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(NOA) God, I'm so blue, know we're through but I still fuckin' love you, babe

Invité
20 r ; 562 v.
Ven 5 Mar - 9:42
noa aguilar
just small daddy issues
ID CARD
{@=828}noa aguilar{/@}
29 ans - graphiste
FEAT : gina rodriguez
Noa a grandi dans une famille Guatémalienne très catholique. Arrivée aux États-Unis à l’âge de trois ans, elle a dû s’adapter à ce nouveau mode de vie et apprendre l’anglais. Elle a vécu dans une grande pauvreté toute son enfance, mais n’a jamais ressenti le manque de quoi que ce soit. Elle est tombée enceinte lorsqu’elle avait 22 ans, et a accouché de petites jumelles à ses 23 ans. Elle était folle amoureuse du père de ses enfants, mais elle l’a forcé à partir car il n’était plus heureux. Il avait besoin de vivre son rêve et d’être libre. Elle a toujours espéré le voir revenir, mais après quelques années, elle s’est fait une raison. Aujourd’hui, à 29 ans, Noa a réussi sa vie. Elle est graphiste freelance, elle est propriétaire et élève seule ses filles. Elle est très entourée de sa famille et de ses amis. Elle ne pouvait rêver mieux. Elle transmet son héritage latin à ses filles, et elle espère qu’elles seront fières de savoir d’où elles viennent et de leurs grands-parents pour être les premiers à leur avoir offert la possibilité de cette belle vie qu’elles possèdent.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Née au Guatemala, la belle a dû passer son enfance à prouver à tout le monde qu'elle pouvait, elle aussi, être une vraie américaine. L'adolescence a été difficile, un conflit d'identité... trop latino pour ses camarades de classe, trop américaine pour sa famille. Et puis, à ses 15 ans, la belle a obtenu la nationalité américaine, en plus de sa nationalité guatémalienne. Elle a depuis mis de côté ces problèmes acceptant fièrement sa double nationalité. Mais surtout, elle a su en faire une force d'être "différente" des autres, de parler une langue supplémentaire et d'être capable de s'adapter à deux cultures simultanément. C'est cet héritage qu'elle souhaite transmettre à ses filles.
Ethnie/origines : Quand toute sa famille vient de Guatemala et le revendique haut et fort, il est difficile d'oublier d'où on vient. Ceci étant dit, son arrière-grand-mère maternelle venait de Porto Rico. La demoiselle a donc un peu de sang portoricain qui coule dans ses veines.
Orientation : Noa a toujours été attirée par les hommes, que ce soit dans le jeu de la séduction ou même sexuellement. Elle n'a jamais été attirée par les femmes, ce qui ne l'empêche pas de les trouver belles, jolies et sexy. Elle ne ressent juste aucun désir pour la gente féminine.
Situation : La belle est célibataire, et mère de deux enfants en plus de ça. Mais elle vit bien la situation, ne s'en plaint pas. Après tout, c'est elle qui a rompu avec l'homme de sa vie pour lui permettre de vivre la vie qu'il désirait. Et étant donné que c'était sa décision à elle, elle l'accepte fièrement. Noa se débrouille bien, ses filles ne manquent de rien, elles reçoivent des lettres de leur père règulièrement. Bien sûr, les attentions et les câlins lui manquent. Mais un bon plaid, un verre de vin et un bon film lui font très vite oublier ses petits tracas.
Occupation : Noa est graphiste avec le statut d'auto-entrepreneur. Elle travaille de chez elle, et d'où elle veut en vérité, et se gère toute seule. Pas de patron pour lui dicter quoi faire, ni à quelle heure. Elle se fixe elle-même ses objectifs, ses horaires, son salaire. Et elle n'a jamais été aussi heureuse que depuis qu'elle s'est mise à son compte ! Pour rien au monde elle ne reviendrait en arrière.
Quartier : La belle a vécu toute sa vie à Brooklyn, et c'est du coup tout naturellement qu'elle y est restée. Le quartier est dynamique, il y flotte une ambiance bohème depuis quelques années, elle s'est trouvée un petit loft vraiment sympa et son brunch préféré se trouve à 15 minutes à pied de chez elle. Que demander de plus ?

and what else ?
Qualités : Créative, souriante, passionnée, mature, indépendante, débrouillarde, joviale, sociable, empathique, organisée
Défauts : Râleuse, jalouse (mais pas maladivement), n'a pas la langue dans sa poche, franche, trop honnête, souvent en retard, rancunière, trop gourmande, maladroite.
Passions : {#}animaux{/#} ; Noa a toujours aimé les animaux, mais ses parents n'en voulaient pas à la maison (pas assez d'argent, trop de travail pour s'en occuper, perd trop de poils, bave...). Elle ne peut pas forcément encore se permettre d'en adopter un, alors pour allier son amour des animaux avec l'envie d'en avoir, Noa a décidé de devenir famille d'accueil pour des chiens et des chats. De plus, ses filles prennent très à coeur de l'aider à s'en occuper. {#}enfants{/#} ; Forcément lorsqu'on est maman... on ne peut pas dire "ew je déteste les bambins". Depuis six ans maintenant, son quotidien c'est les enfants, surtout quand on en a deux à la maison. Que ce soit les sorties en famille, entre filles ou en play date... la vie de Noa tourne autour des enfants. {#}instagram{/#} ; Quel genre d'auto entrepreneur serait-elle si elle n'avait pas Instagram ? Déjà, pour commencer, Noa adore ce réseau. Elle aime beaucoup la photographie, et elle aime partager des photos de ses filles. Mais elle en profite aussi pour partager des astuces de graphisme aux débutants ou frileux de se lancer en tant que freelance. {#}design{/#} ; C'est un peu ce autour de quoi gravite ses journées. 70% mère, 20% graphiste, 5% "je le ferai demain", 3% râleuse, 2% estomac sur pattes. Bref, le design, elle en fait, elle en mange, elle en respire, elle en rêve. Quand elle n'en fait pas, elle en cherche, quand elle n'en cherche pas, elle se renseigne dessus et en apprend toujours plus.
Communautés : {#}LosLatinx{/#} ; Toutes ces années d'adolescence à essayer de renier sa vraie nature, ses origines, son pays natal, sa langue maternelle, sa culture... Tout ça parce qu'elle avait honte d'être différente des autres. Pour finalement, aujourd'hui, être on ne peut plus fière de venir d'Amérique Latine. Elle veut que ses filles ne ressentent jamais ce qu'elle a pu ressentir pendant son enfance, alors elle les emmène souvent rencontrer d'autres latinos (autre que leur famille). Et puis, elles parlent exclusivement espagnol à la maison. {#}BFLC{/#} (best friends lifesaving center) ; Noa adore les animaux, alors elle a dernièrement décidé de devenir famille d'accueil. Ses filles adorent l'idée, même si elles préfèreraient d'avantage garder l'animal toute leurs vies. {#}meowparlour{/#} ; un café chat où l'on peut faire du yoga et de la méditation ? Il n'en fallait pas plus pour convaincre Noa ! D'ailleurs, elle s'est inscrite aux cours de méditation avec ses filles. Et elles en ont bien besoin ! Être entourées de chats tout en apprenant à se détendre leur fait beaucoup de bien. Et à Noa aussi d'ailleurs !






that's my story / self diagnosis
New York, février 1994 ◊ « C’est notre nouvelle maison, mi hija. » La petite fille est encore trop jeune pour bien comprendre ce que sa mère lui raconte. Elle n’a que trois ans, et du jour au lendemain, ses parents ont attrapé tout ce qu’ils possédaient pour quitter leur maison, leur pays et traverser les frontières afin de se retrouver à New York. La petite fille ne comprend pas bien. Elle se pense en vacances. Bientôt, elle rentrera à la maison. Il fait bien trop froid ici. « Nueva York est notre nouveau chez nous, mi hija. » La petite fille cligne des yeux. Puis elle tend les bras vers son père. « Papá… » Elle est fatiguée. Ses parents aussi, mais ils ne le montrent pas. Son père la prend dans ses bras et s’assoit dans un vieux fauteuil abîmé. Il la berce tout doucement. La petite fille s’endort tout contre lui. Elle est encore trop innocente pour comprendre ce qu’il se passe. Ce petit appartement miteux, ce deux pièces avec ce matelas à même le sol et ce vieux fauteuil abîmé, c’est sa nouvelle maison. C’est ici qu’elle grandira. Elle passera ses premières nuits sur ce vieux matelas, à même le sol, avec ses parents. Avant qu’ils puissent enfin s’offrir un canapé convertible qui deviendra son lit. « Tout ira bien, mi cariño. » Chuchote son père au creux de son oreille en lui caressant les cheveux. « Dios está con nosotros. »

New York, septembre 1997 ◊ Trois années se sont écoulées depuis son arrivée dans le pays, mais l’enfant ne s’adapte pas bien. Tout est étrange ici. Les hivers sont glacials. Les étés bien trop humides. Sans parler de cette période étrange à la rentrée scolaire où il commence à faire froid, et puis d’un coup il fait à nouveau chaud avant que le froid ne revienne. Ils appellent ça l’été indien. Et puis surtout, elle a fini par comprendre qu’elle ne rentrerait plus à la maison. C’est ici, maintenant, la maison. Mais Noa a du mal à s’y faire… Les enfants ne sont pas très gentils avec elle. « Tu parles bizarre. Pourquoi tu roules les r ? » « Parce qu’elle est pas comme nous ! » Des mots qui résonnent dans son crâne, comme des coups de poing. Pas comme nous. La petite fille n’a que six ans, mais elle comprend déjà que quelque chose n’est pas normal. Est-ce elle ? Est-ce eux ? « Je roule pas les r… » S’efforce de dire Noa d’une petite voix, en roulant bien évidemment les r. Elle n’y peut rien si elle parle comme ça. Elle ne parle qu’espagnol à la maison. Elle a appris l’anglais en à peine trois ans. Elle fait encore beaucoup de fautes. Mais elle essaye, et elle n’abandonne pas. Seulement, Noa en a marre qu’on se moque d’elle. « Non mais écoutez la ! » S’égosille l’un des garçons en rigolant méchamment. « Mon papa a une femme qui range tout à la maison, elle parle comme toi. » Noa fronce des sourcils. Elle ne les aime pas ces garçons. « ¡Estúpido! » Leur crie-t-elle juste avant de s’enfuir en courant. Tandis que les larmes lui montent aux yeux, la petite fille rêve de retourner chez elle, au Guatemala.

New York, juillet 2003 ◊ La demoiselle passe un dernier coup sur sa robe pour la lisser. Elle se regarde dans le miroir d’un air perplexe. Elle ne se reconnait plus trop. Elle a beaucoup changé ses derniers mois, et elle commence même à avoir de la poitrine. Pas suffisamment pour porter un soutien-gorge, mais assez pour que ça se remarque et que ça la gêne. Noa déteste ça. Elle déteste porter une brassière. Et cette robe, elle ne l’aime pas. Mais elle est obligée de la porter quand même, parce que c’est dimanche et que le dimanche, toute la famille Aguilar se réunit à l’église. Noa n’est pas la seule enfant Aguilar, ses cousins sont également là. Leurs parents aussi ont quitté le Guatemala pour venir s’installer à New York. C’était d’ailleurs un projet dont discutaient les frères Aguilar (le père de Noa et le père de ses cousins). Elle aime bien les voir, car elle se sent un peu seule dans son petit appartement avec ses parents. C’est ça aussi d’être fille unique… c’est envier ses cousins qui sont quatre. Et puis elle s’entend particulièrement bien avec Rosita, la benjamine, qui a le même âge qu’elle. Noa soupire. Elle aurait aimé avoir des frères et sœurs. Ou au moins une sœur. « ¡Vamos, Noa! » La jeune fille observe son reflet une dernière fois. Il n’y a rien à faire, elle n’aime pas ces robes du dimanche… Elle prend une grande inspiration, ferme les yeux un instant, puis elle sort de la salle de bain. « ¡Sí, papá, ya voy! » En route pour l’église, ce qui ne réjouit pas tellement Noa. Car même si elle est encore jeune, elle sait déjà qu’elle ne croit pas tout ce qu’on lui apprend dans ce lieu de culte. Elle a bien entendu appris le respect de la part de ses parents, alors elle ne se permet pas de critiquer ou de dire quoi que ce soit. Mais elle sait, au fond d’elle-même, qu’elle n’est pas croyante comme ses parents.

