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4 résultats trouvés pour animaux

Bottin des personnages

6 r ; 3912 v.
Mar 27 Avr - 21:24
A - D

@Aiden Green + 32 ans
Métier → Musicien Habite → Brooklyn Passions → Musique (batterie, chant, production, composition), peinture, bénévolat Communautés → LGBT Center, The Outpost, L'Overkill

Son résumé:


Métier → violoniste, actrice Habite → Upper East Side Passions → musique, cinéma, politique Communautés → LGBTCenter, TheInnocenceProjet, LeGotha, theoutpost, thelift, harlemJazzJam

Son résumé:


@Alfred Walsh + 35 ans
Métier → co-gérant de restaurant Habite → Dawson Circle Passions → #cuisiner #sports #voyages #animaux  Communautés → LGBT Center - Meow parlour - Best Friends Lifesaving Center - Les familles de Dawson Circle.

Son résumé:


Métier → danseuse dans la troupe du theatre row Habite → manhattan, midtown Passions → danse, sport, make up  Communautés → la troupe du theatre row, julliard school, los latinx

Son résumé:


@Andrew Doyle + 35 ans
Métier → ingénieur Habite → miranda heights Passions → informatique, comic books, cinéma Communautés → the outpost, le cinéma du queens, drive safe.

Son résumé:


Métier → employée d'une salle de concerts Habite → East Village / 21 Passions → la scène, la bouffe, les nanars Communautés → the overkill, the lift

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Métier → propriétaire de diners Habite → brooklyn Passions → le jardinage, les vieux films, la cuisine Communautés → cinéma du queens, cours de yoga du meow parlour

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Métier → trader financier Habite → dawson circle Passions → chien, star wars Communautés → saberist academy, dawson circle

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Métier → Etudiante Habite → Staten Island Passions → la vadrouille à vélo, le maquillage, la cause LGBT+ Communautés → Lycée de Staten Island, LGBT Center


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@clara reed + 24 ans
Métier → assistante sociale à The Innocence Project Habite → Brooklyn Passions → danse, séries télé, science fiction, échecs Communautés → the innocence project, saberist academy, the outpost

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@david o'hare + 65 ans
Métier → pneumologue, professeur à temps partiel à Columbia Habite → Staten Island Passions → Star Wars, la musique et les musées Communautés → le Gotha, la Saberist Academy et les étudiants & profs de Columbia

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Métier → comédienne à Broadway Habite → Vinegar Hill, Brooklyn, NYC Passions → le karaoké, Dolly Parton, Ru Paul's Drag Race Communautés → LBT Center, Broadway, The Outpost

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(NOA) God, I'm so blue, know we're through but I still fuckin' love you, babe

Invité
20 r ; 562 v.
Ven 5 Mar - 9:42
noa aguilar
just small daddy issues
ID CARD
{@=828}noa aguilar{/@}
29 ans - graphiste
FEAT : gina rodriguez
Noa a grandi dans une famille Guatémalienne très catholique. Arrivée aux États-Unis à l’âge de trois ans, elle a dû s’adapter à ce nouveau mode de vie et apprendre l’anglais. Elle a vécu dans une grande pauvreté toute son enfance, mais n’a jamais ressenti le manque de quoi que ce soit. Elle est tombée enceinte lorsqu’elle avait 22 ans, et a accouché de petites jumelles à ses 23 ans. Elle était folle amoureuse du père de ses enfants, mais elle l’a forcé à partir car il n’était plus heureux. Il avait besoin de vivre son rêve et d’être libre. Elle a toujours espéré le voir revenir, mais après quelques années, elle s’est fait une raison. Aujourd’hui, à 29 ans, Noa a réussi sa vie. Elle est graphiste freelance, elle est propriétaire et élève seule ses filles. Elle est très entourée de sa famille et de ses amis. Elle ne pouvait rêver mieux. Elle transmet son héritage latin à ses filles, et elle espère qu’elles seront fières de savoir d’où elles viennent et de leurs grands-parents pour être les premiers à leur avoir offert la possibilité de cette belle vie qu’elles possèdent.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Née au Guatemala, la belle a dû passer son enfance à prouver à tout le monde qu'elle pouvait, elle aussi, être une vraie américaine. L'adolescence a été difficile, un conflit d'identité... trop latino pour ses camarades de classe, trop américaine pour sa famille. Et puis, à ses 15 ans, la belle a obtenu la nationalité américaine, en plus de sa nationalité guatémalienne. Elle a depuis mis de côté ces problèmes acceptant fièrement sa double nationalité. Mais surtout, elle a su en faire une force d'être "différente" des autres, de parler une langue supplémentaire et d'être capable de s'adapter à deux cultures simultanément. C'est cet héritage qu'elle souhaite transmettre à ses filles.
Ethnie/origines : Quand toute sa famille vient de Guatemala et le revendique haut et fort, il est difficile d'oublier d'où on vient. Ceci étant dit, son arrière-grand-mère maternelle venait de Porto Rico. La demoiselle a donc un peu de sang portoricain qui coule dans ses veines.
Orientation : Noa a toujours été attirée par les hommes, que ce soit dans le jeu de la séduction ou même sexuellement. Elle n'a jamais été attirée par les femmes, ce qui ne l'empêche pas de les trouver belles, jolies et sexy. Elle ne ressent juste aucun désir pour la gente féminine.
Situation : La belle est célibataire, et mère de deux enfants en plus de ça. Mais elle vit bien la situation, ne s'en plaint pas. Après tout, c'est elle qui a rompu avec l'homme de sa vie pour lui permettre de vivre la vie qu'il désirait. Et étant donné que c'était sa décision à elle, elle l'accepte fièrement. Noa se débrouille bien, ses filles ne manquent de rien, elles reçoivent des lettres de leur père règulièrement. Bien sûr, les attentions et les câlins lui manquent. Mais un bon plaid, un verre de vin et un bon film lui font très vite oublier ses petits tracas.
Occupation : Noa est graphiste avec le statut d'auto-entrepreneur. Elle travaille de chez elle, et d'où elle veut en vérité, et se gère toute seule. Pas de patron pour lui dicter quoi faire, ni à quelle heure. Elle se fixe elle-même ses objectifs, ses horaires, son salaire. Et elle n'a jamais été aussi heureuse que depuis qu'elle s'est mise à son compte ! Pour rien au monde elle ne reviendrait en arrière.
Quartier : La belle a vécu toute sa vie à Brooklyn, et c'est du coup tout naturellement qu'elle y est restée. Le quartier est dynamique, il y flotte une ambiance bohème depuis quelques années, elle s'est trouvée un petit loft vraiment sympa et son brunch préféré se trouve à 15 minutes à pied de chez elle. Que demander de plus ?

