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4 résultats trouvés pour musique

♪ I'm an alien i'm a legal alien... I'm a desi man in New-York ♫ Jayesh Madari

Invité
6 r ; 484 v.
Dim 20 Déc - 16:13
Jayesh Ganesha Madari
Just Small Daddy Issues
ID CARD
{@=787}Jayesh Madari{/@}
26 ans - étudiant pianiste
FEAT : Anirudh Ravichander
Jayesh, le piano, c'est toute sa vie. Il est né dans un milieu agricole qu'on pourrait croire sorti tout droit d'un siècle révolu, mais sa rencontre avec cet instrument va changer toute sa vie. Révélé très jeune, il se passionne pour la musique avant de partir étudier à Juilliard. Il rêve de sortir sa famille de la misère en devenant un pianiste et compositeur classique reconnu, finir sa carrière comme un éminent chef d'orchestre... mais il ne se fait pas trop d'illusion : même s'il travaille dur pour accomplir tout ça, il sait bien qu'il fera très certainement carrière comme professeur. Ce qui est déjà très bien, suffisant pour subvenir aux besoins de sa famille.
QUICK AND DIRTY
Nationalité : Indienne. Né dans un pays déjà surpeuplé, dans une province paumée, dans une famille qui peinait déjà à nourrir ses filles et son premier fils.
Ethnie/origines : Sheduled Cast du Madhya Pradesh (centre de l'Inde). Nom possiblement originaire du Tamil Nadu. Hindou pratiquant convaincu.
Orientation : gay, aucun doute là-dessus. S'il n'en parle pas, ce n'est pas qu'il s'en cache, c'est que ces questions concernent son intimité... il ne l'expose donc pas.
Situation : célibataire
Occupation : étudiant en musique à Juilliard et pianiste qui essaie de se faire un nom
Quartier : {#}Bronx{/#} arrivé sans un sous ou presque, il n'y avait que là qu'il avait les moyens de se loger

and what else ?
Qualités : Travailleur, peut-être un peu trop (il en oublie parfois de se nourrir, ou même de dormir). Loyal, il se rangera toujours du côté de ses proches et n'osera jamais dire du mal de quiconque. Modeste, il sait qu'il a du talent, mais qu'il en existe de bien meilleurs que lui.
Défauts : Naïf, il n'est pas forcément cultivé en dehors du domaine de la musique et pourrait facilement avaler n'importe quoi (ou presque). Obstiné, il n'abandonne jamais quand il veut obtenir quelque chose et qu'il y croit. Fuyant, il évitera les discussions qui le mettraient mal à l'aise, ou simplement s'il n'est pas d'accord avec la personne avec qui il parle. Chauvin, si vous n'avez pas remarqué qu'il est indien, il ne manquera jamais une occasion de vous le rappeler.
Passions : {#}piano{/#} il est né pour ça, c'est sa vie, son destin, toutes ses raisons et tout le reste. {#}musique{/#} évidemment, il n'y a pas de piano sans elle. Il joue d'autres instruments et compose également. {#}thé{/#} ou plutôt chai. Il n'est pas indien pour rien, on ne lui fera pas boire n'importe quoi. L'eau chaude vaguement aromatisée des occidentaux, très peu pour lui ! {#}YouTube{/#} il ne cherche pas plus que ça à la faire connaître, mais il a une chaîne. À la base, le but était juste de poster des vidéos pour que sa famille puisse suivre ce qu'il fait à New-York. {#}marcher-dehors-la-nuit{/#} il a pris cette habitude en rentrant tard du boulot ou de l'université. New-York est malheureusement loin d'être calme, mais en traversant le bon parc au bon moment, il profite de la tranquillité éphémère de la ville qui ne dort jamais. {#}associatif{/#} il joue bénévolement pour des associations, mais en tant qu'étudiant étranger, il peut également en bénéficier, que ce soit pour de l'aide administrative, médicale ou autre.
Communautés : {#}Juilliard{/#} il est venu aux USA pour ça. {#}Gotha{/#} il n'est pas membre, mais il y joue du piano régulièrement. Ça paie bien et ça permet de se faire connaître. {#}ElHalito{/#} il joue bénévolement au profit d'associations, il aide aussi les jeunes à travers la musique, et il bénéficie aussi d'un peu d'aide pour lui-même, ayant des grosses lacunes scolaires malgré son niveau universitaire. {#}CinemaDuQueens{/#} il n'y a que là qu'on peut y voir du Bollywood !






that's my story / self diagnosis
"There is no such thing as bad days. We are learning to enjoy and cherish every moment"

1994, September the 9th

Cela fait maintenant vingt-six ans que j'ai vu le jour, en plein festival en l'honneur de Ganesh. Tandis que la statue du dieu-éléphant, immergée par ma famille, se délitait doucement dans l'eau, ma mère perdait les siennes. Trop tôt, beaucoup trop tôt. Je n'étais pas supposé arriver avant le mois décembre, et voilà qu'au moment où le fils de Shiva est supposé renaître, je pointe le bout de mon nez.

Aux vues des circonstances, de ma taille de crevette, du temps qu'il a fallu pour arriver à l'hôpital et du reste, on ne me donnait pas plus de quelques heures à vivre. Je ne suis pas assez doué en maths pour dire combien ça en fait aujourd'hui, mais je suis certain que c'est un petit peu plus que "quelques". Si elle était encore en vie, ma grand-mère dirait que c'est grâce à leurs prières à Ganesh. Mon père vous expliquera que c'est pour ça qu'on m'a prénommé ainsi. Mes sœurs vous diront que c'est pour ça que j'ai un talent dans la musique. Mon frère l'admettra également, ajoutant que de toute façon il fallait bien quelque chose pour contrer ce physique de phasme (ajoutant quelques blagues à propos du rapport entre ma silhouette et celle d'un éléphant). Mon grand-père se contentera de sourire d'un air énigmatique avant de murmurer quelques mantras... Et ma mère vous dira, sans sourciller, que Shiva s'est trompé et que je ne suis pas son fils. Ne vous méprenez pas ! Elle sait que je suis son fils, elle m'a mis au monde, nourri et élevé. Mais elle pense sincèrement qu'au moment où j'ai reçu mon âme, il y a eu erreur sur la personne. Ou plutôt, sur le corps. Après tout, je n'ai rien d'un travailleur agricole... Alors, selon elle, c'est pour ça que les dieux m'ont placé sous la protection de Ganesh, lequel m'a offert un don pour le piano, dans le but de me rapprocher de ceux qui auraient du être mes parents.

