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9 résultats trouvés pour faire-la-fête

ahri swann ― do it like nobody's watching

Invité
15 r ; 713 v.
Sam 2 Jan - 18:59
ahri swann
FIT HOT GUYS HAVE PROBLEMS TOO
ID CARD
{@=799}ahri swann{/@}
21 ans - étudiante
FEAT : jennie kim
ahri est issue d'une famille aisée, ses parents sont divorcés et son frère est en prison. étudiante en journalisme à l'université de columbia mais aussi patineuse artistique depuis qu'elle sait tenir sur ses jambes, ahri est toujours en quête d'excellence. aussi douée sur la glace qu'en cours, façade méticuleusement entretenue pour dissimulée sa triste réalité. cœur d'artichaut et rêveuse à ses heures perdues, elle tombe amoureuse aussi vite qu'elle change d'avis. petite précieuse qui compte sur l'argent de papa, elle n'a pas conscience du monde dans lequel elle vit et a bien besoin qu'on lui ramène les pieds sur terre.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine par le droit du sang et du sol.
Ethnie/origines : Sud-Coréenne. Branche maternelle, aussi loin que l'on puisse remonter. Famille conservatrice, tradition brisée avec l'Américain.
Orientation : Hétérosexuelle. Les larges épaules, les voix rauques et les dos musclés. Ahri n'a d'yeux que pour la gente masculine.
Situation : Célibataire volage. Insupportable avec les garçons, cœur d'artichaut et croit au prince charmant. Elle veut son "ils vécurent heureux pour toujours".
Occupation : Etudiante en journalisme à l'Université de Columbia mais aussi patineuse artistique depuis qu'elle est capable de tenir sur ses jambes, très douée il paraît.
Quartier : Manhattan, au 74th street dans l'Upper East Side au penthouse de papa.

and what else ?
Qualités : Intelligente, observatrice, douce, déterminée, sportive, bosseuse, sociable, chaleureuse, passionnée.
Défauts : Impatiente, possessive, peste sur les bords, un brin manipulatrice, peut-être capricieuse, opportuniste, dépensière, imprudente.
Passions : {#}patinage{/#} {#}shopping{/#} {#}faire-la-fête{/#}
Communautés : Gotha. Membre adhérente grâce à la fortune et connexions de papa, décidemment c'est lui qui ouvre toutes les portes d'Ahri ! Columbia University, statut d'étudiante et membre rivale des Rich Kids.



that's my story / self diagnosis
【 20 octobre 1999 】 Naissance d'Ahri dans une clinique privée de New York. Son père est coincé à l'aéroport en Russie ce jour-là, la météo ne lui permet pas de rentrer à temps aux Etats-Unis. Absence qui va engendrer des tensions, et on apprendra plus tard qu'Ahri n'était qu'un bébé solution. Gamine censée rabibocher ce couple en pleine chute, supposée raviver la flamme.

【 Childhood 】 Enfance dorée. Ahri s'essaye à plusieurs activités extrascolaires, allant de l'équitation à la danse classique tout en passant par le piano, le violon… jusqu'à ce qu'on l'amène à la mythique patinoire du Rockefeller Center.
Costumes pailletés, chignons serrés, mèches plaquées et maquillages colorés : elle assiste à sa première compétition dès l'âge de 7 ans.
Ahri arrive à combiner l'excellence scolaire à sa passion pour le plus grand bonheur de ses parents.

【 Teenage years 】 La chute aux enfers. Tandis que la belle Ahri ne cesse de rapporter de bonnes notes à son père et à sa mère, son frère décline. Majeur et à l'université, lui qui était tout aussi brillant, fréquente les mauvaises personnes et tombe en même temps qu'eux. La famille Swann est décontenancée par cette nouvelle, et se déchire lorsque le verdict tombe. Faute remise sur le père que l'on accuse d'être jamais présent, madame Swann retrouve son nom de jeune fille et s'envole pour la Corée du Sud afin de retrouver les siens.
Et Ahri dans cette affaire ? Brisée en morceaux. Elle doit choisir entre suivre sa mère ou rester avec papa. La garde alternée n'est pas envisageable puisque cela impacterait ses résultats scolaires d'une façon ou d'une autre.
C'est donc chez son père qu'elle décide de vivre, ne rendant visite à sa mère que lors des vacances. Choix peu anodin, presque logique, l'argent de papa et sa vie minutieusement construite ici en Amérique l'ont fortement influencé.

【 University of Columbia 】 Journalisme, même si la belle aurait souhaité se concentrer pleinement sur le patinage artistique. Etudes supérieures qui semblent sérieuses et qui font la joie de son père, elle rapporte toujours autant d'excellentes notes et devient un symbole d'espoir aux yeux de ses géniteurs. Au moins, ils n'en n'ont raté qu'un. Mais Ahri elle en souffre, cette pression est presque ingérable… Elle le reproche souvent à son frère lorsqu'elle lui rend visite secrètement, parce que lui aussi était brillant, parce qu'il aurait dû faire son job de grand-frère.
Pression qu'elle calme avec les garçons, en faisant la fête et en se fichant pas mal des répercussions. Folies nocturnes, plaisirs matériels, Ahri se soigne avec le shopping et les billets verts.

【 Boys, boys, boys 】 C'était quoi le nom du dernier déjà ? Antoine ? Peut-être, elle ne s'en rappelle plus en tout cas… Passionnée un jour, lassée le lendemain. Elle s'attache, s'ennuie et se tire avant qu'il ne soit trop tard. Elle rêve du bon mais bonté divine ce qu'elle est chiante ! Courage à celui qui supportera ses caprices et sa possessivité. Courage à celui qui ne se démontera pas, à celui qui osera lui dire non. Courage.

this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : peach.
Age: presque 21 ans
Avez-vous des triggers personnels ? violences animales, inceste, pédophilie, agressions sexuelles
Avatar à réserver : jennie kim
Crédit avatar utilisé dans la fiche: killingboys
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec plaisir  Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 176241234

Poudre aux yeux • (Evan)

Invité
11 r ; 1052 v.
Dim 27 Déc - 11:00
Evan O'Reilly
IDK what you're talking about
ID CARD
{@=793}Evan O'Reilly{/@}
25 ans - Nettoyeur de contenu
FEAT : Jaco Van Den Hoven
Garçon paillette, clubbeur et fils de la nuit, Evan se retourne le cerveau par plaisir d'oublier son métier, et ses aspirations réduites en poudre. Le jour, il nettoie la merde sur le net, efface les reliquats du deep web et ses horreurs trop réelles pour le compte d'une boîte de censure de contenu violent. Ce n'est pas la vie dont il rêvait, et finalement, il n'a jamais vraiment su ce pour quoi il était fait. Au fond, il continue de culpabiliser concernant la cécité natale de son jumeau, traumatisme intériorisé depuis l'enfance. Alors, peut-être par envie de lui ressembler, ou de comprendre ce qu'il ressent, il s'abîme les yeux à sa façon.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain.
Ethnie/origines : Caucasien, d'origine irlandaise du côté paternel.
Orientation : Panromantique & Pansexuel.
Situation : Célibataire papillonant.
Occupation : Ancien étudiant en informatique et communication, désormais agent depuis un an dans une boîte de censure de contenu violent sur internet.
Quartier : Le Queens.

and what else ?
Qualités : Créatif • Indépendant • Sûr de lui • Franc • Loyal • Energique • Curieux • Volontaire • Altruiste • Tchatcheur talentueux • Drôle • Observateur • Bon cuisinier • Compétitif (principalement avec lui-même) • Persistant.
Défauts : Taiseux • Introverti sur ses ressentis • Colérique à retardement • Acerbe • Trop fêtard • Se laisse facilement emporter par son déni d'addiction • Menteur • Dépensier • Mauvais perdant • Couche-tard (à tendance hibou) • Têtu.
Passions : {#}théâtre{/#} {#}informatique{/#} {#}faire-la-fête{/#}
Communautés : {#}Les{/#} habitants du Oak Complex, {#}The{/#} Outpost, {#}Cours{/#} de théâtre du mardi soir, {#}Le{/#} club de lecture du Queens & {#}LGBT{/#} center Manhattan






that's my story / self diagnosis

Bidibip, bidibip, bidibip !
« Bon-jour mes petits lamantins ! Vous êtes bien sur Lounge Radio On, la station survitaminée qui vous donne envie de vous lever ! C'est Stella et moi-même qui vous accompagnerons durant toute votre mat-
- Oh ta gueuuuuuule. »

Un coussin bien placé écrase mollement le discours répétitif de Johnny, le co-animateur de cette fameuse Stella dans la non moins fameuse émission du matin. Evan y a droit cinq fois par jour, au même instant, à l'heure dite. Un 7:00 am rouge flash dans la chambre pleine de pénombre, teintée de la silhouette de son propriétaire que depuis trois heures seulement.
Ce dernier a la bouche empâtée, le cœur au ralenti, tout les deux malmenés par la soirée passée à écumer les lèvres les moins farouches d'une boîte en vogue de la ville. Les souvenirs sont parsemés de brume alcoolisée, comme son lit défait, parfum solitude éparse. Cette nuit, ce peu de nuit, il est rentré seul. Et chez lui. Une rareté dans son tableau de chasse, où figure, de temps à autre, ce genre d'acte raisonné. Comme une tâche dans le décor, un vide à combler dés que le week-end sera tombé.

Parce qu'aujourd'hui, on est seulement Mardi. Aujourd'hui, c'est un jour comme les autres, un début de semaine à peine entamée mais déjà épuisée. Quelques heures de boulot la veille et Evan a déjà besoin de s'évader. Ça promet pour le reste, qu'il se figure, la paupière lourde.

Dehors, il neige à peine. La motivation est à fleur de banquise fondue. Autant dire que le petit lamantin, lui, il veut juste continuer de ronfler.

[…]

7:30. 8:00. 8:15 am.

Une petite perturbation dans le spectre du sommeil. Un cauchemar. Trop d'images. Trop de choses gravées sur la rétine. Des terreurs qu'il n'a pas subi, qu'il efface et qu'il tait.
Cette routine que l'on veut oublier.

11.00 am.

La Belle au Bois Dormant ne fait plus d'heures supplémentaires.
C'est la vibration de son portable contre son tympan qui surprend la princesse au point de sursauter et s'écraser sur son parquet d'un autre temps. Le craquement serait capable de réveiller tout l'immeuble, si le reste du monde n'était pas déjà occupé. Le bâillement sourd et les cheveux emmêlés, le jumeau répond à l'appel de son cadet. De deux minutes, pas plus.

