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i don't have dirty mind, i have a sexy imagination (jilan)

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Mar 21 Jan - 20:52
On ne naît pas con, on le devient ça devrait être la devise d’Adrian. Il ne sait pas vraiment ce qu’il a fait pour se retrouver dans une situation de la sorte, un poignet accroché au dessus de sa tête avec une simple menotte à la tête de lit. Pourtant, il ne lui a rien fait à Diane. Il a été gentil, il a été courtois, il a même été poli, pas trop de fioritures, mais pas trop de grossièretés quand même, il ne lui a même pas dit qu’il allait la baiser. Il a dit qu’il allait lui faire l’amour. Pour une femme, ce n’est pas pareil. Il lui a même fait un café, et il l’a même embrassé. D’habitude, il n’embrasse pas, il se contente de s’amuser et puis il fait de moins en moins de formule déjeuners. Et pourtant, voilà, il en est là. Heureusement, elle lui a laissé son téléphone, il peut envoyer des messages  à Jill parce qu’elle est la seule à pouvoir l’aider présentement. Mais il sait qu’elle va glousser, il sait qu’elle va se moquer de lui mais il s’en fiche, tout ce qu’il retient c’est qu’à l’instant T, il est à moitié nu, un oreiller posé sur son entre-jambe et heureusement pour lui, il n’est pas au garde à vous. Il a eu le temps de redescendre quand il a compris qu’elle est partie, avec la clé des menottes. Ou plutôt de la menotte. Ses messages sont affolés et il aimerait bien que Jill le prenne au sérieux. Il l’entend même rire de là où il est, et il déteste les murs fins. Le prochain appartement qu’il prend, il vérifiera l’isolation sonore, parce de une, il pourra s’envoyer en l’air et de deux, si jamais il lui arrive une chose de la sorte, il n’entendra pas sa voisine glousser et se moquer ouvertement de lui. Quand il entend la porte, il secoue son bras, et pose une main sur le coussin pour que Jill ne voit pas son cactus, comme il aime bien l’appeler. « JE SUIS LÀ. » Et il la fusille du regard quand elle arrive parce qu'elle n'arrête pas de rire « Arrête de riiiiiire j’te jure Jill, je te fais pas de café sinon. » La menace ultime. « Dis moi que tu vois la clé quelque part, ou dis moi que t’as ce qu’il faut pour me libérer parce qu’elle a serré cette pu… garce. ET ARRÊTE DE RIRE. »

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Jeu 23 Jan - 21:14

☆ ☆ ☆
Jill vient à peine de mettre un pied hors de la douche qu'elle entend son téléphone se mettre à vibrer. La brune attrape une serviette, sèche son corps, s'enroule dans celle-ci avant de se saisir de son téléphone qui vient encore une fois de vibrer, cette fois-ci dans sa main. Le nom d'Adrian l'interpelle. Qu'est qu'il lui veut ce matin ? Si c'est pour du beurre de cacahuète, elle l'envoie chier. Curieuse, la prof de mathématique tente de savoir ce que son voisin lui veut. Elle profite du temps d'attente entre chaque messages pour s'habiller. Si au début, elle ne comprend pas vraiment où il veut en venir, quand l'information monte au cerveau, elle se met à rire comme une gueuse. Il est attaché. Elle est morte de rire. Bien sûr que oui, elle va venir le sauver. Elle ne va rater cette occasion pour rien au monde. Puisque de toute façon, il ne va pas bouger, elle finit de se préparer convenablement étant donner que d'ici deux petites heures, elle doit être au lycée. Une fois prête, elle quitte son appartement pour rejoindre celui de son voisin aka Adrian. Elle frappe à la porte avant de réaliser que c'est idiot, elle pousse sur la poignée et pénètre dans les lieux. Téléphone à la main, elle est en train de filmer. Il faut immortaliser ce moment, le contraire aurait été dommage. « JE SUIS LÀ. » Jill se laisse guider par la voix, tombant ainsi dans la chambre du jeune homme et sur le jeune homme en question, en tenue d'Adam avec un simple coussin pour protéger son entrejambe. C'est plus fort qu'elle, elle rit comme une bécasse. Elle en pleure même de cette situation ridicule à souhait. « Arrête de riiiiiire j’te jure Jill, je te fais pas de café sinon. » Franchement ? A ce stade, elle s'en fiche pas mal du café. Elle essuie les quelques larmes aux coins de ses yeux, sans pouvoir se stopper. « Dis moi que tu vois la clé quelque part, ou dis moi que t’as ce qu’il faut pour me libérer parce qu’elle a serré cette pu… garce. ET ARRÊTE DE RIRE. » Elle ne va pas lui faire cet honneur, déso. « Bien sûr, je ne sors jamais sans ma pince coupante, voyons. » dit-elle en ironisant la chose. Désolé mais elle n'a rien dans les mains, sauf son téléphone portable. « C'était torride hier soir ? » demande-t-elle toujours amusé par la situation. Elle se laisse même tomber au bord du lit, un large sourire sur ses lèvres. « Enfin ça devait pas être terrible pour qu'elle t'attaches. OU, elle va revenir ? Elle va revenir ? » questionne-t-elle. « J'ai pas signée pour un plan à trois. » Et elle détesterait Adrian si c'était uniquement pour cette raison qu'il l'avait fait venir chez lui. « Fait un coucou à la caméra. » dit-elle. Jill en profite, elle sait qu'il est trop loin d'elle pour pouvoir lui arracher des mains et ça, ça la fait encore plus rire.