and what else ?
Qualités : Créative, souriante, passionnée, mature, indépendante, débrouillarde, joviale, sociable, empathique, organisée
Défauts : Râleuse, jalouse (mais pas maladivement), n'a pas la langue dans sa poche, franche, trop honnête, souvent en retard, rancunière, trop gourmande, maladroite.
Passions : {#}animaux{/#} ; Noa a toujours aimé les animaux, mais ses parents n'en voulaient pas à la maison (pas assez d'argent, trop de travail pour s'en occuper, perd trop de poils, bave...). Elle ne peut pas forcément encore se permettre d'en adopter un, alors pour allier son amour des animaux avec l'envie d'en avoir, Noa a décidé de devenir famille d'accueil pour des chiens et des chats. De plus, ses filles prennent très à coeur de l'aider à s'en occuper. {#}enfants{/#} ; Forcément lorsqu'on est maman... on ne peut pas dire "ew je déteste les bambins". Depuis six ans maintenant, son quotidien c'est les enfants, surtout quand on en a deux à la maison. Que ce soit les sorties en famille, entre filles ou en play date... la vie de Noa tourne autour des enfants. {#}instagram{/#} ; Quel genre d'auto entrepreneur serait-elle si elle n'avait pas Instagram ? Déjà, pour commencer, Noa adore ce réseau. Elle aime beaucoup la photographie, et elle aime partager des photos de ses filles. Mais elle en profite aussi pour partager des astuces de graphisme aux débutants ou frileux de se lancer en tant que freelance. {#}design{/#} ; C'est un peu ce autour de quoi gravite ses journées. 70% mère, 20% graphiste, 5% "je le ferai demain", 3% râleuse, 2% estomac sur pattes. Bref, le design, elle en fait, elle en mange, elle en respire, elle en rêve. Quand elle n'en fait pas, elle en cherche, quand elle n'en cherche pas, elle se renseigne dessus et en apprend toujours plus.
Communautés : {#}LosLatinx{/#} ; Toutes ces années d'adolescence à essayer de renier sa vraie nature, ses origines, son pays natal, sa langue maternelle, sa culture... Tout ça parce qu'elle avait honte d'être différente des autres. Pour finalement, aujourd'hui, être on ne peut plus fière de venir d'Amérique Latine. Elle veut que ses filles ne ressentent jamais ce qu'elle a pu ressentir pendant son enfance, alors elle les emmène souvent rencontrer d'autres latinos (autre que leur famille). Et puis, elles parlent exclusivement espagnol à la maison. {#}BFLC{/#} (best friends lifesaving center) ; Noa adore les animaux, alors elle a dernièrement décidé de devenir famille d'accueil. Ses filles adorent l'idée, même si elles préfèreraient d'avantage garder l'animal toute leurs vies. {#}meowparlour{/#} ; un café chat où l'on peut faire du yoga et de la méditation ? Il n'en fallait pas plus pour convaincre Noa ! D'ailleurs, elle s'est inscrite aux cours de méditation avec ses filles. Et elles en ont bien besoin ! Être entourées de chats tout en apprenant à se détendre leur fait beaucoup de bien. Et à Noa aussi d'ailleurs !






that's my story / self diagnosis
New York, février 1994 ◊ « C’est notre nouvelle maison, mi hija. » La petite fille est encore trop jeune pour bien comprendre ce que sa mère lui raconte. Elle n’a que trois ans, et du jour au lendemain, ses parents ont attrapé tout ce qu’ils possédaient pour quitter leur maison, leur pays et traverser les frontières afin de se retrouver à New York. La petite fille ne comprend pas bien. Elle se pense en vacances. Bientôt, elle rentrera à la maison. Il fait bien trop froid ici. « Nueva York est notre nouveau chez nous, mi hija. » La petite fille cligne des yeux. Puis elle tend les bras vers son père. « Papá… » Elle est fatiguée. Ses parents aussi, mais ils ne le montrent pas. Son père la prend dans ses bras et s’assoit dans un vieux fauteuil abîmé. Il la berce tout doucement. La petite fille s’endort tout contre lui. Elle est encore trop innocente pour comprendre ce qu’il se passe. Ce petit appartement miteux, ce deux pièces avec ce matelas à même le sol et ce vieux fauteuil abîmé, c’est sa nouvelle maison. C’est ici qu’elle grandira. Elle passera ses premières nuits sur ce vieux matelas, à même le sol, avec ses parents. Avant qu’ils puissent enfin s’offrir un canapé convertible qui deviendra son lit. « Tout ira bien, mi cariño. » Chuchote son père au creux de son oreille en lui caressant les cheveux. « Dios está con nosotros. »

New York, septembre 1997 ◊ Trois années se sont écoulées depuis son arrivée dans le pays, mais l’enfant ne s’adapte pas bien. Tout est étrange ici. Les hivers sont glacials. Les étés bien trop humides. Sans parler de cette période étrange à la rentrée scolaire où il commence à faire froid, et puis d’un coup il fait à nouveau chaud avant que le froid ne revienne. Ils appellent ça l’été indien. Et puis surtout, elle a fini par comprendre qu’elle ne rentrerait plus à la maison. C’est ici, maintenant, la maison. Mais Noa a du mal à s’y faire… Les enfants ne sont pas très gentils avec elle. « Tu parles bizarre. Pourquoi tu roules les r ? » « Parce qu’elle est pas comme nous ! » Des mots qui résonnent dans son crâne, comme des coups de poing. Pas comme nous. La petite fille n’a que six ans, mais elle comprend déjà que quelque chose n’est pas normal. Est-ce elle ? Est-ce eux ? « Je roule pas les r… » S’efforce de dire Noa d’une petite voix, en roulant bien évidemment les r. Elle n’y peut rien si elle parle comme ça. Elle ne parle qu’espagnol à la maison. Elle a appris l’anglais en à peine trois ans. Elle fait encore beaucoup de fautes. Mais elle essaye, et elle n’abandonne pas. Seulement, Noa en a marre qu’on se moque d’elle. « Non mais écoutez la ! » S’égosille l’un des garçons en rigolant méchamment. « Mon papa a une femme qui range tout à la maison, elle parle comme toi. » Noa fronce des sourcils. Elle ne les aime pas ces garçons. « ¡Estúpido! » Leur crie-t-elle juste avant de s’enfuir en courant. Tandis que les larmes lui montent aux yeux, la petite fille rêve de retourner chez elle, au Guatemala.

New York, juillet 2003 ◊ La demoiselle passe un dernier coup sur sa robe pour la lisser. Elle se regarde dans le miroir d’un air perplexe. Elle ne se reconnait plus trop. Elle a beaucoup changé ses derniers mois, et elle commence même à avoir de la poitrine. Pas suffisamment pour porter un soutien-gorge, mais assez pour que ça se remarque et que ça la gêne. Noa déteste ça. Elle déteste porter une brassière. Et cette robe, elle ne l’aime pas. Mais elle est obligée de la porter quand même, parce que c’est dimanche et que le dimanche, toute la famille Aguilar se réunit à l’église. Noa n’est pas la seule enfant Aguilar, ses cousins sont également là. Leurs parents aussi ont quitté le Guatemala pour venir s’installer à New York. C’était d’ailleurs un projet dont discutaient les frères Aguilar (le père de Noa et le père de ses cousins). Elle aime bien les voir, car elle se sent un peu seule dans son petit appartement avec ses parents. C’est ça aussi d’être fille unique… c’est envier ses cousins qui sont quatre. Et puis elle s’entend particulièrement bien avec Rosita, la benjamine, qui a le même âge qu’elle. Noa soupire. Elle aurait aimé avoir des frères et sœurs. Ou au moins une sœur. « ¡Vamos, Noa! » La jeune fille observe son reflet une dernière fois. Il n’y a rien à faire, elle n’aime pas ces robes du dimanche… Elle prend une grande inspiration, ferme les yeux un instant, puis elle sort de la salle de bain. « ¡Sí, papá, ya voy! » En route pour l’église, ce qui ne réjouit pas tellement Noa. Car même si elle est encore jeune, elle sait déjà qu’elle ne croit pas tout ce qu’on lui apprend dans ce lieu de culte. Elle a bien entendu appris le respect de la part de ses parents, alors elle ne se permet pas de critiquer ou de dire quoi que ce soit. Mais elle sait, au fond d’elle-même, qu’elle n’est pas croyante comme ses parents.