« Vué ?...
- T'as ta voix de quand t'es sorti.
- Vué.
- T'es en état de m'accompagner cet aprèm ? T'es sûr ? T'es pas au boulot là d'ailleurs ?
- Vué et... pas vué.
- Putain, Ev.
- C'est bon. J'dirais que j'étais malade. Y'm'doivent des heures de toutes façons. »

En poursuivant la conversation, Evan s'est redressé, paresseusement, au ralenti. Neil est toujours plus vindicatif quand il sait que son frangin fait des siennes. Des deux, paradoxalement, c'est Neil le plus clairvoyant. Ses yeux morts n'ont jamais été un frein pour lire les faits et gestes d'Evan. Même ses excès. Surtout ses excès.

« Sérieux, t'avais promis que tu commencerais à faire gaffe... Tes employeurs vont finir par vraiment gueuler.
- Tu m'appelles juste pour m'emmerder ou... ?
- Naaaan, ça c'est juste le bonus plaisir. J'voulais juste être sûr que c'était toujours bon pour toi.
- Mais oui. 15H00 au groupe de parole, j'ai pas oublié.
- Cool. Tu peux v'nir plus tôt et passer à la maison ? M'man a des trucs à te demander en plus.
- Quels trucs ?
- J'sais pas. Elle m'a dit que son ordi avait planté, ou chais pas quoi.
- Ok. J'avale un grecque et j'arrive.
- Ça marche, mais épargne moi les détails de ta vie sexuelle, tu seras mignon.
- … T'es con. »

D'un sourire à moitié défait, autant que son visage de plâtre marbré, Evan raccroche et fonce se réveiller sous un jet d'eau chaude. Une douche et une série de fringues plus tard, il sort enfin braver le froid de décembre et ses dérivés mordants. Verglas, buée, gosses criards qui hurlent au Père Noël. Evan n'aime le froid qu'en compagnie d'un plaid et d'un irish coffee. Ses pas s'écrasent le plus vite possible vers la sandwicherie à l'angle de sa rue, petit coin gras et chaleureux fleurant bon les épices. L'odeur lui flatte déjà les narines. Sous son bonnet laineux enfoncé jusqu'aux sourcils, il trace sans réfléchir. Alors c'est peut-être l'envie de remplir son estomac vide depuis trop longtemps, ou la simple idée d'échapper à la pluie givrée commençant à perler dans son cou, mais dans tout les cas, Evan ne remarque qu'à la dernière seconde le café renversé par mégarde sur son blouson, par un pas aussi pressé que le sien, si ce n'est plus encore. La personne au bout du gobelet le fixe, dans un instant suspendu. Et la tâche grandit sur la doudoune molletonnée.

C'est à qui s'excusera en premier, dans ce western moderne, aux accents de moka et de stress urbain.
Un épisode de vie typique, au cœur vermoulu de la Grosse Pomme.
Rien de plus, rien de moins.



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Pseudo ou Prénom : Syato ou Victor
Age: 26 ans.
Avez-vous des triggers personnels ? Pas beaucoup, si ce n'est les actes de mutilation/scarifications, et la violence sur les animaux. Je prend le parti de toujours en discuter avec mes partenaires quand un sujet "touchy" peut être aborder irp.  cute
Avatar à réserver : Jaco Van Den Hoven
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Praimfaya
Souhaitez-vous un mp d'intégration Pourquoi pas, c'est plutôt une chouette initiative !  Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 2881807329

Can I hug you ? - Jude Kingstar

Invité
19 r ; 1075 v.
Mer 16 Déc - 21:16
Jude Kingstar
i need help
ID CARD
{@=785}jude kingstar{/@}
24 ans - freelance
FEAT : Brandon Flynn
Résumez nous votre idée de personnage dans ce petit cadre, cela n’a guère besoin d’être long. Il s’agit simplement d’un résumé de votre personnage destiné à rejoindre le registre des personnages du forum.
Ce résumé devra contenir les information de base sur votre personnage afin de le présenter aux autres membres. Parlez donc de son caractère, son background familial, ses ambitions, ses petits problèmes, l’évolution que vous lui envisagez… C’est libre ! Veillez simplement à l’écrire de façon claire, vous aurez tout le loisir de faire des envolées lyriques dans la présentation si vous le souhaitez !
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine
Ethnie/origines : Anglaise
Orientation : homosexuel & homoromantique
Situation : célibataire
Occupation : freelance en print, s'exerce à la photographie et l'écriture
Quartier : Queens - The Sunflower Buildings

and what else ?
Qualités : Sociable, comique, déterminé, sincère, tendre
Défauts : têtu, impulsif, déraisonné
Passions : {#}faire-la-fête{/#},{#}gaming{/#}, {#}cinéma{/#}
Communautés :
- Act Up
- Juliard School
- Club de lectura du queens
- Cinema du Queens
- The Lost Planet






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Écrire ici écrire ici

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Écrire ici

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Écrire ici

Le dernier texto que tu as envoyé ?Écrire ici

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Écrire ici

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Écrire ici

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Écrire ici



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Pseudo ou Prénom : Antoine ce sera bien !
Age: 24 ans
Avez-vous des triggers personnels ? un peu similaire à ceux de Judy  
Avatar à réserver : Brandon Flynn
Crédit avatar utilisé dans la fiche: le compte a été supp sur bazzart je ne sais pas du tout  ohpardon
Souhaitez-vous un mp d'intégration avec grand plaisir oui !

Wake me up before you go-go

Invité
6 r ; 773 v.
Sam 5 Déc - 15:42
Aime Hirsch
JUST SMALL DADDY ISSUES
ID CARD
{@=774}Aime Hirsch{/@}
31 ans – Personnal shopper
FEAT : Kevin Pabel
Il a passé la plus grande partie de sa vie au Brésil, venant de deux parents d'origines opposées qui se sont rencontrés lors d'un séjour humanitaire en Amérique du Sud, ils n'ont pas su la quitter. (Allemand, Américaine.) Il a eu la nationalité américaine il y a quelques années, avant de s'absenter un an au Brésil pour revenir. Il parle allemand, anglais et portugais. Amateur de shopping à l'extrême, vendre des fringues en boutique ne lui suffisait plus, il se reconvertit en personnal shopper. Il aime faire la fête, draguer, le sport, l'alcool. Il a quelques soucis avec l'attachement, peur de trop s'accrocher. Il est bisexuel, fuyant l'idée d'une quelconque relation il y a encore quelques années. Il devient plus sage avec le temps avec ses rencontres.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Brésilienne / Américaine
Ethnie/origines : Allemand / Américain
Orientation : Pansexuel, trop peu tombé amoureux pour savoir son attirance romantique.
Situation : Célibataire, depuis toujours.
Occupation : Personnal Shopper
Quartier : Brooklyn

and what else ?
Qualités :Joyeux,  Drôle,  Joueur, Gentil,  Curieux, À l’écoute , Souriant, Confiant.
Défauts :Débauché, Têtu, Légèrement bordélique,  Chieur, Irresponsable, Excentrique, Enfantin.
Passions : {#}Faire-la-fête{/#}, {#}Danse{/#}, {#}Shopping{/#}
Communautés : {#}Studio{/#} de danse  {#}LGBT{/#} Center Manhattan ( Bénévole )






that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Le contrôle de mes émotions, c'est comme si j'implosais à chaque sentiment trop positif, comme si j'étais réellement brisé à chaque défaite relationnelle.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). L'alcool devient peut-être petit à petit un problème. Je n'en suis pas plus sûr que ça, mais combler le problème avec m'a pas semblé si idiot les vingt premières fois.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? L'invitation à une quelconque relation n'avait même pas traversé mes lèvres qu'on s'est quitté. Des obligations de chaque côté et l'idée que de toute façon, il méritait un type mieux. N'osant même pas donner des nouvelles depuis mon retour, peur que les choses soient trop brut de pomme.

Le dernier texto que tu as envoyé ? «  J'espère que maman va bien, que tout va bien pour vous. » Prendre des nouvelles de temps en temps, c'est au moins la promesse que je peux essayer de tenir sans paniquer.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Une relation à distance, ils ne quitteront pas le Brésil, ma vie s'est malheureusement faites à New York. Je ne passe que peu souvent les voir, je prends des nouvelles quand je peux, quand j'y pense ou que je suis en état de le faire. J'ai passé neuf mois avec eux et je n'ai pu que remarquer que même si nous gardions de bons liens, ils étaient bien mieux à me savoir mener ma vie de "rêve" ici.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? De la danse ? Des photos sans queue ni tête sur un instagram que personne ne regarde et des soirées qui se finissent dans une randonnée nocturne.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? J'ai abandonné une bonne partie des personnes proches de moi en un an. Comme si cela allait arranger les choses, je me planque pour ne pas les blesser plus.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Awkward
Age: 26 ans
Avez-vous des triggers personnels ?   Violence sur les animaux
Avatar à réserver : Kevin Pabel
Crédit avatar utilisé dans la fiche: Warrior
Souhaitez-vous un mp d'intégration Non, je vais essayer de m'intégrer un peu plus avec les nombreux moyens que vous avez mit en place.  Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 2881807329

Joseph / to grow from your ashes

Invité
13 r ; 1074 v.
Lun 12 Oct - 19:56
joseph mills
i need help
ID CARD
{@=747}joseph mills{/@}
55ans - chef des urgences
FEAT : robert downey jr.
55ans - marié (à Samir) et père de deux jeunes filles (Charlotte et Cassiopeia) - homoromantique asexuel - chef du service des urgences au Richmond University Hospital.

Il est blagueur, débrouillard, extraverti, loyal et bienveillant... Mais aussi mystérieux, têtu, angoissé, impatient et désinvolte.

Il a grandit avec sa mère alcoolique et a découvert les drogues étant enfant. Il est sobre à présent mais il traverse actuellement une période difficile dans sa vie et a reprit quelques drogues.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américain, born and raised depuis toujours.
Ethnie/origines : Irlandais si on remonte assez loin dans l'arbre généalogique. Sa famille n'a cependant plus aucun lien avec ce pays.
Orientation : Jo est homoromantique et asexuel. Il a eu des relations sexuelles mais il n'est pas particulièrement intéressé. Il aime la séduction, la sensualité mais ça lui irait parfaitement bien de s’arrêter strictement à ça.
Situation : c'est compliqué... Dans les papiers, il est bien marié, mais {@=384}Samir Mc'Gregor-Mills{/@} et lui sont séparés. En ce moment, il loue un appartement ailleurs.
Occupation : Chef de service des urgences. Il court partout, son fitbit est content, il aime bien la nature très changeante et surprenante de son travail. Cela lui permet aussi de pouvoir être en contact avec des services et des personnes différentes.
Quartier : Manhattan pour le moment.

and what else ?
Qualités :
Blagueur : C’est certainement la première chose qu’on remarque chez lui, Joseph adore rigoler et faire sourire les gens. Il entretient cette réputation avec plaisir et blaguer est son réflexe le plus instinctif dans toutes les situations. En général il pratique un humour plutôt positif, des fois un peu sarcastique inspiré du shade que les drag queens peuvent jeter sur leurs proches des fois.