New York, décembre 2006 ◊ « Mi hija, hay una carta para ti. » Noa soupire bruyamment. Elle est fatiguée d’entendre ses parents parler espagnols tout le temps alors qu’elle se bat depuis des années pour apprendre l’anglais et prendre un parfait accent new yorkais. Ce qu’elle a finalement réussi. Si ce n’est pour son visage qui la trahit, lorsqu’elle parle, Noa a tout l’air d’une américaine. Mais chez elle, ses parents continuent de parler leur langue maternelle, et ça l’agace. D’ailleurs, ça fait quelques mois qu’elle ne répond plus qu’en anglais. Et ça, ça les agace eux. « J’ai une lettre ? Où ça ? De qui ? » Noa sort de la salle de bain pour rejoindre sa mère. Ils vivent toujours dans ce petit deux pièces. Alors, l’adolescente passe beaucoup d’heures dans la salle de bain. C’est le seul endroit où elle peut être tranquille. Elle a pris l’habitude de s’installer tous pleins de coussins et des plaids dans la baignoire afin de se créer un petit nid. Elle y lit, elle dessine… « Aquí. » La jeune fille attrape l’enveloppe que lui tend sa mère. C’est une enveloppe avec un tampon. Ça a l’air bien trop formel pour elle. Une affreuse pensée lui traverse l’esprit : et si on l’expulsait ? Un frisson lui parcourt toute l’échine. Noa prend une grande inspiration, et elle expire longuement. « ¿A qué esperas? » Sa mère la sort de ses pensées. Tout en s’asseyant à ses côtés, Noa lui fait part de son inquiétude. « Et si c’était une mauvaise nouvelle ? Et si on voulait… me renvoyer ? » Lorsqu’elle était petite, c’était tout ce qu’elle souhaitait : retourner à la maison. Mais aujourd’hui, à quinze ans, sa maison est ici. L’Amérique est son pays. « Así que no te preocupes, mi hija. » « Tu as raison, j’imagine, j’ai tort de m’inquiéter… » Noa offre un sourire pas très rassuré à sa mère. « Ok bon… » Elle ouvre l’enveloppe d’un coup sec. En tombe alors une carte à son nom, accompagné d’une lettre qu’elle s’empresse de lire. « … la nationalité américaine… ¡Oh, Dios mío! ¡Soy americano! ¡Mamá, soy americano! J’ai obtenu la nationalité américaine, tu te rends compte ?! » Noa saute de joie dans la cuisine en serrant la lettre contre son cœur ! Sa mère, folle de joie et on ne peut plus fière de sa fille unique, se lève et l’embrasse. « Estoy muy orgullosa de ti, mi hija. » « Moi aussi je suis fière de toi, mamá. » Les deux se prennent dans leurs bras et s’embrassent. Aujourd’hui est un grand jour. Noa Aguilar a obtenu la nationalité américaine, et rien ne pouvait rendre plus fière sa mère.

New York, octobre 2013 ◊ Voilà à peine un an, maintenant, que Noa fréquentait un homme incroyable. Simon. Elle l’avait rencontré sur le campus de son université le 5 mai, alors qu’elle célébrait Cinco de Mayo avec la communauté latine du campus, mais aussi avec sa cousine et ses amis à qui elle avait forcé la main. Aller venez, ce sera génial, vous verrez, et je vous promets une teq paf ! Cela faisait maintenant quelques années que Noa avait su accepter sa différence et en faire une force. Elle était dorénavant très fière d’être Guatémalienne et de parler espagnol. Et pour ainsi dire, tout se passait beaucoup mieux avec ses parents. Ils avaient même totalement accepté Simon qu’ils adoraient ! Simon… c’était une rencontre toute bête à la hauteur de la maladresse de Noa. Avec ses amis, ils venaient de se poser dans un bar et c’était elle qui était en charge de commander les boissons. Quelle idée quand on la connait… Elle était en train de revenir avec cinq verres dans les mains (en marchant doucement et en regardant plus les verres que là où elle mettait les pieds). Et voilà qu’elle a trébuché sur quelque chose au sol – ou plutôt quelqu’un – et qu’elle s’est étalée de tout son long sur ce garçon qui se trouvait allongé au sol. Que faisait-il ? Un de ses amis l’avait défié de s’enfiler plusieurs shoots en étant allongé au sol. Joueur, le garçon avait relevé le défi. C’était sans compter sur la maladresse de Noa. Voilà qu’à présent ils étaient tous deux recouverts de divers alcools (bière, whisky, vodka entre autres). Et Noa était tombée de tout son long sur lui. D’ailleurs, dans un réflexe il l’avait rattrapé. « ¡Oh, Dios mío! » Noa était trempée et elle puait l’alcool. Et puis c’est là qu’elle avait croisé son regard. « … Salut ! » Avait-elle sorti d’une petite voix. « Salut ! » Avait-il répondu en lui repassant une mèche de cheveux derrière l’oreille. C’est un peu comme si le temps s’était arrêté autour d’eux. Et puis le bruit environnant leur était revenu aux oreilles et ça les avait frappés. Elle était toujours dans ses bras sur le sol, tous les verres étaient éparpillés autour d’eux et ils étaient recouvert d’alcool. Noa s’était relevée très vite, rouge de honte. Et puis, alors qu’elle pensait disparaitre et ne jamais le revoir, il avait insisté pour passer le reste de la journée avec elle. Ce n’était pas juste une rencontre, c’était comme s’ils se retrouvaient enfin après une vie entière à se chercher.

Un an plus tard, ils vivaient ensemble dans un petit studio depuis six mois. Bien que les parents de Noa étaient persuadés qu’elle vivait seule. Vous imaginez un peu, deux jeunes non mariés qui vivent sous le même toit ? Ce serait un scandale ! Enfin dans la famille Aguilar tout du moins… Cependant, le scandale se trouvait au coin de la rue. Voyez-vous, à cet instant précis, Noa était assise sur le sol de sa salle de bain. Les larmes roulaient le long de ses joues, son nez coulait. Et tout son corps était parcourus de sanglots. Sa main droite, tremblante, tenait un test de grossesse dont le résultat venait de changer à jamais sa vie. Au même moment, Simon rentrait de son boulot. Quelle ne fut pas sa surprise en trouvant sa bien-aimée en pleurs sur le sol froid de la salle de bain. La rejoignant au sol, il passa ses bras autour d’elle pour la serrer tout contre lui. « Chhhuuut… je suis là, tout va bien se passer. » Il ignorait encore quelle était la cause de son chagrin, évidemment. Noa essaya de parler, mais les sanglots étaient trop puissants. Alors, elle tendit le test vers lui dans un dernier effort. Alors qu’elle lui donnait, les larmes coulaient encore plus. Il fallut un moment à Simon pour faire le lien, et pour comprendre. « Attends… tu es… enceinte ? » Sa réaction surprit Noa plus que tout. Simon arborait un immense sourire. « Tu es en train de me dire que je vais être papa ? » S’exclama-t-il en la serrant tout contre lui. Puis une lueur de lucidité lui passa par la tête. « À moins que… est-ce que tu veux… le garder ? » Son regard s’était fait sérieux alors qu’il plongeait dans les yeux de Noa. Sérieux, mais compréhensif. « Je ne sais pas… » Noa était perdue, trop de choses lui passaient par la tête au même moment. « Mes parents… » « On s’en fiche de ce qu’ils vont dire ou penser. Je serai là mon amour. » Noa sentit comme un poids se retirer de ses épaules. Pour être honnête, elle s’était déjà attachée à ce petit embryon. Et ces quelques mots de Simon finirent de la rassurer. « Je te promets que je ne vais nulle part. »

New York, juin 2014 ◊ « Je sais que vous êtes fatiguée, et vous vous en sortez très, très bien, mais il va falloir pousser une nouvelle fois. Le deuxième arrive ! » « Vous plaisantez ?? » Hurla Noa. La jeune femme était en sueurs, elle était trempée même. Elle maudissait, à l’instant présent, toutes les femmes qui avaient osé lui dire que l’accouchement était le plus beau jour de leur vie. Parce qu’à cet instant précis, Noa souffrait. Elle avait mal partout. Elle voulait juste tout arrêter, se reposer et laisser le bébé quelques mois de plus dans son ventre. Le bébé… le bébé qu’elle venait d’accoucher en plus ! Le médecin avait annoncé à l’instant qu’il s’agissait d’une petite fille. Même que Simon en avait eu les larmes aux yeux en embrassant Noa. Mais voilà, le médecin venait d’annoncer qu’un deuxième bébé arrivait ? « No, no, no. ¡Estás loco! ¡Sólo hay un bebé! Lo sé, he visto la ecografía, ¡sabría que hay dos! » « Chérie, en inglés… » Simon ne connaissait pas beaucoup d’espagnol, mais il savait au moins lui rappeler qu’elle ne parlait pas anglais. « Y en a pas deux ok !!! J’ai vu les échographies, j’étais làààààà oookééééééé, j’étais obligée d’être là vu que le gros ventre c’était moi !!! C’était pas Simon, ah ça non, sinon on lui aurait dit quoi ? Félicitations c’est un kebab ?!! Y EN A PAS DEUX !! Comment c’est possible ???? » À présent, Noa hurlait. Et plus elle hurlait, plus elle écrasait la main de Simon, plus le jeune homme se décomposait. « Noa… ma main… » « Oh t’as mal à la main ?? EH BEN IMAGINE MON UTÉRUS CE QU’IL RESSENT !! » Le médecin esquissa un petit sourire. « Noa… je sais que cette situation est confuse. Il arrive parfois que le second bébé n’apparaisse pas à l’échographie, il se cache derrière le premier. Mais pour votre bien-être, et celui du bébé, je vais vous demander de faire un tout dernier effort, et de pousser. Vous pouvez le faire ! » Simon posa sa seconde main, non broyée, sur l’épaule de Noa en signe d’encouragement. Oh comme elle le détestait à ce moment précis ! Noa pris une grande inspiration, et juste avant de pousser elle se fit la promesse à elle-même que c’était la première et la dernière fois de sa vie qu’elle tomberait enceinte.

« Félicitations, vous êtes l’heureuse maman de deux petites filles en parfaites santés ! » Alors qu’on lui déposait ses deux filles dans les bras, Noa, épuisée, était en larmes. Des larmes de joie, de fatigue, d’un trop plein d’émotions. « Bonjour Adelaida, bonjour Ainoa. Bienvenue au monde mes amours… » Simon était assis près d’elle, les yeux remplis de larmes et d’amour. « Je suis si fier de toi… Je t’aime… » Murmura-t-il à Noa. Le sourit qu’elle lui rendit valait tous les mots.

New York, novembre 2014 ◊ « Ça ne fonctionne pas. » Décréta un soir Noa alors qu’elle observait Simon avachit dans le canapé de leur studio. « Tu es en train de t’éteindre. » « Quoi ? » Noa s’assit à côté de lui et lui attrapa la main qu’elle serra fort contre elle. « Je suis en train de te perdre… Ce que tu souhaitais, c’était voyager, découvrir le monde, vivre de ta passion… Pas être enfermé dans un train-train pareil. Boulot, biberon, dodo. Ce n’est pas pour toi. » Simon était complètement perplexe, ahurit même. « Quoi ? » « Je t’aime. Et tu m’aimes aussi. Et tu aimes les filles plus que tout. Mais je ne veux pas que tu cesses de nous aimer, que tu cesses de m’aimer parce que ton rêve te file entre les doigts. » Il secoua la tête. « Je ne comprends pas… » « Nos chemins se croiseront toujours. Tu es mon pingouin, mon âme sœur, l’amour de ma vie. Mais tu dois vivre ta vie ! Tu dois vivre tes rêves ! » « Mais… » Noa l’embrassa, puis elle embrassa sa main. Elle se mordait l’intérieur des joues pour ne pas pleurer. « Je ne veux que ce qu’il y a de mieux pour toi. Et aujourd’hui, être père, être coincé dans cette routine, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour toi. » Simon était totalement perdu. « Simon… je t’aimerai toute ma vie. Et quand tu seras prêt à revenir vers nous, je serai là, je t’attendrai. Mais je ne supporterai pas de te voir t’éteindre un jour de plus. Ça fait cinq mois que ta petite flamme s’est éteinte. » Elle avait raison. Mais de l’entendre le dire, c’était bien plus douloureux que de l’admettre lui-même. Simon ne s’en rendait pas compte, mais il avait des larmes plein les yeux. « Je ne peux pas… » « Bien sûr que si tu peux. Va vivre tes rêves. Je serai toujours là, avec toi. » Dit-elle en posant sa main contre le cœur de Simon. « Toujours… » Il prit son visage dans ses mains. Qu’est-ce qu’il l’aimait ! Et le fait qu’elle le comprenait aussi bien rendait tout ça encore plus difficile. Mais elle avait raison… il s’éteignait, il devenait mauvais pour elle et les filles. Et s’il espérait un jour être un père parfait et être à nouveau l’homme dont Noa était tombée amoureuse, il devait se reprendre en main. Vivre ses rêves pour ne pas être amer. Il détestait ça, mais elle avait raison. Noa n’arrivait plus à retenir ses larmes. Elle se lova contre Simon, en pleurant silencieusement. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, et c’est parce qu’elle l’aimait tellement qu’elle le libérait. Ils passèrent la nuit entière dans les bras l’un de l’autre, en silence, s’imprégnant au maximum de ces derniers moments ensembles. Le lendemain matin, Simon était parti.

