie d’en rire un bon coup. « Et tu penses que je suis dramatique. » Sa grand-mère roule les yeux, mais n’en dit rien de plus. C’est pas du genre de Gaeul, d’éviter les responsabilités. Elle se plaint, mais elle compte pas les laisser tomber ceux qui comptent sur elle.

Elle ferme les paupières, plus trop partante pour en parler.

Tu es l’héritière Sin, comme beaucoup l’ont été autrefois.
Ordinaire.



vodka shot, amphetamine coma
the fear that you've lived an ordinary life, koinophobia



Il y a deux, trois dossiers qui traînent sur son bureau. Elle les regarde avec une grimace qu’elle n’arrive pas à s’ôter du visage depuis qu’Alessa l’a quitté.

Son professeur lui a personnellement demandé d’étudier ces cas, d’essayer de trouver une loophole quelque part dans les termes décrits dans ces papiers pour rompre le contrat. À ce qu’il parait c’est une tradition : chaque année il se permet de choisir un élève en première qui lui tape à l’œil, auquel il offre la chance d’assister à un vrai procès en le faisant participer à une de ses affaires en cours. De l’expérience gratuite, ça se chérit. Et si même sa grand-mère  (qui insiste à l’appeler sur Skype au moins une fois par semaine quand elle est à Seoul, et qu’elle ne se sent pas capable d’endurer des heures en avion) trouve ça cool, c’est que ça l’est – puis même si ça ne l’est pas, elle est juste contente d’avoir été ‘élue’ parmi quelques milliers d’élèves.

(L’ego Sin.)

Et elle sera encore plus contente une fois avoir trouvé ce putain de trou, pour enfin passer à autre chose.
Mais ça n’avance pas.

Un grognement, puis un grincement lorsqu’elle tire un tiroir de son bureau pour en extraire un autre dossier, le logo du Groupe Sin inscrit dessus d’un doré brillant cette fois-ci. Elle n’avance pas avec le contrat du professeur parce qu’elle a l’esprit ailleurs. Gaeul quitte sa chaise, yeux rivés sur ces pages alors qu’elle se pose au sol. « Tu peux fermer la porte à clé, s’teuplé ? »

Iseul* la regarde d’où elle est vautrée, amusée par la grimace que son amie fait quand concentrée. « Sure. » Elle délaisse son livre quelque part sur le lit, un bâillement qui lui échappe tandis qu’elle s’exécute. Elles sont dans la chambre de Gaeul, chacune occupée à faire ses propres devoirs. Quand elle se retourne, elle ne revient pas à sa place mais va plutôt se poser à côté de son hôte. « T’es toujours sur les dossiers du professeur Park ? »

Gaeul secoue la tête, complètement perdue dans les chiffres qu’elle lit. « C’est un rapport. ‘Vient de la branche que mon père administre à NY. On me l’a envoyé ce matin. Had it on my mind all day. »

« Why ? What's up with it ? »

L’héritière ne répond pas immédiatement. Elle tourne une page encore, fronce les sourcils lorsqu’elle lit une ligne de plus qui la déplait. Elle ne relève la tête que quelques secondes plus tard, ses yeux durs. « Well... j’avais vu des papiers dans son bureau, l’autre jour qui m’ont suggéré qu’il vole de l’argent de nos comptes bancaires. »

Iseul rattrape le dossier qu’elle lui lance. « Et ? No offense, but it’s not stealing if it’s his own money. »

« C’est de l’argent destiné aux charités. » Et encore, ce n’était pas tant l’argent qui manque qui la dérange, mais l’acte en lui-même. C’est la pire chose qui soit, être déloyal, surtout si c’est contre sa propre famille. Ses pensées vont à cent à l’heure, l’envie de le dénoncer à sa mère s’impose, mais elle n’a jamais été assez courageuse pour lui parler de ce qui regarde son père. Gaeul voit déjà un plan B s’esquisser devant ses yeux. « Je vais remonter le fil. Trouver combien il a volé, et où il le met, l’argent. I’m gonna make him pay us back every Won, every penny he ever took. »

« Laisse ta mère s’en charger ? »

Gaeul secoue la tête, main contre sa nuque tandis qu’elle réfléchit. « Elle va rien faire. Au mieux, elle va demander un divorce et le laisser prendre encore plus d’argent on top of what he took. She loves him. » C’est beaucoup plus réel – plus tangible – maintenant qu’elle a une preuve que quelque chose cloche.

Iseul n’a pas l’air convaincue. « And you don’t ? C’est ton père, Eul-ah. »

Il y a tant à dire là-dessus, mais elle a la flemme d’expliquer à quel point leur famille est fucked up. Shortcut : « Il ne l’a jamais vraiment été. Pas avant, et il ne va pas commencer à l’être maintenant. » Il y a de la rancœur dans son ton, un you should’ve been there, dad implicite qu’elle refuse de se l’admettre.

Et elle se demande – brièvement, parce qu’en fait elle s’en fout un peu, de toute la mauvaise foi que ça implique – si elle n’est pas heureuse d’avoir enfin trouvé l’occasion de se mettre en face de son père sur l’échiquier.

C’est à ce moment précis que papa devient l’ennemi.


vodka shot, amphetamine coma
the fear that you've lived an ordinary life, koinophobia
you are not made of steel