Vous trouvez ça un peu tiré par les cheveux ? C'est pourtant simple. L'âme et le corps sont deux choses différentes. L'âme subsiste lorsque le corps meurt. Les âmes sont liées entre elles, on retrouve toujours celles dont on a été proches dans nos vies suivantes. Je ne sais pas si la théorie de ma mère est la bonne, mais une chose est sûre : mon âme, quels qu'ont été ses corps précédents, est désormais liée à ma famille qui m'a mis au monde et m'a élevé... et à celle qui m'a accueilli et transmis la musique.

Enfance

Bon. Résumons jusque là. Ganesh Chaturthi. Eau. Crevette. Toujours en vie. D'un côté, ça arrangeait bien mes parents, d'avoir un deuxième fils. Après trois filles, il était temps. Mais de l'autre... j'étais une bouche de plus à nourrir. Pour des "fermiers sans terre", c'était pas toujours évident de remplir les assiettes. Nous n'avons pourtant jamais manqué de rien, dans ce petit village où tout le monde se tuait à la tâche. Il n'y avait presque jamais d'extra, mais on avait nos trois repas par jour, et c'est déjà pas mal.

Je n'étais pas doué, à l'école. Vraiment pas. Tellement pas que personne ne voyait l'intérêt de me laisser continuer. On pensait que j'étais idiot. Je le pensais moi-même aussi. J'ai toujours été un peu différent. Dans un autre univers. Alors, bien que l'école est supposée être obligatoire jusqu'à 14 ans, j'ai arrêté bien avant. Honnêtement, j'en étais soulagé. L'école était une vraie torture. Entre le fait que je comprenais rien ou pas grand chose, et la cible facile que j'étais pour les autres, j'étais le premier heureux de ne plus avoir à y mettre les pieds.

C'est ainsi que je me suis mis à travailler. Je faisais le ménage dans une salle de spectacle. C'est là que je l'ai vu. Il était là, tout seul, au milieu, comme abandonné. Le silence résonnait, mais je pouvais l'entendre chanter. Chanter et m'appeler. Alors je me suis approché, mes pieds semblant souiller le sol par leur seule présence. J'ai tendu la main, j'ai appuyé sur une touche, et un son est sorti. Juste un. Un son profond et mélodieux, un son qui a assommé mon cœur. J'ai rappuyé. Le même son est ressorti. J'ai appuyé encore. Plus vite. Le même son s'est répété. Alors j'ai appuyé à côté. Un autre son est sorti. Plusieurs en même temps... et d'autres encore.

J'ai sursauté en m'écartant d'un coup quand j'ai entendu une voix rauque derrière moi. Je tremblais de la tête aux pieds, persuadé d'avoir fait une grosse bêtise et de me faire renvoyer. On m'avait demandé d'aller passer un coup de balai avant d'éteindre les lumières, pas de titiller les cordes d'un piano. Mais l'homme a ri, et s'est approché en commençant à m'expliquer comment ça marchait, tout ça. Sans m'en rendre compte, je venais de prendre et d'apprendre ma première leçon. Pire : sur le chemin du retour vers la maison, j'avais hâte d'être au lendemain pour retourner travailler.

Il s'est passé plusieurs mois sans que rien ne change, et puis, un jour, mon professeur de piano auto-proclamé est venu voir mes parents. Il voulait officialiser la chose. Que je prenne de vraies leçon. Que j'avais un véritable don.

Pianist Under Construction

On peut pas dire que ça a été facile, ni que mes parents ont compris. Sur le coup, pas du tout. Il faut les comprendre, ils travaillent la terre. Ils ne comprennent pas bien l'intérêt d'apprendre la musique, surtout le piano. Il a fallu trouver un arrangement, que mon professeur devienne mon employeur. Que je travaille chez lui en échange des leçons. Ce genre de choses.

Les années ont passé. Je me suis perfectionné, j'ai participé à plusieurs concours, gagné quelques prix... Et pis un jour, mon mentor a voulu me faire ne surprise. Et quelle surprise... mauvaise surprise. Il n'a pas compris ma réaction, ni mon refus. J'aurai du être content, non ? Partir à Delhi pour étudier la musique, dans une véritable école de musique. Sauf que voilà... tout ça me revenait en pleine tête comme une gifle. Je ne suis qu'un imbécile. Un imbécile tout juste apte à déchiffrer sa langue maternelle et incapable de lire un mot d'anglais. Les noms des artistes sur une partition ? Je lis les notes, je sais tout de suite différencier un Liszt d'un Mozart ou d'un Rachmaninov. Mon propre nom ? J'ai fini par le reconnaître, c'est tout.

J'ai mis plusieurs jours à admettre la vérité, au cours du seul clash qu'il y a eu entre mon mentor de toujours, celui que ma mère appelle mon père d'âme, et moi. J'ai fini par hurler, moi, qui n'ai jamais, jamais haussé la voix sur rien ni personne, que j'étais stupide, qu'il n'aurait jamais du présenter ma candidature sans me demander mon avis, que je n'avais aucune chance... que ce papier d'admission que j'avais entre les mains, il aurait tout aussi bien pu être une facture, que je n'aurai pas fait la différence.

Alors tant pis pour la Delhi Music Academy... mais s'il y a bien quelqu'un qui baisse encore moins souvent les bras que moi, c'est bien mon mentor. J'ai emménagé chez lui pour m'éviter le temps du trajet, pour pouvoir continuer à étudier le piano tout en recevant un autre genre de leçons, plus scolaires, avec un professeur particulier. Entre temps, ma famille avait compris. Plus que moi, sans doute. Ils savaient que je finirais par partir un jour, quelque part, plus ou moins loin, pour la musique. Et on y était. Enfin presque.

A Desi Man in New-York

C'est comme ça, qu'à plus de vingt ans, j'apprends à lire et à écrire. Je n'étais pas idiot, j'avais seulement d'autres problèmes. Il paraît que je suis dyslexique. J'avais jamais entendu parler de ça, avant. Mais apparemment, ça m'a donné droit à quelques aménagements, pour passer quelques examens... On avait tenté Juilliard, un peu comme un pari lancé au hasard après une soirée un peu trop arrosée. Comme un rêve, sans trop y croire. Et pourtant...