Débrouillard : Que ce soit dans son enfance ou dans son travail, Jo a apprit à faire avec ce qu’il avait même s’il n’avait pas grand chose. Il a l’esprit toujours aiguisé, prêt à improviser quelque soit la situation. C’est le genre de qualité qui est très utile aussi pour un chef de service.

Extraverti : Jo parle fort, il aime rencontrer de nouvelles personnes, rire, discuter de tout et de rien mais surtout de choses étranges et absurdes. Il n’est pas du genre à rester dans son coin silencieusement, s’il est quelque part, on le voit et on l’entend. C’est un trait qui en agace certains mais Joseph n’est pas du genre à se soucier de ce que les autres pensent de lui.

Loyal : Pour Joseph, ses amis et sa famille de cœur, c’est à la vie et à la mort. Il n’a pas peur d’aller dans les extrêmes pour dépanner un proche ou le défendre. Il a des fois tendance à être légèrement trop aveugle et pourrait même pardonner certains faits déplaisants si cela concerne quelqu’un à qui il tient.

Bienveillant : Même s’il a des fois l’air un peu méprisant et suffisant, c’est un air qu’il se donne et qui cache un cœur d’or. Joseph a tendance à toujours vouloir voir le bon dans les gens et donne souvent beaucoup de chances aux autres même quand ils ne le méritent pas. Il n’aime pas voir les gens en difficulté et essaye toujours d’aider quand il le peut.

Défauts :
Mystérieux : Il parle très rarement de sa vie personnelle ou de son passé personnel. Il mentionnera avec plaisir les fêtes de pride derrière les portes fermées des bars et clubs à l’époque où ça ne se faisait pas encore dans la rue. Il adorera raconter des anecdotes loufoques de nuits de permanences entant qu’interne au service de pédiatrie... Mais il ne mentionne jamais sa famille de sang, ni son enfance ou son passé personnel. Il aime aussi compartimenter sa vie et il évite de parler sérieusement de sa vie privée au travail.

Têtu : Il est très difficile de faire abandonner une idée à Joseph. Dépendant de l’importance de cette idée, il est même possible qu’il ne l’abandonne jamais. Il lui arrive d’avoir des petites obsessions passagères qui se logent dans son esprit et qui n’en ressortent plus. Il a même tendance à devenir hargneux et insolent quand on essaye de lui faire abandonner une piste qu’il poursuivait de manière véhémente.

Angoissé : Derrière cette apparence très exubérante se cache énormément d’angoisse et d’anxiété que Joseph exorcise régulièrement en s’adonnant à ses passions et hobbies. Il aime passer du temps avec ses chiens, aller au théâtre ou juste sortir dans un bar avec un groupe d’amis. Il sait très bien que cela ne résoudra pas ses neuro-divergences provoquées par son enfance, mais au moins, ça lui permet de continuer normalement pour le moment.

Impatient : Il n’est pas le plus patient, loin de là. Il aime avoir ce qu’il veut tout de suite et il a du mal avec l’attente en général. Heureusement qu’aujourd’hui il existe les Iphones car sinon, Joseph serait encore plus insupportable qu’il ne l’est déjà. Il apprécie passer son temps sur divers jeux sur son téléphone ou papoter avec des amis sur Messenger quand il doit se montrer patient.

Désinvolte : Même s’il prend son travail au sérieux et qu’il aime aider les gens, Joseph montre souvent une attitude très désinvolte. C’est quelque chose qui agace pas mal de personnes, notamment dans son travail. Cela va de paire avec ses blagues. Mais cette apparence va des fois plus loin car il a souvent tendance à ignorer les gens plus hauts placés que lui.

Passions :
{#}faire-la-fête{/#} : Joseph aime être au milieu des gens, il aime rigoler, danser, chanter, s’oublier... Ainsi il adore aller dans les bars, les clubs, ou partout où il y a de l’ambiance. Ainsi il trouve souvent sa place dans les milieux queer qui favorisent souvent ce genre d’environnement. Il apprécie aussi beaucoup les représentations théâtrales du milieu comme les drag queens ou les drag kings.

{#}théâtre{/#} : Joseph a toujours apprécié les pièces de théâtre, plus que les films. L’action semble plus tangible pour lui et il arrive mieux à ressentir les émotions des personnages. Il a une préférence pour les drames et les pièces comiques qui sont, selon lui, les genres les plus difficiles à bien réussir.

{#}chien{/#} : Joseph fond face à tous les chiens. Il a une légère préférence pour les tout petits chiens pour qui il ressent beaucoup d’empathie à cause de leur impuissance générale face au monde. Il mène d’ailleurs une guerre contre les gens qui prennent les petits chiens pour des accessoires ou des jouets et leur nie leur autonomie corporelle.

Communautés :
RICHMOND UNIVERSITY MEDICAL CENTER : Bien que Joseph a fait sa résidence dans un autre hôpital universitaire d’une autre partie de la ville, il a commencé à travailler au Richmond University Medical Center une fois sa licence obtenue totalement. Il s’est spécialisé en médecine d’urgence et a grimpé les échelons petit à petit pour devenir chef de service des urgences.

BEST FRIENDS LIFESAVING CENTER : Jo a toujours aimé les animaux. Avec Samir ils ont été famille d’accueil pour des chiens et ont fini par en adopter pas mal eux même. Aujourd’hui, le médecin va se porter volontaire de temps en temps pour promener les chiens du centre et rend toujours visite au staff.

CLEAN TOGETHER : Joseph a essayé d’y aller une fois il y a bien un an et ça ne s’est pas très bien passé. En bref, il n’est pas dans le même esprit que ces gens. Il est parti après une seule réunion et il ne s’est pas forcément fait des amis.



that's my story / self diagnosis
Ce n’était qu’une fois son manteau accroché dans l’entré et ses chiens lui sautant dessus, que Joseph avait vraiment l’impression d’avoir quitté son boulot. Et même une fois dans le confort de son canapé, entrain d’essayer de regarder un film, faisant semblant qu’il ne s’était pas endormis au début et ne comprenait plus rien à présent, il pensait quand même à son travail.

C’était comme si, dès qu’il avait obtenu sa licence, il avait cessé d’être Joseph, l’humain multi-dimensionnel aux passions diverses et à l’histoire mouvementée... Et était devenu Joseph, le médecin. Il y avait une sorte d’expérience commune qu’il partageait avec les autres blouses blanches. Les nuits longues, les doubles gardes qui s’enchaînaient, les déceptions, les bonheurs... Ce n’était pas seulement une routine qu’on prenait à force de répéter, mais bien une marque qui se laissait dans le plus profond de la peau. Un tatouage invisible, expliquant les rides, bien visibles elles, qui creusaient toujours un peu plus le visage des blouses qui se faisaient vomir des portes coulissantes de l’hôpital. Ils étaient tels des combatants ayant vu les mêmes horreurs, fatigués mais solidaires, résignés mais optimistes.

« Oui oui, attendez deux minutes, vous allez pas mourir de faim immédiatement ! » dit-il à ses deux chiens qui commençaient déjà à lui sauter sur les jambes en jappant. ll y avait Donut, un chihuahua noir et doré de six ans, et Peanut, un carlin de dix ans. Les deux petites créatures passaient la journée avec une voisine à la retraite qui passait sa journée devant la télé et aimait bien les deux petits chiens sur ses genoux pour se tenir chaud. Au moins Jo ne s’inquiétait pas pour ses petites princesses pendant la journée, sachant qu’on s’occupait très bien d’elles. Il y avait bien des chenils dans la ville, mais il préférait faire confiance à quelqu’un de proche et qui n’avait pas une centaine de chiens à gérer. Après tout, Donut et Peanut méritaient toute l’attention qu’elles voulaient.

Dans la cuisine, il sortit les croquettes et commença à remplir deux bols. Il les posa ensuite sur le sol, grattant les têtes de ses colocataires avant de sortir une canette de coca-cola et de s’installer dans son canapé. Il alluma la télévision par automatisme. C’était presque un geste réflexe qu’il exécutait comme un rituel. Qu’il soit sept heures du matin ou sept heures du soir. Souvent il ne regardait rien en particulier. Il utilisait le son et les images mouvantes du poste pour se sentir moins seul.

Sur la télé, des informations… Le genre de choses qu’il ne suivait pas particulièrement. Joseph n’était pas du genre à trop s’impliquer de ce côté. Il n’avait pas le temps et surtout, pas l’envie. Quand il essayait d’échapper à ses démons, il préférait ne pas s’embarrasser avec les démons des autres. Il zappa jusqu’à trouver une chaine lambda de cuisine. L’invité et la chef semblaient préparer un poulet rôti et des légumes. Il renifla et but une gorgée de son coca avant de regarder son téléphone. Une alerte

RDV Charlotte – Scans – aujourd’hui

Il soupira. Il savait exactement les jours et heures des examens et traitements de sa fille. Il travaillait même dans le même bâtiment où elle allait pour prendre soin de sa santé… Et pourtant… Et pourtant, il n’y arrivait pas. Il avait l’impression de se trimballer un immense nuage noir de malchance et de négativité. Il n’avait pas envie de rajouter son propre fardeau à sa fille qui faisait face à une maladie dégueulasse. Aussi, il n’avait pas envie de croiser Samir. Son probablement-futur-ex-mari avait le don de communiquer tellement de choses avec un simple regard, et Jo ne voulait pas y lire du dégoût, de la colère ou de la déception.

Il n’était pas dupe quant au fait que son absence avait été remarquée et laissait des sentiments négatifs sur son passage. Mais comme il avait appris dans son enfance, mieux valait garder ça très loin, faire semblant, et s’occuper des débris plus tard. Un vieux réflexe qui lui collait à la peau. Pourtant il sentait aussi son instinct de père prendre le dessus de temps en temps. Il se réveillait en sueur la nuit, ayant cauchemardé que Charlotte était morte pendant que lui bossait ou restait à la maison.

Ses chiens, une fois rassasiés, vinrent s’installer sur ses genoux, Donut tournant son unique œil vers Joseph, heureuse comme un coq en pâte. Malgré la présence de ses deux meilleures amies, il se sentait seul et il avait peur, tout au fond de lui, que Charlotte ressentait la même chose.

Il essaya un instant de se concentrer sur l’émission culinaire. Mais ça ne l’intéressait pas. Il zappa encore quelques chaînes avant de comprendre que son esprit n’était pas là. Il était bien ailleurs, rôdant avec sa famille… Il soupira et éteint la télévision. Dans son appartement vide, il pouvait entendre quelques voix dans le couloir de l’immeuble, au loin. Il pouvait aussi entendre la pluie taper sur les vitres.