Pile cinquante secondes après sa naissance, le cœur de sa mère s’est arrêté de battre. L’arrêt cardiaque, inusuel pour une personne de son âge, a été causé par une hémorragie importante pendant l’accouchement – elle y a survécu, mais de peu. Elle n'a plus jamais été la même personne après. ○ On l’a nommée Gaeul car son arrière-grand-mère est décédée au même jour où elle est venue au monde – c’est son prénom. ○ Contrairement aux autres familles de leur rang, la famille Sin refuse le stratagème de ‘gendre adopté’ pour faire perdurer sa lignée. Il est donc fréquent, chez eux, si besoin, que les enfants prennent le nom de famille de leurs mères pour honorer leurs ancêtres – un peu comme dans le cas de Gaeul. ○ Sin. Patronyme maternel que la fille unique porte pour honorer les traditions et faire persister la descendance. Un fardeau d’excellence et de prétention qui s’étale à travers les décennies, et qu’elle ne se hâte pas de porter. Sin. Son père aime le prononcer, ce nom, aime son poids sur ses lèvres même s’il n’est pas le sien. Lourd, puissant. Il aime s’appuyer sur le ‘s’ et redresser ses épaules quand il le dit, quand il remarque qu’il est l’époux de l’héritière d’un des plus grands groupes financiers de l’histoire de la Corée. Sin, Gaeul. Même son prénom n’a pas été choisi au hasard – on l’appelle Gaeul, comme on a appelé son arrière-grand-mère avant elle. Traduit automne : le symbole de déclin et de décadence qu’elle n’est pas. ○ Elle a grandi témoin de l’élitisme de sa matriarche. De sa façon d’être à la maison comme au travail, de sa façon d’être dans le détail comme dans le gros, le tout. Distante. Froide. ○ Elle a grandi gâtée par sa grand-mère – aimée si fort que l’absence de son père (autant celui de sa mère) dans sa vie ne se faisait même plus remarquer. ○ Elle n’a percuté son don pour la remémoration qu’à l’âge de sept ans : elle avait lu un livre d’histoire qui traînait dans la chambre de sa mère, deux ans plus tôt, mais elle arrivait toujours à se rappeler de chaque mot. ○ Elle n’en a parlé qu’à sa grand-mère, et personne d’autre. ○ Comme chaque membre de la famille Sin qui se respecte, Gaeul parle principalement quatre langues : Coréen, Japonais, Chinois et Anglais. ○ Elle a choisi des études en droit pour plus d’une raison – déjà pour mieux protéger et diriger l’entreprise qui l’attend, ensuite for the thrill. Déjouer les règles, frôler les limites sans jamais se faire choper. Tout un art. ○ Elle est de ces rêveurs qui veulent changer le monde sans trop savoir comment s’y prendre. Il y a tant à faire, mais nulle part où commencer. ○




this session is gonna be different
twen/nari ꕥ 23 ans
fréquence de rp : 1-2/30j. ϟ fréquence de connexion : 7/7j. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 600-1200. ϟ avatar à réserver : kang seulgi. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : bleu ϟ comment avez-vous connu 99 ? {@=700}leah barghava{/@}. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je pense qu'on doit tous écouter le nouvel album de taylor swift et manger un donut.
tumblr (gif) solsken (avatar)

hey you,rotting in an alcoholic empty shell

Invité
16 r ; 410 v.
Mer 9 Sep - 12:42
jesse matthew palmer
27 ans - créateur de mode
FEAT : maverick mcconnell

tw : attouchement sexuels lors qu'il était enfant

jesse a grandit dans une famille riche et ordinaire. il a toujours été très proche de son père qui lui a donné envie de s'investir dans leur entreprise familiale. dès son plus jeune âge, il a déjà choisi son métier ; créateur de mode, il a tout fait pour y arriver et reprendre le flambeau. il ne s'entend pas énormément avec sa mère française encore moins avec sa petite soeur, trop farfelue pour l'être simple qu'il est. il s'est toujours considéré asexuel vu son éternelle carence d'envie sexuelle. en réalité, il a ce qu'on appelle l'amnésie infantile ; plus jeune il avait subi des attouchements, un événement un brin trop traumatisant pour lui. afin de préserver son équilibre, son mécanisme avait fait en sorte de bloquer ses souvenirs. cependant, il avait fait quelques rencontres qui commencent sérieusement à titiller sa libido et créer une certaine confusion chez lui. dans la vie de tous les jours c'est un casanier qui se respecte, préférant la compagnie de livres que le genre humain. dans son travail il est un brin tyrannique. il est un peu coincé même si c'est quelqu'un de très ouvert d'esprit.
who am I
ꕥ âge : 27 années de rire, de larmes, de déception mais aussi d’une vie que tu construis soigneusement comme tu l’entends, bâtissant ses murs avec des décisions souhaitées.
ꕥ nationalité : franco-américaine.
ꕥ ethnie/origines : tu portes fièrement des origines françaises, celles qui t’influencent actuellement dans la manipulation de ton art.
ꕥ orientation :  les courbes féminines et masculines ne t’intéressaient pas du moins, c’est ce que tu répétais, toujours occupé à faire autre chose que te plonger dans des interrogations liées à ton orientation. depuis quelques temps, des preuves de ton homosexualité commencent à pointer le bout de leur nez et pourtant, tu évites toujours et encore l’auto-acception.
ꕥ situation : un éternel célibataire, animé par le besoin de solitude ainsi que toute carence d'envie charnelle.
ꕥ occupation : tu es le manieur des couleurs et des tissus, le créateur d’oeuvres griffonnées sur un bout de papier avant de prendre une forme réelle. tes tenues sont admirées, jalousées, exacerbées et tu aimes solliciter autant de mystère chez le commun des mortels, communément, tu es ce qu’on appelle un créateur de mode, le dernier de sa lignée, l’empereur d’un empire.
ꕥ quartier : un appartement luxueux qui se trouve dans le 74th street, upper east side
ꕥ qualités : calme, rigoureux, observateur.
ꕥ défauts : coincé, pudique, intransigeant.
ꕥ passions :  tu fumes et tu ne sors jamais sans un paquet de plus. tu es un adepte du vin rouge au prix exorbitant. tu lis beaucoup, spécialement des livres de psychologie ou de littérature moderne. tu es un cinéphile invétéré. tu as adopté le chien le plus absurde de l’univers, tu l’as baptisé chuck norris.
ꕥ groupe : i need help
ꕥ communautés : {#}gotha{/#} {#}theoutpost{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : non, personnage inventé.
ꕥ mp d'intégration : oui si c'est possible s'il vous plait !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : alors alors, je m'appelle eya, dans la vie je suis chanteuse professionnelle. j'ai fait de la psychologie et j'ai mon diplôme dans la prise de vue, cinéma. d'ailleurs, le cinéma et la musique ce sont sûrement les deux trucs que j'adore plus que tout au monde  love  je peux pas passer une seule journée sans écouter de la musique. mes goûts sont variés mais je suis plutôt metalleuse, j'aime aussi le vieux rock, le trip hop, l'ambiant, la musique électronique ou industrielle ♥, mon idole depuis toujours est floor jansen. quant au cinéma, je suis une puriste, j'adore l'expressionnisme allemand et les vieux films en n/b  excited  sinon j'adore rp aussi, le graphisme, le codage (j'adore me prendre la tète avec mes petits codes chéris ♥) j'aime inventer des crasses pour mes personnages, le drama c'est la vie  Tag gotha sur I've got 99 problems 2153884322 je suis un peu lunatique en ce qui concerne mes réponses ; parfois je suis ultra rapide et souvent le syndrome de la page blanche s'invite et me pourri le quotidien  Tag gotha sur I've got 99 problems 245165265