Je n'oublierais jamais ce premier voyage à New-York. Bien entendu, j'avais fini par voir autre chose que mon village et sa ville la plus proche, j'avais voyagé un peu partout en Inde pour participer à des concours ou des concerts. Mais Big Apple... c'était quelque chose. Y revenir pour les auditions, c'était comme un mirage. Et quand, quelques mois plus tard, une lettre d'admission est arrivée... le surplus d'émotions me rendait à nouveau incapable de lire sur l'instant.

Toh. Here we are. New-York City. Manhattan. Enfin... le Bronx. Déjà que mon mentor me paye l'école ("boursier", ça existe vraiment ici aussi?), je ne vais pas non plus lui incomber la charge financière énorme d'un appartement dans un quartier de luxe !

La première année fut très difficile. Déjà, se remettre à l'école... hard. Vraiment hard. J'ai dû trouver un emploi de serveur pour subvenir à mes besoins et payer mon loyer, tout en continuant d'étudier, de faire mes devoirs, et de travailler mon piano.

Il m'a fallu presque deux ans pour arriver à pouvoir lier tous les bouts grâce au piano. Jouer à l'école. S'entraîner chaque jour. Jouer pour être payé. Joué pour être écouté. Joué pour le profit d'associations qui en ont plus besoin que moi. Jouer pour envoyer de l'argent à ma famille. Jouer pour les loger dans une maison digne de ce nom. Jouer dans des concours. Jouer en donnant des leçons musicales. Jouer pour vivre... et vivre pour jouer.

Le piano, c'est toute ma vie. Enfin... presque toute. Il y a quelques humains autour aussi.



this session is gonna be different / HRP
Pseudo ou Prénom : Kal
Age: 22 dans 4 jours
Avez-vous des triggers personnels ?  don't think so
Avatar à réserver : Anirudh Ravichander
Crédit avatar utilisé dans la fiche: moi-même
Souhaitez-vous un mp d'intégration why not, I've got nothing to lose !

sturm und drang

Invité
13 r ; 377 v.
Lun 3 Aoû - 13:42
faust löwe
36 ans - musicien
FEAT : matthias schweighöferFaust, trente-six ans, est né à Berlin en Allemagne, où il a grandi et s'est découvert un amour pour la musique. Il s'oriente vers une carrière de musicien compositeur et chanteur, avant de rencontrer une métisse plus âgée dont il s'éprendra follement jusqu'à l'accompagner aux USA pour une mutation de boulot. Si au début la relation est fusionnelle et passionnée, un an plus tard la rupture est brutale quand Faust apprend qu'il a été trompé par deux fois. Anéanti, il décide cependant de rester en ville pour continuer à y bâtir sa vie et un jour réaliser ce vieux rêve de vivre du son.
who am I
ꕥ âge : trente-six ans
ꕥ nationalité : allemande
ꕥ ethnie/origines : gremaniques
ꕥ orientation : panromantique et pansexuel qui s'ignore, n'ayant connu que des relations hétérosexuelles jusqu'à présent il ne s'est jamais tourné vers les hommes, et pourtant
ꕥ situation : depuis sa rupture il y a un an avec celle qu'il croyait être la femme de sa vie, il essaye de se reconstruire tant bien que mal, sans qu'il ne parvienne toutefois à tourner la page
ꕥ occupation : musicien et chanteur (maîtrise principalement la guitare solo, la batterie et le piano, bien qu'il puisse tout à fait être polyvalent s'il prend le temps d'apprendre)
ꕥ quartier : the oak appartment complex, queens
ꕥ qualités : paisible, sensible, généreux, passionné
ꕥ défauts : mélancolique, pessimiste, indécis, renfermé
ꕥ passions : {#}musique{/#} {#}cuisine{/#} {#}promenades{/#}
ꕥ communautés :
- el hálito
- habitants du oak complex
- cinéma du queens
ꕥ scénario/pré-lien : /
ꕥ groupe : i need help
ꕥ parrain : oui

all about my player
ꕥ petite présentation perso : je mets pas beaucoup de smileys mais promis je vous aime vraiment, j'essaye d'améliorer ça mais je pense que c'est un toc qui m'empêche d'en mettre pour ne pas déformer mes messages (au fond de moi j'ai plein d'émotions quand je vous lis) je sais c'est grave.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : maus, art spiegelman
ꕥ un film : parasite, bong joon-ho
ꕥ une série : malcolm in the middle
ꕥ une chanson : je t'ai dans la peau, edith piaf
ꕥ un animal : un mulot sylvestre
ꕥ un plat/dessert : le tiramisu
ꕥ une boisson : de l'eau pétillante citronnée
ꕥ une célébrité : franchement personne
ꕥ un pouvoir magique : déjouer le temps

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : le mieux c'est la communication, personnellement je viendrai toujours vous voir par mp si j'ai un doute sur le sujet que je souhaite aborder (normalement ça devrait être tranquille avec faust mais on sait jamais, l'évolution des personnages peut amener à des thématiques inattendues parfois et pour que ça reste bienvenu je privilégie le dialogue avant toute chose)

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? C'est la musique qui décolle mais pas la carrière, pas l'homme qui se trouve derrière. Une vie entière à se donner à ça, à en inventer à chercher à partager à bouffer de ça rien que le son. Et y a tellement d'oreilles sur terre, tellement d'âmes affamées, d'éclopés qui cherchent après la musique pour continuer à marcher. Faust il se dit qu'il y a forcément des gens qu'il va réussir à guider un peu en même temps que lui, il se le dit, il se le répète, ça ressemble à une prière au pieu avant de se coucher tellement c'est y croire fort. Mais des fois Faust il oublie. Il oublie et lui-même le bruit ça l'étouffe, il ne sait plus vraiment comment on fait, ça devient compliqué de dire que c'est possible. Et alors la musique on ne l'entend plus très bien, on ne sait plus quelle langue ça parle.

