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3 résultats trouvés pour JADe

i'll never meet the ground (jake)

Invité
12 r ; 338 v.
Jeu 14 Mai - 22:50
jacob "jake" baker-shark
25 ans - étudiant à la julliard
FEAT : timothée chalamet jacob, c'est l'garçon qui pense que les étoiles peuvent atterrir dans la mer, c'est aussi l'bonhomme à la famille fusionnel mais aux idées qui virevoltent et qui rêve de chant et de danse sur des planches de bois craquée. c'est le petit gars tout frêle qui n'ose pas l'ouvrir quand il le faut mais qui devient un autre homme au contact de ses passions, qui s'habille de toutes les façons différentes et qui travaille quelques heures par semaine pour pouvoir se nourrir. c'est l'étudiant de la julliard au piano, boursier émérite qui fait la fierté de ses parents, il est l'enfant adopté d'une famille qui a eu trop de mal à concevoir d'enfant mais il a cependant une grande soeur biologique dont il a foi bien plus qu'en tout le reste.
who am I
ꕥ âge : 25 ans sur le papier, peut-être quelques mois de plus ou de moins que ce que les documents lui attestent
ꕥ orientation sexuelle : sûrement pansexuel, n'a de pré-requis quant à sa sexualité, indéfinissables sentiments qui se débattent dans sa cervelle
ꕥ situation : célibataire, n'a jamais connu l'amour, fuyant tout type de relation par peur  
ꕥ occupation : métier, études etc
ꕥ quartier : miranda heights
ꕥ qualités : loyal, avide de nouvelles expériences, vivant
ꕥ défauts : introverti, fuyant, maladroit
ꕥ passions : {#}art-du-spectacle{/#}, {#}astronomie{/#}, {#}piano{/#}
ꕥ communautés : {#}lgbt{/#}, les habitants de miranda heights, {#}thelostplanet{/#}, {#}jade{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ parrain : oui, pourquoi pas ?  puppy
all about my player
ꕥ petite présentation perso :hola everyone Tag jade sur I've got 99 problems 176241234 j'm'appelle anaïs surnommée nana, j'ai 26 ans, j'suis très active en rp et j'suis du genre à aimer tous les gens. que ça soit du drama, du fun, des trucs loufoques ou simplement de manger un sandwich devant un movie, j'suis partante.

j'suis pas dérangé de faire des ouvertures de rp mais j'ai toujours peur qu'en face la personne soit déçue, donc prenez pas mal si j'vous demande de faire l'ouverture, c'est la timidité des premiers temps sur le forum, après j'me lâche et j'suis pas si timide que ça, bien au contraire sifle

j'suis une fana de drama inrp, j'aime quand ça chiale et quand ça souffre, mais j'veux d'la paix aussi et j'aime vraiment construire les liens... sur plusieurs mois (j'ai eu un perso, un ship, ils ont couché ensemble la première fois au bout de 1 an de rp... et on était à 6-7 réponses par semaine à des rp en cours. POUR VOUS SITUER SUR LE LONG TERME QUE J'AIME Tag jade sur I've got 99 problems 2958767705)

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : le livre du voyage, bernard werber
ꕥ un film : harry potter et le prisonnier d'azkaban ou interstellar
ꕥ une série : sense8
ꕥ une chanson : ben platt, waving through a window, dear evan hansen
ꕥ un animal : le louveteau
ꕥ un plat/dessert : une forêt noire
ꕥ une boisson : thé glacé à la pêche
ꕥ une célébrité : Michelle Obama
ꕥ un pouvoir magique : être capable de comprendre les animaux, ça serait fascinant

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : nothing, really

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Savoir si c'est p*tains de chaussures vont lui aller aux pieds. Ou peut-être est-ce son incapacité à appréhender qui il est. C'est un enfant qui n'a aucune connaissance de son passé, peut-être que des tares y sont ou seront révélés.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). il n'osera pas le dire mais c'est l'genre à regarder tous les derniers potins en date de ses artistes préférés, il est capable de se lever à 3 heures du matin pour attendre la sortie d'un single d'un chanteur qu'il adore. il se ronge les ongles, mauvaise addiction prise par sa soeur Jaz.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? quelle relation ? pas de relation. il a cru parfois être amoureux, a embrassé deux ou trois filles mais à chaque fois, il y avait une grande incompatibilité pour une raison qu'il souhaite comprendre.