petit portrait chinois
ꕥ un livre : introduction à la psychanalyse
ꕥ un film : salo ou les 120 jours de sodom
ꕥ une série : six feet under
ꕥ une chanson : fragile dream d'anathema
ꕥ un animal : un chien
ꕥ un plat/dessert : des huîtres
ꕥ une boisson : vin rouge
ꕥ une célébrité : charles darwin
ꕥ un pouvoir magique : l'invisibilité

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : franchement j'ai très peu d'aversion sur les forums. j'aime juste pas tout ce qui est cringe et les scènes de viol.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...
“C’est très bien Jesse.” Une légère tape sur l’épaule en guise d'encouragement éphémère et sa silhouette disparaît comme un spectre, comme si tu venais d’avoir une hallucination. Comme si elle n’a jamais été là. Elle, ta mère. Une femme forgée dans le respect des apparences, dans la froideur absolue. Malgré ton jeune âge, tu sais par avance ce qu’elle s’apprête à faire. Elle va sûrement appeler ses amis pour les inviter à prendre le thé ou contacter une agence de voyage afin de choisir sa prochaine destination ou donner des ordres aux servantes. Les choix sont multiples et les hypothèses sont infinies. C’est simple, ta mère, tu la connais si bien après l’avoir côtoyé pendant quinze ans. Les bulletins de notes que tu ramènes à la maison ne lui font ni chaud ni froid. Si tu n’étais pas aussi brillant que tu l’es déjà, tu es certain qu’elle ne réagira pas non plus. Ta mère est la rigidité incarnée et tu as sûrement hérité ce trait de caractère. Cependant, ton père compense avec le manque flagrant de tendresse de ta génitrice à ton égard. Ton père est un homme riche, sûrement encore plus riche que son épouse. Et malgré son emploi du temps chargé, il trouve toujours un moment à te consacrer, à te conseiller un livre ou t’emmener pêcher. Tu es son fils et il te le montre par tous les moyens. C’est pour cette raison que tu as attendu le soir pour lui montrer ton bulletin. Tu sais par avance qu’il en sera heureux, qu’il ne se contentera pas de taper gentiment ton épaule, non, ton père te prendra dans ses bras, te félicitera et te proposera une sortie pour célébrer ta réussite. Tu sais aussi que ta petite soeur ne se joindra pas à vous. Elle est particulière cette soeur. Elle est un phénomène que tu ne comprends pas, que tu ne saisis pas. Malgré tes efforts, tu n’arrives pas à percer sa coquille forgée dans une musique à laquelle tu n’adhères aucunement et un cercle d’amis que tu considères comme nuisible pour son évolution. Malheureusement vos rapports ont toujours été neutres. Tu aimes ta soeur. Le même sang coule dans vos veines. Vos rapports s’arrêtent là. T’aurais aimé en savoir plus sur elle mais à chaque fois, elle impose une muraille de mutisme entre vous. Tu as fini par laisser tomber et te contenter de ton seul allié dans cette grande maison ; ton père. Avec lui, tu partages beaucoup de points comme votre amour pour les affaires ou le dessin. Et cette passion commune ne change pas au fil des années au contraire, elle s’est renforcée avec le choix d’études que tu as fait.

“Jesse, tu n’es pas sérieux ?” Si, tu l’es et tu le montres en regardant fixement ton ami. Il est hébété, tu peux le comprendre rien qu’avec son expression ahurie comme s’il était proie à une hallucination désagréable. Mais il a raison d’être aussi choqué. Ce n’est pas habituel qu’un homme, normalement constitué, refuse l’invitation d’une jeune femme. Non, rectification, d’une très belle jeune femme désirée par tous. Si, bien sûr, tu sais à quel point Emy est belle et intelligente, tu n’es pas bête cependant, elle ne t’attire pas. A vrai dire, aucune femme ne t’attire et aucun homme ne trouve grâce à tes yeux non plus. Tu es bien trop occupé pour sortir boire un verre, l’université occupe tout ton temps. C’est ce que tu dis à tous tes amis afin d’éviter des interrogatoires inutiles. La vérité est autre et tu ne l’assumes pas encore. Toi, Jesse, tu es démuni d’envie sexuelle. Tu ignores si c’est une pathologie ou un problème psychologique du moins, les psy et neurologues que tu as consulté, ont affirmé une information capitale ; Tu ne souffres d’aucune maladie génétique. Tu as ainsi déduit, que si tu n’éprouves pas d’appétit, c’est que tu n’en as pas envie, ni plus ni moins. Tu vis avec cette révélation depuis plusieurs années à présent. Tu ne te touches pas comme les jeunes hommes de ton âge. Tu ne dragues pas non plus. Tu préfères passer ton temps libre à la bibliothèque de Columbia ou bien devant ton ordinateur à travailler sur ton dossier de dessin. Tes rêves, tu les connais et tu comptes les réaliser. Tes arrières grands-parents ont construit un empire dans le domaine de la mode. Ton père a contribué à sa façon mais toi, tu ne veux pas te contenter d’attribuer, toi, tu veux carrément reprendre le flambeau. Tu veux être le nouveau dirigeant de la marque à New York et tu travailles avec acharnement pour le devenir.