New York, mars 2021 ◊ « Ainoa, Adelaida, ¡vamos mis hijas! » Six ans plus tard, le temps avait bien passé depuis que Simon était parti. Noa en avait pleuré des larmes. Jamais devant ses filles. Toujours en silence. Elle s’était montrée plus forte que jamais. Ses parents avaient été d’une aide incommensurable. Ils avaient, bien évidemment, maudit Simon. Malgré le fait que Noa eut essayé, trop de fois, de leur expliquer que c’était elle qui l’avait forcé à partir. Bien évidemment, sa mère lui avait aussi fait la leçon sur le fait qu’elle n’avait pas su retenir son homme. Cet homme qui, malgré la distance, avait continué de subvenir aux besoins de ses filles, de leur envoyer des cadeaux et des lettres. Qu’est-ce qui lui manquait… Mais Noa avait appris à grandir sans lui, à vivre sans lui. Et elle ne l’avouerait pas, aujourd’hui, qu’il lui manque. Cette fierté qu’elle tient de sa propre mère. « On va à notre séance de méditation. » « ¿Con los gatos? » Demanda Ainoa. « Sí, con los gatos. » Les filles aimaient faire de la méditation avec les petits chats. C’était leur rituel, deux fois par mois, le samedi. Noa avait su se débrouiller seule, sans Simon. Elle avait construit une vie stable pour ses enfants. Elle était devenue graphiste à son compte. Elle s’était trouvé un loft de trois chambres à Brooklyn dont elle était propriétaire. Mais surtout, elle était heureuse et épanouie. Elle n’y croyait pas au début, mais finalement, elle avait réussi. Et elle pouvait être fière d’elle-même !



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Elodie
Age: 29 ans
Avez-vous des triggers personnels ? Hm, pas que je sache... Enfin là, comme ça, y a rien qui me vient. hehokoi
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Crédit avatar utilisé dans la fiche: LITTLE WILDLING RPG
Souhaitez-vous un mp d'intégration Hm, non je pense que ça ira, mais l'idée est trop mignonne Tag instagram sur I've got 99 problems 995762081  plzz

drive for your life ((elizabeth)).

Invité
14 r ; 415 v.
Mer 16 Déc - 0:07
Elizabeth Haas
fit hot guys have problems too
ID CARD
{@=783}Elizabeth Haas{/@}
33 ans - pilote F1
FEAT : Phoebe Tonkin.
Elizabeth est née en Californie où elle a vécu jusqu'à ses treize ans, âge à lequel elle a déménagé en Europe pour tenter d'avoir une réelle chance en Formule un. Elle vit à New York depuis 2010 et voyage beaucoup pour son travail. Elle déteste dire qu'elle est pilote de formule un parce que les gens sont toujours surpris de voir une femme dans ce monde. Déterminée et fonçeuse, elle n'a pas froid aux yeux. Petite soeur de deux grands frères, elle a toujours été protégée et s'en est toujours défait, détestant qu'on la cocoone de trop. Elle a trente trois ans, n'a jamais gagné de Grand Prix (mais a déjà fait six podiums) et bien que ça l'attriste, elle ne se laisse pas démonter, loin de là même.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : Anglaise.
Orientation : Pansexuelle.
Situation : Célibataire.
Occupation : Pilote de F1.
Quartier : Manhattan.

and what else ?
Qualités : calme, douce, gentille.
Défauts : compétitrice, bornée,
Passions : {#}sensationforte{/#} {#}instagram{/#} {#}car-racing{/#}
Communautés : the lift, lgbt center manhattan.




that's my story / self diagnosis
Elizabeth Haas est née le 12 juillet 1987 à Los Angeles en Californie ✱ Elle est la dernière enfant de Gene Haas, seule fille précédée de deux grands frères nés en 1985 et 1983 ✱ Elle a toujours été intéressée par les sports de vitesse et des voitures, à la différence de ses frères qui se sont toujours désintéressés de cela ✱ Elle n'a jamais été intéressée par la NASCAR (sport préféré de papa) mais toujours par la Formule un, elle ne manquait aucune course à la télé plus jeune ✱ Elle a commencé le karting très petite et avait l'habitude de couper ses cheveux très courts pour ne pas gêner dans le casque mais aussi pour se faufiler dans la masse d'hommes ✱ Alors qu'elle a treize ans, elle quitte la Californie pour l'Europe afin d'avoir une réelle chance en Formule un ; elle part avec sa mère dont elle est très proche ✱ À seize ans, elle entre en Formule trois et en sort à ses vingt et un ans ; elle est la plus vieille dans toutes les catégories, mettant beaucoup plus de temps à être choisie par des écuries ✱ Elle entre en formule un à l'âge de vingt huit ans et son père en profite pour préparer son arrivée dans le sport ✱ en 2016, elle change d'écurie pour celle de papa qui a toujours cru en elle et lui prouve en lui sécurisant une place sur la grille de départ ✱ Elle a eu quelques histoires dont une assez longue et importante, seulement il l'a demandé en mariage en 2015 et c'était l'année de son entrée en formule un ; elle a refusé, rompant avec le jeune homme ✱ Elle vit entre New York et l'Europe où de nombreuses courses se passent ✱ Elle s'entend très bien avec tous ses confrères mais elle voit bien qu'elle n'est pas traitée de la même façon par les sponsors ✱ Elle s'est blessée plusieurs fois en courses mais jamais rien de trop grave ✱ Très compétitrice, elle a tapé dans le cul de ses confrères plus d'une fois ; certains tentaient de véhiculer le cliché de la femme qui ne sait pas conduire, ce qui l'a toujours énervé ✱ Elle est la première femme en Formule un et compte bien se battre pour garder sa place ✱ Elle tente de vulgariser le sport auprès des fillettes et fait beaucoup de stage aux USA pour motiver les jeunes demoiselles à monter derrière un volant ✱ Ella n'a plus qu'une poignée de points sur son permis Européen ; les excès de vitesse sont son point noir ✱ Elle est féministe et militante ; elle se rend à des manifestations dès qu'elle le peut ✱ Engagée, quand quelque chose la touche, elle se bat ✱ Sportive, c'est une aficionada des salles de sport, bien qu'elle en ait une chez elle ✱ Elle vit dans un appartement New Yorkais, en plein centre de Manhattan ✱ Elle est très proche de sa mère et un peu moins de son père ; ses deux frères vivent toujours en Californie ✱ Elle a du démarcher beaucoup de sponsors pour réussir à financer sa carrière, elle est assez douée en négociation ✱ Elle aime plaire mais alors se poser, ce n'est pas trop pour elle ✱ La malbouffe et l'alcool sont des excès qu'elle s'autorise très rarement, devant maintenir son poids, sa forme, sa force et sa musculature ✱ Elle ne dit jamais de gros mots en Grand Prix et a bien envie de claquer le visage du numéro 33 qui lui, en dit sans cesse ✱ Elle a le numéro 60, l'année de naissance de sa mère ✱ Elle n'a jamais mis un pied à l'école, toujours des cours à la maison ✱ Elle a un appartement à Monaco qu'elle squatte facilement quand ils conduisent en Europe ✱ Elle ne changerait sa vie pour rien au monde.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : julie / weaslove.
Age: 29ans dans 2 semaines.
Avez-vous des triggers personnels ? Les relations toxiques / abusives.
Avatar à réserver : Phoebe Tonkin.
Crédit avatar utilisé dans la fiche: littleliarstrg.
Souhaitez-vous un mp d'intégration Oui siouplait.


(j'ai probablement pris la mauvaise fiche, ne me tapez pas, je suis un boulet)

good karma, my aesthetic

Invité
13 r ; 407 v.
Mer 25 Nov - 18:00
Ava + Braga
just small daddy issues
ID CARD
{@=769}ava braga{/@}
23 ans - Influencer & Model
FEAT : Barbie Ferreira
23 ans & toujours accrochée à son téléphone portable, Ava on la remarque avant tout grâce à son sourire. Influenceuse, mannequin, en charge de sa propre vie, elle n’a jamais laissé la pseudo-célébrité lui monter à la tête et elle garde les pieds sur terre. Bisexuelle, elle défend aussi bien la cause LGBT+ qu’elle dénonce les inégalités de l’industrie de la mode. Plus size model à l’esthétique soignée, son poids ne la définit pas et elle s’accepte telle qu’elle est, ayant déjà passé des années à batailler avec une mère soucieuse de la voir perdre du poids et d’avoir enfin la fille parfaite. Mais plus que tout, Ava vous le dira, elle est heureuse, s’engageant dans chacun de ses projets à fond, avec le sourire, trouvant même le temps pour promener son chien (Pluto) et ses séances de yoga quotidiennes.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Américaine.
Ethnie/origines : Origines Brésiliennes, ton nom de famille le réflète même et ce même si certains l’oublient.
Orientation : Bisexuelle sans absolument aucun complexe.
Situation : Célibataire, par choix, tu as beaucoup de chemin à faire dès que les relations avec un grand R sont concernées, il paraît que tu es trop occupée.
Occupation : Influencer, tu n’es pas vraiment fan du titre, tu passes ta vie en ligne à poster des photos de ce qui te passionne et plus important, parler de ce qui te fait sourire. Tu es également mannequin et depuis peu co-host d’un podcast, Fat Gals Talk, avec Reagan Schuyler.
Quartier : Manhattan

and what else ?
Qualités : Toi, tu aimes bouger et tu fourmilles tout le temps d’idée. Créative, qu’il s’agisse de mettre au point la tenue du jour ou trouver une nouvelle façon de redessiner tes sourcils, tu es une personne visuelle et tu ne prends pas juste des photos avec ton smartphone parce que tu es jeune. Curieuse, tu mets un point d’honneur à t’informer sur les sujets que tu ne connais pas et surtout qui peuvent t’aider à mettre à l’aise tes interlocuteurs. Sociable, tu as le sourire facile et toujours la bonne blague pour détendre l’atmosphère et donner l’impression que tu connais tout le monde depuis une dizaine d’années, quand c’est loin d’être le cas et tu traites tout le monde à la même enseigne, toujours bienveillante envers tes proches et tes amis. Si tu n’as pas le temps de faire des apparitions en personne, alors tu vas bombarder les gens de message, de smiley et meme plus que clichés mais toujours dans le but de faire sourire et même rire. Indépendante enfin, tu as appris à l’être et ce assez rapidement vu la relation assez tendue avec ta mère, l’argent n’a jamais été un problème pour toi mais ce n’est pas pour cela qu’il ne faut pas être un minimum prudente, pas vrai ?
Défauts : Et justement, on pourrait te reprocher d’être trop prudente parfois. Si tu es perfectionniste quand il s’agit de ta vie professionnelle, dans le privé tu es méfiante à souhait et il faut avoir le coeur bien accroché pour se faire une place dans ta vie, que ce soit temporairement ou même de façon permanente. C’est quelque chose que l’on t’a déjà reproché par le passé mais c’est un mécanisme bien ancré en toi, plutôt être seule que mal accompagnée... c’est ce que dit le dicton et beaucoup de tes relations amoureuses se sont soldées par des échecs à cause de toutes tes précautions. Sans compter le fait que tu es rancunière à souhait, tu possèdes une bonne mémoire malheureusement alors si tu te souviens souvent des hauts, les bas restent et font beaucoup plus mal que le reste. C’est bien pour cette raison que les choses sont encore tendues avec ta génitrice et ce malgré la distance que tu as mis entre elle et toi. Mais elle a bien dû mal à reconnaître sa petite fille parfois, certaine de ne pas avoir élevé quelqu’un d’aussi bavard et grande gueule, oui, ta célébrité ce n’est que du vent mais parfois, tu te laisses porter par ton nombre de followers et tu en oublies ta place. Cela ne dure jamais bien longtemps et c’est sûrement parce que tu es une grande workaholic, bien incapable de décrocher.
Passions : {#}chien{/#} - {#}mode{/#} - {#}instagram{/#}
Communautés : Los Latinx - The Lift - LGBT+ center - Best friends lifesaving center