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Dim 26 Jan - 19:01
Il ne revient pas de la façon avec laquelle il s’est fait avoir comme un idiot. Elle lui a fait croire qu’elle voulait un nouveau round après qu’il lui ait dit qu’elle devait partir parce que sa soeur allait certainement passer. Elle lui a dit que ça allait prendre peu de temps, juste un coup comme ça, mais qu’elle avait envie de l’attacher. Comme un imbécile, il a dit oui et maintenant, il se sent bien con. Et il sait que la seule personne qui pourra le délivrer c’est Jill. Parce que Jill, elle est là, et sa soeur ne passe pas. Il prend toujours cette excuse mais c’est souvent faux, il préfère avoir cette excuse que de passer pour un connard fini. Ce qu’il est en réalité, mais il préfère ne pas avoir de problèmes avec la gente féminine. Quand Jill arrive, il a l’impression de voir son salut, sa libération mais c’était sans compter le fait qu’elle soit tordue de rire en le regardant et qu’elle soit sur son téléphone. « Bien sûr, je ne sors jamais sans ma pince coupante, voyons. » il tente d’attraper un coussin mais il est trop loin, il se fait rappeler à l’ordre par la menotte qui lui enserre le poignet et l’oreiller qui menace de dévoiler son anatomie à sa voisine. « C'était torride hier soir ? » Il la regarde et fronce les sourcils, est-ce qu’elle va utiliser cette information contre lui ? Est-ce que dans deux jours quand elle le reverra, elle gloussera encore et elle se moquera de lui ? « Je ne répondrais qu’en présence de mon avocat. » Menteur. Il grogne avant de la regarder « C’était ce matin, je me suis fait avoir comme un débutant. » On peut le dire, la prochaine fois il refusera que la fille apporte de quoi pimenter leurs ébats parce qu’il se demandera comment ça risque de finir. Puis quand elle s’installe sur le lit, il replie une de ses jambes, tout en prenant soin de ne pas faire tomber l’oreiller qui sert de bouclier à son sexe en la regardant, mi agacé, mi amusé parce qu’il ne parvient pas lui même à croire à cette situation. « Enfin ça devait pas être terrible pour qu'elle t'attaches. OU, elle va revenir ? Elle va revenir ? J'ai pas signée pour un plan à trois. » NON. Pas de plan à 3, Adrian geint en laissant tomber sa tête en arrière avant de serrer les dents. Il a envie d’être libéré parce qu’en plus, il commence à avoir envie de faire pipi. Alors si elle pouvait se dépêcher ça l’arrangerait beaucoup. « Fait un coucou à la caméra. » Il fait coucou avant de faire un fuck et il essaye de se glisser pour attraper un oreiller mais c’est un échec. Il est toujours prisonnier de sa tête de lit et ça commence à l’agacer. « Jill, s’il te plaît. » prononce t-il d’un ton qui implore, d’un ton qu’il n’a jamais vraiment prit avec elle. « Détache moi. » Continue t-il avant de la regarder avec son téléphone. « ET ARRÊTE DE FILMER. » Parce qu’il ne sait pas à quoi ça va lui servir de le filmer de la sorte, surtout que ce n’est pas drôle. « promis, j’arrêterais de te dire que j’ai fantasmé sur toi, que j’ai rêvé de toi et qu’on jouait pas au Scrabble dans mon rêve. » Il la regarde et lui fait une tête de chat potté avant lui sourire « Je te fais le café toute la semaine si tu me détaches vite. Je pense que la clé est sur la table de la cuisine. Et non, elle reviendra pas, si je dois coucher avec toi, ce sera certainement pas dans un plan à trois. J’aurais pas trop envie de te partager. Mais s’il te plaîîîîîîîît détache moiiiii. » Adrian au bout de sa vie ? A peine.