“Ecoutes, tu n’es pas faite pour cette entreprise alors ressaisis-toi. Tes larmes ne changeront rien.” Tu es conscient de l’impact de tes mots car au lieu de calmer cette jeune demoiselle, elle se redresse rapidement pour sortir de ton bureau. Tu soupires en posant ton regard sur sa fiche. Tu la froisses entre tes doigts ornés de bagues avant de la balancer dans la poubelle. Tu n’es pas très délicat lorsqu’il s’agit de ton travail. Tu ne vas pas par quatre chemins par courtoisie sociale. Tu t’en fous de blesser parce que selon toi, ces jeunes mannequins doivent connaître la sévérité du milieu de la mode. Tu évolues dans cette entreprise depuis plus de trois ans et malgré cette courte période, tu as su imposer ta façon de voir les choses. On te respecte, on te craint grâce à ton sérieux probablement maladif. La marque n’a pas besoin de publicité pour briller mais elle n’a pas non plus besoin d’une mauvaise réputation vu la rudesse de la compétition. C’est un fait que tu gardes toujours en tête et qui, par la même occasion, alimente ton perfectionnisme. Concrètement, en dehors de ton statut de créateur de mode, rien n’a réellement changé dans ta vie. Tu ne t’entends toujours pas avec ta soeur. Ton père et ta mère ont préféré retourner en France après le décès de ta grand-mère. C’est une décision que tu as approuvé à moitié car tu as besoin de lui, ton père. Il a été là dans les moments les plus importants de ta vie. Lors de ta remise de diplôme à Yale, ton master à Columbia et même lors de ta première cuite. C’est lui qui t’a mis sous la douche et c’est lui qui t’a préparé un café non sans faire preuve de moquerie. Tu es conscient que malgré son absence physique, votre relation restera forte d’ailleurs, tu déposes ton stylo pour composer son numéro, là, tu vois sur un bout de papier un ensemble de chiffres. Tu grimaces. Tu sais qui l’a mis sur ton bureau et tu ne témoignes pas l’envie de l’utiliser. Il appartient à une jeune femme, une nouvelle recrue. Tu sais que tu n’es pas dégueulasse à voir et tu es sujet à des dragues seulement, cela ne t’intéresse pas. Ca a toujours été le cas et tu ne voudrais pas changer ça non plus. Ta vie, tu l’aimes comme elle est et tu n’as pas besoin d’une femme pour l’égayer ou pour lui donner un sens. Le sens, tu le connais par avance puisque tu es de ceux qui ne s’imposent pas de barrières, ceux qui ne prennent pas de résolutions car c’est futile et bien trop optimiste pour le réaliste que tu es.



this session is gonna be different
magma., eya ꕥ majeure et vaccinée
fréquence de rp : une réponse toutes les semaines / deux semaines max ϟ fréquence de connexion : tous les jours excepté les week end ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? pas moins de 600 mots, je peux faire plus de 2000 parfois. ϟ avatar à réserver : maverick mcconnell ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ma couleur préférée, vert  Tag gotha sur I've got 99 problems 229028416  ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur prd, je l'a ensuite proposé à cactus (dante o/) et voilà  keur  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? du love sur vous !
tumblr (gif) hoodwink (avatar)

first, let's kill all the tailors (owen)

Invité
19 r ; 366 v.
Sam 8 Aoû - 17:47
owen gallagher
28 ans - avocat
FEAT : Taron Egerton Ton père a toujours voulu que tu sois grand et fort, que tu te montres infaillible et distant, froid presque. Parce que faire part de ses émotions, c’est pour les filles ou pour les faibles. Tu n’as toutefois jamais vraiment été ce que ton père attendait de toi. Parce que tu es doux, parce que tu te soucis des autres, parce que tu n’as pas peur de ce que tu ressens et tu penses même que c’est ce qui fait de toi une meilleure personne. Ou, tout du moins, quelqu’un d’équilibrer, parce que tu n’as jamais vraiment eu de problèmes à gérer ces émotions. Ou, enfin, tu n’as jamais vraiment eu de problèmes tout court. Jeune, riche, blanc, avec un chemin tout tracé devant lui, la vie n’a pas été bien difficile. Cependant, tu n’as rien d’arrogant sauf un humour parfois un peu limite parce que tu ne saisis pas tout à fait l’impact que peuvent avoir tes paroles. Tu es humble, attaché à tes valeurs de justice (notamment sociale) et ce besoin que tu as d’aider ceux qui en ressentent le besoin. Tu es agréable, un peu taquin, un bon vivant avec le coeur sur la main. Naturellement romantique, rien n’est trop beau pour celle qui fait battre ton coeur.
who am I
ꕥ âge : 28 ans
ꕥ nationalité : Américaine
ꕥ ethnie/origines : Américaine
ꕥ orientation : Hétérosexuel et (trop) romantique
ꕥ situation : Fiancé
ꕥ occupation : Avocat en droit de la famille
ꕥ quartier : Oak Complex
ꕥ qualités : attentionné, responsable, juste
ꕥ défauts : orgeuilleux, têtu, compétitif
ꕥ passions : netflix and chill et jdr
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : Le Park Avenue Plaza, {#}Gotha{/#}, La New York City Bar Association, {#}Les{/#} habitants du Oak Complex (comme il vit avec Hope)
ꕥ scénario/pré-lien : ici
ꕥ parrain : non