New York, décembre 2006 ◊ « Mi hija, hay una carta para ti. » Noa soupire bruyamment. Elle est fatiguée d’entendre ses parents parler espagnols tout le temps alors qu’elle se bat depuis des années pour apprendre l’anglais et prendre un parfait accent new yorkais. Ce qu’elle a finalement réussi. Si ce n’est pour son visage qui la trahit, lorsqu’elle parle, Noa a tout l’air d’une américaine. Mais chez elle, ses parents continuent de parler leur langue maternelle, et ça l’agace. D’ailleurs, ça fait quelques mois qu’elle ne répond plus qu’en anglais. Et ça, ça les agace eux. « J’ai une lettre ? Où ça ? De qui ? » Noa sort de la salle de bain pour rejoindre sa mère. Ils vivent toujours dans ce petit deux pièces. Alors, l’adolescente passe beaucoup d’heures dans la salle de bain. C’est le seul endroit où elle peut être tranquille. Elle a pris l’habitude de s’installer tous pleins de coussins et des plaids dans la baignoire afin de se créer un petit nid. Elle y lit, elle dessine… « Aquí. » La jeune fille attrape l’enveloppe que lui tend sa mère. C’est une enveloppe avec un tampon. Ça a l’air bien trop formel pour elle. Une affreuse pensée lui traverse l’esprit : et si on l’expulsait ? Un frisson lui parcourt toute l’échine. Noa prend une grande inspiration, et elle expire longuement. « ¿A qué esperas? » Sa mère la sort de ses pensées. Tout en s’asseyant à ses côtés, Noa lui fait part de son inquiétude. « Et si c’était une mauvaise nouvelle ? Et si on voulait… me renvoyer ? » Lorsqu’elle était petite, c’était tout ce qu’elle souhaitait : retourner à la maison. Mais aujourd’hui, à quinze ans, sa maison est ici. L’Amérique est son pays. « Así que no te preocupes, mi hija. » « Tu as raison, j’imagine, j’ai tort de m’inquiéter… » Noa offre un sourire pas très rassuré à sa mère. « Ok bon… » Elle ouvre l’enveloppe d’un coup sec. En tombe alors une carte à son nom, accompagné d’une lettre qu’elle s’empresse de lire. « … la nationalité américaine… ¡Oh, Dios mío! ¡Soy americano! ¡Mamá, soy americano! J’ai obtenu la nationalité américaine, tu te rends compte ?! » Noa saute de joie dans la cuisine en serrant la lettre contre son cœur ! Sa mère, folle de joie et on ne peut plus fière de sa fille unique, se lève et l’embrasse. « Estoy muy orgullosa de ti, mi hija. » « Moi aussi je suis fière de toi, mamá. » Les deux se prennent dans leurs bras et s’embrassent. Aujourd’hui est un grand jour. Noa Aguilar a obtenu la nationalité américaine, et rien ne pouvait rendre plus fière sa mère.

New York, octobre 2013 ◊ Voilà à peine un an, maintenant, que Noa fréquentait un homme incroyable. Simon. Elle l’avait rencontré sur le campus de son université le 5 mai, alors qu’elle célébrait Cinco de Mayo avec la communauté latine du campus, mais aussi avec sa cousine et ses amis à qui elle avait forcé la main. Aller venez, ce sera génial, vous verrez, et je vous promets une teq paf ! Cela faisait maintenant quelques années que Noa avait su accepter sa différence et en faire une force. Elle était dorénavant très fière d’être Guatémalienne et de parler espagnol. Et pour ainsi dire, tout se passait beaucoup mieux avec ses parents. Ils avaient même totalement accepté Simon qu’ils adoraient ! Simon… c’était une rencontre toute bête à la hauteur de la maladresse de Noa. Avec ses amis, ils venaient de se poser dans un bar et c’était elle qui était en charge de commander les boissons. Quelle idée quand on la connait… Elle était en train de revenir avec cinq verres dans les mains (en marchant doucement et en regardant plus les verres que là où elle mettait les pieds). Et voilà qu’elle a trébuché sur quelque chose au sol – ou plutôt quelqu’un – et qu’elle s’est étalée de tout son long sur ce garçon qui se trouvait allongé au sol. Que faisait-il ? Un de ses amis l’avait défié de s’enfiler plusieurs shoots en étant allongé au sol. Joueur, le garçon avait relevé le défi. C’était sans compter sur la maladresse de Noa. Voilà qu’à présent ils étaient tous deux recouverts de divers alcools (bière, whisky, vodka entre autres). Et Noa était tombée de tout son long sur lui. D’ailleurs, dans un réflexe il l’avait rattrapé. « ¡Oh, Dios mío! » Noa était trempée et elle puait l’alcool. Et puis c’est là qu’elle avait croisé son regard. « … Salut ! » Avait-elle sorti d’une petite voix. « Salut ! » Avait-il répondu en lui repassant une mèche de cheveux derrière l’oreille. C’est un peu comme si le temps s’était arrêté autour d’eux. Et puis le bruit environnant leur était revenu aux oreilles et ça les avait frappés. Elle était toujours dans ses bras sur le sol, tous les verres étaient éparpillés autour d’eux et ils étaient recouvert d’alcool. Noa s’était relevée très vite, rouge de honte. Et puis, alors qu’elle pensait disparaitre et ne jamais le revoir, il avait insisté pour passer le reste de la journée avec elle. Ce n’était pas juste une rencontre, c’était comme s’ils se retrouvaient enfin après une vie entière à se chercher.

Un an plus tard, ils vivaient ensemble dans un petit studio depuis six mois. Bien que les parents de Noa étaient persuadés qu’elle vivait seule. Vous imaginez un peu, deux jeunes non mariés qui vivent sous le même toit ? Ce serait un scandale ! Enfin dans la famille Aguilar tout du moins… Cependant, le scandale se trouvait au coin de la rue. Voyez-vous, à cet instant précis, Noa était assise sur le sol de sa salle de bain. Les larmes roulaient le long de ses joues, son nez coulait. Et tout son corps était parcourus de sanglots. Sa main droite, tremblante, tenait un test de grossesse dont le résultat venait de changer à jamais sa vie. Au même moment, Simon rentrait de son boulot. Quelle ne fut pas sa surprise en trouvant sa bien-aimée en pleurs sur le sol froid de la salle de bain. La rejoignant au sol, il passa ses bras autour d’elle pour la serrer tout contre lui. « Chhhuuut… je suis là, tout va bien se passer. » Il ignorait encore quelle était la cause de son chagrin, évidemment. Noa essaya de parler, mais les sanglots étaient trop puissants. Alors, elle tendit le test vers lui dans un dernier effort. Alors qu’elle lui donnait, les larmes coulaient encore plus. Il fallut un moment à Simon pour faire le lien, et pour comprendre. « Attends… tu es… enceinte ? » Sa réaction surprit Noa plus que tout. Simon arborait un immense sourire. « Tu es en train de me dire que je vais être papa ? » S’exclama-t-il en la serrant tout contre lui. Puis une lueur de lucidité lui passa par la tête. « À moins que… est-ce que tu veux… le garder ? » Son regard s’était fait sérieux alors qu’il plongeait dans les yeux de Noa. Sérieux, mais compréhensif. « Je ne sais pas… » Noa était perdue, trop de choses lui passaient par la tête au même moment. « Mes parents… » « On s’en fiche de ce qu’ils vont dire ou penser. Je serai là mon amour. » Noa sentit comme un poids se retirer de ses épaules. Pour être honnête, elle s’était déjà attachée à ce petit embryon. Et ces quelques mots de Simon finirent de la rassurer. « Je te promets que je ne vais nulle part. »