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Lun 27 Jan - 16:53

☆ ☆ ☆
Jill est beaucoup trop amusée par cette situation qui se déroule devant ses yeux, beaucoup trop pour qu'elle arrive à garder son sérieux. Cette histoire, elle va en parler pendant des mois, des années voire des siècles. Elle, a même hâte de la partager avec un proche d'Adrian juste pour se moquer de lui. Qui aime bien, châtie bien. La brune en vient cependant à se demander pourquoi, Adrian est attaché à sa tête de lit. Il y a une fille sous l'équation, ça c'est certain mais sa curiosité la pousse à en savoir plus. « Je ne répondrais qu’en présence de mon avocat. » AH. C'est nouveau ça. « Depuis quand tu as un avocat, toi ? » demande-t-elle surprise. « Pour une fois que je n'ai pas le droit à des détails croustillants, je suis presque déçue. » Mais c'est pas grave, Jill passera son tour pour ce matin. « C’était ce matin, je me suis fait avoir comme un débutant. » Totalement. Il n'a penser qu'avec ce qu'il a entre les jambes le garçon à sa grande bêtise. Voilà où sa bêtise le conduit d'ailleurs. La brune continue à le filmer puis quand il l'implore presque, enfin ce n'est pas presque, il l'implore : elle se stoppe, toujours amusé. « Promis, j’arrêterais de te dire que j’ai fantasmé sur toi, que j’ai rêvé de toi et qu’on jouait pas au Scrabble dans mon rêve. » Maiiiis ! Il n'avait pas le droit de remettre cette affaire sur le tapis ! C'est de l'anti-jeu. « Je te fais le café toute la semaine si tu me détaches vite. Je pense que la clé est sur la table de la cuisine. Et non, elle reviendra pas, si je dois coucher avec toi, ce sera certainement pas dans un plan à trois. J’aurais pas trop envie de te partager. Mais s’il te plaîîîîîîîît détache moiiiii. » Face à toutes ces conditions, Jill ne peut plus dire non. « T'es mignon quand t'es impuissant. Et NON je ne parle pas de ce qui se passe derrière ce coussin, je ne veux pas savoir. » Ni même voir. Elle se presse même de cacher ses yeux avec sa main. Jill, elle est pure. On y croit ! Après avoir laisser son téléphone sur le lit, elle quitte ce dernier et cherche dans la pièce principale, une clé. Cependant au bout de quelques minutes, elle revient vers Adrian. « Tu es vraiment sûr qu'il y a un double de cette clé chez toi ? » Parce que Jill, elle n'a rien vu. « Je pense que ça serait plus simple, si on appelait un serrurier. » dit-elle en se mordant l'intérieur de sa joue, à la fois gêné et amusé par un Adrian toujours dans la même position. « Je ne te pensais pas possessif, je croyais que tu étais plus du genre à partager. Comme quoi, il suffit que tu sois attaché à ton lit pour me livrer tes secrets les plus noirs. » dit-elle un sourire accrocher à ses lèvres. « Bon, je vais nous faire du café en attendant le serrurier. » Autant qu'elle utilise le temps d'une façon bénéfique.