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). C'est bête c'est idiot mais Faust sa plus grande addiction c'est rien d'autre que le sentiment affectif amoureux épris, fou et inconscient. C'est de ça qu'il aime vivre autrement que par la musique, c'est en vivant écorché vif pour les personnes qu'il aime, il a trop besoin de ça vivre dans l'osmose avec lui elle vous et toi. Et pour retrouver un semblant de ça cette denrée rare et tant aimée il est capable de beaucoup de choses Faust, pour retrouver il ferait n'importe quoi, s'user jusqu'à la corde se bousiller les nerfs faire ces choix impossibles et puis même quand ça l'a déglingué tu peux être sûr qu'il va recommencer Faust. Il vit pour ça, et si ça il ne l'a plus, alors à quoi bon faire du son.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? Il s'est fait cocu deux fois par la femme de sa vie. Cet événement a sécrété en Faust beaucoup de poison en questions dont les réponses ne sont jamais vraiment venues : "C'est parce que j'ai plus 25 ans, que mon corps est plus ce qu'il était ?" "Je suis pas assez bien ? J'ai mal fait quelque chose ?" "Y a un truc que tu me dis pas, t'es sûre que c'est pas moi le problème ?" "Qu'est-ce qu'il a de plus que moi ce type ?" "Mais on s'était dits qu'on ferait ça ensemble..." "Tu peux pas partir comme ça ! Et l'appart ? Et le projet qu'on avait de rentrer au pays et s'installer quelque part en pleine campagne dans un ranch rien que pour nous ?" "Ce gosse qui pousse en toi... Il est de qui ?"

Le dernier texto que tu as envoyé ?
Spoiler:


Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Papa et maman ? Ils sont toujours en Allemagne et ils vont bien. Mieux que leur fils. De ce fils ils se préoccupent un peu, appellent parfois sans prévenir, mais ça ressemble davantage à un appel courtois lancé par habitude avant de se coucher. Entre papa maman et Faust c'est le terrain en friche où on aurait beaucoup de choses à dire et à y faire mais le temps passe invariablement et les mauvaises herbes poussent, poussent et rampent jusqu'à bouffer la belle verte qui disparaît sous le vieux lierre. Tellement qu'on n'a plus le courage d'y aller pour nettoyer, c'est trop lointain, trop ancien, trop effrayant. Alors on laisse comme ça et on se dit tant pis. Je le ferai demain.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? On le verra souvent se balader vers les zones vertes et peu fréquentées. Il est du genre à se paumer facilement n'importe où n'importe quand aussi le glanage sauvage est rapidement devenu une passion. Récemment il s'est essayé à une application de rencontres et s'y ait fait plusieurs relations qui ont concrétisé au bar du coin, entre deux morceaux de musique improvisés par sa main. Entre autres, il apprécie de faire à manger pour les autres, bien qu'il fréquente lui-même les fast-foods le soir, et s'avère également plutôt doué et minutieux dans les domaines qui demandent des qualités manuelles comme le bricolage de maison. Enfin, il est quelqu'un qui affectionne l'ordre et la propreté, ainsi que la bonne bière. Le cliché allemand ça se trouve là.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? Sa rupture est probablement le pire truc qui lui soit arrivé depuis bien longtemps, à tel point qu'oublier totalement sera de toute évidence chose impossible. Par contre, tous les moyens sont permis pour tenter d'endiguer ne serait-ce qu'un tout petit peu cette plaie béante : celui de coucher avec une femme la veille de son mariage en fait partie. Faust ne l'ayant pas revue depuis cette fatidique nuit, il ne sut jamais si le mariage eut lieu.

this session is gonna be different
zwölf ꕥ 0 ans
fréquence de rp : régulière, je réponds dans la semaine ϟ fréquence de connexion : régulière aussi ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? avec moi faites comme vous le sentez de votre côté, personnellement j'écris autant qu'il y a besoin, ça peut aller de deux-cents mots à l'infini car dieu sait que mon cœur est bavard ϟ avatar à réserver : matthias schweighöfer je suppose ϟ de quelle couleur sont les petits pois : je sais pas je les ai déjà mangés ϟ comment avez-vous connu 99 ? partenaires peut-être ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? hallo wie geht's? (parlez-moi allemand j'adore ça)
self (avatar et icon)

u say wot m8 ? - Sen Kovács

Invité
12 r ; 887 v.
Mar 2 Juin - 22:13
Senji Kovács
27 ans - Cinéaste
FEAT : Joji Sen il est né le 29 septembre 1992, à Buenos Aires, d'une mère japonaise professeure de mathématiques et un père hongrois informaticien. C'est lorsque sa mère a eu l'opportunité de venir travailler à New York, dix ans plus tard, que toute la petite famille s'est installée dans le Bronx.
Le petit Senji, il a d'abord eu du mal à trouver sa place, c'était le petit nouveau et en plus il était pas vraiment comme les autres, il était différent , il le voyait, et certains de ses camarades lui faisaient bien comprendre. En grandissant il a apprit a ne plus prêter attention à ceux qui lui reprocher sa différence et à se rapprocher de ceux qui l'appréciait.
Ce qu'il aime Sen c'est le cinéma et le hip-hop. Alors des fois il rappe, quand l'envie lui prend, mais surtout il réalise ou joue. Tout petit déjà il aimait se donner en spectacle devant la caméra de son père, a l'adolescence il a commencé réaliser des petites vidéos avec ses potes, d'abord toutes simples puis de plus en plus poussées. Puis grâce à une bourse il a pu étudier à l'école des Arts de Columbia et d'obtenir un Master of Fine Arts. Ces études finies et après quelques clips et courts métrages, il est s'est lancé dans l'écriture son premier long.
who am I
ꕥ âge : vingt-sept ans
ꕥ orientation sexuelle : hétéro
ꕥ situation : célibataire
ꕥ occupation : tu changes de casquettes comme de slip, réalisateur/vidéaste/acteur/rappeur tu fais un peu ce que tu veux, quand tu veux. Ahhh les joies de l'internet.
ꕥ quartier : Le Bronx bébé
ꕥ qualités : intelligent - créatif - débrouillard - franc - observateur - calme - drôle
ꕥ défauts : sarcastique - vulgaire - têtu - désinvolte - secret
ꕥ passions : {#}cinéma{/#} {#}sci-fi{/#} {#}comics{/#} {#}hiphop{/#} {#}musique{/#} {#}bières{/#} {#}nerd{/#} {#}gaming{/#} {#}tatouage{/#} {#}marijuana{/#}
ꕥ communautés : {#}elhalito{/#} {#}offthewallskatepark{/#} {#}cinemaduqueens{/#} {#}thelostplanet{/#} {#}thesaberistacademy{/#}
{#}rockyhorrorpictureshow{/#}
ꕥ scénario/pré-lien : nop
ꕥ groupe : just small daddy issues
ꕥ parrain : non, je devrais m'en sortir  keur

all about my player
ꕥ petite présentation perso : La première impression est toujours très importante donc il faut que je fasse ça bien. Surtout quand c'est la deuxième fois. Mais en vrai je vais vouloir trop en faire et ça va me saouler du coup je vais finir par faire a minima juste pour que ça passe. Technique qui ne fonctionne absolument pas comme le prouve mes trois premières années de fac. Et quand je dis ça j'entends vraiment que la première année...trois fois. What a Face
(Et aussi le fait que je sois allez retrouver ma fiche pour c/c cette partie)

