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Courage is knowing what not to fear. (Cian)

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Sam 4 Avr - 22:37

Courage is knowing what not to fear.



Le regard perdu, la jeune infirmière  ne rêvait que d’une seule chose, rejoindre ses amoureux pour terminer sa nuit. Il était un peu plus de deux heures du matin et son bipper n’avait cessé de sonner. Une routine pour un samedi soir mais il lui restait encore quelques heures à tenir avant de pouvoir exaucer son souhait. Elle avait beau être fatiguée, elle se considérait chanceuse de pouvoir exercer le métier de son choix. Une vocation dans son cas, elle avait passé sa vie à veiller sur les autres. Ses proches la comparait bien souvent à un ange gardien ou un don du ciel pour son entourage. Sa bienveillance était mythique bien qu’elle n’avait pas l’impression d’en faire autant qu’elle le devrait. Avait-elle réellement du mérite de faire ce qu’elle aimait faire. Soigner des blessures c’était son dada, en pansant les éraflures des autres, elle avait la sensation d’étriller les siennes. Elle avait fait le choix d’aller de l’avant et de ne pas laisser son passé la définir mais il faisait partie intégrante d’elle et dans chaque douleur, elle était capable de se projeter. Dans son métier, la compassion était une qualité non-négligeable et elle essayait du mieux qu’elle pouvait de se montrer présente pour chaque patient. Les cas défilaient et il fallait souvent prioriser les cas les plus lourds. Elle avait la sensation de courir dans tous les sens et à force de rester debout, ses lombaires commençait doucement à lui faire mal. « Je ne serais pas contre une transfusion de caféine… » souffle-t-elle dans l’oreille de son amie/collègue avant de lui adresser un large sourire. Sa notion du temps disparaissait dès qu’elle passait l’entrée du Richmond Médical Center. « Je crois que je vais aller me poser en salle de repos, tu devrais en faire autant… » Elle ne s’accordait que très peu de pauses, elle considérait que chaque seconde qu’elle gaspillait à se reposer pouvait être utiliser pour soigner plus de patient. Maddi faisait passer son travail avant son bien-être. Alors qu’elle rejoignait son groupe de copines attroupait devant l’accueil, elle nota l’arrivée des pompiers. Aussitôt son regard balaya les quelques visages familiers des collègues de son homme. Il ne devait pas être loin. Son cœur manquait parfois des battements lorsqu’il n’apparaissait pas dans son champ de vision. Son cerveau se mettait automatiquement à imaginer le pire. Des angoisses qu’elle avait gardé de son enfance, les soirs où sa mère ne rentrait pas et que son imagination se mettait à lui jouer des tour. Cian faisait un métier risqué mais elle comprenait totalement son engagement. Ils étaient pareils sur ce point. Seulement, elle ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter à chacune de ses missions. Elle ne cacha pas son soulagement lorsqu’elle le vit s’approcher d’elle et ses yeux se mirent aussitôt à pétiller tandis que tout son être trahissait son amour pour lui. Elle qui mettait pourtant un point d’honneur à rester professionnel dans le milieu professionnel avait des étoiles dans les yeux à chaque fois qu’elle voyait Cian ou Malina dans les parages. Ils étaient tout ce qu’elle avait de plus précieux et elle espérait que leur idylle puisse durer encore longtemps. Elle profite du brouhaha général pour attirer son petit ami dans un coin discret et ainsi mieux constater les dégâts. Rien d’alarmant, elle l’avait déjà vu dans des états plus inquiétant. « Qu’est-ce qui t’es arrivé, mon coeur? » demande-t-elle, fouillant dans sa trousse pour sortir quelques compresses stériles et de quoi désinfecter la plaie. « Malina sait que tu es là ? » elle connaissait le tempérament de leur femme pour l’imaginer dans tous ses états.