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Sam 1 Fév - 14:22

« Depuis quand tu as un avocat, toi ? » Adrian hausse l’une de ses épaules en riant un peu « J’en ai pas, je trouvais juste cette phrase trop cool à dire, d’ailleurs tu savais que le mot avocat venait du mot advocatus, qui veut dire appeler ou convoqué ? Et ça n’a aucun rapport avec le fruit. » Adrian a lu ça de façon totalement random pendant une de ses pauses et ça l’a marqué, alors il est content de pouvoir ainsi sortir sa science, même si l’ouverture d’esprit n’est pas une fracture du crâne, on pourrait presque croire que tant d’intelligence dans le corps d’Adrian Dawkins risque de lui provoque une fracture du neurone. Mais tout ça est une autre histoire. Son histoire principale est qu’il est attaché à son lit, nu et qu’il n’a pas d’autres choix que d’appeler Jill à la rescousse, Jill qui est là et qui se moque de lui. Mais lui, il a envie de s’échapper, de vivre sa vie d’elfe nu libre. « Pour une fois que je n'ai pas le droit à des détails croustillants, je suis presque déçue. » Là, il la fusille du regard en prenant une tête passablement énervé. Quand il lui en donne, elle se plaint et voilà qu’elle les réclame maintenant. Quand elle se décide enfin à arrêter de le filmer, Adrian soupire de soulagement. Ouf, la torture est terminé. Il croit même que tout va s’arranger quand elle dépose son téléphone sur la table. « T'es mignon quand t'es impuissant. Et NON je ne parle pas de ce qui se passe derrière ce coussin, je ne veux pas savoir. » Il rit quand elle cache ses yeux « Non, je ne te montrerais pas mon cactus. Promis. » Il a tout de même un peu de pudeur, pendant qu’elle part, il attrape même la couverture avec difficulté pour se la mettre sur les jambes, le voilà sauver. Il peut bouger ses jambes convenablement et ne pas avoir peur qu’un cactus sauvage apparaisse s’il bouge un peu trop et que le coussin part.« Tu es vraiment sûr qu'il y a un double de cette clé chez toi ? » En tout cas, elle lui a montré un double, manquerait plus qu’elle soit partie avec les deux. Elle n’aurait pas fait ça quand même… si ? « Bah elle m’a montré deux clés. » Mais voilà, maintenant il est sûr qu’elle est partie avec. Quelle garce. Il ne la rappellera pas c’est sûr ! « Je pense que ça serait plus simple, si on appelait un serrurier. » MAIS N’IMPORTE QUOI. Adrian pose sa main libre sur son coeur, choqué. Quelqu’un va le voir dans son plus bel appareil ? « Mais le serrurier va me voir tout nu ? » C’est une question con puisqu’il est caché. Mais bon, il va quand même être très exposé. « Je ne te pensais pas possessif, je croyais que tu étais plus du genre à partager. Comme quoi, il suffit que tu sois attaché à ton lit pour me livrer tes secrets les plus noirs. » Il lui tire la langue en la regardant « Toi, je ne te partagerais pas, les autres peut-être. Après tout, elles ne sont pas comme toi. » Enfin, Adrian n’a jamais eu autant de désir pour quelqu’un que pour Jill, mais ça, il le garde bien dans un coin de sa tête. Et puis même qui voudrait partager Jill ? Sans rire. « Bon, je vais nous faire du café en attendant le serrurier. » Il fronce les sourcils « Mais je devais te faire ton café… Tu veux pas venir me faire un câlin plutôt ? Je suis déprimé. Il paraît qu’un câlin ça remet un homme d’aplomb. » prononce t-il, sûr de lui. « T’as pas … une pince à cheveux ? Tu sais les trucs microscopiques la ? Je sais pas comment t’appelle ça, mais vous mettez ça dans vos chignons, des fois dans les films les filles utilisent ça pour ouvrir des menottes. » Sauf qu’Adrian n’est pas dans un film. « Mais si tu veux vraiment appeler un serrurier, j’exige un câlin de compensation. Je pourrais même pas avoir les mains baladeuses ! J’en ai qu’un de disponible !! » Et ça c’est un argument de taille.