Bref, j'ai 29 ans, et je me fais grandement chier. Du coup je me suis dit qu'il serait temps que je me remette au rp, avec cette fois-ci l'espoir de tenir un peu plus de 3 semaines ! J'y crois ! (après j'y croyais a chaque fois mais chut sifle  )
J'aime beaucoup le cinéma, la sci-fi en tout genre, les jeux de société, lire un livre tout les six mois et Wes Anderson.

petit portrait chinois
ꕥ un livre : Le Guide du voyageur galactique
ꕥ un film : Chevalier
ꕥ une série : Community
ꕥ une chanson : Attention - Joji
ꕥ un animal : L’ornithorynque (j'avoue j'ai pas réussi à l'écrire du premier coup)
ꕥ un plat/dessert : Les pâtes carbonara (mais avec de la crème dedans  hidebox )
ꕥ une boisson : Le thé
ꕥ une célébrité : Dave Burd
ꕥ un pouvoir magique : La téléportation

pour finir en beauté
ꕥ un trigger : none

that's my story / self diagnosis
Ton plus gros problème à l’heure actuelle ? Les gens. Franchement, les gens m'énervent de plus en plus. Je veux dire, ça te coûte quoi de laisser sortir les gens du métro avant de sauter dedans ? De laisser la mamie qui a juste boite d'oeuf passer devant toi à la caisse ? Rien ? Bon ben voilà, fait le et arrête de casser les couilles. Ca me crispe au plus haut point, je vous jure. En dehors de ça, j'ai pas trop à me plaindre je dois dire

Une addiction à déclarer ? (Le café et les réseaux sociaux comptent aussi bien entendu on est là pour être honnêtes). La clope je dirais, non pas que je fume comme un pompier mais bon je dois bien l'admettre j'ai essayer beaucoup trop de fois d'arrêter pour ne pas assumer que je suis accro. Mais je suis sur que la prochaine sera la bonne, c'est pas encore le moment par contre. Et puis il m'arrive de fumer un peu des choses plus naturelles aussi mais je ne sais pas si on pourrait parler d'addiction, c'est plus un petit plaisir personnel.

Comment s’est terminé ta dernière relation ? En petit ghostage des familles. Attention j'en suis pas fier hein, mais c'est quand même beaucoup plus simple de faire le mort avant que les sentiments s'en mêlent plutôt que de finir par se faire larguer comme une merde au bout de deux mois, parce que clairement c'est ce qu'il se passe a chaque fois que je m'emballe un peu. Alors certes c'est pas très classe je le reconnais mais ca m'évite d'avoir à réécouter des trucs comme wherever you will go en déprimant pendant trois semaines après.

Le dernier texto que tu as envoyé ?"Non", pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple, efficace ? "Tu veux venir à cette soirée ou tu connaîtras pas grand monde, et la moitié sont relou ?", réponse "Non". Problème résolu. Et souvent ça clôt le débat.

Ta relation avec tes parents on en parle cinq minutes ? Ca va hein, imhotep. Alors c'est sur qu'il voudrait sans doute que je leur donne plus de nouvelles et que je vienne les voirs plus souvent mais que voulez vous, je suis un mec busy moi, genre dimanche prochain par exemple j'ai poney aquatique, déso'.

En dehors du boulot, des études, tu fais quoi ? Je me touche. Je me touche trop d'ailleurs, je pense qu'il faudrait que je réduise parce que j'ai lu dans un magazine que un peu c'était bien, mais que trop c'était pas bien. Alors j'essaye de réduire tu vois. A part ça, je vais voir des potes, je skate, je fais un peu de musique. Rien de bien fou quoi.

Un fait peu glorieux à nous raconter ? La grosse rêche que je me suis prit en skate devant l'école quand j'avais 11 ans, je me souviens c'était un mardi. Il m'a fallu au moins 6-7 ans pour remonter sur un skate après ça.

this session is gonna be different
tuffninja ꕥ 29 ans
fréquence de rp : un à trois par semaine. ϟ fréquence de connexion : a peu près tout les jours. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? moins de 500 je dirais pour commencer. ϟ avatar à réserver : Joji  cutie . ϟ de quelle couleur sont les petits pois : vert ? ϟ comment avez-vous connu 99 ? bazzart. ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour. et cette fois-ci pour plus longtemps qu'un mois je l'espère  hidebox
tumblr (icon) childish (avatar)

damn hell dreamer.