New York, juin 2014 ◊ « Je sais que vous êtes fatiguée, et vous vous en sortez très, très bien, mais il va falloir pousser une nouvelle fois. Le deuxième arrive ! » « Vous plaisantez ?? » Hurla Noa. La jeune femme était en sueurs, elle était trempée même. Elle maudissait, à l’instant présent, toutes les femmes qui avaient osé lui dire que l’accouchement était le plus beau jour de leur vie. Parce qu’à cet instant précis, Noa souffrait. Elle avait mal partout. Elle voulait juste tout arrêter, se reposer et laisser le bébé quelques mois de plus dans son ventre. Le bébé… le bébé qu’elle venait d’accoucher en plus ! Le médecin avait annoncé à l’instant qu’il s’agissait d’une petite fille. Même que Simon en avait eu les larmes aux yeux en embrassant Noa. Mais voilà, le médecin venait d’annoncer qu’un deuxième bébé arrivait ? « No, no, no. ¡Estás loco! ¡Sólo hay un bebé! Lo sé, he visto la ecografía, ¡sabría que hay dos! » « Chérie, en inglés… » Simon ne connaissait pas beaucoup d’espagnol, mais il savait au moins lui rappeler qu’elle ne parlait pas anglais. « Y en a pas deux ok !!! J’ai vu les échographies, j’étais làààààà oookééééééé, j’étais obligée d’être là vu que le gros ventre c’était moi !!! C’était pas Simon, ah ça non, sinon on lui aurait dit quoi ? Félicitations c’est un kebab ?!! Y EN A PAS DEUX !! Comment c’est possible ???? » À présent, Noa hurlait. Et plus elle hurlait, plus elle écrasait la main de Simon, plus le jeune homme se décomposait. « Noa… ma main… » « Oh t’as mal à la main ?? EH BEN IMAGINE MON UTÉRUS CE QU’IL RESSENT !! » Le médecin esquissa un petit sourire. « Noa… je sais que cette situation est confuse. Il arrive parfois que le second bébé n’apparaisse pas à l’échographie, il se cache derrière le premier. Mais pour votre bien-être, et celui du bébé, je vais vous demander de faire un tout dernier effort, et de pousser. Vous pouvez le faire ! » Simon posa sa seconde main, non broyée, sur l’épaule de Noa en signe d’encouragement. Oh comme elle le détestait à ce moment précis ! Noa pris une grande inspiration, et juste avant de pousser elle se fit la promesse à elle-même que c’était la première et la dernière fois de sa vie qu’elle tomberait enceinte.

« Félicitations, vous êtes l’heureuse maman de deux petites filles en parfaites santés ! » Alors qu’on lui déposait ses deux filles dans les bras, Noa, épuisée, était en larmes. Des larmes de joie, de fatigue, d’un trop plein d’émotions. « Bonjour Adelaida, bonjour Ainoa. Bienvenue au monde mes amours… » Simon était assis près d’elle, les yeux remplis de larmes et d’amour. « Je suis si fier de toi… Je t’aime… » Murmura-t-il à Noa. Le sourit qu’elle lui rendit valait tous les mots.

New York, novembre 2014 ◊ « Ça ne fonctionne pas. » Décréta un soir Noa alors qu’elle observait Simon avachit dans le canapé de leur studio. « Tu es en train de t’éteindre. » « Quoi ? » Noa s’assit à côté de lui et lui attrapa la main qu’elle serra fort contre elle. « Je suis en train de te perdre… Ce que tu souhaitais, c’était voyager, découvrir le monde, vivre de ta passion… Pas être enfermé dans un train-train pareil. Boulot, biberon, dodo. Ce n’est pas pour toi. » Simon était complètement perplexe, ahurit même. « Quoi ? » « Je t’aime. Et tu m’aimes aussi. Et tu aimes les filles plus que tout. Mais je ne veux pas que tu cesses de nous aimer, que tu cesses de m’aimer parce que ton rêve te file entre les doigts. » Il secoua la tête. « Je ne comprends pas… » « Nos chemins se croiseront toujours. Tu es mon pingouin, mon âme sœur, l’amour de ma vie. Mais tu dois vivre ta vie ! Tu dois vivre tes rêves ! » « Mais… » Noa l’embrassa, puis elle embrassa sa main. Elle se mordait l’intérieur des joues pour ne pas pleurer. « Je ne veux que ce qu’il y a de mieux pour toi. Et aujourd’hui, être père, être coincé dans cette routine, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour toi. » Simon était totalement perdu. « Simon… je t’aimerai toute ma vie. Et quand tu seras prêt à revenir vers nous, je serai là, je t’attendrai. Mais je ne supporterai pas de te voir t’éteindre un jour de plus. Ça fait cinq mois que ta petite flamme s’est éteinte. » Elle avait raison. Mais de l’entendre le dire, c’était bien plus douloureux que de l’admettre lui-même. Simon ne s’en rendait pas compte, mais il avait des larmes plein les yeux. « Je ne peux pas… » « Bien sûr que si tu peux. Va vivre tes rêves. Je serai toujours là, avec toi. » Dit-elle en posant sa main contre le cœur de Simon. « Toujours… » Il prit son visage dans ses mains. Qu’est-ce qu’il l’aimait ! Et le fait qu’elle le comprenait aussi bien rendait tout ça encore plus difficile. Mais elle avait raison… il s’éteignait, il devenait mauvais pour elle et les filles. Et s’il espérait un jour être un père parfait et être à nouveau l’homme dont Noa était tombée amoureuse, il devait se reprendre en main. Vivre ses rêves pour ne pas être amer. Il détestait ça, mais elle avait raison. Noa n’arrivait plus à retenir ses larmes. Elle se lova contre Simon, en pleurant silencieusement. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, et c’est parce qu’elle l’aimait tellement qu’elle le libérait. Ils passèrent la nuit entière dans les bras l’un de l’autre, en silence, s’imprégnant au maximum de ces derniers moments ensembles. Le lendemain matin, Simon était parti.

New York, mars 2021 ◊ « Ainoa, Adelaida, ¡vamos mis hijas! » Six ans plus tard, le temps avait bien passé depuis que Simon était parti. Noa en avait pleuré des larmes. Jamais devant ses filles. Toujours en silence. Elle s’était montrée plus forte que jamais. Ses parents avaient été d’une aide incommensurable. Ils avaient, bien évidemment, maudit Simon. Malgré le fait que Noa eut essayé, trop de fois, de leur expliquer que c’était elle qui l’avait forcé à partir. Bien évidemment, sa mère lui avait aussi fait la leçon sur le fait qu’elle n’avait pas su retenir son homme. Cet homme qui, malgré la distance, avait continué de subvenir aux besoins de ses filles, de leur envoyer des cadeaux et des lettres. Qu’est-ce qui lui manquait… Mais Noa avait appris à grandir sans lui, à vivre sans lui. Et elle ne l’avouerait pas, aujourd’hui, qu’il lui manque. Cette fierté qu’elle tient de sa propre mère. « On va à notre séance de méditation. » « ¿Con los gatos? » Demanda Ainoa. « Sí, con los gatos. » Les filles aimaient faire de la méditation avec les petits chats. C’était leur rituel, deux fois par mois, le samedi. Noa avait su se débrouiller seule, sans Simon. Elle avait construit une vie stable pour ses enfants. Elle était devenue graphiste à son compte. Elle s’était trouvé un loft de trois chambres à Brooklyn dont elle était propriétaire. Mais surtout, elle était heureuse et épanouie. Elle n’y croyait pas au début, mais finalement, elle avait réussi. Et elle pouvait être fière d’elle-même !