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Ven 7 Fév - 19:23

☆ ☆ ☆
Face à cette étymologie du mot avocat, Jill est bouche-bée. Mais elle va faire comme si ça n'était pas sorti de la bouche d'Adrian et simplement ignorer cette information qui a déjà quitter son cerveau. Tout ce qui la préoccupe actuellement c'est son voisin nu comme un vers et attaché à sa tête de lit. C'est si épique qu'elle serait prête à faire un reportage sur le sujet. C'est en même temps un peu ce qu'elle fait actuellement avec son téléphone. Puisque Adrian lui promet de ne pas lui faire part de son anatomie afin qu'elle ne fasse pas de cauchemars, Jill entreprend de partir à la recherche de la clé perdue, telle une quête. Le problème c'est qu'elle a beau chercher dans la cuisine du brun, elle ne trouve rien. « Bah elle m’a montré deux clés. » Et ? « Elle a du prendre les deux. En même temps pourquoi, elle t'en aurait laisser une ? » Jill, elle n'en aurait pas laisser si elle avait voulu prendre sa conquête de la veille pour une nouille. Adrian est une nouille. « Tu as vraiment du la mettre en rogne celle-là. » Jill est bien curieuse de connaitre le pourquoi du comment, sauf qu'elle n'est pas certaine d'avoir la réponse à cette question un jour. Incapable de trouver cette clé, Jill baisse les bras et propose une solution : un serrurier. « Mais le serrurier va me voir tout nu ? » Elle glousse. Elle imagine tellement la scène dans sa tête. « Il va peut-être te montrer sa grosse clé anglaise. » dit-elle avant d'éclater de rire. C'est peut-être le matin, mais la brune n'arrive vraiment pas à garder son sérieux. « Tu es peut-être handicapé d'une main, mais je peux très bien te passer des sous vêtements pour t'habiller. » Cet homme est vraiment blond, un vrai kinder surprise. « Toi, je ne te partagerais pas, les autres peut-être. Après tout, elles ne sont pas comme toi. » Là, par contre ça devient trop sérieux de bon matin pour Jill. Elle fronce les sourcils non certaine de comprendre le Adrian. « Comme moi ? » Qu'est qu'elle a de particulier la Grayson ? Désolé mais elle ne voit pas. « Mais je devais te faire ton café … Tu veux pas venir me faire un câlin plutôt ? Je suis déprimé. Il paraît qu’un câlin ça remet un homme d’aplomb. » « C'est pas avec un câlin que tu vas réussir à sortir ta main de la-dedans. » Comme si ça allait le faire devenir un surhomme. Adrian regarde beaucoup trop la télévision, il devrait arrêter les séries et films de super-héroes ça lui monte à la tête. « T’as pas … une pince à cheveux ? Tu sais les trucs microscopiques la ? Je sais pas comment t’appelle ça, mais vous mettez ça dans vos chignons, des fois dans les films les filles utilisent ça pour ouvrir des menottes. » Il ne fait que confirmer ce qu'elle pensait quelques secondes plus tôt. « On va vraiment arrêter de regarder des films ensemble. » dit-elle en laissant échapper un rire. « Une épingle Adrian. Et on peut toujours essayer mais je doute que ça fonctionne. » Elle en est même sur mais elle lui accorde le bénéfice du doute. « Mais si tu veux vraiment appeler un serrurier, j’exige un câlin de compensation. Je pourrais même pas avoir les mains baladeuses ! J’en ai qu’une de disponible !! » « Oh même avec une je me méfies avec toi. » Elle le connait l'animal et elle n'a pas vraiment confiance. Malgré tout, elle s'approche de lui, le prend rapidement dans les bras et en sort aussitôt. « Tu as eut ton câlin, maintenant laisse moi essayer. » finit-elle par dire avant de tirer de sa coiffure une épingle à cheveux. Proche de sa main du brun, elle tente de le défaire de sa menotte mais sans succès. Au bout d'une minute, elle abandonne déjà. « BON. Tu vois, je te l'avais dis ça ne fonctionne que dans les films ! » Il ne reste donc plus qu'une solution. « Je vais nous appeler un ser... » Puis c'est là qu'elle a l'illumination. « Je reviiiiiiens ! Bouge pas. » Elle glousse. « Oui bon tu peux pas trop. » Elle glousse de plus belle avant de quitter l'appartement avec hâte. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'elle revient, en compagnie d'un homme âge : le concierge armé d'une pince coupante, permettant à Adrian d'être libre. Jill le remercie de son geste et rejoint un Adrian libre. « Tu peux dire merci à Monsieur Anders et à sa pince coupante qui vient de te sauver la vie. Et à moi aussi quand même. »