Il baissa son regard encore une fois sur son téléphone et le pris en main. Il commença à taper un SMS.

Hey Charlotte aux fraises !

Il effaça.

Coucou princesse !

Il effaça.

Salut !

Il effaça.

Tu me manq-

Il effaça.

Il posa le téléphone et se passa une main sur le visage. A présent, Donut s’était relevé et observait Joseph. Elle avait toujours été celle qui ressentait le mieux les émotions de son maître.

« Quoi ? » demanda-t-il au chihuahua. Donut répondit silencieusement en penchant sa tête légèrement.

« Oui je sais… » il savait bien évidemment qu’aucun SMS ne compenserait sa propre présence. Il saisit finalement le téléphone une dernière fois et appuya sur la touche d’appel rapide.

« Allo ? Charlotte ? C’est papa… »



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : muddy_shoes
Age: 29ans
Avez-vous des triggers personnels ? violences sexuelles
Avatar à réserver : Robert Downey Jr.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: muddy_shoes
Souhaitez-vous un mp d'intégration oui s'il vous plait  love

( too full of life to be half loved )

Invité
27 r ; 1886 v.
Sam 26 Sep - 19:29
ema wang
34 - pâtissier/businessman
FEAT : harry shum jr. Grandir dans un petit village italien n'a pas été de tout repos pour Ema. Entre les esprits étriqués et le racisme à peine voilé des voisins, son enfance n'a pas été toute rose. Il a pu toutefois compter sur l'amour de ses parents, de sa grand-mère d'adoption et sur le soutien indéfectible de son meilleur ami dès son plus jeune âge. Après quelques années à Naples après le lycée où il a appris la pâtisserie — et une foule d'autres choses — et plusieurs expériences professionnelles plus ou moins concluantes, il s'est envolé pour New York pour retrouver son meilleur ami et se lancer dans son nouveau projet, aidé par un héritage suffisant pour débuter. Et si Ema est animé des meilleures intentions du monde, il a quelques soucis lorsqu'il s'agit de l'exécution. Peu organisé, débordant d'idées et d'envies fantasques, il laisse son inspiration et son humeur guider ses décisions et ce n'est pas nécessairement ce qu'il y a de mieux pour son business. But oh well, life's short alors autant se faire plaisir, non ?
who am I
ꕥ âge : 34 ans, on lui en donnerait aisément 17 quand on examine son comportement cela dit
ꕥ nationalité : italien, naturalisé à sa majorité après être né et avoir grandi en Italie
ꕥ ethnie/origines : d'origines chinoises, fils d'immigrés qui se sont établi en Italie après leur mariage
ꕥ orientation : peu attaché aux étiquettes, se définit en tant que queer lorsqu'on lui pose la question, susceptible de tomber amoureux d'un regard et d'être attiré par la perspective d'une nuit intéressante à la seule manière d'agripper une tasse de thé
ꕥ situation : célibataire, amoureux de l'idée d'aimer et d'être heureux auprès de la même personne pour le restant de sa vie (et incapable d'entretenir une relation durable)
ꕥ occupation : pâtissier de métier, distributeur d'idées dans la pratique, co-propriétaire d'un café qui est à la fois le laboratoire et le théâtre de son imagination débordante au grand dam de son partenaire
ꕥ quartier : le Bronx
ꕥ qualités : dynamique, généreux, sociable, créatif, optimiste, extravagant, cosmopolite, ambitieux, spontané
ꕥ défauts : envahissant, égocentrique, bordélique, inconstant, loud, naïf, fier, têtu, doté d'un esprit de contradiction à toute épreuve, provocateur, hypocrite
ꕥ passions : {#}pâtisserie{/#}, {#}faîre-la-fête{/#}, {#}chat{/#}
ꕥ groupe : Idk what you're talking about
ꕥ communautés : Best Friends Lifesaving Center, NYC Expats, The Lift et les habitants du Miranda Heights
ꕥ scénario/pré-lien : pas cette fois (ni la prochaine, sauf si vous êtes particulièrement doué·e comme marchand·e de tapis, Cécile style)
ꕥ mp d'intégration : non, no worries, j'ai déjà pas mal de piste de liens

all about my player
ꕥ petite présentation perso : je m'appelle toujours Julia (ou Roulia, selon à qui vous demandez Arrow ), j'ai 24 ans et je suis étudiante en communication et marketing, fière maman d'un potichat qui fait plein de bêtises, passionnée de concerts, tatouages, dramas coréens et d'une foule d'autres choses. Je suis toujours une grande timide qui ne viendra pas vous embêter pour un lien parce que my cripling fear of rejection m'en empêche et je suis terrifiée à l'idée de déranger mais je suis sympa, promis, malgré les vannes vaseuses et ma tendance à pointer du doigt la grossophobie dès qu'elle fait une vague apparition (et non, I won't shut up about it même si on est potes like )

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Milk & Honey de Rupi Kaur
ꕥ un film : Dirty Dancing, d'Emile Ardolino
ꕥ une série : My Mad Fat Diary
ꕥ une chanson : Half My Life de Violet Skies, Praying de Kesha ou Good As Hell de Lizzo (oui, vous avez droit à une mini-playlist parce que je sais pas faire de choix when it comes to music)
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : le gratin dauphinois de ma maman
ꕥ une boisson : un americano dans la plus grande taille possible ou une chimay bleue ou du crémant du Jura (je vous ai dit que je savais pas choisir ?)
ꕥ une célébrité : Lizzo, forever and always
ꕥ un pouvoir magique : me téléporter pour pouvoir rendre visite aux gens que j'aime sans avoir à passer du temps avec des inconnu·e·s dans un espace clos ni être emmerdée par des histoires de frontière and stuff (also flemme de passer la journée en train)

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : tout ce qui touche au feu/incendie/immolation et destruction physique d'un foyer, je gère mieux au quotidien quand je suis en forme (et j'ai pas le choix parce que ha, ha, le champ lexical du feu seems endless et les gens adorent les expressions relatives à ça, c le fun like ) mais j'ai vraiment pas envie de lire des métaphores et autres images là-dessus dans des rps qui me sont destinés. Et j'ai beau faire des vannes sur my daddy issues, je suis pas très à l'aise avec les descriptions graphiques de parents abusifs/violents non plus ni avec la tendance à défendre d'instinct des gens qui ont l'air très gentils et sympas quand lol turns out they've been dicks to their partners (j'ai trop entendu ça dans la bouche des potes de ma mère et je me suis rendue compte récemment que it triggers the shit out of me du coup je préfère le préciser voilà bisous Arrow )


that's my first rp
L'après-midi était, jusqu'ici, relativement tranquille. Quelques client·e·s ici et là, un ou deux coups de fil à propos de l'annonce d'emploi laissée sur Craigslist — pas l'idée du siècle mais les gens étranges traînant sur Internet rendait ce recrutement intéressant — rien de très intéressant mais c'était juste assez pour garder Ema éveillé. Et, accessoirement, l'empêcher de bâiller trop souvent. Cesare n'aurait sans doute pas trouvé ça très professionnel mais fort heureusement, il n'avait pas franchi la porte des cuisines de la journée. Dieu seul savait ce qui se passait dans sa tête ces derniers temps. Ou même dans sa vie. Oh, Ema n'était clairement pas le meilleur ami de l'année, ni même de la décennie et si il lui arrivait régulièrement de commettre quelques impairs ici et là avec ses nouveaux ami·e·s new yorkais·es, il connaissait suffisamment Cesare pour savoir qu'il saurait venir le trouver en cas de problème. Après tout, il n'hésitait pas à lui faire savoir quand ses idées de soirées à thèmes allaient trop loin à son goût et Ema aimait à penser que leur relation — amitié, vraiment, rien d'ambigu là-dessous, absolument pas — se basait sur une certaine dose de franchise. Enfin, peu importe, il n'y avait, au moins, personne pour lui faire remarquer qu'il portait exactement les mêmes vêtements que la veille ou que son trait d'eyeliner était clairement trop flou pour être frais du jour. Ce n'était pas la première fois que ça arrivait de toute manière et les habitué·e·s des lieux se seraient bien gardé de faire la moindre réflexion, pour peu qu'iels aient remarqué quoi que ce soit. Par ailleurs, Ema se fichait pas mal de l'avis des client·e·s — comme du reste des gens de manière générale — du moment qu'iels ne tentaient pas de descendre le café sur Yelp ou de partir sans payer. Et ce n'était pas exactement le genre de la clientèle, plus habituée aux questions sur la provenance du lait d'amande bio et aux petites anecdotes sur leur sortie dominicale au farmer's market qu'à jouer les Karens sur Internet. La clientèle qui aujourd'hui n'était pas vraiment au rendez-vous.

L'une des deux seules tables occupées une fois abandonnées par un couple de hipsters absolument charmants — Ema était presque certain d'avoir eu une aventure avec le grand blond agrippé au bras d'une petite rousse, pas mémorable en soi mais au sourire sympathique et familier, small world and all that — l'Italien abandonna son poste d'observation derrière le comptoir et son feed Pinterest — Halloween approchant, il était toujours bon de chercher des idées déco — pour aller récupérer les tasses vides avec un profond soupir.
C'était précisément pour ça qu'il avait laissé cette petite annonce, parce qu'il n'était pas fait pour ce genre de travaux manuels. La vaisselle, le ménage très peu pour lui et pour sa manucure, grazie mille. Ema était un homme d'idées, de réflexion et de création, pas le serveur du coin.