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Papa est passé chez moi ce week-end, il m'a donné son vieil appareil photo, j'ai trouvé des dossiers. Donne moi 5$ ou je les mets sur insta." pour sa soeur Jaz.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? La relation est incroyable et positive. Il a été adopté par Daniel Baker et sa femme, Olive Baker-Shark qui étaient déjà les parents d'une fille qui s'appelle Jaz. Il n'a jamais eu de souci à s'intégrer, mais les premiers temps ont été difficiles, Jake est arrivé dans cette famille new-yorkaise vers ses trois ans. Mais la suite... quelle belle histoire. Il a grandi dans un ranch, entouré de chevaux, de poules et de cochons, apprenant à réparer une voiture ou dans le petit planeur de Papa, à plusieurs mètres au-dessus du ciel.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Jake tente de se faire repérer pour être acteur ou artiste à Broadway. Il prend des cours de théâtre, gagne de l'argent en vendant des glaces, en étant mascotte pour une nouvelle marque de dentifrice, parcours et écume les parcs à la recherche d'une nouvelle espèce de fleurs... de tout ou de rien, c'est un jeune homme qui ne sait pas s'arrêter.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Une fois, il a pris une paire de ciseau et il a coupé une mèche de sa soeur pendant son sommeil. Ca partait d'une bonne intention, il voulait la mettre dans sa peluche pour la garder auprès d'elle mais elle s'est retrouvé avec un trou dans les cheveux.

this session is gonna be different
elladora tonks/anaïs ꕥ 26 ans
fréquence de rp : si j'suis méga ultra motivée, all day everyday, mais j'suis relativement très active. ϟ fréquence de connexion : tous les jours, sans trop peu d'exception. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'peux varier entre 200 et 500 mots, ma seule crainte c'est d'avoir quelqu'un qui accepte que je n'écrive pas forcément autant qu'elle  puppy ϟ avatar à réserver : timothée chalamet. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : verts couleur petit pois. ϟ comment avez-vous connu 99 ? sur facebook. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? merci beaucoup d'avoir créé ce genre de bijou, un forum solaire, positif et qui m'a l'air vraiment humain. j'espère vraiment y trouver ma place Tag jade sur I've got 99 problems 717540281
tumblr (gif) solsken (avatar) managram

damn hell dreamer.