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Sam 15 Fév - 20:06
« Elle a du prendre les deux. En même temps pourquoi, elle t'en aurait laisser une ? » Il hausse les épaules le brun, elle aurait dû en tout cas, il a naïvement espéré qu’elle le fasse, en tout cas tout ce qu’il sait, c’est qu’il ne la rappellera pas cette demoiselle. Ce serait être masochiste. « Bah… parce que moi j’aurais fait ça ? » Enfin, lui il n’aurait pas laissé une fille attachée à son lit pour finir par partir alors qu’ils allaient entamé un second round. Adrian est offusqué. « Tu as vraiment du la mettre en rogne celle-là. » Mais même pas ! Enfin, il ne croit pas. Il n’a rien fait de mal. Il ne s’est même pas trompé de prénom. Ça lui est déjà arrivé, il a déjà vexé une fille comme ça mais il n’a pas fini attaché. Enfin, heureusement ce soir là, il n’avait pas sorti de menottes. M’enfin, il ne se ferait plus avoir, jamais deux sans trois, et bien il réinvente l’expression dans sa tête pour dire jamais un sans deux. On ne le prendra plus pour un lapin de six semaines. Mais rien que de savoir que le serrurier va pouvoir le voir nu, ça lui donne la chair de poule. Il n’a pas envie que ce serrurier en parle avec ses collègues ou même qu’il raconte à qui veut le savoir qu’il a délivré un homme à poil qui a été attaché à son lit. Enfin, c’est ce qu’il aurait fait lui. « Il va peut-être te montrer sa grosse clé anglaise. » Une grimace traverse le visage du brun « AH NON ! » Il n’a pas envie « Je n’ai pas envie de voir la clé anglaise du serrurier… » Il n’a envie de voir les clés anglais d’aucune personne de sexe masculin.
« Tu es peut-être handicapé d'une main, mais je peux très bien te passer des sous vêtements pour t'habiller. » Il la regarde, un regard lubrique avant de se mettre à rire. « Ou tu peux m’enfiler mon caleçon. » Oui, il ne perd pas le nord. Il lève les yeux au ciel avant de se remettre à rire « Ça va je rigole. » Oui parce qu’elle ne semble pas rigoler, elle. Il n’a pas envie qu’elle se vexe et s’en aille et qu’elle le laisse là, tout seul comme un con. En plus, il est censé aller travailler alors bon, il ne va pas aller travailler avec sa tête de lit au bout du poignet. Mais il ne contrôle pas ses mots, à cause de l’agacement de sa propre stupidité. « Comme moi ? » Il la regarde, et son regard se perd dans celui de Jill un instant avant qu’il ne tourne la tête « Ouais, je comprend pas comment ton mec peut te partager. » Il hausse les épaules en soupirant avant de regarder la menotte puis regarder sa voisine pour lui demander un câlin. Il ne devrait pas lui demander cela après lui avoir dit qu’il ne la partagerait pas. « C'est pas avec un câlin que tu vas réussir à sortir ta main de la-dedans. » Rhoooo, la rabat-joie. Il lui tire la langue comme un enfant et il lui propose une solution mais elle ne semble pas d’accord alors il se renforgne en grognant. « On va vraiment arrêter de regarder des films ensemble. Une épingle Adrian. Et on peut toujours essayer mais je doute que ça fonctionne. » Il souffle maintenant. « Oui bah au moins j’essaye de me libérer !!! » Cette situation commence à l’agacer. Il en a marre d’être attaché, il en a marre de ne pas être libre de ses gestes et il a juste envie que ce cauchemar finisse. Mais il veut réellement un câlin parce qu’il risque de ragequit, même s’il ne peut pas. « Oh même avec une je me méfies avec toi. » Quand elle se blottit contre lui, il la serre légèrement de son bras. « Tu as eut ton câlin, maintenant laisse moi essayer. » Il la regarde, l’odeur de Jill qui lui parvient jusqu’aux narines, il hume et il sourit comme un idiot avant de la voir … abandonner ? « BON. Tu vois, je te l'avais dis ça ne fonctionne que dans les films ! » « Mais continue d’essayer !!! » Il n’a pas envie de rester coincé. Il la voit s’éloigner et il soupire. Pourquoi ? Pourquoi part-elle ? Loin de lui comme ça. Il pourrait jouer dans une pièce de Shakespeare avec ses têtes de drama king. « Je vais nous appeler un ser... Je reviiiiiiens ! Bouge pas. » Il la voit qui s’agite et il fronce les sourcils. « Oui bon tu peux pas trop. » « Sans commentaires. » répond t-il du tac au tac et il attend comme un con en sifflotant, il attrape son téléphone en se contorsionnant et au bout de quelques  trop longues minutes, il replace le drap sur son entrejambe quand il entend du bruit, il entend la voix du … Concierge ??? Il attrape alors un oreiller pour protéger son entrejambe en plus des draps. Non mais. Il la fusille du regard, et serre les dents quand il coupe la menotte, il a bien cru qu’il allait perdre sa main. Quand il est enfin libéré, il frotte son poignet enfin libéré et regarde Jill qui se positionne à côté de lui. « Tu peux dire merci à Monsieur Anders et à sa pince coupante qui vient de te sauver la vie. Et à moi aussi quand même. » Il regarde le petit concierge et incline la tête pour le remercier avant de se tourner vers Jill quand le concierge disparaît. « Supprime la vidéo. » prononce t-il en regardant le téléphone de la brune qui le nargue sur le lit. Il est libre mais encore nu, alors il n’a pas vraiment envie qu’elle voit son magnifique fessier qu’il pense musclé. « Et merci, beauté. » prononce t-il avec un sourire avant de déposer ses lèvres sur la joue de la brune. Il attrape alors son boxer qu’il tente d’enfiler sans rien dévoiler de son intimité et il se jette sur le téléphone de la brune comme un enfant « C’est quoi ton code ? Ta date de naissance ? La date de naissance de ton cactus ? » Qu’il demande en secouant le téléphone sous le nez de Jill. Même s’il sait qu’elle va râler, il n’a pas envie que cette vidéo fuite, nul part. Absolument nul part.