that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Vous avez choisi la partie classique, dans votre extrême motivation (ou pour impressionner le créateur de votre scénario), c’est tout à votre honneur ! Racontez nous donc l’histoire de votre personnage du début à la fin qu’on sache tout sur ses traumatismes liés à l’enfance. Si vous voulez plutôt faire des anecdotes c’est possible aussi c’est vous qui décidez. Cette partie est libre, nous ne demandons aucun nombre de mots. Gardez cependant à l’esprit qu’il sera difficile pour le créateur d’un scénario de se projeter avec vous si vous ne rédigez pas un minimum dans cette partie.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : malibu  Tag instagram sur I've got 99 problems 2881807329
Age: 28 ans  hidebox
Avez-vous des triggers personnels ?  abus émotionnels et physiques, acte sexuels non-consentis.
Avatar à réserver : Barbie Ferreira
Crédit avatar utilisé dans la fiche: thisoldrubyrider (tumblr)
Souhaitez-vous un mp d'intégration alors là je dis oui, c’est un super bonne idée  uuh  uuh  uuh

none is forgiven, all is replaced, petrichor

Invité
15 r ; 714 v.
Jeu 17 Sep - 19:30
Gaeul Sin
24 ans - étudiante en droit
FEAT : Kang Seulgi (Red Vlevet)Gaeul, c'est un mélange très mal blendé des prequels Star Wars, de Mike Ross, et d'un condensé de dank memes -- dans le sens où toute sa vie se résume au fait que son père soit un génie du mal, qu'elle possède une mémoire hors du commun, et que c'est dans ses gènes de dramatiser et compliquer les choses.

Du haut de ses vingt-quatre ans, quoi qu'elle puisse plaindre, elle a mené une vie plutôt facile. Elle est née en Corée-du-Sud, Seoul, et a été élevé par sa grand-mère (d'où elle tire son sarcasme prononcé et son penchant pour l'humour noir, d'ailleurs). De ce pays, elle n'a connu que les quartiers les plus riches, que les écoles les plus réputés, que les personnes les plus estimés. Ca vient avec le nom : Sin. Ce qu’a commencé autrefois une petite raffinerie de sucre à Busan, est devenu un empire Fortune 500 aujourd'hui. Et elle en est l'unique héritière.

En bref: son père n'a jamais vraiment aimé sa mère, sa mère n'a jamais vraiment voulu voir qu'il ne voulait que sa fortune, et Gaeul n'a jamais vraiment eu le courage de s'en mêler. Sa lettre d'acceptation de candidature Pre-Law pour l'université de Columbia était l'excuse parfaite pour s'en distancer davantage.

Elle ignore ce qu’elle veut vraiment – éternellement l’indécise – mais elle sait ce qu’elle ne veut absolument pas : n’être qu’un ombre parmi les ombres. Sin, quelqu’un. Sin, quelque chose. Comme une phobie qui la hante, ou une peur qui motive chaque acte et influence chaque pensée – l’ordinaire l’épouvante, tant les expectations s’empilent sur ses épaules. Et on attend d’elle beaucoup. Tant de choses. Tant, tant de choses qu’elle en perd le souffle parfois, à l’abri des regards. Nerveuse, agitée.

Qu’elle soit une effigie exemplaire, alors, glorifiée et façonnée à la Sin mais frêle sous la surface. Son jeu, elle le cache bien ; et le cachera toujours aussi bien – fière, trop fière. Sin Gaeul. On la dit souriante, facile à vivre, drôle. Différente. Sympa, mais d’un air de sûreté qui vire un peu vers de l’arrogance, de l’arrogance qui ne sert qu’à maintenir son charme alors on le lui pardonne.

Elle ne promet jamais ce qu’elle ne pense pas pouvoir accorder. Soit un non, soit un oui, jamais un peut-être ; elle n’agit quand dans les limites de ses possibilités. Seulement, son pragmatisme échoue là où ses sentiments commencent. Les interpréter, les accepter, les digérer – que des frustrations qui s’ajoutent.

La vérité, c’est qu’elle n’est pas assez patiente.
who am I
ꕥ âge : 24 ans
ꕥ nationalité : sud-coréenne
ꕥ ethnie/origines : de père et mère coréens
ꕥ orientation : bisexuelle, confuse (men are trash amirite)
ꕥ situation : en couple, pourtant elle n'arrive pas à virer une certaine péruvienne de son cœur
ꕥ occupation : étudiante en droit, première année
ꕥ quartier : 74th street, upper east side
ꕥ qualités : drôle, pragmatique, amicale
ꕥ défauts : perfectionniste, arrogante, têtue
ꕥ passions : {#}memes{/#} {#}instagram{/#} {#}cinéma{/#}
ꕥ groupe : fit hot guys have problems too
ꕥ communautés : {#}Les{/#} étudiants & profs de Columbia University; {#}TheLift{/#}; {#}LGBTcenter{/#}; {#}NYC{/#} Expats; {#}Gotha{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : inventé
ꕥ mp d'intégration : ui et je veux des câlins uwu

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je m'appelle Narimene, j'ai 23 ans, et je suis algérienne Tag instagram sur I've got 99 problems 1380091441 Je suis étudiante en médecine, du coup j'ai un penchant inné pour le sado-masochisme  :lyzirius: niveau rp, je suis là assez souvent (daily?) et je pense pouvoir assurer un rp/mois, tant je ne suis pas en période d'exam  slurp

petit portrait chinois
ꕥ un livre : malika mokeddem - mes hommes
ꕥ un film : last holiday
ꕥ une série : suits
ꕥ une chanson : ts - the one
ꕥ un animal :  Tag instagram sur I've got 99 problems 3323327925
ꕥ un plat/dessert : COOKIES  :lyzirius:
ꕥ une boisson : café pour survivre, thé pour le plaisir
ꕥ une célébrité : sandra oh
ꕥ un pouvoir magique : invisibilité wbk wbk

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : abus sexuel


that's my story / self diagnosis

vodka shot, amphetamine coma


Elle arrive dans cette famille très attendue – mais ils arrivent tous très attendus. Sin. Tous ceux d’avant, ceux d’avant avant ; ceux d’après, aussi, qu’en sait-elle. Ils sont tous liés de sang, tous liés d’un seul et simple nom : Sin. Traduit dieu, ou divin. L’ironie. Ils n’ont absolument rien de divin. L’empire qu’ils se plaisent tous à gouverner n’est pas le leur. Ni leur réputation d'ailleurs, même pas leurs vies. Tout ce qu’ils possèdent, Gaeul incluse, leur a été servi sur une cuillère en or. A quoi bon se tenir si crânes, s’ils n’en méritent rien ?

« Tu es l’héritière Sin. »
Une inhalation agacée. « M’ouais. Je n’ai jamais rien demandé, mais ok. »

C’est un titre qui la dérange, Gaeul. Elle a du mal à se valoriser en tant que personne quand on lui rappelle sans cesse que tout ce qu’elle possède, toutes les opportunités, toutes ses réussites, elle les doit à son grand-père. Et puis elle, elle ne veut pas faire perdurer le rêve d’un autre, elle veut plutôt réaliser le sien. Elle n’en veut rien, de cet héritage. Et c’est quand qu’ils l’ont perdu, le sens de l’ambition, dans cette famille ? Bon sang, quand ont-ils commencé à croire qu’ils étaient entitled à quoi que ce soit d’autre que leurs propres triomphes ?

« Tu m’écoutes ? »
« Mm.. non, » répond-t-elle, sourire aux lèvres. Elle se redresse un peu, croise les jambes pour y poser son livre. Elle tourne la page, inscrit chaque mot dans sa mémoire.

« C’est quand que tu es devenue aussi insolente ? »
L’aînée réprimande, ôtant enfin le regard de la télé en face. Elle n’a pas l’air irritée, plutôt taquine. « Je dis juste que tu n’as pas besoin de lire un guide pratique pour chirurgie parodontale, tu ne vas pas devenir dentiste. Après tout, son ton se morphe en une imitation du père de Gaeul, tu es déjà l’héritière Sin ! »

« Haha, très drôle Ma’, » Gaeul lui donne la satisfaction de la voir lever la tête, rouler les yeux, puis reprendre sa lecture. Elle sait, mieux que tout le monde, à quel point elle déteste ce titre. « Et c’est pour un parie que j’ai fait avec un étudiant en chir-dent, le livre. » Elle lui a dit qu’elle apprendrait le livre par cœur et il a cru qu’elle bluffait.

Un rire échappe à la grand-mère. « Et c’est quand que tu comptes dire à tes parents, pour ton ‘don’ ? »

Un petit hum, puis, « sûrement jamais ? » Satisfaite de son progrès, Gaeul ferme son livre et le pose sur le chevet à côté du lit. Elle se tourne pour s’allonger, sa tête sur les hanches de sa parente. « Dis. T’as toujours voulu travailler dans ce business ? Tu n’as jamais eu envie de… faire autre chose ? »

« Et bien, pour être honnête, si, je voulais devenir vétérinaire, à ton âge. » Amusée de voir les sourcils de sa petite fille se froncer tantôt ces paroles dites, elle ramène une main contre sa joue, caresses qu’elle espère consoler. « Je comprends que ça t’effraye. J’ai déjà été à ta place. On a tous eu nos moments de doute, tout comme toi. » Raffermit-elle, patiente. « Tu dois juste… garder en tête que c’est toi qui définies l’extraordinaire. Et quoi qu’il puisse arriver, tu n’es pas seule. C’est aussi ça, d’avoir une famille aussi grande que la nôtre. Cet héritage n’est pas une punition. »

Gaeul grogne son désaccord. « Si je finis coincée dans un bureau, si, ça m’a tout l’air d’une punition. »

« On peut faire de merveilleuse choses, depuis un bureau. Crois-moi. » Une pause. « Et tu peux toujours faire autre chose. Tu dois juste trouver comment le faire sans fuir ton devoir. »

Ton devoir. La jeune fille résiste à l’envie d’en rire un bon coup. « Et tu penses que je suis dramatique. » Sa grand-mère roule les yeux, mais n’en dit rien de plus. C’est pas du genre de Gaeul, d’éviter les responsabilités. Elle se plaint, mais elle compte pas les laisser tomber ceux qui comptent sur elle.

Elle ferme les paupières, plus trop partante pour en parler.

Tu es l’héritière Sin, comme beaucoup l’ont été autrefois.
Ordinaire.



vodka shot, amphetamine coma
the fear that you've lived an ordinary life, koinophobia



Il y a deux, trois dossiers qui traînent sur son bureau. Elle les regarde avec une grimace qu’elle n’arrive pas à s’ôter du visage depuis qu’Alessa l’a quitté.

Son professeur lui a personnellement demandé d’étudier ces cas, d’essayer de trouver une loophole quelque part dans les termes décrits dans ces papiers pour rompre le contrat. À ce qu’il parait c’est une tradition : chaque année il se permet de choisir un élève en première qui lui tape à l’œil, auquel il offre la chance d’assister à un vrai procès en le faisant participer à une de ses affaires en cours. De l’expérience gratuite, ça se chérit. Et si même sa grand-mère  (qui insiste à l’appeler sur Skype au moins une fois par semaine quand elle est à Seoul, et qu’elle ne se sent pas capable d’endurer des heures en avion) trouve ça cool, c’est que ça l’est – puis même si ça ne l’est pas, elle est juste contente d’avoir été ‘élue’ parmi quelques milliers d’élèves.

(L’ego Sin.)