Invité
26 r ; 1289 v.
Mar 7 Avr - 14:11
yorgos nikos
27 - barman
FEAT : zayn malik
t'es un impulsif, yoyo. et un sanguin. il n'est pas rare que tes poings s'écrasent contre les murs quand serrer les dents ne suffit plus à contenir ta colère. t'aimes pas être contrarié, tu détestes ça même et tu réagis très mal quand on ose. tu gueules plus que tu ne parles, tu sais comment te faire entendre et comprendre. t'as l'âme d'un combattant, mais aussi d'un minable toxico. t'es un homme loyal, avec un cœur d'or dans le fond, seulement t'es entouré d'une carapace de pierre brûlante. te toucher consume. t'es protecteur envers tes potes surtout mais aussi un peu avec tous ceux qui te sont chers. t'es un brin séducteur quand ton humeur s'y prête et souvent tu repars avec une nouvelle personne. t'es un peu dur, un peu macho parfois mais tu finis toujours par laisser sa chance à tout le monde. en revanche t'es rancunier et une fois qu'on t'as causé du tord, à toi ou à une personne qui compte tu n'oublies pas et le pardon tu connais pas. contrairement à ce qu'on peut s'attendre de toi, tu réfléchis beaucoup avant de parler et d'agir. t'étais peut-être pas un bon élève à l'école mais tu n'en restes pas moins intelligent et aussi très observateur. être bon enfant te connaît, tu n'hésites pas à sortir des répliques de dessins animés, et tes blagues laissent souvent à désirer. tu sais aussi être travailleur et sérieux quand la necessité est à l'assiduité. tu as des qualités que tu sais mettre à profit quand ça t'arranges mais tu imagines que tes défauts sont plus nombreux, eux. on dit de toi que tu dois faire attention à tes chevilles, un jour elles vont gonfler et tu te reconnaîtras plus dans le miroir. ouais yoyo, t'es prétentieux et t'aimes te faire mousser. t'as un grand ego, il est à la hauteur de ta fierté. t'es pas un gars méchant mais faut pas te chercher car tu pourrais facilement le devenir. t'essayes sans cesse d'évoluer, de changer, et pour l'instant, ça réussit partiellement. au moins quand tu parles, t'as un petit sourire. enfin.. quand t'es pas trop blasé.
who am I
ꕥ prénom, nom : yorgos on t'as ainsi appelé par caprice, ou alors par folie ; sous l'effet de son crack elle a accouché du beau bébé que tu étais, t'as assigné à jamais le premier prénom qui lui venait. nikos, nom ironique aux yeux de ton âme ; l'as-tu déjà vu, ce géniteur, en ouvrant les yeux sur le monde ? ta mémoire te trahit, tu ne te rappelle de rien d'autre que son absence cuisante
ꕥ surnom : déjà petit, ton prénom était pour toi ridicule à dire, tant il brûlait tes lèvres si l'envie te venait de l'épeler. t'as choisit la facilité tel que tu es ; deux syllabes, yoyo et des rougissements de honte pour le restant de tes jours.
ꕥ origines, éthnie : quittant son foyer après ta naissance à Héraklion, gravée au 14 décembre, ta mère vient s'installer à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Orléans, puis refait un autre voyage jusqu'à NYC, où elle daigne enfin à se poser, toi dans ses bras. aurais-tu pu être mieux là-bas ou ici, tu ne le sauras jamais ; américain, grec aussi, pas si fier que cela, tu oublies d'où tu viens en enchaînant parfois les pintes.
ꕥ âge : 27 étés arides, au vent pourtant doux, où tu vivait tantôt en plein désert, tantôt en courant au côtés des vagues. tu t'mettais torse nu face au soleil, le laissant te brûler si fort, si bien que ses rayons ne te font aujourd'hui plus que des caresses doucereuses. tu te dis immunisé face aux aléas du temps, mais au fond ton feu te consumera vivant.
ꕥ orientation sexuelle : pour toi, les conquêtes ne définissent pas ce que tu préfère. tant que tu ne trouvera pas ta perle, aucune case ne te correspond vraiment. tout dépendra d'elle, de lui, de cette personnes qui tu sais, partagera ta vie. mais tu sais aussi que tu n'y est pas près.
ꕥ situation : tu traines parfois dans les bars la nuit, quand t'es pas de service, félin à l'affut de sa proie. tu t'approche d'elle, et parfois de lui, charmeur, et l'on te comprend bien vite. mais jamais tu ne l'a emmenée chez toi. non, tu ne les laisserais pas t'approcher de si près. on ne te fera pas le coup du coup de foudre, t'es un célibataire, célibatard et sans remord tu le dis tout haut. les sentiments à la guimauve rose c'est pour les autres. tu toi tu fermes ton coeur et t'ouvres ta grande gueule.
ꕥ occupation : t'es passé partout, t'as tout fait, du concierge au garagiste, sans jamais trouver ta place. toi tu voudrais chanter à t'en casser la voix, gratter des cordes à t'en écorcher les doigts, mais manque de bol, tu te retrouves toujours là où tu n'aimes pas être, et, pour l'instant, tu te contente de chanter des berceuses aux beaux verres. barman va. tu pense pouvoir te débrouiller seul, tu le fais très bien et bien qu'ayant les moyens d'avoir plus, t'as ce qui te suffit pour continuer. alors tu étudies le jour, tu travailles la nuit, pour ne pas dormir seul dans ton petit studio d'étudiant, ou vivre de ton héritage.
ꕥ quartier : à NYC depuis tes 3 mois, sûrement pas le plus jeune bébé à voyager, mais à coup sûr le plus touché. t'as jamais voulu bougé depuis ce jour là, ta mère a éteins le peu d'âme de voyageur que t'avais. et depuis que t'es parti de chez elle, tu te terre à Brooklyn, au 30 bedford street, williamsburg - {#}hipster{/#} - voulant bien disparaître.
ꕥ qualités : loyal, travailleur, observateur.
ꕥ défauts : prétentieux, coléreux, impulsif.
ꕥ passions : l'art. dans toutes ses formes, et ses humeurs. la {#}musique{/#}, la {#}photographie{/#}, la {#}poésie{/#}.. même les tags sur les murs t'arrives à les trouver fascinant. et puis, ce n'est peut-être pas reluisant, mais l'herbe t'affriandes. la {#}marijuana{/#}, avec ses voluptes doucereuse, sa fumée chattemite. après y'a ta {#}moto{/#}, et sa vitesse libératrice, et l'adrenaline qui te prends quand tu l'enfourches.
ꕥ communautés : - {#}JADe{/#}, cursus musique. tu travailles fort pour ne pas puiser dans les fonds que ta mère met sur ton compte en banque chaque mois.
- The Outpost, où t'aurais aimé avoir un autre rôle. plutôt que de servir les alcooliques au bar, t'aurais bien aimé monter sur scène. mais bon, on ne possède pas toujours ce que l'on veut.
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oh ça oui keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :en vrai, je suis en train d'écrire cette description à peine réveillée, parce que j'ai totalement décalé mon sommeil. je m'ennuie un peu beaucoup et j'ai envie d'écrire un truc poétique sur moi, sauf que ça va paraître niais et je déteste être niaise. donc j'écris ça pour les stalkeurs de l'aprèm qui le liront en premier et pour les rêveurs qui se languissent et s'ennuient. donc me voici, dickens. pourquoi dickens ? si j'avais envie de me donner un air dark j'aurais dit à cause du diable, mais la vérité c'est que le diable me fait peur, l'enfer n'en parlons même pas. en fait, y'a longtemps j'avais lu olivier twist de charles dickens - oui, c'est un livre très bien - ça m'a plut et puis je l'ai gardé. donc voilà je suis une fille, j'ai 23 ans - je commence à vieillir, y'a même des rides qui apparaissent -, je suis étudiante - et je regrettes ma décision dans des moments.. comme maintenant - et j'aimes le poulet et les bananes. j'aimes pas l'avocat et je déteste les épinards, titeuf a beaucoup influencé mes goûts. je suis potterhead, harmonizer et camren shipper. d'ailleurs j'adores shipper tout le monde à tord et à travers. j'aimes lire - je lis littéralement tout - et j'essayes de convertir mon frère aux mots, mais ça marche pas vraiment. et enfin, je suis venue sur ce site parceque j'adores rp. voilà. j'ai tout dit. keur sur vous keur
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : diabolic de S.J.Kincaid
ꕥ un film : to the bone de Marti Noxon
ꕥ une série : prodigal son de Chris Fedak et Sam Sklaver
ꕥ une chanson : the stigma - boys don't cry de As it is
ꕥ un animal : une panthère
ꕥ un plat/dessert : une crème brûlée à la vanille
ꕥ une boisson : un malibu sunrise
ꕥ une célébrité : lauren jauregui, ne serait-ce que pour ses yeux
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : les scènes d'agressions sexuelles. ce terme même me donne des frissons. à part cela, je suis capable de lire à peu près tout, même si écrire certaines choses peut m'être difficile.