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Mer 11 Mar - 19:21

☆ ☆ ☆
« Bah … parce que moi j’aurais fait ça ? » Jill est surprise. Adrian ne cesse de la surprendre. Parfois, il peut être un mec bien. Oui cette information est surprenante. « T'es mignon. » avoue-t-elle en se mettant à rire la seconde suivante. Parce qu'elle, elle aurait certainement fait comme la demoiselle, elle aurait prit les deux clés. Le fait qu'il ne reste aucune clé pose un problème, comment vont-ils faire ou plutôt va-t-elle faire pour détacher Adrian ? Un serrurier ? « AH NON ! Je n’ai pas envie de voir la clé anglaise du serrurier … » Elle-même n'en a pas envie. « T'es pas drôle, ça aurait été l'occasion de comparer qui à la plus grosse. » dit-elle avant d'exploser de rire, une nouvelle fois. Ah, elle l'aime cette matinée avec Adrian. Elle aime rire d'aussi bonne heure, c'est une bonne journée qui s'annonce : Jill en est certaine. « Ou tu peux m’enfiler mon caleçon. » Rectification, elle était bonne jusqu'à cet instant. Jill fait les gros yeux, il rigole c'est ça ? Elle n'est pas prête à faire ce genre de choses. « Ça va je rigole. » Ouf ! La voilà rassurer. Elle a cru faire un arrêt, mais son coeur semble avoir reprit un bon rythme. « Ouais, je comprend pas comment ton mec peut te partager. » Encore ça ? Il n'a vraiment pas finit de lui faire des reproches là dessus ? « Qu'est qui te fait dire que ça me dérange ? Si je fais la même chose, je ne vois pas où est le problème. » râle-t-elle. Puis merde c'est son cul, elle fait ce qu'elle veut avec ! Certes il l’agace, mais Jill est une voisine sympa : elle continue de lui prêter main forte pour se sortir de cette situation. L'idée de l'épingle à cheveux est bonne, sauf qu'elle ne fonctionne que dans les films, Jill vient de le réaliser. Finalement, elle opte pour le concierge. Elle abandonne donc Adrian sur son lit et revient quelques minutes plus tard, avec l'homme de la situation. Cocasse tout ça. « Supprime la vidéo. » Whaaaat ? Jamais ! Never ! Elle va garder cette vidéo à tout jamais sur son téléphone. « Tu pourrais me dire merci quand même. » lâche-t-elle en le regardant, c'est qu'il est impoli le garçon. « Et merci, beauté. » Bon ça va, il est pardonner. En plus, elle a le droit à un bisous sur sa joue alors ça excuse, pour cette fois. Mais voilà que son téléphone disparaît de ses mains et atterrit dans celle du brun. Mais non ! Elle n'est pas d'accord. « C’est quoi ton code ? Ta date de naissance ? La date de naissance de ton cactus ? » « Parce que tu crois que je vais te le dire ? " La date de naissance de mon cactus " et puis quoi encore. » râle-t-elle tout en riant, c'est plus fort qu'elle. Mais Jill est assez sereine face à cette situation. « Je l'ai déjà envoyer à ta sœur pendant que je descendais voir le concierge. » avoue-t-elle tout en s'asseyant sur le bord du lit, un large sourire aux lèvres. « AH NON, tu ne peux pas me tuer. Je suis ta voisine favorite et tu n'as personne à appeler pour cacher un corps. Je ne vais pas t'aider à dissimuler mon propre corps quand même. » dit-elle. « Ça va ! J'aurais pu être plus vache et la diffuser sur instagram. » ironise-t-elle. « Je peux toujours venir au café et la montrer à tes collègues si ça te tient tant à cœur. » poursuit-elle, Jill avait été mignonne après tout. Elle ne l'avait envoyer qu'à une seule personne sur les milliers d'habitants à New-York c'était plutôt correct. « Maintenant je veux mon café et accessoirement mon téléphone aussi. » dit-elle en tendant sa main dans l'espoir que son téléphone apparaisse dans celle-ci.