Et elle sera encore plus contente une fois avoir trouvé ce putain de trou, pour enfin passer à autre chose.
Mais ça n’avance pas.

Un grognement, puis un grincement lorsqu’elle tire un tiroir de son bureau pour en extraire un autre dossier, le logo du Groupe Sin inscrit dessus d’un doré brillant cette fois-ci. Elle n’avance pas avec le contrat du professeur parce qu’elle a l’esprit ailleurs. Gaeul quitte sa chaise, yeux rivés sur ces pages alors qu’elle se pose au sol. « Tu peux fermer la porte à clé, s’teuplé ? »

Iseul* la regarde d’où elle est vautrée, amusée par la grimace que son amie fait quand concentrée. « Sure. » Elle délaisse son livre quelque part sur le lit, un bâillement qui lui échappe tandis qu’elle s’exécute. Elles sont dans la chambre de Gaeul, chacune occupée à faire ses propres devoirs. Quand elle se retourne, elle ne revient pas à sa place mais va plutôt se poser à côté de son hôte. « T’es toujours sur les dossiers du professeur Park ? »

Gaeul secoue la tête, complètement perdue dans les chiffres qu’elle lit. « C’est un rapport. ‘Vient de la branche que mon père administre à NY. On me l’a envoyé ce matin. Had it on my mind all day. »

« Why ? What's up with it ? »

L’héritière ne répond pas immédiatement. Elle tourne une page encore, fronce les sourcils lorsqu’elle lit une ligne de plus qui la déplait. Elle ne relève la tête que quelques secondes plus tard, ses yeux durs. « Well... j’avais vu des papiers dans son bureau, l’autre jour qui m’ont suggéré qu’il vole de l’argent de nos comptes bancaires. »

Iseul rattrape le dossier qu’elle lui lance. « Et ? No offense, but it’s not stealing if it’s his own money. »

« C’est de l’argent destiné aux charités. » Et encore, ce n’était pas tant l’argent qui manque qui la dérange, mais l’acte en lui-même. C’est la pire chose qui soit, être déloyal, surtout si c’est contre sa propre famille. Ses pensées vont à cent à l’heure, l’envie de le dénoncer à sa mère s’impose, mais elle n’a jamais été assez courageuse pour lui parler de ce qui regarde son père. Gaeul voit déjà un plan B s’esquisser devant ses yeux. « Je vais remonter le fil. Trouver combien il a volé, et où il le met, l’argent. I’m gonna make him pay us back every Won, every penny he ever took. »

« Laisse ta mère s’en charger ? »

Gaeul secoue la tête, main contre sa nuque tandis qu’elle réfléchit. « Elle va rien faire. Au mieux, elle va demander un divorce et le laisser prendre encore plus d’argent on top of what he took. She loves him. » C’est beaucoup plus réel – plus tangible – maintenant qu’elle a une preuve que quelque chose cloche.

Iseul n’a pas l’air convaincue. « And you don’t ? C’est ton père, Eul-ah. »

Il y a tant à dire là-dessus, mais elle a la flemme d’expliquer à quel point leur famille est fucked up. Shortcut : « Il ne l’a jamais vraiment été. Pas avant, et il ne va pas commencer à l’être maintenant. » Il y a de la rancœur dans son ton, un you should’ve been there, dad implicite qu’elle refuse de se l’admettre.

Et elle se demande – brièvement, parce qu’en fait elle s’en fout un peu, de toute la mauvaise foi que ça implique – si elle n’est pas heureuse d’avoir enfin trouvé l’occasion de se mettre en face de son père sur l’échiquier.

C’est à ce moment précis que papa devient l’ennemi.


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the fear that you've lived an ordinary life, koinophobia
you are not made of steel


Pile cinquante secondes après sa naissance, le cœur de sa mère s’est arrêté de battre. L’arrêt cardiaque, inusuel pour une personne de son âge, a été causé par une hémorragie importante pendant l’accouchement – elle y a survécu, mais de peu. Elle n'a plus jamais été la même personne après. ○ On l’a nommée Gaeul car son arrière-grand-mère est décédée au même jour où elle est venue au monde – c’est son prénom. ○ Contrairement aux autres familles de leur rang, la famille Sin refuse le stratagème de ‘gendre adopté’ pour faire perdurer sa lignée. Il est donc fréquent, chez eux, si besoin, que les enfants prennent le nom de famille de leurs mères pour honorer leurs ancêtres – un peu comme dans le cas de Gaeul. ○ Sin. Patronyme maternel que la fille unique porte pour honorer les traditions et faire persister la descendance. Un fardeau d’excellence et de prétention qui s’étale à travers les décennies, et qu’elle ne se hâte pas de porter. Sin. Son père aime le prononcer, ce nom, aime son poids sur ses lèvres même s’il n’est pas le sien. Lourd, puissant. Il aime s’appuyer sur le ‘s’ et redresser ses épaules quand il le dit, quand il remarque qu’il est l’époux de l’héritière d’un des plus grands groupes financiers de l’histoire de la Corée. Sin, Gaeul. Même son prénom n’a pas été choisi au hasard – on l’appelle Gaeul, comme on a appelé son arrière-grand-mère avant elle. Traduit automne : le symbole de déclin et de décadence qu’elle n’est pas. ○ Elle a grandi témoin de l’élitisme de sa matriarche. De sa façon d’être à la maison comme au travail, de sa façon d’être dans le détail comme dans le gros, le tout. Distante. Froide. ○ Elle a grandi gâtée par sa grand-mère – aimée si fort que l’absence de son père (autant celui de sa mère) dans sa vie ne se faisait même plus remarquer. ○ Elle n’a percuté son don pour la remémoration qu’à l’âge de sept ans : elle avait lu un livre d’histoire qui traînait dans la chambre de sa mère, deux ans plus tôt, mais elle arrivait toujours à se rappeler de chaque mot. ○ Elle n’en a parlé qu’à sa grand-mère, et personne d’autre. ○ Comme chaque membre de la famille Sin qui se respecte, Gaeul parle principalement quatre langues : Coréen, Japonais, Chinois et Anglais. ○ Elle a choisi des études en droit pour plus d’une raison – déjà pour mieux protéger et diriger l’entreprise qui l’attend, ensuite for the thrill. Déjouer les règles, frôler les limites sans jamais se faire choper. Tout un art. ○ Elle est de ces rêveurs qui veulent changer le monde sans trop savoir comment s’y prendre. Il y a tant à faire, mais nulle part où commencer. ○




this session is gonna be different
twen/nari ꕥ 23 ans
fréquence de rp : 1-2/30j. ϟ fréquence de connexion : 7/7j. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? 600-1200. ϟ avatar à réserver : kang seulgi. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : bleu ϟ comment avez-vous connu 99 ? {@=700}leah barghava{/@}. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je pense qu'on doit tous écouter le nouvel album de taylor swift et manger un donut.
tumblr (gif) solsken (avatar)

reflection of perfection (catriona)

Invité
22 r ; 441 v.
Mer 26 Aoû - 17:38
catriona murphy
21 ans - étudiante
FEAT : iris law
incarnation de perfection ; c’est tout du moins ce qu’elle s’évertue à paraitre, devenir, et avec acharnement. l’impression de ne jamais être assez, le besoin d’être la meilleure, d’exceller dans tout ce qu’elle entreprend. famille richissime mais éclatée, père parti et parents divorcés durant l’enfance, sensation de rejet sur laquelle elle s’est construite. pression permanente, cat aspire à l’excellence : elle brille littéralement dans ses études de droit à l’université de columbia, arbore un sourire quasi-constant, adopte un comportement irréprochable, fait preuve d’un style impeccable et est archi-active. vie sociale incessante, occupations diverses et variées, peu de vrais moments pour se retrouver si ce n’est sur le canapé de son psy hors de prix. pas de pause. des objectifs à la pelle, des to-do-list interminables, et aucun droit à l’erreur. ambiance familiale complexe : le père d’abord toujours loin, remarié, avec d’autres enfants pour former une famille à laquelle elle en veut, où elle ne trouve pas sa place puisque trop lointaine. le père revenu avec eux et catriona qui peine à passer outre la sensation d'abandon, si bien que la route est encore longue avant de parvenir à des relations véritablement apaisées. mère qui a mal vécu la séparation, le divorce, depuis peu en couple avec un type grossier à peine plus âgé que cat. qui ne le supporte pas. sujets qu’elle n’aborde quasi-jamais, parée de son sourire colgate – et de toute façon trop occupée par ses multiples activités. c'est que sa quête de perfection demande beaucoup de temps.
who am I
ꕥ âge : la jeunesse qui court dans les veines, infatigable. vingt-et-un ans : majorité à peine entamée et des portes qui ne cessent de s’ouvrir sur son passage. c’est qu’elle fait tout pour.
ꕥ nationalité : américaine de naissance.
ꕥ ethnie/origines : irlande dans le sang ; les murphy et les reid trouvent leurs racines au pays des leprechauns et de la saint patrick mais sont implantés dans la grande pomme depuis des générations.
ꕥ orientation : elle est hétérosexuelle – tout du moins se définit-elle ainsi sur ce plan, sans jamais s’être vraiment posée la question.
ꕥ situation : en couple depuis plusieurs années avec le type parfait. ce qui n’empêche pas leur relation de connaitre autant de hauts que de bas.
ꕥ occupation : étudiante en 3ème année de droit à l’université de columbia, avocate exceptionnelle en devenir ; spécialisation en droit international des affaires. influenceuse accroc aux réseaux sociaux. réussite en maitre mot.
ꕥ quartier : catriona vit avec sa mère dans un appartement de l’upper east side. manhattan est son territoire, qu’elle délaisse au profit du campus de l’université de columbia et de la maison de famille de son père et de sa belle-mère à staten island.
ꕥ qualités : accessible, active, ambitieuse, carrée, charismatique, consciencieuse, déterminée, droite, éloquente, fière, intelligente, loyale, maligne, polie, sensible, sociable, souriante.
ꕥ défauts : autoritaire, besoin de reconnaissance, calculatrice, égocentrique, (trop) exigeante, jalouse, maniaque, manque de confiance, nerveuse, opportuniste, perfectionniste, possessive, rancunière, sarcastique, sous pression.
ꕥ passions : {#}instagram{/#} ; {#}droit{/#} ; {#}mode{/#}.
ꕥ groupe : I need help
ꕥ communautés : columbia university ; gotha ; new york city bar.
ꕥ scénario/pré-lien : ici.
ꕥ parrain : oui s’il vous plait !

all about my player
ꕥ petite présentation perso : hello hello ! ici blaize, aka fanny, 29 ans, en direct de la région parisienne. sur les forums depuis trop longtemps maintenant :lol: j'aime écrire, lire - surtout la fantasy et la sf - et je regarde pas mal d'anime japonais.
très contente d’avoir découvert ce forum pour son esprit, toutes les choses mises en place pour respecter les sensibilités de tous et une intégration active et positive. hâte de faire évoluer cat au milieu de tous vos persos !

petit portrait chinois
ꕥ un livre : les grandes espérances
ꕥ un film : le cinquième élément
ꕥ une série : aucune idée
ꕥ une chanson : machu picchu – the strokes
ꕥ un animal : un chat
ꕥ un plat/dessert : des spaghettis bolognaise
ꕥ une boisson : jus d’ananas ou gin to
ꕥ une célébrité : jsp non plus
ꕥ un pouvoir magique : téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : relations sexuelles non consenties, pédophilie, inceste


that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...