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Sam 18 Avr - 14:45
courage is knowing what not to fear.
L'intervention du jour ne s'était pas faite sans quelques complications. Un groupe de jeune avait décidé de faire une fête dans un vieux bâtiment abandonné et pendant qu'ils étaient sur place, une partie du sol s'était désagrégé, blessant certains et en coinçant d'autres sur une plate-forme instable à plusieurs mètres du sol. L'intervention des secours avait été inévitable, mais la panique et l'effet de groupe avait rendu la gestion des jeunes assez chaotique. L'un d'eux avait fait n'importe quoi et trois pompiers avaient été blessés. Cian était celui qui avait les plaies les plus superficielles, mais son chef avait quand même exigé qu'il soit vu par un médecin. Moralité, un bon pansement pour quelques jours et une surveillance nocturne pour s'assurer qu'il n'avait pas de commotion et il pourrait reprendre le travail dans deux jours sans problèmes. « Je n'ai vraiment pas besoin de rester ici cette nuit », maugréa le brun à l'annonce du verdict. « Ma petite amie est infirmière. Elle peut me surveiller. » Le médecin avait été ravis de l'apprendre et Cian se demanda pendant une seconde depuis combien de temps il était là pour ne pas savoir qui était sa petite-amie. « Je vais la trouver pour qu'elle me nettoie tout ça », dit-il, se levant de sa table d'examen pour aller chercher Maddi et voir si elle était disponible pour s'occuper de lui. En chemin, il trouva ses deux collègues blessés et leur demanda des nouvelles, avant de sourire en voyant la blonde qu'il cherchait.

Il lui fit un grand sourire, malgré qu'il tenait toujours son bandage sanguinolent. Ce n'était vraiment rien et elle allait vite le rafistoler, alors nul besoin d'afficher autre chose que la joie de la voir. Il la suivit silencieusement, jusqu'à ce qu'ils aient un peu d'intimité. « Des gamins idiots en quête de sensations fortes qui ont flippé dès qu'ils ont eu un peu trop de vraies sensations ! » Ce n'était pas gentil de se moquer, mais franchement, leur inconscience l'avait rendu fou. D'autant que deux de ses collègues avaient été blessés.

Quand elle posa sa question suivante, il secoua négativement la tête, un peu penaud. « Mon téléphone est à la caserne, alors je n'ai pas encore eu le temps de la prévenir. Et puis j'espérais que mon infirmière préférée pourrait me rafistoler avant que je n'ai à lui dire quoi que ce soit. » Son sourire revint un peu à la charge, alors qu'il attrapait le bas de la chemise de Maddi, l'attirant entre ses jambes pour la rapprocher assez pour pouvoir lui voler un baiser.

Il n'avait aucun secret pour sa femme et bien évidemment, il la mettrait au courant de toute l'histoire, mais il préférait n'avoir que des nouvelles rassurantes à lui communiquer avant de devoir le faire. Il n'avait pas envie de l'inquiéter pour quelques égratignures. Et puis une fois qu'il lui dirait que Maddi l'avait vu et soigné, il savait qu'elle n'attendrait pas fiévreusement de le voir pour être certaine qu'il ne lui mentait pas au téléphone. Maddi l'aurait appelé immédiatement après l'avoir soigné si ça avait été très grave, après tout. Avoir une petite-amie infirmière aux urgences lui offrait un sauf conduit assez agréable pour son travail. Malina attendait bien fiévreusement ses retours quand elle savait qu'il avait été blessé, maintenant qu'elle savait avoir une espionne dans les services de soins... Même si bien sûr, cela ne l'empêcherait jamais d'être inquiète et un peu fâché qu'il rentre abîmé.

« Comment se passe ta journée ? », lui demanda-t-il, la libérant pour la laisser travailler à soigner son bras.

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Dim 19 Avr - 23:39

Courage is knowing what not to fear.