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Elodie
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Hm, pas que je sache... Enfin là, comme ça, y a rien qui me vient. hehokoi
Avatar à réserver : Gina Rodriguez Tag animaux sur I've got 99 problems 176241234
Crédit avatar utilisé dans la fiche: LITTLE WILDLING RPG
Souhaitez-vous un mp d'intégration Hm, non je pense que ça ira, mais l'idée est trop mignonne Tag animaux sur I've got 99 problems 995762081  plzz

Sunflower - Jules Brown

Invité
19 r ; 463 v.
Ven 4 Sep - 11:25
Jules Brown
26 ans - laborantine
FEAT : Angèle Van Laeken  Orpheline, elle a connu de nombreuses familles d'accueil sans jamais réussir à trouver sa famille à elle. Jules s'est énormément renfermée sur sa scolarité, l'école étant le seul endroit où elle se sentait à sa place. Pudique et réservée en apparence, elle devient vite une grande gueule quand on pénètre dans son espace sans y avoir été autorisé : Jules aime les gens, mais seulement à petite dose. Très (trop) sensible, elle a du mal à se retenir de pleurer dès que quelque chose l'énerve/l'irrite/la rend triste, et cette hyper-sensibilité l'agace au plus au point. Elle a vécu dans un sorte de lotissement pour caravanes dans le Bronx de 15 ans à 20 ans, jusqu'à ce que Leah Barghava l'accueille généreusement dans sa grande demeure en échange de quelques marques de tendresse. Frugale et radine, elle a finalement pas mal d'économies grâce à l'argent de vieux mecs en demande d'attention qu'elle escroque, ou en vendant ses culottes déjà portées à des prix exorbitants. Si le mois/trimestre n'a pas été fructueux, elle avait toujours son job dans un resto-bar pendant ses années lycée, et a, aujourd'hui, son poste de laborantine. Elle s'est improvisée couturière depuis le lycée, et rêverait de faire de la couture son métier, mais ce domaine n'est pas suffisamment stable pour qu'elle s'y lance entièrement. Fan des animaux, avoir une grande maison qui pourrait accueillir chiens, chats, rats, poules et chèvres fait évidemment également partie de son rêve.
who am I
ꕥ âge : 26 ans
ꕥ nationalité : États-unienne
ꕥ ethnie/origines : Personne ne sait vraiment, sa mère n'a laissé aucune indication quand elle a fait son overdose sur le parking d'une boîte de nuit, tout ce qu'on sait, c'est que la gamine s'appelle Julia Brown. Son prénom pourrait laisser croire qu'elle a des origines anglaises ou françaises, mais son nom de famille ne laisse plus trop de doutes : elle est américaine et se fond parfaitement dans la masse avec tous les autres Brown.
ꕥ orientation : Bisexuelle, mais depuis qu'elle a découvert son attirance pour les femmes, elle préfère leur présence à celle des hommes ; surtout si c'est pour se faire entretenir : les femmes qu'elle a connues sont beaucoup plus douces et respectueuses que ces vieux gros porcs.
ꕥ situation : Officiellement célibataire, officieusement en couple avec plusieurs hommes qui lui versent de l'argent tous les mois, et sinon, en concubinage avec Leah Barghava (même s'il n'y en a qu'une qui paie le loyer et la bouffe) en échange de quelques tendresses.
ꕥ occupation : Laborantine en journée, vendeuse de culottes sales en complément, mais surtout couturière à ses heures perdues. Quelle diversité !
ꕥ quartier : Manhattan
ꕥ qualités : Douce, rigolote, rigoureuse
ꕥ défauts : Menteuse, méfiante, hyper-sensible, grande gueule, vulgaire, manipulatrice, susceptible, rancunière, indigne de confiance (oups, il fallait que 3 défauts ?)
ꕥ passions : {#}animaux{/#} (tous autant qu'ils sont, si elle pouvait vivre dans une ferme, elle n'hésiterait pas) ; {#}couture{/#} (la machine à coudre qu'elle s'est offerte pour ses 15 ans est plus qu'amortie. Elle s'improvise couturière depuis le lycée, vantait ses créations en prétextant les avoir eu en édition limitées chez des grandes marques, et finit par donner ses fringues non portées à des sdf. Elle rêve secrètement de devenir couturière mais pour le moment, sa passion n'est pas sa priorité - mettre un maximum d'argent de côté l'est par contre) ; {#}fric{/#} (elle a vu ce que c'était que de vivre dans la misère, elle ne compte pas y retourner, alors tous les moyens sont bons à prendre, peu importe le danger qu'elle prend. Un jour, elle aura suffisamment d'argent pour subvenir à ses propres besoins, un jour, elle n'aura plus besoin de personne. Mais aujourd'hui, elle accumule tout ce qu'elle peut comme elle peut)
ꕥ communautés : Orphans and their angels - ancienne orpheline
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ mp d'intégration : Je veux bien s'il vous plaît love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : J'ai littéralement passé 2min devant mon écran sans savoir quoi écrire Tag animaux sur I've got 99 problems 2153884322 Je suis pas très douée pour les présentations, je vais me contenter de dire qu'on m'appelle Océ, j'ai 24 ans, toujours pas de boulot mais enfin décidée à suivre des études qui me correspondent (l'école infirmière, j'arrive !) et voilà ? Je suis de Lyon, j'aime manger (team salé plutôt que sucré d'ailleurs), glander devant Netflix, les chiens, le théâtre, rire (et faire des blagues de merde qui souvent ne font rire que moi), eeeet je crois que ça me résume bien cute

petit portrait chinois
ꕥ un livre : ça va se foutre de moi, mais j'ai vraiment adoré Sans famille en format BD
ꕥ un film : Difficile de choisir... Allez, je vais dire Mariage story
ꕥ une série : Beaucoup trop de séries aussi... Mais puisqu'il faut choisir, je prends Orphan black
ꕥ une chanson : The wonder of you (reprise de the Villagers)
ꕥ un animal : le chien
ꕥ un plat/dessert : ça va être assez spécifique, mais du riz gluant avec du poisson grillé et de la salade de papaye
ꕥ une boisson : ça va encore se foutre de moi, mais la tisane au fenouil c'est franchement bon quand même
ꕥ une célébrité : Tatiana Maslany
ꕥ un pouvoir magique : la teleportation pour pouvoir aller voir qui je veux quand je veux aussi vite que je veux  What a Face  
pour finir en beauté
ꕥ un trigger : je pense être suffisamment à l'aise avec tout, sinon, je ferais vomir mes perso à ma place  Tag animaux sur I've got 99 problems 1380091441