ꕥ family portrait. tu ne devrais plus être en colère contre ton père. ni attendre qu’il se raccroche à l’image que tu avais de lui avant qu’il vous laisse toutes les deux ; celle créée de toute pièce par une gamine d’à peine cinq ans alors qu’il n’était déjà plus là. c’est normal d’idéaliser ce qu’on ne connait pas. mais tu devrais passer à autre chose, oublier tout ça – non, pas oublier : accepter. accepter qu’il n’ait pas été heureux avec vous ou qu’il ait trouvé mieux sans ; toi, catriona, tu n’y peux rien. tu as pourtant longtemps cru être également fautive, que quelque chose n’allait pas chez toi. que vous l’aviez fait fuir toutes les deux alors même que selon ta mère, vous n’auriez pas pu faire mieux. tu lui en as énormément voulu. tu lui en veux encore un peu, ou peut-être beaucoup. y a comme une dernière pilule qui passe pas. t’aurais voulu avoir une famille unie, normale, et ne pas avoir à le partager avec une autre femme que ta mère, une autre fille que toi, quand tu partais le rejoindre pendant des vacances au mexique où là encore, tu ne le voyais presque pas. tu n’as pas manqué de le faire culpabiliser pour étouffer ta propre impression de culpabilité. tu t’es souvent montrée odieuse, simplement parce que tu ne t’es jamais sentie légitime pour fondre dans ses bras et lâcher prise. tu te sens à l’étroit dans la place qu’il te donne quand tu aurais rêvé d’être au centre d’une attention que tu n’as jamais vraiment eue. parce qu’il y a d’abord eu marisol, et qu’après marisol, il y a eu sofia. marisol qui a pris ton père à ta mère et qui l’a éloigné de toi. sofia qui a pris de ta place dans son cœur et récolté l’attention que tu aurais voulu pour toi. tu les as détestées, haïes. la distance n'a rien arrangé. tu le sais : ce n’est pas rationnel, et c’est loin de ce que tu voudrais vraiment. mais il y a cette pointe de rancœur qui ne part pas. même s’ils sont venus à nyc et que la distance n’est plus un problème. même si tu as bien conscience que tu devrais passer outre tout ça. tu es incapable d’oublier la déprime de ta mère, la douleur que cette séparation lui a causée comme le mal qu'elle t'a fait à toi. tu ne sais pas effacer tous ces mots et ces larmes qui ont déchiré sa gorge et inondé ses joues, et sûrement que la rancœur qu’elle a alimenté a nourri la tienne. tu sais qu’elle aimait ton père et que si c’est elle qui a demandé le divorce, elle ne l’a pas provoqué. qu’elle a mal vécu cet épisode de sa vie, le perçoit comme un échec pour elle, encore plus vis-à-vis de toi. qu’elle a eu du mal à s’en remettre. et pourtant, elle aussi a subi à cause de toi. elle a subi ta frustration, tes incompréhensions, tes caprices et tes colères. ton jugement, tes mots durs. tout ce que tu as enfoui au plus profond de toi. mary-ann a tenu bon en pleine tempête, et c’est maintenant que tu commences doucement à tolérer la situation du côté de ton père qu’elle part en roue libre. vrai qu’elle est belle ta mère, et que les années n’ont pas été cruelles avec elle. beaucoup d’hommes ont gravité autour et si parmi eux, aucun n’a trouvé grâce à tes yeux, celui qu’elle s’est récemment choisie te laisse perplexe. ou plutôt sans voix, si tant est qu’on soit véritablement capable de te clouer le bec. si parvenir à considérer marisol comme ta belle-mère et sofia comme ta demi-sœur, à accepter qu’il y ait véritablement un lien entre vous, est le fruit trop récent mais incomplet d’un interminable acheminement, le cas simon est à part. parce que simon n’a qu’un an de plus que toi, adopte un comportement vulgaire et grossier avec ta mère qui ne trouve rien de mieux à faire que de tenir le rôle d’une adolescente devant son premier crush. à peine simon débarqué dans sa vie qu’il s’installe chez vous et se voit confié selon son bon vouloir la carte de crédit de ta mère. et c’est trop pour toi. de la voir si naïve, niaise, heureuse, amoureuse. parce que t’as peur qu’elle se fasse avoir, t’as peur qu’il se foute d’elle et qu’elle ne soit rien de plus qu’un alignement conséquent de chiffres devant une virgule. t’as pas envie de la voir jouer les minettes à quarante ans passés : c’est déjà ridicule pour les autres, et c’est inacceptable pour ta mère. alors c’est simple : tu ne veux pas voir ça. tu ne te sens pas d’aller à la confrontation et de lui exprimer le fond de ta pensée. tu n’as pas plus envie de la blesser que de subir la situation. alors t’es plus tellement dans votre appartement de l’upper east side : tomber sur simon le cul vissé au canapé – à ta place évidemment – devant un programme télévisé débile, trop peu pour toi. d’autant moins lorsque ta mère t’a proposé de faire une sortie avec lui pour mieux le connaitre. mais quelle formidable idée ! t’as sorti tout sourire. pas réalisable tout de suite ‘malheureusement’ : entre les examens que tu prépares et ton programme formidablement chargé, t’as préféré répondre que tu reviendrais vers lui dès que t’aurais un créneau. en sachant très bien que ce serait pas prêt d’arriver. tu désertes manhattan pour la fac, pour staten island : quitte à choisir, tu préfères aller là où t'auras le moins envie de lever les yeux au plafond.

ꕥ be the best. ou mieux : sois parfaite. parce qu’elle a vécu le divorce de ses parents comme un abandon de son père pour son autre vie, il y a cette voix dans sa tête qui lui répète chaque jour le même refrain. pas assez. pas assez pour elle, pour les autres, pour tout ce qui l’entoure. catriona est une insatisfaite chronique aux prétentions de perfection. l’exigence qu’elle s’impose est imposée aux autres et pour ce que le bien ne sera jamais suffisant, le meilleur la satisfait à peine si elle ne l’estime pas parfait. mais puisque le meilleur est ce qui s’en rapproche le plus, cat se doit de l’être a minima. famille riche, ambition, intelligence, style et physique : sur le papier, catriona murphy a tout pour elle et le sait. pas assez. alors il faut qu’elle soit la plus brillante, la plus ambitieuse, la plus belle et la plus stylée ; cette fille qu’on regarde passer avec envie qui qu’on soit et pour quoi que ce soit, dont on sait qu’elle ira loin et volera haut. celle qu’on a envie d’approcher, autour de laquelle on aimerait graviter. celle qui compte. tout ce qu’elle entreprend se doit d’être une réussite. catriona est donc major de sa promotion et se prépare intensivement à une brillante carrière d’avocate en droit international des affaires. les abonnés à son compte instagram se comptent par milliers et on est certain de la trouver là où il faut être. physique impeccable, pratique quotidienne du jogging et régulière du yoga, son visage est un harmonieux mélange de ceux de ses parents. la peau est dorlotée, les cheveux soignés, le maquillage à la fois léger et raffiné. le dressing est surpeuplé, trop régulièrement alimenté. pas de vulgarité dans le phrasé, comportement poli, bien éduquée. posture droite et décontractée, port gracieux et distingué. délicieuse. mais le sourire, chez elle, c’est quelque chose. ses lèvres satinées quasi-toujours étirées, il n’est pourtant jamais vraiment le même et revêt souvent un sens caché. il y a les vrais évidemment. ceux, trop rares mais sincères, qui ne cachent rien. puis il y a les autres. ceux qu’il faut faire, ceux qu’elle ne pense pas, ceux qui moquent, qui jugent, qui jouent. les sourires fiers, les sourires mauvais, les sourires d’amour. mais le sourire, (presque) toujours. ses défauts sont camouflés sous les bonnes intentions apparentes et toute cette lumière qu’elle s’efforce de dégager. les activités se multiplient et au-delà de celles dédiées aux communautés qu’elle fréquente, il y a entre autres : ses séances d’étude acharnées, sa vie sociale active – au point qu’il soit rare qu’elle n’ait rien de prévu tous les soirs, de la simple visite à/d’un.e ami.e aux soirées étudiantes en passant par divers événements mondains –, le sport, la cuisine, la tenue de ses réseaux sociaux, … tout pour s’occuper, combler cette sensation de pas assez. tout pour l’être, assez. quitte à s'oublier.

ꕥ the dark side of the moon. pas de lumière sans ombre ; la sienne est aussi sombre que ses éclats sont brillants. car si elle se doit d'être la meilleure, elle n'apprécie que très modérément qu'on la surpasse, qu'on la surclasse. qu'on mette à jour ses défauts, qu'on la ramène à sa position d'être humain d'une banalité absolue puisqu'elle ne peut intrinsèquement pas en être. alors elle est jalouse. jalouse des succès qu'elle ne remporte pas, de la reconnaissance qu'on lui refuserait au profit d'autres, de l'attention qu'on ne lui prodigue pas. elle doit être mieux, meilleure, en tout. s'échine à réussir, se force à repousser ses limites pour supporter la pression qu'elle s'impose. et ne s'arrête pas. jamais. parce que si elle s'arrête, c'est la culpabilité de ne rien faire qui vient. ce sont ses histoires de famille qui la prennent d'assaut. c'est le temps qui s'écoule et elle qui ne suit pas. alors elle s'occupe. toujours. tout le temps. ne reste pas sans rien faire, s'arrête sur des micro-détails, des points insignifiants. se demande si elle a bien fermé la porte à clé ou si elle n'a rien laissé sur le feu en sachant avoir bien fermé la porte à clé et ne rien avoir laissé sur le feu. a besoin que chaque chose soit bien à sa place. compte ses pas quand elle marche sans rien faire d'autre comme elle compte les marches d'escaliers grimpées. ceux qui la connaissent bien lui trouvent un côté maniaque voire psychorigide : les choses doivent être faites selon ses plans et si elle ne se laisse pas le droit à l'erreur, croyez bien qu'elle n'en fera cadeau à personne. mais elle est consciente de tout cela. alors elle voit un psy, à 18h00 tous les mercredis. elle s'installe sur son canapé, longues jambes croisées, et parle. ou ne dit rien : c'est qu'elle est fatiguée souvent, parfois trop, et qu'il n'y a que sur ce canapé que le silence est autorisé.

ꕥ random. née le 26 août 1999 ; son signe astrologique est celui de la vierge – le bleu est sa couleur préférée – a un chat blanc de quatre ans du nom de silver – n'a jamais été au volant d'une voiture – est en couple depuis trois ans – dort la plupart du temps peu, mais il lui arrive de passer des nuits de plus de douze heures ; elle est alors complètement décalquée et passe sa journée dans le gaz – intériorise beaucoup (trop) – boit relativement peu d'alcool mais ne refusera jamais un gin tonic ou un bon verre de blanc – accroc au café et aux réseaux sociaux – passe trop de temps sur son téléphone – a horreur de la cigarette et déteste l'odeur du tabac froid – son parfum est coco mademoiselle de chanel – pas très grande, elle porte quasi-toujours des talons – mange relativement peu de viande (et lui préfère le poisson) – ponctuelle, déteste être en retard et prévient toujours – les orages l'impressionnent et l'apaisent ; elle pourrait rester des heures à les regarder – a une sainte horreur du fromage et beaucoup de mal avec les produits laitiers de manière générale ; pas d'intolérance, c'est le goût qui passe pas – comprend presque parfaitement l'espagnol et est plutôt à l'aise à l'oral – rêve d'entrer dans le cabinet sullivan and cromwell llp à la fin de ses études, et compte pour ce faire obtenir un stage chez eux – la famille du côté de son père est très catholique et très croyante ; celle de sa mère se moque des questions religieuses. cat' est athée et n'est pas particulièrement à l'aise lorsque le sujet des religions est abordé – est très proche de son grand-père paternel à défaut de l'être avec son père, et déjeune avec lui au moins une fois par semaine – préfère le salé au sucré, mais le chocolat est son point faible – ses fleurs favorites sont les œillets.  



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blaize/fanny ꕥ 29 ans
fréquence de rp : 1 à 2 toutes les deux semaines. ϟ fréquence de connexion : quasi-quotidienne, hors weekends. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? entre 600 et 1500 mots, je m’adapte. ϟ avatar à réserver : iris law. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : la même couleur que la st patrick. ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart (rip). ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? bravo pour ce forum, hâte de terminer cette fiche et d’écrire avec vous. et pour celleux qui seraient intéressé.e.s par des liens, n’hésitez surtout pas !
tumblr (gif) solsken (avatar)

Zoella + Let us live like flowers.