that's my story / self diagnosis
en vrac - (poupée en chiffon, marionette de tes voiles) fut un temps où t'étais au fond du trou, malade de ta vie. adolescent à peine diplômé, perdue dans son existence, sans personne à qui s'accrocher. fallait qu'on t'aides, fallait qu'on te remarques. puis cette musique est arrivée, sauveuse. t'as remonté la pente lorsque l'orphéon entra dans ta vie. tu débutas par le chant,commençant par valser ta voix au rythme des mélodies que t'entendais le soir dans les bars. tu enchaîna en apprenant à te servir d'une guitare, à gratter ses cordes et à taper sur une batterie, plus violemment que tu ne tapais des poings. t'as appris que la vie n'est pas si triste lorsqu'on prend la peine de la vivre pleinement, en rajoutant à son blanc taché de gris et de noir, un peu de couleurs vive, de bonnes aubades, d'amis bien choisis.
(tes peurs et tes névroses, fleur fanée qui danse au vent) t'es astraphobe mon gars. t'as peur du caractère incontrôlable et destructeur du tonnerre. tu deviens presque hystérique le soir, seul, lors d’un orage et tu te caches en tremblant sous ta couette. t'as une telle peur de la lumière qu’tu préfère vivre la nuit. mais tout ça personne ne le sait, personne n'est là pour t'aider. en même temps, t'es pas si douée pour monter tes faiblesses. t'as honte d'être ainsi. tu te contentes donc de te serrer contre ton chien, espérant les tumultes diluviens passent enfin.
(pile vers ton coeur, passé la barrière de l'épiderme) t'es tout en couleurs. des tatouages dessinés partout sur le corps. une oeuvre d'art quand tu marches sur le sable d'une plage. ils sont tellement beaux, mais tellement significatifs. t'es pas le genre de personne à te tatouer sur la peau à jamais, tout et n'importe quoi, sur un coup de tête. l'on croirait bien, mais non. quand tu souffres, quand t'es triste, tu met sur ta douleur des mots et sur ces mots des images, tu dessines, tu peints au fusain et tu t'amène chez ton tatoueur préféré. ces dessins retranscrivent ton histoire. floue certes, compliquée peut-être mais sincère. tu craches sur ceux qui te pointent du doigts derrière ton dos, sans te connaître. t'aimerais juste leur dire, à ta mère, à ce monde de fous, qu'avant de juger, faut venir lire. les mots sur ta peau.
(époque de folie, tes yeux cachent le noir de tes nuits) ton carnet d'adresse est bien garni, les potes t'en manques pas, mais tu voues une une place particulière pour ton coiffeur. c'est bon c'est certifié, t'aimes la folie. mais pour toi, changer de coloration de cheveux tout les mois n'en est pas vraiment. toi tu trouves que chaque couleur représente le nouveau départ que t'essayes désespérément de prendre à chaque fois. ouais, t'es un petit sensible quand ton humeur est à la poésie. te regarder différent dans le miroir, te fais sentir différent au plus profond de ton cœur. et puis, comme toujours, pour ceux qui grincent des dents, un petit majeur. t'aimes pas rester discret, toi t'aimes te faire remarquer. te démarquer des autres, t'as toujours su le faire, même avant, même avec ces vêtements miteux. oui, même avec du rose sur la tête, tu restes ce mec charmant, dangereux, que l’on désire approcher mais dont on sent la froideur.
(battement cardiaque pseudo-palpitant, ecchymose à vif) ta tête est tout le temps en bataille. non pas à cause d'une quelconque mode de mèches coiffées-décoiffées, comme tout le monde a l'air de croire. plutôt à cause du nombre de fois où tu passes ta main dans tes cheveux. était-ce nerveux, tu n'en sais rien, tu ne te contrôle même pas. mais bon ça t'arrange tant que l'on affirme qu'ça t'ajoutes un côté sauvagement sexy. tu pinces tes lèvres, tu passes un doigt sur ta mâchoire et des fois tu lances des clins d'oeil à tout va. tu fais des trucs stressants et tu ne t'en rend pas compte. grand hyperactif que tu es. tu tapes des phalanges sur la table, tu bouges tes genoux en fonction du rythme éléctro qui se joue dans ta tête. ta vie est rythmée, rythmique, contrôlée par une mélodie qui ne s’arrête jamais.
(la dope comme seul moteur, lumière tel la marée basse) ça ne te plaît pas forcément mais t’es toxico. les lèvres bleues, le teint blanc quand t’es en manque. des cernes plein les yeux quand tu emplis tes insomnies de ces odeurs libératrices de la drogue. t’as tout essayé. du shit à la coke, t’as tout insurgité mais rien ne va, rien ne marche. même au bord de l’overdose, t’arrive pas à dormir, t’arrive pas à te lâcher. t’es insomniaque et peut-être que c'est bien pour ça que t'as commencé avec ces racailles au lycée. ça fait si mongtemps, mais rien ne change. c'est sûrement ta plus belle erreur. tu sors la nuit, tu te bourres la gueule au maximum, mais tu reste là, tu restes conscient, jamais ivre mort, on te croirait immunisé. tu titubes dans les rues, tu pues l’alcool, tu pues le crack, mais les gens vont vers toi, tes potes t’entourent. t’aimerais pourtant juste leur crier dessus de dégager, de te laisser tranquille. mais tu ne peux pas, car t’as peur de rester seul. encore. même dehors. mais tu consultes une vieille psy deux jours par semaine, la psy que tu considère comme une bonne tante, comme une épaule contre laquelle t'avachir. la seule qui daigne à te répéter que ça va aller.