Il leva les yeux au ciel, réalisant un peu tard qu'il avait oublié son plateau vide — une autre preuve, s'il en fallait, qu'il n'était pas fait pour ce poste-là — et se pencha par-dessus le comptoir pour l'attraper. Derrière lui, la porte du café s'ouvrit, tapant dans la petite cloche qui lui rappelait tant la maison de sa nonna. Chaque fois qu'il l'entendait, il y avait cet instant fugace de nostalgie, cette demi-seconde où il se retrouvait à Malcesine, gamin, genoux écorchés et joues souillées par les larmes, courant retrouver l'étreinte rassurante de celle qui les avait adopté, ses parents et lui. Juste une seconde mais c'était suffisant pour le faire sourire, malgré le cœur serré par un deuil qu'il continuait d'ignorer royalement. Après un profonde inspiration, Ema se retourna, grand sourire aux lèvres, prêt à entrer en scène. Une jeune fille — jeune femme ? ah, il n'avait jamais vraiment appris à estimer l'âge des gens — se tenait là. À la recherche de la photo pause café parfaite pour son Instagram ? Peut-être, oui, mais après tout, qui était Ema pour juger ? Et, de toute façon, l'esthétique faisait rendtrer de l'argent dans les caisses, ce dont le café avait bien besoin ces derniers temps. L'ambition et la créativité avaient un prix, un prix parfois un poil trop élevé. Ciao, welcome! Are you on your own or will you be joined with more people? Il redoutait les groupes, un peu. L'équilibre n'était pas son fort, surtout lorsqu'il s'agissait de garder plus de deux commandes à bout de bras, mais avec un peu de chance, ce n'était pas aujourd'hui qu'il allait décimer une partie de la vaisselle en la laissant éclater sur le carrelage.
this session is gonna be different
valtersen/julia ꕥ 24 ans
fréquence de rp : hors période scolaire, sous 48h après réponse et, hypothétiquement (puisque c'est un nouveau rythme que j'ai pas encore testé mais j'ai de l'espoir puisque je fais ma rentrée comme tout le monde cette année, sans avoir tout un semestre à rattraper, bref), en période scolaire, 1 rp par semaine (on croise les doigts) ϟ fréquence de connexion : aussi souvent que quelqu'un postera dans le jeu Girls vs Boys Arrow ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? ce qui met à l'aise mes partenaires, je m'attends à rien d'autre qu'iels se fassent plaisir en me répondant, que ce soit avec 300 mots ou 3000 (et j'oscille entre 500 et 1000 selon les personnages et l'inspiration/l'humeur/l'état de fatigue) ϟ avatar à réserver : Harry Shum Jr. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouges (cette vanne me rendra toujours nostalgique puppy ) ϟ comment avez-vous connu 99 ? c la faute de Cécile mdr ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? tROP CONTENTE DE M'ÊTRE QUADRUPLÉE JE VOUS AIME KEURKEUR SUR VOUS Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 176241234
tumblr (gif) valtersen (avatar)

Dante Romano ≡ Art speaks where words are unable to explain

Invité
15 r ; 849 v.
Jeu 10 Sep - 4:29
Dante Romano
28 ans – artiste & barman
FEAT : angelo carlucci
Dante est un italiano-franco, né à New York au sein d’une famille difonctionnelle. L’activité favorite de ses parents était de s’engueuler, et de faire des enfants pour tenter de sauver leur couple. Il est l’aîné d’une sœur et d’un frère les ayant élevés puisque les parents étaient trop occupés ailleurs. Il rêvait d’être chirurgien mais faute de manque de moyen (et de ce fait que la bourse a été donné à un enfant de la bourgeoisie) il s’est tournée vers sa seconde passion : la peinture. Il est désormais connu dans le domaine, franchissant tranquillement les pas vers la célébrité, sa fierté. Il est de ceux qui déteste la société (par la faute de son passé), ainsi que les gens riches pour cette même raison. C’est un charmeur des âmes, fuyant cette idée de l’amour et du couple, préférant vivre au jour le jour, grand bohème et esprit libre.  
who am I
ꕥ âge : 28 ans.
ꕥ nationalité : Américain
ꕥ ethnie/origines : Italien (père) et francais (mère) faisant de lui un européen tout aussi bien.
ꕥ orientation : Il est un bisexuel assumé depuis quelques années déjà. Ou plutôt le terme plus approprié serait pansexuel. Il pourrait se trouver devant un dieu ou une déesse mais s’il n’y a pas de connexion au niveau de l’âme, s’il n’y a pas une belle entente ou quelque chose d’autre que le sexe en lui-même qui les unis il ne sera pas intéressé à passer un one night avec la personne.
ꕥ situation : Célibataire et ce depuis toujours. Il n’a jamais été en couple et ne le sera sans doute jamais. Pour la simple et bonne raison qu’à ses yeux, le couple n’est qu’une image éphémère et avec cette société qui adore nourrir comme des porcs ainsi que lobotomiser les enfants dès leur plus jeune âge avec les ridicules histoires de prince charmant et princesse, quelque chose devenu impossible à atteindre sainement. Son expérience de vie ne lui ayant appris que l’amour est plus douloureux qu’autre chose, d’autant plus en ayant vu ses parents en mauvais accords depuis tant d’année, ça ne lui donne pas très envie. On devinera que les films romantiques, il les fuit comme la peste et lui donne des gags reflex comme pas possible.
ꕥ occupation : Un artiste lorsqu’on lui demande. Un artiste connu dans le grand monde de l’art, qui se spécialise dans la peinture, qui tranquillement mais surement se fait connaître de plus en plus. Il sait très bien que ce métier est difficile, mais il n’a jamais abandonné pour autant, et ce fut payant. Il aime aussi tremper dans l’illégalité pour signer quelques murs de NY de ses graffitis. Pour le reste, il travaille comme barman à l’Overkill ne prenant pas vraiment la peine de le mentionner car pour lui ce n’est que pour occuper autrement son temps, ainsi que subvenir à ses besoins dans les temps plus creux.
ꕥ quartier : Brooklyn, Bedford Street, Williamsburg (dans un appartement, avec son chat)
ꕥ qualités : Autodidacte, curieux, imaginatif, esprit bohème, cultivé, sait lire les gens, observateur, à l'écoute, zen, charmeur
ꕥ défauts : Tête dans les nuages, côté naïf, angoisse de la solitude, téméraire, brutalement honnête, connard, fuie les confrontation, ne sait pas dealer avec ses émotions négatives
ꕥ passions : {#}art{/#} (peinture, dessin, graffiti) Il a l’âme d’un artiste qui est désormais sa vie, sa passion, son gagne-pain qu’il compte bien pratiquer jusqu’à son dernier souffle. Il ne pourrait vivre sans art, sachant bien que la dépression va le guetter le jour où il perdra l’usage de ses mains. Quoi qu’il trouvera bien un autre moyen. {#}tatouage{/#} Son corps est une toile qui ne demande qu'à être recouvert. Il adore les tatouages dans la vie, et ne compte certainement pas s'arrêter là. Mais il prend le temps de réfléchir avant, ne le faisant jamais sur un simple coup de tête. {#}faire-la-fête{/#} Il ne peut pas vivre sans humains. Il angoisse lorsqu’il se retrouve seul trop longtemps et a toujours ce besoin de se retrouver dans la foule. Ce besoin de faire la fête, de faire de nouvelles rencontres. Son pire cauchemar serait de se retrouver sur une Île déserte alors qu’il sait bien que c’est le rêve d’autres, parfois.
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ communautés : LGBT Center, The Lift, The Outpost, The Overkill, Cours de cuisine du samedi matin, Salsa Class by Ricardo Diaz
ꕥ scénario/pré-lien : C’est sorti de ma tête (ou presque, c’est un ancien pl de Jesse en fait (oui j'ai sa permission))
ꕥ mp d'intégration : Je dis oui, pourquoi pas! C’est une excellente initiative je trouve :)

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je suis pas très bon pour faire des présentations honnêtement haha. Je peux vous dire que j'aime les jeux de tous genre (vidéos ou encore de société) que j'aime pas mal cuisiner, dessiner aussi sinon j'ai découvert que binge watcher des trucs c'est la vie (surtout que des fois si je prend une grosse pause entre je perds le fils). J'ai un humour un peu particulier mais si je vous connais pas, je vais mettre un filtre promis. Bon après on apprendra à ce connaître! Vous verrez bien par vous même le reste xD

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Sherlock Holmes
ꕥ un film : Harry Potter (le classique)
ꕥ une série : Brooklyn 99
ꕥ une chanson : Xavier Rudd - Spirit Bird
ꕥ un animal : renard des sables
ꕥ un plat/dessert : gâteau au fromage au citron
ꕥ une boisson : bière rousse
ꕥ une célébrité : Terry Crews (this man is epic)
ꕥ un pouvoir magique : téléportation (bonjour l’économie des billets d’avion)

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : J’ai pas un coeur sensible, je peux parler de tout et de rien mais si je peux éviter de lire des rps (les fiches ça va) c’est vraiment si des gens décide de faire des rps crus en mode : pédophilie, zoophilie, inceste (ça me fait cringe), et les agressions sexuelles. Mais après j’ai pas le temps de lires les rps de tout le monde donc je devrais pas avoir de soucis! xD


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad... Un enfant comme les autres, parmi la masse des criards dans cet hôpital. Un enfant qui était né au sein d’une famille imparfaite, et peut-être pas nécessairement pour les bonnes raisons. Mais en avait-il réellement, des bonnes raisons d’avoir un enfant ? Il y avait toujours des erreurs de parcourt, après tout, car ce monde dans lequel nous vivons, est imparfait. Et si la première naissance avait été pour souder le couple, une idée pour fonder des bases plus solides du couple, ce fut bien rapidement une fissure à la fondation. On ne pouvait pas blâmer la mère qui, était profondément tombée amoureuse d’un coureur de jupons, après tout. Et à travers ses yeux à elle, un enfant avait été un plan miraculeux pour changer cette caractéristique trop joueuse de son homme. Un plan à court terme, c’était ce qu’était Dante. Mais il n’avait manqué de rien pendant les premières années de sa vie. Si ce n’était que de cette éducation tout aussi imparfaite que les autres. Mais ils faisaient de leurs mieux, avec les moyens qu’ils avaient. Et lui, les deux mains dans la peinture, ne comprenait pas tout ce qui se passait autour de lui. Heureusement, il avait sa bulle pour se protéger de la tension qui pouvait se faire ressentir, malgré que son regard lui, enregistrait dans son inconscient. Et si on ne pouvait ce fait qu’ils faisaient de leur mieux, ils méritaient amplement le titre d’imbécilité majeure, pour ne pas user de protection. Contre quoi? Contre une nouvelle union de leurs deux espèces.

La crise familiale, qui tentait avec ce deuxième enfant, de mettre un peu de ciment contre les fissures de la fondation. Mais le problème, lui, n’était toujours pas réglé. Un nouveau plan à court terme. Un nouvel être qui n’avait pas demandé à naître et qui se faisait déjà détester par son grand frère. Pourquoi? Pour la simple et bonne raison qu’il savait très bien que l’enfer ne faisait que commencer. Il voyait ses parents se crier dessus, et il voyait un bébé qui lui aussi allait crier. Et pour lui, il n’avait pas la moindre envie de signer ce contrat invisible. Pire encore, lui aussi comptait bien, en faire des crises, sous la frustration, sous l’incompréhension, mené par son inconscient qui tentait de peine et de misère de faire comprendre à ses parents que ça n’allait pas. Mais son nom résonnait plus qu’autre chose dans un ton de voix qui n’était pas toujours bien agréable. Il y avait eu un chaos pendant un instant, puis un apprentissage de la part de Dante. L’apprentissage de voir sa petite sœur hurler, sans que personne ne vienne se préoccuper d’elle. Trop occupés encore, sur un énième point de dispute. Il avait de son propre gré, décidé de s’en occuper, à son tour, du mieux qu’il pouvait. Et si au départ c’était simplement car il en avait marre de l’entendre, et ne souhait qu’un peu de silence, au fil du temps il avait fini par s’attacher à cette petite créature, et se dire que s’il pouvait lui offrir un peu de paix, lui offrir un peu plus d’attention qu’il n’avait plus vraiment depuis quelques temps, ça serait déjà ça. Il lui permettait de rentrer dans son monde à lui partageant ses moments de dessins avec la petite, restant dans le jeu pour lui apprendre ce que lui, avait appris. Sa patience qui se développait déjà, tout comme son enfance qui s’envolait à petit feu, l’obligeant en quelque sorte à devenir plus mature qu’un enfant dans la normalité. Puis vint le temps de rentrer dans le monde des grands, de celui de l’éducation, et un peu de l’école du cirque pour lui. Car il devait apprendre à jongler avec ses apprentissages, s’adapter à ce nouveau monde, en prime de devoir s’occuper de plus que de ses devoirs une fois rentré à la maison. C’était un peu devenu son train-train quotidien, en quelque sorte.