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Je pense qu’il n’y a jamais de problèmes, simplement des solutions. Quoi, vous avez besoin d’exemples ? Parce que j’en ai pas mal, des exemples. J’en ai accumulé, des merdes, depuis que je suis née. Entre la mère qui m’abandonne sur le parking d’une boîte de nuit parce qu’elle pouvait pas se passer de ses piqures entre les doigts de pied, les familles d’accueil dans lesquelles je suis passée sans jamais m’arrêter définitivement et les mecs bien sales qui ont profité de leur statut pour me balader comme ils voulaient, j’ai l’impression d’avoir déjà vécu trois vies alors que j’ai que 26 piges. Mais au fond, je m’en suis toujours sortie, voyez où j’en suis aujourd’hui : j’ai un boulot stable qui rapporte et tout l’argent que je gagne, ça va direct dans mes économies. Comment c’est possible ? Tout simplement parce que je suis logée, nourrie, entretenue, et tout ça gratos. Alors, un problème à l’heure actuelle ? Non, je vois pas. Ah, si, j’ai pas d’animaux, et ça, ça me rend triste. (Vous l’aurez bien compris, Jules n’aime pas s’attarder sur son passé, elle préfère voir au futur. C’est une optimiste qui reste relativement terre à terre, une optimiste qui ne se fait pas d’illusions et qui voit ce qui est accessible pour elle afin de ne jamais être déçue. Elle cherche l’issue de secours avant même de s’aventurer dans un problème, et bien souvent, elle la trouve.)

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Non, j’ai pas envie de finir comme ma mère. Et tous les autres types d’addictions, très peu pour moi. (C’est difficile pour elle de l’avouer, mais son téléphone ne la quitte jamais. Elle l’appelle "outil de travail" quand elle discute avec des tous ses fans sur ses sites très peu orthodoxes, mais on se doute bien que de faire défiler son fil d’actualité sur Insta ou de check des nouvelles tenues / nouveaux croquis sur Tumblr ou Pinterest est loin de faire partie de son temps de travail. Elle est accro à son téléphone, c’est tout.)

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Pour lui/elle, ou moi ? Parce que pour moi, très bien, sans doute. Je sais tirer profit de chacune de mes expériences, et toutes celles que j’ai vécues n’ont été que bénéfiques. Et puis, j’ai pas vraiment eu de relations sérieuses : pas le temps, pas l’envie, pas la force. J’ai autre chose à foutre que de faire la niaise en demande de baisers et de câlins, j’ai envie de dépendre de personne. (Elle évitera soigneusement de parler de ceux qui lui ont fait tourner la tête et pour qui elle aurait très bien pu se plier en quatre pour leur plaire. Jina par exemple ? La Reed avait été une grosse partie de sa vie au lycée, c’était la seule raison pour laquelle elle était heureuse de retourner au campement, la seule personne en qui elle avait vraiment confiance, au fond. Et quand Jules accorde sa confiance, c’est énorme. Certainement qu’elle avait été charmée par ses beaux yeux, ses traits fins et son innocence. Certainement qu’elle avait voulu croire que c’était possible d’avoir une amie, une vraie amie. Certainement aussi qu’elle se voilait la face quant à ses réels sentiments envers Jina. Mais tout ça c’est de l’histoire ancienne, c’était bien avant que la Reed ne trahisse sa confiance.)

Le dernier texto que tu as envoyé ? "Y’a plus de PQ, tu peux aller en chercher en rentrant stp ?" Texto adressé à Leah, ma coloc. Enfin, la proprio de cet appart. Enfin, plutôt celle chez qui je squatte gratos. Je viens de dire que j’avais jamais eu de relation sérieuse, mais j’en ai bien une en fait, de relation, qui dure depuis un certain nombre d’années : celle avec Leah. Enfin, on est loin d’être en relation exclusive, ou relation tout court en fait, je saurais même pas comment qualifier ce qu’on est : je vis chez elle presque gratuitement, tout ce qu’elle demande c’est mon oreille attentive (et mon corps nu dans son lit parfois, oui), et ça nous convient à toutes les deux. Ca fait 6 ans que ça dure déjà. Putain, 6 ans ? Woah, sacré coup de vieux d’un coup.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? J’ai pas envie de m’étaler dessus. On m’a abandonnée, c’est tout ce que je retiens de ma mère biologique. Personne n’a jamais voulu de moi dans sa famille par la suite, j’en suis pas morte pour autant. La seule personne qui compte réellement pour moi, ça restera la responsable du foyer dans lequel j’étais : Margaret. Elle a toujours été compréhensive, douce, sans jamais brusquer les gamins du foyer. Sans doute qu’elle avait compris à quoi je jouais quand je faisais chier mon monde. (Ce qu’elle ne dira pas non plus, c’est qu’à chaque passage dans une famille d’accueil, elle se méfiait davantage, se fermait un peu plus aussi. Peu d’entre eux ont réussi à acquérir pleinement sa confiance, et les seuls qui y sont parvenus se sont avérés être assez malsains : remplacer leur fille décédée par Jules reste rarement une bonne idée.)

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? J’aime bien coudre. C’était un besoin quand je vivais dans ma petite caravane de merde dans ce lotissement tout pourri, mais c’est devenu quelque chose que j’apprécie plus que la moyenne. Je savais que j’étais manuelle, mais j’aurais jamais pensé l’être dans ce domaine. En tous cas, ça me permet d’avoir des fringues singulières, c’était plutôt cool au lycée de faire croire à tout le monde que ça provenait de magasins de luxe, les gens te regardent tout de suite différemment.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Un seul fait ? Lequel, le plus ou le moins trash ? Je peux raconter une fait peu glorieux dont je suis fière ? Parce qu’il y en a un qui me fait particulièrement jubiler à chaque fois. Allez, je me lance, mais avant toute chose, qu’on se mette bien au clair : certaines familles d’accueil prennent en charge des enfants parce qu’ils ont besoin de se sentir utiles, certaines le font parce qu’elles veulent adopter, mais d’autres encore parce qu’elles ont besoin de fric, et c’est évidemment dans la dernière catégorie que je vais puiser mon anecdote. La mère était sacrément brutale, relativement violente dans ses propos face aux plus petits d’entre nous. Elle s’était pas trop attaquée à moi encore, je pense qu’elle avait dû se méfier aux vues de mon âge et de mon attitude, mais par contre, le petit Brian de 5 ans, elle s’est pas faite prier. Elle aurait dû se douter que j’allais pas attendre sans broncher, mais elle a continué, et j’ai fini par foutre de la crème dépilatoire dans son shampoing. Si certains ont encore des doutes sur le produit, c’est efficace, la crème dépilatoire.

this session is gonna be different
Lulu ꕥ 24 ans
fréquence de rp : Au minimum 1 fois par semaine, mais je monte rapidement à plus quand ma vie irl est plus chill ϟ fréquence de connexion : Tous les jours ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Je suis habituée au minium du 300 mots et je m'adapte à mes partenaires de rp. J'aime beaucoup les dynamiques des rps courts, mais j'aime aussi les plus longs, je peux monter à 1500 mots ϟ avatar à réserver : Angèle Van Laeken ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Ca depend sous quelle lumière on les met   Tag animaux sur I've got 99 problems 2958767705 ϟ comment avez-vous connu 99 ? C'est Kelly et Jina qui m'ont ramenée ici Tag animaux sur I've got 99 problems 3082847110 ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J'ai beaucoup trop hâte de vous rejoindre, vous êtes si beaux  Tag animaux sur I've got 99 problems 3460843005
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La vérité toute nue n'est pas toujours belle à regarder + LINA