(sentiments qui fument à vif, et boom, coeur qui s'agite) t'aimes pas l'amour, toi le grand poéte, toi le musicien passioné. t'aimes pas les films à l'eau de rose, les films de noël, les comédies musicales. ces films où ils se foutent des gens à ton avis. où on tombes amoureux sous les flèches de cupidon, comme des merdes. y a plus qu'ils vomissent des licornes. pour toi, quand tu tombes t'as mal. amoureux ou pas. un coup de foudre, ça électrocute, ça brûle, ça tue. des flèches, ça transperce, ça fait saigner. aucune chance que ça te fasse bu bien. est-ce par réalisme ou par fatalité, tout cela t'horripile. t'es hanté par l'image d'un père absent, d'une mère devenue négligente dès son remariage avec ce bourge, d'un amour inexistant. tu ne perçois pas la vie d'une autre façon. les couples que tu vois dans la rue, les petites familles, tu les regardes mal. ils te font mal. mais tu persistes à dire que t'es pas jaloux.
(tes désirs ont pris le dessus, mais un jour tout s'en va) t'as arrêté les études, un temps. t'aurais pu continuer depuis le début, mais penser à la dette que t'auras envers ton beau-père te fit renoncer. ta mère disait medecine, son mari disait droit, mais toi, tu voulais faire de la musique, des notes, des mélodies. alors t'es parti, tu les a abandonné, pour vivre tes rêves loin du poison qu'ils représentaient. tu regardes ici et là, tu va à droite à gauche, tu te trouves de quoi vivre, et tu vis. pleinement. pas le temps aux économies, elles partent toutes à juilliard. tu t'es acheté une moto, t'as passé ton permis, tu sillonnes la ville en tes jours de congé, de vacances, sans t'arrêter. tu te balades en deux roues noire, rutilante, cuir sur les épaules, cuirasses aux jambes. tu veux t'épuiser. mentalement, physiquement. pour reprendre ton travail au top de ta forme en voyant à quel point les dimanches, ça craint. mais tu trouves pas ta place. t'es barman, et tu te forces à aimer. mais ce que t'aimes vraiment c'est ces soirées, où, enfin bourré, tu chantes pour le monde, pour les bars, pour les boites, tu fais le DJ, le guitariste, le batteur, la voix, et finalement t'es bien payé, pour tout ça. c'est ce que t'aimerais faire, mais on te lances toujours un seau d'eau froide à la gueule. vivre de ta musique est dur, que tu sois ou non un grand passionné.
(t'as marché droit, malgré tes sentiments qui titubent) regardes-toi dans le miroir, vois-tu toujours la même image ? celle que tu voyais chaque soir avant de sortir de ton cocon. oui tu voyais ton reflet, énervé, névrosé, sanguin. tu voyais aussi ton ombre derrière, démon refoulé, mutilé. tu voyais plus loin derrière ton lit, les draps froissés, froids. ton placard collé au minuscule plan de travail de ta cuisine. le frigo ouvert où se collaient quelques bières. ton bureau où se mêlaient plusieurs feuilles de cours, plusieurs journaux que tu noircissais d'encre, assis sur ta chaise en bois, où trônait sans scrupule une guitare, penchée, sur le point de tomber. la porte de ta salle de bain ouverte sur l'eau qui coule de la baignoire dont tu laissait le soir le robinet ouvert sans même t'en rendre compte, ton parquet inondé, tes vêtements en tas de merde par terre, mouillés. et tu sais que tu finiras par nettoyer négligemment, la poudre blanche qui se mélange au liquide transparent.
(relation épistolaire, une nuit t'as oublié de vivre) mais voilà qu'aujourd'hui, c'est pas ton miroir en face de ton lit que tu fixes en te réveillant, c'est des cheveux blonds qui recouvrent ton nez, te chatouillant, te faisant éternuer. tu la vois sous ses couvertures  respirant régulièrement, et tu te bornes à vouloir te rappeler de son prénom. encore une autre sans valeur, dont l'identité t'échappes. des bouteilles d'alcool vides ornent le sol, et tu lèves rapidement en prenant tes vêtements jetés plus loin. tu évites les mégots écrasés sur le carrelage, de tes pieds nus, et sors ainsi. torse à peine recouvert par ce tissu déchiré, chaussures perdues que tu n'essayes même pas de retrouver, tu démarres ta moto et te casses, voulant juste t'éloigner.