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Du coup, rien a vraiment changé depuis la dernière fois alors la présentation est un peu la même oups. Alors, alors, j'ai vingt-quatre ans, j'ai arrêté les études depuis quelques années et je travaille désormais à ce qui est un peu l'équivalent du SAMU, mais au Québec (je prend les appels d'urgence médicale et je fais de la gestion d'ambulance, voilà). J'rp depuis bientôt quinze ans et j'ai vogué sur des forums de tous les styles. J'ai un rythme vraiment variable, allant de plusieurs réponses par jour à 2-3 réponses par semaine mais ça va, je devrais tenir quelque chose de régulier. Sinon, quant aux nombres de mots, à l'époque je faisais deux lignes puis je suis passée aux 3000 mots avant de me dire pendant des années que je pouvais pas faire moins de 1000 mots. Maintenant, je me prends plus la tête, j'écris comme ça vient, alors parfois c'est 400 mots et d'autres fois c'est 1500, du coup, je sais jamais d'avance, oups. Mais promis, à chaque fois je me dis "cette fois-ci je fais court". C'est juste jamais très concluant.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : I was told there'd be cake
ꕥ un film : The devil wears Prada
ꕥ une série : A series of unfortunate events
ꕥ une chanson : She used to be mine
ꕥ un animal : jsp un golden retriever (Hope)
ꕥ un plat/dessert : Tarte au citron
ꕥ une boisson : Sex on the beach
ꕥ une célébrité : Je sais vraiment pas
ꕥ un pouvoir magique : Le pouvoir le plus annoying vous pouvez penser.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : Je suis assez à l'aise avec tout et rien me vient à l'esprit donc, si jamais, il y a peut-être possibilité que j'exprime un malaise mais, sinon, ça devrait aller !

that's my first rp
La grande demande faite depuis quelques temps déjà, il ne vous restait plus qu’à préparer le jour J, à savoir celui où cette jolie demoiselle que tu observais distraitement allait devenir ta femme. Tu étais supposé évaluer les différents choix de bouquets et de centres de table qui se trouvaient devant toi, toutefois, bien évidemment que tu ne pouvais pas te lasser de regarder celle qui faisait battre ton coeur depuis toutes ces années. Tu penses pouvoir affirmer être tombé sous son charme dès le premier jour et rien n’a jamais changé depuis. Ou, tout du moins, rien n’a changé de ton côté. Du sien ? Tu ne penses pas. T’espères que non. Ce qui est difficile à évaluer compte tenu qu’elle te semble plus distante. Qu’elle semble être plus loin, ailleurs.

Quelque part où tu n’es pas.

Tu secoues la tête pour chasser ces pensées insidieuses de ton esprit, étirant un sourire avant de finalement prendre la parole. - Ces fleurs-là, tu en penses quoi ? Ton regard était revenu vers l’un des bouquets. - C’est chic et discret. Contrairement à ce que semblait vouloir ta mère, tu ne voulais rien de grandiose. Oh, tu voulais un gros mariage, une belle cérémonie, tout dans les traditions, mais tu n’avais pas non plus besoin que ce soit extravagant et Hope non plus. Du moins, de ce que tu pensais. Il y a peu, tu aurais dit en être convaincu, mais quelque chose semblait t’échapper. Un mauvais pressentiment. Le premier depuis toutes ces années. - Il va aussi falloir finaliser la liste des invités. Et donc, du même coup, jongler avec le problème qu’était le divorce de ses parents ou simplement la présence de ton père parfois difficile à supporter. Aussi assuré pouvais-tu être au quotidien, confiant en toi-même et en tes compétences, tu t’écrasais toujours autant face à l’homme qui ne manquait pas une occasion de te rappeler à quel point il était déçu du domaine pour lequel tu avais opté. Le droit familial ? Et puis quoi encore ? Ça ne rapportait définitivement pas assez d’argent, encore moins sur le dos de quelques victimes cherchant désespérément de l’aide.

- On invite ta belle famille ? Question sans arrière pensée, tu n’as rien contre cette dernière. Tu ne sais juste pas si Hope a envie de les avoir au mariage. Tout comme tu te doutes du drame que cela pourrait faire si elle n’était pas invitée. Tu l’avais demandé en mariage parce que tu l’aimais et que tu voulais vieillir heureux à ses côtés, cependant, tu en es rapidement arrivé à la constatation qu’il y a beaucoup plus de diplomatie demandée que ce que tu avais cru aux premiers abords. Parce que, bien évidemment, pour tous ces gens, ce n’est pas que le plus beau jour de votre vie, à Hope et toi et, cherchant à plaire à tous, te voilà désormais à tenter de satisfaire les petites demandes et spécificités de tous et chacun. Comme si c’était pas suffisant qu’ils laissent les vieilles querelles de côté pour une journée. Une seule. Votre journée.

this session is gonna be different
welzy ꕥ vingt-quatre ans
fréquence de rp : 2-3 reps par semaine ϟ fréquence de connexion : 2-3 fois par semaine ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 500-800 mots ϟ avatar à réserver : Taron Egerton ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ϟ comment avez-vous connu 99 ? par une amie à moi ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'aimais beaucoup trop le concept pour ne pas revenir
tumblr (gif) Lempika. (avatar)

Seas would rise when I gave the word.