Invité
26 r ; 1289 v.
Mar 7 Avr - 14:11
yorgos nikos
27 - barman
FEAT : zayn malik
t'es un impulsif, yoyo. et un sanguin. il n'est pas rare que tes poings s'écrasent contre les murs quand serrer les dents ne suffit plus à contenir ta colère. t'aimes pas être contrarié, tu détestes ça même et tu réagis très mal quand on ose. tu gueules plus que tu ne parles, tu sais comment te faire entendre et comprendre. t'as l'âme d'un combattant, mais aussi d'un minable toxico. t'es un homme loyal, avec un cœur d'or dans le fond, seulement t'es entouré d'une carapace de pierre brûlante. te toucher consume. t'es protecteur envers tes potes surtout mais aussi un peu avec tous ceux qui te sont chers. t'es un brin séducteur quand ton humeur s'y prête et souvent tu repars avec une nouvelle personne. t'es un peu dur, un peu macho parfois mais tu finis toujours par laisser sa chance à tout le monde. en revanche t'es rancunier et une fois qu'on t'as causé du tord, à toi ou à une personne qui compte tu n'oublies pas et le pardon tu connais pas. contrairement à ce qu'on peut s'attendre de toi, tu réfléchis beaucoup avant de parler et d'agir. t'étais peut-être pas un bon élève à l'école mais tu n'en restes pas moins intelligent et aussi très observateur. être bon enfant te connaît, tu n'hésites pas à sortir des répliques de dessins animés, et tes blagues laissent souvent à désirer. tu sais aussi être travailleur et sérieux quand la necessité est à l'assiduité. tu as des qualités que tu sais mettre à profit quand ça t'arranges mais tu imagines que tes défauts sont plus nombreux, eux. on dit de toi que tu dois faire attention à tes chevilles, un jour elles vont gonfler et tu te reconnaîtras plus dans le miroir. ouais yoyo, t'es prétentieux et t'aimes te faire mousser. t'as un grand ego, il est à la hauteur de ta fierté. t'es pas un gars méchant mais faut pas te chercher car tu pourrais facilement le devenir. t'essayes sans cesse d'évoluer, de changer, et pour l'instant, ça réussit partiellement. au moins quand tu parles, t'as un petit sourire. enfin.. quand t'es pas trop blasé.
who am I
ꕥ prénom, nom : yorgos on t'as ainsi appelé par caprice, ou alors par folie ; sous l'effet de son crack elle a accouché du beau bébé que tu étais, t'as assigné à jamais le premier prénom qui lui venait. nikos, nom ironique aux yeux de ton âme ; l'as-tu déjà vu, ce géniteur, en ouvrant les yeux sur le monde ? ta mémoire te trahit, tu ne te rappelle de rien d'autre que son absence cuisante
ꕥ surnom : déjà petit, ton prénom était pour toi ridicule à dire, tant il brûlait tes lèvres si l'envie te venait de l'épeler. t'as choisit la facilité tel que tu es ; deux syllabes, yoyo et des rougissements de honte pour le restant de tes jours.
ꕥ origines, éthnie : quittant son foyer après ta naissance à Héraklion, gravée au 14 décembre, ta mère vient s'installer à l'autre bout du monde, en Nouvelle-Orléans, puis refait un autre voyage jusqu'à NYC, où elle daigne enfin à se poser, toi dans ses bras. aurais-tu pu être mieux là-bas ou ici, tu ne le sauras jamais ; américain, grec aussi, pas si fier que cela, tu oublies d'où tu viens en enchaînant parfois les pintes.
ꕥ âge : 27 étés arides, au vent pourtant doux, où tu vivait tantôt en plein désert, tantôt en courant au côtés des vagues. tu t'mettais torse nu face au soleil, le laissant te brûler si fort, si bien que ses rayons ne te font aujourd'hui plus que des caresses doucereuses. tu te dis immunisé face aux aléas du temps, mais au fond ton feu te consumera vivant.
ꕥ orientation sexuelle : pour toi, les conquêtes ne définissent pas ce que tu préfère. tant que tu ne trouvera pas ta perle, aucune case ne te correspond vraiment. tout dépendra d'elle, de lui, de cette personnes qui tu sais, partagera ta vie. mais tu sais aussi que tu n'y est pas près.
ꕥ situation : tu traines parfois dans les bars la nuit, quand t'es pas de service, félin à l'affut de sa proie. tu t'approche d'elle, et parfois de lui, charmeur, et l'on te comprend bien vite. mais jamais tu ne l'a emmenée chez toi. non, tu ne les laisserais pas t'approcher de si près. on ne te fera pas le coup du coup de foudre, t'es un célibataire, célibatard et sans remord tu le dis tout haut. les sentiments à la guimauve rose c'est pour les autres. tu toi tu fermes ton coeur et t'ouvres ta grande gueule.
ꕥ occupation : t'es passé partout, t'as tout fait, du concierge au garagiste, sans jamais trouver ta place. toi tu voudrais chanter à t'en casser la voix, gratter des cordes à t'en écorcher les doigts, mais manque de bol, tu te retrouves toujours là où tu n'aimes pas être, et, pour l'instant, tu te contente de chanter des berceuses aux beaux verres. barman va. tu pense pouvoir te débrouiller seul, tu le fais très bien et bien qu'ayant les moyens d'avoir plus, t'as ce qui te suffit pour continuer. alors tu étudies le jour, tu travailles la nuit, pour ne pas dormir seul dans ton petit studio d'étudiant, ou vivre de ton héritage.
ꕥ quartier : à NYC depuis tes 3 mois, sûrement pas le plus jeune bébé à voyager, mais à coup sûr le plus touché. t'as jamais voulu bougé depuis ce jour là, ta mère a éteins le peu d'âme de voyageur que t'avais. et depuis que t'es parti de chez elle, tu te terre à Brooklyn, au 30 bedford street, williamsburg - {#}hipster{/#} - voulant bien disparaître.
ꕥ qualités : loyal, travailleur, observateur.
ꕥ défauts : prétentieux, coléreux, impulsif.
ꕥ passions : l'art. dans toutes ses formes, et ses humeurs. la {#}musique{/#}, la {#}photographie{/#}, la {#}poésie{/#}.. même les tags sur les murs t'arrives à les trouver fascinant. et puis, ce n'est peut-être pas reluisant, mais l'herbe t'affriandes. la {#}marijuana{/#}, avec ses voluptes doucereuse, sa fumée chattemite. après y'a ta {#}moto{/#}, et sa vitesse libératrice, et l'adrenaline qui te prends quand tu l'enfourches.
ꕥ communautés : - {#}JADe{/#}, cursus musique. tu travailles fort pour ne pas puiser dans les fonds que ta mère met sur ton compte en banque chaque mois.
- The Outpost, où t'aurais aimé avoir un autre rôle. plutôt que de servir les alcooliques au bar, t'aurais bien aimé monter sur scène. mais bon, on ne possède pas toujours ce que l'on veut.
ꕥ groupe : JUST SMALL DADDY ISSUES
ꕥ souhaitez-vous un parrain ? oh ça oui keur
all about my player
ꕥ petite présentation perso :en vrai, je suis en train d'écrire cette description à peine réveillée, parce que j'ai totalement décalé mon sommeil. je m'ennuie un peu beaucoup et j'ai envie d'écrire un truc poétique sur moi, sauf que ça va paraître niais et je déteste être niaise. donc j'écris ça pour les stalkeurs de l'aprèm qui le liront en premier et pour les rêveurs qui se languissent et s'ennuient. donc me voici, dickens. pourquoi dickens ? si j'avais envie de me donner un air dark j'aurais dit à cause du diable, mais la vérité c'est que le diable me fait peur, l'enfer n'en parlons même pas. en fait, y'a longtemps j'avais lu olivier twist de charles dickens - oui, c'est un livre très bien - ça m'a plut et puis je l'ai gardé. donc voilà je suis une fille, j'ai 23 ans - je commence à vieillir, y'a même des rides qui apparaissent -, je suis étudiante - et je regrettes ma décision dans des moments.. comme maintenant - et j'aimes le poulet et les bananes. j'aimes pas l'avocat et je déteste les épinards, titeuf a beaucoup influencé mes goûts. je suis potterhead, harmonizer et camren shipper. d'ailleurs j'adores shipper tout le monde à tord et à travers. j'aimes lire - je lis littéralement tout - et j'essayes de convertir mon frère aux mots, mais ça marche pas vraiment. et enfin, je suis venue sur ce site parceque j'adores rp. voilà. j'ai tout dit. keur sur vous keur
ꕥ ........ petit portrait chinois ........ ꕥ
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ꕥ un livre : diabolic de S.J.Kincaid
ꕥ un film : to the bone de Marti Noxon
ꕥ une série : prodigal son de Chris Fedak et Sam Sklaver
ꕥ une chanson : the stigma - boys don't cry de As it is
ꕥ un animal : une panthère
ꕥ un plat/dessert : une crème brûlée à la vanille
ꕥ une boisson : un malibu sunrise
ꕥ une célébrité : lauren jauregui, ne serait-ce que pour ses yeux
ꕥ un pouvoir magique : la télépathie.