this session is gonna be different
dickens/lela ꕥ 23 ans
fréquence de rp : moyennement rapide, c'est selon mon inspiration. ϟ fréquence de connexion : presque chaque jour, et si ce n'est pas la journée ce sera au moins le soir. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris moi-même en moyenne vers les 1000 mots, mais cela dépend en grande partie de mon partenaire. ϟ avatar à réserver : zayn malik. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge et brin ambré avec une petite touche azurite.. je suis sérieuse T-Tϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, par hasard  keur ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est vraiment trop beau ici cute
tenor (gif) kane (avatar)

Un Sheppard débarque.

Invité
13 r ; 304 v.
Ven 31 Jan - 21:35
Waël Sheppard
ft Dominic Harrison
ꕥ résumé : Waël, c’est le mec sympa qui sera toujours partant pour aller boire une bière. Bavard, il raconte sûrement un peu trop sa vie, et il considère tout le monde comme ses amis, même une personne rencontrée il y’a cinq minutes. C’est le bon pote, qui sera toujours là pour ses amis, même si on l’appelle en pleine nuit pour se débarrasser d’un corps. Il a aussi ses démons, qu’il essaye d’enterrer le plus profondément possible, même si c’est pas toujours facile. Il est musicien, il passe son temps à gribouiller sur son carnet, même si il est encore timide et qu’il a du mal à partager ce qu’il fait. Il espère percer un jour, même si il sait que c'est un milieu compliqué, mais il y croit pour l'instant.  
who am I
ꕥ âge : 22 ans
ꕥ orientation sexuelle : Waël ne se pose pas de question, il tombe amoureux d’une personne et pas d’un sexe, et ne se met aucune barrières.
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : Il est étudiant, il aide quand il faut sa mère, mais malheureusement il n'est pas payé pour ça.
ꕥ quartier : fort hamilton parkway au numéro 7
ꕥ qualités : Drôle, altruiste, à l’écoute, généreux
ꕥ défauts : têtu, maladroit, impatient, bordélique
ꕥ passions : la musique, le cinéma, l’astronomie
ꕥ communautés : {#}JADe{/#}, spécialité musique (étudiant en cursus musique)
ꕥ scénario/pré-lien : //
ꕥ groupe : idk what you're talking about.
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? ouep pourquoi pas !
all about my player
ꕥ petite présentation perso :
salut !! c'est super bizarre de parler de moi dès le début mais tout va bien se passer j'imagine? J'espère ? Bon du coup, je m'appelle Gabriel, je pense être sympa ? La vérité c'est que je panique souvent pour pas grand chose, soyez prévenus (ça se dit de dire ça dès le début?) et je suis le master meme en personne, je prend les combat quand vous voulez. Je m'intéresse à pleins de trucs, si vous avez une passion ça me ferais grave plaisir de vous en entendre parler. Et je parle beaucoup aussi, je pense que vous le verrez plus tard hahahaha

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : Arthur Spiderwick - Grand Guide Du Monde Merveilleux Qui Vous Entoure
ꕥ un film : Footloose
ꕥ une série : that 70’s show
ꕥ une chanson : Super far - LANY
ꕥ un animal : un paresseux
ꕥ un plat/dessert : un flan coco
ꕥ une boisson : diabolo grenadine
ꕥ une célébrité : Paul Klein
ꕥ un pouvoir magique : l’invisibilité

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
.....................................................