Invité
14 r ; 313 v.
Sam 28 Mar - 23:53
Athénaïs Turner
21 y.o - Etudiante & Sportive de Haut Niveau.
FEAT : Taylor M. Hill Demoiselle de la Cour New Yorkaise, élevée dans un Royaume gouverné par l’arrogance et les apparences, la vie d’Athénaïs est un idylle de luxe et de grâce. Comme tous les bambins devant qui l’on courbe l’échine, Athénaïs n’a jamais souffert du manque, tant gâtée en monnaie trébuchante qu’elle le fut en éloges exagérées. Persuadés qu’elle valait sans doute plus que les autres, les parents Turner destinèrent leur fille à l’élégance du ballet aquatique ; aussi le prétendent-ils. Elle serait couverte de gloire, projetée non plus sous les lumières éclatantes des lustres en cristal, mais aussi sous celles des plus grands photographes et le feu des projecteurs. Ce serait un modèle d’intellect, de manières, de persévérance. L’espoir d’un triomphe qui ne doit jamais faner. Mais derrière ce masque de volupté  qu’ils arborent se dissimule l’étroitesse, l’ignorance. Famille aux idées arrêtées, à l’esprit étriqué, les Turner perçoivent en leur dynastie seulement le Prince et la Princesse d’un autre temps.  Le monde qu’ils perçoivent ne semble pas correspondre à celui qui évolue, et ça, Athénaïs l’a bien compris. Elle veut voir, elle veut découvrir ce qui se cache sous les draps de satin et de velours, échapper à ce quotidien trop faux pour goûter au divertissement. Aussi, pour rompre avec l’existence lassante qu’on lui a imposé, la jeune femme se complaît à subtiliser dans les poches pleines de ses géniteurs afin de s’aventurer à l’extérieur, et de s’offrir, surtout, des cours de boxe pour lesquels elle éprouve un plus grand intérêt qu’elle ne l’avait imaginé. Déterminée, mais eu crédible sous ses airs délicats et cette attitude précieuse, elle se confronte à l’univers précaire sur lesquels elle porte encore de nombreux préjugés.
who am I
ꕥ âge :  21 ans, c’était un 31 octobre ; selon son frère, il ne fut pas hasardeux qu’elle naisse le même jour où l’on célèbre les monstres.
ꕥ orientation sexuelle :  Bien qu’aucun quidam ne trouva encore grâce à ses mirettes, l’orgueil masculin n’a eu cesse de lui décrocher quelques sourires.
ꕥ situation : Le cœur vierge d’amour, sans la moindre égratignure.
ꕥ occupation :  Officiellement inscrite en études d’art ; d’avantage dévouée à la pratique de la natation synchronisée à haut niveau ; officieusement boxeuse fébrile.
ꕥ quartier :  Les rues vibrantes et frivoles de Manhattan.
ꕥ qualités : Vive – Passionnée – Cultivée – Rusée – Perfectionniste – Minutieuse – Ambitieuse - Charmante.
ꕥ défauts :  Vaniteuse -  Orgueilleuse – Vénéneuse – Roublarde – Râleuse – Querelleuse – Susceptible – Capricieuse.
ꕥ passions : Le sport – L’élément aquatique – Les bouquins et la belle prose – La mythologie - L’art et le raffinement – L’air décousu d’autrui devant ses sarcasmes et ses impertinences. – Les dessins-animés et la Nintendo Switch, enfin, secrètement. Evidemment.
ꕥ communautés :Destinée à appartenir aux  élitistes du {#}Gotha{/#}
ꕥ groupe : Just Small Daddy Issues.
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? (fortement recommandé pour les nouveaux membres   )
all about my player
ꕥ petite présentation perso : RPgiste flemmarde depuis la nuit de temps, j’ai longtemps déserté les forums à cause de mes études de langues&cultures étrangères qui m’ont transportée jusqu’en Italie où je vis aujourd’hui afin de veiller à ce que personne ne coupe ses spaghetti ou n’ajoute de la crème dans ses carbonara. Grande passionnée de l’univers de l’océan et des pirates, je suis donc tout naturellement une éternelle adepte des blagues et des jeux de mots qui tombent à l’eau. Si je devais résumer ma vie avec vous aujourd’hui, je dirais que je ne qu’am … sarcasme, mais je ne suis pas méchante. cute Mes amours quotidiens sont le sport, l’art et l’animation, la pop culture et envoyer des memes. Du coup j'espère dérouiller un peu la plume parmi vous qui semblez déjà dégoulinants de bienveillance.  keur

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : La trilogie des Aventuriers de la Mer de Hobb, notre Déesse parmi les Déesses.
ꕥ un film : La série des quatre Pirates des Caraïbes ( quoi ? Quel 5 ?  hehokoi )
ꕥ une série : I was Sherlocked and sent to the Bad Good Place.
ꕥ une chanson : Sous l’Océan, de la Petite Sirène. Ne me remerciez pas de vous l’avoir mis en tête, c’est pour moi, c’est gratuit. :moustache :
ꕥ un animal : Un chat, parce que mon grand délire dans la vie, c’est de faire des choses qui n’ont aucun sens mais toujours avec cette certaine dignité dans le regard.
ꕥ un plat/dessert : La pizza margherita ou funghi, la vraie, la pure, l’unique. Ne parlez pas d’ananas ou de 36 000 ingrédients bande de sagouins.
ꕥ une boisson : L’élixir de survie, j’ai nommé le café. En plus c’est bon pour le transit.
ꕥ une célébrité : Jason Momoa pour la ressemblance physique.
ꕥ un pouvoir magique : L’overthinking.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : /

that's my first rp
Les perles au parfum âcre lui constellaient le corps. Diamants négligés, écailles éphémères cousues sur la peau, elle les essuyait sans vergogne par des gestes devenus mécaniques. Combien de fois le faisait-elle maintenant ? Depuis quand était-ce devenu plus naturel pour elle de rejoindre l’eau et d’y évoluer sous des mouvements bénis par la volupté plutôt que d’en sortir, d’y émerger pour rejoindre sa vie parmi les autres ? Elle y passait désormais tant d’heures, tant de temps qu’elle s’étonnait encore de ne pas découvrir au creux de ses doigts une fine membrane translucide ou quelconque autre marque indélébile d’une mutation en une chimère aquatique.

Athénaïs ne retint pas le soupir qui s’était glissé entre ses dents ; elle n’en retenait d’ailleurs aucun. Jamais elle ne laissait filer le moyen d’exprimer qu’elle fut lasse ou agacée ; tout simplement car elle estimait que chacun se devait de savoir que son humeur fut contrariée.
Et pour une raison qui lui échappait encore, elle était irritée, là tout de suite. Elle quittait son costume de danseuse des ondes qui lui paraissait de plus en plus faux. Pourquoi diable ne s’était-elle pas délectée de ce plaisir habituel en venant s’entraîner aujourd’hui ? Pourquoi avait-elle tiré la grimace quand elle avait attrapé son sac, grogné en descendant les escaliers, traîné des pieds en poussant la porte de la salle, puis froncé le nez alors qu’elle étendait ses gambettes afin de les préparer aux folles acrobaties qu’elle leur faisait subir ? Était-ce à cela que goûtait le quotidien ? L’ennui d’une routine qui n’apporte plus rien ? Malgré la force qu’elle mettait dans son déni, l’idée que la natation synchronisée ne lui apportait plus cet apprentissage qui la stimulait c’était imposée, et elle avait, une fois de plus, poussé un grognement. Que faire, alors ? Que faire quand l’extraordinaire n’avait plus rien de fabuleux ?