Ce n’était pas de cette façon qu’elle avait envisagé l’amour plus jeune. À aucun moment, elle ne s’était imaginée être capable d’aimer deux personnes à la fois. Elle avait toujours su qu’elle était différente des autres dans le sens où elle n’avait jamais projeté ses sentiments sur un sexe mais plutôt sur une personne. Enfant, lorsque sa mère s’absentait, elle la faisait parfois garder par Georgi. Un homme avec du rouge à lèvres, comme sa mère se moquait souvent de lui. Aux yeux de la fillette, il avait toujours été plus que ça. Il n’était rien d’autre qu’un voisin mais pour toutes les fois où ils s’était occupé d’elle, elle avait fini par le voir comme le père et la mère qu’elle n’aurait jamais. Un entre-deux qu’elle ne définissait pas encore lorsqu’à cet âge on la formatait déjà à la binarité de la vie. Il était celui qui lui avait permis de garder les yeux ouverts quand tout son entourage cherchait à la faire entrer dans des cases qui ne lui convenaient pas. Évidemment, il y avait quelque chose de rassurant dans la normalité. Elle avait passé sa vie à se faire dévisager. D’abord parce qu’elle n’avait pas de père, ensuite parce que sa mère se prostituait, toutes les raisons étaient bonnes pour l’exclure et lui rappeler qu’elle était différente des autres. Une différence qu’elle avait longtemps cherché à cacher, en allant à l’encontre de ce qu’elle était réellement. Des années à chercher à être une autre parce que c’était plus facile de faire comme tout le monde. Et puis, elle avait fini par comprendre que partir à l’encontre de ses sentiments n’arrangeait pas les choses. Elle avait mis beaucoup de temps avant de se définir et comprendre réellement ce qu’elle voulait. Jusque-là, elle n’avait jamais pensé vivre l’amour à plusieurs ni même qu’elle réussirait à trouver plaisir dans le polyamour. Avant Cìan et Malina , elle n’avait eu que des relations exclusives. Et pourtant, depuis qu’ils faisaient partie de sa vie, elle ne s’imaginait plus les quitter. C’était comme une évidence, ils étaient devenus son essentiel. Dès l’instant où elle avait aperçu le pompier, son cœur s’était remis à battre normalement. Elle l’avait scanné de haut en bas, analysant son bandage. Pour l’avoir vu dans des états bien pires, elle se sentit soulagée. Elle secoue la tête à son histoire, habituée elle aussi à croiser des idiots quotidiennement. « J’espère qu’il n’y a pas eu de blessés graves. » dit-elle en enfilant une nouvelle paire de gants et s’approchant doucement du pompier. « Ils ont intérêt à ne pas t’avoir fait trop de bobo où j’irais leur botter les fesses à ces idiots ! » Elle se laisse doucement approché. C’est fou l’effet qu’il continuait de lui faire à chaque fois qu’il la frôlait. Elle passe ses bras autour de son cou, alors qu’il l’invite à se serrer un peu plus contre lui. Elle pose son front contre le sien et le caresse du bout du nez. Elle inspire un grand coup, comme pour se recharger puis vient coller ses lèvres contre les siennes. « Vu l’heure, elle doit surement dormir. Je lui enverrais un petit message pour la rassurer… » elle imaginait Malina blottit dans leur lit trop grand pour la jolie coréenne. L’idée qu’elle s’y trouve seule lui fait un pincement au cœur. À cause de ses horaires, elle culpabilisait de ne pas profiter autant qu’elle le voudrait de ses amoureux. « En attendant laisse-moi regarder cette vilaine plaie et si tu es sage, tu auras le droit à une sucette… » Plaisante t-elle alors qu’il finit par la libérer. Aussitôt, elle vient se concentrer sur sa blessure. Une grimace se dessine sur son visage lorsqu’elle retire son bandage. Ce n’était pas très joli mais rien de grave. « Ma journée ? » répète-t-elle, alors que son regard ne quitte pas son travail. Elle y met deux fois plus de cœur parce que c’est Cìan. « Bien, et puis elle s’améliore par ta présence. » elle tente d’être délicate dans ses gestes. « J’ai rêvé toute la journée de l’instant où je rentrerai à la maison et où je me glisserai entre Mali et toi pour dormir jusqu’à 10h ! Non, jusqu’à midi… » elle se met aussitôt à fantasmer sur le fait de dormir. Depuis combien d’heures n’avait-elle pas fermé les yeux ? Elle finit de lui mettre un nouveau bandage, et retire ses gants pour les jeter. De nouveau, elle s’approche du jeune homme et colle ses mains sur ses joues. « Si tu es libre, j’ai un super idée de scénario coquin en tête, ça commence par : C’est l’histoire d’une petite infirmière cochonne et d’un pompier sexy et blessé… tu veux connaître la suite ? »


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Ven 24 Avr - 12:32
courage is knowing what not to fear.
Tout comme lui, Maddi avait l'habitude de devoir s'occuper de stupides imprudents. C'était sans doute la partie la plus usante de leur métier. Devoir sauver des gens qui avaient joué aux imbéciles, potentiellement en étant indisponible alors pour quelqu'un qui allait mal alors qu'il n'avait rien fait pour le mériter. Mais cela faisait partie du métier. Sauver tout le monde, peu importe qui il est. Il haussa les épaules quand elle s'exclama espérer qu'il n'y avait pas eu de blessés graves. « Deux de mes collègues ont été blessés plus gravement que moi, mais les médecins disent que ça va aller, alors ça ira. » Il offrit un doux sourire à sa petite amie quand elle assura qu'elle irait s'occuper des gamins s'ils l'avaient trop gravement blessés. « Je n'ai rien de grave, ne t'en fais pas. »