ꕥ un trigger : maltraitance animale

that's my story / self diagnosis

Waël pousse son premier cri, dans une maternité en plein Manhattan, sous une chaleur étouffante, le 5 aout 1997. Son père, Angus, chirurgien de profession est là, il porte un regard plein de tendresse sur son seul et unique fils. Il sait que sa vie va changer, ainsi que ses priorités. Sa mère, Magaret, boulangère, ne pense même plus à la boutique qu’elle a dû laisser à son associé depuis quelques semaines. Ils l’ont tellement attendu, que le petit garçon à déjà une place de choix dans la famille. Tout est prêt pour l’accueillir, sa chambre est finie depuis des mois, toute sa famille l’a déjà couvert de cadeaux avant même qu’il ne sorte du ventre de sa mère. Tout va bien dans le meilleur des mondes, leur bulle de bonheur est intacte. Quand ils sont rentrés tous les trois dans l’appartement au-dessus de la boulangerie de sa maman, que ses parents occupent depuis quelques années maintenant, tout semblait couler de source. Angus et Margaret se partagent les tâches, le petit Waël est un bébé relativement calme, qui fait vite ses nuits et qui n’embête personne. Ses parents reprennent vite leurs boulots, son père enchaîne les journées de dingues, et il passe ses journées avec sa mère, jusqu’à ce qu’il entre en maternelle.

C’est un petit garçon énergique, parfois un peu trop, mais un simple rappel à l’ordre suffit pour le remettre à sa place, son père lui achète même une guitare, pour qu’il puisse occuper ses mains quand il s’ennuie. Dès qu’il à un moment de libre, il fonce sur son instrument pour gratter les cordes et apprendre des nouveaux accords, même si ses doigts sont encore un peu trop petits. Quand il est énervé, il gratte les cordes plus fort, jusqu’à se faire mal, mais en tout cas, ça le calme. Seulement voilà, il oscille de plus en plus souvent entre colère, manque d’intérêt, et des grandes phases d’optimisme. Ses parents se posent des questions, et sont vite démunis face à un enfant qui change d’attitude aussi vite qu’un claquement de doigts. Une simple remarque peut le faire changer, pour le meilleur comme pour le pire. A l’école, la plupart de ses camarades le rejette, parce qu’il est connu comme le loup blanc dans la cour. Tout le monde l’évite, parce que c’est l’enfant bizarre qui parfois pleure dans un coin parce qu’un trop plein d’émotion l’envahit, ou celui qui donne des coups de pieds aux maîtresses parce qu’on le touche alors qu’il n’en a pas envie. Tout le monde le prend juste pour un sale gosse qui fait des caprices, mais personne n’essaye de le comprendre réellement. Lui, il se sent juste comme un monstre, parce qu’il ne contrôle rien, pourtant, il aimerait comprendre pourquoi il se comporte comme ça, mais c’est hors de sa portée, pour l’instant du moins. La seule personne qui se penche vraiment sur son cas, c’est une de ses maîtresses en primaire. Jusque-là, toutes celles d’avant se contentait de dire à ses parents qu’il serait peut-être temps de l’éduquer, et que si personne ne le fait, il devra changer de classe ou d'établissement.

Après des longues discussions, beaucoup de rendez vous chez des docteurs, des psychiatres plus ou moins compétents, le diagnostic tombe le jour de ses 7 ans, après des mois de lutte acharnée pour qu’on le prenne au sérieux, il est bipolaire. C’est bizarre pour lui de mettre un mot sur ce qu’il ressent, mais ça lui fait un bien fou de se dire qu’il n’est pas le monstre qu’il croyait être depuis si longtemps. Il n’avait peut-être que 7 ans, mais il était loin d’être bête. Il se retrouve à prendre un traitement, même si ses parents n’ont jamais été vraiment d’accord avec ça. « On ne va pas droguer notre fils Angus ? C’est vraiment la seule solution ? » c’est la phrase que Waël à entendu un soir, et il était vite parti sous sa couette juste après, parce que sa mère commençait à sangloter, et il n’avait vraiment pas envie de l’entendre pleurer. Ils ont bien essayé de ne pas lui donner de traitement, mais ses phases étaient bien trop intenses, et ce n’était clairement pas la solution pour lui de ne rien prendre, parce qu’il ne savait pas encore gérer ses crises. Alors pas le choix, il à pris des cachets pendant des années, c’était plutôt efficace, pas tout le temps, c’est juste devenu une habitude. Il se lève, il prend son petit dèj, ses pilules, et il continue sa journée quand il en à la force.