Invité
22 r ; 684 v.
Mer 22 Juil - 5:21
Zoella Soumaya Wallace
23 ans - profession courte
FEAT : Gigi Hadid
Zoella, c'est une personne joviale, assez optimiste. Elle va vers les autres. Elle aime parler, mais surtout écouter. Elle a toujours la main tendue, peu importe à quel point on l'a repoussée et blessée. Des gens en profitent clairement, mais elle ne le voit pas toujours. Elle est capricieuse, un peu princesse malgré elle. Elle est extrêmement ordonnée, à la limite de l'obsession. Elle est aussi matérialiste, peu généreuse en ce qui concerne les biens physiques. Si elle n'hésite pas à offrir de son temps pour aider, il est rare qu'elle offre des cadeaux. Ayant été ballottée de foyer en foyer après que ses parents soient décédés dans l'incendie qu'elle a accidentellement provoqué, elle a fini par (trop) s'attacher à ses possessions.
who am I
ꕥ âge : 23 années, certaines plus faciles, d'autres intolérables. Mais elle avait raison. Le temps améliore les choses.
ꕥ orientation sexuelle : Elle se dit hétérosexuelle, mais elle est si amoureuse de l'amour, qu'elle pourrait bien tomber pour n'importe qui.
ꕥ situation : Célibataire. Elle aimerait que ça change, bien qu'elle ignore comment elle pourrait ajouter un petit-ami à son horaire.
ꕥ occupation : Infirmière depuis peu, elle vient d'obtenir un poste de soir et de nuit au centre médical de Richmond.
ꕥ quartier : {#}18{/#} Bedford Street, Williamsburg, avec son frère.
ꕥ qualités : ❋ Joviale ❋ Ouverte ❋ Rêveuse ❋ Altruiste ❋ Protectrice ❋
ꕥ défauts : ❋ Gourmande ❋ Bavarde ❋ Possessive ❋ Naïve ❋ Impulsive ❋
ꕥ passions : {#}écriture{/#} {#}instagram{/#} {#}photographie{/#}
ꕥ groupe : I NEED HELP
ꕥ communautés : EL HALITO, PLANNED PARENTHOOD
ꕥ scénario/pré-lien : lien si applicable
ꕥ parrain : oui s'il-vous-plait cute  love

all about my player
ꕥ petite présentation perso : Je me sens comme avant un oral lorsque j'étais encore au secondaire Tag instagram sur I've got 99 problems 245165265 J'ai 22 ans (et ce nombre me fait énormément paniquer), je suis maman d'un petit garçon de trois ans et demi, étudiante en éducation à l'enfance et éducatrice dans une halte-garderie. Et je ne sais déjà plus quoi dire, parce qu'à part tout ça et le rp, je n'ai plus grand temps Arrow J'aime beaucoup les memes, je ne sais pas nager et j'ai peur des zombies. Tag instagram sur I've got 99 problems 1380091441 Où je bosse, tout le monde me surnomme Doris, parce que mon niveau de concentration et ma capacité de mémorisation sont catastrophiques. Arrow

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Un? Bordel. Pretty?
ꕥ un film : UN?! La vie tout simplement?
ꕥ une série : J'ai déjà dit que j'avais du mal à prendre des décisions? Grey's Anatomy (?) Tag instagram sur I've got 99 problems 3309353901 Stranger Things? End of the fucking world?
ꕥ une chanson : Rock&Roll Suicide de David Bowie. Enfin une facile love
ꕥ un animal : Le cochon Tag instagram sur I've got 99 problems 3621181096
ꕥ un plat/dessert : Fondue au chocolat. Macaron?
ꕥ une boisson : Cappuccino glacé avec un jet de chocolat DU TIM HORTON. Tag instagram sur I've got 99 problems 1380091441
ꕥ une célébrité : David Bowie.
ꕥ un pouvoir magique : Se téléporter pour aller braquer une banque.

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : L'inceste, la pédophilie, la zoophilie (et même les abus sur les animaux en général) ou toute autre déviance, je préfère éviter. cute


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Jamila Khaldi + Elle se serait appelée Zoey si sa grand-mère paternelle n'était pas décédée le jour précédent sa naissance. Si cette femme qu'on disait aimante et maternelle n'avait pas fait une attaque à cet instant précis, si son père n'avait pas appelé sa propre mère -d'abord pour lui annoncer la bonne nouvelle, puis pour en apprendre une mauvaise- à ce moment-là, elle se serait appelée Zoey. Une anecdote d'apparence banale, qu'elle raconte parfois lors des fêtes. Pourtant, elle représente énormément pour Zoella. C'est cette histoire qui l'a toujours poussée à questionner les gens, à apprendre à les connaître et à les découvrir davantage. Elle ne connait peut-être pas sa grand-mère paternelle, mais c'est elle qui l'a rendue aussi ouverte et tournée vers les autres.

Rayan Khaldi + Elle était la prunelle de ses yeux, son rayon de soleil. Il n'aurait pu imaginer sa vie sans elle et par sa faute, il n'aura jamais à le faire. C'était la fête des pères. Elle le savait, parce qu'ils en avaient parlé à l'école. Elle voulait lui faire plaisir, souligner ce jour spécial et le remercier pour tout ce qu'il avait fait et allait faire pour elle. Alors, elle lui a préparé des pancakes. Elle a peut-être échappé un peu trop d'huile dans le poêle. Elle a peut-être mis le rond trop chaud. Elle s'est peut-être laissée distraire trop longtemps. Ses souvenirs sont flous. Tout ce dont elle se rappelle, ce sont les flammes, chaudes, colorées, qui grimpaient vers le plafond, embrasant les rideaux de dentelle de grand-mère. Puis son père, qui s'est mis à la secouer, qui l'a traînée violemment jusqu'à l'extérieur. Elle a tenté de le lui dire, qu'il lui faisait mal au bras. Mais il l'a ignoré. Il l'a abandonnée sur le trottoir, puis il est retourné à l'intérieur pour maman. Elle a attendu longtemps, trop longtemps, mais ils ne sont jamais revenus. Ce sont les pompiers, puis les policiers et les travailleurs sociaux, qui se sont échangés le corps presque inerte de Zoe, poupée de chiffon que l'on a fini par déposer sur un lit quelconque, dans une maison bien trop petite pour une si grande famille, au bout de quelques heures.

Maya Williams + Complètement perdue, ne sachant plus qui elle était et à qui elle était, Zoella a réinventé sa vie l'espace d'un instant. Le nom de jeune fille de sa mère, celle dont les souvenirs s'estompent au fil des années, jumelé à une autre partie d'elle; une moitié de son second prénom. C'est sous cette identité qu'elle s'est rendue à El Halito pour la première fois. Elle avait 11 ans. Elle a été accueillie comme jamais. Les gens venaient la voir, lui parler. Ils s'intéressaient à elle, communiquaient sans que ça leur soit imposé, sans rien attendre en retour. Ils aimaient bien Maya. Elle y est donc retournée, de plus en plus souvent. Tous les soirs, plutôt que de rentrer directement à son foyer d'accueil du moment, elle allait faire ses devoirs à El Halito, entourée de gens qui la comprenaient pour la première fois.

Emily Oak + Elle était malade. Elle avait mal à chaque pas qu'elle faisait. Elle vivait dans l'incertitude la plus complète et pourtant, c'est elle qui lui a redonné espoir. Elles se sont rencontrées complètement par hasard à El Halito. Elles passaient leurs soirées à rêvasser. Ensembles, elles réinventaient le monde et Emily, elle lui faisait redécouvrir tous les beaux côtés de la vie. Graduellement, Maya est redevenue Zoella. Avec une amie aussi lumineuse qu'elle à ses côtés, elle n'avait plus besoin de se protéger. Leur lien s'est approfondi pendant quelques mois, jusqu'à ce qu'Emily ne disparaisse complètement, du jour au lendemain.

George&Mallory Wallace + Ils l'ont prise sous leur aile, alors qu'elle recommençait à peine à se remettre sur pied. Lorsque sa travailleuse sociale lui a annoncé la rencontre à venir, elle n'y croyait pas. Elle s'y est rendue sans sourire, sans maquillage. Elle répondait à coup de syllabes, des mots courts qu'elle leur crachait presque au visage. Des couples comme celui-ci, elle en avait déjà vu plusieurs. La plupart étaient motivés par l'argent. Ils se lassaient lorsqu'ils réalisaient que le maigre chèque ne valait pas tous les efforts. Mais eux, ils étaient différents. Elle l'a réalisé un soir de fête. Sa fête. Ils lui avaient préparé une surprise, mais elle n'est jamais rentrée. Elle a préféré sortir dans un squat, avec une bande qu'elle venait de rencontrer. Elle est rentrée aux petites heures du matin, encore assez à jeun pour comprendre l'ampleur de leur inquiétude. C'est à ce moment-là qu'elle a vu leur bonté et qu'elle a décidé de les adopter eux aussi.

Kit Wallace + Il est arrivé au bout de quelques mois, encore plus brisé qu'elle ne l'était. Il ne s'est pas laissé amadouer aussi facilement par les Wallace. Il se débattait, refusait qu'on l'aime et qu'on l'aide, mais elle s'est accrochée. Ils ont refusé de le laisser baisser les bras, de le laisser échapper à l'amour qu'ils souhaitaient lui offrir. Un processus long et laborieux, qui a porté ses fruits. Désormais, Kit fait parti de sa famille. Ils n'ont pas grands points communs et pourtant, ils se comprennent dans leurs silences. À ses côtés, elle se sent bien. En sécurité.

Hassan El-Fassi + Elle n'a de lui qu'un selfie dans son téléphone, des souvenirs vagues d'une soirée et un test de grossesse positif.



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ALIBI/Lydia ꕥ 22 ans
fréquence de rp : plus ou moins 5 jours sur 7. ϟ fréquence de connexion : Au moins un rp/semaine. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? Entre 400 et 800. ϟ avatar à réserver : Gigi Hadid. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : Après avoir relu le règlement en détail pendant 10 minutes en pensant trouver un code, je suis certaine que les petits poids sont noirs, parce qu'ils brûlent en enfer sisisi ϟ comment avez-vous connu 99 ? écrire ici. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? J'aime le concept du forum et la qualité des annexes au niveau des explications concernant la communauté lgbtq+, le whitewashing et les divers troubles cutie C'est complet, bien expliqué. Le forum a l'air convivial malgré sa taille et les couleurs/le design sont sublimes  cutie Bref, je vous aimes déjà love
tumblr (gif) Ultraviolences (avatar)

La vérité toute nue n'est pas toujours belle à regarder + LINA

Invité
16 r ; 598 v.
Mar 24 Mar - 13:50
Lina Meziani
27 ans - gérante d'une nouvelle pâtisserie
FEAT : nina dobrev
Lina elle est née à Jérusalem et y a vécu les 7 premières années de sa vie en compagnie de ses parents, son frère et sa soeur avant de déménager à NY pour fuir la guerre. Peu de temps après leur arrivée au USA son père s'est mis à frapper sa mère. Lina n'a jamais pardonné à sa mère de ne pas avoir fuit cet homme et de toujours lui avoir pardonné. Aujourd'hui son père est décédé et c'est désormais Lina qui se fait frapper par son petit ami actuel mais qui refuse de le quitter parce qu'elle est persuadé qu'il l'aime. Lina elle n'a jamais vécu dans le le luxe et a commencé à travailler dès l'âge de 14 ans. Du ménage, du repassage, tondre la pelouse puis du baby-sitting. A 21 ans elle a commencé à travailler dans un bar, ce genre de bar ou les serveuses sont en petite tenue parce que ça fait soit disant mieux consommer. Et puis il y a quelques semaines son petit ami lui a permis de réaliser le rêve pour lequel elle économise depuis des années : ouvrir sa propre pâtisserie avec des spécialités française, arabe et italienne. Lina elle est combative, fidèle, ambitieuse, organisée, hyperactive et très secrète sur sa vie amoureuse. Elle aime rire, s'amuser et est une fille pleine de vie.
who am I
ꕥ âge : 27 ans
ꕥ orientation sexuelle : hétérosexuelle
ꕥ situation : en couple
ꕥ occupation : gérante d'une toute nouvelle pâtisserie depuis quelques semaines
ꕥ quartier : le queens
ꕥ qualités : organisé, battante, fidèle, loyale, ambitieuse
ꕥ défauts : hyperactive, fragile, maladroite, naïve (ou peut-être juste amoureuse)
ꕥ passions : {#}pâtisserie{/#}, {#}instagram{/#}, {#}manger{/#}, {#}sport{/#}, {#}makeup{/#}, {#}sugaraddict{/#}, {#}animaux{/#}
ꕥ communautés : the oak appartment complex
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? no thanks  keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :Est-ce que je suis pardonné si je vous fait un copier/coller de ma présentation sur la fiche de Ian ? Tag instagram sur I've got 99 problems 225322147 Je m'appelle Gaëtane, j'ai 23 ans, je fais du RP depuis 10 ans environ et je suis POUFSOUFFLE !! C'est une information importante sisi !! Autrement et bien je suis une férue de lecture, ma bibliothèque est pleine et ma PAL déborde bien trop. J'adore suivre des booktubeuse sur Youtube, j'ai un compte instagram dédié aux livres et j'adore également les séries (en ce moment je me refais toutes mes vieilles séries que j'ai adoré regardé, je suis également à fond dans Reign  Tag instagram sur I've got 99 problems 3460843005  Tag instagram sur I've got 99 problems 3460843005 et j'attends avec impatience la partie 4 de la casa de papel dans quelques jours  pompom
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : la saga Un palais d'épines et de roses de Sarah J. Maas
ꕥ un film : The Greatest Showman ! Je comprends même pas pourquoi j'ai pas répondu ça sur ma première fiche
ꕥ une série : Un dos tres
ꕥ une chanson : Impossible - James Arthur
ꕥ un animal : Le chien et plus particulièrement mon chien !  love
ꕥ un plat/dessert : Des crêpes ! Toute ma vie je pourrais manger des crêpes !
ꕥ une boisson : De l'Oasis orange ! Oui oui pas le tropical le orange !
ꕥ une célébrité : Kristen Bell  Tag instagram sur I've got 99 problems 3460843005 j'adore cette femme
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : /

that's my story / self diagnosis
i'm ready to dig into all of it, abandonnement issues, dissociative episodes, my dad...Aujourd’hui quand elle y pense elle se demande ce qui a bien pu passer par la tête de ses parents de quitter leur pays d’origine avec 4 enfants en bas âge. Quatre enfants qui ont du reconstruire toute leur vie de l’autre côté de l’océan. Lina se souvient de son premier jour aux Etats-Unis. Ils étaient restés des heures à l’aéroport et ses parents avaient parlé avec des hommes en uniformes pendant des heures. Bien sur elle n’avait pas compris un mot de la conversation. Sa langue à elle c’était l’arabe et voila qu’on lui parlait maintenant d’apprendre l’anglais, alors qu’elle avait seulement 6 ans. Plus tard elle apprit que s’ils étaient restés aussi longtemps à l’aéroport c’était parce que le territoire américain n’était pas un grand adepte des étrangers, d’autant plus ceux venant des pays du Moyen-Orient. Et un an plus tard ils le seraient encore moins après l’attentat du 11 Septembre. Enfin après des heures passés là-bas ils avaient ensuite fait quelques heures de routes jusqu’à arriver dans cette ville avec des maisons aux palissades en bois. Elle se demanda pourquoi ils avaient tous des palissades devant chez eux. Avaient-ils peur d’être attaqué ? Pourquoi ses parents auraient-ils fuit un pays en guerre pour un autre qui l’était également ? Malgré tout, la petite tête blonde était émerveillée par tout ce qu’elle voyait autour d’elle. C’était tellement différent de Jérusalem. Il lui fallut plusieurs semaines pour s’habituer à sa nouvelle vie, sa nouvelle maison et cette nouvelle langue dont elle devait tout apprendre. Ses parents ne prenaient pas la peine de parler anglais à la maison si bien que chaque jour à l’école Lina se sentait mise de côté. Tous les enfants étaient venus la voir dans un premier temps. Elle était la nouvelle de la classe et la nouveauté ça donnait envie. Mais ils se lassèrent aussi vite de ne pas la voir répondre à leur question. Elle les regardait tour à tour sans savoir quoi dire. Ils ne comprenaient pas sa langue et elle ne comprenait pas la leur. Et puis les années ont passés. Elle finit par apprendre l’anglais, par le comprendre même mieux que sa langue maternelle. Les années passèrent et les souvenirs de Jérusalem s’évanouirent petit à petit. Elle avait oublié jusqu’au nom de ses anciens amis remplaçant ceux là par de nouveaux noms.

On dit souvent que c'est lorsque tout va bien que quelque chose se produit. Comme si la vie refusait de nous octroyer trop de bonheur à la fois. C'est ce qui se passe pour Lina et pour sa famille. Son père avait toujours été un homme assez étrange à ses yeux. Parfois il demandait à ses enfants de venir s'asseoir sur ses genoux juste pour leur dire qu'il les aimaient, et puis le lendemain il leur hurlait dessus en leur répétant qu'ils n'étaient que des bons à rien. Lina ne se souvint plus vraiment de quand cela à commencé. Ils étaient à New York depuis 1 an environ, peut-être moins quand il leva la main sur sa mère la première fois. Lina avait vu toute la scène. Il ignorait qu'elle était dans l'escalier à les écouter alors qu'ils se disputaient. Il ignorait qu'elle avait vu toute la scène. Elle avait vu sa main gifler la joue de sa mère avec violence. Elle avait vu les larmes de sa mère lui monter aux yeux. Puis elle l'avait entendu la supplier de lui pardonner quelques minutes plus tard. Ce qu'elle avait fait. Ce qu'elle continua à faire au fil des années. Lina elle, elle ne pardonna pas à son père. Si elle n'était pas encore en âge de quitter le domicile familial elle était en revanche en mesure d'ignorer son père un maximum. Plus elle grandissait et moins elle comprenait la brunette. Sa mère ne cessait de lui répéter que leur père l'aimait. Lina et elle n'avait visiblement pas la même définition de l'amour.

Lorsqu'elle avait 15 ans environ Lina tomba amoureuse pour la première fois. Ce garçon c'était le garçon d'à côté. Le garçon vivant dans l'immeuble d'en face, au même étage qu'elle. Ce garçon c'était celui qu'elle avait vu une fois sur les marches de l'immeuble avec un oeil au beurre noire. Elle lui avait demandé comment il s'était fait ça. Il avait répondu qu'il était tombé. Ce garçon c'était Ezra. Mais Ezra il semblait tomber souvent. Lina elle finit par s'asseoir avec lui sur ces marches lorsque la vie devenait trop dur dans l'appartement pour qu'il veuille rentrer. Elle restait la avec lui pour ne pas qu'il tombe et pour ne pas que les coups tombe sur lui. Ezra c'était ce garçon d'à côté dont le père frappait la mère avant de finalement se rabattre sur lui quand ce dernier s'interposait. Ezra c'était ce garçon qui la comprenait parce qu'il vivait plus ou moins la même chose qu'elle. Ce n'est peut-être pas une bonne idée de tomber amoureuse d'un garçon qui a les mêmes démons que vous et pourtant c'est ce qu'elle fit. Ils tombèrent amoureux. Follement amoureux et lorsque le soir dans leur lit les cris et les coups devenaient trop dur à entendre ils s'installaient chacun à la fenêtre de leur chambre se faisant face. Ils s'enroulaient chacun dans leur couverture et s'endormaient ainsi en se regardant à quelques mètres l'un de l'autre. Mais les années passèrent et si Lina refusait de quitter sa famille, sa vie ici, Ezra lui n'éhsita pas une seconde. Il disait qu'il fallait qu'il parte pour vivre, pour survivre, pour se reconstruire. Et c'est ce qu'il fit lorsqu'il eut 18 ans. Il parti loin. Très loin.

Des garçons il y en a eu d'autres. Des histoires plus ou moins longues. Des histoires qui ont compté plus que d'autres. Et puis il y a quelques mois il y a eu Isaac. Isaac elle l'a rencontré le jour de l'enterrement de son père. Ce jour-là sa mère lui avait demandé à ce qu'elle fasse un discours pour rendre hommage à son père. Lorsqu'elle fut devant le micro Lina n'ouvrit pas la bouche. Parce que la vérité c'est qu'à ses yeux il n'y avait rien d'honorable à raconter sur cet homme. Rien qui ne puisse enlever toutes les années de souffrance qu'il avait fait vivre à sa femme. Ce jour-là après l'enterrement elle s'était rendu sur le toit d'un immeuble. C'est quelque chose qu'elle aime bien faire Lina. C'est là qu'elle le rencontra. Isaac il était issu d'un milieu riche à l'opposé du sien. Quand elle n'avait fait que petit boulot sur petit boulot depuis plus de 10 ans pour gagner un maigre salaire, lui avait voyagé à travers le monde tout en faisant des études de médecine. Isaac et elle ne pourrait pas être plus différent et pourtant ils tombèrent amoureux. Il y a quelques semaines sans même avoir son consentement il décida de lui offrir la boutique dont elle rêvait pour ouvrir sa pâtisserie. Son rêve. Elle lui en voulu d'avoir dépensé tout cet argent pour elle Lina. Mais elle lui pardonna bien vite lorsque ses lèvres se posèrent à nouveau sur les siennes. Mais comme je le disais plus tôt c'est souvent lorsque tout va bien que... Il la gifla la première fois alors qu'elle rentrait du travail. Il s'excusa presque aussitôt. Elle ne partit pas comme elle s'était toujours juré de le faire si un jour elle rencontrait un homme comme son père. Il n'était pas comme son père. Il l'aimait... C'est ce dont elle finit par se convaincre. Elle lui pardonna. Elle fit ce qu'elle avait reproché à sa mère pendant toutes ces années sans même s'en rendre compte.

un. Lina porte absolument toujours du rouge à lèvre, même si c’est des fois des couleurs neutres elle en a toujours et se retrouve d’ailleurs souvent avec une dizaine de rouge à lèvre dans son sac. Elle adore faire des marques de rouge à lèvre sur les joues de son frère d’ailleurs qui lui déteste ça. deux. Lina parle couramment anglais bien sur malgré qu’elle ai appris cette langue à partir de 7 ans, elle parle également arabe avec sa mère qui refuse toujours de parler anglais avec ses enfants. trois. Elle vit en colocation Lina parce qu'elle a beaucoup de mal à se retrouver seule le soir quatre. Depuis presque 10 ans maintenant elle est devenue une grande adepte de la course à pieds et du sport en général. Elle cours presque tous les matins et va à la salle de sport au moins 3 fois par semaine. cinq. Lina c'est une hyperactive, elle a besoin d'être productive, toujours en mouvement. Elle est également très organisée et c'est ça qui lui permets d'allier son boulot, sa vie, perso, le sport. Chaque jour elle se fixe une liste de choses à faire assez impressionnante et se couche rarement avant d'avoir tout terminé, même si cela signifie ne dormir que 2h avant d’enchaîner sur une grosse journée de travail. six. C'est un vrai ventre sur patte, si elle peux passer des heures, des journées presque sans dormir en revanche il lui est impossible de passer plus de trois heures sans manger quelque chose. Même s'il ne s'agit parfois que d'une barre de céréales mais il lui faut à manger. Ainsi dans son sac en plus des 10 rouges à lèvres on retrouve également toujours deux ou trois barres de céréales écrasés ou en morceaux. sept. Lina elle rêve d'avoir un chien, un bouledogue français pour être exacte. C'est d'ailleurs une grande fan d'animaux et de chiens en général. C'est simple lorsqu'elle en croise un dans la rue elle s'arrête presque systématiquement pour le caresser. huit. Elle est légèrement psychorigide sur le rangement Lina. Elle a besoin que tout soit à sa place si bien qu'elle ne se couchera jamais sans avoir rangé tout ce qui peux traîner dans la cuisine ou le salon. Il en va de même pour tout. Les photos sur son téléphone sont toutes rangés dans un album spécifique. neuf. Lina elle est très discrète sur sa vie personnelle et surtout sur ce qui concerne son petit ami actuel si bien que personne n'est au courant qu'il la frappe.



this session is gonna be different
getget/gaëtane ꕥ 23 ans
fréquence de rp : 2 rp / semaine environ ϟ fréquence de connexion : aussi souvent que possible  puppy  ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? en moyenne j'écris au minimum 500 mots, j'ai beaucoup de mal à écrire moins et beaucoup de mal à répondre à quelqu'un qui écrit moins. Enuite je peux écrire facilement jusqu'à 1000 mots si le rp m'inspire  cute  ϟ avatar à réserver : Nina Dobrev ϟ de quelle couleur sont les petits pois : ceux que j'avais dans mon assiette à midi étaient verts  scratch  ϟ comment avez-vous connu 99 ? par une fille un peu cool qui a rejoins le staff récemment  Tag instagram sur I've got 99 problems 3697710961  ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? j'ai tellement hâte de vous faire découvrir Lina et de la jouer  Tag instagram sur I've got 99 problems 2881807329  Tag instagram sur I've got 99 problems 2881807329  Tag instagram sur I've got 99 problems 2881807329
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