Alors qu'elle s'occupait de son bras, le brun ne la quittait pas des yeux, s'étonnant encore de la présence de cette merveilleuse femme dans sa vie. Il faisait souvent cela, le brun. Il pouvait encore rester des heures à simplement constater la présence de sa femme dans leur maison, même après quinze ans de mariage, heureux et reconnaissant d'avoir une telle personne dans sa vie. Aujourd'hui, il se surprenait parfois à les observer toutes les deux, quand elles discutaient, riaient en buvant quelque chose ou en travaillant dans la cuisine. Il avait une chance folle, peu commune. Avoir ces deux femmes pour lui était une chance incroyable et il ne se lassait pas de la surprise que cela lui procurait toujours. Le souvenir des craintes de Malina lui revint un peu en mémoire. Maddi était plus jeune que son épouse, certes, mais cela ne comptait pas pour lui. Elle était belle, à sa manière et sa femme était magnifique, elle aussi. Et cela représentait bien ce que chacune des deux femmes représentait pour lui. Il n'y avait pas de compétition. Pas de « une plus que l'autre ». Pas à ses yeux. Chacune lui apportait des choses différentes et ce n'était pas au détriment de l'autre. Il adorait leurs différences. Vénérait ce que chacune apportait. Comme avec l'adrénaline, par exemple. Maddi y était tout aussi accroc que lui et ensemble, ils faisaient des choses folles, dans leur métier ou dans le domaine sportif, parce qu'ils adoraient cette excitation que cela leur procurait. Malina y était beaucoup moins réceptive, plus prudente, pas réellement excitée par le frisson du danger et en cela, elle le canalisait, le calmait, lui apprenait à contrôler cette addiction pour ne pas s'y enfoncer. Il aimait que toutes les deux lui apportent quelque chose de différent à ce niveau, chacune à son moment, chacune quand cela était nécessaire.

La journée semblait avoir été très longue pour la blondinette, qui assurait pouvoir dormir jusqu'à midi et il sourit à l'image doucereuse d'une bonne nuit de sommeil à trois... Mais c'est une toute autre image qui s'imposa à son esprit quand, une fois terminé son œuvre, la jolie infirmière revint vers lui. Il posa ses mains sur ses hanches et la rapprocha de nouveau de lui, le regard pétillant. « Je dois revoir le médecin demain si la nuit se passe sans encombre avant qu'on puisse me ré-autoriser à retourner sur le terrain, alors je suis définitivement libre de toute obligation. Je pensais repasser à la caserne pour récupérer mes affaires et rentrer à la maison. » Il haussa un sourcil, glissant ses doigts sous le haut de l'uniforme de sa belle, caressant le bas de son dos. « Mais on dirait que tu as d'autres plans en tête ? » Une nouvelle fois, il captura ses lèvres en un tendre baiser.

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Dim 26 Avr - 19:22

Courage is knowing what not to fear.