Mais bien entendu, il semblerait que le fameux : jamais deux sans trois s’applique aussi lorsqu’il ne le faudrait pas. Un petit frère qui était en chemin, et il faut croire que Dante avait sa crise d’ado avant l’heure et ses parents y avaient franchement goûté. Si leur entourage n’osait pas leur dire, lui, il avait osé. Leur crier dessus qu’il n’en voulait pas d’un autre, que s’ils commencent par s’occuper des deux premiers qu’ils avaient avant de simplement y songer. Il va sens dire qu’il avait tôt fait de regretter ses paroles, autant parler à un mur, puni malgré ce fait qu’il avait simplement tenté de les aider à s’ouvrir les yeux. Il faut croire qu’il avait des autruches, et non des parents. Au bout du compte il avait à peine 10 ans qu’il se considérait presque comme un papa à temps partiel, prenant la peine d’aider sa petite sœur dans ses devoirs, continuant de prendre soin d’elle en même temps que de lui-même et de son propre avenir.

Et dans son cas, nous pouvions aussi dire jamais trois sans quatre, mais cette fois ci, en parlant des vagues de merdes qui pouvaient s’accumuler dans sa vie. Il avait heureusement le temps de respirer entre deux, mais il faut dire que la pente, il la voyait se faire de plus en plus glissante. La condition de sa mère qui change, en un instant. Un accident de travail, faisant d’elle ce que l’on appelle communément, une handicapée. Un stade de non-retour, plutôt définitif, faisant en sorte que les montagnes russes dans le couple soient un peu moins solides encore. Et si depuis sa naissance il y avait des tensions cachées (et parfois non), des tentatives de mettre beaucoup de fond de teint pour cacher les soucis, il faut dire que c’était devenu plus difficile pour les deux parents de le faire. Il n’était pas aveugle, Dante, il avait compris que son père en voyant d’autres et qu’ils restaient ensemble pour il ne savait quelle raison. Pas par amour dans tous les cas. Si c’est bien à ce moment qu’il se dit qu’avec un exemple pareil, les adultes ils sont tous fous, illogiques, en priant le ciel pour ne pas terminer de la sorte.  

Et s’il était l’homme qu’il était aujourd’hui, plutôt saint, sans avoir mal viré, c’était bien car il s’était construit un univers, bien à lui. Une fameuse carapace dans laquelle il savait pouvoir s’y réfugier, dans un monde dans lequel ses soucis familiaux n’existaient pas. Un monde paisible, créé par nul autre que lui-même et ses talents du domaine de l’art. Un univers qu’il n’a jamais pu se résoudre à quitter, encore aujourd’hui et dans lequel il espère y vivre son dernier souffle avant de quitter le monde des hommes. Mais plus encore que ce médium, il eut fait la rencontre d’un jeune homme, qui vint aider aussi, à sa manière. Ça cliquait, comme on dit si bien et ils ne perdirent pas des années avant de se qualifier mutuellement de meilleurs amis. Malheureusement pour Dante, en quelque part, cette fameuse rencontre qui se pointait dans son adolescence. Pourquoi? Parce que si ses hormones en avaient que pour les filles, il faut dire que passer une séance complète de découverte sensuelle (je tente d’être poétique ok) sur son meilleur ami était pour le moins perturbant. Une belle crise de l’identité, un peu de honte aussi, et le néant total à savoir ce qui n’allait pas chez lui. Autant mourir que d’en parler à ses parents qui pour lui, étaient bien les pires modèles à qui demander ce genre de chose.

Il dû apprendre à découvrir par lui-même ses émotions. Pourquoi il y avait cette petite boule de rage en lui lorsqu’il lui parlait d’Alice, pourquoi il était heureux lorsque ça ne marchait pas avec une. Et surtout comment il pouvait avoir de la peine avec lui lorsqu’il avait le cœur brisé, et soulagée en même temps. Dante ne se sentait pas bien, dans sa peau. Il se sentait mal, de ressentir toutes ses choses, alors qu’il devrait tout simplement être heureux avec lui, et triste avec lui. Mais il n’était pas complètement idiot, il avait fini par comprendre que ces papillons à la con avaient un nom. L’amour. Pire encore, son premier amour d’adolescent. Il avait osé, tâter le terrain, pour se prendre une bonne claque mentale et comprendre qu’il avait devant lui un pur hétéro, comme on dit. Il avait vécu aussi sa première peine d’amour, préférant ne pas la partager pour éviter les questionnements. Une deuxième blessure profonde à toute cette idéologie de l’amour. Qu’il eût gardé secret, encore aujourd’hui, apprenant plutôt à vivre avec, à se convaincre que ce n’était simplement pas pour lui, tout ceci. D’autant plus en voyant son meilleur ami et son cœur d’artichaut aller avec les filles. Il n’y pouvait rien, après tout, et préférait garder leur amitié. Ce qui ne l’avait pas empêché de se taper le cousin de ce dernier, cela dit. Hum. C’était que pour vérifier son attirance promis. Il devait bien le faire après tout, dans sa crise existentielle, pour avoir ses réponses qu’il avait tant cherché à comprendre.

Il avait poursuivi ses études, sans réellement savoir dans quoi s’en aller au départ. Il se plaisait dans son art, dans son amour de la beauté et de la science. Il savait au moins aimer les deux, se disant représentant du pont entre ces deux univers différents. Mais dans sa tête uniquement, cela dit. Et il y avait parfois dans la vie des moments de lumières, un peu aidé par ses recherches qui au bout du compte lui avait montré la voie vers un but à se fixer : devenir chirurgien. Car c’était un art de l’être, il faut l’admettre. Il avait pris la branche de la science, arrivant à jongler entre sa famille et ses devoirs, donnant de son 100% et travaillant fort pour être parmi les meilleurs. Les notes, ça allait. Mes les moyens monétairement parlant…Ça c’était une autre histoire. Avec les factures médicales de maman, les trois enfants à nourrir et tout le reste, ils n’avaient tout simplement pas les moyens pour les études supérieures. Mais pour le moment, Dante ne s’en faisait pas avec cela, ayant trouvé la solution de la bourse d’études qu’il comptait bien demander en temps et lieux.

Pour le moment il avait le nez dans les bouquins… Tout comme cette fille qui avait fini par attirer son attention et déclencher son côté charmeur avec elle. Sans attache promis. Il l’invitait à sortir, juste comme ça, promis. Et si lui s’était dit que l’amour, n’était pas pour lui, il avait bel et bien fini par laisser ce mince espoir naître entre ses deux oreilles. Un simple pourquoi pas, une seconde chance, comme on dit. Une chance de se faire une autre idée, de se dire que peut-être ça fonctionnerait cette fois qui sait ? Sans vraiment le réaliser, ceci dit. Il avait manqué de contrôle sur ce coup-ci, son petit cœur qui s’attachait sans son consentement. Son petit cœur d’adolescent qui allait le regretter pour une seconde fois. Si au départ il s’était attaché à un hétéro, pour une fois ça ne lui aurait absolument pas dérangé que ce soit encore le cas. Mais non. Ils étaient devenus proches, assez pour qu’elle ose lui avouer que les garçons, ce n’était pas son truc. Lui dire tout ça, à lui. C’était certainement le déclenchement d’une de ses life crisis à notre Dante. De celui qui du haut de ses 18 ans, de ses petites expériences en viendra à conclure pour de bon cette fois, que l’amour n’était pas pour lui. Pourquoi? Car depuis toutes ses années, elle ne lui avait rien apporté de bon et de joyeux comme dans ses films rose bonbon à la con. Les calculs avaient été fait, le résultat certainement regrettable mais qui avait en sorte qu’encore aujourd’hui, il les applique. Certainement pas sous forme de rébellion, de crise, traduit par une phase de débauche chez lui. Le mode fuck it, comme on dit. Une crise qui avait duré un moment, qui avait cristallisé son mode de pensée pour faire de lui un grand charmeur sans attache mais qui malgré tout, prenait toujours la peine de s’assurer que le message passe bien. Pour éviter de briser des cœurs, sachant très bien que ce sentiment n’avait absolument rien d’agréable à vivre.

Il n’avait pas oublié délibérément ses études et son rêve pour autant. Peut-être bien un peu moins que sont 100% pendant un moment, on ne se le cachera pas, mais il avait fait de son mieux pour rattraper son retard, et donner son maximum pour enfin, sortir diplôme en main. Un bac en science, ce n’était pas rien. Il était fier, et pas qu’un peu, se nourrissant de cet espoir d’aller encore plus loin, de mettre le pied dans le monde de l’université. Yale en particulier. Le moment tant attendu, de faire les démarches pour obtenir la bourse et continuer son cheminement. Le stresse qui se pointe, la hâte de recevoir la réponse. Devenu un brin comme une obsession, du fameux rafraîchissement de page. Du moins, lorsque les réponses approchaient, il allait voir minimum 5 fois par jour. Et bien entendu, une fois qu’il eu obtenu la réponse, il tourna en rond dans sa chambre en n’osant pas ouvrir le fameux e-mail. Bien entendu qu’il était plus positif que négatif, bien entendu qu’il se détestait pour cela lorsqu’il eu enfin le courage de lire, cette fameuse réponse : Un refus. La bourse qu’il avait tant convoitée lui avait filé entre les mains. Il avait fixé l’écran longtemps, voire très longtemps même à refuser d’y croire. Son rêve qui venait de prendre fin, tout simplement parce qu’il n’en avait pas les moyens. Une flamme qui venait de naître en lui à cet instant bien précis. Une haine envers l’argent en lui-même, qui gérait le monde ayant les riches à leurs têtes, les cons, ceux qui n’avaient besoin que de lever leur petit doigt pour obtenir ce qu’ils voulaient. Et il y avait les autres qui avaient travaillés si fort pour obtenir ce qu’ils voulaient, et encore, ce n’était pas assez. Dans son cas, il ne pouvait rien faire, son talent ruiné, tout simplement parce qu’il n’avait pas les moyens pour y parvenir. Pire encore, ce ne fut qu’un peu plus tard qu’il apprit que cette fameuse bourse avait été donnée à un jeune homme riche, et qui donc, n’en avait pas réellement de besoin. De quoi aider à nourrir cette flamme. Cette flamme qui détestait la société dans laquelle il se trouvait, menée par l’argent, et pas par les humains. Que dès la naissance, on était classé selon la richesse de nos parents, notre chemin tout tracé. Il détestait aussi ce jeune homme, sans même le connaître, parce qu’il lui avait anéanti son rêve. Il se retrouvait devant rien, devant cette stupidité de ne même pas avoir songé à un fameux plan B, voir même C et D. Wait... Il avait beaucoup de plan C en fait, mais c'était plus pour culs en fait que relié à son avenir m'voyez.