Il grandit, il ne quitte pas sa guitare, la musique prend une grande place dans sa vie, parce que c’est un moyen qu’il a trouvé pour se canaliser un minimum. Il se fait des amis, certains ne savent pas toujours comment réagir face à lui, alors ils partent. Les vrais restent, il s’excuse constamment, parce qu’il sait qu’il n’est pas facile à vivre. Parfois il n’a pas envie de prendre son traitement, il se sent puissant pendant un moment parce qu’il se dit qu’il est capable de tout gérer seul, mais la chute est parfois vraiment douloureuse. Il n’apprend manifestement pas de ses erreurs, persuadé qu’il arrivera un jour à vivre sans aucune pilule dans sa vie. Ignorer le "problème" pour faire comme si il n'existais pas. Pour n’embêter personne, il a tendance à passer sous silences ses moments difficiles. Il en parle parfois, il survole le sujet, parce qu’il n’a pas envie qu’on le prenne en pitié. Parfois il craque, et il déteste demander de l’aide, il ne le fera qu’en cas d’extrême nécessité, si vraiment il n’arrive pas à remonter la pente, mais ça peut durer des mois. Il n’a pas une très grande estime de lui-même, il s’en est toujours voulu d’infliger un tel fardeau à ses parents, même si toute sa vie il a entendu qu’il n’y était pour rien, et que sa différence est une richesse. Lui ne l’entend clairement pas de cette oreille, parce qu’il a beau chercher les points positifs à sa maladie, il n’en a jamais trouvé, et il est presque sûr qu’il n’y arrivera jamais.

Son rêve, c’est de vivre de sa musique. Il l’a su quand il a débarqué au collège, et qu’il s’est retrouvé dans un cursus qui ne lui plaisait clairement pas. Seulement voilà, quand il a exposé ses plans de vies à ses parents, ils y ont tout de suite mis des conditions, et il s’y attendait. En échange de bonnes notes, ses parents lui finançaient des cours au conservatoire du coin, et le petit marché à tenu jusqu’à ce qu’il obtienne son premier diplôme. Waël n’a jamais été le plus fort en cours, mais il a toujours été motivé, et c’est ce qui faisait souvent la différence. Entre temps, il a eu le temps de se perfectionner, il quitte rarement sa guitare d’ailleurs. La première qu’on lui à offerte est tellement précieuse à ses yeux, qu’il tremble toujours un peu quand il la sort de son étui. Il s’en est acheté une autre, parce qu’il avait trop peur de l’abimer. Son diplôme en poche, il décide d’envoyer son dossier à plusieurs écoles d’art. Avec ses années de conservatoire et la maîtrise de son instrument fétiche, il est presque sûr d’être pris, sauf qu’au moment des entretiens, il panique, et il n’y va pas. Il est resté devant la porte de l’établissement pendant des heures, dans le froid, parce qu’il s’est soudainement posé pleins de questions. Et si on le refuse ? Si une corde se casse, si les examinateurs sont des pauvres cons, si son style ne leurs convient pas ? Autant de questions restées sans réponses. Il s’est découragé en un instant, et il est rentré chez lui en pleurant. Il est resté chez lui pendant des mois, se sentant incapable de faire quoi que ce soit, il se sentait juste vraiment nul il s’est détesté pendant des semaines, il a regretté. Il a travaillé avec sa mère à la boulangerie pendant deux ans, en mettant ses rêves de côtés parce qu’il fallait bien qu’il fasse quelque chose de sa vie. Après tout, vendre des croissanteries c’est pas mal non ? Il se mentait à lui-même à vrai dire.

Il a voyagé aussi, en Europe, un mois comme pour s’éloigner de son échec le plus possible. Il n’avait pas grand-chose, un sac sur le dos, sa guitare sous le bras et un peu d’argent mis de côté. Il ne s’est jamais inquiété, il savait qu’en cas de grosse galère, il pouvait appeler ses parents pour leurs demander un petit coup de pouce, mais il ne l’a jamais fait, par fierté et aussi parce qu’il voulait se prouver qu’il était capable de survivre tout seul. Ça n’a pas toujours été tout rose, mais il en a beaucoup appris sur lui-même. Il a écrit un tas de textes, il a rencontré plein de monde, et son humeur était plutôt constante, peut-être parce qu’il avait l’esprit occupé ? En tout cas, quand il est revenu, il était reboosté a bloc, et il a de nouveau envoyé son dossier aux grandes écoles. Il est allé aux entretiens cette fois, en priant tous les dieux pour qu’on le prenne et bingo, il a réussi à se faire une place à Juilliard, dans le cursus musical et il est plutôt fier de lui. Il travaille à coté, trouver une boulangerie à été une évidence, donc il se retrouve dans cet univers qu'il connait si bien les week-end et après les cours. Il pourrait demander une aide financière, mais il a beaucoup trop de fierté pour ça, et il préfère galérer seul plutôt que de demander un coup de pouce. Mais il ne compte pas y rester longtemps, juste assez de temps pour mettre de côté.


Maintenant il prend plaisir à traîner dans les couloirs, et il fait de son mieux pour ne pas exploser ? C’est pas toujours facile, il se cache souvent quand ça va pas mais eh, il apprend avec le temps, et il copte bien s’en sortir, et remplir des salles de concerts dans quelques années, et qui sait, peut-être qu’il arrivera à accepter sa maladie, et qu’il s’en servira pour faire un tas de bonnes choses.


this session is gonna be different
Gabriel  ꕥ 20 ans
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