La jeune femme se plaça face au miroir couvert de buée une fois qu’elle fut habillée. Elle alla déposer au creux de son cou et l’intérieur de ses poignets délicats quelques gouttes aux délicieux effluves de jasmin ; une senteur qui n’allait pas sans lui évoquer les courbes des palais d’Orient qui la fascinaient tant.  Un exotisme de magnificence dans lequel elle s’échappait au moyen des pensées, d’autant plus lorsqu’elle se trouvait sur les dalles d’un bleu livide qui pavaient les vestiaires, coincée entre ces immondes portes d’un orange à vous en crever la rétine. Elle songea que même un aveugle aurait souhaité perdre la vue de nouveau s’il devait la recouvrer en ces lieux.  On parlait des ruelles du Bronx, mais y avait-il plus glauque que les cabines d’une piscine publique ? Peut-être que si Hitchcock y avait ne serait – ce qu’un orteil, le meurtre de Psychose ne se serait pas déroulé dans une simple douche privée. Soudain, et comme toujours, l’écho lointain d’une moquerie de son frère vint interrompre la futilité de son plaisir.
- « A quoi bon te parfumer avec des eaux à deux cent balles, t’empestes toujours le chlore et le produit du pédiluve. »  Avait-il raillé tandis qu’elle appliquait avec grand soin à l’une de ses activités favorites : resplendir.  Ce soir-là, c’était à l’occasion d’une des nombreuses soirées qu’orchestraient leurs parents, eux qui étaient trop attachés à leur prestige pour se soucier de quoi que ce fut d’autre.
Un sourire avait alors éclos au bord de ses lèvres lorsqu’elle s’était tournée vers lui : « Je peux toujours masquer l’odeur, là est ma chance. En revanche pour ta sale gueule il n’y a rien qu’on puisse faire, tu m’en vois profondément navrée. »
Ha ! Pensa-t-elle avec ironie. Même rabattre le caquet de son imbécile de frère ne l’amusait plus autant. Peut – être s’était – elle tout bêtement ennuyée de la couronne qu’on avait placé au sommet de son crâne et qu’elle avait jusqu’alors entretenu avec rigueur et fierté. Peut – être voulait – elle se débarrasser, ne serait – ce que pour quelques secondes, quelques instants, de ce poids qui lui faisait de plus en plus courber l’échine. Comment pouvait – on avoir l’air arrogant si tenir votre menton haut vous élançait bien trop la nuque ?
Non, pour se sentir de nouveau étincelante, il lui fallait se recouvrir de poussières, s’étendre dans les eaux ternies des vieux quartiers ; troquer sa grâce contre la force. Les larmes claires de la piscine contre les gouttes de sa sueur.
Pour cela, il n’y avait qu’un seul endroit.

- «  Tu ne rentres pas ? » Lui lançait alors une de ses camarades à la sortie en la voyant s’éloigner du chemin qu’elle avait l’habitude d’emprunter.
- « Non, j’ai mieux à faire. » Rétorqua – t – elle. Elle allait boxer, comme tous les lundis soirs, mais cette fois, elle irait aussi le mercredi, et le vendredi.
Aussitôt qu’elle y songea, l’amère sensation d’ennui l’avait désertée.


this session is gonna be different
Poisoned Syren. ꕥ 22 ans
fréquence de rp : Disposant de peu de temps, mais parce que je reste une thug, je pourrais RP au max une à deux fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : Je vais essayer de passer au moins trois fois par semaine, on trouve toujours le temps pour flooder un peu. :uhoh : ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Faites vous plais’, la qualité avant la quantité ( même si j’avoue que 5 lignes ça fait un p’tit peu mal au coeur. puppy ) ϟ avatar à réserver : Taylor M. Hill ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Rouge fushia dans les nuances lapis lazuli rosées. ϟ comment avez-vous connu 99 ? Il n’y a que Myers qui m’aille. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? C’est l’histoire d’une mouette qui partage son gâteau, et du coup, elle fait mouette-mouette.
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a dream in static.

Invité
21 r ; 517 v.
Mar 28 Jan - 15:20
kenneth myers
ft avan jogia
ꕥ résumé : Jeune génie de la finance, Kenneth était l’un de ces jeunes traders fanfarons certains de leur réussite, aux yeux plus gros que le ventre. Aveuglé par l’appât du gain, il a explosé en plein vol et s’est fait virer rapidement après avoir perdu une énorme somme d’argent. Désormais sans véritable emploi, il console sa cupidité dans les jeux d’argent, en plein déni de la relation néfaste qu’il entretient avec les billets verts. De plus en plus fauché, il continue cependant de vivre au dessus de ses moyens à Manhattan et dilapide le peu qu’il lui reste. Originaire de Cleveland, il est trop fier pour retourner au bercail, et avouer à ses parents ainsi qu’à sa soeur son terrible échec. D’ailleurs, il continue de se présenter à la société comme un jeune cadre ambitieux, désespérément accroché à son statut passé.
who am I
ꕥ âge : 28 piges.
ꕥ orientation sexuelle : ces dames et leur sourires envoûtants, leurs oeillades mirifiques.
ꕥ situation : célibataire.
ꕥ occupation : ex-trader du New-York Stock Exchange, actuellement sans emploi.
ꕥ quartier : manhattan.
ꕥ qualités : vif, espiègle, stratège, blagueur, sociable, flexible, audacieux, .
ꕥ défauts : sournois, mauvais perdant, obstiné, plein de soi, méfiant, panier percé, bordélique, râleur.
ꕥ passions : l’argent, le baseball, la domotique, les jeux de stratégie et bruce willis.
ꕥ communautés : {#}TheLostPlanet{/#}, {#}Gotha{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : idk what you’re talking about.
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? yup’, j’suis partant ! Tag gotha sur I've got 99 problems 397295749
all about my player
ꕥ petite présentation perso : Rpgiste depuis presque quinze, je sillonne désormais les forums comme un amoureux égaré, nostalgique du bon vieux temps. Adepte de l’ironie et du sarcasme, il est fort conseillé de ne jamais me prendre au premier degré. Véritable gameurz, je passe la plupart de mes soirées sur les jeux-vidéos avec les copaings. Sinon, comme tout sportif accompli, je pratique assidûment le tennis de table. Voilà ! Comme je trouve que le tableau dressé de ma personne ne pourrait être plus flatteur, et que vous en savez déjà trop, je m’en tiens là ! hidebox Hâte de jouer avec vous Tag gotha sur I've got 99 problems 176241234