Son moment down dura quelques temps, mais avait bel et bien fini par se clamer. Il devait bien réapprendre à respirer, à reprendre le cours de sa vie pour éviter de stagner au même endroit pour le restant de ses jours. Avancer, gagner en sagesse. Il avait passé beaucoup de temps à réfléchir à tout ceci, à se perdre dans son univers qu’il avait quelque peu délaissé pour les études, et tout le reste. Ce qui lui avait permis de retrouver un semblant de paix au départ, puis une illumination au bout du compte. Pourquoi ne pas faire de son talent de toujours, sa nouvelle voie ? Un nouveau chemin tracé pour lui, user de ses mains pour faire de l’art, de sa créativité pour se faire connaître. En sachant très bien que ce ne serait pas facile, car son but étant bel et bien de vivre majoritairement par ce moyen. S’il y avait bien un domaine dans lequel il fallait jouer des coudes pour se faire connaître c’était bien celui-ci. Il fallait constamment se dépasser, sortir du lot pour avoir les regards et les intérêts. Et il comptait bien y arriver sans l’aide d’une quelconque bourse, sans l’aide de personne.

Un nouveau départ, comme on dit. Pour lui qui se fit en grand. Il se coupa de tout, ou presque, déménageant pour se prendre un très petit appartement en prenant des petits boulots pour survivre. Il devait admettre, pour une fois, qu’il avait effectivement besoin d’argent. Il devait se plier à cette réalité, mais sans pour autant l’adorer, sans pour autant rêver d’un jour être riche. Il voulait être connu pour son art, sans plus ni moins. Un long moment de recherche pour lui, testant diverses choses pour se trouver en tant qu’artiste, mais aussi pour perfectionner ses techniques. Jusqu’au jour où il eu assez confiance en lui pour tremper un brin dans l’illégalité et laisser sa trace sur les murs de NY. Un bon moyen de se faire connaître tout de même, n’est-ce pas ? Ça attirait l’attention des passants, en nourrissant le petit mystère de qui était cet artiste, ainsi que cette curiosité de le découvrir. Il chercha aussi à se faire connaître autrement, en proposant des deals dans les hôtels pour être affiché, des contacts, comme on dit. Et tranquillement mais surement, au fil des années, Dante Romano n’était plus ce civil parmi la masse. Il était devenu cet artiste peintre connu dans le monde des arts. Sa fierté. C’était son talent, à lui, 100% grâce à ses efforts, sans argent, sans devoir passer sous les bureaux. Il fait parti de ces humains se considérant même heureux de leur vie, en paix avec son passé, mais sans pour autant l’oublier.




this session is gonna be different
Pumpkin Pie ꕥ Je suis grand maintenant
fréquence de rp : tout dépendant de mon emploi du temps. Sinon je fais au minimum 1 rp / 2 semaines. ϟ fréquence de connexion : ça va dépendre de ma ps4 mais je crois au minimum 2 fois par semaine? ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j’y vais selon mon inspiration. Magma. (Jesse coucou) me fait battre des records mais sinon je crois que je me tiens autour des 700 mots ou plus. Après pour mes partenaires je n’ai aucun souci. Vous écrivez autant que vous voulez, y’a pas de demande ici ni rien. Let’s have fun. ϟ avatar à réserver : Angelo Carlucci.  ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge. parce que les petits poissons rouges (j'aime les blagues nulles oui). ϟ comment avez-vous connu 99 ? Magma. (Jesse Palmer) ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? superfragilisticexpialidocious
Magma. (avatar & icon)

even angels got a favorite sin (noah)

Invité
10 r ; 861 v.
Ven 7 Aoû - 20:49
noah mason
24 ans - étudiant en santé publique internationale
FEAT : jordan fisher
Noah a toujours vécu à New-York d'aussi loin qu'il s'en souvienne. Peu après sa naissance, il a été adopté par un couple de riches américains incapable d'avoir un enfant. Un couple qui paraît parfait au premier abord et pourtant, entre les histoires de tromperies et la maladie de la mère de Noah, la famille Mason se déchire petit à petit depuis des années sans que personne ne le sache. Noah représente le parfait cliché du mec populaire dans les teen movies. Mais tout cela n'est qu'une fausse image qu'il laisse paraître aux yeux de tout le monde. Il a ce besoin constant d'exister à travers les autres, quitte à délaisser sa vraie personnalité et à ne pas être totalement honnête avec son entourage. Avec lui, tout n'est question d'apparence – une chose qu'il a appris par sa famille et qu'il n'est pas prêt de changer.
who am I
ꕥ âge : vingt-quatre ans depuis le 21 juillet.
ꕥ nationalité : américain.
ꕥ ethnie/origines : ne connaissant pas tes parents et ayant été adopté peu après ta naissance, tu n'as aucune idée de tes origines.
ꕥ orientation : bisexuel même si sur ton palmarès, tu as plus de conquêtes féminines. tu es connu pour avoir un petit faible pour les brun·es, d'ailleurs.
ꕥ situation : célibataire, incapable de s'attacher réellement. tu es le premier à prendre la fuite ou à jouer au con dès que la relation devient trop sérieuse à tes yeux.
ꕥ occupation : étudiant en santé publique internationale.
ꕥ quartier : l'upper east side, toujours chez papa et maman.
ꕥ qualités : enjoué, sociable, amusant.
ꕥ défauts : menteur, égoïste, secret.
ꕥ passions : {#}tatouage{/#}, {#}courir{/#}, {#}faire-la-fête{/#}.
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too.
ꕥ communautés : le gotha.
ꕥ scénario/pré-lien : pré-lien des rich kids.
ꕥ parrain : nope.

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Toujours une meuf chiante.  Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 1380091441

petit portrait chinois
ꕥ un livre : marche ou crève du king (comment ça je radote ???)
ꕥ un film : barbie casse noisette.
ꕥ une série : dark (noah s'appelle noah à cause de noah dans dark parce que j'aime noah dans dark)
ꕥ une chanson : baby one more time !
ꕥ un animal : UN CHAT.
ꕥ un plat/dessert : un cookie
ꕥ une boisson : jus de clémentine.
ꕥ une célébrité : britney spears {#}FREEBRITNEY{/#}
ꕥ un pouvoir magique : voyager dans le temps.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : le vomi et les relations malsaines romantisées.


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

C L I C H E Tu es le parfait cliché des mecs populaires dans les teen movies. Parfaitement lisse de l'extérieur, cachant tes failles à la perfection... à se demander si tu es seulement humain. Tu sais que tu plais, et tu en joues avec n'importe qui... quitte à te faire passer pour le pire des connards. Mais ce n'est jamais toi qui a le mauvais rôle, bizarrement. La situation est toujours à ton avantage. Tu as ce besoin constant de te sentir exister à travers les autres, à défaut d'avoir l'impression de trouver vraiment ta place ici.

S I C K Papa trompe maman depuis des années. Maman le sait mais se tait. Sauf que depuis quelques temps, maman ne prend plus ses médicaments ou fait semblant pour ne pas t'alerter. Elle est malade, ta mère. Elle est bipolaire et elle vit avec ses troubles depuis bien des années maintenant. Et toi, tu es parti pendant un semestre à l'étranger, la laissant seule avec ton père qui n'a rien fait. Depuis ton retour, la situation ne fait que s'envenimer à la maison. Mais tu te tais. Personne ne sait. Il faut bien garder les apparences au sein du Gotha, n'est-ce pas ?

A B A N D O N M E N T Tu n'arrives pas à t'attacher à qui que ce soit, à ressentir vraiment quelque chose de fort pour quelqu'un. Pourtant, tu as cette peur constante d'être abandonné, de te retrouver seul. Ce serait mérité –  c'est ce que tu te dis du moins. Parce que tu traites chaque personne essayant d'être un peu trop proche de toi comme de la merde. Tu n'es certainement pas un bon ami, encore moins un bon amant. Mais tu es tout de même , quelque part. Et tant que tu as quelqu'un prêt à te tenir la main, c'est tout ce qui compte. Tu ne veux pas connaître la solitude.

L O V E Pourtant, tu as connu l'amour. Enfin, certainement pas l'amour avec un grand A, celui dont on parle à la télévision et auquel tu ne crois pas. Tu as eu une relation qui a duré deux ans. Des hauts, mais surtout beaucoup de bas. Tu ne peux même pas compter le nombre de fois où tu lui as menti, le nombre de fois où tu as fini dans les draps d'une autre personne, le nombre de fois où tu as posé ton regard sur un·e autre. Tu n'as pas été à la hauteur. Tu ne l'as jamais été de toute façon. Et tes mensonges ont fini par être découverts. Fin de la relation.

H E R Elle, c'est ta meilleure amie. Elle est là depuis des années, à te supporter toi et tes conneries. Elle tente toujours de te raisonner, mais elle n'y arrive pas. Le pire, c'est que tu dis la connaître mais tu n'as jamais vu son regard changer sur toi. Tu n'es pas capable de voir les sentiments qu'elle ressent pour toi, sa manière d'être, de changer dans l'espoir que tu la remarques autrement. Mais cela ne fonctionne pas. Car tu ne vois rien, Noah. Et elle, elle finira certainement par te tourner le dos un jour ou l'autre tant elle est invisible à tes yeux mais pas aux yeux des autres.

R U N Fuir. T'en aller. Courir. C'est le seul moyen que tu as trouvé pour trouver un semblant d'espace, pour que certaines de tes pensées finissent par disparaître le temps de quelques instants. Tu ne penses à rien lorsque tu cours. Le seul moment où tu te sens bien en étant seul. Mais il faut bien à un moment ou un autre que tu finisses par rentrer. Hors de question de laisser ta mère trop longtemps seule dans cette immense maison qu'est la vôtre. Tu n'es pas certain de ce qui peut s'y passer lorsque tu n'es pas présent.