Invité
16 r ; 598 v.
Mar 24 Mar - 13:50
Lina Meziani
27 ans - gérante d'une nouvelle pâtisserie
FEAT : nina dobrev
Lina elle est née à Jérusalem et y a vécu les 7 premières années de sa vie en compagnie de ses parents, son frère et sa soeur avant de déménager à NY pour fuir la guerre. Peu de temps après leur arrivée au USA son père s'est mis à frapper sa mère. Lina n'a jamais pardonné à sa mère de ne pas avoir fuit cet homme et de toujours lui avoir pardonné. Aujourd'hui son père est décédé et c'est désormais Lina qui se fait frapper par son petit ami actuel mais qui refuse de le quitter parce qu'elle est persuadé qu'il l'aime. Lina elle n'a jamais vécu dans le le luxe et a commencé à travailler dès l'âge de 14 ans. Du ménage, du repassage, tondre la pelouse puis du baby-sitting. A 21 ans elle a commencé à travailler dans un bar, ce genre de bar ou les serveuses sont en petite tenue parce que ça fait soit disant mieux consommer. Et puis il y a quelques semaines son petit ami lui a permis de réaliser le rêve pour lequel elle économise depuis des années : ouvrir sa propre pâtisserie avec des spécialités française, arabe et italienne. Lina elle est combative, fidèle, ambitieuse, organisée, hyperactive et très secrète sur sa vie amoureuse. Elle aime rire, s'amuser et est une fille pleine de vie.
who am I
ꕥ âge : 27 ans
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle
ꕥ situation : en couple
ꕥ occupation : gérante d'une toute nouvelle pâtisserie depuis quelques semaines
ꕥ quartier : le queens
ꕥ qualités : organisé, battante, fidèle, loyale, ambitieuse
ꕥ défauts : hyperactive, fragile, maladroite, naïve (ou peut-être juste amoureuse)
ꕥ passions : {#}pâtisserie{/#}, {#}instagram{/#}, {#}manger{/#}, {#}sport{/#}, {#}makeup{/#}, {#}sugaraddict{/#}, {#}animaux{/#}
ꕥ communautés : the oak appartment complex
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? no thanks  keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Est-ce que je suis pardonné si je vous fait un copier/coller de ma présentation sur la fiche de Ian ? Tag animaux sur I've got 99 problems 225322147 Je m'appelle Gaëtane, j'ai 23 ans, je fais du RP depuis 10 ans environ et je suis POUFSOUFFLE !! C'est une information importante sisi !! Autrement et bien je suis une férue de lecture, ma bibliothèque est pleine et ma PAL déborde bien trop. J'adore suivre des booktubeuse sur Youtube, j'ai un compte instagram dédié aux livres et j'adore également les séries (en ce moment je me refais toutes mes vieilles séries que j'ai adoré regardé, je suis également à fond dans Reign  Tag animaux sur I've got 99 problems 3460843005  Tag animaux sur I've got 99 problems 3460843005 et j'attends avec impatience la partie 4 de la casa de papel dans quelques jours  pompom
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : la saga Un palais d'épines et de roses de Sarah J. Maas
ꕥ un film : The Greatest Showman ! Je comprends même pas pourquoi j'ai pas répondu ça sur ma première fiche
ꕥ une série : Un dos tres
ꕥ une chanson : Impossible - James Arthur
ꕥ un animal : Le chien et plus particulièrement mon chien !  love
ꕥ un plat/dessert : Des crêpes ! Toute ma vie je pourrais manger des crêpes !
ꕥ une boisson : De l'Oasis orange ! Oui oui pas le tropical le orange !
ꕥ une célébrité : Kristen Bell  Tag animaux sur I've got 99 problems 3460843005 j'adore cette femme
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : /

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Aujourd’hui quand elle y pense elle se demande ce qui a bien pu passer par la tête de ses parents de quitter leur pays d’origine avec 4 enfants en bas âge. Quatre enfants qui ont du reconstruire toute leur vie de l’autre côté de l’océan. Lina se souvient de son premier jour aux Etats-Unis. Ils étaient restés des heures à l’aéroport et ses parents avaient parlé avec des hommes en uniformes pendant des heures. Bien sur elle n’avait pas compris un mot de la conversation. Sa langue à elle c’était l’arabe et voila qu’on lui parlait maintenant d’apprendre l’anglais, alors qu’elle avait seulement 6 ans. Plus tard elle apprit que s’ils étaient restés aussi longtemps à l’aéroport c’était parce que le territoire américain n’était pas un grand adepte des étrangers, d’autant plus ceux venant des pays du Moyen-Orient. Et un an plus tard ils le seraient encore moins après l’attentat du 11 Septembre. Enfin après des heures passés là-bas ils avaient ensuite fait quelques heures de routes jusqu’à arriver dans cette ville avec des maisons aux palissades en bois. Elle se demanda pourquoi ils avaient tous des palissades devant chez eux. Avaient-ils peur d’être attaqué ? Pourquoi ses parents auraient-ils fuit un pays en guerre pour un autre qui l’était également ? Malgré tout, la petite tête blonde était émerveillée par tout ce qu’elle voyait autour d’elle. C’était tellement différent de Jérusalem. Il lui fallut plusieurs semaines pour s’habituer à sa nouvelle vie, sa nouvelle maison et cette nouvelle langue dont elle devait tout apprendre. Ses parents ne prenaient pas la peine de parler anglais à la maison si bien que chaque jour à l’école Lina se sentait mise de côté. Tous les enfants étaient venus la voir dans un premier temps. Elle était la nouvelle de la classe et la nouveauté ça donnait envie. Mais ils se lassèrent aussi vite de ne pas la voir répondre à leur question. Elle les regardait tour à tour sans savoir quoi dire. Ils ne comprenaient pas sa langue et elle ne comprenait pas la leur. Et puis les années ont passés. Elle finit par apprendre l’anglais, par le comprendre même mieux que sa langue maternelle. Les années passèrent et les souvenirs de Jérusalem s’évanouirent petit à petit. Elle avait oublié jusqu’au nom de ses anciens amis remplaçant ceux là par de nouveaux noms.

On dit souvent que c'est lorsque tout va bien que quelque chose se produit. Comme si la vie refusait de nous octroyer trop de bonheur à la fois. C'est ce qui se passe pour Lina et pour sa famille. Son père avait toujours été un homme assez étrange à ses yeux. Parfois il demandait à ses enfants de venir s'asseoir sur ses genoux juste pour leur dire qu'il les aimaient, et puis le lendemain il leur hurlait dessus en leur répétant qu'ils n'étaient que des bons à rien. Lina ne se souvint plus vraiment de quand cela à commencé. Ils étaient à New York depuis 1 an environ, peut-être moins quand il leva la main sur sa mère la première fois. Lina avait vu toute la scène. Il ignorait qu'elle était dans l'escalier à les écouter alors qu'ils se disputaient. Il ignorait qu'elle avait vu toute la scène. Elle avait vu sa main gifler la joue de sa mère avec violence. Elle avait vu les larmes de sa mère lui monter aux yeux. Puis elle l'avait entendu la supplier de lui pardonner quelques minutes plus tard. Ce qu'elle avait fait. Ce qu'elle continua à faire au fil des années. Lina elle, elle ne pardonna pas à son père. Si elle n'était pas encore en âge de quitter le domicile familial elle était en revanche en mesure d'ignorer son père un maximum. Plus elle grandissait et moins elle comprenait la brunette. Sa mère ne cessait de lui répéter que leur père l'aimait. Lina et elle n'avait visiblement pas la même définition de l'amour.