ꕥ ........ et pour finir en beauté ........ ꕥ
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ꕥ un trigger : les scènes d'agressions sexuelles. ce terme même me donne des frissons. à part cela, je suis capable de lire à peu près tout, même si écrire certaines choses peut m'être difficile.

that's my story / self diagnosis
en vrac - (poupée en chiffon, marionette de tes voiles) fut un temps où t'étais au fond du trou, malade de ta vie. adolescent à peine diplômé, perdue dans son existence, sans personne à qui s'accrocher. fallait qu'on t'aides, fallait qu'on te remarques. puis cette musique est arrivée, sauveuse. t'as remonté la pente lorsque l'orphéon entra dans ta vie. tu débutas par le chant,commençant par valser ta voix au rythme des mélodies que t'entendais le soir dans les bars. tu enchaîna en apprenant à te servir d'une guitare, à gratter ses cordes et à taper sur une batterie, plus violemment que tu ne tapais des poings. t'as appris que la vie n'est pas si triste lorsqu'on prend la peine de la vivre pleinement, en rajoutant à son blanc taché de gris et de noir, un peu de couleurs vive, de bonnes aubades, d'amis bien choisis.
(tes peurs et tes névroses, fleur fanée qui danse au vent) t'es astraphobe mon gars. t'as peur du caractère incontrôlable et destructeur du tonnerre. tu deviens presque hystérique le soir, seul, lors d’un orage et tu te caches en tremblant sous ta couette. t'as une telle peur de la lumière qu’tu préfère vivre la nuit. mais tout ça personne ne le sait, personne n'est là pour t'aider. en même temps, t'es pas si douée pour monter tes faiblesses. t'as honte d'être ainsi. tu te contentes donc de te serrer contre ton chien, espérant les tumultes diluviens passent enfin.
(pile vers ton coeur, passé la barrière de l'épiderme) t'es tout en couleurs. des tatouages dessinés partout sur le corps. une oeuvre d'art quand tu marches sur le sable d'une plage. ils sont tellement beaux, mais tellement significatifs. t'es pas le genre de personne à te tatouer sur la peau à jamais, tout et n'importe quoi, sur un coup de tête. l'on croirait bien, mais non. quand tu souffres, quand t'es triste, tu met sur ta douleur des mots et sur ces mots des images, tu dessines, tu peints au fusain et tu t'amène chez ton tatoueur préféré. ces dessins retranscrivent ton histoire. floue certes, compliquée peut-être mais sincère. tu craches sur ceux qui te pointent du doigts derrière ton dos, sans te connaître. t'aimerais juste leur dire, à ta mère, à ce monde de fous, qu'avant de juger, faut venir lire. les mots sur ta peau.
(époque de folie, tes yeux cachent le noir de tes nuits) ton carnet d'adresse est bien garni, les potes t'en manques pas, mais tu voues une une place particulière pour ton coiffeur. c'est bon c'est certifié, t'aimes la folie. mais pour toi, changer de coloration de cheveux tout les mois n'en est pas vraiment. toi tu trouves que chaque couleur représente le nouveau départ que t'essayes désespérément de prendre à chaque fois. ouais, t'es un petit sensible quand ton humeur est à la poésie. te regarder différent dans le miroir, te fais sentir différent au plus profond de ton cœur. et puis, comme toujours, pour ceux qui grincent des dents, un petit majeur. t'aimes pas rester discret, toi t'aimes te faire remarquer. te démarquer des autres, t'as toujours su le faire, même avant, même avec ces vêtements miteux. oui, même avec du rose sur la tête, tu restes ce mec charmant, dangereux, que l’on désire approcher mais dont on sent la froideur.
(battement cardiaque pseudo-palpitant, ecchymose à vif) ta tête est tout le temps en bataille. non pas à cause d'une quelconque mode de mèches coiffées-décoiffées, comme tout le monde a l'air de croire. plutôt à cause du nombre de fois où tu passes ta main dans tes cheveux. était-ce nerveux, tu n'en sais rien, tu ne te contrôle même pas. mais bon ça t'arrange tant que l'on affirme qu'ça t'ajoutes un côté sauvagement sexy. tu pinces tes lèvres, tu passes un doigt sur ta mâchoire et des fois tu lances des clins d'oeil à tout va. tu fais des trucs stressants et tu ne t'en rend pas compte. grand hyperactif que tu es. tu tapes des phalanges sur la table, tu bouges tes genoux en fonction du rythme éléctro qui se joue dans ta tête. ta vie est rythmée, rythmique, contrôlée par une mélodie qui ne s’arrête jamais.
(la dope comme seul moteur, lumière tel la marée basse) ça ne te plaît pas forcément mais t’es toxico. les lèvres bleues, le teint blanc quand t’es en manque. des cernes plein les yeux quand tu emplis tes insomnies de ces odeurs libératrices de la drogue. t’as tout essayé. du shit à la coke, t’as tout insurgité mais rien ne va, rien ne marche. même au bord de l’overdose, t’arrive pas à dormir, t’arrive pas à te lâcher. t’es insomniaque et peut-être que c'est bien pour ça que t'as commencé avec ces racailles au lycée. ça fait si mongtemps, mais rien ne change. c'est sûrement ta plus belle erreur. tu sors la nuit, tu te bourres la gueule au maximum, mais tu reste là, tu restes conscient, jamais ivre mort, on te croirait immunisé. tu titubes dans les rues, tu pues l’alcool, tu pues le crack, mais les gens vont vers toi, tes potes t’entourent. t’aimerais pourtant juste leur crier dessus de dégager, de te laisser tranquille. mais tu ne peux pas, car t’as peur de rester seul. encore. même dehors. mais tu consultes une vieille psy deux jours par semaine, la psy que tu considère comme une bonne tante, comme une épaule contre laquelle t'avachir. la seule qui daigne à te répéter que ça va aller.