R I C H  K I D Tu n'es pas légitime à te plaindre, Noah. Car toi, tu as eu la chance d'être adopté par une riche famille américaine et de ne jamais manquer de rien. C'est ce que tu te répètes souvent. Pourtant, ton statut ne t'empêche pas d'être bénévole dans un orphelinat. Là-bas, personne ne sait qui tu es, d'où tu viens. Personne pour te rappeler que tu as de l'argent et que l'argent fait ton putain de bonheur. Pourtant, pourquoi tu as ce besoin constant de savoir d'où tu viens vraiment ? De connaître ta réelle identité ? Peut-être que toi, personne ne peut t'aider. Mais au moins, tu peux encore aider les enfants sans famille.



this session is gonna be different
debo ꕥ 25 ans
fréquence de rp : le week-end uniquement. ϟ fréquence de connexion : tous les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 400/900 ϟ avatar à réserver : jordan fisher. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 1380091441 ϟ comment avez-vous connu 99 ?  Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 1380091441  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 1380091441
tumblr (gif) little liars (avatar)

the way i am (r. newman)

Invité
31 r ; 2065 v.
Sam 25 Avr - 0:00
ryan newman
trente ans - résidente
FEAT : scarlett johansson
Deux parents aimants qu’elle a eu, une belle et bonne éducation. Une famille unie et soudée. C’est la première et la dernière de la famille Newman. Élève studieuse certes, mais surtout et avant tout, une sportive hors-pair, une passionnée de baseball qui a réussi à en devenir une professionnelle tout juste sortie du lycée. Une addiction s’est mélangé à cet avenir pourtant prometteur et a tout détruit. Un arrêt violent pour la sportive qu’elle était. Mais Ryan, elle sait rebondir, Ryan sait s’en sortir des situations les plus délicates qu’il puisse être. De cette addiction à la drogue et à la fin de sa carrière, elle s’en est remis et a commencé à ses études de médecine. Médecine qui a toujours été son plan B. Spécialisation en chirurgie, internat en chirurgie exemplaire et un résidanat en cours qui se déroule, pour le moment, bien. Fêtarde hors-pair, elle sait aussi et surtout s’amuser même en étant complètement sobre, à savoir qu’elle évite à tout prix toute forme d’addiction, drogue et alcool.
who am I
ꕥ âge : c’est officiel, la barre des trentes ans dépassée depuis le sept avril. un cauchemar éveillé pour moi. moi qui pensais rester éternellement dans la vingtaine. il ne me reste plus que le déni et dire jusqu’à mes cinquante ans que j’ai vingt-neuf ans.
ꕥ orientation sexuelle : pansexuelle, les parties de jambe en l’air sont agréables avec tout le monde, aussi bien femmes, hommes, transexuels. qu’est-ce qu’on s’en fout tant qu’on s’éclate, sérieux.
ꕥ situation : célibataire, encore trop immature et peu stable pour avoir une relation amoureuse. je m’amuse, je profite de ma jeunesse même si l’horloge commence à se faire entendre depuis que j’ai fêté ma trentième bougie.
ꕥ occupation : officiellement et fièrement résidente en neurochirurgie après avoir eu une très, très longue hésitation entre cette spécialité et les urgences. un changement de carrière drastique alors que j’étais dédiée à une carrière et rentrée dans le baseball féminin américain. comme quoi, les choses ne se passent jamais comme elles devraient…
ꕥ quartier : brooklyn, fort hamilton parkway, {#}quartierchinois{/#}.
ꕥ qualités : ouverte d'esprit, drôle, maligne.
ꕥ défauts : téméraire, impulsive, vindicative.
ꕥ passions : {#}baseball{/#}, {#}films-d-horreur{/#}, {#}beatles{/#}, {#}LGBTQ{/#}+, {#}féminisme{/#}, {#}faire-la-fête{/#}. {#}cocktails{/#}.
ꕥ groupe : i need help.
ꕥ communautés : cours de cuisine du samedi matin, mon manque d'expérience est bien trop affligeant, faut faire quelque chose contre cette catastrophe de classement mondial et le women's national adult baseball fan club.
ꕥ scénario/pré-lien : recyclage de votre ryan newman internationale.
ꕥ groupe : i need help.
ꕥ parrain : non, merci.
all about my player
ꕥ petite présentation perso : contrairement à la première fois que je me suis inscrite avec ryan, j’ai compris que cette catégorie était pour moi et pas pour le personnage. j’accepte ça un glow up! les applaudissements sont acceptés avec plaisir, applaudis derrière ton écran, stp. je suis toujours la même, j’aime toujours autant rire, j’ai toujours autant d’imagination, aussi déter’ à faire vivre pour de bon ryan. ryan avec un p’tit ravalement de façade qui lui va plutôt bien, j’trouve. on la voit genre grave trop peu scarjo, c’est un crime! bref, on s’en fout. juste pour dire que j’vous aime et merci de me laisser une seconde chance.

ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : j’viens de terminer le dernier opus avec robert langdon, origine, donc j’dirais celui-ci, il est tellement incroyable.
ꕥ un film : l'amour à tout prix avec sandra bullock.
ꕥ une série : this is us.
ꕥ une chanson : jam de michael jackson, certainement l’une des plus underrated chansons ever de cet homme dieu..
ꕥ un animal : un chien ou une licorne (c’est un animal, si, si).
ꕥ un plat/dessert : fraises chantilly, miam.
ꕥ une boisson : de l’eau citronné.
ꕥ une célébrité : gros, gros, gros crush sur chris evans en ce moment. Tag faire-la-fête sur I've got 99 problems 3460843005 :lyzirius:
ꕥ un pouvoir magique : l'habileté de guérir les gens aka léo dans charmed.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : assez ironique sachant que je fais un chirurgien mais je préférerais éviter tout ce qui est en rapport avec les gens souffrant de cancer, svp.

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Mon problème d’argent. Bordel, je suis pourtant chirurgien mais les frais de l’université sont encore à rembourser. Quelle idée de choisir les études les plus longues qu’il puisse avoir dans le monde après le droit. Je ne suis pas bonne à mettre à la rue, non plus mais les fins de mois sont très compliqués. Sachant que cela est lié avec un second gros problème que je continue de combattre encore aujourd’hui : mon manque de sérieux et d’organisation à ce niveau-là. Si j’agissais raisonnablement, tout l’argent que j’ai durement gagné pendant mes trois ans en tant que joueuse de baseball et tout ce qui s’en suivait, aurait nettement suffit mais non. Je dépense tout, trop vite. J’essaye d’agir intelligemment, de faire les choses correctement. Rien à faire. Pourquoi faire aujourd’hui ce que l’on peut remettre à demain ? Tel est mon dicton, et oui, c’est assez alarmant comme vision des choses. Comment pourrait-on croire que j’ai trente ans, sérieusement ?

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). Dans mon passé, alors que j’étais dans la folie de ma célébrité et de ma carrière naissante dans le baseball, c’est vrai que j’ai complètement déchanté dans la drogue médicamenteuse. Au début, c’était pour apaiser mes douleurs au dos, d’où le propofol et ça s’est étalé et est devenu bénéfique pour moi, je ne pouvais pas même faire deux malheureuses heures sans m’en servir et être extrêmement mal. Le propofol a été accompagné par l’oxycodone quand j’ai fréquenté un médecin souffrant de la même addiction que moi. Aujourd’hui, je suis fière de dire que tout cela est derrière moi bien que j’ai dû mettre un terme à ma carrière de joueuse de baseball pour aller mieux et ouvrir les yeux sur mes problèmes.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? C’était avec ce fameux médecin. Ça s’est terminé chaotiquement. Quand j’ai pris la décision d’arrêter la drogue, d’aller mieux, de stopper le tourbillon infernal dans lequel je m’étais foutue pour avoir une vie et m’en rendre compte, il l’a mal pris. Il a surtout mal pris le fait que je cesse tout contact avec lui mais c’est le conseil que mes psychiatres et psychologues m’ont donnés et je les ai suivis à la lettre. Ma motivation et volonté d’aller mieux n’étaient pas que mirages, elles étaient véridiques. La dernière fois que nous nous sommes croisés, il a nié son addiction en bloc tout en prenant soin de traiter de folle, de manipulatrice et de traîtresse. Des qualificatifs forts agréables, n’est-ce pas ? Sa réaction m’a en quelque sorte refroidie d’une quelconque relation amoureuse avec un homme… ou même une femme, peu importe. L’amour, c’est chose interdite pour moi. Officiellement.

Le dernier texto que tu as envoyé ? « Vous êtes combien à la fête ? Il y a de l’ambiance ? Laisse. C’est moi qui vais mettre l’ambiance ! »

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Des parents proches de la perfection. Ils n’étaient pas irréprochables, non mais ils ont toujours fait de leur mieux pour moi. Les revenus étaient modestes mais ils ont toujours remué ciel et terre pour moi, pour mon bonheur, pour que je sois heureuse. Même si quand j’étais au lycée, un problème d’alcool est venu s'immiscer dans la relation de mes parents et de celle que j’avais avec mon père, tout s’est arrangé au bout de deux ans. Aujourd’hui, tout va pour le mieux ! Ils ont été extrêmement présents lors de ma descente aux enfers. Ils ont su se montrer respectueux et compréhensifs envers ce que je vivais et ne m’ont,en aucun cas, jugé ma situation, mon addiction et ce que j’avais vécu, mon père, lui, comprenant parfaitement l’effet qu’une addiction, peu importe laquelle cela peut être, peut avoir sur un être-humain. Nous sommes très proches.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? La trentaine qui a pointé le bout de son nez mais mon énergie est intacte et je suis toujours prête à faire la fête quand on m’invite et même lors ce que l’on ne m’invite pas. Je suis la première à danser, je ne ressens aucunement une quelconque honte. Je sais que si quelqu’un se lance sur la piste de danse, tout le monde suit. Être la première que l’on regarde ne me dérange aucunement. En vérité, j’aime assez ce sentiment, égoïstement. Alors oui, en dehors de mes heures, très longues heures, je vais faire la fête, m’amuser avec des amis ou voire même de parfaits inconnus. J’en profite pour passer une nuit de pure plaisir avant de m’enfuir au petit matin.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Écrire ici

this session is gonna be different
boo/bob ꕥ l'âge du petit jésus
fréquence de rp : minimum une fois par semaine. ϟ fréquence de connexion : tous les jours de ma vie. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? je m'adapte en fonction de mon/mes partenaires. aussi bien 200 mots que 2000 mots. ϟ avatar à réserver : scarlett johansson. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert mais je trovue qu'ils seraient plus attractifs et donneraient plus envie de manger s'ils étaient bleus ou rose pétant. ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ?  je suis tellement heureuse d’être de retour parmi vous, rholala. merci de m’accepter malgré mon départ.
tumblr (gif) solsken (avatar)

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