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : La trilogie de Bartiméus.  
ꕥ un film : La Menace Fantôme ; Jar-Jar, Qui-Gon Jin and young Obi. **
ꕥ une série : Brooklyn 99 ; very very - very - funny cops.
ꕥ une chanson : Toto - Home of the Brave.
ꕥ un animal : Le Raton-Laveur.
ꕥ un plat/dessert : La pizza à l’ananas ; petit plaisir controversé.
ꕥ une boisson : Le Jagermeister, pur, avec un p’tit glaçon.
ꕥ une célébrité : Stéphane Bern.
ꕥ un pouvoir magique : la téléportation.
ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : //.

that's my first rp
J’ai annoncé au vieux que des affaires plus pressantes m’attendaient au dehors et j’ai raccroché subitement, sans prévenir. Sourire amer. Ca lui fera les pieds, au vieux, à me poser trop de questions indiscrètes, à toujours s’inquiéter de tout. Dix ans que je créche plus là-bas, et pourtant c’est toujours la même rengaine.
J’ai enfilé l’un de ces manteaux en fourrure tape-à-l’oeil que je m’étais récemment offert et j’ai quitté ma garçonnière pour les rues agitées de Manhattan.
Dans le fond, je n’avais pas menti. J’étais vraiment attendu ailleurs.
J’ai remonté le quartier à grand pas; j’ai toujours détesté marcher lentement, toujours eu l’impression que les gens baguenaudant ci et là perdent leur temps, la monnaie la plus précieuse qui soit. Un coup d’oeil rapide à mon cellulaire m’a appris que j’étais à l’heure. Ou presque. Parfait. Toujours observer un léger retard, surtout dans les affaires ; ça donne le ton.  

Il faisait nuit dehors, du moins si ce terme peut réellement s’appliquer à la ville qui ne dort jamais. Ce que j’entends par nuit, c’est le plus grand spectacle de lumières au monde qu’il m’ait été donné d’observer. Un concert coruscant fait de lampadaires, de phares, de néons et de devantures miroitantes. Le vent s’engouffrait dans les grandes avenues, comme aspiré entre les grandes tours de verre et d’acier, cinglant les visages rougis par le froid. J’ai resserré les pans de ma pelisse autour de mon cou et accéléré le pas.
Je me suis présenté un quart d’heure plus tard au lieu du rendez-vous. C’était une petite porte noire, encastrée dans de la vieille pierre, à laquelle on accédait en descendant quelques petites marches, comme on accède à une cave. Je n’y aurais jamais prêté attention si ce n’était pas précisément là que je me rendais. On m’a coupé la route dès lors que j’ai manifesté un peu trop d’intérêt.
C’était un grand gars, type nordique : blond, costaud, yeux céruléens. De ceux avec qui on fait pas un concours de baffes. Bref, vous voyez le tableau.
« - Vous êtes sur la liste ?
- Nan. Mais on m’a dit que vous faisiez de bons cocktails. »
Le type m’a servi un regard qui m’a fait froid dans le dos.
J’ai frissonné. Jamais versés dans l’humour, ces armoires à glace.
J’ai haussé les épaules, et décliné mon nom en lui tendant une petite carte noire estampillée d’un as de coeur. Il me l’a presque arrachée des mains, l’a inspectée minutieusement, me l’a rendue en grognant, et m’a finalement ouvert le passage en pivotant sur lui-même de quatre-vingts-dix degrés. Je me suis engagé prestement dans l’ouverture et j’ai disparu à l’intérieur.
Pour la chaleur de l’accueil, je repasserais plus tard.
J’ai traversé un long et sombre couloir. Au fond, un rideau masquait la pièce que je savais basse de plafond. Ce n’est pas la première fois que je venais. J’écartais le tissu de mes doigts pour entrer.

Quelques tables. Des appliques diffusant une lumière tamisée. Un encens boisé qui parfumait l’air vicié de la pièce sans fenêtres. Il se dégageait du lieu un certain sérieux. Pas de bruit, hormis le froissement des cartes sur les nappes de velours, entrecoupé par les jurons occasionnels des protagonistes. Rien à voir avec l’ambiance divertissante que dégagent des copains qui tapent occasionnellement le carton. J’ai embrassé l’endroit d’un regard, et répondu d’un léger hochement de tête aux quelques personnes qui ont levé les yeux pour attester de mon arrivée, puis me suis dirigé à une table. J’ai décroché mon manteau de mes épaules et l’ai laissé tomber entre les mains d’un serviteur et me suis installé. « Bonsoir messieurs. Je me joins à vous pour les prochaines mènes. »
J’ai jeté une liasse de billets au centre de la table.
Je leur ai décoché une oeillade friponne, j’ai récupéré mes jetons, puis j’ai fait craquer mes doigts. Presque inconsciemment, j’ai laissé courir l’une des pièces factices sur ma main.
J’étais fin prêt à dépouiller ces honnêtes gens pour le restant de la soirée.

this session is gonna be different
michmich ꕥ 24 ans
fréquence de rp : A chaque St. Glinglin. ϟ fréquence de connexion : 4/7. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? honestly, idc. ϟ avatar à réserver : avan jogia. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vous pouvez répéter la question ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée... (en vrai c’est ace qui m’a traîné par là)ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? "Tempora mori, tempora mundis recorda."
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