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Lun 16 Mar - 19:44
« T'es mignon. » Adrian plisse les yeux pour sonder si elle le pense vraiment et il finit par hausser les épaules, peut-être qu’elle le pense au fond. « C’est gentil. » Oui parce que même si elle ne le pense pas, elle a dit qu’il était mignon, et ça, ça lui met du baume au coeur à l’homme attaché. Mais le baume s’en va bien vite quand elle lui dit que le serrurier pourrait peut-être lui montrer sa clé anglaise et Adrian n’est pas du tout hypé pour voir l’aubergine ou la clé anglaise du serrurier. Non, ce n’est pas du tout son truc et puis il serait même un peu jaloux que Jill puisse la voir aussi. « T'es pas drôle, ça aurait été l'occasion de comparer qui à la plus grosse. » Il fait une grimace en levant les yeux au ciel avant de se renfrogner, il n’a plus l’âge de faire un concours de la sorte, c’est un homme mature spoiler alert : non. Alors il ne fera pas de concours de celui qui a la plus grosse, il l’a bien assez fait quand il était plus jeune. Et il gagnait presque toujours. Enfin dans sa tête. De toutes façons, Adrian gagne toujours, c’est un fait avéré. Toujours dans sa tête.« Qu'est qui te fait dire que ça me dérange ? Si je fais la même chose, je ne vois pas où est le problème. » Ah. Bon. Ok. Il est vaincu sur ce coup là, alors il la regarde « Vous faites bien ce que vous voulez. » Mais il ne comprend pas comment le mec de Jill peut la partager. Enfin accepter qu’elle aille voir ailleurs, même si l’idée d’un couple libre ne le dérangerait pas, il ne comprend pas comment il peut faire ça avec Jill, parce que Jill… Eh bien c’est Jill. Et puis Jill elle a une vidéo de lui, impuissant pas dans le sens que tout le monde pense attaché au lit, sans aucun moyen de défense avec un oreiller sur l’entrejambe, alors il faut qu’elle la supprime. Ça pourrait bien devenir une affaire d’état si elle refuse. « Tu pourrais me dire merci quand même. » Ah parce qu’il faut encore de la politesse ? Non. « Merci mais supprime. » Voilà il a dit merci, mais comme il voit qu’elle ne supprime rien, il est obligé d’employer les grands moyens et de prendre son téléphone. Mais comme toute femme qui se respecte, elle a un code, lui n’en a pas, en même temps personne ne voudrait fouillé dedans. Et puis, il n’y a rien de compromettants la dedans, ce n’est pas le genre d’homme a envoyé des photos de lui nu, et surtout à les garder dans son téléphone, il est malin le lapin. « Parce que tu crois que je vais te le dire ? " La date de naissance de mon cactus " et puis quoi encore. Je l'ai déjà envoyer à ta sœur pendant que je descendais voir le concierge. » Quoi ? Il commence à se faire vieux et pense avoir besoin d’un sonotone dans ce qu’il entend ne lui plaît pas. « AH NON, tu ne peux pas me tuer. Je suis ta voisine favorite et tu n'as personne à appeler pour cacher un corps. Je ne vais pas t'aider à dissimuler mon propre corps quand même. » Il ouvre la bouche pour lui demander « C’est possible ? Mais non, c’est pas possible. Et si je te tue, j’aurais pas le plaisir de t’avoir un jour dans mon lit, alors déso mais tu vas rester en vie et me supporter. » Il la regarde en gardant son téléphone dans la main, tentant un code tout à fait random. « Ça va ! J'aurais pu être plus vache et la diffuser sur instagram. Je peux toujours venir au café et la montrer à tes collègues si ça te tient tant à cœur. » Alors là c’en est trop, il récupère son caleçon qu’il enfile avant de se lever, sur ses deux pieds, il en profite pour s’étirer avant de se tourner vers Jill « Cette vidéo elle reste entre toi et moi. » A croire qu’ils parlent d’une vidéo de leurs ébats tant ça semble être important. « Tu peux la garder mais je te préviens, tu la ressors jamais, pas même à mon anniversaire. » Parce que là, ce serait le pompom sur la garonne, la touche de lait dans le latte. « Maintenant je veux mon café et accessoirement mon téléphone aussi. » Il la regarde, regarde le téléphone et comme un enfant agacé, il pose le téléphone dans la main de la brune pour aller faire le café, toujours en caleçon, il a décidé qu’il vivrait à moitié nu aujourd’hui pour se rappeler de cette situation très cocasse, et puis parce qu’un Adrian à moitié nu et un Adrian content, et ça, peu de personnes le savent. Bien évidemment.

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