(sentiments qui fument à vif, et boom, coeur qui s'agite) t'aimes pas l'amour, toi le grand poéte, toi le musicien passioné. t'aimes pas les films à l'eau de rose, les films de noël, les comédies musicales. ces films où ils se foutent des gens à ton avis. où on tombes amoureux sous les flèches de cupidon, comme des merdes. y a plus qu'ils vomissent des licornes. pour toi, quand tu tombes t'as mal. amoureux ou pas. un coup de foudre, ça électrocute, ça brûle, ça tue. des flèches, ça transperce, ça fait saigner. aucune chance que ça te fasse bu bien. est-ce par réalisme ou par fatalité, tout cela t'horripile. t'es hanté par l'image d'un père absent, d'une mère devenue négligente dès son remariage avec ce bourge, d'un amour inexistant. tu ne perçois pas la vie d'une autre façon. les couples que tu vois dans la rue, les petites familles, tu les regardes mal. ils te font mal. mais tu persistes à dire que t'es pas jaloux.
(tes désirs ont pris le dessus, mais un jour tout s'en va) t'as arrêté les études, un temps. t'aurais pu continuer depuis le début, mais penser à la dette que t'auras envers ton beau-père te fit renoncer. ta mère disait medecine, son mari disait droit, mais toi, tu voulais faire de la musique, des notes, des mélodies. alors t'es parti, tu les a abandonné, pour vivre tes rêves loin du poison qu'ils représentaient. tu regardes ici et là, tu va à droite à gauche, tu te trouves de quoi vivre, et tu vis. pleinement. pas le temps aux économies, elles partent toutes à juilliard. tu t'es acheté une moto, t'as passé ton permis, tu sillonnes la ville en tes jours de congé, de vacances, sans t'arrêter. tu te balades en deux roues noire, rutilante, cuir sur les épaules, cuirasses aux jambes. tu veux t'épuiser. mentalement, physiquement. pour reprendre ton travail au top de ta forme en voyant à quel point les dimanches, ça craint. mais tu trouves pas ta place. t'es barman, et tu te forces à aimer. mais ce que t'aimes vraiment c'est ces soirées, où, enfin bourré, tu chantes pour le monde, pour les bars, pour les boites, tu fais le DJ, le guitariste, le batteur, la voix, et finalement t'es bien payé, pour tout ça. c'est ce que t'aimerais faire, mais on te lances toujours un seau d'eau froide à la gueule. vivre de ta musique est dur, que tu sois ou non un grand passionné.
(t'as marché droit, malgré tes sentiments qui titubent) regardes-toi dans le miroir, vois-tu toujours la même image ? celle que tu voyais chaque soir avant de sortir de ton cocon. oui tu voyais ton reflet, énervé, névrosé, sanguin. tu voyais aussi ton ombre derrière, démon refoulé, mutilé. tu voyais plus loin derrière ton lit, les draps froissés, froids. ton placard collé au minuscule plan de travail de ta cuisine. le frigo ouvert où se collaient quelques bières. ton bureau où se mêlaient plusieurs feuilles de cours, plusieurs journaux que tu noircissais d'encre, assis sur ta chaise en bois, où trônait sans scrupule une guitare, penchée, sur le point de tomber. la porte de ta salle de bain ouverte sur l'eau qui coule de la baignoire dont tu laissait le soir le robinet ouvert sans même t'en rendre compte, ton parquet inondé, tes vêtements en tas de merde par terre, mouillés. et tu sais que tu finiras par nettoyer négligemment, la poudre blanche qui se mélange au liquide transparent.
(relation épistolaire, une nuit t'as oublié de vivre) mais voilà qu'aujourd'hui, c'est pas ton miroir en face de ton lit que tu fixes en te réveillant, c'est des cheveux blonds qui recouvrent ton nez, te chatouillant, te faisant éternuer. tu la vois sous ses couvertures  respirant régulièrement, et tu te bornes à vouloir te rappeler de son prénom. encore une autre sans valeur, dont l'identité t'échappes. des bouteilles d'alcool vides ornent le sol, et tu lèves rapidement en prenant tes vêtements jetés plus loin. tu évites les mégots écrasés sur le carrelage, de tes pieds nus, et sors ainsi. torse à peine recouvert par ce tissu déchiré, chaussures perdues que tu n'essayes même pas de retrouver, tu démarres ta moto et te casses, voulant juste t'éloigner.



this session is gonna be different
dickens/lela ꕥ 23 ans
fréquence de rp : moyennement rapide, c'est selon mon inspiration. ϟ fréquence de connexion : presque chaque jour, et si ce n'est pas la journée ce sera au moins le soir. ϟ préférences en termes de nombre de mots en rp ? j'écris moi-même en moyenne vers les 1000 mots, mais cela dépend en grande partie de mon partenaire. ϟ avatar à réserver : zayn malik. ϟ de quelle couleur sont les petits pois : rouge et brin ambré avec une petite touche azurite.. je suis sérieuse T-Tϟ comment avez-vous connu 99 ? sur bazzart, par hasard  keur ϟ un dernier mot pour finir en beauté ? c'est vraiment trop beau ici cute
tenor (gif) kane (avatar)

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