Lorsqu'elle avait 15 ans environ Lina tomba amoureuse pour la première fois. Ce garçon c'était le garçon d'à côté. Le garçon vivant dans l'immeuble d'en face, au même étage qu'elle. Ce garçon c'était celui qu'elle avait vu une fois sur les marches de l'immeuble avec un oeil au beurre noire. Elle lui avait demandé comment il s'était fait ça. Il avait répondu qu'il était tombé. Ce garçon c'était Ezra. Mais Ezra il semblait tomber souvent. Lina elle finit par s'asseoir avec lui sur ces marches lorsque la vie devenait trop dur dans l'appartement pour qu'il veuille rentrer. Elle restait la avec lui pour ne pas qu'il tombe et pour ne pas que les coups tombe sur lui. Ezra c'était ce garçon d'à côté dont le père frappait la mère avant de finalement se rabattre sur lui quand ce dernier s'interposait. Ezra c'était ce garçon qui la comprenait parce qu'il vivait plus ou moins la même chose qu'elle. Ce n'est peut-être pas une bonne idée de tomber amoureuse d'un garçon qui a les mêmes démons que vous et pourtant c'est ce qu'elle fit. Ils tombèrent amoureux. Follement amoureux et lorsque le soir dans leur lit les cris et les coups devenaient trop dur à entendre ils s'installaient chacun à la fenêtre de leur chambre se faisant face. Ils s'enroulaient chacun dans leur couverture et s'endormaient ainsi en se regardant à quelques mètres l'un de l'autre. Mais les années passèrent et si Lina refusait de quitter sa famille, sa vie ici, Ezra lui n'éhsita pas une seconde. Il disait qu'il fallait qu'il parte pour vivre, pour survivre, pour se reconstruire. Et c'est ce qu'il fit lorsqu'il eut 18 ans. Il parti loin. Très loin.

Des garçons il y en a eu d'autres. Des histoires plus ou moins longues. Des histoires qui ont compté plus que d'autres. Et puis il y a quelques mois il y a eu Isaac. Isaac elle l'a rencontré le jour de l'enterrement de son père. Ce jour-là sa mère lui avait demandé à ce qu'elle fasse un discours pour rendre hommage à son père. Lorsqu'elle fut devant le micro Lina n'ouvrit pas la bouche. Parce que la vérité c'est qu'à ses yeux il n'y avait rien d'honorable à raconter sur cet homme. Rien qui ne puisse enlever toutes les années de souffrance qu'il avait fait vivre à sa femme. Ce jour-là après l'enterrement elle s'était rendu sur le toit d'un immeuble. C'est quelque chose qu'elle aime bien faire Lina. C'est là qu'elle le rencontra. Isaac il était issu d'un milieu riche à l'opposé du sien. Quand elle n'avait fait que petit boulot sur petit boulot depuis plus de 10 ans pour gagner un maigre salaire, lui avait voyagé à travers le monde tout en faisant des études de médecine. Isaac et elle ne pourrait pas être plus différent et pourtant ils tombèrent amoureux. Il y a quelques semaines sans même avoir son consentement il décida de lui offrir la boutique dont elle rêvait pour ouvrir sa pâtisserie. Son rêve. Elle lui en voulu d'avoir dépensé tout cet argent pour elle Lina. Mais elle lui pardonna bien vite lorsque ses lèvres se posèrent à nouveau sur les siennes. Mais comme je le disais plus tôt c'est souvent lorsque tout va bien que... Il la gifla la première fois alors qu'elle rentrait du travail. Il s'excusa presque aussitôt. Elle ne partit pas comme elle s'était toujours juré de le faire si un jour elle rencontrait un homme comme son père. Il n'était pas comme son père. Il l'aimait... C'est ce dont elle finit par se convaincre. Elle lui pardonna. Elle fit ce qu'elle avait reproché à sa mère pendant toutes ces années sans même s'en rendre compte.

un. Lina porte absolument toujours du rouge à lèvre, même si c’est des fois des couleurs neutres elle en a toujours et se retrouve d’ailleurs souvent avec une dizaine de rouge à lèvre dans son sac. Elle adore faire des marques de rouge à lèvre sur les joues de son frère d’ailleurs qui lui déteste ça. deux. Lina parle couramment anglais bien sur malgré qu’elle ai appris cette langue à partir de 7 ans, elle parle également arabe avec sa mère qui refuse toujours de parler anglais avec ses enfants. trois. Elle vit en colocation Lina parce qu'elle a beaucoup de mal à se retrouver seule le soir quatre. Depuis presque 10 ans maintenant elle est devenue une grande adepte de la course à pieds et du sport en général. Elle cours presque tous les matins et va à la salle de sport au moins 3 fois par semaine. cinq. Lina c'est une hyperactive, elle a besoin d'être productive, toujours en mouvement. Elle est également très organisée et c'est ça qui lui permets d'allier son boulot, sa vie, perso, le sport. Chaque jour elle se fixe une liste de choses à faire assez impressionnante et se couche rarement avant d'avoir tout terminé, même si cela signifie ne dormir que 2h avant d’enchaîner sur une grosse journée de travail. six. C'est un vrai ventre sur patte, si elle peux passer des heures, des journées presque sans dormir en revanche il lui est impossible de passer plus de trois heures sans manger quelque chose. Même s'il ne s'agit parfois que d'une barre de céréales mais il lui faut à manger. Ainsi dans son sac en plus des 10 rouges à lèvres on retrouve également toujours deux ou trois barres de céréales écrasés ou en morceaux. sept. Lina elle rêve d'avoir un chien, un bouledogue français pour être exacte. C'est d'ailleurs une grande fan d'animaux et de chiens en général. C'est simple lorsqu'elle en croise un dans la rue elle s'arrête presque systématiquement pour le caresser. huit. Elle est légèrement psychorigide sur le rangement Lina. Elle a besoin que tout soit à sa place si bien qu'elle ne se couchera jamais sans avoir rangé tout ce qui peux traîner dans la cuisine ou le salon. Il en va de même pour tout. Les photos sur son téléphone sont toutes rangés dans un album spécifique. neuf. Lina elle est très discrète sur sa vie personnelle et surtout sur ce qui concerne son petit ami actuel si bien que personne n'est au courant qu'il la frappe.



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getget/gaëtane ꕥ 23 ans
fréquence de rp : 2 rp / semaine environ ϟ fréquence de connexion : aussi souvent que possible  puppy  ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? en moyenne j'écris au minimum 500 mots, j'ai beaucoup de mal à écrire moins et beaucoup de mal à répondre à quelqu'un qui écrit moins. Enuite je peux écrire facilement jusqu'à 1000 mots si le rp m'inspire  cute  ϟ avatar à réserver : Nina Dobrev ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ceux que j'avais dans mon assiette à midi étaient verts  scratch  ϟ comment avez-vous connu 99 ? par une fille un peu cool qui a rejoins le staff récemment  Tag animaux sur I've got 99 problems 3697710961  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'ai tellement hâte de vous faire découvrir Lina et de la jouer  Tag animaux sur I've got 99 problems 2881807329  Tag animaux sur I've got 99 problems 2881807329  Tag animaux sur I've got 99 problems 2881807329
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