Il y avait quelque chose de morbide dans son besoin d’adrénaline et de sensation forte. L’envie de flirter avec la mort pour se sentir vivre. Maddi n’avait jamais su comment ce désir du danger avait pris place dans son esprit. Elle trouvait plaisir à se rester de longues minutes sous l’eau jusqu’à manquer d’air. Pour son prochain anniversaire, Cìan lui avait promis un saut en parachute. Ce qui n’avait pas totalement convaincu son épouse. Des trois, Malina était probablement la plus terre à terre, parfois obligée de rappeler à l’ordre ses compagnons. Elle pouvait écouter pendant des heures Cìan parlait de ses missions de sauvetages et si elle n’aimait pas autant ce qu’elle faisait, peut-être aurait elle fait pompier aussi. Elle avait besoin qu’on vienne exciter ses sensations, qu’on la pousse hors des sentiers battus. Le danger l’excitait. Et même si elle en voulait à ces gosses d’avoir été négligeant au point de blesser son pompier, elle avait elle-même était imprudente parfois. Elle termine doucement de lui coller son dernier bandage, alors que ses joues rosissent en se sentant observer. Elle tentait de garder son sérieux de peur de le blesser mais elle ne parvenait pas à rester concentrée. C’est fou l’effet qu’il pouvait lui faire. Elle en avait des papillons dans le ventre et elle s’estimait heureuse de pouvoir vivre une histoire aussi unique que la leur. Le fait est que la boucle du trio s’était refermé dés lors où elle s’était mise à fréquenter Malina. Il y avait quelque chose de frais dans ce type de relation, en plus de recevoir deux fois plus d’amour, elle avait la sensation de pouvoir aimer librement. La communication était l’élément essentiel de leur complicité. Si un jour, l’envie de partir ou d’aller voir ailleurs lui prenait, elle savait qu’elle pourrait compter sur leur compréhension et vice-versa. Le fait est qu’ils étaient tous tolérants vis à vis de l’autre, rendait leur relation intéressante et loin d’elle de s’en détacher un jour. Elle n’avait pas l’impression d’avoir la corde au cou, ni que l’on touche à sa liberté. Avec eux, elle n’avait pas besoin d’être jalouse ou de faire semblant de l’être parce que bien souvent amour rimait aux oreilles des autres avec jalousie. C’était d’ailleurs la première question qu’on lui posait lorsqu’on apprenait pour sa relation avec les Wells. Ce qu’elle trouvait ridicule en soit, parce qu’elle préférait faire rimer le mot amour avec bonheur ou joie qu’importe si elle en est l’initiatrice ou non. Cian et Malina avait leur passé ensemble, des anecdotes dans lesquelles son nom n’apparaissait pas. Elle trainait encore son cartable Hello Kitty lorsqu’ils avaient commencé à se fréquenter. Tous, trouvait leur équilibre dans leur relation et Maddi chérissait chaque instant qu’elle passait à leur côté. « Je dois revoir le médecin demain si la nuit se passe sans encombre avant qu'on puisse me ré-autoriser à retourner sur le terrain, alors je suis définitivement libre de toute obligation. Je pensais repasser à la caserne pour récupérer mes affaires et rentrer à la maison. » ses plans étaient plutôt raisonnable mais un sourire malicieux se dessina sur le coin des lèvres de la jeune femme. « Mais on dirait que tu as d'autres plans en tête ? » elle hoche la tête tandis qu’un frisson lui parcours l’entièreté du corps lorsqu’elle sent les doigt froid du pompier caresser sa peau. Bien que fatiguée, elle était prête à gaspiller le peu d’énergie qui lui restait encore à satisfaire son pompier préféré. « C’est vrai ? Tu es prêt à prendre le risque de mettre en pratique mon scénario ? » elle vient défaire le haut de sa chemise pour se cambrer un peu plus sur son amoureux. « Je risquerai de perdre mon travail, tu sais… » dit-elle sans réellement être inquiéter de ce qui pourrait leur arriver s’ils se faisaient prendre.


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Ven 22 Mai - 23:05
courage is knowing what not to fear.
Maddi avait été un vent de fraîcheur dans sa vie et dans son couple. Quand il avait commencé à la fréquenter, il avait été tellement excité et amusé qu'il avait eu envie de donner les mêmes sentiments à son épouse. Elle avait rendu sa vie maritale tellement plus excitante, parce que lorsqu'il découvrait quelque chose de nouveau avec elle, il avait envie d'essayer avec son épouse. Pas pour comparer. Pour partager de vrais beaux moments de complicités. Il avait grandi, en tant que compagnon et qu'amant.

« Tant que ton scénario n'implique pas de grandes figures acrobatiques, je suis tout ouïe. N'oublie pas que je suis quand même un homme blessé. » Il le disait avec un sourire amusé, parce qu'il se sentait très bien. Les médecins et chef prenaient juste d'infinies précautions avec la santé de leurs hommes ou collègues. Ce que Cian comprenait très bien. Il était pareil, dès qu'il était question d'un collègue ou d'un autre membre du personnel de secours et de santé.

Il remonta doucement une main vers sa joue pour la prendre en coupe et l'approcha pour l'embrasser tendrement. Il rit quand elle protesta qu'elle pourrait perdre son travail. « Ce serait entièrement votre faute, Mrs Hollins. Vous taquinez l'esprit fertile d'un homme qui est à vos pieds et ensuite vous vous plaignez que cet homme vous désire ardemment ? Ce n'est pas très fair play. » Malgré tout, il regarda quand même autour si on pouvait les voir, là. Ils étaient dans une pièce séparée, à l’abri, avec peu de passage, alors même s'ils avaient toujours le risque de se faire prendre, ils étaient quand même relativement assuré d'avoir de l'intimité. Il se leva malgré tout, posant un baiser sur le bout de son nez. « Mais tu as de la chance, je sais être un homme sage. Ce n'est que partie remise ? », demanda-t-il pour approbation. « J'ai promis de dormir avec mon infirmière pour qu'elle me surveille. » Il était fort possible que Malina veille dormir avec lui aussi. Elle était la plus protectrice des trois et ne voudrait certainement pas quitter le côté de son mari, dès qu'elle saurait qu'il avait été blessé, mais qu'importe. Maddi et lui pourraient toujours trouver un petit moment pour faire l'amour avant d'aller au lit.

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